Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 2
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2024 dans la catégorie Plus on est
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Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 2
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 2
Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.
-Bordel Ninon ! Tu ne devineras-pas ce que j’ai découvert dans son short, Evann a la plus grosse queue que j’ai jamais tenue dans ma main. On a un étalon sous notre toit depuis deux ans et on ne le savait même pas !
Suite :
Après cette découverte, on décide d’un plan d’attaque. Deux jours plus tard, nous revêtons des nuisettes affriolantes et nous dirigeons vers sa chambre, entrons sans faire de bruit et Ninon le bâillonne de sa main pendant que j’arrache les draps. Il se réveille en sursaut et Ninon lui intime :
-Silence le puceau ! C’est la chance de ta vie, deux filles pour toi tout seul pour ta première. Si tu promets de ne pas hurler, je retire ma main, cligne des yeux si tu es d’accord.
Il met un long moment avant de se décider mais finit par fermer et rouvrir les paupières. En petit garçon sage, il porte un pyjama, Ninon s’occupe du haut en le déboutonnant pendant que moi je tire sur le bas pour mettre à l’air libre une grosse limace presque aussi grande que la pine de notre frère en érection.
-Woow ! S’exclame Ninon, très prometteur tout ça !
En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, il se retrouve nu comme un ver devant nous. Nous ne le touchons plus mais nous caressons entre filles, nous nous roulons des pelles, dégageons de nos épaules les bretelles de nos nuisettes qui finissent à nos pieds. Comme ça commence à lui faire de l’effet et qu’il veut se tripoter, Ninon décide d’y mettre le holà.
-Pas touche ! Accès strictement réservé aux filles ! Quand dis-tu Lana, on l’attache ?
-Pas le choix autrement il ne tiendra pas bien longtemps, le pauvre…
On trouve ce qui faut et le transformons en croix de Saint-André. Heureusement qu’il a un lit assez large pour que nous continuions nos plaisirs lesbiens. Chacune dévore la foufoune de l’autre, titillant le clito, léchant les grandes lèvres en glissant un doigt dans le puit sombre.
Nous ne perdons pas de vue son bas-ventre où s’épanouit doucement mais sûrement une superbe pine. Par à-coup, elle fait l’ascension de ses cuisses, puis de l’aine avant de trouver sa plénitude sur son ventre, masquant son nombril. Mon Dieu qu’il est beau notre « frère » par adoption ! Je n’en reviens-pas de l’épi qui vibre de désir, il fait largement plus du double-décimètre, ce qui ne me fait pas peur. Ce n’est pas une brindille qu’il a là, mais une poutre faitière !
Je ne peux plus résister et me saisis du fût de ce chêne à la consistance de « bois de fer ». Je suis surprise qu’elle soit si dure et raide vu la grosseur et la longueur de son braquemard. Ma bouche goûte à la fraise cramoisie qui termine son engin pendant je le branle en caressant ses couilles. Je continue à le pomper en tournant ma langue autour autant que faire se peut. Le problème, c’est que ce petit con est déjà à point. Evann connait sa première éjac dû à des filles et m’envoie des salves rapides et copieuses de sa bonne liqueur de petit mec puceau. Je le regarde droit dans les yeux en avalant la dernière et ultime goutte qu’il avait en réserve puis c’est avec regret que je sors la queue de ma bouche, et la couvre encore de baisers avant de la relâcher à peine débandée.
Je me relève et passe le « témoin » à Ninon. A peine prend-elle en main l’objet du délit qu’il regonfle comme une baudruche, elle décide de lui donner un petit coup de main en soufflant dedans pour le faire gonfler plus vite. Quel spectacle !
Sa grosse queue est redevenue dure, très dure. Il bande à la verticale avec comme soutient les deux mains de Ninon. Elle ouvre sa bouche en grand, la bite qui fait largement plus de vingt centimètres lui faisant face, tendue comme un arc bandé, c’est le cas de le dire. Elle lèche son gland puis va très loin sur le membre avec ses lèvres, il doit lui chatouiller les amygdales.
