Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 6
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 6
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 6
Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.
Le corps de Ninon est une vague puissante dont je brise les assauts pour mieux les renouveler.
Ensemble, nous atteignons les sommets convoités de l'ivresse, idéalisant dans une étreinte ultime l'amour physique que nous nous donnons. Mais ce n’est pas assez pour elle, maintenant elle veut mettre ma queue dans son cul. Jusqu’où ira-t-elle ?
Suite :
« Delphine »
Mais comment-ai-je pu céder à Léo ? Je suis prise au piège, pourtant j’ai apprécié cette étreinte incestueuse ou presque. Mais que faire maintenant ? Le repousser lors de ses prochains assauts ou bien alors y céder ? Il est un amant tout à fait correct et mon mari est si souvent absent. Je ne sais plus comment me comporter avec lui. Et en parlant de comportement, je trouve que celui de mes filles a beaucoup changer avec Evann, mon beau fils.
Elles qui le snobaient, faisant comme si cette pièce rapportée était de trop dans cette maison, n’arrêtent pas de le coller. L’autre jour, pensant que je m’étais assoupie dans mon fauteuil, elles étaient sur le divan, encerclant le garçon et laissaient traîner leurs mains sur ses cuisses. Il avait un pantalon de toile assez moulant et vu la bosse qui déformait sa jambe gauche, il devait réagir au stimuli de mes filles. On dirait qu’il est correctement bien monté lui aussi, comme Léo.
Ce n’est pas que je sois une mère la pudeur, mais il faut que je leur face la leçon. Ils sont tous les trois à l’étage dans leurs chambres respectives. Je monte les escaliers et me dirige vers la chambre de Ninon. En m’approchant de sa porte, j’entends des râles et des soupirs. Mais que ce passe-t-il donc dans cette pièce ? Je prends la poignée de la porte, la tourne et ouvre brusquement l’huis pour surprendre les protagonistes.
Je m’attends à trouver Ninon avec Evann, bien que ça me surprenne de lui car il n’est pas très entreprenant. J’entre en silence et me fige, horrifiée par la scène que je découvre ; Lana est coincée entre les corps dénudés de Ninon et d’Evann, se faisant embrochée des deux côtés.
Quand je hurle, Ils interrompent leur fornication, se séparent et me font face. Ninon est harnachée avec un gode-ceinture de belle taille, luisant de cyprine, quand-à Lana, un flot de foutre coule le long de ses cuisses. Mais la plus grosse surprise, c’est la verge d’Evann qui monte et baisse toute seule, expulsant encore des jets de sperme qui finissent à moins d’un mètre de moi. Il est doté d’un pénis comme je n’en ai jamais connu, droit comme un I, d’une longueur et surtout d’une épaisseur digne de certains acteurs porno très bien dotés par dame nature, aussi gros que celui de son père, mais beaucoup plus long.
-Comment osez-vous ?! Avec le fils de Xavier, en plus ! Et si ça ne suffisait-pas, vous faites ça à trois. Et toi Lana ; Non contente de te faire sodomiser par lui, tu acceptes que ta sœur te prenne par devant avec cet horrible gode-ceinture. Je ne savais pas que mes filles étaient de vraies trainées !
-Eh doucement maman ! Rétorque Ninon, tu as beau jeu de dire ça alors que l’autre jour, on t’a surprise en train de sucer Léo. C’est toi qui a commencé et je ne vois pas pourquoi on aurait dû faire ceinture. Regarde maman, malgré qu’il ait débandé, Evann a un sacré morceau, non ? T’as-vu ce qu’il a envoyé comme foutre alors que c’est la quatrième fois qu’il se vide les couilles… Un vrai étalon de course, ou plutôt un cheval franc-comtois qui sait tenir la distance.
