Famille dépravée
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Famille dépravée
Adeline, rentre chez elle plutôt que prévue de son voyage. Elle ouvre la porte d'entrée, ne voit personne, elle croit la maison vide. Elle monte dans sa chambre pour ranger ses affaires, c'est en passant devant la porte de la chambre de ses parents, (Roger et Louise) qu'elle entend des bruits incongrus.
Doucement, elle ouvre la porte, ce qu'elle voit, la stupéfie. Sa maman entièrement nue Suce une verge monstrueuse. Elle lève la tête pour savoir à qui elle appartient, là, elle défaille. L'engin que sa maman suce voracement, appartient à Victor, le frère de son mari.
Mais le pire reste à venir, Adeline pousse un peu plus la porte. Elle doit se retenir aux chambranles de la porte pour ne pas chuter. Elle aperçoit sur le bord du lit sa jeune sœur Lisette de dix-neuf ans, également nue. Adeline serre les poings pour ne pas hurler. Soudain sa maman lâche la verge et en regardant sa fille dit :
-Viens ma chérie, tonton est prêt, tu vas avoir ce que tu lui demandes depuis longtemps, prends la pose comme maman a fait tout à l'heure !
Lisette se met à quatre pattes sur le lit, elle pose sa tête sur ses avants bras et offre sa croupe à tonton Victor. Le coquin lui enduit l'anus de lubrifiant, et en fait pénétrer à l'intérieur avec son doigt, puis s'enduit également la verge avec le gel.
Adeline serre les dents, lorsqu'elle voit sa maman ouvrir fortement avec ses mains les fesses de Lisette. Victor place sa verge qu'il vient de décalotter, contre le petit trou ridé. Le chapeau de chair qui coiffe la hampe gorgée de sang, semble monstrueux.
Il le frotte un petit instant avant de saisir les hanches de sa proie.
La maman dit en souriant, en tenant toujours les fesses bien écartées :
-Respire un bon coup ma chérie, cela va passer tout seul !
Le tonton pousse doucement, Lisette grimace, le gland lui force l'anus et, parvient à le pénétrer, millimètre par millimètre. Bien que cela soit très douloureux, Lisette courageuse subit, en gémissant, ce qu'elle a demandé. Victor dit :
-Oh ma chérie comme tu es étroite, c'est un régal, ouvre-toi bien !
Lentement la verge s'enfonce. La maman lâche les fesses et saisit habilement le clito de sa fille, elle commence une masturbation d'enfer. La pénétration continue, Lisette croit que son cul va s'ouvrir en deux, elle geint, mais petit à petit, elle s'habitue à l'objet vivant qui lui distend la gaine. Enfin les couilles velues du tonton frappent ses fesses. Avec lenteur, il commence un va-et-vient bien dosé.
Adeline transpire, sa vulve laisse échapper un filet de cyprine. Soudain, un cri presque inhumain la fait sursauter, sa sœur vient d'avoir une jouissance exceptionnelle.
Adeline défaille, elle recule, referme doucement la porte de la chambre, puis sort de la maison. Elle va prendre un verre dans un café pour se remettre de ses émotions. Elle attend un bon moment avant de revenir chez elle. Elle ouvre la porte, sa maman et dans le salon avec son beau-frère. Elle les salue, et tend l'oreille, elle entend une personne descendre l'escalier qui dit à haute voix :
-Oh putain Victor, tu lui as bien ouvert le cul à ma petite princesse, tu l'as bien fouraillé mon salaud !
Adeline reconnait cette voix, c'est celle de son papa. Il apparait, tous se regardent très gênés. Adeline fait celle qui ignore de quoi il parle. Elle salue son papa qui lui sourit en disant :
-Mais ma chérie, tu ne devais pas rentrer que demain !
Adeline répond en donnant la cause de son retour inopiné. Les quatre prennent un verre, et parlent de tout et de rien. Enfin, Lisette descend à son tour. Elle regarde avec surprise sa sœur et lui fait la même réflexion que son papa. Les deux s'embrassent, elles sont très fusionnelles, ils n'ont que cinq ans de différence d'âge. La journée se termine, le diner se passe très bien.
Les parents montent se coucher, Victor est dans la chambre d'amis, car il habite très loin, il est venu pour le week-end faire quelques travaux avec son frère. Les deux sœurs restent seules devant la télé. Elles se blottissent l'une contre l'autre comme elles le font souvent. Adeline regarde sa sœur, elle voudrait lui parler, mais n'ose pas. Enfin, chacun rejoint sa chambre, Adeline, retire tous ses vêtements et enfile une nuisette. Il se passe du temps avant qu'Adeline ne décide de rejoindre sa sœur, pour lui parler. Elle ouvre la porte de la chambre de Lisette.
