FADELA, MA VOISINE DU DESSOUS Deuxième partie: Attika
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2010 dans la catégorie Plus on est
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FADELA, MA VOISINE DU DESSOUS Deuxième partie: Attika
Fadéla, ma voisine du dessous
Deuxème partie : Attika
Notre relation, à Fadéla et moi, était faites de nos rencontres tous les matins, y compris les week-ends et les jours fériés. Elle avait fait accepter à sa famille le fait de sortir ainsi tous les matins pour « aller papoter une heure ou deux avec son amie Attika ». Elle ne prenait pratiquement plus de précautions en venant frapper chez moi. Elle n’avait même plus peur que des voisins la surprennent entrain d’entrer dans un appartement que tout le monde dans la cité savait être habité par un homme célibataire. J’avais par ailleurs remarqué que depuis presque deux mois, les disputes quotidiennes dans l’appartement du dessous avaient pratiquement disparu. Fadéla ne semblait plus avoir besoin d’un prétexte, en se disputant avec belle famille, pour sortir.
Tous les matins donc, Fadéla et moi, passions environs deux heures à nous aimer et à discuter de choses et d’autres. Comme un vrai couple. Il nous arrivait même de ne pas faire l’amour (quand elle avait ses règles) et de rester au lit serrés l’un contre l’autre à nous caresser et nous embrasser comme des amoureux. Et quand nous faisions l’amour, c’était sans limites - à l’exception, bien entendu de la sodomisation, qu’elle s’obstinait toujours à refuser. En dehors de ce petit problème, Fadéla était devenue une experte en amour libre, sans tabous. Elle adorait - et moi aussi - les matinées qu’elle passait avec moi. Elle m’avouait souvent qu’elle ne vivait plus que pour ces rencontres ; que j’étais devenu le centre de sa vie. Que plus rien ne comptait pour elle, que notre relation. Elle était plus apaisée et avait beaucoup gagné en sérénité. Et cela se voyait sur son visage rayonnant et même sur son corps qui avait gagné en épanouissement.
Nous parlions d’absolument tout : de mon travail, de la situation politique et économique du pays, des voisins et, de plus en plus, depuis un certain temps, de son amie Attika. Il m’apparaissait, de manière encore obscure pour l’instant, qu’elle s’évertuait à glisser subrepticement le nom de son amie dans nos discussions. Comme si elle voulait que je m’intéresse au sujet et que je cherche à en savoir plus sur elle. Cette impression devenait de plus en plus forte, au fur et à mesure que les jours passaient. Attika devenait de plus en plus présente : elle avait fait ceci, elle lui avait dit cela ; elle lui avait parlé de moi et l’avait questionné sur mes sentiments pour elle ; elle lui aurait même fait raconter nos parties de jambes en l’air. Et puis, comme je ne prêtais pas beaucoup d’attention à ce qu’elle racontait sur son amie, elle s’enhardit un jour pour m’annoncer :
- J’ai invité Attika à venir nous rejoindre demain matin. J’espère que tu n’y vois pas d’inconvénients !
- Quoi ! Et que veux-tu que nous fassions avec elle ? Déjà que nous avons très peu de temps pour nous, et il faudrait encore le partager avec ton amie ! S’il te plait restons entre nous !
- Je suis sûre que tu apprécieras Attika ! Elle a absolument tout ce que tu aimes. Elle est intelligente, gentille et c’est une amie tellement fidèle. Tu as vu comment elle protège notre relation. Comment elle prend sur elle de mentir à ma belle famille pour nous permettre de vivre notre amour. Elle est très curieuse de faire ta connaissance. Je lui ai tellement parlé de toi qu’elle veut absolument te rencontrer.
- Qu’est-ce qui va sortir de cette rencontre ? On va passer deux heures à nous ennuyer en nous efforçant de tenir une conversation qui ne nous intéressera, ni elle, ni moi.
- Tu verras que c’est une personne très intéressante ! Allez, dis oui ! S’il te plait.
- D’accord !
Nous passâmes le reste du temps à parler de Attika. C’est, bien entendu Fadéla qui parla d’elle. Elle m’apprit que Attika vivait à l’étage au dessus du mien. Qu’elle était mariée et avait deux enfants - des garçons - de dix et huit ans. Son mari était ingénieur en exploration pétrolière et travaillait dans le sud du pays, selon la formule de quatre semaines de travail continu, suivies de quatre semaines de repos qu’il passait à la maison. Il lui arrivait même souvent, pour gagner plus d’argent afin de finir la construction de la maison qu’il avait entreprise depuis presque dix ans, de faire des périodes continues de travail de six à sept semaines d’affilée. Attika s’occupait donc seule d’élever ses enfants. Elle ne travaillait pas et passait tout son temps à la maison. Elle ne sortait presque pas, si ce n’est pour faire les courses dans la supérette du quartier. Sa seule amie était Fadéla, qu’elle semblait vraiment apprécier et aimer.
Quand le lendemain matin, Fadéla ouvrit la porte - que je laissais exprès ouverte pour qu’elle n’ait pas à attendre que je vienne ouvrir et prendre ainsi le risque qu’elle soit aperçue par le voisinage – elle vint me rejoindre comme à son habitude dans ma chambre. Je n’étais pas encore levé - j’avais depuis ma relation avec Fadéla pris l’habitude de ne sortir du lit qu’après avoir pris un copieux petit déjeuner, qu’elle me préparait et me servait au lit - et vint donc me surprendre au lit. Mais cette fois-ci elle n’était pas seule. Elle était accompagnée par un petit bout de femme - un mètre soixante, environ - portant un jogging ample mais qui ne cachait rien de ses rondeurs. C’était en effet cela qui caractérisait cette femme : elle était toute en rondeurs. Non pas qu’elle fût grosse ; loin de là. Mais tout en elle était rond et super bandant : un visage rond très lumineux ; avec des yeux noirs immenses et ronds ! Une petite bouche ronde, entourée de belles lèvres superbement ourlées et légèrement maquillées ! Des épaules rondes ! Des hanches larges et rondes ! Un fessier proéminent et rond ! Que des rondeurs ! Mais des rondeurs tellement sensuelles et tellement suggestives en matière d’érotisme !
- Je te présente Attika ! Elle est canon, n’est-ce pas ?
- …
- Je m’en vais préparer le petit déjeuner. Je vous laisse faire connaissance.
Elle tourna les talons et nous laissa seuls, Attika toujours debout sur le seuil de la chambre et moi, encore allongé sur le lit avec seulement le pantalon du pyjama.
- Il fait sombre dans la chambre, dit-elle d’une voix légèrement rauque, qui ajoutait encore une touche à sa sensualité, déjà très forte.
Elle se dirigea vers la porte-fenêtre en balançant très légèrement des hanches. Je voyais son fessier bouger sous l’étoffe du jogging, pourtant large et flottant. Je me disais qu’elle était vraiment bandante. Elle tira les rideaux pour faire entrer la lumière et ouvrit très largement la porte-fenêtre pour aérer la chambre, qui devait sentir le fauve et le renfermé. Elle se retourna pour me lancer un regard et un sourire coquins.
- C’est beaucoup mieux ainsi !
Elle vint s’asseoir sur le bord du lit, du côté que je n’occupais pas. Nous nous regardâmes en silence pendant un moment, moi à moitié nu et gêné, elle, à l’aise et souriante.
- Fadéla ne m’a pas menti à propos de ta beauté et de ta virilité. Tu es à croquer !
- …
- Ne me dis pas que ma présence te met mal à l’aise. Fadéla m’a parlé d’un homme sûr de lui et toujours à son avantage ! Ou alors tu trouves que je suis sans gêne ! C’est ça ! Je suis sans gêne !
- Non il ne s’agit pas de cela, m’entendis-je lui répondre, d’une voix mal assurée. Je suis là au lit à moitié nu, devant une superbe femme que je ne connais pas encore et avec mon amie à côté, dans la cuisine. Avoue qu’il s’agit d’une situation un peu bizarre !
J’avais automatiquement repris le tutoiement qu’elle utilisait naturellement pour me parler. Je la regardais avec curiosité et intérêt. Pour le moment c’était plutôt elle qui menait la conversation. Elle s’adressait à moi en me regardant de ses yeux rieurs - ou moqueurs - avec cette voix rauque si particulière, qui provenait du fond de sa gorge et qu’elle savait être d’une sensualité torride. D’évidence, elle en jouait, sachant l’effet qu’elle avait sur ses interlocuteurs mâles.
- Fadéla t’a certainement dit que je voulais faire ta connaissance. Mais elle ne t’a pas dit pourquoi. Elle m’a tout raconté sur vos ébats et m’a dit tout le bonheur que tu lui a apporté, depuis maintenant deux mois ; elle m’a aussi parlé de tes capacités au lit ; de tout ce que tu lui as appris sur la sexualité et l’érotisme. J’ai un peu plus d’expérience en matière de sexe qu’elle, mais jamais je n’ai encore pratiqué tout ce que vous faites ensemble. Je lui ai dit que j’étais un peu jalouse et que j’aurais bien aimé être à sa place. La plupart du temps, je vis seule, avec mes enfants. Depuis mon mariage je n’ai de relations sexuelles qu’avec mon mari. Avec ses longues absences répétées, je ne fais l’amour que rarement. Et encore, il ne s’agit que de coïts classiques qui manquent de fantaisie et de sel. J’aime mon mari, mais sur le plan sexe, ce n’est pas le nirvana. Depuis que Fadéla est venue chez toi la première fois, et qu’elle m’a raconté son bonheur, je n’arrête pas de fantasmer sur toi. J’en ai parlé avec elle et elle est d’accord pour te prêter à moi.
- ….
- Tu es choqué ? Il n’y a pas de quoi ! Fadéla a vécu elle aussi une période de sevrage sexuel. Contrairement à moi, elle n’avait jamais réellement connu les effets de la jouissance physique. Tu les lui as fait découvrir. Moi j’ai eu quelques relations avant mariage et avec mon mari j’ai eu quelques orgasmes, que je pensais être très forts. Mais d’après ce qu’elle m’a raconté, ce n’étaient que de tous petits orgasmes, comparés à ceux qu’elle a avec toi. C’est une amie très chère. Je peux même dire que je l’aime d’amour. Et elle aussi. Il n’y a donc rien de choquant à ce qu’elle partage son plaisir avec moi.
- Tu veux dire que vous avez manigancé ensemble pour me partager ? Comme un objet ! Ce n’est pas très sérieux ! Et puis qui vous dit que je serai d’accord ?
- Moi ! dit la voix de Fadéla qui arrivait les bras chargés d’un lourd plateau portant le copieux petit déjeuner qu’elle venait de préparer.
Elle vint, comme habitude poser le plateau sur mes jambes et m’invita à manger. Elle s’assit sur le bord du lit, du côté que j’occupais. J’invitai Attika à partager le petit déjeuner avec moi. Elle refusa, se contentant d’un verre de jus de fruit. Je commençai à manger, sans trop d’appétit, contrairement à mes habitudes. Fadéla, elle, prit un café noir et continua de parler.
