Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir…
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2024 dans la catégorie Plus on est
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Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir…
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir…
Bonjour,
Je vais vous conter une histoire, l'histoire de ma vie. Je m'appelle Delphine et je suis la mère de trois beaux enfants, deux filles et un garçon, que j’ai adopté successivement avec mon premier mari quand on était famille d’accueil à l’ASEU. Ils m’appellent tous maman. J'ai aussi sous mon toit le fils de mon deuxième mari, Robert, chauffeur routier absent du lundi au vendredi. Il faut donc que je m'occupe de cette grande famille et ce n'est pas rose tous les jours. Cette histoire commence un soir ou je suis sortie avec des amis pour décompresser et j’ai un peu trop abusé de la bouteille.
Quand je rentre à la maison, tout le monde est couché sauf mon fils adoptif Léo en train de regarder la série sur les Vikings sur Netflix où sans arrêt vous voyez des filles en train de se faire sauter par tout ce qui a une bite entre les jambes.
Je viens m'asseoir sur le canapé à côté de lui, juste en plein milieu d'une scène ou une fille dénudée est en train de faire du cheval sur la queue d’un viking. Je ne sais pas ce qui me prends pour commenter la scène en gloussant :
-Eh ! C'est pas mal ce que tu regardes. Moi aussi j'aimerais bien me faire démonter comme ça, ça fait longtemps que ton beau-père ne sait plus ce que c'est que de donner du plaisir à une femme. Putain que j'aimerais me faire démonter et surtout qu'il soit mieux monté que ton père adoptif !
L'alcool me fait dire n'importe quoi mais je ne m’en rends même pas compte. Et ce qui est pire, c’est que je ne contrôle plus ce que je fais et pose ma main entre les cuisses de mon garçon pour voir s'il est à l’étroit dans son caleçon.
Il rougit jusqu'aux oreilles mais n’ose-pas réagir. Je repars dans mon délire en constatant un léger durcissement prometteur sûrement dû à la scène qui se déroule à l’écran, ou alors ...
-On dirait que toi aussi tu ne serais pas contre décharger avec l'aide d'une femme.
-Non ! Non maman ! Tu, tu, enfin je ne sais pas trop. Avoue-t-il.
-Il faudrait savoir, tu as une copine en ce moment ? Elle sait te dégorger le poireau ? Quel dommage de rester frustrés tous les deux en regardant la télévision.
Posant carrément ma main sur sa bite à travers le pantalon, je continue dans mon délire.
-Appétissant tout ça !
-Maman arrête, que fais-tu ? Tu n'es pas dans ton état normal.
Mon petit Léo est gêné par mes gestes et mes paroles mais n'ose pas bouger.
Je ne sais pas si en me réveillant demain je me souviendrai de ce que je suis en train de faire. Il lutte à peine quand je continue de tripoter sa queue à travers son short. Serait-il mieux monté que mon ancien mari ? Je m’enhardis et fais descendre son short avec difficulté, il est en slip maintenant et une belle bosse en déforme le devant. Je me penche pour lécher sa verge à travers le tissu. La sensation doit lui être très agréable car je sens se raffermir encore un peu plus son pénis.
Je n'en peux plus, sors sa bite trop à l’étroit et la colle directement dans ma bouche. Je suis un peu déçue car il est à peine mieux monté que son père, je suis quand même bien contente de sucer une bite ce soir. Vaut mieux 16/17 centimètres de pur plaisir que rien du tout.
-Oh putain maman ! Je ne devrais pas te laisser faire mais c'est vraiment trop bon, j'adore la façon dont tu me bouffes la bite. Ça change de ma copine. Tu es vraiment douée, n'oublie-pas mes couilles.
Ce petit salaud a l'air d'y prendre plaisir mais dans mon ivresse peu importe qui est le possesseur de cette verge, la seule chose qui m'intéresse, c'est de caresser ses couilles en bavant bien sur sa queue avant de la reprendre entre mes lèvres. Cette belle teub vibre sous mes doigts. Leo ne doit pas être très expérimenté mais il a la présence d’esprit d’appuyer avec deux doigts sur la base de sa verge qui n’en peut plus, bloquant son sperme. Il repousse ma tête en se reculant, coupant le contact charnel entre son sexe et ma bouche et retirant ses doigts. Je vois alors sa semence sortir de sa lance encore dressée. Trois belles giclées de foutre s’écrasent l’une après l’autre sur mon visage dont l’une dans ma bouche. Je suis fière et très excitée d’avoir branlé cette belle mais surtout si douce et fine queue de Léo quand je réalise enfin horrifiée que le goût de sperme dans ma bouche et celui de mon fils adoptf. Je me relève et m’enfuie dans ma chambre, toute souillée de sa liqueur. Heureusement que mon mari est en déplacement ! Je prends une longue douche pour retrouver mes esprits, comment vais-je pouvoir gérer ça demain ? Heureusement encore qu’il soit majeur !
