F.B.I
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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F.B.I
Bureaux du FBI – New-York, 8h35 : AM.
L'inspecteur Trevor Lewis (38 ans, 1M80, 85kg, musclé, blond, visage carré, type caucasien) attend son binôme, le major Jackson Heath (22 ans, 1M75, 70kg, svelte, cheveux noirs coupés courts, petite barbe de trois jours, latino).
Ce dernier finit par arriver avec leur ordre de mission. Interpeller un individu dans la troisième Avenue pour tapage nocturne.
Ils se présentent sur les lieux vingt minutes plus tard. Après avoir tambouriné à la porte, un individu torse nu vient leur ouvrir.
- C'est pour quoi?
Les deux officiers présentent leur plaque de police et déclinent leur identité.
- C'est encore celle du dessus qui s'est plainte?! Putain, si je la chope...
L'homme hésite avant de les laisser entrer mais comme ils ont un mandat, force reste à la loi.
Ils pénètrent dans une pièce aux volets fermés. L'intérieur est dans un désordre indescriptible. Nul doute que la nuit a dû être mouvementée.
L'inspecteur Lewis, en tant que haut gradé, demande à Heath d'aller recueillir la déposition de la voisine du dessus.
Le voilà seul face à cet étrange personnage. Le salon est sombre mais le policier a tout loisir de le détailler. C'est un homme d'environ 49 ans, de taille moyenne et de corpulence svelte. Il est typé comme un gars du sud, limite portoricain. C'est tout à fait le genre de mec qui plaît à l'inspecteur. Personne dans le service ne connaît ses penchants mais oui, Il aime les hommes et celui qu'il a devant lui correspond tout à fait à son fantasme. Une peau mâte, des cheveux courts, un visage émacié aux traits secs et une bouche à sucer des kilomètres de queue...
Cette simple évocation le fait bander.
Il finit par baisser les yeux et desserre son nœud de cravate. L'air est suffoquant dans la pièce, il a chaud et ce beau mâle n'arrange rien.
L'autre s'aperçoit bien que quelque chose ne tourne pas rond chez ce flic. Il le fixe étrangement, transpire à grosses gouttes et jette des regards furtifs en direction de son entrejambes. Bon sang, il aurait pu enfiler autre chose que ce short crado qui lui moule trop le paquet.
Il porte négligemment la main à son sexe qu'il redresse à la verticale. Il voit le beau policier déglutir difficilement et tourner la tête vers la fenêtre. Même si le salon est plongé dans la pénombre, il devine sa gêne.
Bordel, se pourrait-il que parmi les fédéraux, il y ait des homos?!
Lewis demande à voir la chambre. Il ne sait pas trop ce qu'il cherche mais il ne peut rester plus longtemps assis face à ce type. Il le déstabilise trop.
À peine la porte s'est-elle refermée derrière eux qu'il est plaqué contre le mur. Une main lui saisit la gorge pendant que l'autre pétrit ses couilles sans ménagement. L'effet est immédiat, son sexe se dresse tel un chapiteau sous la toile du pantalon.
- J'en étais sûr!!!
L'homme prend tous les risques, il l'embrasse à pleine bouche. L'inspecteur sent tout de suite la langue fouiller son palais. Un flot de salive au fort goût de cannabis le remplit. Pas de doutes, cette raclure était en train de fumer un ou plusieurs joints avant leur venue.
Lewis sent aussi l’érection très dure qui appuie contre son ventre. Il se colle à lui, enfonce sa langue râpeuse dans sa bouche. Il est affamé, dingue de ce caïd mais finit par rompre le baiser, hors d'haleine. L'afro le fixe avec un désir bestial dans les yeux. Le flic comprend alors que son partenaire est hyper excité et qu’il ne va pas le lâcher aussi facilement. Pourvu que Heath...
Il essaie de se résonner. Il voudrait combattre, se rebeller ... Il est en service, non d'un chien, qui plus est avec un mandat de perquisition. Son job est d'appréhender les truands, pas de leur rouler des pelles dans leur chambre.