Elle tousse un petit coup, manquant s’étouffer. Ça doit faire longtemps qu’elle n’en a pas eu un aussi bien monté. Elle le pompe avec amour, salivant comme une salope en branlant cet énorme bâton. Il rue dans ses attaches mais ne peut rien faire contre cette attaque en règle. Ninon lui pose une main sur la poitrine et lui ordonne :
- C’est moi qui commande, pour l’instant laisse-toi faire.
Jamais de ma vie je n'ai vu un tel sexe hormis dans les films pornos, les quelques garçons que j’ai connus étant dans la moyenne. Je suis tellement impressionnée par la taille et l'épaisseur du sexe qui somnolait juste derrière la cloison de ma chambre. J’en ai la chatte qui frétille de plaisir. Je le vois à nouveau se crisper sous les attaques de ma sœur, il est en pleine jouissance. Ninon l’a ressenti elle aussi et tient la lance d’une main ferme, attendant de voir la dernière éruption de ce volcan de nouveau en activité. C’est sismique !
Il jouit. Une jouissance d’une force exceptionnelle, unique, jamais ressentie. Un cri monte du fond de sa gorge, des décharges électriques le traversent et un jet monstrueux de sperme s’élève dans les airs et trace une ligne blanche en pointillée qui part de ses abdos pour terminer dans ses cheveux. Jamais vu ça ! Je reste tétanisée, comme assommée quelques secondes. Trois autres jets suivent, perdant régulièrement de la puissance, le premier lui maculant le menton et coulant sur son torse. Vivement les prochains tours de manège car on a tiré le pompon avec lui ! On se précipite comme à la curée pour récupérer le maximum de sa laitance assez goûtue.
-C’est bien beau ça ! Déclare Ninon. Mais faudrait songer à le faire bosser. Et se tournant vers lui ; T’as déjà fait un cunni ?
-Ben…Euh… C’est quoi un cunni ?
-C’est pas vrai ! Faut tout lui apprendre ! Je ne vais pas t’expliquer ce que c’est mais tu vas très vite comprendre.
Elle enjambe son torse, avance sur les genoux pour placer sa vulve au contact de la bouche d’Evann et lui demande :
-Que penses-tu qu’il fasse faire ? Tu nous as vu œuvrer sur ton nœud et entre nous, à toi de te démerder maintenant. T’as une bouche, une langue, des lèvres, embrasse les miennes comme si tu faisais un baiser à une fille. Lana, détache sa main droite, je m’occupe de la gauche. Je veux qu’il caresse mes seins.
Il lui faut bien cinq minutes avant que Ninon, sous ses conseils, commence à se pâmer.
-Ouuiii ! Il apprend lentement mais sûrement, il a une langue de bonne taille elle aussi, bien râpeuse. Oh putain ! Oh putain !
Je ne peux pas jouir du spectacle mais quand je tourne la tête, je suis agréablement surprise car le tenon a repris toute sa vigueur après ses deux premières éjaculations hyperrapides. On dirait qu’il assure, le petit. Je n’arrive plus à me retenir et monte en croupe derrière ma sœur, lui tournant le dos. Je suis assise sur son ventre. Je frotte ma fente sur son manche, ma vulve épouse le gourdin, laissant une trace humide dessus telle une limace sur toute sa longueur. Je ne peux plus résister à l’appel de la chair, redresse d’une main son rostre, me soulève sur les genoux pour que la tête du missile soit face à son objectif et redescends avec une extrême lenteur sur son sexe. Le mien est à la fête, c’est comme si je me dépucelais une deuxième fois tellement la sensation est forte. C’est comme essayer de rentrer dans du 35 quand vous faites du 37. L’extase… La vraie… Difficilement je m’empale, ma chatte est béante je plaque mes mains contre ses cuisses, honteuse de prendre mon pied avec lui mais je ne donnerais ma place à personne, des larmes coulent sur mes joues tellement ma chatte est dilatée. Je me racle la gorge et commente pour ma sœur.
-Huuum oui j'aime, il me démonte la boite à popaul, le cochon, il me déchire avec son monstre !
-Pourquoi ? il a déjà rebandé ? M’interroge-t-elle.
