Fabrice, dernière rencontre, entre hommes
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fabrice, dernière rencontre, entre hommes
La fin approchait, jusqu'à ce jour fatidique, ou il m'annonce tristement:"P...., ça y est, je fini ma mission Vendredi!".
"Ah!".
"J'ai envie de passer une nuit avec toi, si tu peux, après tout, j'ai le week-end pour rentrer à Paris".
"Ok, ça ne devrait pas poser de problème, on se voit ici?".
"Non, j'ai envie d'être bien, je prendrai une chambre d'hôtel".
"Pour quel jour?".
"Tu préfères quand?".
"Samedi, c'est idéal! Sinon Vendredi".
"Ok, je vois ça".
Finalement, il a choisi le Samedi. Il passe me chercher à la boutique, et nous allons diner ensemble, vite fait, dans une brasserie.
J' y rencontre un copain qui me reconnait, je lui présente Fabrice comme un cousin.
Puis, nous nous rendons à l'hôtel en périphérie de la ville.
Je l'attends dans la voiture, pendant qu'il récupère la clé magnétique.
Il revient et gare la voiture près de notre chambre, au rez-de-chaussée.
Par chance, nous ne sommes pas en saison touristique, l'hôtel a l'air presque vide.
La chambre est mignonne, simple, mais fonctionnelle, je tire le rideau, pour nous cacher des regards.
Fabrice ferme la porte, se tourne vers moi. On se regarde penauds, on ne sait pas comment affronter ce moment de séparation forcée.
Il se décide en s'approchant, et commence à me déshabiller lentement, de ses mains, et portant ses lèvres aux miennes.
Son baiser est doux, je me retrouve torse nu.
Il continue en dégrafant ma ceinture et défait mon pantalon en le faisant glisser de ses doigts qui caressent mon cul au passage.
J'enlève une chaussure, en m'aidant de l'autre pied, et l'inverse, sans quitter sa bouche humide, puis je dégage mes jambes de mon pantalon écrasé sur mes talons.
il me tourne, et me couvre de baisers dans le dos, en descendant sur mes fesses.
Ses lèvres et sa langue parcourent toute la surface, de mes 2 lobes fessiers.
Il me mord de temps à autre, me faisant frissonner de plaisir.
Il se redresse et me couche sur le ventre, sur le lit et reprends ses caresses buccales sur mon cul.
Sa langue s'insinue entre mes fesses, il lèche tendrement mon œillet, qui se lubrifie à ce contact.
Il appuie plus fortement en me lapant l'anus, je gémis de plaisir sous cette caresse.
Il me lèche l'anus très longtemps, puis se relève en disant d'un ton très doux:"Je l'aime, ton cul!".
"Je me retourne et l'embrasse fougueusement".
je me redresse, et entreprend de le déshabiller, en le couvrant de baisers, à mon tour.
jusqu'au moment ou j'arrive sur son sexe en érection, et lui dis:"Laisses-toi faire!".
Je passe ma langue amoureusement sur toute sa longueur, en oubliant aucune petite parcelle de peau.
J'insiste longuement avec ma langue, autour, et sur son gland gonflé d'envie, puis je me hasarde sur ses testicules rasés, que j'englobe l'un après l'autre.
J'aime l'entendre souffler et gémir de plaisir, c'est le moment pour lui dire:"Je l'aime, ta queue!".
Il me relève et m'embrasse passionnément.
On s'écroule sur le lit, sans arrêter de s'embrasser, ce soir là, je n'ai plus de dégout sur cette pratique avec un homme, j'en ai envie tout simplement.
On se couvre avec les draps et reprenons nos baisers.
Puis nos lèvres se séparent, je me retourne pour me coller contre lui, le dos contre son torse, il m'enlace.
je lui dit:"Je suis bien comme ça".
"Moi aussi, on aurait du faire ça plus souvent".
"C'est un peu, ma faute, j'avoue que la tendresse avec un homme, ça me fait peur, et ça fait longtemps que j'ai pas fait l'amour à ma femme".
"J'y suis un peu pour quelque chose moi aussi, avec mon tempérament de gros baiseur".
"On s'est bien éclaté quand même! Le sexe, c'est super aussi!".
"Bien sur, t'as raison, mais j'aime ce genre de moment avec toi, également!".
"Justement, j'ai envie de rester comme ça encore un peu, sans baiser".