L'homme sent que sa proie n'est pas complètement vaincue. Une partie résiste encore. Il raffermit sa prise, abandonne sa bouche pour mordiller le lob de l'oreille.
- Laisse-toi faire, ce sera pas long.
Lewis capitule. Les bras ballants le long du mur, il se laisse aller pour lui faire comprendre qu’il est tout à lui. L'afro-américain sent tout de suite le corps du beau policier se détendre. Il frotte plus fort son érection contre le bas-ventre de son captif et glisse une main dans l'échancrure de la chemise. Il défait trois boutons puis caresse l'épaisse toison qui tapisse sa poitrine musclée. Les poils sont drus et dégagent une forte odeur de transpiration. Il enveloppe directement un téton dans sa paume et pince entre deux doigts l'extrémité déjà excitée.
- Humm!!! T'es un chaud, toi.
Lewis ne dit rien. Il s'abandonne à cette caresse virile. Il se surprend à penser qu'en temps normal, la consommation de drogue diminue la libido et rend les érections moins performantes. Apparemment, cela ne fonctionne pas pour tous les individus.
Et tant mieux pour lui...
Le souffle court, Lewis regarde l'homme descendre son caleçon jusqu'aux genoux. Son sexe est hyper bandé. Il se tend comme un ressort. On dirait une bite de cheval. La hampe est large, épaisse... Le gland rose foncé est déjà décalotté. Il suinte abondamment. Son gourdin est tellement énorme qu’il ploie vers le bas.
La vue de ce monstre fait saliver l'agent Fédéral. Il le regarde avec envie mais une certaine appréhension se lit sur son visage. Certes, il a toujours aimé faire des fellations, mais là, c'est vraiment gros. S'il force trop, il risque de se déboîter la mâchoire.
Sans même qu'on le lui demande, il se laisse choir aux pieds du propriétaire de cette trompe noire. Sans plus attendre, il prend directement le gland humide en bouche. Le goût est âcre mais il passe outre. Il enserre avec sa main droite la base de la queue et s’applique à pomper le gland tout en branlant la hampe. Il ne se rend même pas compte du gémissement plaintif que lâche l'homme quand ses lèvres se ventousent autour de la hampe juste en dessous du frein.
- Ouais, c'est ça, continue...
Lewis redouble d'attention. Il veut faire plaisir à ce type qu'il ne connaissait pas il y a dix minutes. Il ferme les yeux et se concentre sur le plaisir qu'il donne. Il enroule sa langue autour du dard qui menace à tout instant de cracher son venin. Chaque poussée en fond de gorge lui arrache un grognement. Il s'étouffe presque à chaque pilonnage mais en redemande. Le souffle roque de son sucé indique qu'il ne va pas tenir longtemps.
- Oh... Je vais jouir!!!
À cet instant, la porte s'ouvre et le major Heath apparaît. Il reste figé en voyant son supérieur à quatre pattes, un énorme sexe dans la bouche.
Lewis veut se redresser mais l'homme l'en empêche. Il se tourne vers l'autre agent qui n'a toujours pas bougé.
- Et alors, beau gosse, qu'est-ce que t'attends! Viens aider ton collègue.
La situation est irréelle. Lewis croit sa fin de carrière arrivée mais contre toute attente, Heath s'avance vers eux et s'accroupit à hauteur de son partenaire.
- Voilà qui est mieux. Merde, alors!!! si on m'avait dit ce matin que j'aurais deux Fédéraux à genoux devant ma queue.
Il vient frotter sa bite sur le visage des deux policiers. Heath louche sur ce boudin noir qui laisse sur sa barbe une traînée translucide comme celle des escargots.
- Allez, prends le relais de ton pote.
Le major Heath s'empare du sexe bandé et le branle lentement tout en tirant très fort la peau de la hampe vers le bas afin de bien exciter le gland.