- Je te connais bien ! Je sais que tu aimes les belles femmes ; et Attika est une belle femme ! Une merveilleuse plante, super bandante ! Même moi, en tant que femme, elle me fait de l’effet ! Alors toi ! Ne me dis pas que tu n’as pas envie de la tirer ! Elle te veut et tu la veux ; alors où est le problème ?
- Tu n’es pas jalouse ? Tu veux vraiment que je couche avec ton amie ? Que tu nous regardes faire l’amour ? Et qu’en pense ton amie ?
- Moi je ne peux qu’être d’accord ! affirma Attika.
Je terminai de manger et tendit le plateau à Fadéla qui se leva pour le rapporter à la cuisine. Attika profita de l’absence momentanée de son amie pour venir se lover d’autorité dans mes bras. Toutes ses rondeurs - sa poitrine volumineuse et ses cuisses - vinrent agresser mon corps. Elle me regarda avec ses immenses yeux ronds et noirs et approcha son visage du mien, ses lèvres charnues tendues vers l’avant, pour me donner - ou recevoir - un baiser. A partir de là tout bascula. Je perdis toute maîtrise de moi. J’attirai la tête de la femme et appliquai sur sa bouche un baiser long et violent, pour lui communiquer la montagne de désir qui était en moi. Depuis qu’elle était entrée dans la chambre, j’avais envie de cette femme ; je voulais la tirer. Hypocritement je me retenais. Et maintenant je me lâchais.
Le baiser que nous échangeâmes était en lui-même un acte sexuel fort. Il était tellement torride et mouillé que nous étions emportés par un torrent de plaisir. Nos bouches étaient collées l’une à l’autre, nos lèvres se comportaient comme des ventouses et s’aspiraient goulûment, nos dents s’entrechoquaient. Ma langue pénétra dans sa bouche pour aller à la recherche de la sienne, qui l’attendait de pied ferme. Un temps, elles jouèrent au jeu du chat et de la souris, puis s’affrontèrent, l’une enroulant l’autre et l’autre montant sur l’une. Nous aspirâmes à tour de rôle toute la salive que nos bouches secrétaient que nous avalâmes avec délectation et volupté. Le baiser dura une éternité et nous mena au bord de l’asphyxie. Mon désir de cette femme grandissait au fur et à mesure que durait le baiser. Mon sexe commençait à me faire mal tant il bandait.
Nous nous séparâmes à bout de souffle, sans pour autant nous éloigner l’un de l’autre. Elle continuait à se coller contre moi, en frottant son bas ventre contre le mien. Elle semblait sentir et apprécier le gonflement que faisait mon sexe sur le devant du pantalon de pyjama. Elle s’y frottait avec insistance en me tenant par la taille. Je la regardai faire, en bandant de plus en plus. Je me décidai enfin à prendre les choses en mains. Je fis pénétrer une main sous le haut de son jogging pour lui caresser le dos et lui dégrafer le soutien gorge. Je voulais avoir accès directement à sa poitrine et à ses seins. Elle s’éloigna un peu de moi pour me laisser lui enlever le haut du jogging et découvrir ses merveilleux seins ; des seins ronds et volumineux d’une fermeté étonnante.
J’en pris un dans une main, avec l’intention de l’écraser et de lui faire mal. Elle me regarda faire sans rien dire. Au contact du sein, ma main ne put qu’esquisser une légère caresse, tant la peau était douce et soyeuse. Je ne pouvais pas écraser une telle merveille de douceur et de fermeté. Je me mis à le caresser doucement en insistant sur les larges tétons violacés et ronds. Je la sentis qui se mit à frémir et à pousser de tous petits gémissements. Elle aimait être caressée ainsi, en douceur, sur ses tétons. Je me mis à enrouler ses tétons l’un après l’autre entre trois doigts, tirant d’elle des tous petits cris de plaisir rauques, presque inaudibles. Elle me regardait faire en souriant aux anges.
- Tête-moi ! Fit-elle de sa merveilleuse voix.
Je plongeai aussitôt ma tête sur sa poitrine et posai ma bouche sur le téton que j’étais entrain de caresser. Je me mis à le lécher un petit moment puis à l’introduire dans ma bouche pour le téter goulûment, comme un bébé affamé. Elle me prit la nuque sur laquelle elle appuyait doucement pour me monter son plaisir.
- Caresse-moi l’autre sein !
J’envoyai ma main libre vers le deuxième téton que je me mis à malaxer doucement entre les doigts, tout en continuant la tétée sur l’autre sein. La belle s’était mise à ronronner comme une chatte, se réchauffant au bord de la cheminée. Elle continuait à caresser ma nuque et soulevait de temps en temps ma tête pour me demander de passer. L’opération dura ainsi une éternité, avant que je ne décide à lancer une main vers le bas, vers son jardin secret. Ma main pénétra à l’intérieur du pantalon et de la petite culotte et alla à la recherche du pubis dont elle sentit la fermeté et l’absence totale de poil. Elle s’attarda un moment sur place pour bien s’imprégner de la chaleur et de la douceur de l’endroit, puis alla rapidement à la recherche de la chatte. J’étais gêné par la culotte trop serrée que je m’escrimai à faire descendre le long de ses cuisses, sous le pantalon. L’opération était trop compliquée.
- Enlève ! lui ordonnai-je.
Elle ne se fit pas prier. Elle enleva sa main de ma nuque et entreprit d’enlever en une seule fois le pantalon et la petite culotte, qu’elle envoya de l’autre côté de la chambre. J’enlevai ma tête de sa poitrine et la relevai pour admirer la scène qui s’offrait à mes yeux exorbités. Ce qui s’offrait à mon regard rappelait ces tableaux des dix-huitième et dix-neuvième siècle, représentant de magnifiques femmes nues et bien en chair, allongées sur un lit ou un sofa, et présentant de manière impudique leurs charmes ronds. Attika, nue ressemblait à l’un de ces modèles des peintres de cette époque. Belle et sensuelle ! Je me relevai pour mieux admirer le spectacle qu’elle m’offrait, sans absolument aucune gêne. La nudité semblait être pout Attika, un état naturel, qu’il était malvenu de cacher. Elle était fière de s’exposer ainsi à mon regard concupiscent. Elle souriait de toutes ses dents à la vue de mes yeux qui voulaient sortir de leurs orbites. J’admirai ce corps plein de rondeurs et me mis aux pieds de ma belle pour avoir une vue globale de tous ses charmes.
Attika était aussi blanche que Fadéla avait le teint mât. Elle avait une superbe poitrine forte, avec de gros seins ronds et fermes. La taille était légèrement empâtée mais n’altérait pas l’harmonie d’ensemble. Elle avait un mignon petit ventre qui augmentait, de plusieurs degrés, la sensualité torride qui se dégageait de ce corps nu et offert. Les jambes superbement galbées, légèrement entrouvertes et repliées laissaient apparaître le triangle sombre de son entrecuisse. Je voyais apparaître une chatte aux grandes lèvres dodues et ourlées, superbement dessinées, de couleur sombre, contrastant avec la blancheur laiteuse du reste du corps. J’approchais ma tête du merveilleux jardin pour en humer le parfum et pour y déposer un léger baiser. Elle ouvrit plus grand ses cuisses pour laisser passer ma tête. Elle apprécia le petit baiser que je déposai sur ses grandes lèvres, mais refusa que je quitte l’endroit. Elle appuya fort sur ma tête et ordonna :
- Suce-moi la chatte ! Je veux jouir sous ta bouche !
Je ne me fis pas prier pour entreprendre un cunnilingus d’enfer sur sa chatte. Avec deux doigts, j’écartai les grandes lèvres et plongeai ma bouche sur les petites lèvres rouge vif, brillantes de mouille. Ma langue tenta une pénétration à l’intérieur, allant à la recherche du clitoris et léchant tout sur son passage. J’embrassai, je tétai et je suçai cette merveilleuse chatte au goût légèrement salé et acidulé et au parfum d’ambre. La belle avait certainement parfumée son jardin d’éden, avant de venir me l’offrir. L’odeur était enivrante ; elle ne fit qu’accroître mon excitation. Je fis aller et venir toute ma bouche le long de la fente formée par ses grandes lèvres, lançant ma langue à l’intérieur du vagin. Je suçai et avalai avec gourmandise le liquide qui en sortait en grande quantité.
La belle adorait ce que je lui faisais. Même si mes oreilles étaient enserrées entre ses cuisses, j’entendais, comme venant de très loin, ses gémissements et ses cris de plaisir. Elle bougeait ses hanches de plus en plus vite, en même temps qu’elle obligeait ma tête - par la pression de sa main - à suivre le rythme infernal qu’elle voulait imposer. Je la sentais qui était entrée en elle-même pour savourer son plaisir. Je me dis qu’il fallait encore accroître la densité du plaisir qu’elle prenait en faisant participer son cul. Je fis faire à ma bouche un petit déplacement vers son anus pour le remplir de salive et le mouiller. Je voulus introduire un doigt dans l’anneau et je m’aperçus très vite que l’endroit avait déjà servi et qu’au lieu d’un doigt, c’était au moins deux qu’il fallait pour remplir le trou. J’en introduisis donc deux et me mis à les faire aller et venir dans le boyau aussi loin qu’ils pouvaient parvenir et à les faire tourner de manière à occuper toute la paroi du rectum.
L’effet fut immédiat : Attika poussa un hurlement rauque de plaisir qui venait du fond de sa gorge, en même temps qu’elle accentuait le mouvement montant et descendant de ses hanches ainsi que la pression qu’elle exerçait sur ma tête. Je l’entendais, comme provenant d’un endroit très lointain, lâcher un chapelet de mots que je ne saisissais qu’à moitié, mais dont j’étais sûr qu’il s’agissait de l’expression inconsciente du plaisir qu’elle prenait. Il me semblait qu’il était question de « jouissance », « d’orgasme », « de plaisir », « de pénétration anale », « de gros zob », …
Contrairement à Fadéla qui ne parlait pas en faisant l’amour, se contentant de gémir et de crier son plaisir, Attika ne pouvait s’empêcher de soliloquer et de prononcer des mots crus, qui ajoutaient de l’intensité à son plaisir.
- Baiser ! … Gros zob ! … Enculée ! …Pénétrée ! …Tirée ! …
Et soudain elle arrêta de parler, souleva son bassin au maximum et s’immobilisa quelques secondes. Elle eut un immense râle qui provenait du fond de ses entrailles et la jouissance déferla dans un grondement sourd et éclata dans ma bouche en déversant une tonne de jus. Malgré toute ma bonne volonté, je ne pus avaler la totalité de la cyprine qu’elle secrétait. Une grande partie s’échappa, dégoulina en dehors et alla s’étaler sur le drap du lit. Epuisée, elle s’affaissa sur le lit pour se reposer un peu et reprendre son souffle. Je sortis ma tête d’entre ses cuisses et vins m’allonger près d’elle pour la regarder. Elle était encore en elle-même dans son plaisir et gardait les yeux fermés. Quand elle les ouvrit, elle me lança un merveilleux sourire et me dit :
- Fadéla ne m’avait pas menti ! Tu es un amant merveilleux !
