Fanette 05
Récit érotique écrit par Bonlien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fanette 05
Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..."
Jour 5Je n'ai pas pu me soulager de la tension sexuelle emmagasinée tout au long de la journée précédente et mon sexe enfermé réclame tout au long de la nuit une forte attention qui n'arrive jamais. Comme je peux voir le corps encore endormi de mon ami, mon défonceur de cul, je me précipite en bas pour découvrir notre Amour complètement nue. Cette superbe vue diabolique ne fait qu'empirer mon état d'excitation mais aucune attention ne récompense ma hâte malgré ma forte espérance comme je suis le premier réveillé. Ma Fanette me signale simplement de préparer les déjeuners pour nous trois, de me nourrir sur le sol et puis d'attendre comme Pascal est permit de récupérer. Moi pas, pensai-je, mais je ne dis rien. Je regarde désespérément l'écuelle, toujours pas habitué à cette façon de manger mais je m'abaisse par-dessus avant même d'en avoir reçu l'ordre. Par contre, j'attends sa permission pour commencer à manger. Je ne reçois mon approbation que lorsque mon Amour a enfoncé cette horrible queue canine dans mon cul et j'avale goulûment mon premier repas de la journée.
Une fois terminé, je nettoie mon écuelle et la range. Comme je termine mon travail, je sens le sublime corps nu contre mon dos et sursaute en espérant, au plus profond de moi, un ébat sexuel ou au moins une délivrance. Les douces mains caressent ma peau tourmentée jusqu'à ce que ses doigts poussent de nouveau fermement le double bâillon dans ma bouche. Je comprends instantanément ma position et ne bronche pas. Lorsque ma Reine se recule, je m'effondre sur le sol, à quatre pattes, prêt à la servir… mais rien n'arrive et j'attends comme notre Fanette plonge dans la lecture d'un livre épais, assise dans le sofa, se caressant ouvertement, les jambes écartées, provocante, si sublimement provocante.
Lorsque Pascal apparait, il est accueilli par un doux baiser sur la joue tandis qu'il s'agenouille aux pieds de notre Maîtresse. Je peux, de suite remarquer sa surprise et son embarras de me voir déjà ainsi accoutré, mais il ne dit rien. Tandis que je continue à ronronner, appuyé contre la douce jambe effilée de notre Amour, je l'observe dévorer son déjeuner alors qu'il peut à peine quitter des yeux le long tube de caoutchouc qui dépasse inexorablement de ma bouche, se remémorant, sans doute, le déroulement de la soirée passée.
A ce moment-là, une étrange idée surgit en moi. Je n'ai, jusqu'à présent, jamais estimé le corps de mon ami Pascal et encore moins son sexe. La vue de ce corps nu d'athlète bloquée en partie par cet énorme phallus de caoutchouc me fait interroger sur le propre sexe de mon ami, sur la grosseur et la longueur de sa hampe une fois érigée. Même si je l'avais déjà reçue dans mon étroit canal, il m'est impossible de considérer ses mesures. Cette simple pensée m'effraie et, pourtant, je sens un curieux picotement au cœur de mes entrailles et à la pointe de la cage pénienne qui retient mon sexe prisonnier. Le bruit d'une écuelle vide sur le plancher brise ces pensées insolitesLorsqu'il a terminé de tout nettoyer, mon ami se présente devant notre Amour, espérant visiblement le retrait de sa cage, mais il n'en est rien. Notre Fanette nous explique notre travail de la matinée et, ainsi harnachés, nous continuons le déblaiement de la cour intérieur de la ferme de notre Bien-Aimée. Me sentant fortement ridicule au début, je m'habitue bientôt à cette longue tige qui émerge de ma face, tel un rhinocéros en rut et qui m'empêche de parler. Je ne réponds à mon ami que par des grimaces ou quelques cris rauques.
Tandis que je prépare le dîner (un seul et deux écuelles), notre Fanette s'amuse à caresser mon ami, le laissant seulement rarement utiliser ses mains sur sa tendre peau lisse. Elle le tripote sur tout le corps, insistant étonnamment entre ses fesses et introduisant un ou plusieurs doigts. Lorsque le repas est prêt, notre Fanette s'installe à table, une boîte en carton posée devant elle. Elle appelle curieusement mon ami auprès d'elle et je me dirige humblement vers mon écuelle, incapable de manger ainsi harnaché et, de toute façon, attendant la permission pour ingurgiter mon dîner.
