Fantasme 2
Récit érotique écrit par Vidi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Fantasme 2
- Quoi ?
- Sérieux, je lui ai dit que j’aimais la couleur d’un autre chat plus que celle de sa bestiole !
- Attends… t’es sûr que tu ne lui as pas parlé de la chatte d’une autre meuf ?
- Déconne pas, je parlais bien de sa chatte de compagnie, l’animal.
Mon pote serveur part en éclat de rire. Il se roule une cigarette et m’invite à venir fumer avec lui dehors. Le bar à rhum où il travaille est vide à cette heure-ci. Je ne fume pas, mais je l’accompagne en finissant de lui raconter mon histoire. Après de longues minutes à discuter, on en vient tous les deux à la même conclusion : j’étais en couple avec une gamine, et c’était très bien que cette histoire se soit arrêtée après un mois de relation. Je commençais à vraiment l’apprécier et en plus on baisait bien mais tant pis.
- C’est mieux comme ça, crois-moi. Imagine qu’elle te fasse la même chose après 2 ans de relation ?
- Ça serait vraiment dur à avaler ça… Non là, j’en ai ma claque. Je vais me trouver un plan cul et tout ira bien. Plus de drama.
On continue notre délire pendant qu’il me prépare un ti punch. Le bar se remplit petit à petit, tous les étudiants viennent comme moi fêter la fin de leurs examens. Je repère un groupe de filles, mais je ne suis même pas tenté d’aller vers elle. Non, je vais plutôt rejoindre des potes, rigoler un coup, et me rentrer. Restons sage ce soir. Je me prépare à partir quand mon barman me pose un verre devant moi.
- Oula, non, j’y vais là.
- C’est de la part de la femme en jupe et haut marron. Si j’étais toi je regarderais le dessous de verre.
« Bon célibat » c’est tout ce qu’il y a d’écrit. Je me tourne vers elle et la voit éclater de rire avec son ami. Je la remercie d’un geste de la tête et avale le rhum cul sec. Il est temps de bouger.
La soirée se passe bien, mais je m’éclipse quand même. Il faut croire que cette histoire m’affecte plus que je ne le pensais. Je me prends un tacos avant de rentrer, puis je m’imagine juste en train de manger et de jouer toute la nuit. Ça me détendra suffisamment. Quand j’arrive devant mon immeuble, je crois une femme plutôt pressée. Je l’entends dire dans son téléphone qu’elle meurt de faim et qu’elle a une flemme terrible de cuisiner. Elle doit être en train de téléphoner, mais je ne sais pas pourquoi je l’arrête :- Excusez-moi, mais si jamais ça vous tente, il y a un tacos encore ouvert au coin de la rue et ils sont plutôt bons.
Pour preuve, je lui montre le mien en souriant. Son visage passe de la méfiance à la joie assez rapidement et elle m’invite à lui montrer après qu’elle se soit changée.
- Je passerais vous chercher dans 10 minutes.
- Cinq suffiront. Moi c’est Eleanor, au fait.
- Antoine, enchanté. A dans cinq minutes alors.
Je rentre chez moi, pose mon repas avant de mettre en route mon pc. Histoire qu’à mon retour je n’ai rien d’autre à faire que de m’asseoir et de profiter de ma soirée. Je range un peu, puis je descends, je lui ai laissé les 10 minutes au final. Sur le chemin, elle m’explique qu’elle est infirmière et que sa journée a été plutôt rude. Elle m’invite aussi à manger avec elle, mais je décline gentiment, j’ai envie d’être seul. On parle encore de tout et de rien, j’apprends qu’elle a un enfant qui est avec son père cette semaine. D’ailleurs c’est à lui qu’elle parlait quand je l’ai arrêté dans le hall. On rentre et je monte après elle dans les escaliers. Eleanor est un peu ronde et son fessier moulé dans son jean me fait mordiller ma lèvre. Un cul plein, bon pour une bonne levrette… je m‘arrache de ma pensée et la voit me regarder en souriant :- Tu es certain de vouloir manger seul ?