J’ai cette drôle d'impression d'être revenue à l'adolescence. La bite épaisse d’Evann me défonce la chatte. Oui, plus que tout, je veux jouir, encore et encore. Je porte le bout de mes doigts à mon clito, gonflé d'excitation lui aussi, de désir pour ce jeune homme que j’espère en faire un bon amant. Je suis une chatte toutes griffes dehors, offerte comme jamais à mon bel étalon. Je parviens à me faire exploser une seconde fois. Mes muscles intimes broient sa verge. Je me mets à jouir, à crier mon plaisir à tue-tête, une main sur la bouche pour en atténuer le volume, libérée quand je sens un flot brûlant couler en moi. Pour la troisième fois, il vient de se vider les couilles en un temps record, un chaud-lapin ?
Un plaisir si intense ne peut se refuser ou n'être vécu qu'à moitié. Au diable le cas de conscience de coucher avec le fils du jules de ma mère… Mais une queue est une queue et je veux jouir. Mon corps est en feu... Dire que le fils de mon beau-père est en train de me baiser…
Je réenfonce sa queue loin en moi, à presque m'en faire mal puis je le repousse d'une main, me redresse comme je peux, une main sur ma vulve pour garder sa liqueur et me présente pour prendre la place de Ninon.
-Pousse-toi ! Il faut qu’il goûte le mélange du jus de chatte et de la crème du mâle !
- Génial, ça va être à moi. dit Lana qui libère la tête humide de cyprine.
Je prends sa place et apprécie qu’il ait retenu les leçons de ma sœur, ses lèvres épousent les miennes et je me vide dans sa bouche de cette mixture homme/femme. Je suis si chaude qu’il ne me faut peu de temps pour de nouveau éprouver le plaisir d’un bon cunni. Après cet instant intense, je regarde dans le grand miroir de l’armoire et voit Ninon s'approcher de lui, les seins à l'air, je la vois saliver à l'idée de s'empaler elle aussi sur son gourdin. Pourtant, son sexe est flasque après que son gland s’est vidé du sperme encore chaud dans ma chatte.
- Non ! Tu ne peux pas faire ça Evann ! Moi aussi, je veux éprouver du plaisir sur ton rostre !
- Tu dis ça, Ninon... mais tu mouilles rien qu’en regardant son service trois pièces.
- Lana, non... Ne met pas ta main à ma vulve. Ne frotte pas là.
Sous le plaisir que je lui procure, Ninon tombe à genoux à mes côtés avec ma main toujours présente à son entre-jambe.
- Ca va, Ninon ? Regarde l’effet que ça a sur Evann, il est incroyable, ce puceau ! Tu n'as pas à t'en faire Ninon. Notre poulain à peine débourré est encore plein d'énergie, on assiste à sa troisième résurrection.
- C'est vrai Lana, constate-t-elle. Encore un peu de temps et avec mon aide, sa « chose » sera de nouveau toute dure.
- Et toi, Evann, tu ne voudras pas finir cette soirée sans l'avoir fait avec Ninon. Je me trompe ?
- Vous êtes des diablesses... J'ai jamais connu ça mais je dois dire que j’ai toujours eu envie de... Enfin tu vois ce que je veux dire. J'ai toujours été dingue de Ninon.
- Oh merci Evann. Si je m’étais doutée avant de ton potentiel… Excuse-moi si je t’aguichais, rien que pour te faire mariner.
- Je m'en doutais bien mais ça ne me dérangeait-pas, tu es la personne qui compte le plus pour moi dans cette maison.
- Ah bon ? S’interroge Ninon, décidant de descendre sa main le long de la queue qui de joie, finit par atteindre de nouveau sa pleine puissance. Nous sommes complètement trempées de sueur.
- Mais ! Elle est à nouveau toute dure, ta teub ! Tu assures pour un puceau. Ça promet pour l’avenir. Aaahhh....ouiii....c'est booon! Je la sens entrer en moi....Aaahhh....c'est tellement booon...
En un rien de temps, Ninon a retiré ses doigts pour le chevaucher puis a appuyer le gland sur ses lèvres externes qui s'ouvrent comme un fruit mûr et sent le gros engin entrer en elle, le faisant coulisser jusqu'au fond de son conduit.
-Oh mon Dieu qu'il est gros ! - Ohhhh ouiiiii! Je le sens en moi... Il y en a tellement... Je coule !
