FACE : La suite des événements
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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FACE : La suite des événements
Je laissais en réalité la porte entrouverte pour continuer à l'entendre. Je voulais dégager une impression de distance hautaine, mais gardais sa sécurité en tête.
Je sortis mon sac et commençais ma préparation. Après un moment d'hésitation, j'optais pour une tenue alternant latex et cuir. J'aurais le temps de rebasculer vers une dynamique “épouse dominante” plus tard, l'extrémité de son bondage actuel tendait plutôt vers une dimension “dominatrix de donjon” que je souhaitais assumer à fond.
Je commençais par mon maquillage, appuyant particulièrement sur le contour des yeux et sur les lèvres rouge vifs… pas clown ni pute, mais clairement plus marqué que dans la vie de tous les jours. J'optais pour un chignon strict, qui irait très bien avec la tenue de domina bdsm classique que j'avais choisis.
J'enfilais ensuite ma tenue composée d'un corset en cuir noir, d'une jupe courte en latex d'un style “écolière”, de gants assortis et de grandes bottes à talon montante jusqu'au dessus des genoux.
J'enfilais sous la jupette un gode ceinture double vibrant, qui glissa sans difficulté dans ma chatte prête à l'accueillir. Je découvris au passage que la séance de torture avait eu son petit effet, un léger filet de cyprine coulant littéralement le long de ma jambe.
J'accrochais à ma ceinture les 2 télécommandes à ma disposition, l'une lui envoyant actuellement des chocs électriques dans le fondement et l'autre pour mon gode ceinture, avant de sortir sans faire de bruit de la salle de bain.
Je me figeais immédiatement.
Au bout du couloir, mon masochiste de mari était en train de grogner à intervalle régulier, au rythme des impulsions électriques. Il avait réussi à se calmer, se concentrant sur sa respiration le reste du temps. Cela se traduisait par une respiration rauque régulière et continue, entrecoupé d'un sanglot occasionnel ou d'un grognement de douleur… les chocs liés à la tige dans son penis était probablement la source de ses pleurs.
Mais ce n'est pas ça qui me figea sur place.
La source de mon hébétement soudain, c'était plutôt la réceptionniste blonde qui était au bout du couloir, en train de fixer mon soumis.
Mon esprit fut traversé par dix sentiments contradictoires. De la colère, de la gêne, de l'embarras. Puis une franche honte, dévastatrice… qu'est ce qu'on était en train de foutre, c'était méprisable, dégradant… puis de la colère à nouveau : pour qui elle se prend celle là ?!
Puis un calme assourdissant… elle était encore là. Certe figée mais peut-être… intriguée ? Voire excitée ?
L'embarrat avait laissé place à de l'appréhension. Excitation. Hésitation… oh et puis merde, qu'est ce que je risque après tout !
“Ahem”
Je m'étais installé au milieu du couloir, les bras croisés sur ma poitrine qui tentait d'exploser hors de mon corset, un air vaguement amusé sur le visage.
Elle se tourna, rouge écarlate. Rouge, mais rouge… j'ai cru qu’elle ne respirerai plus jamais. Puis elle explosa en un flot de paroles confuses :
“Je… madame avait demandé le service de couverture… pardon, je ne voulais pas… j’ai toqué mais… je pensais que vous étiez au restaurant… mon dieu… je”
Elle s’arrêta soudain de parler et se tourna vers lui, qui venait de se débattre et de faire trembler sa prison. Il allait falloir que j’y retourne, il n’en pouvait plus…
“t'inquiète pas chérie, il ne t'entend pas.”
Dis-je simplement en pointant son casque anti-bruit, un air franchement goguenard sur le visage. Une fois la gêne passée, je m'amusais franchement.
“encore pardon madame”
Dit-elle en marchant dans ma direction. Enfin dans celle de la sortie qui était derrière moi pour être plus exacte.
“ne t'inquiète pas va, c'est juste un jeu entre nous… une manière d'épicer notre vie à deux. J'aurais tout aussi bien pu me trouver à sa place ce soir, et j'aurais finis par adorer ça. Comme il adore ça”
Un grognement lui échappa, suivi d’un sanglot.
Enfin, il adorera quoi…”
Elle s'arrêta, hésitante. La curiosité la terrassait, ça transpirait sur son visage. J’acquis à ce moment là 2 convictions :
Je ne m'étais pas trompé sur son tatouage, c'était réellement une coquine.
Au fond d’elle, elle n’avait aucune envie de quitter cette chambre.