Je ne réponds pas et la suis silencieusement, un peu honteux. Il faut quand même avouer qu’elle roulait un peu des fesses. Au final, j’accepte de repousser ma soirée jeu vidéo à plus tard, le pc rentrera en veille si ce n’est pas déjà le cas. Je rentre vite prendre mon tacos et la rejoins sur son canapé. On rigole en regardant un spectacle et je dois avouer que cette soirée me fait du bien. J’attends la fin de la vidéo pour m’en aller, pensant surtout à l’heure tardive, elle qui doit aller bosser demain.
- Ne t’inquiète pas je commence tard.
Sa main s’est posée sur ma cuisse et la caresse. Je m’enfonce dans le tissu mou, et continue la discussion. Je m’efforce quand même de retenir mon érection, elle n’est vraiment pas passé de mon gland. Elle part nous chercher à boire et son cul attire encore mon regard. Qu’est ce que j’aimerais lui mettre une fessée… a son retour, son pull est dézippé et j’ai une vue plongeant sur ses seins. Ça va être dur de la regarder dans les yeux. Elle s’approche de moi et on trinque aux tacos ouverts tard le soir. On en arrive rapidement au sexe, et elle me demande si j’ai des piles en rigolant.
- Faudrait que je vérifie mais je pense que oui. T’en as besoin pour la télécommande ?
- Plutôt pour mon sex-toy, c’est comme ça que j’évacue la pression de la journée.
Je suis sur le cul en entendant ça… je suis en train de réfléchir à lui proposer de le remplacer et là, elle pose sa main sur mon jean.
- Où je pourrais t’utiliser toi à la place ?
Elle tâte ma bosse en faisant une moue d’appréciation. Puis elle descend ma braguette et cherche ma bite pour la mettre à l’air.
- Qu’est-ce que tu en dis ?
- Finalement, je suis plus trop certain d’avoir des piles, et j’ai encore moins l’envie d’aller les chercher.
- Bon, tant mieux alors.
Elle me branle et détache mon jean complètement pour apprécier toute la longueur de ma bite. Je l’aide en le retirant, et elle se penche pour me sucer. Ah putain c’est trop bon… mes gémissements l’encouragent et elle me prend bientôt en gorge profonde malgré la taille de ma bite de black. Sa deuxième main vient me caresser les boules, profitant de toute la salive qui coule de sa pipe goulue. Vous avez déjà senti l’excitation monter en vous comme si on vous l’injectait directement dans les veines ? eh ben c’est l’effet que me faisait sa langue sur mon gland. Je la soulève et l’embrasse en caressant ses seins. Deux beaux seins, une invitation à les malaxer. J’y plonge la tête en retirant son pull. Je les suce, les libère du soutien-gorge sans même enlever son débardeur.
- Tu aimes ça mon cochon, mes gros seins ?
Je grogne en hochant de la tête et suce son téton bien dur. Les siens sont gros, noirs, presque comme sa peau d’ébène. Je les mordille un à un, pas de jaloux, je lèche, suce et aspire pour la remercier de sa divine fellation. Mes mains descendent sur son jean, je le tire et elle écarte les jambes pour m’inviter sur elle. Je m’allonge et on s’embrasse. Ses jambes se referment autour de moi et je glisse sur sa chatte pour l’exciter.
- Capote ?
- Attends, je veux te lécher la chatte !
Elle me libère et va dans sa chambre. Elle a beau avoir des kilos en trop, mais ils sont plus que bien répartis. Ses fesses, ses seins, un petit ventre rond, son corps est un appel au sexe gourmand. Le genre de partie de jambe en l’air qui laisse épuisés, mais bien détendus. Elle revient avec des capotes et du lubrifiant. J’ai l’impression que son cunnilingus n’est pas sa priorité. Elle m’enfile le préservatif et me tire en elle en écartant son boxer en dentelle sur le côté. Je glisse en elle petit à petit, et dieu que c’est bon. Malgré le latex, je sens toute la chaleur de son corps et je ne tarde pas à faire de longs vas et viens dans sa chatte.