Il fait glisser ses doigts le long de mon corps, puis passe sa main dans mes cheveux, et me tourne le visage pour coller ses lèvres aux miennes.
Nos jeux de langues et de caresses sont interminablement délicieux.
Je me positionne au dessus de lui, toujours collé à sa bouche, mon bassin cherche son contact, et nos deux corps se soudent en une pénétration fabuleusement tendre.
Son gros sexe glisse très lentement dans mon anus, nos langues se lèchent, en mêlant nos salives.
il pose ses mains épaisses sur mes fesses, pour m'imprimer une progression profonde de sa queue.
Je respire en murmurant:"Oh Fabrice, continue comme ça, s'il te plait, doucement, fait moi l'amour!".
"Oui, moi aussi, j'en ai envie!".
Notre combat sexuel, tendre, opposant son gros sexe et mon anus, dure très longtemps, sans nous lasser.
Le plaisir nous gagne, très, très, lentement, je suis au bord de l'explosion d'un orgasme anal.
"Fabrice, je peux pas retenir le plaisir, je.....je..".
"Ahhhhh, tu peux jouir, je viens, ahhhhhhhhhhhhhh".
"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Nous jouissons simultanément, en nous embrassant fougueusement.
On a du mal à se décoller sexuellement.
Je descend vers son sexe pour le lécher et le pomper langoureusement.
Puis, je remonte vers sa bouche.
"Tourne toi". Me demande t'il.
Je me couche sur le coté, son magnifique gros sexe, me pénètre profondément et il me serre contre lui.
"Tu vas me manquer!". Me dit-il.
Je mêle mes bras aux siens, et réponds:"Toi aussi!".
Nous sombrons dans un léger sommeil, causé par notre jouissance commune.
Une petite trentaine de minutes après, je sors de ma sieste crapuleuse, réveillé par ses mains caressantes.
"Ca va?" demande Fabrice.
"Oui, un peu bizarre, quand même!".
"Pourquoi?".
"J'ai jamais vraiment fait l'amour avec un homme, pas aussi tendrement qu'avec toi! je pense pas t'aimer, mais j'ai envie de ça, ce soir".
"Pareil! Mais sentimentalement, je suis pas sûr, c'est nouveau pour moi, j'ai jamais été amoureux".
"Fabrice, s'il te plait! Non, pas ça!".
"T'inquiètes pas, ça va aller, de toute façon, je pars demain".
Il se remonte dans le lit pour approcher son sexe à demi dur à portée de mes lèvres.
"Fais lui l'amour encore!".
Je me lance dans une danse buccale, humide et passionnée, sur sa queue qui durcit à l'extrême.
Je lui lance alors, en le regardant dans les yeux, sans quitter sa bite, de ma langue:"Je l'aime ta queue!".
Il me laisse le sucer goulument encore longuement, puis.
Il me tourne sur le ventre et viens sur moi, son sexe reprends possession de mon anus, tendrement.
"Maintenant, c'est mon tour de lui faire l'amour, a ton cul!".
"Ohhhhhhhhhhhh, Fabrice, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii".
Il progresse en moi lentement mais puissamment, je retiens mon corps, avec mes mains, pour ne pas être poussé contre le mur.
Cette fois, l'orgasme me gagne très vite.
"Fabrice, je jouis déjà, aahhhhhhhhhhhhhh".
J'ajoute ensuite:"Ne t'arrêtes pas, encore!".
Il me fais l'amour analement dans cette position, encore un moment, puis il pivote en ayant ses pieds, du coté de ma tête.
Il pointe son gros sexe et me l'enfonce dans le cul encore, la position extrême me fait hurler de plaisir.
"Ahhhhhhhhhhhhh".
Fabrice lance assez fort:"Putain j'adore comme ça!".
il active son rythme, pour atteindre une vitesse proche de la défonce anale.
"Fabrice, je jouis, je jouis, ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
"Ahhhhhhhhhhh, moi aussiiiiiiiiiiiiiii".
Il se retire, très vite, gêné par la torsion imposé sur sa queue par mon anus, et viens vers moi, en s'asseyant près de mon visage.
Je me tourne sur le coté, il a saisit sa queue en faisant remonter le sperme coincé dans son conduit urinaire, je le prend en bouche pour le sucer amoureusement.
"Mais? T'as éjaculé!". Me dit-il.
