famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir... 10 - histoire érotique

Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari, Robert.

Chacune de mes filles adoptives prend place entre les cuisses de garçons et entreprennent une fellation sur les verges dressées pour le plus grand plaisir de Léo qui pour la première fois se fait pogner par une de ses sœurs. En moins de deux minutes, il grogne, ne pouvant plus résister et Lana sort la verge de sa bouche pour en faire profiter l’assistance. Deux jets de spermes se succèdent avant que le suivant ne suinte sur le gland qui ne tarde pas à dégonfler. Et les commentaires reprennent.
-Pas mal, mais un peu court ! – Tu avales-pas ? Il lui faut combien de temps pour remettre le couvert ? J’en ferais bien mon 4 heures ! Etc… Etc…

Suite :
Lana abandonne son frère et vient donner un coup de mains au sens propre à sa sœur qui s’escrime sur le démonte-pneus d’Evann. Elles ont descendu son slip pour poser leur bouche de chaque côté de la hampe et la lécher sur toute sa longueur avant que Lana gobe l’une de ses bourses et que sa sœur prenne entre ses lèvres le gland mafflu. Ninon a mis sa main droite sur la tige et cherche le poignet de sa sœur pour venir l’aider. C’est là que je me rends compte en comparant les deux mains serties l’une sur la hampe masculine et l’autre sur le poignet de Lana qu’ils sont de même circonférence. La verge d’Evann est aussi grosse que le poignet de ma fille, c’est irréel !!! Bien sûr, je savais qu’il avait une véritable poutre, cette vision est vraiment saisissante ! Elles mettent du cœur à l’ouvrage sous les quolibets ou les encouragements de leurs copines.
-Vous savez-pas vous y prendre. – Vous voulez un coup de mains ? – T’as-vu ? Elle est aussi grosse que le poignet de Lana ! – Il est à sec ? – On dirait qu’il va cracher !

Effectivement, je vois son visage se crisper et il râle doucement. Mes filles se mettent de chaque côté pour permettre une meilleurs vison à leurs copines qui se sont rapprochées et astiquent à deux mains la lance dont elles viennent d’ouvrir les vannes. Un jet de sperme de quelques centimètres est vite suivi de plusieurs autres monstrueux. Son épi tenu pratiquement à la verticale projette des filets de sperme qui se scindent en tirets de moins en moins longs pour finir en gouttes dont certaines atteignent les filles pourtant à plus d’un mètre de lui. L’une des filles, plus délurée que les autres, tient la comptabilité :
- 1 ; 2 ; … ; 6 ; 7 ; 8. Ça y est, il crache plus ! Putain ! j’aurais bien voulu en connaitre le goût.

Comme la plupart a fini dans la piscine, elle râcle sur la poitrine de sa copine une tache blanchâtre et porte son doigt à ses lèvres.
-Hummm ! Goûtu en plus !
Mais ses minauderies sont coupés par la voix de sa copine.
-Regardez les filles ! Il bande toujours !
-Quand je vous avais dit que c’était un vrai étalon, rigole Ninon. Il est capable de remettre le couvert plusieurs fois de suite. Mais là, il faudra nous croire sur parole. La représentation est finie. Et elle remonte le slip d’Evann mais ne peut cacher les nombreux centimètres de l’organe toujours congestionné. Je vous invite à boire un coup, tout le monde sort de la piscine !

Elles sont déçues mais s’exécutent, lorgnant sur le bas-ventre d’Evann où quelques minutes plus tard, faute d’excitation, le gourdin regagne l’abri de son slip trop serré.

Dire que j’ai observé toute la scène sans réagir ! Que vont penser ces filles de mon comportement ? Surtout en voyant la trace humide entre mes cuisses…
Le problème qui se pose à nous, c’est que deux jours par semaine, nous devons restreindre nos pulsions en la présence de mon mari Robert.