- Bien sûr que je n’ai pas menti ! répondit la voix de Fadéla, dont on avait oublié jusqu’à l’existence.
Je sursautai en me retournant. Elle était là, assise au bas du lit. Elle avait certainement assisté à toute l’opération. Elle avait un sourire ironique sur les lèvres, mais ne semblait ni en colère, ni même contrariée. Elle s’approcha de nous en venant se mettre à mes côtés et en me poussant pour que me retrouve entre elles deux.
- Elle est superbe, n’est-ce pas ? me dit-elle en désignant Attika du menton. Elle n’est pas seulement belle ; elle est aussi très sensuelle. Et en plus elle aime l’amour libre ! Je crains que tu finisses par la préférer à moi ! Que tu m’abandonnes pour elle !
- Mais non ! Mais non ! répondit Attika. Il est maintenant à nous deux ! Ensemble ou séparément ! Moi j’aimerais bien qu’il nous baise toutes les deux ensemble ! Je voudrais te voir jouir sous les coups de son gros zob ! J’aimerais te voir complètement soumise, hurlant ton plaisir en jouissant comme une chienne ! Je voudrais te voir remplie de son sperme et me demander de l’étaler sur ta poitrine et de venir te lécher !
- Tu veux vraiment ? ça te plairait ?
Sans attendre de réponse, Fadéla enleva sa djebba et resta en petite culotte et soutien gorge. Elle me regarda avec insistance et ordonna :
- Viens baiser ta chienne ! Viens la faire jouir, devant ta nouvelle maîtresse ! Viens la remplir de sperme ! Laissons-la se rincer l’oeil!
D’un geste rapide, elle retira son soutien gorge et sa culotte, qu’elle envoya au loin da l’autre côté de la chambre. Elle voulut lever ses jambes pour que je la tire dans la position allongée sur le dos. J’arrêtai son mouvement en lui demandant de se mettre à quatre pattes pour que je la prenne en levrette. L’idée lui plut (et à Attika aussi). Elle se mit donc à quatre pattes, les hanches relevées au maximum et la tête enfoncée dans l’oreiller. Je me plaçais derrière elle, en lançant un regard à Attika, qui souriait et suivait avec attention tout ce que nous faisions. Je sortis mon gourdin du pantalon de pyjama. Il était au maximum de son érection. Il dardait comme un glaive menaçant et vibrait d’impatience. L’opération précédente de cunnilingus et le contenu de la discussion qui s’en était suivie l’avaient mis dans un état d’excitation exceptionnel. J’introduisis le bout du gland entre les grandes lèvres pour en tester l’humidité. Le lieu était déjà bien mouillé. Je fis aller et venir plusieurs fois le gland dans la fente pour étaler la mouille au maximum et préparer l’entrée du monstre dans la grotte.
Je l’enfonçai brusquement jusqu’au fond, tirant de ma maîtresse un petit cri de surprise et de douleur. Cela ne m’arrêta pas. Je connaissais maintenant parfaitement ma mie ; je savais qu’elle aimait que je la tire, comme cela, en force et qu’elle n’allait pas tarder à se mettre à gémir et à pousser des petits cris de plaisir. Je savais qu’elle n’allait pas non plus tarder à bouger ses hanches pour accompagner les va-et-vient de mon manche dans son vagin et à m’inviter à y aller plus fort et plus vite. C’est effectivement comme cela que les choses se passèrent : Fadéla se mit à pousser des petits cris qui se transformèrent rapidement en sifflements, à balancer sa tête dans tous les sens, en des mouvements saccadés qu’elle n’arrivait pas à contrôler et à lancer son bassin en arrière, pour me pousser à aller au plus profond de son tunnel. Elle ne parlait pas, mais tout son corps, tous ses muscles criaient qu’elle prenait un immense plaisir à se faire tirer comme cela, en force.
Moi-même j’étais au paradis. Mon sexe avait trouvé un nid si accueillant, si chaud, si doux et tellement moulant, qu’il en bavait de plaisir. Je le faisais sortir totalement de la chatte, le montrant au passage à Attika - qui ne perdait pas une miette du spectacle et qui en bavait d’excitation - et le replongeait en force au fond du tunnel. Je recommençais ainsi jusqu’à ce que je sentisse le corps de Fadéla se crisper et sa respiration s’arrêter. J’accélérai le mouvement de va-et-vient de l’engin dans sa chatte et lançai en même temps ma main droite pour tripoter le mamelon de son sein.
Elle arrêta ses gémissements et sa respiration, poussa très fort ses fesses en arrière pour faire pénétrer mon sexe au plus profond de ses entrailles et éclata dans un énorme râle de plaisir. Elle se mit à décharger des litres de cyprine qui dégoulinait en dehors de sa chatte, expulsés par les va-et-vient de mon engin. Elle tourna la tête vers moi, comme pour me prier de ne pas m’arrêter de la piner. Elle voulait que le plaisir qu’elle prenait continuât longtemps. Je continuai à la pilonner au même rythme, sentant que moi aussi, je n’allais pas tarder à éclater et à éjaculer les litres de foutre que j’avais emmagasinés. Mais je ne voulais pas éjaculer à l’intérieur de sa chatte ; je voulais le faire sur son visage et sa poitrine. Je voulais voir Attika tenir sa promesse de tout lécher.
Sentant arriver la délivrance, je sortis le sexe du vagin de ma partenaire, la pris par la taille et la retournai sur le dos. Je me branlai fortement pour faire venir l’éjaculation. Celle-ci arriva, pas aussi intense que dans son vagin ou sa bouche, mais avec assez de force pour lui remplir le visage, le cou et la poitrine. Elle me regardait avec les yeux remplis de bonheur qu’elle avait chaque fois qu’elle jouissait, et me lança :
- J’ai été bien, n’est-ce pas !
- Oui tu as été merveilleuse, comme à ton habitude ! Demande à Attika de tenir sa promesse et de venir lécher mon sperme sur ton corps. J’ai vraiment envie d’assister à une telle scène !
- Viens, ma chérie ! fit-elle à son amie,
Attika, que la scène à laquelle elle venait d’assister avait très fortement excitée, ne se fit pas prier pour prendre ma place entre les jambes de Fadéla et se mettre à lui étaler avec les doigts le sperme qu’elle avait sur la poitrine, sur les seins et sur le cou. Elle s’y prenait avec une telle douceur, que Fadéla s’était mise, sans même s’en rendre compte, à ronronner de plaisir. Attika approcha ensuite sa tête des seins de sa partenaire et sortit la langue pour lécher et avaler tout le sperme qu’elle ramassait. Le spectacle était tellement érotique, que je me remis à bander comme un âne. Elle continua longtemps à lécher la poitrine puis le cou de sa partenaire. Elle s’attaqua ensuite au sperme qui était sur son visage. Elle refit la même chose, sauf que cette fois au lieu d’avaler elle-même le foutre qu’elle ramassait, elle le déposait dans la bouche de Fadéla qui s’empressa de l’engloutir. Elle refit plusieurs fois l’opération, jusqu’à ce qu’il n’y eut plus aucune trace de sperme sur le corps et le visage de Fadéla. Attika fit alors une chose que je ne pensais pas qu’elle allait faire. Elle embrassa son amie sur la bouche ; doucement d’abord, craignant certainement un geste de rejet, puis plus passionnément.
A ma grande surprise, Fadéla rendit le baiser à Attika avec la même passion. J’eus l’impression furtive, que les deux amies étaient entrain de faire ce qu’elles désiraient faire depuis très longtemps, mais que ni l’une ni l’autre n’avaient eu le courage d’entreprendre. Probablement à cause des tabous et des atavismes sociaux. Je regardais émerveillé, mes deux maîtresses se rouler des pelles de plus en plus torrides. Je voyais la main de Attika s’emparer d’un des seins de Fadéla et le caresser avec délicatesse. Je voyais Fadéla prendre la main de son amie et la porter à sa bouche pour l’embrasser. Je voyais les deux corps se coller l’un à l’autre et bouger en cadence. Je voyais la jambe de Attika pénétrer entre les cuisses de sa maîtresse et lui caresser la chatte avec son genou. Je voyais Attika descendre entre les jambes de Fadéla et plonger sa tête entre ses cuises et se mettre à lui sucer la vulve. Je voyais Fadéla gémir de plaisir et prendre la tête de sa compagne pour l’aider à aller et venir sur sa chatte.
Fadéla me regardait et me souriait. Elle voyait que j’aimais la scène à laquelle j’assistais et n’eut donc aucun scrupule à se laisser aller. Elle gémissait et bougeait ses hanches au rythme du cunnilingus que lui appliquait son amie. Je me tenais au bas du lit et pouvait ainsi voir la scène dans sa totalité. Je voyais surtout le joli cul de Attika qui me faisait face. J’eus soudain envie de participer à la scène. Le cul de Attika m’attirait comme un aimant. J’avais envie de l’entreprendre. Je savais qu’il avait déjà servi et qu’elle n’avait donc pas de blocage concernant la sodomisation. Je voulais aussi montrer à Fadéla qu’une femme peut prendre du plaisir en se faisant enculer. Je m’approchai donc et pris Attika par les hanches pour la positionner convenablement. Elle retira un moment sa tête d’entre les cuisses de sa partenaire, me regarda et, en m’envoyant un sourire éclatant, me dit :
- Oui, occupe-toi de mon cul pendant que je m’occupe de celui de ma petite chérie !
Elle replongea aussitôt sa tête entre les cuisses largement ouvertes de Fadéla, qui avait fermé les yeux pour mieux entrer en elle-même et ressentir le maximum de plaisir. J’écartai les fesses de Attika pour avoir accès à l’anneau de son anus. Je le voyais palpiter. Je mis un peu de salive sur mes doigts pour en enduire l’entrée du trou ; j’en mis aussi sur le gland de mon sexe ; positionnai ce dernier sur l’anneau, et d’un coup de rein brusque, enfonçai tout le membre jusqu’au fond. Je la sentis se crisper ; certainement à cause de la douleur. Le cul de Attika avait certes servi, mais il y avait certainement très longtemps. Le boyau était étroit et serrait mon sexe comme une main qui serait entrain de le masturber. Il était doux et chaud. Mon membre était heureux de prendre possession de ce superbe cul. Il y allait franchement. Je tenais Attika par les hanches et faisais faire aux miennes des allers-retours de plus en plus longs et de plus en plus rapides. Je faisais sortir l’engin jusqu’à l’entrée du cul et le faisais repartir en force jusqu’au fond. Je gémissais de plus en plus fort. Je sentais la jouissance et l’éjaculation arriver à grande vitesse. Je sentais aussi que Fadéla était sur le point de jouir sous la bouche et les mains de Attika.