C'est la stupéfaction, Lisette nue sur son lit reçoit dans son ventre la grosse queue de son oncle, à chaque enfoncement de son bélier dans le ventre de sa nièce, le bougre pousse un han de bucheron, il dit entre deux souffles :
-Oh putain ce que tu es bonne ma chérie, ta jeune chatte dévore ma bite, c'est grandiose comme sensation, oh ta chatte étroite, ce n'est que du bonheur, j'adore, tu vas pouvoir rivaliser avec ta maman, une fois que tu auras appris toutes les subtilités du sexe ma chérie. Ton papa et moi nous allons t'initier à fond !
Lisette geint de bonheur en s'accrochant au tonton. Elle donne, elle aussi, des coups de reins, pour être empalée totalement. Adeline rapidement referme la porte avant que l'on ne la voit. Elle retourne dans sa chambre et se jette sur le lit.
Elle revoit la bite monstrueuse de son oncle voyager dans le ventre de sa sœur qui gémissait de plaisir. Ses sens se mettent en ébullitions, elle retrousse sa nuisette et plaque violemment sa main sur sa chatte brûlante, donne quelques tapes dessus pour faire gonfler son bouton d'amour, puis le saisit et commence une masturbation féroce.
Elle écrase, triture, branle la boule de chair en serrant les dents, on a l'impression qu'elle veut s'éclater le clito tellement ses gestes sont brutaux. Elle malmène si fort son clito qu'il est devenu méconnaissable.
Elle gémit, s'agite sur sa couche, en grognant comme un animal mourant. Une violente jouissance la fait cabrer, elle retombe sur son lit lourdement, en haletant fortement. Soudain, elle se relève, et va doucement ouvrir la porte de la chambre de sa sœur. Qui maintenant reçoit le membre de son oncle dans le petit trou. La coquine en gémissant marmonne :
-Oui tonton, ouvre-moi bien le cul, va à fond, oh comme c'est bon de sentir dans mon cul ta grosse bite, oui défonce-moi le plus fort que tu peux mon tonton, ouah, je vais jouir, vas-y, vas-y !
Adeline respire rapidement, elle regarde la bite faire des allers et retours dans le cul de sa sœur qui gémit de plaisir. Elle voudrait se ruer sur eux pour prendre, elle aussi, sa part de jouissance, mais elle n'en a pas le courage, et fait demi-tour. Mais avant de rejoindre sa chambre, elle passe devant celle de ses parents. Sans se poser de questions, elle ouvre doucement. Elle reste figée, sa maman harnachée d'un gode ceinture de bonne taille, défonce son papa qui geint en couinant :
-Oh ma chérie, à fond, oh putain comme tu m'encules bien, ouh là, je vais jouir, va plus vite, va plus vite !
Plusieurs giclées de sperme sont expulsées de la verge du papa qui jouit en grimaçant. Heureusement qu'ils avaient prévu de mettre une grande serviette sur le lit pour le protéger.
La maman retire le gode du fondement qu'elle vient de travailler jusqu'à la jouissance, pour prendre en bouche la bite gluante du papa, la coquine fait un nettoyage complet de la bite. Adeline croit devenir folle. Elle referme discrètement la porte et retrouve son lit.
Une grosse partie de la nuit, elle se masturbe, ses jouissances sont violentes, elle s'imagine être le vide couille de son oncle, et de son papa, c'est épuisée, qu'elle s'endort. Le réveil est pénible, elle se lève, ses yeux sont cernés, ses traits sont tirés. Tous encore en tenue de nuit, sont déjà levés et prennent le petit déjeuner. Les salutations sont brèves. Adeline toujours en nuisette prend place, sa maman lui sert le café. Puis Adeline dit en faisant l'innocente :
- Cette nuit, j'ai cru que l'on égorgé un cochon, dans vos chambres, peut-on me mettre au courant de ce qui se passe ici !
Les quatre responsables se regardent, en se pinçant les lèvres. Le papa répond :
-Eh bien ta maman et moi nous nous sommes envoyés en l'air, excuse-nous du dérangement ma chérie, c'est la nature !
Adeline avec un peu de vice dit :
-Oui, mais dans la chambre d'à côté, c'était quoi, la foire aux dindons, j'entendais glousser !
Adeline regarde sa sœur et lui dit en faisant l'innocente :
-Toi aussi, tu as fait des folies de ton corps, tu ne devais pas être seule, les gémissements étaient doubles !
Louise regarde son beau-frère en fronçant les sourcils, et en hochant la tête dit :
-Victor, tu as encore rejoint Lisette, tu pourrais être plus discret quand même !