- Oh oui, prends-moi bien comme ça… vas plus loin ! oui là là ! oui ! oui !
Nos pubis se collent à chaque fois que je la pénètre. Ses mains serrent mes bras, comme pour m’empêcher de m’éloigner d’elle et je la lime plus ou moins rapidement pendant de longues minutes. Je me redresse et regarde ses seins se balancer sous mes coups de reins. Ma peau claque contre la sienne, je tiens ses hanches et ralentit la cadence. Je sens que je suis proche de la jouissance, et il est trop tôt à mon gout vu la levrette que je nous réserve. Elle doit le sentir aussi et m’invite à la lécher. Je retire son boxer et plonge comme un affamé entre ses cuisses. Sa mouille est bonne, abondante, et elle m’inonde la bouche. J’aspire son clitoris et sens ses mains sur ma tête.
- Là, là, ne bouge pas et continue ! oh putain c’est bon !
J’y reste longtemps, ne m’écartant que pour éviter l’évanouissement par manque d’oxygène. Quand la sensation d’éjaculation a fini de quitter ma queue, je me lève : - Mets-toi en levrette !
- T’en as envie hein, vu comment tu matais mon cul dans les escaliers.
- Pas seulement dans les escaliers, putain !
À quatre pattes, elle écarte ses deux globes et je m’enfonce dans son vagin en lui tenant les hanches. Quel cul… large et accueillant. Je la baise sans discontinuer, encouragé par ses cris. Je m’oublie et la défonce littéralement en la fessant. Je plonge dans ce cul, chaud, humide. Sa cramouille clapote sous mes coups de rien, et il n’y a pas de mélodie plus douce à mes oreilles en ce moment. Peut-être ses cris de jouissance… Elle m’accompagne aussi en venant rebondir son moi, et je ne fais aucun effort pour me retenir. Je me vide dans la capote, sans retenir mes cris et elle ne s’arrête pas pour autant de baiser.
- Elle est bonne ta chatte putain !
- T’as joui ?
- T’inquiète pas pour ça…Je bande encore quand j’enlève la capote. Elle m’allonge dans le canapé et me reprend en bouche à genoux. Mon gland encore sensible me fait tressauter à chaque coup de langue. Elle me pompe divinement bien et la pression de ses mains sur mon sexe me laisse penser qu’elle veut à tout prix éviter que mon sang retourne dans mon corps. Quand elle a l’air satisfaite, même si je n’ai pas débandé, impossible face à tant de virtuosité buccale… Quand elle a l’air satisfaite, elle m’enfile une capote et s’empale sur ma bite à califourchon.
- Maintenant, baise-moi comme tu le faisais si bien tout à l’heure.
J’enfile chaque centimètre de ma queue dans sa chatte, m’agrippant à ses fesses comme un forcené. Mon visage entre ses mains, elle me regarde droit dans les yeux, comme si je devais lui promettre mille orgasmes avant la fin de la nuit. J’en serais quitte pour mon corps courbaturé, mais qu’est ce que ça en vaut le coup. Je lèche comme je peux ses seins, bondissants sous nos mouvements. Je finis par les attraper, pour en sucer les tétons. Je les sens durcir sous mes dents, je les mordille. Elle est proche de l’orgasme, et elle prend appui sur mon torse pour mieux me chevaucher. J’accompagne chacun de ses mouvements avec une fessée, puis je saisis ses fesses pleines. Eleanor finit par s’effondrer sur moi quand le plaisir la submerge, et je continue de bouger tant bien que mal sous elle. Elle reprend doucement son souffle puis me libère. Elle recommence à coulisser doucement sur ma queue en se pinçant les tétons, les yeux à demi clos.