Comme je les observe, attendant une nouvelle action et, surtout, impatient de connaître le contenu de la boite, je me sens de plus en plus nerveux. Je la vois caresser, de nouveau, l'entrejambe enfermé de Pascal et puis, soudain, elle retire sa cage pour permettre à ce sexe impatient de bondir en l'air comme une fusée prête pour le lancement. Je peux, de suite, voir un sourire sur les lèvres de mon ami, apparemment maintenant certain de pouvoir vider son jus refoulé dans les moments suivants. La vue de ce long tube de chair fait ressurgir mes pensées de la veille. Gêné et honteux, je commence à estimer les mensurations de mon ami, le voyant pour la première fois comme un être sexuel, étonné d'avoir reçu une si longue et si grosse chose dans mon cul, effrayé même d'avoir pu être déchiré même si je n'ai ressenti aucune douleur durant cette séance si érotique. Refusant cette horrible idée impossible, je dérive mon regard vers son visage.
J'observe l'éclat dans ses yeux, une lueur de joie et de fierté mais, lorsque j'entends un petit cri, je baisse de nouveau les yeux et découvre un long tube noir qui est maintenant posé autour du pauvre sexe enflé mais déçu. L'harnachement que je découvre comme il est posé et verrouillé autour du bassin de mon ami, est presque indescriptible, en tout cas, inimaginable. Un fourreau de caoutchouc enserre maintenant son sexe tandis que plusieurs sangles pressent l'ensemble contre le bassin de Pascal et, pire encore, un gode de bonne taille, mais bien inférieure à ma queue canine, est sournoisement glissé dans son cul bien préparé. Je ne sais plus quoi penser.
Comme si de rien n'est, lorsque l'installation est terminée, notre Fanette nous signale simplement d'attendre patiemment tandis qu'elle déguste le bon repas que je lui ai préparé avec amour. Comme j'admire le plaisir de notre Fanette tandis qu'elle déguste mon plat avec un enchantement évident, je suis étonné d'entendre les gémissements de mon ami, me demandant si la cause de ce désarroi; cette gêne, cette douleur sot liés à ce vilain cylindre impudique qui séquestre sa hampe toujours gonflée et se dresse d'un air menaçant entre ses cuisses.
Ces contorsions ne disparaissent nullement durant la vaisselle. J'ai tant de compassion pour mon ami que je veux presque souffrir avec lui, voire souffrir à sa place. Mes yeux ne quittent jamais ce mat artificiel dressé entre ses cuisses, soutenu par un sexe que je sais majestueux et qui, malgré l'évidente torture perpétuelle, ne dégonfle pas. Plus je regarde cette massive colonne de chair, plus j'appréhende son usage possible. Comme je peux difficilement l'estimée gentiment enfoncée dans la douce caverne d'amour de notre Fanette, je ne vois qu'une seule autre solution et cela ne me plait pas.
Je ne vois l'éclat de retour dans les beaux yeux de Pascal que lorsque notre Fanette nous appelle auprès d'elle, un pot de vaseline à la main. Comme elle lubrifie le tube émergeant de ma bouche, puis retire ma queue canine, je vois Pascal changer radicalement d'humeur, mais ce n'est que de courte durée. Je devine que mon ami envisage le même accouplement avec son sexe poussé le long du creux accueillant de mes fermes fesses, pour peu, plus bas dans ma cavité secrète et vierge.
Contrairement à ce qu'il espère, je n'en avais aucun doute, son impitoyable fourreau n'est pas retiré et je suis alors, moi-même, effrayé lorsqu'elle commence à lubrifier cet épais pieu de caoutchouc emprisonnant le sexe dressé de mon ami. Non, ce n'est pas possible, je ne vais pas pouvoir endurer cela comme je l'avais machiavéliquent imaginé durant la vaisselle.
Mais je le fais. Je l'accepte pour l'amour que j'ai pour notre Fanette, pour Lui plaire, pour Lui procurer du plaisir, des jouissances, de longues jouissances fracassantes comme je m'active avec mon tube buccal entre ses chaudes cuisses, oscillant ma tête, la poussant et la reculant à son gré et que mon ami Pascal pilonne cette énorme coque dans mon cul sans plus aucun plaisir attendu, cette fois-ci.