"Tu t'en doutais pas? en m'entendant jouir? C'est un peu comme la position que tu aimes".
"J'y ai pas pensé!....... Embrasses-moi!".
Je me lève pour rejoindre ses lèvres, et nous nous enlaçons fougueusement.
On allonge nos corps, l'un face à l'autre, j'écarte mes jambes pour qu'il s'y engouffre, puis les referme sur son dos, en l'enlaçant de mes bras.
Nous sommes collés par nos langues qui se mêlent et s'entremêlent.
Il profite d'une dureté relative de son sexe pour sentir encore la chaleur de mon anus en m'embrassant.
Notre duo de corps se tourne, sans se démêler.
La tension amoureuse retombe et Fabrice se détend en fermant les yeux:"Je suis trop bien!".
Je suis sur lui, planté sur son sexe toujours dur.
Je vois qu'il est épuisé, prêt a s'endormir.
Je me blottis sur son torse et m'assoupit à mon tour.
Puis, je me réveille légèrement pour m'allonger à ses cotés, en chien de fusil.
Il se colle dans mon dos et me glisse à nouveau son sexe en disant:"J'aime dormir dans ton cul! Bonne nuit!".
"Ca tombe bien, j'aime moi aussi! Bonne nuit!".
Au petit matin, c'est Fabrice qui me réveille par ses baisers entre mes fesses, et sa langue humide sur mon anus.
"Alors la marmotte! Bien dormi!".
"Mmmmmmmmmmm, oui!".
Je lui tends les bras pour qu'il m'embrasse.
Comme la veille, je l'entoure de mes cuisses et il ne tarde pas à me pénétrer profondément.
Immanquablement, nous refaisons l'amour passionnément, pendant presque une heure.
Ses tendres assauts me donne plusieurs orgasmes anaux, il me dit:"Viens suis-moi!".
Il m'entraine dans la douche, et fais couler l'eau tiède, il me colle au mur, sous le jet et reprend son fourreau anal préféré, mon cul!
Il m'impose un rythme lancinant et vicieux, sortant de mon œillet, puis replongeant profondément, en me faisant gémir de plaisir.
C'est quand je suis pris d'un orgasme puissant, qu'il me rejoint en éjaculant son plaisir dans mon anus.
Je réalise que c'est notre dernier orgasme commun, mes yeux me brulent et s'embuent, je ne veux pas qu'il voit mon état et m'en veux d'avoir cette réaction.
Je penche la tête en arrière pour me couvrir le visage du jet d'eau, et effacer les larmes naissantes.
Il attrape le gel douche et s'en couvre la main, pour se laver en ma présence, de mon coté, je saisis un gant pour l'imiter.
Nous aurons des jeux amoureux, en utilisant le gant de toilette, plein de savon moussant, sur nos corps, son sexe de ma part et mon cul de la sienne.
Il sent arriver une envie d'uriner et me le dit pour que je le laisse sortir.
Je le regarde, en demandant:"Tu en as envie?".
"Tu veux bien?".
"Oui!".
Je stoppe le jet de douche, puis m'accroupis devant lui, les yeux fermés et le visage en arrière. Il gémit en dirigeant son sexe vers moi, et urine en visant mon visage.
Son liquide matinal, doré et chaud se déverse abondamment sur moi, en de nombreux jets incessants.
J'ai l'impression de recevoir une immense éjaculation, en entendant ses murmures de plaisir.
Puis, enfin, l'écoulement se termine.
Il me sourit, amoureusement, je lui renvoie son sourire.
Il rouvre le jet de douche et prend le gant, plein de mousse savonneuse, pour me laver le visage.
Il saisit mes joues entre ses mains, et me dit:"Tu ne réponds pas! S'il te plais!".
Je ne comprends pas ses mots. Il me regarde droit dans les yeux, pendant un instant, qui me semble éternel, son regard s'humidifie, puis il murmure:"Je t'aime!".
Nous finissons de nous laver.
Nous nous rhabillons, sans dire un mot, je suis perturbé par sa déclaration.
Il me raccompagne en voiture, près de mon domicile, puis voyant que la rue est déserte, il passe sa main derrière mon crâne et m'embrasse tendrement.
Nos lèvres s'écartent, nos yeux ne se quittent pas du regard,.
J'ouvre la porte derrière moi, et m'éloigne en reculant pour enfin me retourner sans regarder en arrière.
