Famille d'accueil - histoire érotique

Gérard, était un mari parfait, jusqu'au jour où il s'est mis à boire. Pendant ses délires alcooliques, Gérard chante à qui veut l'entendre, que sa femme Louisette le trompe avec une grande partie du petit village, bien que cela ne soit que pure invention. Cela suffit pour faire jazzer. Depuis, il est violent, et d'une mauvaise foi incroyable. Les commères, déversent, au passage de Louisette, des propos venimeux, sans fondements. Souvent Louisette fait ses courses avec ses bleus, sur le corps, et les yeux tuméfiés. Quelques cachent comme elle peut avec de grosses lunettes noires.


PLus les jours passent, plus les scènes de violences fréquentes. Louisette n'en peut plus, souvent, elle envisage de divorcer. Mais, elle est dépendante de son mari, depuis qu'elle s'est mariée, il a toujours refusé qu'elle travaille. Par la force des choses, malgré les menaces de Gérard, elle trouve un emploi dans une ferme voisine, elle seconde Marthe, la femme de Charles, les patrons. Elle aide à nourrir les animaux, fait l'entretien de la maison et prépare les repas avec la patronne. La ferme est composée d'un couple de m'étayer, qui font pratiquement partie de la famille. Charles, le patron et son épouse Marthe sont très familiers avec leur personnel. Marthe, sympathise rapidement avec Louisette, qui ne rechigne pas à la tâche. Peu à peu les deux femmes deviennent intimes, Louisette raconte sa vie d'enfer qu'elle mene avec son mari. Plus les jours passent, Louisette est de moins en moins chez elle, cela ne fait pas le bonheur de Gérard qui n'a plus de souffre-douleur à portée de la main. Une ultime raclée, décide Louisette de quitter la maison, elle est accueillie à bras ouverts chez ses employeurs. Tous à la ferme la considèrent faisant partie de la famille. De plus en plus Louisette devient fusionnelle avec ses patrons. Le soir, elle se blottit soit contre Charles, soit contre Marthe pour regarder la télé. Louisette reprend du poil de la bête, elle est plus souriante, plus joyeuse, souvent, on l'entend chanter pendant son travail. Cela fait sourire ses bienfaiteurs, qui la considère comme leur propre enfant.



Maintenant, elle va au marché avec Marthe bras dessus bras dessous, les ragots vont bon train, les envieux parlent de ménage à trois, voir de partouzes avec les métayers. Marthe les toise de haut en souriant, et pour mettre de l'huile sur le feu embrasse Louisette sur le visage en la serrant très fort et en l'appelant ma chérie. Cela fait bondir les commères, surtout rire Marthe et Louisette, qui en rajoutent toujours un peu. Un jour, Marthe prend la main de sa protégée, la lui serre très fort et lui donne plein de baisers dessus. Louisette a un petit geste de recule, qui fait sourire Marthe. Le soir, blottit contre Marthe, dans le canapé, Louisette ronronne de bonheur. Elle sent contre sa cuisse, celle de Marthe, le fin tissu des jupes, ne peut retenir la chaleur qui émane des cuisses appuyées l'un contre l'autre. Louisette ferme les yeux, elle est bien contre Marthe. Marthe d'un côté, Charles de l'autre, Louisette est bien encadrée. Charles, sans arrière-pensées, caresse doucement la cuisse de Louisette qui ronronne encore plus fort. Marthe tourne la tête vers elle, lui relève le menton avec deux doigts et en déposant bun baisers= sur ses lèvres lui dit :


-Je t'aime ma chérie, depuis que tu es entrée dans notre vie, nous voguons Charles et moi sur un nuage de bonheur, je te remercie pour le bonheur que tu amène à la ferme !


Les yeux de Louisette s'emplissent de larmes de bonheur, elle qui n'a connu que les coups depuis des années, fond tellement elle est émue. Marthe appuie plus fort ses lèvres sur celles de Louisette et lui donne un baiser très bruyant. Louisette regarde Marthe et lui dit :


-Moi aussi je vous aime tous les deux, vous avez sonné un sens à ma vie, je ne sais comment vous remercier !


Marthe répond par un sourire, l'enlace en la serrant très fort dans ses bras, en lui couvrant le visage de petits baisers qui souvent dérapent et atterrissent sur ses lèvres. Charles regarde le couple enlacé, en souriant, il presse la cuisse de Louisette plusieurs fois avant de reprendre ses douces caresses. Louisette nage dans le bonheur, cela fait des années que personne ne lui accordait autant d'intérêts. Marthe la tient toujours dans ses bras, les visages sont si près que les soufflent se mêlent. Les yeux, dans les yeux, les deux femmes semblent sur une autre planète. Marthe devient plus audacieuse, elle fait glisser sa langue sur les lèvres de Louisette, qui ne refuse pas cette petite agression, au contraire, elle pousse un soupir bruyant, puis entrouvre les lèvres. Habilement la langue s'engouffre dans la petite ouverture, et se noue, comme un reptile qui cherche à s'accoupler, à la langue de Louisette, qui souffle fortement. Charles est émerveillé, il regarde les deux femmes qui échangent un baiser tendre, qui devient rapidement fougueux.



La main de Charles glisse doucement sous la jupe et monte doucement à la conquête de terres inconnues. Mécaniquement, Louisette ouvre timidement les cuisses. La main passe plusieurs fois sur sa vulve qui n'est protégée que par le fin tissu de la culotte. Le baiser cesse, Marthe se redresse, elle regarde amoureusement Louisette, lui retrousse la jupe et observe la main de son mari qui voyage sur la culotte qui peu à peu s'humidifie. Elle reprend les lèvres de Louisette et lui dévore la langue en grognant. Les souffles s'accélèrent, les respirations deviennent bruyantes. Les doigts agiles de Charles malaxent les grandes lèvres au travers la culotte. La vulve est devenue un ruisseau intarissable. Louisette est chaude comme de la braise, l'acte d'amour cela fait bien longtemps qu'elle ne l'a plus fait. Pendant les absences de son mari alcoolique, les seuls plaisirs, ce sont ses doigts qui lui ont procuré pour oublier ses violences. Marthe délaisse Louisette, elle la regarde et lui prend la main, elle se tourne vers son mari et dit :

-Je crois, mes chéris, que nous serions mieux au lit !


Sans dire un mot, le trio se dirige vers la chambre. Lentement Marthe dévoile le corps de Louisette, les yeux des deux patrons, se posent sur les formes avantageuses de Louisette. Elle porte encore sur ses fesses des marques anciennes qui ont beaucoup de mal à disparaître. Marthe, elle aussi, retire ses vêtements, quant à Charles, il est déjà nu. Louisette regarde la verge qui balance entre les cuisses de l'homme. Le bougre est gâté par la nature, il est membré comme un poney. Il avance vers les deux femmes en souriant. Marthe caresse les fesses de Louisette qui ont connu des violences inouïes, elle lui donne plusieurs baisers dessus comme pour faire disparaître les marques bleues, noires, fortement incrustées dans la chair.