Le poisson avait mordu, à moi de le ferrer.
“ça t’intrigues, n'est ce pas?”
Hésitation, rougeur.
“… oui.
Plus de madame ?
Nouvelle rougeur.
Pardon madame.
T'inquiète, je te charrie. Je suis pas une domina à qui on file un billet contre une fessée, on pratique pas le maîtresse et le madame à outrance ici.
…
… tu as finis ton tour des chambres?”
Hésitation.
“oui, c'était la dernière.
Tu veux rester en découvrir un peu plus? Il a son masque et son casque, ce sera notre secret.
Je devrais peut-être…”
Je tentais le tout pour le tout.
Oui, tu devrais probablement. C'est ce que je lui ai dit quand il m’à annoncé ses penchants. Des “peut-etre”, des “probablement”, “on devrait”, “il faudrait”... et puis j'ai finis par y aller. Et je regrette rien, bien au contraire.”
Petit clin d’œil.
Fais comme tu le sens chérie…”
Je retournais dans la pièce, mais tournais au passage le fauteuil en direction de ma scène de torture. Comme une invitation.
Puis sans regarder en arrière, je me glissais derrière mon mari et tirais sur la sangle de son bâillon.
Le penis gag s'enfonça dans sa gorge sans opposer de résistance. Merde, cette bosse apparente dans sa gorge était tellement impressionnante… je sentis mon vagin se contracter sur la partie immergée de mon gode ceinture. Je relâchais la poignée et jetais un œil en arrière : elle était installée dans le fauteuil.
Je me fis une réflexion immédiatement : sa position me dirait la suite à donner. Si elle avait les jambes écartées, le regard fuyant, les bras posés le long des accoudoirs ou carrément dans son dos : soumise, s’imaginant être immobilisée. Si elle avait les jambes ou les bras croisés, le dos droit, le regard provoquant : dominante, participant indirectement à la séance de torture.
Après observation, la réalité était plus nuancée : bras le long des accoudoirs, mais un regards fier, presque de défi : elle était encore intimidée par la situation, excitée par sa propre fragilité/inexpérience, mais voulant tout de même apprendre et tenter sa chance à la domination. Bien.
Je posais mon doigt sur mes lèvres, en un “chut” silencieux appuyé d'un clin d'œil.
Puis, j'enlevais le casque de mon soumis.
Tu t'es bien reposé mon chéri?”
Grognement, puis franc sanglot… son masque était trempé.
“Tu m'as l'air épuisé…”
Il hocha la tête, autant que son bondage lui permettait. Je tirais à nouveau sur son bâillon pour le réduire au silence de manière préventive.
Ça fait mal quand je fais ça?
J’appuyais sur un bouton de la télécommande qui envoya une décharge plus haute que les autres dans son fondement. Je vis sa gorge se contracter sur le renflement qui se dessinait au niveau de son collier.
Ou ça ?
Autre bouton, c'était maintenant la tige de son penis qui s'électrifia.
Je relâchais la pression sur son bâillon et il cria, pleura, se débattit, supplia… de manière inintelligible bien entendu.
Je me retournais vers ma stagiaire… elle était subjuguée.
“Si tu te calmes, je te libère de ton bâillon. Si tu promets de ne pas crier ou te plaindre, d’accord ?”
Je lui flattait la chevelure en lui parlant.
Il hochait la tête aussi fort que ses attaches lui permettait.
Je commençais par arrêter les chocs electriques. Puis j’enlevais la sangle et, pour la première fois depuis 15 minutes, lui libérait la bouche. Il sanglota en silence, la mâchoire encore immobilisée. Je glissais ma langue dans sa bouche, le long de ses lèvres… je lui caressais les cheveux, lui mordillait le lobe de l’oreille… je libérais ses tétons des pinces et des points, et les tordus doucement.
Il réussit à se moment à fermer la bouche et serra les dents en grognant. Il ne pleurait plus, il avait recommencé à travailler sur sa respiration… inspiration, expiration, inspiration, expiration… il était en train de s'évader, il fallait que je le raccroche.
Je léchais une larme qui avait coulé sur sa joue de la pointe de ma langue.
Tu as très bien tenu mon chéri… je suis si fière… et toi, tu es fière de moi?
… oui” réussit-il a articuler, “pitié je…
Chuuuut” Je posais un doigt sur sa bouche, “il faut que tu tiennes mon chéri, on y arrive… Tu l'as mérité… est ce que tu veux ta récompense?