L’orgasme arriva en même temps pour Fadéla et pour moi. Elle déchargea en criant dans la bouche de sa partenaire, dont elle ne lâchait pas la tête enfoncée entre ses cuisses, et dont elle semblait exiger de boire tout le jus qu’elle avait sécrété. Je ne voyais pas ce qui se passait entre les cuisses de Fadéla, mais j’étais sûr que Attika était entrain d’avaler avec délectation toute la cyprine de sa maîtresse. Moi aussi je me mis à éjaculer, en poussant un râle de mourant, une grosse quantité de sperme dans le cul de ma partenaire. Je continuai à la pilonner un long moment, expulsant par la même occasion le foutre hors du rectum. Harassé et heureux, je sortis du cul de ma belle pendant qu’elle-même sortit sa tête d’entre les cuisses de sa partenaire. Nous étions tous les trois fourbus.
Ce fut Atika qui la première parla, en s’adressant à moi.
- Approche-toi, mon chéri, je vais m’occuper de nettoyer ton engin avec ma bouche.
- Tu es folle ! cria Fadéla. C’est sale !
- Non c’est érotique ! Tu devrais essayer ! Aller viens ! Fais comme moi !
- Non ! Pas question !
Attika se mit à genoux au bas du lit et me fit assoir de manière à présenter mon sexe quelque peu ramolli devant sa bouche. Elle se mit à le lécher et à le nettoyer du reste de sperme et du produit du ramonage de son cul. Elle levait la tête de temps en temps pour regarder son amie et lui lancer un sourire moqueur.
- C’est vraiment super ! Viens essayer ! Tu vois comme cela lui plait. Regarde son manche comme il est entrain de frémir et de se remettre à bander ! Bientôt il redeviendra aussi grand et gros que tout à l’heure quand il m’a enculé. Aller viens participer à son réveil. C’est toi qui en profiteras.
Fadéla se laissa convaincre et vint prendre la place de son ami. Mon sexe était redevenu propre. Elle se mit à me lécher, puis sucer le gland, avant de tout faire pénétrer dans sa bouche pour une fellation d’enfer. Je m’étais remis à bander fortement. Je regardais Fadéla, toujours toute nue, à genoux devant moi. De haut je voyais ses belles hanches et la courbe de son fessier. Je me suis soudain rappelé que jamais je n’avais réussi à la convaincre de m’offrir son cul. Je me dis que c’était là l’occasion de l’enculer ; avec l’aide de son amie. M’adressant à Attika, je lui dis :
- J’ai toujours eu envie de l’enculer, mais elle a toujours refusé. Dis-lui toi combien c’est bon !
- Bien sûr que c’est bon ! Moi j’adore ! Dans ma jeunesse, avant de me marier je me faisais très souvent enculer ! Maintenant que je suis mariée, cela me manque énormément. Ne me dis pas que tu ne lui as encore jamais offert ton cul ! C’est un crime ! Lui il adore ! Rien que pour cela tu dois le laisser te prendre par derrière. Et si tu n’aimes pas, si tu n’y trouves aucun plaisir, il ne recommencera pas ; il se contentera de mon cul à moi !
- C’est malhonnête ce que vous êtes entrain de faire ! C’est un vrai chantage ! Si je ne lui donne pas mon cul, cela veut dire que je ne l’aime pas assez. Et que toi tu l’aimes plus que moi
- Oui c’est bien ça ! Ou tu te laisses baiser par derrière et nous partageons, ou il ne le fait qu’avec moi et alors tant pis pour toi qui ne lui donneras du plaisir qu’à moitié !
- Salauds !
Elle resta par terre et se mit à quatre pattes en me présentant ses superbes fesses. Je n’eus absolument aucun scrupule à profiter de la situation. Mon sexe qui sortait des bouches de mes deux amies s’était remis à bander et avait repris ses dimensions d’érection. Je dis à Attika de s’occuper de mouiller l’anus serré de son amie et d’y enfiler deux doigts pour l’élargir. Je préférais que ce soit elle qui s’en chargeât afin de mieux la préparer à la saillie. Attika fit très consciencieusement ce que je lui demandais. Elle semblait même y prendre beaucoup de plaisir. Elle fit pénétrer un doigt qu’elle enfonça profondément et qu’elle se mit à faire tourner à l’intérieur. Fadéla avait mal, mais resta stoïque. Attika en profita pour l’embrasser sur le dos, lui caresser la croupe, et entreprendre sa chatte avec son autre main. Quand elle sentit que son amie était un peu plus apaisée et que le boyau s’était bien habitué à la présence de son doigt, elle y fit pénétrer un deuxième avec lequel, elle élargit encore plus le tunnel. Elle me fit signe de prendre sa place. Ce que je fis, bien que je sentais de la réticence de la part de Fadéla, qui devait avoir peur de la douleur que ne manquera pas d’entraîner la pénétration du sexe.
Je me décidais à y aller franchement ; à la prendre à la hussarde. De toutes les façons, me dis-je, elle aura mal. Autant qu’elle ait mal pendant un court instant et qu’ensuite elle s’habitue au manche qui la pénètre. J’étais convaincu, qu’avec l’aide de Attika, elle finira rapidement par aimer la sodomisation. Je la pris donc en force, lui faisant pousser un très fort cri de douleur, que Attika atténua en l’embrassant sur la bouche. Je restai un moment au fond de son cul, le temps que la douleur s’amenuise et que Attika, qui se tenait à genoux devant elle, se mette à lui caresser les seins, à lui relever la tête pour l’encourager et à la couvrir de baisers. Je fis faire à mon membre un mouvement de retrait jusqu’à la limite de l’anus et repartis, aussi franchement qu’au début, au fond du cul. Elle cria encore de douleur ; moins fort. Je fis d’autres allers-retours dans le boyau, jusqu’à ce qu’il soit complètement lubrifié et que mon membre arrive à se déplacer facilement, sans plus lui faire mal.
Attika, fit redresser légèrement notre maîtresse pour pouvoir avoir accès à son pubis. Elle envoya sa main à la recherche de sa chatte et se mit à la caresser. Je sentis Fadéla qui se relâchait en accueillant les doigts de son amie. Elle aima immédiatement les caresses, lesquelles conjuguées à mes coups de boutoir dans son cul, lui procuraient un plaisir de plus en plus intense. Elle ne savait pas ce qu’elle aimait le plus : les doigts qui pénétraient profondément dans sa chatte ou ce gros zob qui était entrain de lui défoncer le cul. Ou bien la rencontre des deux à travers les fines parois de son vagin et de son rectum. Elle poussait de tous petits cris de plaisir à chaque fois que les doigts et le zob se croisaient et se frottaient. Elle avait le front posé contre la poitrine nue de son amie qui se tenait devant elle et qui la masturbait consciencieusement. Elle gémissait et bavait entre les seins de Attika. Et soudain, sans aucun signe précurseur, elle eut un orgasme violent et bruyant et déchargea sur les doigts et la main de sa maîtresse, qui s’était remise à l’embrasser sur la bouche, avalant au passage toute la salive qu’elle déversait.
Je n’arrêtais pas pour autant mes coups de boutoir dans le cul de ma belle. Je voulais jouir en elle et lui remplir le rectum de sperme. Je voulais qu’elle connaisse la sensation de son cul plein d’un liquide étranger qui ressort à l’extérieur à chaque aller-retour du zob. Je voulais qu’elle ressente la sensation de vide que crée la sortie définitive du sexe de son cul. Je voulais que cette sensation de vide lui fasse regretter le zob qui occupait tout l’espace. Rapidement je me mis à éjaculer tout le sperme qui restait encore en moi - moins épais et dru, mais toujours abondant – que les va-et-vient de l’engin ne tardèrent pas à expulser vers l’extérieur. Epuisé, je m’affalai sur le dos de ma partenaire, pendant qu’elle-même reprenait son souffle dans les bras de son amie. Nous formions ainsi un fabuleux trio, chacun de nous collé à son partenaire, pour former un corps unique, qui devait être d’un érotisme d’enfer.
Je sortis du cul de Fadéla et la retournai pour qu’elle vienne dans mes bras. Je lui donnai un long baiser, doux et tendre, pour lui montrer à quel point j’avais apprécié la séance précédente et à quel point je lui étais reconnaissant d’avoir accepté de faire ce qu’elle avait toujours refusé auparavant.
- Rassure-moi, dis-moi que tu as aimé ! Que nous allons recommencer !
- Oui ! fit-elle dans un souffle. Vous m’avez convaincu ! Cela m’a fait très mal ! En fait cela me fait encore très mal ; je crois que je ne pourrai pas m’asseoir avant longtemps. Mais c’est vrai que c’est bon ! Surtout avec la participation de Attika ! Tu sais ce qui est extraordinaire, c’est que tu as réveillé en moi le sentiment enfoui depuis très longtemps de mon amour pour Attika. Je crois que je l’ai toujours aimée et que j’ai toujours eu envie de faire l’amour avec elle.
- C’est la même chose pour moi ! J’aime Fadéla et je crois que personne ne pourra plus nous séparer.
Et de fait notre trio dura plusieurs années, jusqu’à ce que Attika finisse par déménager (son mari avait gagné assez d’argent pour terminer la construction de leur villa) et que Fadéla quitte son mari et ses enfants pour retourner vivre chez ses parents et reprendre son travail d’infirmière. Les derniers mois de notre relation à Fadéla et moi, furent plutôt moroses : Elle continuait à venir tous les matins et à se donner à moi. Mais depuis quelques temps, les disputes avaient repris dans l’appartement du dessous et chaque matin, mon amie arrivait fourbue et triste.
- Je n’en peux plus ! Je supporte de plus en plus mal la vie que je mène ! Il n’y a aucun avenir pour moi en dessous ! Il faut que je trouve une solution !
Et un jour, elle opta pour la seule solution qui existait. Celle de fuir son mari et ses enfants, retourner chez ses parents et reprendre son travail. Par la même occasion elle me quitta moi aussi, me laissant seul et désemparé. Je n’eus plus de ses nouvelles que par Attika, avec laquelle elle était restée en relation téléphonique. Attika, même si elle avait déménagé (pas très loin du quartier où je vivais) me rendait visite de temps en temps pour faire l’amour, mais surtout pour vivre avec moi quelques moments de grande nostalgie. Et même elle, avait fini par ne me rendre que des visites très éloignées, jusqu’à disparaître totalement.
Je garde tout de même de mes deux amours un souvenir impérissable d’un bonheur sans faille et d’un érotisme sans limites. A ce jour, je n’ai pas encore retrouvé de relations amoureuses d’une telle intensité.
