Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 5

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Récit libertin : Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 5
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 5


Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.
Par vengeance, je pince les mamelons de Ninon qui m’engueule. Je change d’objectif, mes lèvres effleurent le gland, réalisant que si je vais jusqu’au bout, il va forcer bientôt mon anus. Je prends sa bite, suce le sperme qui suinte encore, pompe en aspirant la semence restée à l’intérieur. Sa bite se réveille encore, il m’avoue :
-Tes fesses me plaisent, j’ai envie de te goûter par ton petit trou.
-Oui, je suis intéressée, mais je n’ai jamais fait ça avec une queue si massive, je vais déguster.
-Lana. Tu es prête à te faire enculer, comme ta salope de sœur ?

Suite :
Mais si je ne veux pas trop souffrir, il faut que je me dépêche avant que sa trique n’ait repris toute sa force. Je pourrais encore faire machine arrière, mais je fantasme tellement sur sa queue que je ne peux pas revenir en arrière. Je rassemble mes dernières forces et d’un air de défi, je lance à ma sœur : Pourquoi pas ? Si toi tu l’as fait…
-Ok, tu vas être servie ma cocotte, à toi de jouer, Evann…

Elle me prépare le fion, y introduit un puis plusieurs doigts, me graisse abondamment le trou et le tenon d’Evann puis le moment tant redouté arrive.
Ninon nous aide, tenant fermement le défonce-cul d’Evann qui baisse encore la tête. Il doit forcer un peu pour compenser la mollesse du dard. Je râle pourtant dès les premiers centimètres entrés. Sa grosse bite me déforme le trou, je m’en rends bien compte, putain ! Mais c’est encore supportable et j’en veux toujours plus bien que je panique un peu.
-Ça va ? Putain que tu es serré du cul !!! Tu veux tout arrêter ? Demande Evann.
Je ne me démonte-pas malgré sa remarque.
-Non ! non ! je suis juste surprise car malgré ta queue énorme, ça se passe bien mieux que je le craignais. Piqué au vif, Ninon répond sans réfléchir :
-Il ne faut jamais parler trop vite, dit doctement ma sœur, Evann, passe aux choses sérieuses !

Puis tout bascule et soudain c’est terrible… Il me pénètre trop profondément, bien plus que ce qu’il arrive à enfoncer dans ma chatte et donne deux ou trois coups de reins, faisant affluer le sang dans sa verge qui grandit et grossit encore. Sa bite est trop grosse, il me déchire le cul ! Je perds quelques secondes l’esprit et quand mon cerveau se remet à fonctionner, il me baise comme une truie, bouge en moi si bien que j’en éprouve enfin un peu de plaisir. J’ai encore mal, mais je ressens aussi un vif plaisir. Ma chatte coule comme une fontaine.
- Huummm, c’est bon ! Mais putain que t’es gros ! Oh la vache comme tu me démontes !!

Mais ce qui se passe ensuite ramène tout ça à des simples préliminaires. De ses bras puissants, il me colle à lui, je sens ses pectoraux dans mon dos, puis il se redresse. Je suis comme un papillon cloué sur une planche, et l’aiguille est c’est énorme pieu enfoncé jusqu’à la garde dans mon fondement.
Je me vois dans la glace, moi si fluette qui monte et descends sur ce pieu de chair, quand soudain je vois approcher Ninon. Elle a mis le gode ceinture et vient se mettre entre mes cuisses. Evann ne bouge plus pendant quelques secondes permettant à ma sœur d’introduire le gode dans ma petite chatte, encore plus étroite vu le squatteur qui occupe la cave.
-Oh Putain ! Oh putain ! Noooonnn !!! Aaaahhh ! S.T.P. arrête, ça fait trop mal !!!
C’est ma première double et je m’en souviendrai longtemps. Je suis une tranche de jambon, mes cinquante kilos ne font pas le poids sous cette double attaque. Je n’en reviens pas malgré la douleur de ressentir le plaisir monter en moi.
Ninon se défoule dans ma chatte, je sens les couilles d’Evann venir buter contre elle et la bite de silicone. Ses mains courent sur mon corps. Mes seins, mon ventre, mon clitoris bandé. Il me voit me tendre et continue avec un sourire ravi à le titiller. Il est au plus profond de mon cul. Le temps s'arrête mais les minutes passent. Je sens le liquide chaud se déverser dans mes entrailles
-Oh quelle horreur !!! Ninon ! Lana !!! Et, et, Evann ?