« Robert »
Mon boulot m’éloigne cinq jours sur sept de mon foyer. J’aime cette vie, me permettant certaines fois de faire de belles rencontres. Je ne suis pas un coureur mais j’ai pourtant cédé plusieurs fois au démon de minuit et trompé Delphine. Pourtant je l’aime et ne pourrais plus m’en passer.
C’est assez tendu avec les enfants de ma nouvelle femme, surtout les filles qui me battent froid. Pourtant, depuis quelques semaines, leur comportement a changé. Elles sont bien plus aimables avec moi, et on dirait qu’elles ont fait copain/copines avec mon fils Evann. Je les soupçonne même d’essayer de nous aguicher, vu que leur tenue vestimentaire tient maintenant plus de l’aguicheuse que de la fille sérieuse. Je me surprends même à bander en admirant leur plastique au bord de la piscine. Elles osent se mettre en topless devant moi avec un string ridicule me permettant d’admirer leur cul, petit et musclé de Lana et beaucoup plus rebondi de Ninon aux seins généreux avec ses tétons deux fois plus grands que ceux de sa sœur. Si Delphine s’aperçoit de ça, c’est une cause de divorce…

« Ninon »
Avec la permission de Delphine qui fait ceinture elle aussi, Ma sœur et moi draguons ouvertement le père d’Evann. Je dirais qu’on est sur la bonne voie en le voyant bander en nous dévorant des yeux. Qui pourrait résister à deux jolies filles qui se comportent en salopes, prenant des poses lascives devant lui ? S’il a donné d’aussi bons gênes à Evann, il y a des chances qu’il soit lui aussi un chaud-lapin. Nous nous sommes arrangées avec les garçons et maman pour qu’ils nous laissent seules avec lui. En attendant qu’il sorte de la maison et nous rejoigne au bord de la piscine, nous reprenons nos vieilles habitudes lesbiennes en nous roulant des patins, nos mains s’égarant sur le corps de l’autre pour en épouser les creux et les bosses, titillant les pointes et explorant les grottes partiellement inondées. Je le vois du coin de l’œil, il s’est immobilisé en nous voyant et au bout d’une minute, il n’y tient plus et a glissé sa main dans son bermuda. Il sort sa main serrée sur sa teub. D’où je suis, je remarque qu’elle est aussi massive que celle d’Evann, mais plus courte de quelques centimètres.
Nous continuons notre manège mais il reste dans son coin à se branler. Je laisse Lana et m’approche du beau-père qui se demande si c’est du lard ou du cochon. Je m’approche de lui sans un mot, saisis son dard bien ferme et le mène comme un chien en laisse vers ma sœur.

« Robert »
Je n’en reviens pas ! je viens de surprendre mes deux belles-filles, des gouines ! Mais c’est tellement bandant que je ne peux résister à un tel spectacle, bandant comme un âne. Soudain l’une d’entre elles s’approche de moi, je suis si estomaqué que je ne réagis pas, la bite à l’air. Sans un mot, elle me saisit par mon engin d’une main ferme et je la suis comme un toutou à sa mémère, tenue en laisse, ou presque… Maintenant, toujours muettes, elles s’acharnent sur mon dard dont leurs mains explorent tous les recoins du gland aux couilles. Soudain, elles commentent la scène :

-Alors, dit Lana en m’ignorant complètement, elle est bonne aussi.
-Super bonne, répond Ninon, tu crois qu’il peut nous prendre par tous les trous ? Comme l’autre.
-Oh oui, c’est bien possible. Reprend Lana, continuant de branler ma bite en érection. Elles’approche doucement et tombe à genoux devant moi. Elle n’est pas belle sa queue ? Aussi belle que celle de …
-Oh oui, souffle Ninon, elle est aussi grosse.
-Allez, ordonne Lana, ouvre la bouche et suce-le.

Je n’en reviens-pas ! Mes deux belles-filles me branlent et me sucent comme des affamées. Jamais je n’ai connu ça, deux filles en même temps. Malgré leur jeune âge, je me rends compte que ce sont loin d’être des oies blanches. Je ne sais pas avec qui elles me comparent mais j’apprécie leurs gorges profondes. Je sais que je suis monté gros et que ça en a rebuté beaucoup. Mais pas elles… Je sens que je ne vais plus tenir longtemps.
– Mes chéries, vous ne devriez-pas vous comporter comme ça, je suis votre beau-père ! Aaaahhh ! je ne peux plus tenir ! Je vais jouir, petites salopes…
-Attends, jouis dans ma bouche…je veux gouter ton sperme, l’avaler. Lâche Ninon.