- J’ai soif…- Attends, je vais prendre une bouteille d’eau.
Elle part dans la cuisine, et je me décide à l’accompagner. Baissée dans un placard, je me glisse derrière elle et la pénètre doucement. Elle lâche aussitôt la bouteille en plastique et se tient au meuble pour tenir l’assaut de mes coup de reins. Sa grotte est toujours aussi dégoulinante et rapidement un cercle de mouille blanc se forme sur ma bite. J’ai envie de la faire glisser vers son anus pour la préparer, mais sa chatte est trop bonne pour que je m’en aille sans y avoir joui encore une fois.
Je la couche sur la surface plane et la démonte, encouragé par ses cris. Désolé pour le sommeil des voisins, et je ne fais rien pour la rendre moins bruyante. Elle jouie continuellement, et je ne vais pas tarder à la rejoindre.
- Mon dieu ta chatte est bonne, je serais triste de la quitter…- Elle est à toi, prends moi… oui oui oui !
- Oh oui, c’est boon… je vais jouir…Elle m’arrête doucement et tombe à genoux pour me sucer… ma bite commence à tressauter et je sens le sperme monter dans mon urètre… elle badigeonne mon sexe de salive et me prend entre ses seins. Sa peau douce est délicieuse, sa bouche reste sur mon gland et j’explose quelques secondes après. Un jet épais fuse jusqu’à sa gorge et elle continue de me pomper. Elle me draine et le sperme finit par déborder de sa boche pour couler sur ses seins. Quel contraste sur sa peau noir…Je suis vidé, littéralement. Elle m’abandonne pour une douche, non sans un dernier baiser sur mon gland. J’attrape la bouteille d’eau et la vide presque entièrement avant d’aller la rejoindre. Je caresse encore ses seins mousseux, ses fesses… une bonne baise comme je les aime. Éreintante et bonne à souhait.
- Tu peux remplacer mes sex-toys quand tu veux si tu me fais jouir comme ça à chaque fois.
Une proposition difficile à refuser…
- Sérieux, je lui ai dit que j’aimais la couleur d’un autre chat plus que celle de sa bestiole !
- Attends… t’es sûr que tu ne lui as pas parlé de la chatte d’une autre meuf ?
- Déconne pas, je parlais bien de sa chatte de compagnie, l’animal.
Mon pote serveur part en éclat de rire. Il se roule une cigarette et m’invite à venir fumer avec lui dehors. Le bar à rhum où il travaille est vide à cette heure-ci. Je ne fume pas, mais je l’accompagne en finissant de lui raconter mon histoire. Après de longues minutes à discuter, on en vient tous les deux à la même conclusion : j’étais en couple avec une gamine, et c’était très bien que cette histoire se soit arrêtée après un mois de relation. Je commençais à vraiment l’apprécier et en plus on baisait bien mais tant pis.
- C’est mieux comme ça, crois-moi. Imagine qu’elle te fasse la même chose après 2 ans de relation ?
- Ça serait vraiment dur à avaler ça… Non là, j’en ai ma claque. Je vais me trouver un plan cul et tout ira bien. Plus de drama.
On continue notre délire pendant qu’il me prépare un ti punch. Le bar se remplit petit à petit, tous les étudiants viennent comme moi fêter la fin de leurs examens. Je repère un groupe de filles, mais je ne suis même pas tenté d’aller vers elle. Non, je vais plutôt rejoindre des potes, rigoler un coup, et me rentrer. Restons sage ce soir. Je me prépare à partir quand mon barman me pose un verre devant moi.
- Oula, non, j’y vais là.
- C’est de la part de la femme en jupe et haut marron. Si j’étais toi je regarderais le dessous de verre.
« Bon célibat » c’est tout ce qu’il y a d’écrit. Je me tourne vers elle et la voit éclater de rire avec son ami. Je la remercie d’un geste de la tête et avale le rhum cul sec. Il est temps de bouger.