Oh oui, s'il te plais je…
Chut je te dis” plus ferme cette fois, avec une tortion d'un téton, “oui ou non, tu veux qu'on baise?”
Oh oui!
Good boy…”
Je fouillais son oreille avec ma langue, le faisant haleter.
Je me relevais et regardais ma stagiaire. Sa vue me subjugua.
Je ne m'étais pas trompé.
Elle était penchée en arrière sur le fauteuil, les yeux figés dans les miens, une main s'activant dans sa culotte.
Mon vagin se mit littéralement à palpiter.
Je me levais, traversais la pièce et vint me poser droit devant elle, les mains sur les hanches.
“Interdiction de jouir sans mon autorisation” lui dis-je avec un air autoritaire.
Elle hocha la tête.
“Oui ma chérie” j'entendis dans mon dos.
“Toi ta gueule, je t'ai rien demandé!”
Je pu sentir sa confusion sans même le regarder. Mais je m'en foutais. Je me penchais en avant, posa une main sur sa joue, ancra son regard dans le sien quelque seconde, et l'embrassa a pleine bouche.
Nos souffles se mêlèrent, nos dents s'entrechoquèrent… je posais une main sur la sienne qui se caressait de plus belle, comme pour l'encourager.
Puis, je me détachait complètement d'elle, coupant court à ce moment. Sans un regard en arrière, je posais une télécommande dans sa main libre et retourna m'occuper de mon mari qui attendait sagement.
Sans préambule, je tirais sur son plug. Il poussa un petit cri lorsque sa rondelle lâcha et que l'objet fut expulsé. Puis un soupir de soulagement.
Je posais ma main sur son penis encagé, avec ses bourses tirées vers le bas par des poids et sa tige enfoncée jusqu'à la garde. Mais après une vraie fausse seconde d'hésitation, je l’enlevais sans toucher à sa prison.
“non, je vais finalement laisser ça!”
Il semblait confus. Il continuait à se faire avoir s'était affligeant.
“J'ai dit qu'on allait baiser mon chéri, je n'ai jamais dit qui allait baiser qui…”
Et soudain il comprit.
“Non attend… s'il te plais attends!
J'ai dis pas de supplications…
Attend pitié, je ferais ce que tu…”
Je coupais court en renfonçant le penis gag entièrement dans sa bouche et en l’attachant. Il se ruait dans sa prison métallique, balançant sa tête de droite à gauche en essayant de se débarrasser de cet encombrant. Tout en badigeonnant mon gode de lubrifiant, je lui expliquais la situation.
Quoi, tu pensais que c'était malin de laisser un fichier Word sur l'ordi avec tes idées si tu avais gagné ? Ce que tu prevoyais de me faire subir? Les gorges profondes, les humiliations ? Mais c'est moi qui ai gagné mon chéri…”
Je détachais le bâillon pour le laisser respirer, mais le refixa a mi-chemin comme la fois précédente.
Ma stagiaire gémissait derrière moi. Elle avait abandonné toute velléité de discrétion. Tant mieux.
Thomas eu l’air de s'en rendre compte, mais il était trop occupé à me supplier à travers son bâillon de ne pas le sodomiser. Je positionnais mon gode contre sa rondelle et me retournais vers notre troisième membre :
“qu'est ce que tu en penses beauté, il mérite ma compassion ?”
Elle me regarda en gémissant, puis s’arrêta une seconde pour annoncer d’une voix ferme et sans équivoque :
“Non, baise-le.”
Thomas leva la tête, maintenant convaincu que nous n’étions plus seuls. Je ne lui laissais pas le temps d’y réfléchir plus que ça. Je revoyais soudainement une de ses vidéos préférées trouvée sur son ordinateur, ou une femme attachée dans une position similaire se faisait prendre la bouche par un homme, le vagin par une machine et le cul par une femme. Je repensais à la phrase de l'homme, alors qu'il enfonçait sa bite dans la gorge de sa soumise complètement “remplie” de tous les côtés.
Avec sa tige, son penis gag… alors que je positionnais mon gode ceinture sur sa rondelle, je tirais sur son bâillon pour qu'il s'enfonce dans sa gorge et chuchotais dans son oreille :
“Airtight baby…”
Et je m'enfonçais lentement en lui jusqu'à la garde. Lorsque je butais contre mon pubis, le gode se mis intégralement à vibrer : Alice, ma stagiaire, avait commencé à avec la télécommande…
A suivre, dans cet univers où un autre...
