Fanette 02
Récit érotique écrit par Bonlien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fanette 02
Tout d'abord, je vous remercie pour vos réactions et vous présente mes excuses pour cette longue période de vide, vide comme l'était mon moral.
Fanette 02Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..."
Jour 2Mon érection ne me quitte pas de toute la nuit et, toujours bien bandant, je me présente le lendemain matin dans la salle principale. Elle m'accueille chaleureusement, toujours avec son si tendre baiser sur la joue. Hardi, je m'empresse de lui rendre un baiser tout aussi tendre mais je suis réprimé par un 'pas sans permission' tandis que sa main agrippe fermement mon entrejambe, à la limite de la douleur. J'essaie de me reculer, commençant à m'excuser alors que je peux voir un regard tout autre dans ses yeux scintillants tandis que ses doigts compriment ma hampe tendue. Je commence à préparer le déjeuner, comme prévu, observant l'entrée discrète de Pascal. Il ne se risque pas à proposer un baiser à Fanette et je ne sais pas si j'ai marqué un point ou que j'en avais perdu un.
Pascal, un peu distant mais amical, m'aide à la préparation et le repas se passe sans problème, Fanette est assise en face de nous et nous observe manger, nous posant de temps en temps une question sur notre relation amicale à laquelle nous répondons sans détours. Je crois que Fanette réalise, seulement alors, la force de notre amitié et je comprends, moi aussi que, quoi qu'il arrive, Pascal restera toujours la personne la plus importantes dans ma vie. A ce moment-là, j'ai une envie folle de le serrer entre mes bras, comme nous le faisions parfois lors d'évènements particuliers, mais, vu la situation, devant Fanette et avec mon érection qui déborde presque de mon slip, je me retiens. Pourtant, je sens la même envie de sa part, chose confirmée par le regard qu'il me lance aussitôt. Une chaleur intense traverse mon corps, mais ce n'est plus de la gêne cette fois-ci, c'est une profonde chaleur humaine.
Tandis que nous faisons la vaisselle du déjeuner, Fanette nous raconte l'histoire de la ferme et nous explique qu'elle l'a héritée de ses parents. Elle nous 'demande' de l'aider à la restaurer, nous proposant de simples petits travaux dans nos compétences. Notre rapide approbation ne semble pas une surprise pour elle.
Une fois la vaisselle terminée, Fanette propose de commencer les travaux tout de suite. Pascal réagit en expliquant que nous ne pouvons pas travailler dans cette tenue et Fanette admet, de suite, qu'il a entièrement raison. Avant que nous ne puissions souffler de soulagement, elle ajoute que ce serait dommage d'abimer de si beaux petits slips. Je n'en crois pas mes oreilles, je ne veux pas croire ce qu'elle a dit, ce qu'elle sous-entend. Pascal reste pétrifié à côté de moi, aucun de nous ne sachant comment réagir.
Rapidement, ne nous voyant pas bouger, Fanette demande si nous avons un problème de nous mettre nus l'un devant l'autre. Même s'il y en a un, aucun de nous ne l'aurait avoué, mais le problème ne vient pas vraiment de là. Pourtant, voyant Pascal commencer à baiser lentement son slip, je fais de même. Avant qu'il ne recouvre son érection, mes mains sont déjà posées sur la mienne, provoquant un éclat de rire détonnant de notre Fanette. Accentué par ce rire immonde, Fanette nous signale combien nous sommes ridicules de sorte que je retire lentement mes mains protectrices et mon ami fait de même. Je ne me sens pas vraiment moins ridicule maintenant que mes mains ne cachent plus rien de mon corps et, je dois avouer que mon sexe gonflé ne se sent sûrement pas ridicule comme il palpite de haut en bas et suinte.