Mince, se dit en lui-même l'inspecteur Lewis, mon jeune coéquipier n'en est pas à son premier coup d'essai. Cela le rassure. Il finit par se rapprocher du gland qu'il reprend en bouche. Il s'efforce de le pomper avec application pour bien montrer à son jeune binôme que lui aussi n'est pas novice en la matière.
L'afro-américain appuie une main sur la nuque de Lewis pour lui signifier d'accélérer le mouvement. Ce dernier redouble d'ardeur en couinant de plaisir. De son autre main, il force le major à se rapprocher. Il a le visage à quelques centimètres de celui de son chef dont la bouche s'active sur le membre bandé à mort. Les lèvres sont ventousées autour de la hampe luisante de salive. Les joues de son supérieur se creusent à chaque fois que sa bouche se retire. Heath se souvient que les mecs sont très sensibles à cela. Comment cet agent respecté du FBI peut-il sucer aussi bien une queue???
Le salaud, il cachait bien son jeu!
Il le regarde suçoter le gland du bout des lèvres, l’aspirer fort afin de l’hyper sensibiliser puis le mordiller très légèrement. Aucun doute, ce mec est un pro...
Alors que Lewis continue de pomper le sexe du type avec application et gourmandise, il approche sa bouche des bourses pendantes et les lèche consciencieusement. Au goût âcre et salé, il devine qu'il n'a pas pris de douches depuis deux ou trois jours. Il hume ce fumet particulier, s'enivre de cette odeur synonyme d'excitation. Même s'il semble avoir moins d'expérience que son aîné, il veut prouver de quoi il est capable face à une vraie queue de mâle en rut.
- Léchez-moi la bite tous les deux ensemble, exige le quadra en avançant son bassin et en écartant ses grosses cuisses poilues. Une bouche de chaque côté.
D'habitude, c'est eux qui donnent les ordres mais là, ils s'exécutent sans protester. Ils sont à la merci de cet homme louche, de ce toxico qui les domine par la seule force de sa queue.
- Allez, les Fédéraux... Au travail!
Lewis lâche le gland et fixe son partenaire dans les yeux en venant poser ses lèvres sur le côté de la hampe tendue. Heath voit une grande excitation dans les yeux humides de son chef. Il pose à son tour ses lèvres charnues de l’autre côté de la verge et commence des aller-retour sur toute la longueur du membre tendu. L'inspecteur fait pareil de l’autre côté du cylindre tout en le fixant avec des yeux rieurs. Heath comprend que cela l'excite d'être à quelques centimètres de sa bouche.
- Vous êtes pas synchro. Putain, on vous apprend quoi dans la police???
Lewis, en agent expérimenté prend les choses en main, ou plutôt en bouche. Il attend que les lèvres de son cadet soit à la base de la verge pour remonter de concert vers le gland.
- Ben voilà! C'est beaucoup mieux.
Boostés par cet encouragement, ils redoublent d'effort. Les deux bouches se rejoignent vers le sommet. Les lèvres des deux pipeurs se touchent pour caresser le dard puis redescendent en symbiose vers les couilles avant de remonter ensemble vers le gland...
- Humm, vous apprenez vite. Rien à dire, on recrute la crème au FBI et bientôt vous allez recueillir la mienne.
L'homme est aux anges. Cette fois, quand les deux bouches coulissent sur son gland, il maintient la tête du plus jeune vers le haut et laisse la bouche de l'inspecteur redescendre sur les couilles.
Heath comprend tout de suite ce qu'on attend de lui. Il prend la grosses prune en bouche et l’aspire goulûment. Il effectue de fortes tétées sur le bout afin de le sensibiliser. Cette technique lui a été enseignée par une trans qui faisait toujours ça quand la queue qu’elle suçait était vraiment trop grosse et qu’elle ne pouvait prendre en bouche que le gland.
Pendant que son jeune partenaire tête le dard avec application, Lewis continue de lécher le sexe sur toute sa longueur en gémissant doucement. Heath reste silencieux. Il est trop concentré sur sa tâche pour penser à son propre plaisir. Il ne voudrait pas décevoir son supérieur hiérarchique.