Deuxème partie : Attika
Notre relation, à Fadéla et moi, était faites de nos rencontres tous les matins, y compris les week-ends et les jours fériés. Elle avait fait accepter à sa famille le fait de sortir ainsi tous les matins pour « aller papoter une heure ou deux avec son amie Attika ». Elle ne prenait pratiquement plus de précautions en venant frapper chez moi. Elle n’avait même plus peur que des voisins la surprennent entrain d’entrer dans un appartement que tout le monde dans la cité savait être habité par un homme célibataire. J’avais par ailleurs remarqué que depuis presque deux mois, les disputes quotidiennes dans l’appartement du dessous avaient pratiquement disparu. Fadéla ne semblait plus avoir besoin d’un prétexte, en se disputant avec belle famille, pour sortir.
Tous les matins donc, Fadéla et moi, passions environs deux heures à nous aimer et à discuter de choses et d’autres. Comme un vrai couple. Il nous arrivait même de ne pas faire l’amour (quand elle avait ses règles) et de rester au lit serrés l’un contre l’autre à nous caresser et nous embrasser comme des amoureux. Et quand nous faisions l’amour, c’était sans limites - à l’exception, bien entendu de la sodomisation, qu’elle s’obstinait toujours à refuser. En dehors de ce petit problème, Fadéla était devenue une experte en amour libre, sans tabous. Elle adorait - et moi aussi - les matinées qu’elle passait avec moi. Elle m’avouait souvent qu’elle ne vivait plus que pour ces rencontres ; que j’étais devenu le centre de sa vie. Que plus rien ne comptait pour elle, que notre relation. Elle était plus apaisée et avait beaucoup gagné en sérénité. Et cela se voyait sur son visage rayonnant et même sur son corps qui avait gagné en épanouissement.
Nous parlions d’absolument tout : de mon travail, de la situation politique et économique du pays, des voisins et, de plus en plus, depuis un certain temps, de son amie Attika. Il m’apparaissait, de manière encore obscure pour l’instant, qu’elle s’évertuait à glisser subrepticement le nom de son amie dans nos discussions. Comme si elle voulait que je m’intéresse au sujet et que je cherche à en savoir plus sur elle. Cette impression devenait de plus en plus forte, au fur et à mesure que les jours passaient. Attika devenait de plus en plus présente : elle avait fait ceci, elle lui avait dit cela ; elle lui avait parlé de moi et l’avait questionné sur mes sentiments pour elle ; elle lui aurait même fait raconter nos parties de jambes en l’air. Et puis, comme je ne prêtais pas beaucoup d’attention à ce qu’elle racontait sur son amie, elle s’enhardit un jour pour m’annoncer :
- J’ai invité Attika à venir nous rejoindre demain matin. J’espère que tu n’y vois pas d’inconvénients !
- Quoi ! Et que veux-tu que nous fassions avec elle ? Déjà que nous avons très peu de temps pour nous, et il faudrait encore le partager avec ton amie ! S’il te plait restons entre nous !
- Je suis sûre que tu apprécieras Attika ! Elle a absolument tout ce que tu aimes. Elle est intelligente, gentille et c’est une amie tellement fidèle. Tu as vu comment elle protège notre relation. Comment elle prend sur elle de mentir à ma belle famille pour nous permettre de vivre notre amour. Elle est très curieuse de faire ta connaissance. Je lui ai tellement parlé de toi qu’elle veut absolument te rencontrer.
- Qu’est-ce qui va sortir de cette rencontre ? On va passer deux heures à nous ennuyer en nous efforçant de tenir une conversation qui ne nous intéressera, ni elle, ni moi.
- Tu verras que c’est une personne très intéressante ! Allez, dis oui ! S’il te plait.
- D’accord !
Nous passâmes le reste du temps à parler de Attika. C’est, bien entendu Fadéla qui parla d’elle. Elle m’apprit que Attika vivait à l’étage au dessus du mien. Qu’elle était mariée et avait deux enfants - des garçons - de dix et huit ans. Son mari était ingénieur en exploration pétrolière et travaillait dans le sud du pays, selon la formule de quatre semaines de travail continu, suivies de quatre semaines de repos qu’il passait à la maison. Il lui arrivait même souvent, pour gagner plus d’argent afin de finir la construction de la maison qu’il avait entreprise depuis presque dix ans, de faire des périodes continues de travail de six à sept semaines d’affilée. Attika s’occupait donc seule d’élever ses enfants. Elle ne travaillait pas et passait tout son temps à la maison. Elle ne sortait presque pas, si ce n’est pour faire les courses dans la supérette du quartier. Sa seule amie était Fadéla, qu’elle semblait vraiment apprécier et aimer.
Quand le lendemain matin, Fadéla ouvrit la porte - que je laissais exprès ouverte pour qu’elle n’ait pas à attendre que je vienne ouvrir et prendre ainsi le risque qu’elle soit aperçue par le voisinage – elle vint me rejoindre comme à son habitude dans ma chambre. Je n’étais pas encore levé - j’avais depuis ma relation avec Fadéla pris l’habitude de ne sortir du lit qu’après avoir pris un copieux petit déjeuner, qu’elle me préparait et me servait au lit - et vint donc me surprendre au lit. Mais cette fois-ci elle n’était pas seule. Elle était accompagnée par un petit bout de femme - un mètre soixante, environ - portant un jogging ample mais qui ne cachait rien de ses rondeurs. C’était en effet cela qui caractérisait cette femme : elle était toute en rondeurs. Non pas qu’elle fût grosse ; loin de là. Mais tout en elle était rond et super bandant : un visage rond très lumineux ; avec des yeux noirs immenses et ronds ! Une petite bouche ronde, entourée de belles lèvres superbement ourlées et légèrement maquillées ! Des épaules rondes ! Des hanches larges et rondes ! Un fessier proéminent et rond ! Que des rondeurs ! Mais des rondeurs tellement sensuelles et tellement suggestives en matière d’érotisme !
- Je te présente Attika ! Elle est canon, n’est-ce pas ?
- …
- Je m’en vais préparer le petit déjeuner. Je vous laisse faire connaissance.
Elle tourna les talons et nous laissa seuls, Attika toujours debout sur le seuil de la chambre et moi, encore allongé sur le lit avec seulement le pantalon du pyjama.
- Il fait sombre dans la chambre, dit-elle d’une voix légèrement rauque, qui ajoutait encore une touche à sa sensualité, déjà très forte.
Elle se dirigea vers la porte-fenêtre en balançant très légèrement des hanches. Je voyais son fessier bouger sous l’étoffe du jogging, pourtant large et flottant. Je me disais qu’elle était vraiment bandante. Elle tira les rideaux pour faire entrer la lumière et ouvrit très largement la porte-fenêtre pour aérer la chambre, qui devait sentir le fauve et le renfermé. Elle se retourna pour me lancer un regard et un sourire coquins.
- C’est beaucoup mieux ainsi !
Elle vint s’asseoir sur le bord du lit, du côté que je n’occupais pas. Nous nous regardâmes en silence pendant un moment, moi à moitié nu et gêné, elle, à l’aise et souriante.
- Fadéla ne m’a pas menti à propos de ta beauté et de ta virilité. Tu es à croquer !
- …
- Ne me dis pas que ma présence te met mal à l’aise. Fadéla m’a parlé d’un homme sûr de lui et toujours à son avantage ! Ou alors tu trouves que je suis sans gêne ! C’est ça ! Je suis sans gêne !
- Non il ne s’agit pas de cela, m’entendis-je lui répondre, d’une voix mal assurée. Je suis là au lit à moitié nu, devant une superbe femme que je ne connais pas encore et avec mon amie à côté, dans la cuisine. Avoue qu’il s’agit d’une situation un peu bizarre !
J’avais automatiquement repris le tutoiement qu’elle utilisait naturellement pour me parler. Je la regardais avec curiosité et intérêt. Pour le moment c’était plutôt elle qui menait la conversation. Elle s’adressait à moi en me regardant de ses yeux rieurs - ou moqueurs - avec cette voix rauque si particulière, qui provenait du fond de sa gorge et qu’elle savait être d’une sensualité torride. D’évidence, elle en jouait, sachant l’effet qu’elle avait sur ses interlocuteurs mâles.
- Fadéla t’a certainement dit que je voulais faire ta connaissance. Mais elle ne t’a pas dit pourquoi. Elle m’a tout raconté sur vos ébats et m’a dit tout le bonheur que tu lui a apporté, depuis maintenant deux mois ; elle m’a aussi parlé de tes capacités au lit ; de tout ce que tu lui as appris sur la sexualité et l’érotisme. J’ai un peu plus d’expérience en matière de sexe qu’elle, mais jamais je n’ai encore pratiqué tout ce que vous faites ensemble. Je lui ai dit que j’étais un peu jalouse et que j’aurais bien aimé être à sa place. La plupart du temps, je vis seule, avec mes enfants. Depuis mon mariage je n’ai de relations sexuelles qu’avec mon mari. Avec ses longues absences répétées, je ne fais l’amour que rarement. Et encore, il ne s’agit que de coïts classiques qui manquent de fantaisie et de sel. J’aime mon mari, mais sur le plan sexe, ce n’est pas le nirvana. Depuis que Fadéla est venue chez toi la première fois, et qu’elle m’a raconté son bonheur, je n’arrête pas de fantasmer sur toi. J’en ai parlé avec elle et elle est d’accord pour te prêter à moi.
- ….
- Tu es choqué ? Il n’y a pas de quoi ! Fadéla a vécu elle aussi une période de sevrage sexuel. Contrairement à moi, elle n’avait jamais réellement connu les effets de la jouissance physique. Tu les lui as fait découvrir. Moi j’ai eu quelques relations avant mariage et avec mon mari j’ai eu quelques orgasmes, que je pensais être très forts. Mais d’après ce qu’elle m’a raconté, ce n’étaient que de tous petits orgasmes, comparés à ceux qu’elle a avec toi. C’est une amie très chère. Je peux même dire que je l’aime d’amour. Et elle aussi. Il n’y a donc rien de choquant à ce qu’elle partage son plaisir avec moi.
- Tu veux dire que vous avez manigancé ensemble pour me partager ? Comme un objet ! Ce n’est pas très sérieux ! Et puis qui vous dit que je serai d’accord ?
- Moi ! dit la voix de Fadéla qui arrivait les bras chargés d’un lourd plateau portant le copieux petit déjeuner qu’elle venait de préparer.
Elle vint, comme habitude poser le plateau sur mes jambes et m’invita à manger. Elle s’assit sur le bord du lit, du côté que j’occupais. J’invitai Attika à partager le petit déjeuner avec moi. Elle refusa, se contentant d’un verre de jus de fruit. Je commençai à manger, sans trop d’appétit, contrairement à mes habitudes. Fadéla, elle, prit un café noir et continua de parler.
- Je te connais bien ! Je sais que tu aimes les belles femmes ; et Attika est une belle femme ! Une merveilleuse plante, super bandante ! Même moi, en tant que femme, elle me fait de l’effet ! Alors toi ! Ne me dis pas que tu n’as pas envie de la tirer ! Elle te veut et tu la veux ; alors où est le problème ?