Fanette nous complimente simplement sur nos attributs, signalant qu'elle en a rarement vu d'aussi beaux, aussi rigides sans manipulation. J'ose un regard timide vers l'entrejambe de Pascal et constate effectivement la beauté et la dureté de son sexe qui palpite autant que le mien. Je le sens aussi me regarder de sorte que je détourne mon regard.
Fanette avance d'un pas et je recule d'un pas, Pascal aussi. Les rires de Fanette s'intensifient comme elle nous signale qu'elle ne va pas nous dévorer… en boutade. Elle pose sa main droite sur mon épaule droite, sa main gauche sur l'épaule gauche de mon ami et nous tire face à face. Je ne quitte pas Pascal des yeux, gêné par la situation, mais ravi de pouvoir me retrouver ainsi devant lui. De nouveau, je ne peux lire que des sentiments de chaleur humaine dans la profondeur de ses yeux, je me sens encore plus proche de lui. Je sors de mes pensées lorsque la main de Fanette descend le long de mon bras. Je suis en confiance et je la laisse faire, mais qu'elle n'est pas ma surprise lorsqu'elle guide ma main et me fait serrer mon poing autour d'une douce tige de chair… un sexe qui… n'est pas le mien. Il y a aussi une main pressée autour de mon propre sexe, mais ce n'est pas, non plus, la mienne, ni celle de Fanette qui est autour de mon poignet. Lentement, très lentement, je prends conscience que mon ami touche mon sexe en érection, que je serre son sexe tendu dans ma main. Dès que la main qui force mes doigts fermés se retire, je détourne mes yeux vers sa propriétaire. La vue de Fanette me fait frémir, je retire de suite ma main, conscient de l'ambigüité de la situation mais je ne vois qu'une étrange satisfaction dans ses beaux yeux verts amusés. La fermeté, la sévérité de son regard signale intensément ma désobéissance. Comme un gamin pris en défaut, je replace ma main où elle avait été forcée avant.
Une nouvelle réalité pénètre alors mon cerveau, une sensation étrange dans ma paume, un contact humide. Instinctivement, je baisse les yeux pour découvrir ce reflet luisant de fluide épais et, prenant conscience de son origine, je découvre mon propre sexe aussi dressé et dégoulinant. Relevant la tête, je retrouve ce sourire intriguant sur le visage de Fanette, visiblement consciente de mes pensées. Tous deux toujours figés d'incompréhension par cette nouvelle situation inattendue, Pascal et moi, nous nous regardons dans les yeux, deux regards incrédules et interrogateurs.
Un claquement de mains nous ramène à la réalité comme notre Fanette, déniant apparemment la singularité de la situation, commence à nous expliquer le travail de la journée. Nus, les sexes dressés et dégoulinants, nous suivons notre Amour vers la porte. Soudain conscients de cette nudité insolite, après une hésitation sur le seuil de la porte comme Fanette nous mène vers l'extérieur, toujours remplis d'une confrontation entre cet amour débordant et l'insolite de la situation, nous commençons à travailler, armés de deux pelles et de deux brouettes pour déblayer la cour intérieur de la grande ferme. Gênés au début par ce sexe qui oscille à chaque mouvement, un certain plaisir s'installe lentement, empêchant ainsi le moindre dégonflement. Un regard constant vers cette grande double porte de bois qui nous isole dans cette cour du reste du monde, nous travaillons d'arrache-pied, jusqu'à en oublier notre nudité. Presque, car lorsque je peux voir Fanette nous observer, assise dans un transat, lorsque je peux voir ce regard pétillant et ce sourire moqueur, je peux imaginer le spectacle loufoque que nous offrons pour Elle.
Le travail est intense, à peine interrompu pour manger un plat de pâtes vers midi, pâtes que mon ami a préparé rapidement sous le regard intense de notre Fanette tandis que je continue, seul, à déblayer les grabats. Je suis fatigué, vanné, seule ma hampe garde la forme tout au long de la journée et j'en oublie aussi notre défi, ma concurrence avec mon ami Pascal.