A suivre…
Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.
-Bordel Ninon ! Tu ne devineras-pas ce que j’ai découvert dans son short, Evann a la plus grosse queue que j’ai jamais tenue dans ma main. On a un étalon sous notre toit depuis deux ans et on ne le savait même pas !
Suite :
Après cette découverte, on décide d’un plan d’attaque. Deux jours plus tard, nous revêtons des nuisettes affriolantes et nous dirigeons vers sa chambre, entrons sans faire de bruit et Ninon le bâillonne de sa main pendant que j’arrache les draps. Il se réveille en sursaut et Ninon lui intime :
-Silence le puceau ! C’est la chance de ta vie, deux filles pour toi tout seul pour ta première. Si tu promets de ne pas hurler, je retire ma main, cligne des yeux si tu es d’accord.
Il met un long moment avant de se décider mais finit par fermer et rouvrir les paupières. En petit garçon sage, il porte un pyjama, Ninon s’occupe du haut en le déboutonnant pendant que moi je tire sur le bas pour mettre à l’air libre une grosse limace presque aussi grande que la pine de notre frère en érection.
-Woow ! S’exclame Ninon, très prometteur tout ça !
En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, il se retrouve nu comme un ver devant nous. Nous ne le touchons plus mais nous caressons entre filles, nous nous roulons des pelles, dégageons de nos épaules les bretelles de nos nuisettes qui finissent à nos pieds. Comme ça commence à lui faire de l’effet et qu’il veut se tripoter, Ninon décide d’y mettre le holà.
-Pas touche ! Accès strictement réservé aux filles ! Quand dis-tu Lana, on l’attache ?
-Pas le choix autrement il ne tiendra pas bien longtemps, le pauvre…
On trouve ce qui faut et le transformons en croix de Saint-André. Heureusement qu’il a un lit assez large pour que nous continuions nos plaisirs lesbiens. Chacune dévore la foufoune de l’autre, titillant le clito, léchant les grandes lèvres en glissant un doigt dans le puit sombre.
Nous ne perdons pas de vue son bas-ventre où s’épanouit doucement mais sûrement une superbe pine. Par à-coup, elle fait l’ascension de ses cuisses, puis de l’aine avant de trouver sa plénitude sur son ventre, masquant son nombril. Mon Dieu qu’il est beau notre « frère » par adoption ! Je n’en reviens-pas de l’épi qui vibre de désir, il fait largement plus du double-décimètre, ce qui ne me fait pas peur. Ce n’est pas une brindille qu’il a là, mais une poutre faitière !
Je ne peux plus résister et me saisis du fût de ce chêne à la consistance de « bois de fer ». Je suis surprise qu’elle soit si dure et raide vu la grosseur et la longueur de son braquemard. Ma bouche goûte à la fraise cramoisie qui termine son engin pendant je le branle en caressant ses couilles. Je continue à le pomper en tournant ma langue autour autant que faire se peut. Le problème, c’est que ce petit con est déjà à point. Evann connait sa première éjac dû à des filles et m’envoie des salves rapides et copieuses de sa bonne liqueur de petit mec puceau. Je le regarde droit dans les yeux en avalant la dernière et ultime goutte qu’il avait en réserve puis c’est avec regret que je sors la queue de ma bouche, et la couvre encore de baisers avant de la relâcher à peine débandée.
Je me relève et passe le « témoin » à Ninon. A peine prend-elle en main l’objet du délit qu’il regonfle comme une baudruche, elle décide de lui donner un petit coup de main en soufflant dedans pour le faire gonfler plus vite. Quel spectacle !
Sa grosse queue est redevenue dure, très dure. Il bande à la verticale avec comme soutient les deux mains de Ninon. Elle ouvre sa bouche en grand, la bite qui fait largement plus de vingt centimètres lui faisant face, tendue comme un arc bandé, c’est le cas de le dire. Elle lèche son gland puis va très loin sur le membre avec ses lèvres, il doit lui chatouiller les amygdales.
