Famille dépravée 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Famille dépravée 2
Après une bonne douche et un déjeuner copieux, les quatre vont sur la terrasse profiter des rayons du soleil. Cela fait que quelques minutes qu'ils sont installés, que Lisette commence à s'agiter, elle regarde sur sa tablette un film porno. Sa main est sous sa jupette ultra-courte, et agace son clito au travers de sa culotte.
Sa maman s'approche en dodelinant de la tête, elle retrousse la jupe de sa fille, en disant :
-Mon Dieu sa culotte est trempée, elle n'en a jamais assez cette petite salope, regardez comme elle se branle !
Tous se redressent de leur siège pour regarder Lisette se masturber. Adeline s'approche, elle ravale sa salive en disant :
-Sœurette, combien de fois, tu te branles par jour !
Lisette, a les yeux qui luisent, elle dit entre deux respirations :
-Oh le plus de fois possible, j'adore la masturbation surtout lorsque je n'ai pas de bite à ma disposition, regarde comme mon clito est gonflé Adeline !
Lisette se lève, retire sa culotte et reprend place sur son transat. Elle ouvre largement les jambes, et exhibe sa boule de chair qui est incroyablement gonflée, sans brutalité, elle caresse la grosseur. Lisette se cambre en offrant aux doigts tremblants de sa sœur sa perle d'amour.
Adeline la saisit doucement entre son pouce et son index. Elle entreprend un doux branlage qui fait geindre Lisette. Immédiatement, un petit attroupement se forme autour d'eux.
Pendant qu'Adeline fait un petit plaisir à sa sœur, son oncle lui relève la jupe et lui plaque sa main sur les fesses, elle glisse sur les demi sphères, passe entre les cuisses pour caresser lentement la fente cachée sous un fin tissu. Adeline mécaniquement écarte un peu plus ses jambes pour faciliter l'accès à son fruit. Rapidement, sa chatte se met à suinter. Elle doit délaisser le clito de sa sœur, pour savourer la douceur des doigts sur sa fente. Lisette n'est pas contente, elle proteste :
-Oh non, continue Adeline, c'était si bon !
C'est sa maman qui prend le relais, Adeline et Lisette geignent à l'unissant sous les doigts habiles. Le tonton bascule Adeline sur la petite table en rotin et lui arrache la culotte. Il la passe sous son nez et hume l'odeur que dégage le tissu. Il dit en souriant :
-Hum ta culotte sent l'amour, laisse-moi te bouffer l'abricot ma chérie, après, je t'enfoncerai ma bite dans le ventre pour te faire gueuler de plaisir !
Adeline, chauffée à blanc, ouvre le compas que forment ses jambes. Victor pendant un moment regarde la chatte ruisselante de sa nièce. Il dit en se pinçant les lèvres :
-Je suis sûr que tu es aussi chaude que ta maman, je vais me régaler !
Sans en dire plus, il plaque sa bouche sur le fruit trop mûre qui rejette son jus. Voracement, le tonton lui dévore la chatte en grognant comme un fauve. Le souffle d'Adeline s'accélère.
Roger a retiré son pantalon, sa bite est dressée comme un mat. Il profite que sa femme se penche pour gober le clito de sa fille Lisette pour lui relever la robe et lui écarter la culotte. Il lui enfonce sa bite profondément dans le ventre, en la faisant cabrer.
Lisette gémit, Adeline l'imite, pendant que leur maman se fait honorer par leur papa. Les trois femmes gémissent comme des bêtes malades. La première à jouir, c'est Adeline qui hurle :
-Oh tonton, tonton, oui, oui !
Lisette joint ses gémissements à ceux de sa sœur ainée, elle se cabre et appuie, sur la tête de sa maman qui ne cesse de lui sucer le clito. Elle pousse un cri :
-Oh putain, oui, oui, maman continue, je vais jouir !
Elle se cabre en grimaçant de jouissance. Roger, excité comme un animal en rut, défonce sa femme en la faisant couiner de bonheur. Victor bande comme un poney, il présente sa bite au temple d'Adeline qui ne cesse de suinter. Il pousse, lentement la bite du tonton s'enfonce dans son ventre, elle a l'impression que c'est un baobab qui la pénètre tellement la bite est grosse. Une fois qu'elle est bien ancrée. Victor commence un va-et-vient bien dosé.