Vers 18h00, j'estime car je n'ai même plus ma montre, Fanette nous permet d'arrêter. Elle nous propose une douche que nous acceptons avec plaisir. Ce n'est pas vraiment ce que nous espérons comme elle nous amène dans le coin de la cour et nous désigne un tuyau d'eau. Tandis que Pascal reçoit un peu de savon, je dois l'arroser sur tout le corps. Il se lave sous le regard insistant de notre Amour commun. Trop pudique, Pascal n'insiste pas beaucoup sur ses génitales et entre ses fesses. Dès lors, Fanette approche et m'ordonne de diminuer le jet pour ne pas la mouiller. Sans prévenir, elle saisit fermement la hampe dressée de mon pauvre ami et la frotte vigoureusement. Ensuite, pire encore, elle pousse Pascal en avant et glisse une main entre ses fesses pour nettoyer son cul. Je peux voir le visage pourpre de mon ami au bord des larmes, mais les palpitations de son sexe montrent un mélange perturbant de sentiments. Mes propres pensées dérivent comme je sais que mon tour va arriver et, autant j'ai envie de sentir enfin les jolies mains de Fanette sur ma peau, autant je ne veux pas me faire tripoter aussi sèchement devant mon ami. Après avoir laissé Fanette rincer Pascal sous un jet plus puissant, je me lave donc complètement sous haute surveillance. J'ai aussi droit à un vigoureux jet d'eau froide pour me rincer, avec une évidente insistance sur mes génitales qui, malgré l'eau glaciale, ne dégonflent pas d'un iota.
Pascal et moi, toujours dans notre costume d'Adam, préparons le souper tandis que Fanette se repose encore dans la cour, sous le soleil toujours chaud et le repas se passe sans incident. Pour la soirée, tandis que Fanette est confortablement installée pour lire une revue de mode, Pascal et moi nettoyons le sol de la cuisine et celui du corridor... à quatre pattes, Fanette ne jetant même pas un seul regard vers ses 'domestiques' mais, voulant toujours tant lui plaire, Pascal apparemment aussi, je ne rouspète pas et je fais de mon mieux pour réaliser un bon travail.
Dormir avec elle, non… se retrouver dans son lit!
L'annonce de notre récompense nous fait bondir de joie. Fanette nous autorise à venir dans son lit. Toute une histoire défile dans ma tête comme je vais passer ma première nuit avec une fille, et pas n'importe quelle fille, celle que j'aime éperdument. Le seul point noir est que je dois la partager avec Pascal, mais comme nous sommes amis, tout cela peut être acceptable. Mon érection, malgré la fatigue qu'elle aurait pu ressentir comme elle se dresse maintenant depuis près de dix heures sans la moindre défaillance, se revitalise encore et un filet de suc révèle même son émotion.
Fanette nous montre le chemin et nous demande de l'attendre à genoux sur le tapis tandis qu'elle se change. La vue d'une jeune femme en fine nuisette blanche presque transparente amène tellement mon cœur à s'emballer que je crois que je vais mourir sur place. Ma gorge devient sèche malgré toute la salive qui déborde des coins de mes lèvres et mes yeux sortent presque de leurs orbites. Je suis tellement en extase que la mise en garde de Fanette nous prévenant qu'il n'est pas question de contact sexuel et le début son action pour s'en assurer, ne sont pas assez pour me ramener à la réalité.
La "Réalité", je la découvre lorsque j'entends Fanette nous proposer de nous coucher de chaque côté du lit. Je suis prêt à me révolter comme mes mains sont fixées à plat contre chacune de mes cuisses, bien immobilisées par de la toile adhésive. Je vois mon ami entravé de la même façon et me demande comment la douce diablesse a réussis son coup sans je ne m'en aperçoive. Peu importe, je vais pouvoir resté allongé à côté d'elle, sentir son corps contre le mien, humer son parfum durant une nuit entière.