Sa pénétration n'est plus arrêtée par une belle jouissance, non, il n'y a plus aucune interruption si ce n'est qu'un ralentissement rabroué par Fanette comme mon ami fatigue, moi aussi, d'ailleurs. Pour notre Amour, la notion du temps n'existe plus et un orgasme succède à un autre, encore plus puissant. La grande salle est rapidement remplie du parfum de son jus divin et résonne des puissants cris, ses seuls cris de jouissance.
Une éternité après, notre Fanette nous repousse et nous restons sagement et humblement accroupis là à ses pieds, silencieux, attendant patiemment que notre Amour nous permette le moindre geste. Je suis tiraillé par les douleurs entre mes fesses, Pascal semble martyrisé par des douleurs au niveau de son sexe. Epuisés presque autant que notre Fanette, mais avec un plaisir sans doute bien moindre, nous attendons jusqu'au moment où notre Déesse nous propose de la suivre jusque dans sa chambre.
Oubliant les tourments, taisant toute douleur, la mienne comme mon trou a été distendu par un pilon monstrueux et l'inconnue comme mon ami ne cesse de grimacer, une grande vigueur renouvelle directement l'énergie en nous et nous la suivons, à quatre pattes, espérant une suite pour des ébats plus épanouissants.
Il n'en est rien. Notre Maîtresse nous désigne deux paniers d'osier avec un coussin chacun sur lequel sont brodés nos prénoms. Emu par la délicatesse, malgré un début de rébellion, je m'installe confortablement dans mon propre panier alors que Pascal, visiblement déçu, prend place dans le sien. Moi, toujours armé du bâillon et de ma cage, le cul en feu et Pascal, le fourreau finalement retiré qui révèle de nombreuses petites taches rouges provoquées par de monstrueux picots, nous nous recroquevillons chacun dans notre panier, nous observant longuement l'un l'autre, nous assurant mutuellement un amour sans faille et nous réconfortant de notre amour partagé pour Notre délicieuse Fanette.
Ma nuit est longue, pleine de questions sans réponses, mais chacune est directement écourtée par la réalisation de l'Amour que j'ai pour cette Reine et ma joie de pouvoir LA servir, peu importe la manière dont elle a décidé. Mes réponses, toutes mes réponses peuvent se résumer en quelques mots, Fanette, ma Fanette, notre Fanette.
Fin JOUR 5... A venir JOUR 6
Jour 5Je n'ai pas pu me soulager de la tension sexuelle emmagasinée tout au long de la journée précédente et mon sexe enfermé réclame tout au long de la nuit une forte attention qui n'arrive jamais. Comme je peux voir le corps encore endormi de mon ami, mon défonceur de cul, je me précipite en bas pour découvrir notre Amour complètement nue. Cette superbe vue diabolique ne fait qu'empirer mon état d'excitation mais aucune attention ne récompense ma hâte malgré ma forte espérance comme je suis le premier réveillé. Ma Fanette me signale simplement de préparer les déjeuners pour nous trois, de me nourrir sur le sol et puis d'attendre comme Pascal est permit de récupérer. Moi pas, pensai-je, mais je ne dis rien. Je regarde désespérément l'écuelle, toujours pas habitué à cette façon de manger mais je m'abaisse par-dessus avant même d'en avoir reçu l'ordre. Par contre, j'attends sa permission pour commencer à manger. Je ne reçois mon approbation que lorsque mon Amour a enfoncé cette horrible queue canine dans mon cul et j'avale goulûment mon premier repas de la journée.
Une fois terminé, je nettoie mon écuelle et la range. Comme je termine mon travail, je sens le sublime corps nu contre mon dos et sursaute en espérant, au plus profond de moi, un ébat sexuel ou au moins une délivrance. Les douces mains caressent ma peau tourmentée jusqu'à ce que ses doigts poussent de nouveau fermement le double bâillon dans ma bouche. Je comprends instantanément ma position et ne bronche pas. Lorsque ma Reine se recule, je m'effondre sur le sol, à quatre pattes, prêt à la servir… mais rien n'arrive et j'attends comme notre Fanette plonge dans la lecture d'un livre épais, assise dans le sofa, se caressant ouvertement, les jambes écartées, provocante, si sublimement provocante.