Adeline sent coulisser dans son ventre le manche qui lui arrache des gémissements de plaisir. Bien que distendue, elle agite son bassin pour bien sentir dans son ventre la bonne queue de son tonton. L'engin aux veines apparentes lui rabote les parois garnies de muqueuses sensibles. Le va-et-vient prend se la vitesse, Adeline grogne de plaisir en donnant quelques coups de reins féroce. La délivrance arrive, elle se cabre en poussant un long gémissement. Sa jouissance est grandiose.
Louise, de son côté, subit avec bonheur les assauts de son mari. Le bougre vigoureux la démonte comme un soudard, il la fait jouir en même temps qu'il lui remplit le ventre de son sperme. Les deux geignent en soufflants comme des dragons. Lisette, insatiable, se masturbe en regardant les autres jouir.
Roger prend place sur une chaise, pour récupérer un peu. Mais son repos est de courte durée, Adeline, que son oncle a délaissé, enjambe son papa en lui saisissant la bite qui est encore recouverte de semence.
Elle la dirige vers sa chatte en feu, et descend son corps pour s'empaler jusqu'aux couilles. Elle commence à faire l'ascenseur, son corps monte et descend sur le pieu de son papa qui lui fore le ventre. Roger serre les dents, sa fille gémit en dosant parfaitement le rythme. Le tonton s'approche du couple emboité, il caresse les fesses d'Adeline, puis lentement lui doigte le cul. Adeline cesse tous mouvements, Victor enfonce deux doigts dans la gaine étroite et la ramone un petit instant avant de présenter son gland large et épais à la petite bouche ridée. Il saisit sa nièce par les hanches et pousse.
Adeline grimace, elle s'accroche à son papa. Progressivement, la bite s'enfonce dans son rectum en le dilatant fortement. Lisette sursaute et crie :
-Oh sœurette, enfin, ton cul va gouter à la bonne grosse bite de tonton, vas-y tonton, vas-y prends-la jusqu'aux couilles, fait la disjoncter, après, tu me prendras à moi aussi le cul !
Sans perdre une image, Lisette a recours à sa maman pour lui martyriser le clito. Sa maman sait comment calmer les pulsions de sa fille, en lui branlant le clito, avec violence. Adeline croit mourir, la bite de son oncle lui ouvre le cul comme jamais. C'est une fois qu'elle sent contre ses fesses les couilles de son tonton, qu'elle reprend sa respiration. Le va-et-vient peut commencer. Victor semble un bon sodomiseur, il c'est avec précautions qu'il fait voyager son pieu dans le cul de sa nièce.
Les deux hommes se synchronisent pour que la baise soit parfaite. Adeline à la bouche grande ouverte, elle halète comme une bête blessée. Mais le plaisir monte peu à peu, la douleur s'estampe. Les deux hommes se lâchent, ils la démontent sans se poser de questions. Les gémissements et les râles d'Adeline sont très bruyants. Les queues qui coulissent dans son corps, l'emmènent au plaisir extrême. Une première jouissance la fait cabrer, elle s'agrippe à son papa en gémissant. Victor et son frère, c'est comme s'ils c'étaient passés le mot, ils accélèrent le pilonnage en même temps.
Adeline se tend comme un arc, une seconde jouissance la fait hurler. Son papa est le premier à déverser dans son corps sa semence, suivit de peu par celle du tonton. La douce chaleur du sperme qui gicle dans ses conduits sensibles, fait encore jouir Adeline.
Pendant une bonne partie de la journée, entre-coupée de pauses réparatrices, que les quatre, ont exigés de leur corps un maximum, de jouissances.
Sa maman s'approche en dodelinant de la tête, elle retrousse la jupe de sa fille, en disant :
-Mon Dieu sa culotte est trempée, elle n'en a jamais assez cette petite salope, regardez comme elle se branle !
Tous se redressent de leur siège pour regarder Lisette se masturber. Adeline s'approche, elle ravale sa salive en disant :
-Sœurette, combien de fois, tu te branles par jour !
Lisette, a les yeux qui luisent, elle dit entre deux respirations :
-Oh le plus de fois possible, j'adore la masturbation surtout lorsque je n'ai pas de bite à ma disposition, regarde comme mon clito est gonflé Adeline !
