Faits vécus réels - histoire érotique

Nouvelle histoire, voyeurisme. Je me trouvais sur une île à l'époque, adolescent à l'époque. Il faisait très chaud , je sortais de mon collège et ayant loupé le car qui devait me ramener à demeure, je vivais avec mes parentes, soeurs et frères, j'ai dû faire tout le trajet à pieds. Faute de la chaleur asse forte, je transpirais et arrivé à mon adresse, j'ai décidé de prendre une bonne douche après avoir pris une boisson rafraichissante. Cela fait, je suis aller vers ma chambre afin de poser mes affaires, puis de me dévêtir afin de mettre sur moi, des vêtements plus léger et sec puisqu'ayant bien transpiré. Je suis allé vers la salle de bain, ou je me suis de nouveau déshabillé, gardant sur moi, juste mon slip et le teeshirt, ainsi que le short que je portais sur les fesses, que j'avais suspendu sur un portant fixé sur la porte de la salle de douche. Au dessus de cette porte, se trouvaient de sortes de lamelles vitrées ou était rattaché une chainette afin de pouvoir les ouvrir afin d'évacuer la vapeur d'eau lors de la douche. Je prenais mon temps pour tout disposer ce dont j'avais besoin pour prendre ma douche, savon, shampoing, gant de toilette et serviette. Une fois fait, j'avais ôté mon slip, me trouvant ainsi, entièrement nu, quelques mouches même me tournant autour, dont quelques taons même que je chassais de la mains tant bien que mal, qui tentaient de me piquer ici et là sur mon corps. Déjà, de me trouvé comme étant livré en proie à des insectes, malgrés le fait de craindre quelques piqures surtout sur les zones les plus délicates de mon anatomies,la peur que des mouches piqueuses ou taons surtout, atteignent mes paries intimes, parties sexuelles, les fesses, cuisses, bref, mais, malgré tout, cela m'excitait asse fortement. Je fantasmais des scènes de soumission à dame nature, à ses insectes que j'imaginait me dominer afin de m'explorer, de m'exploiter, voir de me consommer, façon de nommer. Ce qui provoquait faute d'excitation, un début d'érection de mon pénis. Malgré mon excitation, je poursuivais à m'assurer que j'avais bien tout ce qu'il me fallait pour me savonner corps et cheveux puisque allant faire aussi mon shampoing. Je me trouvais de plus en plus excité, le désir de me caresser, de me masturber en un mot. Mais, je m'arrangeais pour retarder l'éjaculation, ou de me laisser trop vite jouir. Durant tout ce temps, seul chez mes parents puisque tous étaient sorti, parents, soeurs et frères, la porte d'entrée principale de le maison étant resté ouverte, je veux dire que la porte n'était pas forcément fermé à clef, juste rabattue si peux ainsi dire, une personne, voir une fille adolescente elle aussi, était coutumière, une habituée de la famille et copine de mes soeurs, qui fréquentait même collège et classe que mes soeurs, Nathalie, son prénom était entrée qui c'était quand même annoncé afin de signaler sa présence. Lui ayant répondu que j'était seul présent dans la maison, que tous étaient de sorti, qui voulait savoir où je me trouvais, je lui donc fait que j'étais en train de me doucher et que je viens juste de rentrer du collège. Un silence c'était fait, silence qui n'à pas duré très longtemps. Je ne me suis pas aperçu , parti à me concentrer sur ma toilette et mes pulsions sexuelles liés aux insectes qui m'excitaient en virevoltant autour de mon corps nu, mes fantasmes et envies de me masturber, que Nathalie avait saisi un tabouret, ou une chaise, je ne sais pas trop, qui était monté dessus pour atteindre les lamettes de verres à moitié ouvertes, cela pour profiter de me voir, me regardant être tout nu pendant que je me trouvais sous la douche à me savonner, le zizi raide en plus. Elle devait bien deviner les choses. J'avais bien entendu un bruit, mais sans certitude réelle du sujet, que je me faisais observer par cette adolescente, ou Nathalie qui était asse penché sexe, ou de mon sentiment, aimant me lorgner finalement. J'ai pu savoir les choses à son sujet, sa présence, le fait qu'elle s'était hisser sur le tabouret, ou la chaise, pour me regarder à me laver, mais à me toucher, ou me masturber en usant du gant et du savon pour se faire, car elle s'était trouvé surprise par l'arrivée de mes soeurs qui elles, revenaient de leur collège, Nathalie n'ayant pas entendu entré mes soeurs puisque très concentré sur moi, qui me trouvais sans que je m'en rende compte sur le coup, livré, en plus des mouches, en proie à ses regards, ses fantasmes je supposes, dont elle devait se trouver elle même, excitée. Je ne saurais dire si en même temps qu'elle me regardait, me voyait me laver, me savonner, cela de la tête aux pieds, parties intimes comprises, en plus de me masturber en même temps, si cela l'excitait de percevoir ma verge en érection, en plus de mes testicules, toutes mes parties intimes en fait, si Nathalie devait mouiller, se caresser aussi, se toucher, devait elle s'exciter de moi, imaginer des scènes, avait elle des envies sexuelles de faire des choses avec moi, tout cela, je ne le saurais jamais. J'aime de tels moments où je ne peux décider des choses sexuelles de la vie, des choses que je ne choisi pas forcement qui puisses me tomber dessus, que je ne peux métriser, contrôler, des choses du sexe qui puissent se produire et dont je ne penses même pas qui puissent se réaliser, qui ne me laisse même pas choix en rien, de quoi qu'il en soit de moi.