La soirée se passe bien, mais je m’éclipse quand même. Il faut croire que cette histoire m’affecte plus que je ne le pensais. Je me prends un tacos avant de rentrer, puis je m’imagine juste en train de manger et de jouer toute la nuit. Ça me détendra suffisamment. Quand j’arrive devant mon immeuble, je crois une femme plutôt pressée. Je l’entends dire dans son téléphone qu’elle meurt de faim et qu’elle a une flemme terrible de cuisiner. Elle doit être en train de téléphoner, mais je ne sais pas pourquoi je l’arrête :- Excusez-moi, mais si jamais ça vous tente, il y a un tacos encore ouvert au coin de la rue et ils sont plutôt bons.
Pour preuve, je lui montre le mien en souriant. Son visage passe de la méfiance à la joie assez rapidement et elle m’invite à lui montrer après qu’elle se soit changée.
- Je passerais vous chercher dans 10 minutes.
- Cinq suffiront. Moi c’est Eleanor, au fait.
- Antoine, enchanté. A dans cinq minutes alors.
Je rentre chez moi, pose mon repas avant de mettre en route mon pc. Histoire qu’à mon retour je n’ai rien d’autre à faire que de m’asseoir et de profiter de ma soirée. Je range un peu, puis je descends, je lui ai laissé les 10 minutes au final. Sur le chemin, elle m’explique qu’elle est infirmière et que sa journée a été plutôt rude. Elle m’invite aussi à manger avec elle, mais je décline gentiment, j’ai envie d’être seul. On parle encore de tout et de rien, j’apprends qu’elle a un enfant qui est avec son père cette semaine. D’ailleurs c’est à lui qu’elle parlait quand je l’ai arrêté dans le hall. On rentre et je monte après elle dans les escaliers. Eleanor est un peu ronde et son fessier moulé dans son jean me fait mordiller ma lèvre. Un cul plein, bon pour une bonne levrette… je m‘arrache de ma pensée et la voit me regarder en souriant :- Tu es certain de vouloir manger seul ?
Je ne réponds pas et la suis silencieusement, un peu honteux. Il faut quand même avouer qu’elle roulait un peu des fesses. Au final, j’accepte de repousser ma soirée jeu vidéo à plus tard, le pc rentrera en veille si ce n’est pas déjà le cas. Je rentre vite prendre mon tacos et la rejoins sur son canapé. On rigole en regardant un spectacle et je dois avouer que cette soirée me fait du bien. J’attends la fin de la vidéo pour m’en aller, pensant surtout à l’heure tardive, elle qui doit aller bosser demain.
- Ne t’inquiète pas je commence tard.
Sa main s’est posée sur ma cuisse et la caresse. Je m’enfonce dans le tissu mou, et continue la discussion. Je m’efforce quand même de retenir mon érection, elle n’est vraiment pas passé de mon gland. Elle part nous chercher à boire et son cul attire encore mon regard. Qu’est ce que j’aimerais lui mettre une fessée… a son retour, son pull est dézippé et j’ai une vue plongeant sur ses seins. Ça va être dur de la regarder dans les yeux. Elle s’approche de moi et on trinque aux tacos ouverts tard le soir. On en arrive rapidement au sexe, et elle me demande si j’ai des piles en rigolant.
- Faudrait que je vérifie mais je pense que oui. T’en as besoin pour la télécommande ?
- Plutôt pour mon sex-toy, c’est comme ça que j’évacue la pression de la journée.
Je suis sur le cul en entendant ça… je suis en train de réfléchir à lui proposer de le remplacer et là, elle pose sa main sur mon jean.
- Où je pourrais t’utiliser toi à la place ?
Elle tâte ma bosse en faisant une moue d’appréciation. Puis elle descend ma braguette et cherche ma bite pour la mettre à l’air.
- Qu’est-ce que tu en dis ?