Lisette se lève, retire sa culotte et reprend place sur son transat. Elle ouvre largement les jambes, et exhibe sa boule de chair qui est incroyablement gonflée, sans brutalité, elle caresse la grosseur. Lisette se cambre en offrant aux doigts tremblants de sa sœur sa perle d'amour.
Adeline la saisit doucement entre son pouce et son index. Elle entreprend un doux branlage qui fait geindre Lisette. Immédiatement, un petit attroupement se forme autour d'eux.
Pendant qu'Adeline fait un petit plaisir à sa sœur, son oncle lui relève la jupe et lui plaque sa main sur les fesses, elle glisse sur les demi sphères, passe entre les cuisses pour caresser lentement la fente cachée sous un fin tissu. Adeline mécaniquement écarte un peu plus ses jambes pour faciliter l'accès à son fruit. Rapidement, sa chatte se met à suinter. Elle doit délaisser le clito de sa sœur, pour savourer la douceur des doigts sur sa fente. Lisette n'est pas contente, elle proteste :
-Oh non, continue Adeline, c'était si bon !
C'est sa maman qui prend le relais, Adeline et Lisette geignent à l'unissant sous les doigts habiles. Le tonton bascule Adeline sur la petite table en rotin et lui arrache la culotte. Il la passe sous son nez et hume l'odeur que dégage le tissu. Il dit en souriant :
-Hum ta culotte sent l'amour, laisse-moi te bouffer l'abricot ma chérie, après, je t'enfoncerai ma bite dans le ventre pour te faire gueuler de plaisir !
Adeline, chauffée à blanc, ouvre le compas que forment ses jambes. Victor pendant un moment regarde la chatte ruisselante de sa nièce. Il dit en se pinçant les lèvres :
-Je suis sûr que tu es aussi chaude que ta maman, je vais me régaler !
Sans en dire plus, il plaque sa bouche sur le fruit trop mûre qui rejette son jus. Voracement, le tonton lui dévore la chatte en grognant comme un fauve. Le souffle d'Adeline s'accélère.
Roger a retiré son pantalon, sa bite est dressée comme un mat. Il profite que sa femme se penche pour gober le clito de sa fille Lisette pour lui relever la robe et lui écarter la culotte. Il lui enfonce sa bite profondément dans le ventre, en la faisant cabrer.
Lisette gémit, Adeline l'imite, pendant que leur maman se fait honorer par leur papa. Les trois femmes gémissent comme des bêtes malades. La première à jouir, c'est Adeline qui hurle :
-Oh tonton, tonton, oui, oui !
Lisette joint ses gémissements à ceux de sa sœur ainée, elle se cabre et appuie, sur la tête de sa maman qui ne cesse de lui sucer le clito. Elle pousse un cri :
-Oh putain, oui, oui, maman continue, je vais jouir !
Elle se cabre en grimaçant de jouissance. Roger, excité comme un animal en rut, défonce sa femme en la faisant couiner de bonheur. Victor bande comme un poney, il présente sa bite au temple d'Adeline qui ne cesse de suinter. Il pousse, lentement la bite du tonton s'enfonce dans son ventre, elle a l'impression que c'est un baobab qui la pénètre tellement la bite est grosse. Une fois qu'elle est bien ancrée. Victor commence un va-et-vient bien dosé.
Adeline sent coulisser dans son ventre le manche qui lui arrache des gémissements de plaisir. Bien que distendue, elle agite son bassin pour bien sentir dans son ventre la bonne queue de son tonton. L'engin aux veines apparentes lui rabote les parois garnies de muqueuses sensibles. Le va-et-vient prend se la vitesse, Adeline grogne de plaisir en donnant quelques coups de reins féroce. La délivrance arrive, elle se cabre en poussant un long gémissement. Sa jouissance est grandiose.
Louise, de son côté, subit avec bonheur les assauts de son mari. Le bougre vigoureux la démonte comme un soudard, il la fait jouir en même temps qu'il lui remplit le ventre de son sperme. Les deux geignent en soufflants comme des dragons. Lisette, insatiable, se masturbe en regardant les autres jouir.
Roger prend place sur une chaise, pour récupérer un peu. Mais son repos est de courte durée, Adeline, que son oncle a délaissé, enjambe son papa en lui saisissant la bite qui est encore recouverte de semence.