Lana :
Je m’appelle Lana. J’ai mangé trop épicé hier et j’ai soif. Je me lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller ma sœur Ninon. Je descends les escaliers pour me diriger vers la cuisine quand j'entends geindre mon frère Léo. Que lui arrive-t-il ? Je jette un coup d'œil au salon et je le vois la tête et les bras appuyés sur le dossier du fauteuil, la bouche grande ouverte. J'entre silencieusement dans la pièce et là, stupeur ! Ma mère est entre ses cuisses et une de ses mains enfuie entre elles en train de pétrir les bourses de mon frère pendant qu'elle lui prodigue une fellation. Mais elle est devenue complètement folle ?!
Je suis loin d'être une sainte nitouche et ce n'est pas pour cela que je reluque mon frère sous la douche. Je dois dire qu’il n’est quand même pas trop mal monté. Sa queue a la dimension de mon gode-ceinture. Pourquoi je vous dis ça ? Eh bien ! Eh bien il faut que je vous avoue une chose. J'aime bien les garçons mais la première expérience sexuelle, je l'ai eue avec ma sœur Ninon.
Autant je suis svelte à faire peur, cinquante kilos toute mouillée pour un mètre cinquante-cinq avec un 85 B, blonde de partout avec des cheveux coupés à la brosse, autant ma sœur Ninon est bien en chair. Elle approche plutôt les soixante-dix kilos pour un mètre soixante-douze et de grosses doudounes, brune et cheveux qui lui tombent en bas des reins.
J’ai toujours eu envie de sexe dès la puberté et faute de grive, on mange des merles. Je me suis donc rabattue sur ma sœur, mon frère étant encore trop jeune à cette époque.
Elle m’a toujours repoussée mais le soir de ma majorité, elle a enfin cédé à mes avances. Cela fait donc maintenant presque trois ans qu’on agrémente certaines de nos nuits d’un brin de sexe entre filles. Pour notre premier anniversaire de débauche, elle m’a offert un gode ceinture pour jouer à papa-maman
Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à ce qui se déroule sous mes yeux, quand soudain je sens une main prendre la mienne. Ninon m’a suivie et elle partage la scène avec moi, nous sommes toutes deux la main dans la culotte à nous faire du bien mais l’éjaculation précoce de notre frère ne nous permet-pas d’aller jusqu’au plaisir.
Sa belle queue gonflée pleine à exploser, il se répand en partie entre les lèvres de maman et elle ne recrache absolument rien, voulant tout boire. Elle a eu quelques rasades bien méritée. Il a dû lui repeindre les molaires du fond vu les trainées blanchâtres sur son visage !
On s’enfuit dans notre chambre avant de se faire remarquer. On a dû respirer trop de phéromones. La plupart des phéromones sont volatiles. Les insectes les captent avec leurs antennes et de nombreux mammifères avec leur nez à plusieurs kilomètres Cela peut expliquer le besoin de satisfaire notre libido après un tel spectacle. Nous sommes vite à poil et je m’équipe du gode ceinture pour donner du plaisir à ma sœur. Ninon lâche mes seins, et je m’allonge, la queue de latex dressée. Elle se transporte au-dessus du mât érigé pour s’empaler. Tout ouverte et béante que soit sa chatte, elle a un rictus au passage du gland disproportionné par rapport au fût plus fin. Pendant que je jette mon ventre vers l’avant, elle se laisse aller vers le bas pour descendre et s’enfoncer sur le pieu de silicone en hurlant :
-Putain que c’est bon ! Mais ça serait mieux avec l’ustensile de notre frère ! Jetant son ventre vers l’avant pour accentuer la pénétration aussi loin que possible.
-C’est pas bientôt fini ce vacarme les filles ! J’essaie de dormir, moi !
La porte vient de s’ouvrir d’un coup sec et Evann, tenant encore la poignée, se fige en contemplant le spectacle.
-Bordel, je vous savais délurées, mais pas à ce point-là… De vraies salopes !!!