La maman regarde sa fille Adeline et lui dit :
-De toute façon, tu l'aurais apprise. Avec ton papa et Victor et bien sûr ta sœur, nous nous livrons à des excès immoraux, mais c'est si bon que nous laissions les préjugés de côté pour nous éclater, voila, tu sais tout ma chérie !
Adeline dit en respirant profondément :
-Je suis au courant, je vous ai vu, mais vous étiez si occupés que vous ne m'aviez même pas remarquer, est-ce que moi, je peux moi aussi m'éclater avec vous !
La maman est surprise, mais en souriant répond :
-Soit là bien venue ma chérie !
Son papa la regarde ainsi que son oncle, en bavant d'envie. Lisette dit en souriant :
-Oh Adeline, tu vas connaitre la grosse queue de tonton, il sait élargir les trous le cochon !
Après le petit déjeuner Victor dit en d'adressant à son frère :
-Il faudrait peut-être penser à faire à Lisette, ce que nous lui avions promit tu ne crois pas Roger, et peut-être qu'Adeline voudra-t- elle aussi participer !
Lisette sursaute de joie, en disant :
-Oui, oui, faites moi grimper aux rideaux !
Elle retire son t-shirt trop large et son shorty de nuit. Sa chatte porte encore les trace de l'accouplement, les poils de sa petite toison, sembles rêches. Elle regarde son oncle en disant fièrement :
-Tonton j'ai encore dans mon ventre ta bonne semence, tout en parlant, la coquine enfonce trois doigts dans son vagin et le fouille allégrement. Roger et son frère regardent la provocatrice, avec intérêt, leur boxer commence à se déformer. Adeline reste bouche bée, sa maman secoue la tête négativement en marmonnant :
-Mais elle est devenue insatiable, il faut bien la démonter pour la calmer mes chéris, je vais vous mettre en forme !
Elle baisse les boxers des deux hommes, et saisit les bites en semi-érections, elle les branlent, en ne les quittant pas du regard. Puis à tour de rôle elle les suce jusqu'à ce qu'elles soient opérationnelles. Fière de son acte, elle dit :
-Messieurs faites votre devoir !
Lisette est debout, son papa et son oncle sont, l'un devant, l'autre derrière elle ils s'agenouillent et commencent à lui dévorer les orifices. La jeunette gémit, elle ouvre bien les jambes pour que les hommes profitent bien de ses trous. la langue habile de son oncle lui fouille le vagin, pendant que celle de son papa lui pénètre l'anus. Sa chatte est devenue un ruisseau, son anus et gonflé par les aspirations et les coups de langue puissants de son oncle. Elle grogne de plaisir, la tension monte monte dans son corps de jeune adulte. Il est temps de bien ma prendre.
Victor se relève, sa nièce s'accroche à son cou, il lui relève une jambe à hauteur de sa taille et la maintient fermement. De l'autre main, il dirige sa bite vers la fournaise, et l'enfonce jusqu'aux couilles. Le papa frotte son gland contre l'anus qu'il vient de préparer et pousse. Lisette pousse un gémissement interminable, elle subit sa première double pénétration. Adeline reste sans voix, sa maman elle, sourit en ne quittant pas des yeux le trio.
Lisette est au summum du bonheur, les deux bites parfaitement synchronisées, lui pilonnent les entrailles sans faiblir. les mandrins puissants voyagent dans ses orifices en les dilatants. Lisette s'accroche à son tonton pour ne pas chuter. Elle gémit comme un animal blessé. Les deux hommes deviennent plus brutaux, ils donnent des coups de reins dévastateurs. Lisette jouit une première fois en grinçant des dents, la deuxième la fait hurler.
A tour de rôle les deux baiseurs déversent dans le corps de la jeunette leur semence brûlante. Mais continuent de lui pilonner la chatte et le cul, ils cherchent à donner à Lisette une ultime jouissances. la coquine se tend comme un arc et explose en hurlant. Une fois que les verges sont retirées de son corps, elle se laisse tomber sur le canapé en haletant férocement. Adeline serre les cuisses, pour retenir le filet de cyprine qui s'écoule le long de ses jambes.
Sa maman ne peut s'empêcher de dire :
-Oh comme elle prend bien ma petite chérie, rien ne lui fait peur !
Les deux hommes queues gluantes et toujours tendues, sont un peu essoufflés. Louise s'agenouille et saisit la bite de son beau frère et avant de la prendre en bouche dit en s'adressant à sa fille :
-Ma chérie, suce la bite de ton papa, fais le jouir avec ta bouche, il adore ça le cochon !