C’est Delphine qui vient de rentrer dans la chambre, brisant la communion de nos corps. Nous nous désaccouplons, pris en pleine copulation et nous tournons vers elle. Moi au milieu avec des trainées blanchâtres s’échappant de mon anus par saccade, Ninon avec le gode ceinture et Evann, qui sortant de mon trou du cul à pleine vitesse, giclant toujours, projetant dans la direction de ma mère ses ultimes craches qui atterrissent à moins d’un mètre de maman.

« Evann »
Reprenons depuis le début. Je suis un garçon assez introverti et me suis retrouvé dans une nouvelle famille. Bien sûr que mes nouvelles « sœurs » me plaisent. Mais il ne me serait jamais venu à l’idée d’avoir des relations sexuelles avec elles. Qu’est-ce qui leur a pris ?
Je suis un garçon assez « fleur bleue » et mon univers a complètement changé le jour où j’ai surpris Ninon et Lana en train de se gouiner, assez choqué mais acceptant leur penchant sexuel. Quelle erreur !!!
Comme tous les garçons, il m’arrivait de me masturber en pensant, rêvant qu’un jour une fille accepterait de coucher avec moi, arrivant à la jouissance, puis mon fantasme assouvi et la queue rabougrie, je passais à autre chose. Quelle n’a pas été ma surprise avec ses deux affamées de sexe, ou plutôt de ma queue… Bien sûr j’ai été ravi qu’elles m’affirment que j’étais plutôt très bien monté, suivant leur expérience des garçons. Mais elles ont fait sauter une digue dans mon cerveau. Moi qui n’ai toujours éjaculer qu’une seule fois, Je fus surpris que ses salopes arrivent à me traire quatre fois de suite. Le seul inconvénient, c’est que j’étais un « éjaculateur précoce ». Mais elles m’ont rassuré en me disant que je manquais de pratique et qu’elles allaient remédier à ça.

Hier, je voyais en Lana une fille exquise, belle comme l’aurore. Quelque chose vibrait en nous, proches maintenant l'un de l'autre unis dans une attirance mutuelle.
Je me retrouvais seul avec elle, mon visage touchait presque le sien, quelques centimètres seulement séparaient nos lèvres. Un spectateur aurait cru que nous retardions à dessein l'instant où elles devaient se joindre mais il n'en était rien. Lana frémissait lorsque nos lèvres se touchèrent. J’eus pour ma part le sentiment d'embrasser une déesse, c'était comme si j'étais arrivé au plus haut sommet de mon idéal, comme si l'on m'accordait d'un seul coup ce à quoi j'avais le plus rêvé, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, j'étais lucide et j'agissais pourtant dans une sorte de pulsion nébuleuse qui se confondait avec le chemin de la félicité.
Doucement je libérais une à une les attaches de sa robe qui tombait à ses pieds. J'achevais ensuite de la dévêtir, découvrant un corps splendide, sans l'ombre d'une imperfection. Un corps d’une grâce et d'une harmonie qui aurait rendu jalouse Vénus elle-même.
Des petits seins hauts et fermes, magnifiquement galbés, aux aréoles rosées dont la pointe s'érigeait. Un ventre plat. des hanches idéales, des cuisses rondes, des jambes artistement dessinées.
Mes yeux ne parvenaient pas à se détacher de Lana. Ils la caressaient d'un regard qui glissait sur le velouté de sa peau, épousant toutes les courbes de sa féminité, jusqu'aux plus intimes. J'avais ôté mes vêtements. Il m'est impossible de dire ce que j'éprouvais lorsque nos deux corps se touchèrent, jamais je n'avais senti plus délicieux contact.
Cet attirances qui nous poussait l'un vers l'autre avait jailli spontanément et sublimait tout, nous amenant à découvrir des merveilles incomparables. Nous ne faisions plus partie de la réalité. Nous étions seuls dans un monde à notre mesure, un monde spécialement créé pour nous. La grande force cosmique qui régit l'univers nous avait choisi, nous avait offert l'Eden et l'éternité. Nous étions un par la volonté du maître du cosmos, pleins d'amour et de vie. nous étions heureux. Lana ondulait de plaisir, multipliait ses caresses et ses attouchements, demandant plus encore. Un feu étrange nous embrasait, nous mettait en communion. C'était un arc-en-ciel de sensations nouvelles, de désirs toujours plus grands, et nous nous enfoncions dans un océan de bonheur. Un soleil éclairait notre monde, jetant des feux à nul autre pareils. nous étions un…
Ses petits cris semblables à des gémissements, soupirs, murmures qui s'échappaient des lèvres de Lana, extasiée par mon sexe qu’elle adulait… tantôt algue bercée par la mer, tantôt fleur épanouie, elle se transformait en fée d'amour, brisant les enchantements pour en faire renaître d'autres, plus beaux.
Sur son corps je jouais au magicien. Je la transformais en lyre en harpe, et elle vibrait. mes doigts couraient sur elle. J'étais le vent qui ébouriffait sa chevelure d’or pâle. J'étais l’eau qui la baignait. Nous étions un et elle n’arrêtait que quand elle avait plusieurs fois profiter de ma manne reproductrice.
Ces moments ne devraient jamais finir. Nous étions l’un à l’autre, jusqu’à l'explosion finale qui nous emportait dans un tourbillon d’ivresse... Mais si elle était le Ying il y avait le Yang…