J'espère qu'il s'est remit de cette histoire, je ne voulais pas lui faire de mal.
"Ah!".
"J'ai envie de passer une nuit avec toi, si tu peux, après tout, j'ai le week-end pour rentrer à Paris".
"Ok, ça ne devrait pas poser de problème, on se voit ici?".
"Non, j'ai envie d'être bien, je prendrai une chambre d'hôtel".
"Pour quel jour?".
"Tu préfères quand?".
"Samedi, c'est idéal! Sinon Vendredi".
"Ok, je vois ça".
Finalement, il a choisi le Samedi. Il passe me chercher à la boutique, et nous allons diner ensemble, vite fait, dans une brasserie.
J' y rencontre un copain qui me reconnait, je lui présente Fabrice comme un cousin.
Puis, nous nous rendons à l'hôtel en périphérie de la ville.
Je l'attends dans la voiture, pendant qu'il récupère la clé magnétique.
Il revient et gare la voiture près de notre chambre, au rez-de-chaussée.
Par chance, nous ne sommes pas en saison touristique, l'hôtel a l'air presque vide.
La chambre est mignonne, simple, mais fonctionnelle, je tire le rideau, pour nous cacher des regards.
Fabrice ferme la porte, se tourne vers moi. On se regarde penauds, on ne sait pas comment affronter ce moment de séparation forcée.
Il se décide en s'approchant, et commence à me déshabiller lentement, de ses mains, et portant ses lèvres aux miennes.
Son baiser est doux, je me retrouve torse nu.
Il continue en dégrafant ma ceinture et défait mon pantalon en le faisant glisser de ses doigts qui caressent mon cul au passage.
J'enlève une chaussure, en m'aidant de l'autre pied, et l'inverse, sans quitter sa bouche humide, puis je dégage mes jambes de mon pantalon écrasé sur mes talons.
il me tourne, et me couvre de baisers dans le dos, en descendant sur mes fesses.
Ses lèvres et sa langue parcourent toute la surface, de mes 2 lobes fessiers.
Il me mord de temps à autre, me faisant frissonner de plaisir.
Il se redresse et me couche sur le ventre, sur le lit et reprends ses caresses buccales sur mon cul.
Sa langue s'insinue entre mes fesses, il lèche tendrement mon œillet, qui se lubrifie à ce contact.
Il appuie plus fortement en me lapant l'anus, je gémis de plaisir sous cette caresse.
Il me lèche l'anus très longtemps, puis se relève en disant d'un ton très doux:"Je l'aime, ton cul!".
"Je me retourne et l'embrasse fougueusement".
je me redresse, et entreprend de le déshabiller, en le couvrant de baisers, à mon tour.
jusqu'au moment ou j'arrive sur son sexe en érection, et lui dis:"Laisses-toi faire!".
Je passe ma langue amoureusement sur toute sa longueur, en oubliant aucune petite parcelle de peau.
J'insiste longuement avec ma langue, autour, et sur son gland gonflé d'envie, puis je me hasarde sur ses testicules rasés, que j'englobe l'un après l'autre.
J'aime l'entendre souffler et gémir de plaisir, c'est le moment pour lui dire:"Je l'aime, ta queue!".
Il me relève et m'embrasse passionnément.
On s'écroule sur le lit, sans arrêter de s'embrasser, ce soir là, je n'ai plus de dégout sur cette pratique avec un homme, j'en ai envie tout simplement.
On se couvre avec les draps et reprenons nos baisers.
Puis nos lèvres se séparent, je me retourne pour me coller contre lui, le dos contre son torse, il m'enlace.
je lui dit:"Je suis bien comme ça".
"Moi aussi, on aurait du faire ça plus souvent".
"C'est un peu, ma faute, j'avoue que la tendresse avec un homme, ça me fait peur, et ça fait longtemps que j'ai pas fait l'amour à ma femme".
"J'y suis un peu pour quelque chose moi aussi, avec mon tempérament de gros baiseur".
"On s'est bien éclaté quand même! Le sexe, c'est super aussi!".
"Bien sur, t'as raison, mais j'aime ce genre de moment avec toi, également!".
"Justement, j'ai envie de rester comme ça encore un peu, sans baiser".
Il fait glisser ses doigts le long de mon corps, puis passe sa main dans mes cheveux, et me tourne le visage pour coller ses lèvres aux miennes.