Que répondre, effondrée par sa répartie. Oui, j’ai sucé mon fils adoptif, et plus encore, et je ne sais même pas si elles sont aussi au courant pour ça. Je m’enfuis et vais me réfugier dans ma chambre pour pleurer. Mais une image s’imprime sur mes rétines, l’énorme queue d’Evann… Son père devait être bien monté, mais lui a une véritable poutre entre les cuisses, et si ce que ma fille a affirmé est vrai, ce gamin introverti est capable de remettre le couvert quatre fois de suite, quatre… Que dois-je faire, que dois-je dire ? Le pire, c’est que je m’aperçois que ces pensées me font mouiller ma culotte, le comble !
Le plus fort, c’est que depuis ce jour, mes filles font tout pour me mettre mal à l’aise. Elles ne se contentent plus de caresser Evann en ma présence mais osent déboutonner son pantalon et d’en extraire ce véritable manche de pioche qu’elles ont les plus grandes difficultés à prendre entre leurs lèvres tellement même le gland a déjà des proportions hors-norme.
Je n’ose même plus les réprimander, sachant qu’elles s’en foutent complètement. Pour me narguer, elles le sucent et le branlent jusqu’à ce qu’il éjacule un véritable flot de foutre qui laisse de grands trainées blanchâtres sur le parquet. Je n’arrive plus à me retenir et glisse ma main dans ma culotte qui est bonne à essorer quand pour la troisième fois, elles arrivent à leur fin, serrant sa lance chacune avec une main qui n’arrive pas à en faire le tour tellement la hampe est épaisse, et dirigeant les nouveaux jets de sa semence dans ma direction. Je n’en reviens pas en voyant cette multitude de bandes pointillées qui jonche le sol de mon salon. Lana me fait remarquer :
-Il a de sacrées burnes, le « frérot ». Mais je peux t’assurer que le réservoir n’est pas à sec, peut-être sur la réserve mais il peut encore rouler pas mal de bornes.
Je suis si mal à l’aise que je me lève pour quitter la pièce Quand Ninon m’attrape par le bras et me tire vers lui.
-Allez, je sais que tu en crèves d’envie, ta culotte est si trempée que tu as taché tes vêtements. Touche sa queue, touche je te dis !!!
Je suis si abasourdie que je ne réalise pas que Lana s’est saisi de ma main droite pour la poser sur son pénis qui a légèrement débandé. La bête est brûlante, très douce et réagit comme si elle avait été piquée par une guêpe, la faisant enfler sous mes doigts. Mais comment ce petit merdeux peut-il avoir une telle machine aux plaisirs entre ses cuisses ?
Réalisant ce que je suis en train de faire, je veux lâcher ce formidable mandrin mais mes deux filles s’y opposent de toutes leurs forces.
-Ne fais-pas la femme de bénitier maman, s’emporte Ninon, on sait que tu adores tellement les bites que même celle de notre frère en a fait les frais. Pas mal, hein ? Ça c’est de la teub de compétition ! Et tu t’émerveilleras encore plus quand tu lui feras les mêmes gâteries qu’avec Léo.
-Et je peux te dire, surenchérit Lana, que quand tu as ça dans ta moule ou dans ton cul, tu atteins le septième ciel et réalises que tout ce que tu as connu avant n’étaient que des pis-aller. Il va te ramoner des endroits qu’aucune autres bites n’a défrichés.
-Oh ! Arrêtez de dire de telles horreurs, les filles ! Jamais je ne m’abaisserai à tromper son père, surtout avec son propre fils ! Je m’emporte.
-Alors pourquoi tu ne lâches pas son gourdin ? Ça fait bien vingt secondes que plus rien ne t’y force. M’interroge Ninon.
Je baisse les yeux et réalise effectivement qu’elles ont retiré leurs mains mais que la mienne n’a pas bougé d’un iota, mes doigts s’étant refermés sur leur proie. Je tiens fermement sa queue et mes yeux n’en reviennent pas de sa longueur, mais surtout de son épaisseur, quel mandrin ! C’est la plus grosse bite que j’ai jamais vue. Elle est si grosse et épaisse, j’en suis bouche-bée.