- Tu n’es pas jalouse ? Tu veux vraiment que je couche avec ton amie ? Que tu nous regardes faire l’amour ? Et qu’en pense ton amie ?
- Moi je ne peux qu’être d’accord ! affirma Attika.
Je terminai de manger et tendit le plateau à Fadéla qui se leva pour le rapporter à la cuisine. Attika profita de l’absence momentanée de son amie pour venir se lover d’autorité dans mes bras. Toutes ses rondeurs - sa poitrine volumineuse et ses cuisses - vinrent agresser mon corps. Elle me regarda avec ses immenses yeux ronds et noirs et approcha son visage du mien, ses lèvres charnues tendues vers l’avant, pour me donner - ou recevoir - un baiser. A partir de là tout bascula. Je perdis toute maîtrise de moi. J’attirai la tête de la femme et appliquai sur sa bouche un baiser long et violent, pour lui communiquer la montagne de désir qui était en moi. Depuis qu’elle était entrée dans la chambre, j’avais envie de cette femme ; je voulais la tirer. Hypocritement je me retenais. Et maintenant je me lâchais.
Le baiser que nous échangeâmes était en lui-même un acte sexuel fort. Il était tellement torride et mouillé que nous étions emportés par un torrent de plaisir. Nos bouches étaient collées l’une à l’autre, nos lèvres se comportaient comme des ventouses et s’aspiraient goulûment, nos dents s’entrechoquaient. Ma langue pénétra dans sa bouche pour aller à la recherche de la sienne, qui l’attendait de pied ferme. Un temps, elles jouèrent au jeu du chat et de la souris, puis s’affrontèrent, l’une enroulant l’autre et l’autre montant sur l’une. Nous aspirâmes à tour de rôle toute la salive que nos bouches secrétaient que nous avalâmes avec délectation et volupté. Le baiser dura une éternité et nous mena au bord de l’asphyxie. Mon désir de cette femme grandissait au fur et à mesure que durait le baiser. Mon sexe commençait à me faire mal tant il bandait.
Nous nous séparâmes à bout de souffle, sans pour autant nous éloigner l’un de l’autre. Elle continuait à se coller contre moi, en frottant son bas ventre contre le mien. Elle semblait sentir et apprécier le gonflement que faisait mon sexe sur le devant du pantalon de pyjama. Elle s’y frottait avec insistance en me tenant par la taille. Je la regardai faire, en bandant de plus en plus. Je me décidai enfin à prendre les choses en mains. Je fis pénétrer une main sous le haut de son jogging pour lui caresser le dos et lui dégrafer le soutien gorge. Je voulais avoir accès directement à sa poitrine et à ses seins. Elle s’éloigna un peu de moi pour me laisser lui enlever le haut du jogging et découvrir ses merveilleux seins ; des seins ronds et volumineux d’une fermeté étonnante.
J’en pris un dans une main, avec l’intention de l’écraser et de lui faire mal. Elle me regarda faire sans rien dire. Au contact du sein, ma main ne put qu’esquisser une légère caresse, tant la peau était douce et soyeuse. Je ne pouvais pas écraser une telle merveille de douceur et de fermeté. Je me mis à le caresser doucement en insistant sur les larges tétons violacés et ronds. Je la sentis qui se mit à frémir et à pousser de tous petits gémissements. Elle aimait être caressée ainsi, en douceur, sur ses tétons. Je me mis à enrouler ses tétons l’un après l’autre entre trois doigts, tirant d’elle des tous petits cris de plaisir rauques, presque inaudibles. Elle me regardait faire en souriant aux anges.
- Tête-moi ! Fit-elle de sa merveilleuse voix.
Je plongeai aussitôt ma tête sur sa poitrine et posai ma bouche sur le téton que j’étais entrain de caresser. Je me mis à le lécher un petit moment puis à l’introduire dans ma bouche pour le téter goulûment, comme un bébé affamé. Elle me prit la nuque sur laquelle elle appuyait doucement pour me monter son plaisir.
- Caresse-moi l’autre sein !
J’envoyai ma main libre vers le deuxième téton que je me mis à malaxer doucement entre les doigts, tout en continuant la tétée sur l’autre sein. La belle s’était mise à ronronner comme une chatte, se réchauffant au bord de la cheminée. Elle continuait à caresser ma nuque et soulevait de temps en temps ma tête pour me demander de passer. L’opération dura ainsi une éternité, avant que je ne décide à lancer une main vers le bas, vers son jardin secret. Ma main pénétra à l’intérieur du pantalon et de la petite culotte et alla à la recherche du pubis dont elle sentit la fermeté et l’absence totale de poil. Elle s’attarda un moment sur place pour bien s’imprégner de la chaleur et de la douceur de l’endroit, puis alla rapidement à la recherche de la chatte. J’étais gêné par la culotte trop serrée que je m’escrimai à faire descendre le long de ses cuisses, sous le pantalon. L’opération était trop compliquée.
- Enlève ! lui ordonnai-je.
Elle ne se fit pas prier. Elle enleva sa main de ma nuque et entreprit d’enlever en une seule fois le pantalon et la petite culotte, qu’elle envoya de l’autre côté de la chambre. J’enlevai ma tête de sa poitrine et la relevai pour admirer la scène qui s’offrait à mes yeux exorbités. Ce qui s’offrait à mon regard rappelait ces tableaux des dix-huitième et dix-neuvième siècle, représentant de magnifiques femmes nues et bien en chair, allongées sur un lit ou un sofa, et présentant de manière impudique leurs charmes ronds. Attika, nue ressemblait à l’un de ces modèles des peintres de cette époque. Belle et sensuelle ! Je me relevai pour mieux admirer le spectacle qu’elle m’offrait, sans absolument aucune gêne. La nudité semblait être pout Attika, un état naturel, qu’il était malvenu de cacher. Elle était fière de s’exposer ainsi à mon regard concupiscent. Elle souriait de toutes ses dents à la vue de mes yeux qui voulaient sortir de leurs orbites. J’admirai ce corps plein de rondeurs et me mis aux pieds de ma belle pour avoir une vue globale de tous ses charmes.
Attika était aussi blanche que Fadéla avait le teint mât. Elle avait une superbe poitrine forte, avec de gros seins ronds et fermes. La taille était légèrement empâtée mais n’altérait pas l’harmonie d’ensemble. Elle avait un mignon petit ventre qui augmentait, de plusieurs degrés, la sensualité torride qui se dégageait de ce corps nu et offert. Les jambes superbement galbées, légèrement entrouvertes et repliées laissaient apparaître le triangle sombre de son entrecuisse. Je voyais apparaître une chatte aux grandes lèvres dodues et ourlées, superbement dessinées, de couleur sombre, contrastant avec la blancheur laiteuse du reste du corps. J’approchais ma tête du merveilleux jardin pour en humer le parfum et pour y déposer un léger baiser. Elle ouvrit plus grand ses cuisses pour laisser passer ma tête. Elle apprécia le petit baiser que je déposai sur ses grandes lèvres, mais refusa que je quitte l’endroit. Elle appuya fort sur ma tête et ordonna :
- Suce-moi la chatte ! Je veux jouir sous ta bouche !
Je ne me fis pas prier pour entreprendre un cunnilingus d’enfer sur sa chatte. Avec deux doigts, j’écartai les grandes lèvres et plongeai ma bouche sur les petites lèvres rouge vif, brillantes de mouille. Ma langue tenta une pénétration à l’intérieur, allant à la recherche du clitoris et léchant tout sur son passage. J’embrassai, je tétai et je suçai cette merveilleuse chatte au goût légèrement salé et acidulé et au parfum d’ambre. La belle avait certainement parfumée son jardin d’éden, avant de venir me l’offrir. L’odeur était enivrante ; elle ne fit qu’accroître mon excitation. Je fis aller et venir toute ma bouche le long de la fente formée par ses grandes lèvres, lançant ma langue à l’intérieur du vagin. Je suçai et avalai avec gourmandise le liquide qui en sortait en grande quantité.
La belle adorait ce que je lui faisais. Même si mes oreilles étaient enserrées entre ses cuisses, j’entendais, comme venant de très loin, ses gémissements et ses cris de plaisir. Elle bougeait ses hanches de plus en plus vite, en même temps qu’elle obligeait ma tête - par la pression de sa main - à suivre le rythme infernal qu’elle voulait imposer. Je la sentais qui était entrée en elle-même pour savourer son plaisir. Je me dis qu’il fallait encore accroître la densité du plaisir qu’elle prenait en faisant participer son cul. Je fis faire à ma bouche un petit déplacement vers son anus pour le remplir de salive et le mouiller. Je voulus introduire un doigt dans l’anneau et je m’aperçus très vite que l’endroit avait déjà servi et qu’au lieu d’un doigt, c’était au moins deux qu’il fallait pour remplir le trou. J’en introduisis donc deux et me mis à les faire aller et venir dans le boyau aussi loin qu’ils pouvaient parvenir et à les faire tourner de manière à occuper toute la paroi du rectum.
L’effet fut immédiat : Attika poussa un hurlement rauque de plaisir qui venait du fond de sa gorge, en même temps qu’elle accentuait le mouvement montant et descendant de ses hanches ainsi que la pression qu’elle exerçait sur ma tête. Je l’entendais, comme provenant d’un endroit très lointain, lâcher un chapelet de mots que je ne saisissais qu’à moitié, mais dont j’étais sûr qu’il s’agissait de l’expression inconsciente du plaisir qu’elle prenait. Il me semblait qu’il était question de « jouissance », « d’orgasme », « de plaisir », « de pénétration anale », « de gros zob », …
Contrairement à Fadéla qui ne parlait pas en faisant l’amour, se contentant de gémir et de crier son plaisir, Attika ne pouvait s’empêcher de soliloquer et de prononcer des mots crus, qui ajoutaient de l’intensité à son plaisir.
- Baiser ! … Gros zob ! … Enculée ! …Pénétrée ! …Tirée ! …
Et soudain elle arrêta de parler, souleva son bassin au maximum et s’immobilisa quelques secondes. Elle eut un immense râle qui provenait du fond de ses entrailles et la jouissance déferla dans un grondement sourd et éclata dans ma bouche en déversant une tonne de jus. Malgré toute ma bonne volonté, je ne pus avaler la totalité de la cyprine qu’elle secrétait. Une grande partie s’échappa, dégoulina en dehors et alla s’étaler sur le drap du lit. Epuisée, elle s’affaissa sur le lit pour se reposer un peu et reprendre son souffle. Je sortis ma tête d’entre ses cuisses et vins m’allonger près d’elle pour la regarder. Elle était encore en elle-même dans son plaisir et gardait les yeux fermés. Quand elle les ouvrit, elle me lança un merveilleux sourire et me dit :
- Fadéla ne m’avait pas menti ! Tu es un amant merveilleux !
- Bien sûr que je n’ai pas menti ! répondit la voix de Fadéla, dont on avait oublié jusqu’à l’existence.