- Finalement, je suis plus trop certain d’avoir des piles, et j’ai encore moins l’envie d’aller les chercher.
- Bon, tant mieux alors.
Elle me branle et détache mon jean complètement pour apprécier toute la longueur de ma bite. Je l’aide en le retirant, et elle se penche pour me sucer. Ah putain c’est trop bon… mes gémissements l’encouragent et elle me prend bientôt en gorge profonde malgré la taille de ma bite de black. Sa deuxième main vient me caresser les boules, profitant de toute la salive qui coule de sa pipe goulue. Vous avez déjà senti l’excitation monter en vous comme si on vous l’injectait directement dans les veines ? eh ben c’est l’effet que me faisait sa langue sur mon gland. Je la soulève et l’embrasse en caressant ses seins. Deux beaux seins, une invitation à les malaxer. J’y plonge la tête en retirant son pull. Je les suce, les libère du soutien-gorge sans même enlever son débardeur.
- Tu aimes ça mon cochon, mes gros seins ?
Je grogne en hochant de la tête et suce son téton bien dur. Les siens sont gros, noirs, presque comme sa peau d’ébène. Je les mordille un à un, pas de jaloux, je lèche, suce et aspire pour la remercier de sa divine fellation. Mes mains descendent sur son jean, je le tire et elle écarte les jambes pour m’inviter sur elle. Je m’allonge et on s’embrasse. Ses jambes se referment autour de moi et je glisse sur sa chatte pour l’exciter.
- Capote ?
- Attends, je veux te lécher la chatte !
Elle me libère et va dans sa chambre. Elle a beau avoir des kilos en trop, mais ils sont plus que bien répartis. Ses fesses, ses seins, un petit ventre rond, son corps est un appel au sexe gourmand. Le genre de partie de jambe en l’air qui laisse épuisés, mais bien détendus. Elle revient avec des capotes et du lubrifiant. J’ai l’impression que son cunnilingus n’est pas sa priorité. Elle m’enfile le préservatif et me tire en elle en écartant son boxer en dentelle sur le côté. Je glisse en elle petit à petit, et dieu que c’est bon. Malgré le latex, je sens toute la chaleur de son corps et je ne tarde pas à faire de longs vas et viens dans sa chatte.
- Oh oui, prends-moi bien comme ça… vas plus loin ! oui là là ! oui ! oui !
Nos pubis se collent à chaque fois que je la pénètre. Ses mains serrent mes bras, comme pour m’empêcher de m’éloigner d’elle et je la lime plus ou moins rapidement pendant de longues minutes. Je me redresse et regarde ses seins se balancer sous mes coups de reins. Ma peau claque contre la sienne, je tiens ses hanches et ralentit la cadence. Je sens que je suis proche de la jouissance, et il est trop tôt à mon gout vu la levrette que je nous réserve. Elle doit le sentir aussi et m’invite à la lécher. Je retire son boxer et plonge comme un affamé entre ses cuisses. Sa mouille est bonne, abondante, et elle m’inonde la bouche. J’aspire son clitoris et sens ses mains sur ma tête.
- Là, là, ne bouge pas et continue ! oh putain c’est bon !
J’y reste longtemps, ne m’écartant que pour éviter l’évanouissement par manque d’oxygène. Quand la sensation d’éjaculation a fini de quitter ma queue, je me lève : - Mets-toi en levrette !
- T’en as envie hein, vu comment tu matais mon cul dans les escaliers.
- Pas seulement dans les escaliers, putain !
À quatre pattes, elle écarte ses deux globes et je m’enfonce dans son vagin en lui tenant les hanches. Quel cul… large et accueillant. Je la baise sans discontinuer, encouragé par ses cris. Je m’oublie et la défonce littéralement en la fessant. Je plonge dans ce cul, chaud, humide. Sa cramouille clapote sous mes coups de rien, et il n’y a pas de mélodie plus douce à mes oreilles en ce moment. Peut-être ses cris de jouissance… Elle m’accompagne aussi en venant rebondir son moi, et je ne fais aucun effort pour me retenir. Je me vide dans la capote, sans retenir mes cris et elle ne s’arrête pas pour autant de baiser.