Couché sur mon dos, je prends conscience de mon besoin de sexe, de mon besoin de vider mes testicules qui bouillonnent depuis des heures entières. Une envie d'apprendre, de découvrir autre chose que le seul moyen connu (ma main) pour atteindre une apogée frémit en moi. Une envie de 'baise' surmonte maintenant tout autre sentiment plus humain. J'ai un besoin de sexe et ce puissant besoin semble réveiller une bête en moi comme je lutte contre ces liens pourtant trop solides. Conscient de cette lutte vaine, je me calme sous l'éternel sourire de ce premier Amour.
Fanette est rusée, Fanette est maligne. Sa main effleure régulièrement mon sexe sans jamais s'y attarder, sa main caresse ma peau sans vraiment persévérer. Je teste encore mes liens qui s'avèrent toujours trop solides pour être rompus et je tente à nouveau de me relaxer pour savourer cette douce présence, ces tendres attentions. Mais mon corps désire plus, mes tripes en veulent plus, mon sexe en exige plus et je gicle dans le vide avec un puissant cri de rage comme de longs jets de semence détonnent par-dessus mon ventre pour atterrir sur ma poitrine. Je sens mes testicules se vider douloureusement comme les caresses si insistantes des tendres mains de mon amour perdurent le long de ma hampe palpitante. Mon corps se tord et s'agite sous ces doux effleurements maintenant plus cruels tandis que l'air se remplit d'une âcre odeur de sperme et que les murs vibrent et résonnent sous mes cris barbares... bientôt rejoints par les exhortations non moins animales de mon 'ami' Pascal. Je la regarde d'un air suppliant pour que ces caresses se terminent enfin, mais son regard est occupé bien loin ailleurs et quelques mots parviennent à se former entre les cris pour l'implorer d'arrêter cette douce torture.
Lorsque ses fins doigts agiles quittent ma tige toujours rigide et frémissante tandis qu'elle tire des salves à blanc, je regrette de suite cette perte de contact et un terrible vide se fait ressentir, transformant mes implorations de retrait en conjurations de retour. Je veux retrouver ces doux doigts amoureux sur mon corps plutôt que l'effroyable vide auquel je dois faire face, je suis prêt à souffrir l'enfer pour un toucher de plus, un rapide attouchement, une seule caresse, un simple regard… N'importe quoi plutôt que le néant.
Fanette, ravie, déclare sa grande satisfaction. Elle nous gratifie pour nos prouesses, elle nous remercie de notre amour et pour nous récompenser, toujours assise sur le lit, elle commence à se déshabiller lentement, révélant deux magnifiques petits seins bien fermes. Ensuite, elle s'allonge entre nous, ses deux amoureux immobilisés et je la sens s'agiter comme, sans doute, elle retire sa petite culotte de dentelles.
Effectivement, Fanette est maintenant nue à côté de moi, entre nous deux comme elle exhibe devant nous ce magnifique vêtement de soie qui protégeait ce tabernacle secret qui a hante mes pensées depuis que cette nuit partagée m'a été promise. Avec grâce et élégance, Fanette fait lentement glisser le fin tissu par-dessus nos peaux, par-dessus nos visages, provoquant des frissons démesurés, un tumulte de pensées perverses et, comme les heures passent, un nouveau désir, une nouvelle envie sexuelle. La belle dentelle disparait et je sens Fanette s'agiter sur le lit et commencer à grogner, à roucouler avant de se cambrer contre nous en lâchant un profond hurlement strident comme, sans doute, un puissant orgasme fait vibrer son corps entier, puis un second et un troisième.
Fanette se détend quelques minutes, puis elle nous souhaite une bonne nuit par un doux baiser mielleux sur la joue. Elle s'endort aussitôt. Couvert de sueur qui se refroidit, couvert de sperme qui sèche, dans un air saturé de sexe et de transpiration, malgré l'inconfort de ma position, malgré les questions qui surchargent mon esprit, je dérive bientôt, aussi, dans un sommeil profond.