Il sent le gars de plus en plus excité. Il lui agrippe fort les cheveux et appuie d'avantage sur sa tête. Notre jeune agent du service des renseignements réussit à enfoncer les 23 centimètres de chair jusqu’au fond de sa gorge. Le gros abricot bute contre la glotte avant de descendre dans sa trachée. On voit la gorge totalement déformée par une boule qui coulisse tant bien que mal. Lewis avance la main et branle cette monstruosité à travers la fine paroi. Heath manque s'étouffer mais subit l'assaut avec courage.
Au tremblement de ses jambes, le jeune major devine que l'homme va bientôt jouir. Il recrache son manche puis replonge presque aussitôt. Il veut tout prendre, ne rien laisser à Lewis. Pour une fois, il sera son égal. Peut-être même plus. Mais le quadra toxico ne l'entend pas ainsi. Il sort précipitamment son mandrin de cette bouche accueillante et inonde la figure des deux flics qui sortent la langues pour récupérer un maximum de nectar. Ils se lèchent mutuellement le visage avant de se galocher sans vergogne. C'est à celui qui roulera le patin le plus baveux sous le regard hilare du malfra.
Soudain, un bruit de clé retentit dans la serrure de la porte d'entrée.
- Merde, ma femme!!!
FIN
L'inspecteur Trevor Lewis (38 ans, 1M80, 85kg, musclé, blond, visage carré, type caucasien) attend son binôme, le major Jackson Heath (22 ans, 1M75, 70kg, svelte, cheveux noirs coupés courts, petite barbe de trois jours, latino).
Ce dernier finit par arriver avec leur ordre de mission. Interpeller un individu dans la troisième Avenue pour tapage nocturne.
Ils se présentent sur les lieux vingt minutes plus tard. Après avoir tambouriné à la porte, un individu torse nu vient leur ouvrir.
- C'est pour quoi?
Les deux officiers présentent leur plaque de police et déclinent leur identité.
- C'est encore celle du dessus qui s'est plainte?! Putain, si je la chope...
L'homme hésite avant de les laisser entrer mais comme ils ont un mandat, force reste à la loi.
Ils pénètrent dans une pièce aux volets fermés. L'intérieur est dans un désordre indescriptible. Nul doute que la nuit a dû être mouvementée.
L'inspecteur Lewis, en tant que haut gradé, demande à Heath d'aller recueillir la déposition de la voisine du dessus.
Le voilà seul face à cet étrange personnage. Le salon est sombre mais le policier a tout loisir de le détailler. C'est un homme d'environ 49 ans, de taille moyenne et de corpulence svelte. Il est typé comme un gars du sud, limite portoricain. C'est tout à fait le genre de mec qui plaît à l'inspecteur. Personne dans le service ne connaît ses penchants mais oui, Il aime les hommes et celui qu'il a devant lui correspond tout à fait à son fantasme. Une peau mâte, des cheveux courts, un visage émacié aux traits secs et une bouche à sucer des kilomètres de queue...
Cette simple évocation le fait bander.
Il finit par baisser les yeux et desserre son nœud de cravate. L'air est suffoquant dans la pièce, il a chaud et ce beau mâle n'arrange rien.
L'autre s'aperçoit bien que quelque chose ne tourne pas rond chez ce flic. Il le fixe étrangement, transpire à grosses gouttes et jette des regards furtifs en direction de son entrejambes. Bon sang, il aurait pu enfiler autre chose que ce short crado qui lui moule trop le paquet.
Il porte négligemment la main à son sexe qu'il redresse à la verticale. Il voit le beau policier déglutir difficilement et tourner la tête vers la fenêtre. Même si le salon est plongé dans la pénombre, il devine sa gêne.
Bordel, se pourrait-il que parmi les fédéraux, il y ait des homos?!
Lewis demande à voir la chambre. Il ne sait pas trop ce qu'il cherche mais il ne peut rester plus longtemps assis face à ce type. Il le déstabilise trop.