Mais je ne peux me résoudre à aller plus loin, desserre mes doigts et vais me réfugier dans ma chambre. Je suis prise entre deux sentiments, celui de cette situation ubuesque dans ma famille et l’autre, céder à la pulsion incontrôlée que j’ai ressenti en tenant dans ma main ce véritable braquemard. Je mets très longtemps à trouver le sommeil, envahi par des visions de copulations avec un diablotin avec une verge courbée monstrueuse.
Trois nuits plus tard, Je suis en plein rêve érotique, des mains parcourent mon corps, en explorent chaque centimètres-carrés. Soudain, dans un demi-sommeil, je me rends compte que ce n’est pas un rêve, quelqu’un me caresse réellement. Ce n’est pas vrai ! C’est encore Léo qui est revenu à la charge… Mais je suis dans un tel état d’excitation que je le laisse faire. Ce petit salaud ne se contente plus de me caresser, maintenant il écarte mes cuisses de ses mains et me broute le minou. C’est la première fois qu’il me fait ça et je ne tarde pas à mouiller tellement il s’y prend bien, mordillant mon clito, enfonçant sa langue entre mes lèvres vaginales. Titillant même mon anus avec un de ses doigts.
-Oh oui Léo ! Continue, ouiiiii ! Je coule, je coule…
Mais il arrête soudain, se relève et vient près de moi, m’approche du bord du lit et prend ma tête entre ses deux mains. J’ouvre la bouche et tire la langue, sachant très bien ce qui m’attend. Je lèche son gland mais un doute me submerge. C’est alors qu’il me force à le prendre en bouche, levant le doute. Devant l’énormité de la chose, je réalise que ce n’est pas la verge de Léo mais le mandrin surdimensionné d’Evann. J’essaie de le repousser mais je ne suis pas de force pour lutter avec lui.
Avec Léo, j’arrivais à lui faire une gorge-profonde, mais là, l’organe est si massif que le gland bute sur ma luette alors que ma main serrée à la base de sa hampe a encore de la place pour branler cette hampe magnifique. Ninon avait raison, il y a de la matière pour faire une gâterie !
-Mets-toi sur le dos, la tête dans le vide, m’ordonne-t-il, je veux en avoir le cœur net.
Je ne me rebiffe même pas et lui obéis, il reprend ma tête entre ses mains et introduit de nouveau sa teub entre mes lèvres. Son gland bute au fond de ma gorge, mais il n’en a cure et continue à introduire son jonc vigoureux entre mes lèvres en m’ordonnant :
-Prends une grosse respiration et détends-toi.
Je lui obéis, j’ai une vision sur ses bourses qui se rapprochent avant de s’écraser sur mon nez, réalisant l’exploit que je viens de réaliser. J’ai réussi à faire une gorge-profonde sur cette tige pharaonique avec quelques haut-le-coeur ! Plusieurs fois, il réalise l’exploit et s’assurant que je reprenne ma respiration à chaque fois.
-J’étais sûr que tu en étais capable, au moins une femme de la famille a relevé le gant, quand je le dirai à tes filles…
Nous avons repris une position plus confortable. Je le regarde maintenant que ma vue s’est accoutumée à la semi-obscurité, le branle et le suce pendant quelques minutes, son corps dégage une puissance incomparable. Je passe ma langue autour du gland violacé et j’engouffre sa verge dans ma bouche.
- Va plus loin, essaie de la prendre jusqu’aux couilles, comme tout à l’heure !
Je suis loin d’être une experte de la pipe mais je me débrouille. J’arrive à enfiler la moitié de son chibre puis me retire en enserrant son membre entre mes lèvres, le sexe d’Evann est tout luisant de ma salive. Je lèche son gland, lui titille le méat du bout de ma langue, puis je reprends son gourdin au fond de ma bouche, j’essaie de l’enfoncer le plus possible jusqu’à la limite de mes possibilités à en avoir de nouveau des hauts de cœur tellement sa queue m’envahit la gorge. Je me retire de nouveau, son souffle est de plus en plus rauque, il apprécie et me supplie.
- On dirait que tu aimes, salope ? Oui c’est booon ! Oui continue, ne t’arrête surtout pas !