Fin JOUR 2... A venir JOUR 3
Fanette 02Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..."
Jour 2Mon érection ne me quitte pas de toute la nuit et, toujours bien bandant, je me présente le lendemain matin dans la salle principale. Elle m'accueille chaleureusement, toujours avec son si tendre baiser sur la joue. Hardi, je m'empresse de lui rendre un baiser tout aussi tendre mais je suis réprimé par un 'pas sans permission' tandis que sa main agrippe fermement mon entrejambe, à la limite de la douleur. J'essaie de me reculer, commençant à m'excuser alors que je peux voir un regard tout autre dans ses yeux scintillants tandis que ses doigts compriment ma hampe tendue. Je commence à préparer le déjeuner, comme prévu, observant l'entrée discrète de Pascal. Il ne se risque pas à proposer un baiser à Fanette et je ne sais pas si j'ai marqué un point ou que j'en avais perdu un.
Pascal, un peu distant mais amical, m'aide à la préparation et le repas se passe sans problème, Fanette est assise en face de nous et nous observe manger, nous posant de temps en temps une question sur notre relation amicale à laquelle nous répondons sans détours. Je crois que Fanette réalise, seulement alors, la force de notre amitié et je comprends, moi aussi que, quoi qu'il arrive, Pascal restera toujours la personne la plus importantes dans ma vie. A ce moment-là, j'ai une envie folle de le serrer entre mes bras, comme nous le faisions parfois lors d'évènements particuliers, mais, vu la situation, devant Fanette et avec mon érection qui déborde presque de mon slip, je me retiens. Pourtant, je sens la même envie de sa part, chose confirmée par le regard qu'il me lance aussitôt. Une chaleur intense traverse mon corps, mais ce n'est plus de la gêne cette fois-ci, c'est une profonde chaleur humaine.
Tandis que nous faisons la vaisselle du déjeuner, Fanette nous raconte l'histoire de la ferme et nous explique qu'elle l'a héritée de ses parents. Elle nous 'demande' de l'aider à la restaurer, nous proposant de simples petits travaux dans nos compétences. Notre rapide approbation ne semble pas une surprise pour elle.
Une fois la vaisselle terminée, Fanette propose de commencer les travaux tout de suite. Pascal réagit en expliquant que nous ne pouvons pas travailler dans cette tenue et Fanette admet, de suite, qu'il a entièrement raison. Avant que nous ne puissions souffler de soulagement, elle ajoute que ce serait dommage d'abimer de si beaux petits slips. Je n'en crois pas mes oreilles, je ne veux pas croire ce qu'elle a dit, ce qu'elle sous-entend. Pascal reste pétrifié à côté de moi, aucun de nous ne sachant comment réagir.
Rapidement, ne nous voyant pas bouger, Fanette demande si nous avons un problème de nous mettre nus l'un devant l'autre. Même s'il y en a un, aucun de nous ne l'aurait avoué, mais le problème ne vient pas vraiment de là. Pourtant, voyant Pascal commencer à baiser lentement son slip, je fais de même. Avant qu'il ne recouvre son érection, mes mains sont déjà posées sur la mienne, provoquant un éclat de rire détonnant de notre Fanette. Accentué par ce rire immonde, Fanette nous signale combien nous sommes ridicules de sorte que je retire lentement mes mains protectrices et mon ami fait de même. Je ne me sens pas vraiment moins ridicule maintenant que mes mains ne cachent plus rien de mon corps et, je dois avouer que mon sexe gonflé ne se sent sûrement pas ridicule comme il palpite de haut en bas et suinte.
Fanette nous complimente simplement sur nos attributs, signalant qu'elle en a rarement vu d'aussi beaux, aussi rigides sans manipulation. J'ose un regard timide vers l'entrejambe de Pascal et constate effectivement la beauté et la dureté de son sexe qui palpite autant que le mien. Je le sens aussi me regarder de sorte que je détourne mon regard.