Je sortis mon sac et commençais ma préparation. Après un moment d'hésitation, j'optais pour une tenue alternant latex et cuir. J'aurais le temps de rebasculer vers une dynamique “épouse dominante” plus tard, l'extrémité de son bondage actuel tendait plutôt vers une dimension “dominatrix de donjon” que je souhaitais assumer à fond.
Je commençais par mon maquillage, appuyant particulièrement sur le contour des yeux et sur les lèvres rouge vifs… pas clown ni pute, mais clairement plus marqué que dans la vie de tous les jours. J'optais pour un chignon strict, qui irait très bien avec la tenue de domina bdsm classique que j'avais choisis.
J'enfilais ensuite ma tenue composée d'un corset en cuir noir, d'une jupe courte en latex d'un style “écolière”, de gants assortis et de grandes bottes à talon montante jusqu'au dessus des genoux.
J'enfilais sous la jupette un gode ceinture double vibrant, qui glissa sans difficulté dans ma chatte prête à l'accueillir. Je découvris au passage que la séance de torture avait eu son petit effet, un léger filet de cyprine coulant littéralement le long de ma jambe.
J'accrochais à ma ceinture les 2 télécommandes à ma disposition, l'une lui envoyant actuellement des chocs électriques dans le fondement et l'autre pour mon gode ceinture, avant de sortir sans faire de bruit de la salle de bain.
Je me figeais immédiatement.
Au bout du couloir, mon masochiste de mari était en train de grogner à intervalle régulier, au rythme des impulsions électriques. Il avait réussi à se calmer, se concentrant sur sa respiration le reste du temps. Cela se traduisait par une respiration rauque régulière et continue, entrecoupé d'un sanglot occasionnel ou d'un grognement de douleur… les chocs liés à la tige dans son penis était probablement la source de ses pleurs.
Mais ce n'est pas ça qui me figea sur place.
La source de mon hébétement soudain, c'était plutôt la réceptionniste blonde qui était au bout du couloir, en train de fixer mon soumis.
Mon esprit fut traversé par dix sentiments contradictoires. De la colère, de la gêne, de l'embarras. Puis une franche honte, dévastatrice… qu'est ce qu'on était en train de foutre, c'était méprisable, dégradant… puis de la colère à nouveau : pour qui elle se prend celle là ?!
Puis un calme assourdissant… elle était encore là. Certe figée mais peut-être… intriguée ? Voire excitée ?
L'embarrat avait laissé place à de l'appréhension. Excitation. Hésitation… oh et puis merde, qu'est ce que je risque après tout !
“Ahem”
Je m'étais installé au milieu du couloir, les bras croisés sur ma poitrine qui tentait d'exploser hors de mon corset, un air vaguement amusé sur le visage.
Elle se tourna, rouge écarlate. Rouge, mais rouge… j'ai cru qu’elle ne respirerai plus jamais. Puis elle explosa en un flot de paroles confuses :
“Je… madame avait demandé le service de couverture… pardon, je ne voulais pas… j’ai toqué mais… je pensais que vous étiez au restaurant… mon dieu… je”
Elle s’arrêta soudain de parler et se tourna vers lui, qui venait de se débattre et de faire trembler sa prison. Il allait falloir que j’y retourne, il n’en pouvait plus…
“t'inquiète pas chérie, il ne t'entend pas.”
Dis-je simplement en pointant son casque anti-bruit, un air franchement goguenard sur le visage. Une fois la gêne passée, je m'amusais franchement.
“encore pardon madame”
Dit-elle en marchant dans ma direction. Enfin dans celle de la sortie qui était derrière moi pour être plus exacte.
“ne t'inquiète pas va, c'est juste un jeu entre nous… une manière d'épicer notre vie à deux. J'aurais tout aussi bien pu me trouver à sa place ce soir, et j'aurais finis par adorer ça. Comme il adore ça”
Un grognement lui échappa, suivi d’un sanglot.
Enfin, il adorera quoi…”
Elle s'arrêta, hésitante. La curiosité la terrassait, ça transpirait sur son visage. J’acquis à ce moment là 2 convictions :
Je ne m'étais pas trompé sur son tatouage, c'était réellement une coquine.
Au fond d’elle, elle n’avait aucune envie de quitter cette chambre.
Le poisson avait mordu, à moi de le ferrer.
“ça t’intrigues, n'est ce pas?”
Hésitation, rougeur.
