Fabrice le nerveux 2

- Par l'auteur HDS Plaisir39 -
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Fabrice le nerveux 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fabrice le nerveux 2
Lors de notre escapade en bord de mer, on a pris un peu plus de temps pour se connaitre.
J'ai su qu'il se prénommait Fabrice, on a convenu de changer encore d'endroit à cause des incommodités, et du temps perdu pour s'y rendre.
Il m'a néanmoins fait part de son envie de recommencer le lendemain, si je pouvais me libérer.
Donc, après une nuit agitée par des souvenirs pervers, je me réveille et me rend à mon travail.
J'y avais réfléchi pendant la nuit, et trouvé une solution simple à notre souci.
je mets mon plan en place en l'appelant dans la matinée.
"Allo, Fabrice, c'est P..., tu te souviens du Sexshop ou tu m'as baisé?".
"Oui, bien sûr!".
"En fait, je bosse pas loin, on se donne RDV au coin de la rue du Sexshop, à midi, OK?".
"Super! J'ai hâte!".
"Moi aussi, à toute à l'heure!".
Avant de quitter l'appartement, j'ai emporté les 3 dernières doses de gel qu'il me restait, bien cachée de ma femme, et décidé à me procurer un tube neuf en supermarché, si la relation dure.
Excité toute la matinée, j'ai du mal à me concentrer sur mon travail, jusqu'à l'heure tant attendue.
A midi, il est déjà au coin de la rue, piétinant et guettant mon arrivée.
De loin, je vois qu'il m'aperçois, je lui fait signe de me rejoindre.
Je lui propose de nous acheter des sandwichs, il refuse disant qu'on y pensera après, vu qu'il est pressé de me baiser, je ris et l'entraine à mon lieu de travail.
Je ferme la porte derrière lui, il regarde les lieux et me demande:"T'es seul?".
"Oui, c'est mon commerce!".
"Super, et tu fermes à qu'elle heure?".
"De Midi à 14 heures et 19h le soir".
"Humm, intéressant ça!".
Je l'entraine dans une pièce du fond, à l'abri des regards, très vite, il se jette sur moi en me caressant les fesses.
"Tu m'as manqué salope! Hummmm!".
Il pose ma main sur son sexe qui déforme son pantalon, en ajoutant:"Regarde comme elle à envie!".
Je palpe fermement son membre dur, pendant qu'il fait tomber son vêtement à ses pieds, puis s'assied sur le tabouret, derrière lui.
"Suces-là, montres-moi comment tu la veux!".
"Mmmm, oh oui je la veux, encore, toujours!".
J'enfonce directement ma bouche profondément sur son pieu, je connais ses gouts et je sais que cela va virer très vite en gorge profonde.
Je me force plusieurs fois la gorge jusqu'à l'étouffement, en couvrant sa bite de salive.
"Humm, c'est bon tu me suces de mieux en mieux!".
Je continue ma fellation perverse, jusqu'à ce qu'il m'interrompe:"J'ai trop envie de t'enculer, maintenant, salope! Allez prépares toi!".
Je me déshabille devant lui, puis lui sort une dose de gel.
Il s'en badigeonne la queue et mon anus, puis me positionne devant lui appuyé sur un meuble à mi-hauteur.
"Allez, enfonces-toi sur ma queue! Je te laisse faire!".
Je recule mes fesses jusqu'à sentir son gland qu'il dirige vers mon anus, je pousse progressivement pour entamer sa pénétration.
"Oufff, tu es toujours aussi gros, c'est dur, mais j'adore ça!".
"C'est pour ça que j'aime t'enculer moi aussi, allez rentres la, dans ton cul, plus vite, j'ai envie de te défoncer!".
Comme les premières fois, le passage de son gland est plus difficile, il me faut attendre que mon anus atteigne son ouverture maximale.
A force de petits mouvements en arrière, son gland investit ma collerette, et trouve le passage pour aller s'écraser d'un trait jusqu'à mon coccyx.
"Ahhhhhhhhhhhh, c'est fort Fabrice, tu es gros, ohhh, j'adore ta queue!".
"Ouaaaaaaaais, je vais te défoncer maintenant! ma salope!".
Il joint les geste aux paroles en me pénétrant puissamment, j'ai du mal à tenir ma position sous ses coups de butoir.
Très vite, les sensations anales deviennent de plus en plus fortes, et je crie.
"Ahhh, Fabrice, tu me défonces bien, ahhhh, ahhhh, ahhhh".
"Ca te plait ça, petite pute! dis-moi que t'es une pute!".
"Tout ce que tu veux! Oui je suis une pute! Ahhh".
Plus on se rencontre et plus il se lâche verbalement.
"Oui, t'es ma pute, ma salope, je veux t'enculer quand je veux!".