Je sursautai en me retournant. Elle était là, assise au bas du lit. Elle avait certainement assisté à toute l’opération. Elle avait un sourire ironique sur les lèvres, mais ne semblait ni en colère, ni même contrariée. Elle s’approcha de nous en venant se mettre à mes côtés et en me poussant pour que me retrouve entre elles deux.
- Elle est superbe, n’est-ce pas ? me dit-elle en désignant Attika du menton. Elle n’est pas seulement belle ; elle est aussi très sensuelle. Et en plus elle aime l’amour libre ! Je crains que tu finisses par la préférer à moi ! Que tu m’abandonnes pour elle !
- Mais non ! Mais non ! répondit Attika. Il est maintenant à nous deux ! Ensemble ou séparément ! Moi j’aimerais bien qu’il nous baise toutes les deux ensemble ! Je voudrais te voir jouir sous les coups de son gros zob ! J’aimerais te voir complètement soumise, hurlant ton plaisir en jouissant comme une chienne ! Je voudrais te voir remplie de son sperme et me demander de l’étaler sur ta poitrine et de venir te lécher !
- Tu veux vraiment ? ça te plairait ?
Sans attendre de réponse, Fadéla enleva sa djebba et resta en petite culotte et soutien gorge. Elle me regarda avec insistance et ordonna :
- Viens baiser ta chienne ! Viens la faire jouir, devant ta nouvelle maîtresse ! Viens la remplir de sperme ! Laissons-la se rincer l’oeil!
D’un geste rapide, elle retira son soutien gorge et sa culotte, qu’elle envoya au loin da l’autre côté de la chambre. Elle voulut lever ses jambes pour que je la tire dans la position allongée sur le dos. J’arrêtai son mouvement en lui demandant de se mettre à quatre pattes pour que je la prenne en levrette. L’idée lui plut (et à Attika aussi). Elle se mit donc à quatre pattes, les hanches relevées au maximum et la tête enfoncée dans l’oreiller. Je me plaçais derrière elle, en lançant un regard à Attika, qui souriait et suivait avec attention tout ce que nous faisions. Je sortis mon gourdin du pantalon de pyjama. Il était au maximum de son érection. Il dardait comme un glaive menaçant et vibrait d’impatience. L’opération précédente de cunnilingus et le contenu de la discussion qui s’en était suivie l’avaient mis dans un état d’excitation exceptionnel. J’introduisis le bout du gland entre les grandes lèvres pour en tester l’humidité. Le lieu était déjà bien mouillé. Je fis aller et venir plusieurs fois le gland dans la fente pour étaler la mouille au maximum et préparer l’entrée du monstre dans la grotte.
Je l’enfonçai brusquement jusqu’au fond, tirant de ma maîtresse un petit cri de surprise et de douleur. Cela ne m’arrêta pas. Je connaissais maintenant parfaitement ma mie ; je savais qu’elle aimait que je la tire, comme cela, en force et qu’elle n’allait pas tarder à se mettre à gémir et à pousser des petits cris de plaisir. Je savais qu’elle n’allait pas non plus tarder à bouger ses hanches pour accompagner les va-et-vient de mon manche dans son vagin et à m’inviter à y aller plus fort et plus vite. C’est effectivement comme cela que les choses se passèrent : Fadéla se mit à pousser des petits cris qui se transformèrent rapidement en sifflements, à balancer sa tête dans tous les sens, en des mouvements saccadés qu’elle n’arrivait pas à contrôler et à lancer son bassin en arrière, pour me pousser à aller au plus profond de son tunnel. Elle ne parlait pas, mais tout son corps, tous ses muscles criaient qu’elle prenait un immense plaisir à se faire tirer comme cela, en force.
Moi-même j’étais au paradis. Mon sexe avait trouvé un nid si accueillant, si chaud, si doux et tellement moulant, qu’il en bavait de plaisir. Je le faisais sortir totalement de la chatte, le montrant au passage à Attika - qui ne perdait pas une miette du spectacle et qui en bavait d’excitation - et le replongeait en force au fond du tunnel. Je recommençais ainsi jusqu’à ce que je sentisse le corps de Fadéla se crisper et sa respiration s’arrêter. J’accélérai le mouvement de va-et-vient de l’engin dans sa chatte et lançai en même temps ma main droite pour tripoter le mamelon de son sein.
Elle arrêta ses gémissements et sa respiration, poussa très fort ses fesses en arrière pour faire pénétrer mon sexe au plus profond de ses entrailles et éclata dans un énorme râle de plaisir. Elle se mit à décharger des litres de cyprine qui dégoulinait en dehors de sa chatte, expulsés par les va-et-vient de mon engin. Elle tourna la tête vers moi, comme pour me prier de ne pas m’arrêter de la piner. Elle voulait que le plaisir qu’elle prenait continuât longtemps. Je continuai à la pilonner au même rythme, sentant que moi aussi, je n’allais pas tarder à éclater et à éjaculer les litres de foutre que j’avais emmagasinés. Mais je ne voulais pas éjaculer à l’intérieur de sa chatte ; je voulais le faire sur son visage et sa poitrine. Je voulais voir Attika tenir sa promesse de tout lécher.
Sentant arriver la délivrance, je sortis le sexe du vagin de ma partenaire, la pris par la taille et la retournai sur le dos. Je me branlai fortement pour faire venir l’éjaculation. Celle-ci arriva, pas aussi intense que dans son vagin ou sa bouche, mais avec assez de force pour lui remplir le visage, le cou et la poitrine. Elle me regardait avec les yeux remplis de bonheur qu’elle avait chaque fois qu’elle jouissait, et me lança :
- J’ai été bien, n’est-ce pas !
- Oui tu as été merveilleuse, comme à ton habitude ! Demande à Attika de tenir sa promesse et de venir lécher mon sperme sur ton corps. J’ai vraiment envie d’assister à une telle scène !
- Viens, ma chérie ! fit-elle à son amie,
Attika, que la scène à laquelle elle venait d’assister avait très fortement excitée, ne se fit pas prier pour prendre ma place entre les jambes de Fadéla et se mettre à lui étaler avec les doigts le sperme qu’elle avait sur la poitrine, sur les seins et sur le cou. Elle s’y prenait avec une telle douceur, que Fadéla s’était mise, sans même s’en rendre compte, à ronronner de plaisir. Attika approcha ensuite sa tête des seins de sa partenaire et sortit la langue pour lécher et avaler tout le sperme qu’elle ramassait. Le spectacle était tellement érotique, que je me remis à bander comme un âne. Elle continua longtemps à lécher la poitrine puis le cou de sa partenaire. Elle s’attaqua ensuite au sperme qui était sur son visage. Elle refit la même chose, sauf que cette fois au lieu d’avaler elle-même le foutre qu’elle ramassait, elle le déposait dans la bouche de Fadéla qui s’empressa de l’engloutir. Elle refit plusieurs fois l’opération, jusqu’à ce qu’il n’y eut plus aucune trace de sperme sur le corps et le visage de Fadéla. Attika fit alors une chose que je ne pensais pas qu’elle allait faire. Elle embrassa son amie sur la bouche ; doucement d’abord, craignant certainement un geste de rejet, puis plus passionnément.
A ma grande surprise, Fadéla rendit le baiser à Attika avec la même passion. J’eus l’impression furtive, que les deux amies étaient entrain de faire ce qu’elles désiraient faire depuis très longtemps, mais que ni l’une ni l’autre n’avaient eu le courage d’entreprendre. Probablement à cause des tabous et des atavismes sociaux. Je regardais émerveillé, mes deux maîtresses se rouler des pelles de plus en plus torrides. Je voyais la main de Attika s’emparer d’un des seins de Fadéla et le caresser avec délicatesse. Je voyais Fadéla prendre la main de son amie et la porter à sa bouche pour l’embrasser. Je voyais les deux corps se coller l’un à l’autre et bouger en cadence. Je voyais la jambe de Attika pénétrer entre les cuisses de sa maîtresse et lui caresser la chatte avec son genou. Je voyais Attika descendre entre les jambes de Fadéla et plonger sa tête entre ses cuises et se mettre à lui sucer la vulve. Je voyais Fadéla gémir de plaisir et prendre la tête de sa compagne pour l’aider à aller et venir sur sa chatte.
Fadéla me regardait et me souriait. Elle voyait que j’aimais la scène à laquelle j’assistais et n’eut donc aucun scrupule à se laisser aller. Elle gémissait et bougeait ses hanches au rythme du cunnilingus que lui appliquait son amie. Je me tenais au bas du lit et pouvait ainsi voir la scène dans sa totalité. Je voyais surtout le joli cul de Attika qui me faisait face. J’eus soudain envie de participer à la scène. Le cul de Attika m’attirait comme un aimant. J’avais envie de l’entreprendre. Je savais qu’il avait déjà servi et qu’elle n’avait donc pas de blocage concernant la sodomisation. Je voulais aussi montrer à Fadéla qu’une femme peut prendre du plaisir en se faisant enculer. Je m’approchai donc et pris Attika par les hanches pour la positionner convenablement. Elle retira un moment sa tête d’entre les cuisses de sa partenaire, me regarda et, en m’envoyant un sourire éclatant, me dit :
- Oui, occupe-toi de mon cul pendant que je m’occupe de celui de ma petite chérie !
Elle replongea aussitôt sa tête entre les cuisses largement ouvertes de Fadéla, qui avait fermé les yeux pour mieux entrer en elle-même et ressentir le maximum de plaisir. J’écartai les fesses de Attika pour avoir accès à l’anneau de son anus. Je le voyais palpiter. Je mis un peu de salive sur mes doigts pour en enduire l’entrée du trou ; j’en mis aussi sur le gland de mon sexe ; positionnai ce dernier sur l’anneau, et d’un coup de rein brusque, enfonçai tout le membre jusqu’au fond. Je la sentis se crisper ; certainement à cause de la douleur. Le cul de Attika avait certes servi, mais il y avait certainement très longtemps. Le boyau était étroit et serrait mon sexe comme une main qui serait entrain de le masturber. Il était doux et chaud. Mon membre était heureux de prendre possession de ce superbe cul. Il y allait franchement. Je tenais Attika par les hanches et faisais faire aux miennes des allers-retours de plus en plus longs et de plus en plus rapides. Je faisais sortir l’engin jusqu’à l’entrée du cul et le faisais repartir en force jusqu’au fond. Je gémissais de plus en plus fort. Je sentais la jouissance et l’éjaculation arriver à grande vitesse. Je sentais aussi que Fadéla était sur le point de jouir sous la bouche et les mains de Attika.
L’orgasme arriva en même temps pour Fadéla et pour moi. Elle déchargea en criant dans la bouche de sa partenaire, dont elle ne lâchait pas la tête enfoncée entre ses cuisses, et dont elle semblait exiger de boire tout le jus qu’elle avait sécrété. Je ne voyais pas ce qui se passait entre les cuisses de Fadéla, mais j’étais sûr que Attika était entrain d’avaler avec délectation toute la cyprine de sa maîtresse. Moi aussi je me mis à éjaculer, en poussant un râle de mourant, une grosse quantité de sperme dans le cul de ma partenaire. Je continuai à la pilonner un long moment, expulsant par la même occasion le foutre hors du rectum. Harassé et heureux, je sortis du cul de ma belle pendant qu’elle-même sortit sa tête d’entre les cuisses de sa partenaire. Nous étions tous les trois fourbus.