- Elle est bonne ta chatte putain !
- T’as joui ?
- T’inquiète pas pour ça…Je bande encore quand j’enlève la capote. Elle m’allonge dans le canapé et me reprend en bouche à genoux. Mon gland encore sensible me fait tressauter à chaque coup de langue. Elle me pompe divinement bien et la pression de ses mains sur mon sexe me laisse penser qu’elle veut à tout prix éviter que mon sang retourne dans mon corps. Quand elle a l’air satisfaite, même si je n’ai pas débandé, impossible face à tant de virtuosité buccale… Quand elle a l’air satisfaite, elle m’enfile une capote et s’empale sur ma bite à califourchon.
- Maintenant, baise-moi comme tu le faisais si bien tout à l’heure.
J’enfile chaque centimètre de ma queue dans sa chatte, m’agrippant à ses fesses comme un forcené. Mon visage entre ses mains, elle me regarde droit dans les yeux, comme si je devais lui promettre mille orgasmes avant la fin de la nuit. J’en serais quitte pour mon corps courbaturé, mais qu’est ce que ça en vaut le coup. Je lèche comme je peux ses seins, bondissants sous nos mouvements. Je finis par les attraper, pour en sucer les tétons. Je les sens durcir sous mes dents, je les mordille. Elle est proche de l’orgasme, et elle prend appui sur mon torse pour mieux me chevaucher. J’accompagne chacun de ses mouvements avec une fessée, puis je saisis ses fesses pleines. Eleanor finit par s’effondrer sur moi quand le plaisir la submerge, et je continue de bouger tant bien que mal sous elle. Elle reprend doucement son souffle puis me libère. Elle recommence à coulisser doucement sur ma queue en se pinçant les tétons, les yeux à demi clos.
- J’ai soif…- Attends, je vais prendre une bouteille d’eau.
Elle part dans la cuisine, et je me décide à l’accompagner. Baissée dans un placard, je me glisse derrière elle et la pénètre doucement. Elle lâche aussitôt la bouteille en plastique et se tient au meuble pour tenir l’assaut de mes coup de reins. Sa grotte est toujours aussi dégoulinante et rapidement un cercle de mouille blanc se forme sur ma bite. J’ai envie de la faire glisser vers son anus pour la préparer, mais sa chatte est trop bonne pour que je m’en aille sans y avoir joui encore une fois.
Je la couche sur la surface plane et la démonte, encouragé par ses cris. Désolé pour le sommeil des voisins, et je ne fais rien pour la rendre moins bruyante. Elle jouie continuellement, et je ne vais pas tarder à la rejoindre.
- Mon dieu ta chatte est bonne, je serais triste de la quitter…- Elle est à toi, prends moi… oui oui oui !
- Oh oui, c’est boon… je vais jouir…Elle m’arrête doucement et tombe à genoux pour me sucer… ma bite commence à tressauter et je sens le sperme monter dans mon urètre… elle badigeonne mon sexe de salive et me prend entre ses seins. Sa peau douce est délicieuse, sa bouche reste sur mon gland et j’explose quelques secondes après. Un jet épais fuse jusqu’à sa gorge et elle continue de me pomper. Elle me draine et le sperme finit par déborder de sa boche pour couler sur ses seins. Quel contraste sur sa peau noir…Je suis vidé, littéralement. Elle m’abandonne pour une douche, non sans un dernier baiser sur mon gland. J’attrape la bouteille d’eau et la vide presque entièrement avant d’aller la rejoindre. Je caresse encore ses seins mousseux, ses fesses… une bonne baise comme je les aime. Éreintante et bonne à souhait.
- Tu peux remplacer mes sex-toys quand tu veux si tu me fais jouir comme ça à chaque fois.
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