Et il claque la porte, retournant sûrement dans sa chambre qui est contigüe à la nôtre.
D’habitude, nous faisons nos galipettes quand il est chez sa mère mais après l’exploit de maman, on a tout oublié. Le mal est fait, dommage qu’il soit si coincé. Evann est un garçon assez renfermé, c’est à peine si on remarque sa présence. Nous nous concertons avec ma sœur et décidons qu’on va le « décoincer » pendant son séjour chez nous.
Les jours suivants, nous l’aguichons sans arrêt, de vraies petites putes essayant de lever un client. Nous sommes tous les cinq au salon, Léo et maman chacun dans un fauteuil et Evann sur le divan entre nous deux. On regarde la télé, la lumière éteinte.
Comme convenu avec Ninon, on a décidé de l’entreprendre ce soir. C’est un film fleur-bleue et on se colle chacune de notre côté contre lui, la tête appuyée sur ses épaules et une main sur ses cuisses. Il ne se doute de rien, ce grand nigaud, mais centimètre par centimètre, nos mains se rapprochent de son entrejambe, Ninon lui caresse le bas-ventre pendant que j’arrive enfin sur ma proie. Ce con veut nous repousser pour s’enfuir devant l’attaque mais on a le dessus. Je mets un doigt devant sa bouche pour lui intimer le silence. Sous nos caresses, il réagit enfin et une bosse plus que prometteuse déforme de plus en plus son short.
Ninon n’y tenant plus est venue me rejoindre, ou plutôt sa main sur l’endroit stratégique, lui faisant un petit bisou tout chaste dans l’obscurité. Il est si mignon et se laisse enfin faire, de peur d’attirer le regard de maman. Je pimente un peu l’affaire en glissant ma main dans son short, posant directement mes doigts sur son engin. Surprise ; Le gourdin est monstrueux ! Ce frère de composition devient vraiment très intéressant, dommage qu’on ne puisse pas pousser plus loin tout de suite.
Une fois le film finit, nous regagnons nos chambres et j’informe ma sœur.
-Bordel Ninon ! Tu ne devineras-pas ce que j’ai découvert dans son short, Evann a la plus grosse queue que j’ai jamais tenue dans ma main. On a un étalon sous notre toit depuis deux ans et on ne le savait même pas !
A suivre…
Bonjour,
Je vais vous conter une histoire, l'histoire de ma vie. Je m'appelle Delphine et je suis la mère de trois beaux enfants, deux filles et un garçon, que j’ai adopté successivement avec mon premier mari quand on était famille d’accueil à l’ASEU. Ils m’appellent tous maman. J'ai aussi sous mon toit le fils de mon deuxième mari, Robert, chauffeur routier absent du lundi au vendredi. Il faut donc que je m'occupe de cette grande famille et ce n'est pas rose tous les jours. Cette histoire commence un soir ou je suis sortie avec des amis pour décompresser et j’ai un peu trop abusé de la bouteille.
Quand je rentre à la maison, tout le monde est couché sauf mon fils adoptif Léo en train de regarder la série sur les Vikings sur Netflix où sans arrêt vous voyez des filles en train de se faire sauter par tout ce qui a une bite entre les jambes.
Je viens m'asseoir sur le canapé à côté de lui, juste en plein milieu d'une scène ou une fille dénudée est en train de faire du cheval sur la queue d’un viking. Je ne sais pas ce qui me prends pour commenter la scène en gloussant :
-Eh ! C'est pas mal ce que tu regardes. Moi aussi j'aimerais bien me faire démonter comme ça, ça fait longtemps que ton beau-père ne sait plus ce que c'est que de donner du plaisir à une femme. Putain que j'aimerais me faire démonter et surtout qu'il soit mieux monté que ton père adoptif !
L'alcool me fait dire n'importe quoi mais je ne m’en rends même pas compte. Et ce qui est pire, c’est que je ne contrôle plus ce que je fais et pose ma main entre les cuisses de mon garçon pour voir s'il est à l’étroit dans son caleçon.
Il rougit jusqu'aux oreilles mais n’ose-pas réagir. Je repars dans mon délire en constatant un léger durcissement prometteur sûrement dû à la scène qui se déroule à l’écran, ou alors ...
-On dirait que toi aussi tu ne serais pas contre décharger avec l'aide d'une femme.
-Non ! Non maman ! Tu, tu, enfin je ne sais pas trop. Avoue-t-il.