À peine la porte s'est-elle refermée derrière eux qu'il est plaqué contre le mur. Une main lui saisit la gorge pendant que l'autre pétrit ses couilles sans ménagement. L'effet est immédiat, son sexe se dresse tel un chapiteau sous la toile du pantalon.
- J'en étais sûr!!!
L'homme prend tous les risques, il l'embrasse à pleine bouche. L'inspecteur sent tout de suite la langue fouiller son palais. Un flot de salive au fort goût de cannabis le remplit. Pas de doutes, cette raclure était en train de fumer un ou plusieurs joints avant leur venue.
Lewis sent aussi l’érection très dure qui appuie contre son ventre. Il se colle à lui, enfonce sa langue râpeuse dans sa bouche. Il est affamé, dingue de ce caïd mais finit par rompre le baiser, hors d'haleine. L'afro le fixe avec un désir bestial dans les yeux. Le flic comprend alors que son partenaire est hyper excité et qu’il ne va pas le lâcher aussi facilement. Pourvu que Heath...
Il essaie de se résonner. Il voudrait combattre, se rebeller ... Il est en service, non d'un chien, qui plus est avec un mandat de perquisition. Son job est d'appréhender les truands, pas de leur rouler des pelles dans leur chambre.
L'homme sent que sa proie n'est pas complètement vaincue. Une partie résiste encore. Il raffermit sa prise, abandonne sa bouche pour mordiller le lob de l'oreille.
- Laisse-toi faire, ce sera pas long.
Lewis capitule. Les bras ballants le long du mur, il se laisse aller pour lui faire comprendre qu’il est tout à lui. L'afro-américain sent tout de suite le corps du beau policier se détendre. Il frotte plus fort son érection contre le bas-ventre de son captif et glisse une main dans l'échancrure de la chemise. Il défait trois boutons puis caresse l'épaisse toison qui tapisse sa poitrine musclée. Les poils sont drus et dégagent une forte odeur de transpiration. Il enveloppe directement un téton dans sa paume et pince entre deux doigts l'extrémité déjà excitée.
- Humm!!! T'es un chaud, toi.
Lewis ne dit rien. Il s'abandonne à cette caresse virile. Il se surprend à penser qu'en temps normal, la consommation de drogue diminue la libido et rend les érections moins performantes. Apparemment, cela ne fonctionne pas pour tous les individus.
Et tant mieux pour lui...
Le souffle court, Lewis regarde l'homme descendre son caleçon jusqu'aux genoux. Son sexe est hyper bandé. Il se tend comme un ressort. On dirait une bite de cheval. La hampe est large, épaisse... Le gland rose foncé est déjà décalotté. Il suinte abondamment. Son gourdin est tellement énorme qu’il ploie vers le bas.
La vue de ce monstre fait saliver l'agent Fédéral. Il le regarde avec envie mais une certaine appréhension se lit sur son visage. Certes, il a toujours aimé faire des fellations, mais là, c'est vraiment gros. S'il force trop, il risque de se déboîter la mâchoire.
Sans même qu'on le lui demande, il se laisse choir aux pieds du propriétaire de cette trompe noire. Sans plus attendre, il prend directement le gland humide en bouche. Le goût est âcre mais il passe outre. Il enserre avec sa main droite la base de la queue et s’applique à pomper le gland tout en branlant la hampe. Il ne se rend même pas compte du gémissement plaintif que lâche l'homme quand ses lèvres se ventousent autour de la hampe juste en dessous du frein.
- Ouais, c'est ça, continue...
Lewis redouble d'attention. Il veut faire plaisir à ce type qu'il ne connaissait pas il y a dix minutes. Il ferme les yeux et se concentre sur le plaisir qu'il donne. Il enroule sa langue autour du dard qui menace à tout instant de cracher son venin. Chaque poussée en fond de gorge lui arrache un grognement. Il s'étouffe presque à chaque pilonnage mais en redemande. Le souffle roque de son sucé indique qu'il ne va pas tenir longtemps.