Elle la dirige vers sa chatte en feu, et descend son corps pour s'empaler jusqu'aux couilles. Elle commence à faire l'ascenseur, son corps monte et descend sur le pieu de son papa qui lui fore le ventre. Roger serre les dents, sa fille gémit en dosant parfaitement le rythme. Le tonton s'approche du couple emboité, il caresse les fesses d'Adeline, puis lentement lui doigte le cul. Adeline cesse tous mouvements, Victor enfonce deux doigts dans la gaine étroite et la ramone un petit instant avant de présenter son gland large et épais à la petite bouche ridée. Il saisit sa nièce par les hanches et pousse.
Adeline grimace, elle s'accroche à son papa. Progressivement, la bite s'enfonce dans son rectum en le dilatant fortement. Lisette sursaute et crie :
-Oh sœurette, enfin, ton cul va gouter à la bonne grosse bite de tonton, vas-y tonton, vas-y prends-la jusqu'aux couilles, fait la disjoncter, après, tu me prendras à moi aussi le cul !
Sans perdre une image, Lisette a recours à sa maman pour lui martyriser le clito. Sa maman sait comment calmer les pulsions de sa fille, en lui branlant le clito, avec violence. Adeline croit mourir, la bite de son oncle lui ouvre le cul comme jamais. C'est une fois qu'elle sent contre ses fesses les couilles de son tonton, qu'elle reprend sa respiration. Le va-et-vient peut commencer. Victor semble un bon sodomiseur, il c'est avec précautions qu'il fait voyager son pieu dans le cul de sa nièce.
Les deux hommes se synchronisent pour que la baise soit parfaite. Adeline à la bouche grande ouverte, elle halète comme une bête blessée. Mais le plaisir monte peu à peu, la douleur s'estampe. Les deux hommes se lâchent, ils la démontent sans se poser de questions. Les gémissements et les râles d'Adeline sont très bruyants. Les queues qui coulissent dans son corps, l'emmènent au plaisir extrême. Une première jouissance la fait cabrer, elle s'agrippe à son papa en gémissant. Victor et son frère, c'est comme s'ils c'étaient passés le mot, ils accélèrent le pilonnage en même temps.
Adeline se tend comme un arc, une seconde jouissance la fait hurler. Son papa est le premier à déverser dans son corps sa semence, suivit de peu par celle du tonton. La douce chaleur du sperme qui gicle dans ses conduits sensibles, fait encore jouir Adeline.
Pendant une bonne partie de la journée, entre-coupée de pauses réparatrices, que les quatre, ont exigés de leur corps un maximum, de jouissances.
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16 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Parfait ! Un peu plus d insultes et c est le summum
J'ai moi aussi écrit un récit d'ambiance familiale, un couple et quatre jeunes de moins de 16 ans. Il y a des scènes d'accouplement, de sodomie, et même une partie carrée au milieu de la cour. je l'ai écrite d'une main, n'arrêtant pas de me branler avec l'autre.
Je suis toujours aussi passionné par tes histoires chaudes et très excitantes, merci Linsee
Cyrille
Cyrille
Pour Claire et Julie, je respecte vos critiques, on aime ou on n'aime pas.
Mais lorsque vous parlez de faux avis de lecteurs, je ne peux que m'insurger pour ces propos diffamants.
Mais lorsque vous parlez de faux avis de lecteurs, je ne peux que m'insurger pour ces propos diffamants.
Je remercie les lecteurs et lectrices qui m'encouragent
Je raffole de ce genre de récit
Maria
Maria
Là je me masturbe à fond, whaww
Ben nous on trouve que ça tourne en rond depuis un moment déjà.
Sans parler des faux avis de lecteurs...
Julie & Claire
Sans parler des faux avis de lecteurs...
Julie & Claire
Super excitant !!!
Votre imagination est sans limite !
Lolo.
Votre imagination est sans limite !
Lolo.
Après ce récit, mon mari va encore le démonter
Je me régale
Roger de l'Oise
Roger de l'Oise
Encore une fois, j'ai dû me masturber, Merci Linsee
Lydia
Lydia
J'adore
Justine
Justine
Je dirai même mieux magnifique
Lucas
Lucas
Belle imagination, j'adore
Excellent