A suivre…
Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.
Le corps de Ninon est une vague puissante dont je brise les assauts pour mieux les renouveler.
Ensemble, nous atteignons les sommets convoités de l'ivresse, idéalisant dans une étreinte ultime l'amour physique que nous nous donnons. Mais ce n’est pas assez pour elle, maintenant elle veut mettre ma queue dans son cul. Jusqu’où ira-t-elle ?
Suite :
« Delphine »
Mais comment-ai-je pu céder à Léo ? Je suis prise au piège, pourtant j’ai apprécié cette étreinte incestueuse ou presque. Mais que faire maintenant ? Le repousser lors de ses prochains assauts ou bien alors y céder ? Il est un amant tout à fait correct et mon mari est si souvent absent. Je ne sais plus comment me comporter avec lui. Et en parlant de comportement, je trouve que celui de mes filles a beaucoup changer avec Evann, mon beau fils.
Elles qui le snobaient, faisant comme si cette pièce rapportée était de trop dans cette maison, n’arrêtent pas de le coller. L’autre jour, pensant que je m’étais assoupie dans mon fauteuil, elles étaient sur le divan, encerclant le garçon et laissaient traîner leurs mains sur ses cuisses. Il avait un pantalon de toile assez moulant et vu la bosse qui déformait sa jambe gauche, il devait réagir au stimuli de mes filles. On dirait qu’il est correctement bien monté lui aussi, comme Léo.
Ce n’est pas que je sois une mère la pudeur, mais il faut que je leur face la leçon. Ils sont tous les trois à l’étage dans leurs chambres respectives. Je monte les escaliers et me dirige vers la chambre de Ninon. En m’approchant de sa porte, j’entends des râles et des soupirs. Mais que ce passe-t-il donc dans cette pièce ? Je prends la poignée de la porte, la tourne et ouvre brusquement l’huis pour surprendre les protagonistes.
Je m’attends à trouver Ninon avec Evann, bien que ça me surprenne de lui car il n’est pas très entreprenant. J’entre en silence et me fige, horrifiée par la scène que je découvre ; Lana est coincée entre les corps dénudés de Ninon et d’Evann, se faisant embrochée des deux côtés.
Quand je hurle, Ils interrompent leur fornication, se séparent et me font face. Ninon est harnachée avec un gode-ceinture de belle taille, luisant de cyprine, quand-à Lana, un flot de foutre coule le long de ses cuisses. Mais la plus grosse surprise, c’est la verge d’Evann qui monte et baisse toute seule, expulsant encore des jets de sperme qui finissent à moins d’un mètre de moi. Il est doté d’un pénis comme je n’en ai jamais connu, droit comme un I, d’une longueur et surtout d’une épaisseur digne de certains acteurs porno très bien dotés par dame nature, aussi gros que celui de son père, mais beaucoup plus long.
-Comment osez-vous ?! Avec le fils de Xavier, en plus ! Et si ça ne suffisait-pas, vous faites ça à trois. Et toi Lana ; Non contente de te faire sodomiser par lui, tu acceptes que ta sœur te prenne par devant avec cet horrible gode-ceinture. Je ne savais pas que mes filles étaient de vraies trainées !
-Eh doucement maman ! Rétorque Ninon, tu as beau jeu de dire ça alors que l’autre jour, on t’a surprise en train de sucer Léo. C’est toi qui a commencé et je ne vois pas pourquoi on aurait dû faire ceinture. Regarde maman, malgré qu’il ait débandé, Evann a un sacré morceau, non ? T’as-vu ce qu’il a envoyé comme foutre alors que c’est la quatrième fois qu’il se vide les couilles… Un vrai étalon de course, ou plutôt un cheval franc-comtois qui sait tenir la distance.