- Oh... Je vais jouir!!!
À cet instant, la porte s'ouvre et le major Heath apparaît. Il reste figé en voyant son supérieur à quatre pattes, un énorme sexe dans la bouche.
Lewis veut se redresser mais l'homme l'en empêche. Il se tourne vers l'autre agent qui n'a toujours pas bougé.
- Et alors, beau gosse, qu'est-ce que t'attends! Viens aider ton collègue.
La situation est irréelle. Lewis croit sa fin de carrière arrivée mais contre toute attente, Heath s'avance vers eux et s'accroupit à hauteur de son partenaire.
- Voilà qui est mieux. Merde, alors!!! si on m'avait dit ce matin que j'aurais deux Fédéraux à genoux devant ma queue.
Il vient frotter sa bite sur le visage des deux policiers. Heath louche sur ce boudin noir qui laisse sur sa barbe une traînée translucide comme celle des escargots.
- Allez, prends le relais de ton pote.
Le major Heath s'empare du sexe bandé et le branle lentement tout en tirant très fort la peau de la hampe vers le bas afin de bien exciter le gland.
Mince, se dit en lui-même l'inspecteur Lewis, mon jeune coéquipier n'en est pas à son premier coup d'essai. Cela le rassure. Il finit par se rapprocher du gland qu'il reprend en bouche. Il s'efforce de le pomper avec application pour bien montrer à son jeune binôme que lui aussi n'est pas novice en la matière.
L'afro-américain appuie une main sur la nuque de Lewis pour lui signifier d'accélérer le mouvement. Ce dernier redouble d'ardeur en couinant de plaisir. De son autre main, il force le major à se rapprocher. Il a le visage à quelques centimètres de celui de son chef dont la bouche s'active sur le membre bandé à mort. Les lèvres sont ventousées autour de la hampe luisante de salive. Les joues de son supérieur se creusent à chaque fois que sa bouche se retire. Heath se souvient que les mecs sont très sensibles à cela. Comment cet agent respecté du FBI peut-il sucer aussi bien une queue???
Le salaud, il cachait bien son jeu!
Il le regarde suçoter le gland du bout des lèvres, l’aspirer fort afin de l’hyper sensibiliser puis le mordiller très légèrement. Aucun doute, ce mec est un pro...
Alors que Lewis continue de pomper le sexe du type avec application et gourmandise, il approche sa bouche des bourses pendantes et les lèche consciencieusement. Au goût âcre et salé, il devine qu'il n'a pas pris de douches depuis deux ou trois jours. Il hume ce fumet particulier, s'enivre de cette odeur synonyme d'excitation. Même s'il semble avoir moins d'expérience que son aîné, il veut prouver de quoi il est capable face à une vraie queue de mâle en rut.
- Léchez-moi la bite tous les deux ensemble, exige le quadra en avançant son bassin et en écartant ses grosses cuisses poilues. Une bouche de chaque côté.
D'habitude, c'est eux qui donnent les ordres mais là, ils s'exécutent sans protester. Ils sont à la merci de cet homme louche, de ce toxico qui les domine par la seule force de sa queue.
- Allez, les Fédéraux... Au travail!
Lewis lâche le gland et fixe son partenaire dans les yeux en venant poser ses lèvres sur le côté de la hampe tendue. Heath voit une grande excitation dans les yeux humides de son chef. Il pose à son tour ses lèvres charnues de l’autre côté de la verge et commence des aller-retour sur toute la longueur du membre tendu. L'inspecteur fait pareil de l’autre côté du cylindre tout en le fixant avec des yeux rieurs. Heath comprend que cela l'excite d'être à quelques centimètres de sa bouche.
- Vous êtes pas synchro. Putain, on vous apprend quoi dans la police???
Lewis, en agent expérimenté prend les choses en main, ou plutôt en bouche. Il attend que les lèvres de son cadet soit à la base de la verge pour remonter de concert vers le gland.