Adeline intimidée, mais la tentation et trop forte. Elle aussi se mets à genoux, son papa lui offre sa queue encore enduite de résidus visqueux. De sa main tremblante, elle saisit l'engin, le décalotte. Elle ouvre la bouche, et donne de nombreux coups de langue sur le chapeau. Enfin, elle gobe le gland pour une fellation interminable. Roger n'en revient pas comment sa fille sait se servir de sa bouche. Il est fière de sa nouvelle recrue. Il grogne comme un fauve et enfin, la remercie en lui offrant sa semence épaisse. C'est au même moment que Victor remplit la bouche de sa belle-sœur.
Les deux suceuses avalent en déglutissant bruyamment. Adeline et devenue plus audacieuse, elle repousse sa maman et suce la verge de son oncle, elle la presse pour extraire de la hampe le sperme qui s'y cache encore. C'est une fois bien vidée, qu'elle lâche l'engin, et se redresse. Adeline voudrai sa part de jouissance, mais les deux males doivent recharger leurs batteries.
Doucement, elle ouvre la porte, ce qu'elle voit, la stupéfie. Sa maman entièrement nue Suce une verge monstrueuse. Elle lève la tête pour savoir à qui elle appartient, là, elle défaille. L'engin que sa maman suce voracement, appartient à Victor, le frère de son mari.
Mais le pire reste à venir, Adeline pousse un peu plus la porte. Elle doit se retenir aux chambranles de la porte pour ne pas chuter. Elle aperçoit sur le bord du lit sa jeune sœur Lisette de dix-neuf ans, également nue. Adeline serre les poings pour ne pas hurler. Soudain sa maman lâche la verge et en regardant sa fille dit :
-Viens ma chérie, tonton est prêt, tu vas avoir ce que tu lui demandes depuis longtemps, prends la pose comme maman a fait tout à l'heure !
Lisette se met à quatre pattes sur le lit, elle pose sa tête sur ses avants bras et offre sa croupe à tonton Victor. Le coquin lui enduit l'anus de lubrifiant, et en fait pénétrer à l'intérieur avec son doigt, puis s'enduit également la verge avec le gel.
Adeline serre les dents, lorsqu'elle voit sa maman ouvrir fortement avec ses mains les fesses de Lisette. Victor place sa verge qu'il vient de décalotter, contre le petit trou ridé. Le chapeau de chair qui coiffe la hampe gorgée de sang, semble monstrueux.
Il le frotte un petit instant avant de saisir les hanches de sa proie.
La maman dit en souriant, en tenant toujours les fesses bien écartées :
-Respire un bon coup ma chérie, cela va passer tout seul !
Le tonton pousse doucement, Lisette grimace, le gland lui force l'anus et, parvient à le pénétrer, millimètre par millimètre. Bien que cela soit très douloureux, Lisette courageuse subit, en gémissant, ce qu'elle a demandé. Victor dit :
-Oh ma chérie comme tu es étroite, c'est un régal, ouvre-toi bien !
Lentement la verge s'enfonce. La maman lâche les fesses et saisit habilement le clito de sa fille, elle commence une masturbation d'enfer. La pénétration continue, Lisette croit que son cul va s'ouvrir en deux, elle geint, mais petit à petit, elle s'habitue à l'objet vivant qui lui distend la gaine. Enfin les couilles velues du tonton frappent ses fesses. Avec lenteur, il commence un va-et-vient bien dosé.
Adeline transpire, sa vulve laisse échapper un filet de cyprine. Soudain, un cri presque inhumain la fait sursauter, sa sœur vient d'avoir une jouissance exceptionnelle.
Adeline défaille, elle recule, referme doucement la porte de la chambre, puis sort de la maison. Elle va prendre un verre dans un café pour se remettre de ses émotions. Elle attend un bon moment avant de revenir chez elle. Elle ouvre la porte, sa maman et dans le salon avec son beau-frère. Elle les salue, et tend l'oreille, elle entend une personne descendre l'escalier qui dit à haute voix :
-Oh putain Victor, tu lui as bien ouvert le cul à ma petite princesse, tu l'as bien fouraillé mon salaud !
Adeline reconnait cette voix, c'est celle de son papa. Il apparait, tous se regardent très gênés. Adeline fait celle qui ignore de quoi il parle. Elle salue son papa qui lui sourit en disant :
-Mais ma chérie, tu ne devais pas rentrer que demain !
Adeline répond en donnant la cause de son retour inopiné. Les quatre prennent un verre, et parlent de tout et de rien. Enfin, Lisette descend à son tour. Elle regarde avec surprise sa sœur et lui fait la même réflexion que son papa. Les deux s'embrassent, elles sont très fusionnelles, ils n'ont que cinq ans de différence d'âge. La journée se termine, le diner se passe très bien.