-Il faudrait savoir, tu as une copine en ce moment ? Elle sait te dégorger le poireau ? Quel dommage de rester frustrés tous les deux en regardant la télévision.
Posant carrément ma main sur sa bite à travers le pantalon, je continue dans mon délire.
-Appétissant tout ça !
-Maman arrête, que fais-tu ? Tu n'es pas dans ton état normal.
Mon petit Léo est gêné par mes gestes et mes paroles mais n'ose pas bouger.
Je ne sais pas si en me réveillant demain je me souviendrai de ce que je suis en train de faire. Il lutte à peine quand je continue de tripoter sa queue à travers son short. Serait-il mieux monté que mon ancien mari ? Je m’enhardis et fais descendre son short avec difficulté, il est en slip maintenant et une belle bosse en déforme le devant. Je me penche pour lécher sa verge à travers le tissu. La sensation doit lui être très agréable car je sens se raffermir encore un peu plus son pénis.
Je n'en peux plus, sors sa bite trop à l’étroit et la colle directement dans ma bouche. Je suis un peu déçue car il est à peine mieux monté que son père, je suis quand même bien contente de sucer une bite ce soir. Vaut mieux 16/17 centimètres de pur plaisir que rien du tout.
-Oh putain maman ! Je ne devrais pas te laisser faire mais c'est vraiment trop bon, j'adore la façon dont tu me bouffes la bite. Ça change de ma copine. Tu es vraiment douée, n'oublie-pas mes couilles.
Ce petit salaud a l'air d'y prendre plaisir mais dans mon ivresse peu importe qui est le possesseur de cette verge, la seule chose qui m'intéresse, c'est de caresser ses couilles en bavant bien sur sa queue avant de la reprendre entre mes lèvres. Cette belle teub vibre sous mes doigts. Leo ne doit pas être très expérimenté mais il a la présence d’esprit d’appuyer avec deux doigts sur la base de sa verge qui n’en peut plus, bloquant son sperme. Il repousse ma tête en se reculant, coupant le contact charnel entre son sexe et ma bouche et retirant ses doigts. Je vois alors sa semence sortir de sa lance encore dressée. Trois belles giclées de foutre s’écrasent l’une après l’autre sur mon visage dont l’une dans ma bouche. Je suis fière et très excitée d’avoir branlé cette belle mais surtout si douce et fine queue de Léo quand je réalise enfin horrifiée que le goût de sperme dans ma bouche et celui de mon fils adoptf. Je me relève et m’enfuie dans ma chambre, toute souillée de sa liqueur. Heureusement que mon mari est en déplacement ! Je prends une longue douche pour retrouver mes esprits, comment vais-je pouvoir gérer ça demain ? Heureusement encore qu’il soit majeur !
Lana :
Je m’appelle Lana. J’ai mangé trop épicé hier et j’ai soif. Je me lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller ma sœur Ninon. Je descends les escaliers pour me diriger vers la cuisine quand j'entends geindre mon frère Léo. Que lui arrive-t-il ? Je jette un coup d'œil au salon et je le vois la tête et les bras appuyés sur le dossier du fauteuil, la bouche grande ouverte. J'entre silencieusement dans la pièce et là, stupeur ! Ma mère est entre ses cuisses et une de ses mains enfuie entre elles en train de pétrir les bourses de mon frère pendant qu'elle lui prodigue une fellation. Mais elle est devenue complètement folle ?!
Je suis loin d'être une sainte nitouche et ce n'est pas pour cela que je reluque mon frère sous la douche. Je dois dire qu’il n’est quand même pas trop mal monté. Sa queue a la dimension de mon gode-ceinture. Pourquoi je vous dis ça ? Eh bien ! Eh bien il faut que je vous avoue une chose. J'aime bien les garçons mais la première expérience sexuelle, je l'ai eue avec ma sœur Ninon.
Autant je suis svelte à faire peur, cinquante kilos toute mouillée pour un mètre cinquante-cinq avec un 85 B, blonde de partout avec des cheveux coupés à la brosse, autant ma sœur Ninon est bien en chair. Elle approche plutôt les soixante-dix kilos pour un mètre soixante-douze et de grosses doudounes, brune et cheveux qui lui tombent en bas des reins.
J’ai toujours eu envie de sexe dès la puberté et faute de grive, on mange des merles. Je me suis donc rabattue sur ma sœur, mon frère étant encore trop jeune à cette époque.