Fanette avance d'un pas et je recule d'un pas, Pascal aussi. Les rires de Fanette s'intensifient comme elle nous signale qu'elle ne va pas nous dévorer… en boutade. Elle pose sa main droite sur mon épaule droite, sa main gauche sur l'épaule gauche de mon ami et nous tire face à face. Je ne quitte pas Pascal des yeux, gêné par la situation, mais ravi de pouvoir me retrouver ainsi devant lui. De nouveau, je ne peux lire que des sentiments de chaleur humaine dans la profondeur de ses yeux, je me sens encore plus proche de lui. Je sors de mes pensées lorsque la main de Fanette descend le long de mon bras. Je suis en confiance et je la laisse faire, mais qu'elle n'est pas ma surprise lorsqu'elle guide ma main et me fait serrer mon poing autour d'une douce tige de chair… un sexe qui… n'est pas le mien. Il y a aussi une main pressée autour de mon propre sexe, mais ce n'est pas, non plus, la mienne, ni celle de Fanette qui est autour de mon poignet. Lentement, très lentement, je prends conscience que mon ami touche mon sexe en érection, que je serre son sexe tendu dans ma main. Dès que la main qui force mes doigts fermés se retire, je détourne mes yeux vers sa propriétaire. La vue de Fanette me fait frémir, je retire de suite ma main, conscient de l'ambigüité de la situation mais je ne vois qu'une étrange satisfaction dans ses beaux yeux verts amusés. La fermeté, la sévérité de son regard signale intensément ma désobéissance. Comme un gamin pris en défaut, je replace ma main où elle avait été forcée avant.
Une nouvelle réalité pénètre alors mon cerveau, une sensation étrange dans ma paume, un contact humide. Instinctivement, je baisse les yeux pour découvrir ce reflet luisant de fluide épais et, prenant conscience de son origine, je découvre mon propre sexe aussi dressé et dégoulinant. Relevant la tête, je retrouve ce sourire intriguant sur le visage de Fanette, visiblement consciente de mes pensées. Tous deux toujours figés d'incompréhension par cette nouvelle situation inattendue, Pascal et moi, nous nous regardons dans les yeux, deux regards incrédules et interrogateurs.
Un claquement de mains nous ramène à la réalité comme notre Fanette, déniant apparemment la singularité de la situation, commence à nous expliquer le travail de la journée. Nus, les sexes dressés et dégoulinants, nous suivons notre Amour vers la porte. Soudain conscients de cette nudité insolite, après une hésitation sur le seuil de la porte comme Fanette nous mène vers l'extérieur, toujours remplis d'une confrontation entre cet amour débordant et l'insolite de la situation, nous commençons à travailler, armés de deux pelles et de deux brouettes pour déblayer la cour intérieur de la grande ferme. Gênés au début par ce sexe qui oscille à chaque mouvement, un certain plaisir s'installe lentement, empêchant ainsi le moindre dégonflement. Un regard constant vers cette grande double porte de bois qui nous isole dans cette cour du reste du monde, nous travaillons d'arrache-pied, jusqu'à en oublier notre nudité. Presque, car lorsque je peux voir Fanette nous observer, assise dans un transat, lorsque je peux voir ce regard pétillant et ce sourire moqueur, je peux imaginer le spectacle loufoque que nous offrons pour Elle.
Le travail est intense, à peine interrompu pour manger un plat de pâtes vers midi, pâtes que mon ami a préparé rapidement sous le regard intense de notre Fanette tandis que je continue, seul, à déblayer les grabats. Je suis fatigué, vanné, seule ma hampe garde la forme tout au long de la journée et j'en oublie aussi notre défi, ma concurrence avec mon ami Pascal.