Elle tousse un petit coup, manquant s’étouffer. Ça doit faire longtemps qu’elle n’en a pas eu un aussi bien monté. Elle le pompe avec amour, salivant comme une salope en branlant cet énorme bâton. Il rue dans ses attaches mais ne peut rien faire contre cette attaque en règle. Ninon lui pose une main sur la poitrine et lui ordonne :
- C’est moi qui commande, pour l’instant laisse-toi faire.
Jamais de ma vie je n'ai vu un tel sexe hormis dans les films pornos, les quelques garçons que j’ai connus étant dans la moyenne. Je suis tellement impressionnée par la taille et l'épaisseur du sexe qui somnolait juste derrière la cloison de ma chambre. J’en ai la chatte qui frétille de plaisir. Je le vois à nouveau se crisper sous les attaques de ma sœur, il est en pleine jouissance. Ninon l’a ressenti elle aussi et tient la lance d’une main ferme, attendant de voir la dernière éruption de ce volcan de nouveau en activité. C’est sismique !
Il jouit. Une jouissance d’une force exceptionnelle, unique, jamais ressentie. Un cri monte du fond de sa gorge, des décharges électriques le traversent et un jet monstrueux de sperme s’élève dans les airs et trace une ligne blanche en pointillée qui part de ses abdos pour terminer dans ses cheveux. Jamais vu ça ! Je reste tétanisée, comme assommée quelques secondes. Trois autres jets suivent, perdant régulièrement de la puissance, le premier lui maculant le menton et coulant sur son torse. Vivement les prochains tours de manège car on a tiré le pompon avec lui ! On se précipite comme à la curée pour récupérer le maximum de sa laitance assez goûtue.
-C’est bien beau ça ! Déclare Ninon. Mais faudrait songer à le faire bosser. Et se tournant vers lui ; T’as déjà fait un cunni ?
-Ben…Euh… C’est quoi un cunni ?
-C’est pas vrai ! Faut tout lui apprendre ! Je ne vais pas t’expliquer ce que c’est mais tu vas très vite comprendre.
Elle enjambe son torse, avance sur les genoux pour placer sa vulve au contact de la bouche d’Evann et lui demande :
-Que penses-tu qu’il fasse faire ? Tu nous as vu œuvrer sur ton nœud et entre nous, à toi de te démerder maintenant. T’as une bouche, une langue, des lèvres, embrasse les miennes comme si tu faisais un baiser à une fille. Lana, détache sa main droite, je m’occupe de la gauche. Je veux qu’il caresse mes seins.
Il lui faut bien cinq minutes avant que Ninon, sous ses conseils, commence à se pâmer.
-Ouuiii ! Il apprend lentement mais sûrement, il a une langue de bonne taille elle aussi, bien râpeuse. Oh putain ! Oh putain !
Je ne peux pas jouir du spectacle mais quand je tourne la tête, je suis agréablement surprise car le tenon a repris toute sa vigueur après ses deux premières éjaculations hyperrapides. On dirait qu’il assure, le petit. Je n’arrive plus à me retenir et monte en croupe derrière ma sœur, lui tournant le dos. Je suis assise sur son ventre. Je frotte ma fente sur son manche, ma vulve épouse le gourdin, laissant une trace humide dessus telle une limace sur toute sa longueur. Je ne peux plus résister à l’appel de la chair, redresse d’une main son rostre, me soulève sur les genoux pour que la tête du missile soit face à son objectif et redescends avec une extrême lenteur sur son sexe. Le mien est à la fête, c’est comme si je me dépucelais une deuxième fois tellement la sensation est forte. C’est comme essayer de rentrer dans du 35 quand vous faites du 37. L’extase… La vraie… Difficilement je m’empale, ma chatte est béante je plaque mes mains contre ses cuisses, honteuse de prendre mon pied avec lui mais je ne donnerais ma place à personne, des larmes coulent sur mes joues tellement ma chatte est dilatée. Je me racle la gorge et commente pour ma sœur.
-Huuum oui j'aime, il me démonte la boite à popaul, le cochon, il me déchire avec son monstre !
-Pourquoi ? il a déjà rebandé ? M’interroge-t-elle.