Que répondre, effondrée par sa répartie. Oui, j’ai sucé mon fils adoptif, et plus encore, et je ne sais même pas si elles sont aussi au courant pour ça. Je m’enfuis et vais me réfugier dans ma chambre pour pleurer. Mais une image s’imprime sur mes rétines, l’énorme queue d’Evann… Son père devait être bien monté, mais lui a une véritable poutre entre les cuisses, et si ce que ma fille a affirmé est vrai, ce gamin introverti est capable de remettre le couvert quatre fois de suite, quatre… Que dois-je faire, que dois-je dire ? Le pire, c’est que je m’aperçois que ces pensées me font mouiller ma culotte, le comble !
Le plus fort, c’est que depuis ce jour, mes filles font tout pour me mettre mal à l’aise. Elles ne se contentent plus de caresser Evann en ma présence mais osent déboutonner son pantalon et d’en extraire ce véritable manche de pioche qu’elles ont les plus grandes difficultés à prendre entre leurs lèvres tellement même le gland a déjà des proportions hors-norme.
Je n’ose même plus les réprimander, sachant qu’elles s’en foutent complètement. Pour me narguer, elles le sucent et le branlent jusqu’à ce qu’il éjacule un véritable flot de foutre qui laisse de grands trainées blanchâtres sur le parquet. Je n’arrive plus à me retenir et glisse ma main dans ma culotte qui est bonne à essorer quand pour la troisième fois, elles arrivent à leur fin, serrant sa lance chacune avec une main qui n’arrive pas à en faire le tour tellement la hampe est épaisse, et dirigeant les nouveaux jets de sa semence dans ma direction. Je n’en reviens pas en voyant cette multitude de bandes pointillées qui jonche le sol de mon salon. Lana me fait remarquer :
-Il a de sacrées burnes, le « frérot ». Mais je peux t’assurer que le réservoir n’est pas à sec, peut-être sur la réserve mais il peut encore rouler pas mal de bornes.
Je suis si mal à l’aise que je me lève pour quitter la pièce Quand Ninon m’attrape par le bras et me tire vers lui.
-Allez, je sais que tu en crèves d’envie, ta culotte est si trempée que tu as taché tes vêtements. Touche sa queue, touche je te dis !!!
Je suis si abasourdie que je ne réalise pas que Lana s’est saisi de ma main droite pour la poser sur son pénis qui a légèrement débandé. La bête est brûlante, très douce et réagit comme si elle avait été piquée par une guêpe, la faisant enfler sous mes doigts. Mais comment ce petit merdeux peut-il avoir une telle machine aux plaisirs entre ses cuisses ?
Réalisant ce que je suis en train de faire, je veux lâcher ce formidable mandrin mais mes deux filles s’y opposent de toutes leurs forces.
-Ne fais-pas la femme de bénitier maman, s’emporte Ninon, on sait que tu adores tellement les bites que même celle de notre frère en a fait les frais. Pas mal, hein ? Ça c’est de la teub de compétition ! Et tu t’émerveilleras encore plus quand tu lui feras les mêmes gâteries qu’avec Léo.
-Et je peux te dire, surenchérit Lana, que quand tu as ça dans ta moule ou dans ton cul, tu atteins le septième ciel et réalises que tout ce que tu as connu avant n’étaient que des pis-aller. Il va te ramoner des endroits qu’aucune autres bites n’a défrichés.
-Oh ! Arrêtez de dire de telles horreurs, les filles ! Jamais je ne m’abaisserai à tromper son père, surtout avec son propre fils ! Je m’emporte.
-Alors pourquoi tu ne lâches pas son gourdin ? Ça fait bien vingt secondes que plus rien ne t’y force. M’interroge Ninon.
Je baisse les yeux et réalise effectivement qu’elles ont retiré leurs mains mais que la mienne n’a pas bougé d’un iota, mes doigts s’étant refermés sur leur proie. Je tiens fermement sa queue et mes yeux n’en reviennent pas de sa longueur, mais surtout de son épaisseur, quel mandrin ! C’est la plus grosse bite que j’ai jamais vue. Elle est si grosse et épaisse, j’en suis bouche-bée.