Vers 18h00, j'estime car je n'ai même plus ma montre, Fanette nous permet d'arrêter. Elle nous propose une douche que nous acceptons avec plaisir. Ce n'est pas vraiment ce que nous espérons comme elle nous amène dans le coin de la cour et nous désigne un tuyau d'eau. Tandis que Pascal reçoit un peu de savon, je dois l'arroser sur tout le corps. Il se lave sous le regard insistant de notre Amour commun. Trop pudique, Pascal n'insiste pas beaucoup sur ses génitales et entre ses fesses. Dès lors, Fanette approche et m'ordonne de diminuer le jet pour ne pas la mouiller. Sans prévenir, elle saisit fermement la hampe dressée de mon pauvre ami et la frotte vigoureusement. Ensuite, pire encore, elle pousse Pascal en avant et glisse une main entre ses fesses pour nettoyer son cul. Je peux voir le visage pourpre de mon ami au bord des larmes, mais les palpitations de son sexe montrent un mélange perturbant de sentiments. Mes propres pensées dérivent comme je sais que mon tour va arriver et, autant j'ai envie de sentir enfin les jolies mains de Fanette sur ma peau, autant je ne veux pas me faire tripoter aussi sèchement devant mon ami. Après avoir laissé Fanette rincer Pascal sous un jet plus puissant, je me lave donc complètement sous haute surveillance. J'ai aussi droit à un vigoureux jet d'eau froide pour me rincer, avec une évidente insistance sur mes génitales qui, malgré l'eau glaciale, ne dégonflent pas d'un iota.
Pascal et moi, toujours dans notre costume d'Adam, préparons le souper tandis que Fanette se repose encore dans la cour, sous le soleil toujours chaud et le repas se passe sans incident. Pour la soirée, tandis que Fanette est confortablement installée pour lire une revue de mode, Pascal et moi nettoyons le sol de la cuisine et celui du corridor... à quatre pattes, Fanette ne jetant même pas un seul regard vers ses 'domestiques' mais, voulant toujours tant lui plaire, Pascal apparemment aussi, je ne rouspète pas et je fais de mon mieux pour réaliser un bon travail.
Dormir avec elle, non… se retrouver dans son lit!
L'annonce de notre récompense nous fait bondir de joie. Fanette nous autorise à venir dans son lit. Toute une histoire défile dans ma tête comme je vais passer ma première nuit avec une fille, et pas n'importe quelle fille, celle que j'aime éperdument. Le seul point noir est que je dois la partager avec Pascal, mais comme nous sommes amis, tout cela peut être acceptable. Mon érection, malgré la fatigue qu'elle aurait pu ressentir comme elle se dresse maintenant depuis près de dix heures sans la moindre défaillance, se revitalise encore et un filet de suc révèle même son émotion.
Fanette nous montre le chemin et nous demande de l'attendre à genoux sur le tapis tandis qu'elle se change. La vue d'une jeune femme en fine nuisette blanche presque transparente amène tellement mon cœur à s'emballer que je crois que je vais mourir sur place. Ma gorge devient sèche malgré toute la salive qui déborde des coins de mes lèvres et mes yeux sortent presque de leurs orbites. Je suis tellement en extase que la mise en garde de Fanette nous prévenant qu'il n'est pas question de contact sexuel et le début son action pour s'en assurer, ne sont pas assez pour me ramener à la réalité.
La "Réalité", je la découvre lorsque j'entends Fanette nous proposer de nous coucher de chaque côté du lit. Je suis prêt à me révolter comme mes mains sont fixées à plat contre chacune de mes cuisses, bien immobilisées par de la toile adhésive. Je vois mon ami entravé de la même façon et me demande comment la douce diablesse a réussis son coup sans je ne m'en aperçoive. Peu importe, je vais pouvoir resté allongé à côté d'elle, sentir son corps contre le mien, humer son parfum durant une nuit entière.