Les parents montent se coucher, Victor est dans la chambre d'amis, car il habite très loin, il est venu pour le week-end faire quelques travaux avec son frère. Les deux sœurs restent seules devant la télé. Elles se blottissent l'une contre l'autre comme elles le font souvent. Adeline regarde sa sœur, elle voudrait lui parler, mais n'ose pas. Enfin, chacun rejoint sa chambre, Adeline, retire tous ses vêtements et enfile une nuisette. Il se passe du temps avant qu'Adeline ne décide de rejoindre sa sœur, pour lui parler. Elle ouvre la porte de la chambre de Lisette.
C'est la stupéfaction, Lisette nue sur son lit reçoit dans son ventre la grosse queue de son oncle, à chaque enfoncement de son bélier dans le ventre de sa nièce, le bougre pousse un han de bucheron, il dit entre deux souffles :
-Oh putain ce que tu es bonne ma chérie, ta jeune chatte dévore ma bite, c'est grandiose comme sensation, oh ta chatte étroite, ce n'est que du bonheur, j'adore, tu vas pouvoir rivaliser avec ta maman, une fois que tu auras appris toutes les subtilités du sexe ma chérie. Ton papa et moi nous allons t'initier à fond !
Lisette geint de bonheur en s'accrochant au tonton. Elle donne, elle aussi, des coups de reins, pour être empalée totalement. Adeline rapidement referme la porte avant que l'on ne la voit. Elle retourne dans sa chambre et se jette sur le lit.
Elle revoit la bite monstrueuse de son oncle voyager dans le ventre de sa sœur qui gémissait de plaisir. Ses sens se mettent en ébullitions, elle retrousse sa nuisette et plaque violemment sa main sur sa chatte brûlante, donne quelques tapes dessus pour faire gonfler son bouton d'amour, puis le saisit et commence une masturbation féroce.
Elle écrase, triture, branle la boule de chair en serrant les dents, on a l'impression qu'elle veut s'éclater le clito tellement ses gestes sont brutaux. Elle malmène si fort son clito qu'il est devenu méconnaissable.
Elle gémit, s'agite sur sa couche, en grognant comme un animal mourant. Une violente jouissance la fait cabrer, elle retombe sur son lit lourdement, en haletant fortement. Soudain, elle se relève, et va doucement ouvrir la porte de la chambre de sa sœur. Qui maintenant reçoit le membre de son oncle dans le petit trou. La coquine en gémissant marmonne :
-Oui tonton, ouvre-moi bien le cul, va à fond, oh comme c'est bon de sentir dans mon cul ta grosse bite, oui défonce-moi le plus fort que tu peux mon tonton, ouah, je vais jouir, vas-y, vas-y !
Adeline respire rapidement, elle regarde la bite faire des allers et retours dans le cul de sa sœur qui gémit de plaisir. Elle voudrait se ruer sur eux pour prendre, elle aussi, sa part de jouissance, mais elle n'en a pas le courage, et fait demi-tour. Mais avant de rejoindre sa chambre, elle passe devant celle de ses parents. Sans se poser de questions, elle ouvre doucement. Elle reste figée, sa maman harnachée d'un gode ceinture de bonne taille, défonce son papa qui geint en couinant :
-Oh ma chérie, à fond, oh putain comme tu m'encules bien, ouh là, je vais jouir, va plus vite, va plus vite !
Plusieurs giclées de sperme sont expulsées de la verge du papa qui jouit en grimaçant. Heureusement qu'ils avaient prévu de mettre une grande serviette sur le lit pour le protéger.
La maman retire le gode du fondement qu'elle vient de travailler jusqu'à la jouissance, pour prendre en bouche la bite gluante du papa, la coquine fait un nettoyage complet de la bite. Adeline croit devenir folle. Elle referme discrètement la porte et retrouve son lit.
Une grosse partie de la nuit, elle se masturbe, ses jouissances sont violentes, elle s'imagine être le vide couille de son oncle, et de son papa, c'est épuisée, qu'elle s'endort. Le réveil est pénible, elle se lève, ses yeux sont cernés, ses traits sont tirés. Tous encore en tenue de nuit, sont déjà levés et prennent le petit déjeuner. Les salutations sont brèves. Adeline toujours en nuisette prend place, sa maman lui sert le café. Puis Adeline dit en faisant l'innocente :
- Cette nuit, j'ai cru que l'on égorgé un cochon, dans vos chambres, peut-on me mettre au courant de ce qui se passe ici !