Je me vide copieusement les couilles dans sa bouche, elle en fait profiter sa sœur dans un baiser puis prend un réel plaisir à tout avaler puis à me nettoyer le gland. Lana en profite et prend mes lèvres pour un sulfureux baiser. Je croyais cette merveilleuse parenthèse terminée mais elles ne sont pas du même avis. Cela faisait longtemps que je n’arrivais plus à cet exploit mais elles arrivent à me faire rebander à toute vitesse.
-Ah ah ! Lui aussi …

Lui aussi quoi ? Ninon me force à m’assoir sur la banquette, me grimpe dessus. Ses mains me saisissent fermement par la taille. Mon gland baveux frotte contre sa cuisse et sa sœur saisit ma verge avec sa main pour la guider tout contre la vulve de Ninon. Elle agite son poing fiévreusement sur mon membre, allant et venant de bas en haut sur la tige raidie.
C’est la toute première fois aujourd’hui qu’elle me voie complètement nu, le sexe tendu. Cette petite curieuse s’imaginait peut-être que j’avais un sexe relativement petit, pourtant, ma queue massive ne la rebute pas.
-Nique-moi, Robert !

Elle me dit ça alors que c’est sa sœur qui tient le manche et elle qui est aux commandes. L’intensité de son désir quasi-incestueux devenant trop fort, Elle se dresse sur ses genoux aussi haut qu’elle le peut et redescend pour s’empaler sur mon soc tenu à la verticale par sa sœur. Alors elle commence à s’agiter comme une chienne en chaleur, se baisant frénétiquement sa chatte serrée et humide sur la queue de son beau-père.
-Je t’ai dit de me bourrer la chatte, bordel ! Participe un peu ! Je suis terriblement excitée, tu sais, par ta belle teub ! Baise-moi, baise-moi à fond comme si c’était maman !

Je réalise soudain à ces paroles la situation dans laquelle je me trouve, mais je n’y suis pour rien, enfin presque… Elle se redresse, se retire jusqu’à ce que seul mon gland turgescent dilate encore les lèvres de sa chatte. Tout son corps frissonne pendant qu’elle replonge lentement, enfonçant chaque centimètre de mon organe dans la fente. Ninon remue sur ma pine comme une assoiffée de sexe, sa poitrine rebondissante et tremblante pendant qu’elle projette sa chatte sur mon gourdin. Lana essaie d’épouser son rythme en me bouffant les couilles qui claquent sur le cul de sa sœur.
Ouuiii ! Unngggh! Plus fort ! Baise ma chatte avec ton gros dard ! Putain qu’il est dur ! Défonce-moi, Robert ! Baise-moi, salaud !

J’essaie de la tringler aussi fort que je peux. Implacablement, elle grogne pendant que j’enfonce mon pieu dans les profondeurs de sa chatte en fusion. Elle est si excitée que je ressens la deuxième série de spasmes monter de son ventre, la faisant se pâmer, ses muscles du vagin plus serrés que jamais sur mon barreau titanesque.
-Tu me faire jouir chéri ! Défonce-moi, défonce-moi bien ! Aaaaggh! Je jouis ! Je jouuuuiiiiiiiis!"
Sa chatte explose dans l’orgasme, faisant jaillir de la mouille, les parois étroites se contractant autour de ma queue. Elle s’effondre sur moi, enfonçant mon membre à fond. Mais soudain, sa sœur la bouscule, libérant ma verge pour monter comme une amazone sur un cheval au galop.

Lana met sa main sur mon sexe, serrant mon gourdin énorme déjà tout dur, qu’elle n’arrive pas à enserrer complètement. Ça ne fait que multiplier son excitation et elle commence à le branler doucement. Elle veut maintenant s’occuper de ma queue avec sa bouche. Elle saisit mon gland entre ses lèvres et essaie d'en faire entrer le plus possible, il est si gros pour sa minuscule bouche qu’elle a de la difficulté à l’avaler mais persévère. Elle commence à me sucer. S’interrompant pour commenter :
-Qu’elle est grosse ta queue ! Comme celle de... J’adore la sucer ! Et celle-là, j’arrive pratiquement au bout…Hhhhmmm !...

A suivre…