- Ben voilà! C'est beaucoup mieux.
Boostés par cet encouragement, ils redoublent d'effort. Les deux bouches se rejoignent vers le sommet. Les lèvres des deux pipeurs se touchent pour caresser le dard puis redescendent en symbiose vers les couilles avant de remonter ensemble vers le gland...
- Humm, vous apprenez vite. Rien à dire, on recrute la crème au FBI et bientôt vous allez recueillir la mienne.
L'homme est aux anges. Cette fois, quand les deux bouches coulissent sur son gland, il maintient la tête du plus jeune vers le haut et laisse la bouche de l'inspecteur redescendre sur les couilles.
Heath comprend tout de suite ce qu'on attend de lui. Il prend la grosses prune en bouche et l’aspire goulûment. Il effectue de fortes tétées sur le bout afin de le sensibiliser. Cette technique lui a été enseignée par une trans qui faisait toujours ça quand la queue qu’elle suçait était vraiment trop grosse et qu’elle ne pouvait prendre en bouche que le gland.
Pendant que son jeune partenaire tête le dard avec application, Lewis continue de lécher le sexe sur toute sa longueur en gémissant doucement. Heath reste silencieux. Il est trop concentré sur sa tâche pour penser à son propre plaisir. Il ne voudrait pas décevoir son supérieur hiérarchique.
Il sent le gars de plus en plus excité. Il lui agrippe fort les cheveux et appuie d'avantage sur sa tête. Notre jeune agent du service des renseignements réussit à enfoncer les 23 centimètres de chair jusqu’au fond de sa gorge. Le gros abricot bute contre la glotte avant de descendre dans sa trachée. On voit la gorge totalement déformée par une boule qui coulisse tant bien que mal. Lewis avance la main et branle cette monstruosité à travers la fine paroi. Heath manque s'étouffer mais subit l'assaut avec courage.
Au tremblement de ses jambes, le jeune major devine que l'homme va bientôt jouir. Il recrache son manche puis replonge presque aussitôt. Il veut tout prendre, ne rien laisser à Lewis. Pour une fois, il sera son égal. Peut-être même plus. Mais le quadra toxico ne l'entend pas ainsi. Il sort précipitamment son mandrin de cette bouche accueillante et inonde la figure des deux flics qui sortent la langues pour récupérer un maximum de nectar. Ils se lèchent mutuellement le visage avant de se galocher sans vergogne. C'est à celui qui roulera le patin le plus baveux sous le regard hilare du malfra.
Soudain, un bruit de clé retentit dans la serrure de la porte d'entrée.
- Merde, ma femme!!!
FIN
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sucer une queue hyper bandée, c'est vraiment sublime ! Sucer le gland, titiller le méat avec le bout de la langue, faire glisser la hampe à fond dans la bouche, garder l'énorme bite jusqu'au fond de la gorge jusqu'à presque s'étouffer et pendant ce temps pelotter et labourer les fesses du mâle, lui enfoncer plusieurs doigts dans le cul, profond, profond, voilà qui est divin ! Merci à DeeWar pour se merveilleuses histoires de cul mâle. Le mâle, y a que ça de vrai !
J'ai beaucoup aimé l'histoire entre ces 2 collègues flic et de cette magnifique queue de trafiquant qu'ils servent avec dévotion . A mon avis c'est pour eux le début d'une longue série d'ébats sexuels ensemble .
J’imaginais naïvement un truc entre Trevor et Jackson, agents FBI, genre ‘propre sur soi’, clean, quoi… et dans la logique de récits gays, l’ancien ken le jeune, découverte de sa prostate et plus, orgasme, toussa. Mais ils se retrouvent tous les deux à genoux devant une encore plus vieille bite (de 23cm, héhéhé !) qu’ils tètent comme des perdus, sérieux ? Et c’est la femme du portoricain qui se pointe, là ? J’aime bien le délire, et ok pour les trucs un peu crade, mais dsl, bof.