Les quatre responsables se regardent, en se pinçant les lèvres. Le papa répond :
-Eh bien ta maman et moi nous nous sommes envoyés en l'air, excuse-nous du dérangement ma chérie, c'est la nature !
Adeline avec un peu de vice dit :
-Oui, mais dans la chambre d'à côté, c'était quoi, la foire aux dindons, j'entendais glousser !
Adeline regarde sa sœur et lui dit en faisant l'innocente :
-Toi aussi, tu as fait des folies de ton corps, tu ne devais pas être seule, les gémissements étaient doubles !
Louise regarde son beau-frère en fronçant les sourcils, et en hochant la tête dit :
-Victor, tu as encore rejoint Lisette, tu pourrais être plus discret quand même !
La maman regarde sa fille Adeline et lui dit :
-De toute façon, tu l'aurais apprise. Avec ton papa et Victor et bien sûr ta sœur, nous nous livrons à des excès immoraux, mais c'est si bon que nous laissions les préjugés de côté pour nous éclater, voila, tu sais tout ma chérie !
Adeline dit en respirant profondément :
-Je suis au courant, je vous ai vu, mais vous étiez si occupés que vous ne m'aviez même pas remarquer, est-ce que moi, je peux moi aussi m'éclater avec vous !
La maman est surprise, mais en souriant répond :
-Soit là bien venue ma chérie !
Son papa la regarde ainsi que son oncle, en bavant d'envie. Lisette dit en souriant :
-Oh Adeline, tu vas connaitre la grosse queue de tonton, il sait élargir les trous le cochon !
Après le petit déjeuner Victor dit en d'adressant à son frère :
-Il faudrait peut-être penser à faire à Lisette, ce que nous lui avions promit tu ne crois pas Roger, et peut-être qu'Adeline voudra-t- elle aussi participer !
Lisette sursaute de joie, en disant :
-Oui, oui, faites moi grimper aux rideaux !
Elle retire son t-shirt trop large et son shorty de nuit. Sa chatte porte encore les trace de l'accouplement, les poils de sa petite toison, sembles rêches. Elle regarde son oncle en disant fièrement :
-Tonton j'ai encore dans mon ventre ta bonne semence, tout en parlant, la coquine enfonce trois doigts dans son vagin et le fouille allégrement. Roger et son frère regardent la provocatrice, avec intérêt, leur boxer commence à se déformer. Adeline reste bouche bée, sa maman secoue la tête négativement en marmonnant :
-Mais elle est devenue insatiable, il faut bien la démonter pour la calmer mes chéris, je vais vous mettre en forme !
Elle baisse les boxers des deux hommes, et saisit les bites en semi-érections, elle les branlent, en ne les quittant pas du regard. Puis à tour de rôle elle les suce jusqu'à ce qu'elles soient opérationnelles. Fière de son acte, elle dit :
-Messieurs faites votre devoir !
Lisette est debout, son papa et son oncle sont, l'un devant, l'autre derrière elle ils s'agenouillent et commencent à lui dévorer les orifices. La jeunette gémit, elle ouvre bien les jambes pour que les hommes profitent bien de ses trous. la langue habile de son oncle lui fouille le vagin, pendant que celle de son papa lui pénètre l'anus. Sa chatte est devenue un ruisseau, son anus et gonflé par les aspirations et les coups de langue puissants de son oncle. Elle grogne de plaisir, la tension monte monte dans son corps de jeune adulte. Il est temps de bien ma prendre.
Victor se relève, sa nièce s'accroche à son cou, il lui relève une jambe à hauteur de sa taille et la maintient fermement. De l'autre main, il dirige sa bite vers la fournaise, et l'enfonce jusqu'aux couilles. Le papa frotte son gland contre l'anus qu'il vient de préparer et pousse. Lisette pousse un gémissement interminable, elle subit sa première double pénétration. Adeline reste sans voix, sa maman elle, sourit en ne quittant pas des yeux le trio.
Lisette est au summum du bonheur, les deux bites parfaitement synchronisées, lui pilonnent les entrailles sans faiblir. les mandrins puissants voyagent dans ses orifices en les dilatants. Lisette s'accroche à son tonton pour ne pas chuter. Elle gémit comme un animal blessé. Les deux hommes deviennent plus brutaux, ils donnent des coups de reins dévastateurs. Lisette jouit une première fois en grinçant des dents, la deuxième la fait hurler.