Nos jeux de langues et de caresses sont interminablement délicieux.
Je me positionne au dessus de lui, toujours collé à sa bouche, mon bassin cherche son contact, et nos deux corps se soudent en une pénétration fabuleusement tendre.
Son gros sexe glisse très lentement dans mon anus, nos langues se lèchent, en mêlant nos salives.
il pose ses mains épaisses sur mes fesses, pour m'imprimer une progression profonde de sa queue.
Je respire en murmurant:"Oh Fabrice, continue comme ça, s'il te plait, doucement, fait moi l'amour!".
"Oui, moi aussi, j'en ai envie!".
Notre combat sexuel, tendre, opposant son gros sexe et mon anus, dure très longtemps, sans nous lasser.
Le plaisir nous gagne, très, très, lentement, je suis au bord de l'explosion d'un orgasme anal.
"Fabrice, je peux pas retenir le plaisir, je.....je..".
"Ahhhhh, tu peux jouir, je viens, ahhhhhhhhhhhhhh".
"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Nous jouissons simultanément, en nous embrassant fougueusement.
On a du mal à se décoller sexuellement.
Je descend vers son sexe pour le lécher et le pomper langoureusement.
Puis, je remonte vers sa bouche.
"Tourne toi". Me demande t'il.
Je me couche sur le coté, son magnifique gros sexe, me pénètre profondément et il me serre contre lui.
"Tu vas me manquer!". Me dit-il.
Je mêle mes bras aux siens, et réponds:"Toi aussi!".
Nous sombrons dans un léger sommeil, causé par notre jouissance commune.
Une petite trentaine de minutes après, je sors de ma sieste crapuleuse, réveillé par ses mains caressantes.
"Ca va?" demande Fabrice.
"Oui, un peu bizarre, quand même!".
"Pourquoi?".
"J'ai jamais vraiment fait l'amour avec un homme, pas aussi tendrement qu'avec toi! je pense pas t'aimer, mais j'ai envie de ça, ce soir".
"Pareil! Mais sentimentalement, je suis pas sûr, c'est nouveau pour moi, j'ai jamais été amoureux".
"Fabrice, s'il te plait! Non, pas ça!".
"T'inquiètes pas, ça va aller, de toute façon, je pars demain".
Il se remonte dans le lit pour approcher son sexe à demi dur à portée de mes lèvres.
"Fais lui l'amour encore!".
Je me lance dans une danse buccale, humide et passionnée, sur sa queue qui durcit à l'extrême.
Je lui lance alors, en le regardant dans les yeux, sans quitter sa bite, de ma langue:"Je l'aime ta queue!".
Il me laisse le sucer goulument encore longuement, puis.
Il me tourne sur le ventre et viens sur moi, son sexe reprends possession de mon anus, tendrement.
"Maintenant, c'est mon tour de lui faire l'amour, a ton cul!".
"Ohhhhhhhhhhhh, Fabrice, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii".
Il progresse en moi lentement mais puissamment, je retiens mon corps, avec mes mains, pour ne pas être poussé contre le mur.
Cette fois, l'orgasme me gagne très vite.
"Fabrice, je jouis déjà, aahhhhhhhhhhhhhh".
J'ajoute ensuite:"Ne t'arrêtes pas, encore!".
Il me fais l'amour analement dans cette position, encore un moment, puis il pivote en ayant ses pieds, du coté de ma tête.
Il pointe son gros sexe et me l'enfonce dans le cul encore, la position extrême me fait hurler de plaisir.
"Ahhhhhhhhhhhhh".
Fabrice lance assez fort:"Putain j'adore comme ça!".
il active son rythme, pour atteindre une vitesse proche de la défonce anale.
"Fabrice, je jouis, je jouis, ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
"Ahhhhhhhhhhh, moi aussiiiiiiiiiiiiiii".
Il se retire, très vite, gêné par la torsion imposé sur sa queue par mon anus, et viens vers moi, en s'asseyant près de mon visage.
Je me tourne sur le coté, il a saisit sa queue en faisant remonter le sperme coincé dans son conduit urinaire, je le prend en bouche pour le sucer amoureusement.
"Mais? T'as éjaculé!". Me dit-il.
"Tu t'en doutais pas? en m'entendant jouir? C'est un peu comme la position que tu aimes".