Lorsque Pascal apparait, il est accueilli par un doux baiser sur la joue tandis qu'il s'agenouille aux pieds de notre Maîtresse. Je peux, de suite remarquer sa surprise et son embarras de me voir déjà ainsi accoutré, mais il ne dit rien. Tandis que je continue à ronronner, appuyé contre la douce jambe effilée de notre Amour, je l'observe dévorer son déjeuner alors qu'il peut à peine quitter des yeux le long tube de caoutchouc qui dépasse inexorablement de ma bouche, se remémorant, sans doute, le déroulement de la soirée passée.
A ce moment-là, une étrange idée surgit en moi. Je n'ai, jusqu'à présent, jamais estimé le corps de mon ami Pascal et encore moins son sexe. La vue de ce corps nu d'athlète bloquée en partie par cet énorme phallus de caoutchouc me fait interroger sur le propre sexe de mon ami, sur la grosseur et la longueur de sa hampe une fois érigée. Même si je l'avais déjà reçue dans mon étroit canal, il m'est impossible de considérer ses mesures. Cette simple pensée m'effraie et, pourtant, je sens un curieux picotement au cœur de mes entrailles et à la pointe de la cage pénienne qui retient mon sexe prisonnier. Le bruit d'une écuelle vide sur le plancher brise ces pensées insolitesLorsqu'il a terminé de tout nettoyer, mon ami se présente devant notre Amour, espérant visiblement le retrait de sa cage, mais il n'en est rien. Notre Fanette nous explique notre travail de la matinée et, ainsi harnachés, nous continuons le déblaiement de la cour intérieur de la ferme de notre Bien-Aimée. Me sentant fortement ridicule au début, je m'habitue bientôt à cette longue tige qui émerge de ma face, tel un rhinocéros en rut et qui m'empêche de parler. Je ne réponds à mon ami que par des grimaces ou quelques cris rauques.
Tandis que je prépare le dîner (un seul et deux écuelles), notre Fanette s'amuse à caresser mon ami, le laissant seulement rarement utiliser ses mains sur sa tendre peau lisse. Elle le tripote sur tout le corps, insistant étonnamment entre ses fesses et introduisant un ou plusieurs doigts. Lorsque le repas est prêt, notre Fanette s'installe à table, une boîte en carton posée devant elle. Elle appelle curieusement mon ami auprès d'elle et je me dirige humblement vers mon écuelle, incapable de manger ainsi harnaché et, de toute façon, attendant la permission pour ingurgiter mon dîner.
Comme je les observe, attendant une nouvelle action et, surtout, impatient de connaître le contenu de la boite, je me sens de plus en plus nerveux. Je la vois caresser, de nouveau, l'entrejambe enfermé de Pascal et puis, soudain, elle retire sa cage pour permettre à ce sexe impatient de bondir en l'air comme une fusée prête pour le lancement. Je peux, de suite, voir un sourire sur les lèvres de mon ami, apparemment maintenant certain de pouvoir vider son jus refoulé dans les moments suivants. La vue de ce long tube de chair fait ressurgir mes pensées de la veille. Gêné et honteux, je commence à estimer les mensurations de mon ami, le voyant pour la première fois comme un être sexuel, étonné d'avoir reçu une si longue et si grosse chose dans mon cul, effrayé même d'avoir pu être déchiré même si je n'ai ressenti aucune douleur durant cette séance si érotique. Refusant cette horrible idée impossible, je dérive mon regard vers son visage.
J'observe l'éclat dans ses yeux, une lueur de joie et de fierté mais, lorsque j'entends un petit cri, je baisse de nouveau les yeux et découvre un long tube noir qui est maintenant posé autour du pauvre sexe enflé mais déçu. L'harnachement que je découvre comme il est posé et verrouillé autour du bassin de mon ami, est presque indescriptible, en tout cas, inimaginable. Un fourreau de caoutchouc enserre maintenant son sexe tandis que plusieurs sangles pressent l'ensemble contre le bassin de Pascal et, pire encore, un gode de bonne taille, mais bien inférieure à ma queue canine, est sournoisement glissé dans son cul bien préparé. Je ne sais plus quoi penser.
Comme si de rien n'est, lorsque l'installation est terminée, notre Fanette nous signale simplement d'attendre patiemment tandis qu'elle déguste le bon repas que je lui ai préparé avec amour. Comme j'admire le plaisir de notre Fanette tandis qu'elle déguste mon plat avec un enchantement évident, je suis étonné d'entendre les gémissements de mon ami, me demandant si la cause de ce désarroi; cette gêne, cette douleur sot liés à ce vilain cylindre impudique qui séquestre sa hampe toujours gonflée et se dresse d'un air menaçant entre ses cuisses.