Elle m’a toujours repoussée mais le soir de ma majorité, elle a enfin cédé à mes avances. Cela fait donc maintenant presque trois ans qu’on agrémente certaines de nos nuits d’un brin de sexe entre filles. Pour notre premier anniversaire de débauche, elle m’a offert un gode ceinture pour jouer à papa-maman
Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à ce qui se déroule sous mes yeux, quand soudain je sens une main prendre la mienne. Ninon m’a suivie et elle partage la scène avec moi, nous sommes toutes deux la main dans la culotte à nous faire du bien mais l’éjaculation précoce de notre frère ne nous permet-pas d’aller jusqu’au plaisir.
Sa belle queue gonflée pleine à exploser, il se répand en partie entre les lèvres de maman et elle ne recrache absolument rien, voulant tout boire. Elle a eu quelques rasades bien méritée. Il a dû lui repeindre les molaires du fond vu les trainées blanchâtres sur son visage !
On s’enfuit dans notre chambre avant de se faire remarquer. On a dû respirer trop de phéromones. La plupart des phéromones sont volatiles. Les insectes les captent avec leurs antennes et de nombreux mammifères avec leur nez à plusieurs kilomètres Cela peut expliquer le besoin de satisfaire notre libido après un tel spectacle. Nous sommes vite à poil et je m’équipe du gode ceinture pour donner du plaisir à ma sœur. Ninon lâche mes seins, et je m’allonge, la queue de latex dressée. Elle se transporte au-dessus du mât érigé pour s’empaler. Tout ouverte et béante que soit sa chatte, elle a un rictus au passage du gland disproportionné par rapport au fût plus fin. Pendant que je jette mon ventre vers l’avant, elle se laisse aller vers le bas pour descendre et s’enfoncer sur le pieu de silicone en hurlant :
-Putain que c’est bon ! Mais ça serait mieux avec l’ustensile de notre frère ! Jetant son ventre vers l’avant pour accentuer la pénétration aussi loin que possible.
-C’est pas bientôt fini ce vacarme les filles ! J’essaie de dormir, moi !
La porte vient de s’ouvrir d’un coup sec et Evann, tenant encore la poignée, se fige en contemplant le spectacle.
-Bordel, je vous savais délurées, mais pas à ce point-là… De vraies salopes !!!
Et il claque la porte, retournant sûrement dans sa chambre qui est contigüe à la nôtre.
D’habitude, nous faisons nos galipettes quand il est chez sa mère mais après l’exploit de maman, on a tout oublié. Le mal est fait, dommage qu’il soit si coincé. Evann est un garçon assez renfermé, c’est à peine si on remarque sa présence. Nous nous concertons avec ma sœur et décidons qu’on va le « décoincer » pendant son séjour chez nous.
Les jours suivants, nous l’aguichons sans arrêt, de vraies petites putes essayant de lever un client. Nous sommes tous les cinq au salon, Léo et maman chacun dans un fauteuil et Evann sur le divan entre nous deux. On regarde la télé, la lumière éteinte.
Comme convenu avec Ninon, on a décidé de l’entreprendre ce soir. C’est un film fleur-bleue et on se colle chacune de notre côté contre lui, la tête appuyée sur ses épaules et une main sur ses cuisses. Il ne se doute de rien, ce grand nigaud, mais centimètre par centimètre, nos mains se rapprochent de son entrejambe, Ninon lui caresse le bas-ventre pendant que j’arrive enfin sur ma proie. Ce con veut nous repousser pour s’enfuir devant l’attaque mais on a le dessus. Je mets un doigt devant sa bouche pour lui intimer le silence. Sous nos caresses, il réagit enfin et une bosse plus que prometteuse déforme de plus en plus son short.
Ninon n’y tenant plus est venue me rejoindre, ou plutôt sa main sur l’endroit stratégique, lui faisant un petit bisou tout chaste dans l’obscurité. Il est si mignon et se laisse enfin faire, de peur d’attirer le regard de maman. Je pimente un peu l’affaire en glissant ma main dans son short, posant directement mes doigts sur son engin. Surprise ; Le gourdin est monstrueux ! Ce frère de composition devient vraiment très intéressant, dommage qu’on ne puisse pas pousser plus loin tout de suite.
Une fois le film finit, nous regagnons nos chambres et j’informe ma sœur.
-Bordel Ninon ! Tu ne devineras-pas ce que j’ai découvert dans son short, Evann a la plus grosse queue que j’ai jamais tenue dans ma main. On a un étalon sous notre toit depuis deux ans et on ne le savait même pas !
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Titre prometteur bonne présentation on attend la suite