"J'y ai pas pensé!....... Embrasses-moi!".
Je me lève pour rejoindre ses lèvres, et nous nous enlaçons fougueusement.
On allonge nos corps, l'un face à l'autre, j'écarte mes jambes pour qu'il s'y engouffre, puis les referme sur son dos, en l'enlaçant de mes bras.
Nous sommes collés par nos langues qui se mêlent et s'entremêlent.
Il profite d'une dureté relative de son sexe pour sentir encore la chaleur de mon anus en m'embrassant.
Notre duo de corps se tourne, sans se démêler.
La tension amoureuse retombe et Fabrice se détend en fermant les yeux:"Je suis trop bien!".
Je suis sur lui, planté sur son sexe toujours dur.
Je vois qu'il est épuisé, prêt a s'endormir.
Je me blottis sur son torse et m'assoupit à mon tour.
Puis, je me réveille légèrement pour m'allonger à ses cotés, en chien de fusil.
Il se colle dans mon dos et me glisse à nouveau son sexe en disant:"J'aime dormir dans ton cul! Bonne nuit!".
"Ca tombe bien, j'aime moi aussi! Bonne nuit!".
Au petit matin, c'est Fabrice qui me réveille par ses baisers entre mes fesses, et sa langue humide sur mon anus.
"Alors la marmotte! Bien dormi!".
"Mmmmmmmmmmm, oui!".
Je lui tends les bras pour qu'il m'embrasse.
Comme la veille, je l'entoure de mes cuisses et il ne tarde pas à me pénétrer profondément.
Immanquablement, nous refaisons l'amour passionnément, pendant presque une heure.
Ses tendres assauts me donne plusieurs orgasmes anaux, il me dit:"Viens suis-moi!".
Il m'entraine dans la douche, et fais couler l'eau tiède, il me colle au mur, sous le jet et reprend son fourreau anal préféré, mon cul!
Il m'impose un rythme lancinant et vicieux, sortant de mon œillet, puis replongeant profondément, en me faisant gémir de plaisir.
C'est quand je suis pris d'un orgasme puissant, qu'il me rejoint en éjaculant son plaisir dans mon anus.
Je réalise que c'est notre dernier orgasme commun, mes yeux me brulent et s'embuent, je ne veux pas qu'il voit mon état et m'en veux d'avoir cette réaction.
Je penche la tête en arrière pour me couvrir le visage du jet d'eau, et effacer les larmes naissantes.
Il attrape le gel douche et s'en couvre la main, pour se laver en ma présence, de mon coté, je saisis un gant pour l'imiter.
Nous aurons des jeux amoureux, en utilisant le gant de toilette, plein de savon moussant, sur nos corps, son sexe de ma part et mon cul de la sienne.
Il sent arriver une envie d'uriner et me le dit pour que je le laisse sortir.
Je le regarde, en demandant:"Tu en as envie?".
"Tu veux bien?".
"Oui!".
Je stoppe le jet de douche, puis m'accroupis devant lui, les yeux fermés et le visage en arrière. Il gémit en dirigeant son sexe vers moi, et urine en visant mon visage.
Son liquide matinal, doré et chaud se déverse abondamment sur moi, en de nombreux jets incessants.
J'ai l'impression de recevoir une immense éjaculation, en entendant ses murmures de plaisir.
Puis, enfin, l'écoulement se termine.
Il me sourit, amoureusement, je lui renvoie son sourire.
Il rouvre le jet de douche et prend le gant, plein de mousse savonneuse, pour me laver le visage.
Il saisit mes joues entre ses mains, et me dit:"Tu ne réponds pas! S'il te plais!".
Je ne comprends pas ses mots. Il me regarde droit dans les yeux, pendant un instant, qui me semble éternel, son regard s'humidifie, puis il murmure:"Je t'aime!".
Nous finissons de nous laver.
Nous nous rhabillons, sans dire un mot, je suis perturbé par sa déclaration.
Il me raccompagne en voiture, près de mon domicile, puis voyant que la rue est déserte, il passe sa main derrière mon crâne et m'embrasse tendrement.
Nos lèvres s'écartent, nos yeux ne se quittent pas du regard,.
J'ouvre la porte derrière moi, et m'éloigne en reculant pour enfin me retourner sans regarder en arrière.
J'espère qu'il s'est remit de cette histoire, je ne voulais pas lui faire de mal.
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