Aujourd’hui, c’est Ninon qui vient de s’introduire dans ma chambre. Autre fille autre déesse… Elle referme soigneusement la porte derrière elle, vient vers moi et, sans préambule m'embrasse fougueusement. La surprise dure pendant une fraction de seconde puis je réponds avec ma même fougue à son baiser, laissant courir mes mains le long de sa taille épanouie. Elle me fixe, droit dans les yeux, et sans aucun complexe, se déshabille.
-Qu'est-ce que tu attends pour faire pareil ? demande-t-elle. Elle est beaucoup plus terre à terre que sa sœur.

A mon tour, je me dépouille de mes vêtements, non sans admirer la nudité de Ninon. un corps parfait, elle aussi, mais l’opposé de sa sœur. Des seins un peu lourds, mais bien faits, des seins qui n'ont pas besoin d'être soutenus. Un ventre moins plat orné à la base d'un triangle minuscule de poils noirs, des cuisses fermes et un peu dodues… Tout ce qui attire l'œil et le captive, donnant à l'observateur des décharges intimes qui préparent à l'amour. Elle est belle, et elle le sait. Féline, elle s'étire, puis d'une démarche ondulante, elle s'approche de moi, fixant la barre tendue, érigée rien que pour elle.
- Comment me trouves-tu ? Appétissante vu la réaction de ta grosse queue !

Décidément, Ninon est une fille curieuse qui n’a qu’une idée, profiter de ce que je lui offre.
Je croyais la connaître mais ne fais que la découvrir autrement qu’une jeune fille sage. Elle joue alors les mannequins, marche dans ma chambre, s'arrêtant pour prendre des pauses provocantes, usant de tous ses charmes, caressant au passage mon pénis.
-Alors ? Fait-elle dans un sourire qui me trouble un peu plus.
-Tu… tu es magnifique ! Je lui réponds, complètement déphasé.
- Je te crois, réplique-t-elle sans cesser de sourire. J'avoue que je ne suis pas mécontente de l'effet produit, tu bandes comme un âne…
Elle baisse les yeux vers la partie de mon anatomie à laquelle elle fait allusion. Ses longs cils ombrageant son regard. Puis elle se renverse sur mon lit.
- Viens, embrasse-moi, prends-moi.

Nymphomane ? Peut-être. Mais en tout cas très belle, très attirante. Je n'ai nulle envie de résister. Je réponds à son désir que je partage très sincèrement. Elle est femme ardente, un volcan, comme sa sœur...
Nous brûlons du même feu. Notre passion jaillit comme un torrent de lave. Ninon tremble d'ivresse folle, incapable de contenir son impatience. Elle est l'amour qui explose, l'amour qui donne et qui reçoit, l'amour avide de l'amour. Nous échangeons mille caresses fébriles, murmurons des paroles insensées qui nous donnent de nouveaux vertiges. Nous sommes l’un à l'autre soudés, vibrant, hors d’haleine, comme des forçats d'amour. Le reste ne compte plus. Le corps de Ninon est une vague puissante dont je brise les assauts pour mieux les renouveler.
Ensemble, nous atteignions les sommets convoités de l'ivresse, idéalisant dans une étreinte ultime l'amour physique que nous nous donnons. Mais ce n’est pas assez pour elle, maintenant elle veut mettre ma queue dans son cul. Jusqu’où ira-t-elle ?


A suivre…

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Quelles chaudasses!



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