J’ai cette drôle d'impression d'être revenue à l'adolescence. La bite épaisse d’Evann me défonce la chatte. Oui, plus que tout, je veux jouir, encore et encore. Je porte le bout de mes doigts à mon clito, gonflé d'excitation lui aussi, de désir pour ce jeune homme que j’espère en faire un bon amant. Je suis une chatte toutes griffes dehors, offerte comme jamais à mon bel étalon. Je parviens à me faire exploser une seconde fois. Mes muscles intimes broient sa verge. Je me mets à jouir, à crier mon plaisir à tue-tête, une main sur la bouche pour en atténuer le volume, libérée quand je sens un flot brûlant couler en moi. Pour la troisième fois, il vient de se vider les couilles en un temps record, un chaud-lapin ?
Un plaisir si intense ne peut se refuser ou n'être vécu qu'à moitié. Au diable le cas de conscience de coucher avec le fils du jules de ma mère… Mais une queue est une queue et je veux jouir. Mon corps est en feu... Dire que le fils de mon beau-père est en train de me baiser…
Je réenfonce sa queue loin en moi, à presque m'en faire mal puis je le repousse d'une main, me redresse comme je peux, une main sur ma vulve pour garder sa liqueur et me présente pour prendre la place de Ninon.
-Pousse-toi ! Il faut qu’il goûte le mélange du jus de chatte et de la crème du mâle !
- Génial, ça va être à moi. dit Lana qui libère la tête humide de cyprine.
Je prends sa place et apprécie qu’il ait retenu les leçons de ma sœur, ses lèvres épousent les miennes et je me vide dans sa bouche de cette mixture homme/femme. Je suis si chaude qu’il ne me faut peu de temps pour de nouveau éprouver le plaisir d’un bon cunni. Après cet instant intense, je regarde dans le grand miroir de l’armoire et voit Ninon s'approcher de lui, les seins à l'air, je la vois saliver à l'idée de s'empaler elle aussi sur son gourdin. Pourtant, son sexe est flasque après que son gland s’est vidé du sperme encore chaud dans ma chatte.
- Non ! Tu ne peux pas faire ça Evann ! Moi aussi, je veux éprouver du plaisir sur ton rostre !
- Tu dis ça, Ninon... mais tu mouilles rien qu’en regardant son service trois pièces.
- Lana, non... Ne met pas ta main à ma vulve. Ne frotte pas là.
Sous le plaisir que je lui procure, Ninon tombe à genoux à mes côtés avec ma main toujours présente à son entre-jambe.
- Ca va, Ninon ? Regarde l’effet que ça a sur Evann, il est incroyable, ce puceau ! Tu n'as pas à t'en faire Ninon. Notre poulain à peine débourré est encore plein d'énergie, on assiste à sa troisième résurrection.
- C'est vrai Lana, constate-t-elle. Encore un peu de temps et avec mon aide, sa « chose » sera de nouveau toute dure.
- Et toi, Evann, tu ne voudras pas finir cette soirée sans l'avoir fait avec Ninon. Je me trompe ?
- Vous êtes des diablesses... J'ai jamais connu ça mais je dois dire que j’ai toujours eu envie de... Enfin tu vois ce que je veux dire. J'ai toujours été dingue de Ninon.
- Oh merci Evann. Si je m’étais doutée avant de ton potentiel… Excuse-moi si je t’aguichais, rien que pour te faire mariner.
- Je m'en doutais bien mais ça ne me dérangeait-pas, tu es la personne qui compte le plus pour moi dans cette maison.
- Ah bon ? S’interroge Ninon, décidant de descendre sa main le long de la queue qui de joie, finit par atteindre de nouveau sa pleine puissance. Nous sommes complètement trempées de sueur.
- Mais ! Elle est à nouveau toute dure, ta teub ! Tu assures pour un puceau. Ça promet pour l’avenir. Aaahhh....ouiii....c'est booon! Je la sens entrer en moi....Aaahhh....c'est tellement booon...
En un rien de temps, Ninon a retiré ses doigts pour le chevaucher puis a appuyer le gland sur ses lèvres externes qui s'ouvrent comme un fruit mûr et sent le gros engin entrer en elle, le faisant coulisser jusqu'au fond de son conduit.
-Oh mon Dieu qu'il est gros ! - Ohhhh ouiiiii! Je le sens en moi... Il y en a tellement... Je coule !
A suivre…
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