Mais je ne peux me résoudre à aller plus loin, desserre mes doigts et vais me réfugier dans ma chambre. Je suis prise entre deux sentiments, celui de cette situation ubuesque dans ma famille et l’autre, céder à la pulsion incontrôlée que j’ai ressenti en tenant dans ma main ce véritable braquemard. Je mets très longtemps à trouver le sommeil, envahi par des visions de copulations avec un diablotin avec une verge courbée monstrueuse.
Trois nuits plus tard, Je suis en plein rêve érotique, des mains parcourent mon corps, en explorent chaque centimètres-carrés. Soudain, dans un demi-sommeil, je me rends compte que ce n’est pas un rêve, quelqu’un me caresse réellement. Ce n’est pas vrai ! C’est encore Léo qui est revenu à la charge… Mais je suis dans un tel état d’excitation que je le laisse faire. Ce petit salaud ne se contente plus de me caresser, maintenant il écarte mes cuisses de ses mains et me broute le minou. C’est la première fois qu’il me fait ça et je ne tarde pas à mouiller tellement il s’y prend bien, mordillant mon clito, enfonçant sa langue entre mes lèvres vaginales. Titillant même mon anus avec un de ses doigts.
-Oh oui Léo ! Continue, ouiiiii ! Je coule, je coule…
Mais il arrête soudain, se relève et vient près de moi, m’approche du bord du lit et prend ma tête entre ses deux mains. J’ouvre la bouche et tire la langue, sachant très bien ce qui m’attend. Je lèche son gland mais un doute me submerge. C’est alors qu’il me force à le prendre en bouche, levant le doute. Devant l’énormité de la chose, je réalise que ce n’est pas la verge de Léo mais le mandrin surdimensionné d’Evann. J’essaie de le repousser mais je ne suis pas de force pour lutter avec lui.
Avec Léo, j’arrivais à lui faire une gorge-profonde, mais là, l’organe est si massif que le gland bute sur ma luette alors que ma main serrée à la base de sa hampe a encore de la place pour branler cette hampe magnifique. Ninon avait raison, il y a de la matière pour faire une gâterie !
-Mets-toi sur le dos, la tête dans le vide, m’ordonne-t-il, je veux en avoir le cœur net.
Je ne me rebiffe même pas et lui obéis, il reprend ma tête entre ses mains et introduit de nouveau sa teub entre mes lèvres. Son gland bute au fond de ma gorge, mais il n’en a cure et continue à introduire son jonc vigoureux entre mes lèvres en m’ordonnant :
-Prends une grosse respiration et détends-toi.
Je lui obéis, j’ai une vision sur ses bourses qui se rapprochent avant de s’écraser sur mon nez, réalisant l’exploit que je viens de réaliser. J’ai réussi à faire une gorge-profonde sur cette tige pharaonique avec quelques haut-le-coeur ! Plusieurs fois, il réalise l’exploit et s’assurant que je reprenne ma respiration à chaque fois.
-J’étais sûr que tu en étais capable, au moins une femme de la famille a relevé le gant, quand je le dirai à tes filles…
Nous avons repris une position plus confortable. Je le regarde maintenant que ma vue s’est accoutumée à la semi-obscurité, le branle et le suce pendant quelques minutes, son corps dégage une puissance incomparable. Je passe ma langue autour du gland violacé et j’engouffre sa verge dans ma bouche.
- Va plus loin, essaie de la prendre jusqu’aux couilles, comme tout à l’heure !
Je suis loin d’être une experte de la pipe mais je me débrouille. J’arrive à enfiler la moitié de son chibre puis me retire en enserrant son membre entre mes lèvres, le sexe d’Evann est tout luisant de ma salive. Je lèche son gland, lui titille le méat du bout de ma langue, puis je reprends son gourdin au fond de ma bouche, j’essaie de l’enfoncer le plus possible jusqu’à la limite de mes possibilités à en avoir de nouveau des hauts de cœur tellement sa queue m’envahit la gorge. Je me retire de nouveau, son souffle est de plus en plus rauque, il apprécie et me supplie.
- On dirait que tu aimes, salope ? Oui c’est booon ! Oui continue, ne t’arrête surtout pas !
A suivre…
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