"Oui, quand tu veux! Ahh".
Il m'encule profondément, frénétiquement, pendant un bon quart d'heure en jouant de mon anus par moment puis reprenant un rythme éfréné.
J'ai pris deux énormes orgasmes successifs, quand il me prévient de l'arrivée de sa jouissance.
"Tu veux mon foutre, salope?".
"Oui, je le veux!".
Il sort de mon cul et s'appuie sur le tabouret.
"Tiens, avales tout!".
Je me jette sur sa grosse bite gonflée de sang et m'empale profondément.
Au moment ou j'écrase ma glotte contre son gland, je sens son éjaculation couler dans ma bouche, je recule légèrement ma gorge pour laisser la place à son sperme, qui me remplit de sa chaleur.
"Ahhhhhh, prend tout salope, régales-toi! Hummmmm".
J'avale progressivement ses éjaculations au fur et à mesure qu'elle me parviennent dans la gorge.
"Oh putain, c'est bon aussi de te jouir dans la bouche!".
Je tiens sa grosse queue fermement, en retirant ma bouche, puis je le regarde dans les yeux en léchant sa hampe de bas en haut, et lui dit:"J'adore baiser avec toi!".
"Moi aussi!".
Voyant que j'ai une couverture pliée, sur le meuble qui m'a servi d'appui, pour encaisser sa sodomie, il la prends et l'étale au sol.
Il se couche, et me tends les bras, je l'enfourche avec plaisir.
Il dirige son sexe vers mon cul et me pénètre de sa queue pendant qu'elle est encore dure.
Je lui demande:"Tu te rends compte quand même, que ça fait 3 jours consécutifs, qu'on baise ensemble!".
"Oui, ça te déranges?".
"Non, mais on dirait que tu as toujours envie de baiser!".
"Je sais, c'est mon souci, quand j'avais une copine, elle refusait souvent, mais j'allais toujours baiser des mecs pour compenser, pas toujours avec succès, c'est sûr!".
"Tu préfères quoi? les mecs ou les filles?".
"J'ai pas de préférence, je baise tout ce qui me plait! mais c'est plus facile de rencontrer des mecs! C'est peut être plus excitant aussi".
"Pour la facilité, c'est vrai! y a pas photo".
"Bon, ça me pose des problèmes pour les relations durables, je me lasse souvent parce que je suis frustré, et puis, y a pas beaucoup de mecs avec qui ça se passe bien, enfin, pas comme avec toi!".
Il ajoute:"Tu es sensible de l'anus, c'est excitant de te baiser et te faire jouir!""Merci, mais j'ai une vie avec ma femme, moi aussi, je sais pas si je pourrai assurer! Même si j'adore baiser avec toi aussi".
Je me rends compte que je n'ai pas cessé d'aller et venir langoureusement sur son sexe.
Un mouvement plus profond me fait gémir de plaisir.
"Ohhhh, dis-moi, tu débandes pas?".
"Non, ça m'arrive de temps en temps, et je crois qu'on va recommencer!".
Il pose ses mains de chaque coté de mes hanches et entre dans un mouvement de pénétration, d'abord lente, puis de plus en plus rapide.
Je me cambre en arrière de plaisir.
"Ahhh, t'es un dingue, Fabrice!".
"Et toi t'es une salope!".
"Oui, je suis ta salope! Encore!".
"Tu sais que tu vas prendre cher, je suis pas près de jouir tout de suite!".
"Oh, t'es fou!".
Il me demande de me coucher sur le ventre et m'encule comme une pute en m'empalant de tout son poids, il me fait gueuler de jouissance anale.
Les mots crus sont lâchés à un rythme soutenu, il me relève pour m'enculer en levrette.
"Humm, ça me rappelle la première fois que je t'ai enculé! Tu te rappelles?".
"Ahhhh, Ahhhh, Ahhhh, Ahhhh, Ouiii!".
Quelques minutes ensuite, il me tourne sur le dos, en me relevant les jambes, pour me défoncer encore à fond.
Comme je crie mon plaisir, je souhaite que les voisins ne puissent pas m'entendre, surtout que lui aussi, se lâche en me déversant ses insultes à haute voix.
Les orgasmes anaux se succèdent, il me tourne sur le coté pour me prendre en posant ses mains sur le coté de ma cuisse, puis il se couche derrière moi sans cesser sa folle pénétration.
Au bout de quelques minutes encore, il pivote en me gardant planté sur sa grosse queue, et je me retrouve sur lui, à califourchon, lui donnant une vue sur mon cul rempli par son membre.
"Vas-y, baise-moi, salope!".
C'est à mon tour de reprendre le rythme énergique de sa défonce anale, la position aide à une pénétration maximale, je gueule à chaque fois qu'il cogne mon coccyx.