Couché sur mon dos, je prends conscience de mon besoin de sexe, de mon besoin de vider mes testicules qui bouillonnent depuis des heures entières. Une envie d'apprendre, de découvrir autre chose que le seul moyen connu (ma main) pour atteindre une apogée frémit en moi. Une envie de 'baise' surmonte maintenant tout autre sentiment plus humain. J'ai un besoin de sexe et ce puissant besoin semble réveiller une bête en moi comme je lutte contre ces liens pourtant trop solides. Conscient de cette lutte vaine, je me calme sous l'éternel sourire de ce premier Amour.
Fanette est rusée, Fanette est maligne. Sa main effleure régulièrement mon sexe sans jamais s'y attarder, sa main caresse ma peau sans vraiment persévérer. Je teste encore mes liens qui s'avèrent toujours trop solides pour être rompus et je tente à nouveau de me relaxer pour savourer cette douce présence, ces tendres attentions. Mais mon corps désire plus, mes tripes en veulent plus, mon sexe en exige plus et je gicle dans le vide avec un puissant cri de rage comme de longs jets de semence détonnent par-dessus mon ventre pour atterrir sur ma poitrine. Je sens mes testicules se vider douloureusement comme les caresses si insistantes des tendres mains de mon amour perdurent le long de ma hampe palpitante. Mon corps se tord et s'agite sous ces doux effleurements maintenant plus cruels tandis que l'air se remplit d'une âcre odeur de sperme et que les murs vibrent et résonnent sous mes cris barbares... bientôt rejoints par les exhortations non moins animales de mon 'ami' Pascal. Je la regarde d'un air suppliant pour que ces caresses se terminent enfin, mais son regard est occupé bien loin ailleurs et quelques mots parviennent à se former entre les cris pour l'implorer d'arrêter cette douce torture.
Lorsque ses fins doigts agiles quittent ma tige toujours rigide et frémissante tandis qu'elle tire des salves à blanc, je regrette de suite cette perte de contact et un terrible vide se fait ressentir, transformant mes implorations de retrait en conjurations de retour. Je veux retrouver ces doux doigts amoureux sur mon corps plutôt que l'effroyable vide auquel je dois faire face, je suis prêt à souffrir l'enfer pour un toucher de plus, un rapide attouchement, une seule caresse, un simple regard… N'importe quoi plutôt que le néant.
Fanette, ravie, déclare sa grande satisfaction. Elle nous gratifie pour nos prouesses, elle nous remercie de notre amour et pour nous récompenser, toujours assise sur le lit, elle commence à se déshabiller lentement, révélant deux magnifiques petits seins bien fermes. Ensuite, elle s'allonge entre nous, ses deux amoureux immobilisés et je la sens s'agiter comme, sans doute, elle retire sa petite culotte de dentelles.
Effectivement, Fanette est maintenant nue à côté de moi, entre nous deux comme elle exhibe devant nous ce magnifique vêtement de soie qui protégeait ce tabernacle secret qui a hante mes pensées depuis que cette nuit partagée m'a été promise. Avec grâce et élégance, Fanette fait lentement glisser le fin tissu par-dessus nos peaux, par-dessus nos visages, provoquant des frissons démesurés, un tumulte de pensées perverses et, comme les heures passent, un nouveau désir, une nouvelle envie sexuelle. La belle dentelle disparait et je sens Fanette s'agiter sur le lit et commencer à grogner, à roucouler avant de se cambrer contre nous en lâchant un profond hurlement strident comme, sans doute, un puissant orgasme fait vibrer son corps entier, puis un second et un troisième.
Fanette se détend quelques minutes, puis elle nous souhaite une bonne nuit par un doux baiser mielleux sur la joue. Elle s'endort aussitôt. Couvert de sueur qui se refroidit, couvert de sperme qui sèche, dans un air saturé de sexe et de transpiration, malgré l'inconfort de ma position, malgré les questions qui surchargent mon esprit, je dérive bientôt, aussi, dans un sommeil profond.
Fin JOUR 2... A venir JOUR 3
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