“… oui.
Plus de madame ?
Nouvelle rougeur.
Pardon madame.
T'inquiète, je te charrie. Je suis pas une domina à qui on file un billet contre une fessée, on pratique pas le maîtresse et le madame à outrance ici.
…
… tu as finis ton tour des chambres?”
Hésitation.
“oui, c'était la dernière.
Tu veux rester en découvrir un peu plus? Il a son masque et son casque, ce sera notre secret.
Je devrais peut-être…”
Je tentais le tout pour le tout.
Oui, tu devrais probablement. C'est ce que je lui ai dit quand il m’à annoncé ses penchants. Des “peut-etre”, des “probablement”, “on devrait”, “il faudrait”... et puis j'ai finis par y aller. Et je regrette rien, bien au contraire.”
Petit clin d’œil.
Fais comme tu le sens chérie…”
Je retournais dans la pièce, mais tournais au passage le fauteuil en direction de ma scène de torture. Comme une invitation.
Puis sans regarder en arrière, je me glissais derrière mon mari et tirais sur la sangle de son bâillon.
Le penis gag s'enfonça dans sa gorge sans opposer de résistance. Merde, cette bosse apparente dans sa gorge était tellement impressionnante… je sentis mon vagin se contracter sur la partie immergée de mon gode ceinture. Je relâchais la poignée et jetais un œil en arrière : elle était installée dans le fauteuil.
Je me fis une réflexion immédiatement : sa position me dirait la suite à donner. Si elle avait les jambes écartées, le regard fuyant, les bras posés le long des accoudoirs ou carrément dans son dos : soumise, s’imaginant être immobilisée. Si elle avait les jambes ou les bras croisés, le dos droit, le regard provoquant : dominante, participant indirectement à la séance de torture.
Après observation, la réalité était plus nuancée : bras le long des accoudoirs, mais un regards fier, presque de défi : elle était encore intimidée par la situation, excitée par sa propre fragilité/inexpérience, mais voulant tout de même apprendre et tenter sa chance à la domination. Bien.
Je posais mon doigt sur mes lèvres, en un “chut” silencieux appuyé d'un clin d'œil.
Puis, j'enlevais le casque de mon soumis.
Tu t'es bien reposé mon chéri?”
Grognement, puis franc sanglot… son masque était trempé.
“Tu m'as l'air épuisé…”
Il hocha la tête, autant que son bondage lui permettait. Je tirais à nouveau sur son bâillon pour le réduire au silence de manière préventive.
Ça fait mal quand je fais ça?
J’appuyais sur un bouton de la télécommande qui envoya une décharge plus haute que les autres dans son fondement. Je vis sa gorge se contracter sur le renflement qui se dessinait au niveau de son collier.
Ou ça ?
Autre bouton, c'était maintenant la tige de son penis qui s'électrifia.
Je relâchais la pression sur son bâillon et il cria, pleura, se débattit, supplia… de manière inintelligible bien entendu.
Je me retournais vers ma stagiaire… elle était subjuguée.
“Si tu te calmes, je te libère de ton bâillon. Si tu promets de ne pas crier ou te plaindre, d’accord ?”
Je lui flattait la chevelure en lui parlant.
Il hochait la tête aussi fort que ses attaches lui permettait.
Je commençais par arrêter les chocs electriques. Puis j’enlevais la sangle et, pour la première fois depuis 15 minutes, lui libérait la bouche. Il sanglota en silence, la mâchoire encore immobilisée. Je glissais ma langue dans sa bouche, le long de ses lèvres… je lui caressais les cheveux, lui mordillait le lobe de l’oreille… je libérais ses tétons des pinces et des points, et les tordus doucement.
Il réussit à se moment à fermer la bouche et serra les dents en grognant. Il ne pleurait plus, il avait recommencé à travailler sur sa respiration… inspiration, expiration, inspiration, expiration… il était en train de s'évader, il fallait que je le raccroche.
Je léchais une larme qui avait coulé sur sa joue de la pointe de ma langue.
Tu as très bien tenu mon chéri… je suis si fière… et toi, tu es fière de moi?
… oui” réussit-il a articuler, “pitié je…
Chuuuut” Je posais un doigt sur sa bouche, “il faut que tu tiennes mon chéri, on y arrive… Tu l'as mérité… est ce que tu veux ta récompense?
Oh oui, s'il te plais je…
Chut je te dis” plus ferme cette fois, avec une tortion d'un téton, “oui ou non, tu veux qu'on baise?”