A tour de rôle les deux baiseurs déversent dans le corps de la jeunette leur semence brûlante. Mais continuent de lui pilonner la chatte et le cul, ils cherchent à donner à Lisette une ultime jouissances. la coquine se tend comme un arc et explose en hurlant. Une fois que les verges sont retirées de son corps, elle se laisse tomber sur le canapé en haletant férocement. Adeline serre les cuisses, pour retenir le filet de cyprine qui s'écoule le long de ses jambes.
Sa maman ne peut s'empêcher de dire :
-Oh comme elle prend bien ma petite chérie, rien ne lui fait peur !
Les deux hommes queues gluantes et toujours tendues, sont un peu essoufflés. Louise s'agenouille et saisit la bite de son beau frère et avant de la prendre en bouche dit en s'adressant à sa fille :
-Ma chérie, suce la bite de ton papa, fais le jouir avec ta bouche, il adore ça le cochon !
Adeline intimidée, mais la tentation et trop forte. Elle aussi se mets à genoux, son papa lui offre sa queue encore enduite de résidus visqueux. De sa main tremblante, elle saisit l'engin, le décalotte. Elle ouvre la bouche, et donne de nombreux coups de langue sur le chapeau. Enfin, elle gobe le gland pour une fellation interminable. Roger n'en revient pas comment sa fille sait se servir de sa bouche. Il est fière de sa nouvelle recrue. Il grogne comme un fauve et enfin, la remercie en lui offrant sa semence épaisse. C'est au même moment que Victor remplit la bouche de sa belle-sœur.
Les deux suceuses avalent en déglutissant bruyamment. Adeline et devenue plus audacieuse, elle repousse sa maman et suce la verge de son oncle, elle la presse pour extraire de la hampe le sperme qui s'y cache encore. C'est une fois bien vidée, qu'elle lâche l'engin, et se redresse. Adeline voudrai sa part de jouissance, mais les deux males doivent recharger leurs batteries.
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19 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pour en terminer avec vous, monsieur Jacques du Canada, je vous signale que j'accepte les critiques lorsqu'elles ne sont pas injurieuses, donc modérez vos paroles. Comme disait ma grand-mère, il faut tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler.(pour ne pas dire de conneries)
Tous les récits sont immoraux, monsieur jacques
. Moi, j'adore l'extrême, bien que je ne pratique pas l'inceste. J'aime lire tout genre de récits.
Monique de Belgique
. Moi, j'adore l'extrême, bien que je ne pratique pas l'inceste. J'aime lire tout genre de récits.
Monique de Belgique
Pour Jacques du Canada,
Pas la peine de vous rattraper aux branches, vous êtes déjà sur le sol LOOL. Je pense que la suite, vous connaissant, va sûrement vous permettre de déblatérer, courage Monsieur.
Pas la peine de vous rattraper aux branches, vous êtes déjà sur le sol LOOL. Je pense que la suite, vous connaissant, va sûrement vous permettre de déblatérer, courage Monsieur.
Vous avez bien raison les correcteurs du site ne vous auraient jamais laissé publier une histoire semblable. Vu qu’ils ne vous ont pas sanctionné tout est parfait alors. Félicitations, votre analyse et votre jugement m’étonne de façon exceptionnelle.
Quant à salir les auteurs comme vous dites, loin de moi est cette intention. Je pense que certains le font eux-mêmes en publiant des histoires qui lues par certains pourraient créer des dommages dans la société. J’imagine que vous lisez les nouvelles une fois de temps en temps Linsee?
Je vous remercie de vous préoccuper de ma santé. Je pense par contre qu’il vous manque quelques données pour m’adresser un tel conseil.
Bien oui, je ne publie pas et je ne publierai probablement jamais. J’aime bien lire par contre. Comme bien du monde je passe mes commentaires qui sont agréables pour certains et désagréables pour d’autres. Que voulez-vous Linsee vous ne vivez pas sous un régime dictatorial oû personne ne peut s’exprimer. Vous devriez prendre les critiques qui vous vont et laissez faire les autres. Agir ainsi facilite le sommeil.
Moi par contre chère Linsee je vous salue tout en gardant en tête que ça prend toutes sortes de monde pour faire un monde.
Quant à salir les auteurs comme vous dites, loin de moi est cette intention. Je pense que certains le font eux-mêmes en publiant des histoires qui lues par certains pourraient créer des dommages dans la société. J’imagine que vous lisez les nouvelles une fois de temps en temps Linsee?
Je vous remercie de vous préoccuper de ma santé. Je pense par contre qu’il vous manque quelques données pour m’adresser un tel conseil.
Bien oui, je ne publie pas et je ne publierai probablement jamais. J’aime bien lire par contre. Comme bien du monde je passe mes commentaires qui sont agréables pour certains et désagréables pour d’autres. Que voulez-vous Linsee vous ne vivez pas sous un régime dictatorial oû personne ne peut s’exprimer. Vous devriez prendre les critiques qui vous vont et laissez faire les autres. Agir ainsi facilite le sommeil.