Ce fut Atika qui la première parla, en s’adressant à moi.
- Approche-toi, mon chéri, je vais m’occuper de nettoyer ton engin avec ma bouche.
- Tu es folle ! cria Fadéla. C’est sale !
- Non c’est érotique ! Tu devrais essayer ! Aller viens ! Fais comme moi !
- Non ! Pas question !
Attika se mit à genoux au bas du lit et me fit assoir de manière à présenter mon sexe quelque peu ramolli devant sa bouche. Elle se mit à le lécher et à le nettoyer du reste de sperme et du produit du ramonage de son cul. Elle levait la tête de temps en temps pour regarder son amie et lui lancer un sourire moqueur.
- C’est vraiment super ! Viens essayer ! Tu vois comme cela lui plait. Regarde son manche comme il est entrain de frémir et de se remettre à bander ! Bientôt il redeviendra aussi grand et gros que tout à l’heure quand il m’a enculé. Aller viens participer à son réveil. C’est toi qui en profiteras.
Fadéla se laissa convaincre et vint prendre la place de son ami. Mon sexe était redevenu propre. Elle se mit à me lécher, puis sucer le gland, avant de tout faire pénétrer dans sa bouche pour une fellation d’enfer. Je m’étais remis à bander fortement. Je regardais Fadéla, toujours toute nue, à genoux devant moi. De haut je voyais ses belles hanches et la courbe de son fessier. Je me suis soudain rappelé que jamais je n’avais réussi à la convaincre de m’offrir son cul. Je me dis que c’était là l’occasion de l’enculer ; avec l’aide de son amie. M’adressant à Attika, je lui dis :
- J’ai toujours eu envie de l’enculer, mais elle a toujours refusé. Dis-lui toi combien c’est bon !
- Bien sûr que c’est bon ! Moi j’adore ! Dans ma jeunesse, avant de me marier je me faisais très souvent enculer ! Maintenant que je suis mariée, cela me manque énormément. Ne me dis pas que tu ne lui as encore jamais offert ton cul ! C’est un crime ! Lui il adore ! Rien que pour cela tu dois le laisser te prendre par derrière. Et si tu n’aimes pas, si tu n’y trouves aucun plaisir, il ne recommencera pas ; il se contentera de mon cul à moi !
- C’est malhonnête ce que vous êtes entrain de faire ! C’est un vrai chantage ! Si je ne lui donne pas mon cul, cela veut dire que je ne l’aime pas assez. Et que toi tu l’aimes plus que moi
- Oui c’est bien ça ! Ou tu te laisses baiser par derrière et nous partageons, ou il ne le fait qu’avec moi et alors tant pis pour toi qui ne lui donneras du plaisir qu’à moitié !
- Salauds !
Elle resta par terre et se mit à quatre pattes en me présentant ses superbes fesses. Je n’eus absolument aucun scrupule à profiter de la situation. Mon sexe qui sortait des bouches de mes deux amies s’était remis à bander et avait repris ses dimensions d’érection. Je dis à Attika de s’occuper de mouiller l’anus serré de son amie et d’y enfiler deux doigts pour l’élargir. Je préférais que ce soit elle qui s’en chargeât afin de mieux la préparer à la saillie. Attika fit très consciencieusement ce que je lui demandais. Elle semblait même y prendre beaucoup de plaisir. Elle fit pénétrer un doigt qu’elle enfonça profondément et qu’elle se mit à faire tourner à l’intérieur. Fadéla avait mal, mais resta stoïque. Attika en profita pour l’embrasser sur le dos, lui caresser la croupe, et entreprendre sa chatte avec son autre main. Quand elle sentit que son amie était un peu plus apaisée et que le boyau s’était bien habitué à la présence de son doigt, elle y fit pénétrer un deuxième avec lequel, elle élargit encore plus le tunnel. Elle me fit signe de prendre sa place. Ce que je fis, bien que je sentais de la réticence de la part de Fadéla, qui devait avoir peur de la douleur que ne manquera pas d’entraîner la pénétration du sexe.
Je me décidais à y aller franchement ; à la prendre à la hussarde. De toutes les façons, me dis-je, elle aura mal. Autant qu’elle ait mal pendant un court instant et qu’ensuite elle s’habitue au manche qui la pénètre. J’étais convaincu, qu’avec l’aide de Attika, elle finira rapidement par aimer la sodomisation. Je la pris donc en force, lui faisant pousser un très fort cri de douleur, que Attika atténua en l’embrassant sur la bouche. Je restai un moment au fond de son cul, le temps que la douleur s’amenuise et que Attika, qui se tenait à genoux devant elle, se mette à lui caresser les seins, à lui relever la tête pour l’encourager et à la couvrir de baisers. Je fis faire à mon membre un mouvement de retrait jusqu’à la limite de l’anus et repartis, aussi franchement qu’au début, au fond du cul. Elle cria encore de douleur ; moins fort. Je fis d’autres allers-retours dans le boyau, jusqu’à ce qu’il soit complètement lubrifié et que mon membre arrive à se déplacer facilement, sans plus lui faire mal.
Attika, fit redresser légèrement notre maîtresse pour pouvoir avoir accès à son pubis. Elle envoya sa main à la recherche de sa chatte et se mit à la caresser. Je sentis Fadéla qui se relâchait en accueillant les doigts de son amie. Elle aima immédiatement les caresses, lesquelles conjuguées à mes coups de boutoir dans son cul, lui procuraient un plaisir de plus en plus intense. Elle ne savait pas ce qu’elle aimait le plus : les doigts qui pénétraient profondément dans sa chatte ou ce gros zob qui était entrain de lui défoncer le cul. Ou bien la rencontre des deux à travers les fines parois de son vagin et de son rectum. Elle poussait de tous petits cris de plaisir à chaque fois que les doigts et le zob se croisaient et se frottaient. Elle avait le front posé contre la poitrine nue de son amie qui se tenait devant elle et qui la masturbait consciencieusement. Elle gémissait et bavait entre les seins de Attika. Et soudain, sans aucun signe précurseur, elle eut un orgasme violent et bruyant et déchargea sur les doigts et la main de sa maîtresse, qui s’était remise à l’embrasser sur la bouche, avalant au passage toute la salive qu’elle déversait.
Je n’arrêtais pas pour autant mes coups de boutoir dans le cul de ma belle. Je voulais jouir en elle et lui remplir le rectum de sperme. Je voulais qu’elle connaisse la sensation de son cul plein d’un liquide étranger qui ressort à l’extérieur à chaque aller-retour du zob. Je voulais qu’elle ressente la sensation de vide que crée la sortie définitive du sexe de son cul. Je voulais que cette sensation de vide lui fasse regretter le zob qui occupait tout l’espace. Rapidement je me mis à éjaculer tout le sperme qui restait encore en moi - moins épais et dru, mais toujours abondant – que les va-et-vient de l’engin ne tardèrent pas à expulser vers l’extérieur. Epuisé, je m’affalai sur le dos de ma partenaire, pendant qu’elle-même reprenait son souffle dans les bras de son amie. Nous formions ainsi un fabuleux trio, chacun de nous collé à son partenaire, pour former un corps unique, qui devait être d’un érotisme d’enfer.
Je sortis du cul de Fadéla et la retournai pour qu’elle vienne dans mes bras. Je lui donnai un long baiser, doux et tendre, pour lui montrer à quel point j’avais apprécié la séance précédente et à quel point je lui étais reconnaissant d’avoir accepté de faire ce qu’elle avait toujours refusé auparavant.
- Rassure-moi, dis-moi que tu as aimé ! Que nous allons recommencer !
- Oui ! fit-elle dans un souffle. Vous m’avez convaincu ! Cela m’a fait très mal ! En fait cela me fait encore très mal ; je crois que je ne pourrai pas m’asseoir avant longtemps. Mais c’est vrai que c’est bon ! Surtout avec la participation de Attika ! Tu sais ce qui est extraordinaire, c’est que tu as réveillé en moi le sentiment enfoui depuis très longtemps de mon amour pour Attika. Je crois que je l’ai toujours aimée et que j’ai toujours eu envie de faire l’amour avec elle.
- C’est la même chose pour moi ! J’aime Fadéla et je crois que personne ne pourra plus nous séparer.
Et de fait notre trio dura plusieurs années, jusqu’à ce que Attika finisse par déménager (son mari avait gagné assez d’argent pour terminer la construction de leur villa) et que Fadéla quitte son mari et ses enfants pour retourner vivre chez ses parents et reprendre son travail d’infirmière. Les derniers mois de notre relation à Fadéla et moi, furent plutôt moroses : Elle continuait à venir tous les matins et à se donner à moi. Mais depuis quelques temps, les disputes avaient repris dans l’appartement du dessous et chaque matin, mon amie arrivait fourbue et triste.
- Je n’en peux plus ! Je supporte de plus en plus mal la vie que je mène ! Il n’y a aucun avenir pour moi en dessous ! Il faut que je trouve une solution !
Et un jour, elle opta pour la seule solution qui existait. Celle de fuir son mari et ses enfants, retourner chez ses parents et reprendre son travail. Par la même occasion elle me quitta moi aussi, me laissant seul et désemparé. Je n’eus plus de ses nouvelles que par Attika, avec laquelle elle était restée en relation téléphonique. Attika, même si elle avait déménagé (pas très loin du quartier où je vivais) me rendait visite de temps en temps pour faire l’amour, mais surtout pour vivre avec moi quelques moments de grande nostalgie. Et même elle, avait fini par ne me rendre que des visites très éloignées, jusqu’à disparaître totalement.
Je garde tout de même de mes deux amours un souvenir impérissable d’un bonheur sans faille et d’un érotisme sans limites. A ce jour, je n’ai pas encore retrouvé de relations amoureuses d’une telle intensité.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
au debut tu m as trop excite puis a la fin tu m as presque fais pleurer cadre en
retraite 57 ans tres viril comme toi
retraite 57 ans tres viril comme toi
TRES EXCITANTES
Je suis tt proche de vs, vierge de 20 ans, et je ne peux m'empécher de fantasmer sur
votre énorme outil a chaque fois que l'occasion de présente... J'en ai tellement envie
parfois. Bravo pr tous vos écrits. Contactez moi ...
votre énorme outil a chaque fois que l'occasion de présente... J'en ai tellement envie
parfois. Bravo pr tous vos écrits. Contactez moi ...
fin triste , comme d'habitude qui me rend,malgré tout nostalgique
a quand une fin heureuse ?
tres bonne histoire
a quand une fin heureuse ?
tres bonne histoire