Oh oui!
Good boy…”
Je fouillais son oreille avec ma langue, le faisant haleter.
Je me relevais et regardais ma stagiaire. Sa vue me subjugua.
Je ne m'étais pas trompé.
Elle était penchée en arrière sur le fauteuil, les yeux figés dans les miens, une main s'activant dans sa culotte.
Mon vagin se mit littéralement à palpiter.
Je me levais, traversais la pièce et vint me poser droit devant elle, les mains sur les hanches.
“Interdiction de jouir sans mon autorisation” lui dis-je avec un air autoritaire.
Elle hocha la tête.
“Oui ma chérie” j'entendis dans mon dos.
“Toi ta gueule, je t'ai rien demandé!”
Je pu sentir sa confusion sans même le regarder. Mais je m'en foutais. Je me penchais en avant, posa une main sur sa joue, ancra son regard dans le sien quelque seconde, et l'embrassa a pleine bouche.
Nos souffles se mêlèrent, nos dents s'entrechoquèrent… je posais une main sur la sienne qui se caressait de plus belle, comme pour l'encourager.
Puis, je me détachait complètement d'elle, coupant court à ce moment. Sans un regard en arrière, je posais une télécommande dans sa main libre et retourna m'occuper de mon mari qui attendait sagement.
Sans préambule, je tirais sur son plug. Il poussa un petit cri lorsque sa rondelle lâcha et que l'objet fut expulsé. Puis un soupir de soulagement.
Je posais ma main sur son penis encagé, avec ses bourses tirées vers le bas par des poids et sa tige enfoncée jusqu'à la garde. Mais après une vraie fausse seconde d'hésitation, je l’enlevais sans toucher à sa prison.
“non, je vais finalement laisser ça!”
Il semblait confus. Il continuait à se faire avoir s'était affligeant.
“J'ai dit qu'on allait baiser mon chéri, je n'ai jamais dit qui allait baiser qui…”
Et soudain il comprit.
“Non attend… s'il te plais attends!
J'ai dis pas de supplications…
Attend pitié, je ferais ce que tu…”
Je coupais court en renfonçant le penis gag entièrement dans sa bouche et en l’attachant. Il se ruait dans sa prison métallique, balançant sa tête de droite à gauche en essayant de se débarrasser de cet encombrant. Tout en badigeonnant mon gode de lubrifiant, je lui expliquais la situation.
Quoi, tu pensais que c'était malin de laisser un fichier Word sur l'ordi avec tes idées si tu avais gagné ? Ce que tu prevoyais de me faire subir? Les gorges profondes, les humiliations ? Mais c'est moi qui ai gagné mon chéri…”
Je détachais le bâillon pour le laisser respirer, mais le refixa a mi-chemin comme la fois précédente.
Ma stagiaire gémissait derrière moi. Elle avait abandonné toute velléité de discrétion. Tant mieux.
Thomas eu l’air de s'en rendre compte, mais il était trop occupé à me supplier à travers son bâillon de ne pas le sodomiser. Je positionnais mon gode contre sa rondelle et me retournais vers notre troisième membre :
“qu'est ce que tu en penses beauté, il mérite ma compassion ?”
Elle me regarda en gémissant, puis s’arrêta une seconde pour annoncer d’une voix ferme et sans équivoque :
“Non, baise-le.”
Thomas leva la tête, maintenant convaincu que nous n’étions plus seuls. Je ne lui laissais pas le temps d’y réfléchir plus que ça. Je revoyais soudainement une de ses vidéos préférées trouvée sur son ordinateur, ou une femme attachée dans une position similaire se faisait prendre la bouche par un homme, le vagin par une machine et le cul par une femme. Je repensais à la phrase de l'homme, alors qu'il enfonçait sa bite dans la gorge de sa soumise complètement “remplie” de tous les côtés.
Avec sa tige, son penis gag… alors que je positionnais mon gode ceinture sur sa rondelle, je tirais sur son bâillon pour qu'il s'enfonce dans sa gorge et chuchotais dans son oreille :
“Airtight baby…”
Et je m'enfonçais lentement en lui jusqu'à la garde. Lorsque je butais contre mon pubis, le gode se mis intégralement à vibrer : Alice, ma stagiaire, avait commencé à avec la télécommande…
A suivre, dans cet univers où un autre...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une suite s'impose !!
Madame est moins clémente que Monsieur... whaouuu !
Très bien !
Waouh terrible la suite