Moi par contre chère Linsee je vous salue tout en gardant en tête que ça prend toutes sortes de monde pour faire un monde.
Une merveille
Francie et Luc
Francie et Luc
Monsieur jacques du Canada.
Apprenez pour votre gouverne, pour ce qui est des fautes d'orthographe, je ne cherche pas le Goncourt. Je veux juste faire rêver certains lecteurs ou lectrices, et si j'y arrive, tant, mieux. Moi, personnellement, j'aimerais lire un de vos récits si c'est possible. Je crois qu'il est facile de jeter la pierre, et salir les auteurs, sans prouver de quoi l'on est capable.
Si mes récits sont hors natures, comme vous semblez le supposer, je crois que le site m'aurait déjà sanctionné.
Je vous conseille de ne plus trainer sur ce genre de sites, cela vous fait beaucoup de mal. Je ne vous salue pas
Apprenez pour votre gouverne, pour ce qui est des fautes d'orthographe, je ne cherche pas le Goncourt. Je veux juste faire rêver certains lecteurs ou lectrices, et si j'y arrive, tant, mieux. Moi, personnellement, j'aimerais lire un de vos récits si c'est possible. Je crois qu'il est facile de jeter la pierre, et salir les auteurs, sans prouver de quoi l'on est capable.
Si mes récits sont hors natures, comme vous semblez le supposer, je crois que le site m'aurait déjà sanctionné.
Je vous conseille de ne plus trainer sur ce genre de sites, cela vous fait beaucoup de mal. Je ne vous salue pas
J'ajoute, Jacques, que tu dois être très mal dans ta peau, à part la critique, tu ne sais rien faire d'autre. Tu as même critiqué le récit d'Olga, qui à mon avis était excellent, mon pauvre ami, tu dois être dans un drôle d'état.
Justine
Justine
Pour répondre à Jacques, je me demande de quelle planète tu es, tout est fictif, Linsee l'annonce souvent, les personnages sont majeurs et consentant. Si les récits de sexe te déplaît, ne les lis pas l'aise le choix aux lecteurs, sans donner ton avis insultant et nauséabond.
Justine
Justine
@Justine
Je fais la même chose que vous sur ce genre de sites chère Justine.
Comme ce récit, il y en a qui sont plus dégradant que d’autres et que s’ils s’avéraient vécus et connus seraient passibles de peines juridiques sévères. De plus l’auteur utilise un style très rudimentaire d’écriture. Son manque de relecture crée des fautes d’orthographe majeure.
Je n’encourage pas la publication de ce genre de délires qui lu par certains pourraient causer des torts insurmontables à d’autres. C’est ce qu’on appelle la responsabilité sociale. Peut-être Justine vous ne connaissez pas la responsabilité sociale?! Je ne devrais pas me poser la question, j’en suis convaincu.
Je fais la même chose que vous sur ce genre de sites chère Justine.
Comme ce récit, il y en a qui sont plus dégradant que d’autres et que s’ils s’avéraient vécus et connus seraient passibles de peines juridiques sévères. De plus l’auteur utilise un style très rudimentaire d’écriture. Son manque de relecture crée des fautes d’orthographe majeure.
Je n’encourage pas la publication de ce genre de délires qui lu par certains pourraient causer des torts insurmontables à d’autres. C’est ce qu’on appelle la responsabilité sociale. Peut-être Justine vous ne connaissez pas la responsabilité sociale?! Je ne devrais pas me poser la question, j’en suis convaincu.
Torride. J aurait adoré avoir une famille pareille.
Trop bon, encore, encore
Jacques du Canada, qu'est-ce que tu fous sur des sites érotiques que tu ne cesses de critiquer, Là, tu confirmes ta mauvaise foi, je ne défends pas Linsee, elle est assez grande pour le faire elle-même.
Justine
Justine
Un délire complètement hors normes. Vraiment irresponsable.
Vraiment on trouve de tout.
En plus, ce n’est pas un récit mais plutôt une description de dépravés
Vraiment on trouve de tout.
En plus, ce n’est pas un récit mais plutôt une description de dépravés
Du grand art merveilleuse Linsee 😍😍😍
Cyrille
Cyrille
Du
Beau delire
Hum trop bon encore des récits comme celui-ci
Ouah chaud, chaud
Lydia
Lydia
AH... la baise en famille... Rien de mieux que de faire l'éducation d'une jeune fille... Baiser avec son oncle et son père !!!