Ces contorsions ne disparaissent nullement durant la vaisselle. J'ai tant de compassion pour mon ami que je veux presque souffrir avec lui, voire souffrir à sa place. Mes yeux ne quittent jamais ce mat artificiel dressé entre ses cuisses, soutenu par un sexe que je sais majestueux et qui, malgré l'évidente torture perpétuelle, ne dégonfle pas. Plus je regarde cette massive colonne de chair, plus j'appréhende son usage possible. Comme je peux difficilement l'estimée gentiment enfoncée dans la douce caverne d'amour de notre Fanette, je ne vois qu'une seule autre solution et cela ne me plait pas.
Je ne vois l'éclat de retour dans les beaux yeux de Pascal que lorsque notre Fanette nous appelle auprès d'elle, un pot de vaseline à la main. Comme elle lubrifie le tube émergeant de ma bouche, puis retire ma queue canine, je vois Pascal changer radicalement d'humeur, mais ce n'est que de courte durée. Je devine que mon ami envisage le même accouplement avec son sexe poussé le long du creux accueillant de mes fermes fesses, pour peu, plus bas dans ma cavité secrète et vierge.
Contrairement à ce qu'il espère, je n'en avais aucun doute, son impitoyable fourreau n'est pas retiré et je suis alors, moi-même, effrayé lorsqu'elle commence à lubrifier cet épais pieu de caoutchouc emprisonnant le sexe dressé de mon ami. Non, ce n'est pas possible, je ne vais pas pouvoir endurer cela comme je l'avais machiavéliquent imaginé durant la vaisselle.
Mais je le fais. Je l'accepte pour l'amour que j'ai pour notre Fanette, pour Lui plaire, pour Lui procurer du plaisir, des jouissances, de longues jouissances fracassantes comme je m'active avec mon tube buccal entre ses chaudes cuisses, oscillant ma tête, la poussant et la reculant à son gré et que mon ami Pascal pilonne cette énorme coque dans mon cul sans plus aucun plaisir attendu, cette fois-ci.
Sa pénétration n'est plus arrêtée par une belle jouissance, non, il n'y a plus aucune interruption si ce n'est qu'un ralentissement rabroué par Fanette comme mon ami fatigue, moi aussi, d'ailleurs. Pour notre Amour, la notion du temps n'existe plus et un orgasme succède à un autre, encore plus puissant. La grande salle est rapidement remplie du parfum de son jus divin et résonne des puissants cris, ses seuls cris de jouissance.
Une éternité après, notre Fanette nous repousse et nous restons sagement et humblement accroupis là à ses pieds, silencieux, attendant patiemment que notre Amour nous permette le moindre geste. Je suis tiraillé par les douleurs entre mes fesses, Pascal semble martyrisé par des douleurs au niveau de son sexe. Epuisés presque autant que notre Fanette, mais avec un plaisir sans doute bien moindre, nous attendons jusqu'au moment où notre Déesse nous propose de la suivre jusque dans sa chambre.
Oubliant les tourments, taisant toute douleur, la mienne comme mon trou a été distendu par un pilon monstrueux et l'inconnue comme mon ami ne cesse de grimacer, une grande vigueur renouvelle directement l'énergie en nous et nous la suivons, à quatre pattes, espérant une suite pour des ébats plus épanouissants.
Il n'en est rien. Notre Maîtresse nous désigne deux paniers d'osier avec un coussin chacun sur lequel sont brodés nos prénoms. Emu par la délicatesse, malgré un début de rébellion, je m'installe confortablement dans mon propre panier alors que Pascal, visiblement déçu, prend place dans le sien. Moi, toujours armé du bâillon et de ma cage, le cul en feu et Pascal, le fourreau finalement retiré qui révèle de nombreuses petites taches rouges provoquées par de monstrueux picots, nous nous recroquevillons chacun dans notre panier, nous observant longuement l'un l'autre, nous assurant mutuellement un amour sans faille et nous réconfortant de notre amour partagé pour Notre délicieuse Fanette.
Ma nuit est longue, pleine de questions sans réponses, mais chacune est directement écourtée par la réalisation de l'Amour que j'ai pour cette Reine et ma joie de pouvoir LA servir, peu importe la manière dont elle a décidé. Mes réponses, toutes mes réponses peuvent se résumer en quelques mots, Fanette, ma Fanette, notre Fanette.
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