Le plaisir est insoutenable.
"T'es un dingue, j'en peux plus, Fabrice!".
"Allez! T'arrêtes pas, encore, salope! Continue, jusqu'au bout".
"Ouhhh, Ouhhh, Ouhhh, Ouhhh".
Ma chevauchée est interminable, il m'avait prévenu, il me faudra le baiser dans cette position un bon quart d'heure de plus avant qu'il éjacule enfin dans mon cul.
Tout de suite après, je m'écroule sur le coté.
"Tu m'as tué! Je suis mort! Je sens plus mon cul".
"Humm, c'était génial, t'as assuré ma petite salope!".
Je regarde l'heure et lui dit qu'il ne faut pas trainer pour manger, je vais bientôt rouvrir.
Après notre collation, j'ai juste le temps d'être à l'heure pour reprendre mon activité, je mettrai un moment pour récupérer.
Avant qu'il me quitte, on a pensé que c'était le meilleur endroit pour nos ébats, et qu'il pourrai venir suivant ses envies en respectant mes horaires.
Il n'était pas le premier que j'ai fait venir ici, mais l'autre ne venait pas souvent et uniquement pour que je le suce, j'en ai d'ailleurs parlé à Fabrice.
Je me retrouverai un soir avec les deux à satisfaire, en bravant le moment gênant de la présentation.
Il m'a raconté qu'il allait toujours au Sex-Shop, pendant notre relation, et qu'un jour il est tombé sur un de ses collègues de travail qui baisait un autre mec.
La gêne passée, ils ont convenu de garder leur secret, puis de retour au boulot, ils ont reparlé de cette rencontre, en convenant que l'homme qu'ils ont enculé était banal.
C'est ainsi qu'il lui a parlé de moi, plus d'un mois ou 2 avant notre séparation, il viendra plutôt en soirée avec lui sans me prévenir.
Son complice profitera de moi 5 fois dans les dernières semaines de notre liaison, toujours avec Fabrice, puis, il est revenu seul mais beaucoup moins souvent, puis il n'est plus revenu suite à un événement dont je reparlerai.
Je raconterai peut-être ces ébats qui furent très chauds.
Donc l'après-midi fut laborieuse, entre ma fatigue, et mes pensées pleines de souvenirs pervers, j'avais du mal à être au mieux de mes possibilités.
Quand enfin l'heure finale approchait vers 18h45, je vois Fabrice entrer dans mon commerce, et faire semblant de regarder mes produits à la vente.
5 minutes avant la fermeture, le dernier client sort de la boutique.
Je vais aussitôt vers Fabrice en lui disant:"Qu'est-ce que tu fais là?, ne me dis pas que tu veux encore baiser?".
"Si, malheureusement!".
"Euh! C'est trop là!".
Il m'ignore et regarde en haut de l'escalier qui mène au stock.
"Qu'est-ce qu'il y à, là-haut?".
"Des pièces pour ranger le stock, pourquoi?".
"Ferme et rejoins-moi!".
Je ferme l'entrée, pendant que j'entends des bruits de rangement.
J'arrive à ses cotés et remarque qu'il a fait de la place sur une table, ou j'entreposais du matériel.
Il me prend par les hanches et me couche avec le ventre sur la table et dégrafe mon pantalon, il crache sur mon anus, puis il déballe sa grosse queue déjà dure, pour me sodomiser encore.
Etonnement, il a moins de mal pour me pénétrer, mais je dois mordre mon bras pour supporter sa présence dans mon cul.
"Fabrice! Tu me rends dingue!".
"Je sais, désolé, plus je te baise, plus j'ai envie! j'adore ton cul!".
Il me défonce tout de suite sans discontinuer pendant de longues minutes puis me tourne sur le dos, toujours sur la table et proférant ces mots crus que j'ai appris a aimer.
Les sodomies que j'ai subi quelques heures plus tôt, ont sensibilisé mon anus, donc l'orgasme est arrivé beaucoup plus rapidement, mes sécrétions anales aussi.
Il éjacule enfin au bout d'une bonne demi-heure de défonce anale.
Je le raccompagne à la porte, en espérant qu'il me laissera un peu tranquille, mais il dira:"Bon, je passe peut être demain, ça te va?".
Je lui fais les gros yeux, mais ne réponds pas, il sourit et s'en va.
Le lendemain, il viendra vers 18h45, et respectera cet horaire 3 à 5 fois par semaine, sauf quant il venait entre midi et 14 h en me prévenant la veille pour m'arranger au niveau des excuses.
On ne se voyait pas les week-ends, enfin presque pas, il lui est arrivé de m'enculer dans les toilettes d'un fast-food. Il m'a aussi baisé dans une maison destinée à la démolition.

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