Fantasme 2 : la stagiaire
Récit érotique écrit par Bidiscret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Fantasme 2 : la stagiaire
Depuis quelques temps, nous avons au boulot une nouvelle stagiaire. D'habitude, nous avons des lycéennes boutonneuses et timides sans intérêt et sans saveur qui ne font que passer quelques jours voire quelques semaines. Mais cette fois, c'est différent ! Elle a 25 ans, est en études supérieures et a de la conversation. Je peux vous dire que, pour une fois, on n’est pas déçu. En plus, pour ne rien gâcher, cette fille est une vraie bombe: 1m65, fine, blonde aux cheveux longs attachés en queue de cheval (j'adore !!!), un cul bien rebondi qui a l'air bien ferme et un 95D de toute beauté. Comment est-ce que je connais son tour de poitrine ? Rien de plus simple: je n'ai jamais entendu une fille parler de sexe comme elle ! Au bout de deux jours, on connaissait ses mensurations, ses pratiques sexuelles (et elle aime ça si on l'écoute) et tout ce qu'on peut savoir sur sa vie de couple. J'ajoute à cela sa façon de s'habiller: minijupe (ou pantalon très moulant), décolleté jusqu'au nombril et talons hauts. Tout ce qu'il faut pour faire bander un mec ! Mais malgré tout ça, jamais (enfin pas à ma connaissance), elle n'a fait d'avance aux membres de l'équipe et elle parait très fidèle à son homme. Il n'empêche que ses tenues provocantes et ça façon de dire qu'elle a bien sucé à fond son mec hier soir ou qu'il l'a baisé comme un sauvage me laisse rêveur et alimente mon imagination que je vais maintenant vous exposer.
Tous les matins, nous avons pris l'habitude de fumer une cigarette avant de commencer notre journée. C'est souvent à ce moment-là qu'elle m'explique comment son mec lui a fait sa fête la veille avec force de détails. Je ne vous cache pas que ça me donne une trique d'enfer que j'essaie de cacher du mieux que je peux même si je sais que mes efforts sont souvent vains. Mais aujourd'hui, c'est différent, je ne cache rien. Elle me racontait qu'il l'avait enculé bien profond et bien fort pour finir par lui jouir dans la bouche et, bien sûr, cette gourmande avait tout avalé. Pour qu'elle jouisse elle aussi, il lui avait bouffé la chatte en lui collant un gode dans le cul et en lui mettant trois doigts dans son petit minou. Plus elle m'en disait, plus ma queue grossissait et je crus à un moment que mon boxer et mon pantalon allaient tous deux exploser. Je ne lui ai rien caché et elle s'en est bien évidemment aperçu (il aurait fallu être aveugle pour ne rien voir en fait). Elle rougit au départ et détourna les yeux comme gênée voire choquée par la situation. Je lui expliquais que c'était de sa faute, qu'elle me chauffait comme jamais on ne m'avait chauffé et que ma réaction était donc tout à fait normale. Elle acquiesça doucement de la tête mais gardait les yeux fixés sur ses chaussures. Je lui dit que ce n'était pas grave et qu'elle ne devait plus y penser (même si moi j'allais y penser pendant un bon bout de temps tant elle m'avait excité).
Malgré sa gêne apparente, elle m'avoua d'une voix faible que ça l'excitait de raconter comment elle se faisait prendre. C'était devenu une drogue chez elle, elle ne pouvait s'empêcher d'exciter les autres pour se faire mouiller elle-même, et ça, à longueur de journée. Elle m'avoua donc qu'elle était trempée à cet instant précis et que de voir mon sexe tendu à travers mes vêtements lui avait littéralement inondé son string. Je lui dis pour rire que, contrairement à elle, je ne pouvais pas le constater de mes propres yeux et que je ne pouvais que l'imaginer. Cette phrase fut comme un électrochoc car dans la seconde, la jupe fut relevé et le string baissé jusqu'aux genoux. Elle me prit la main et mit cette dernière directement sur sa chatte. Son entrejambe inondait littéralement mes doigts comme si je les passais sous un robinet ouvert. La scène qui se produisait devant moi était surréaliste: une bombe sexuelle avait la jupe relevée (laissant apparaitre ses bas noirs), son string baissé et j'avais mes doigts qui lui caressaient l'intimité. En effet, je n'allais pas rester à ne rien faire et je ne me suis pas gêné pour la masturber sans préambule ni douceur. Sa jouissance ne se fit pas attendre et elle cria son plaisir sans retenu. Heureusement qu'à cette heure de la journée, nous étions seuls dans le bâtiment, la situation en aurait été plus qu'embarrassante. Imaginez-vous qu'en plus de baiser sur mon lieu de travail, je sautais une stagiaire ce qui m'aurait valu un renvoi immédiat et sans préavis.
Elle haletait de plaisir alors que moi, je n'en pouvais plus. L'entendre jouir comme ça avait décuplé mon excitation et ma queue me hurlait de la laisser sortir pour faire son office. Je l'ai écouté et je l'ai sorti. Je pensais me branler pour "évacuer" toute cette tension sexuelle mais la demoiselle ne m'en laissa pas le temps. Quand elle vit mon membre à l'air libre, elle ne put s'empêcher de se jeter dessus et de la prendre en bouche. C'est qu'elle est doué avec sa langue cette petite salope ! Elle alternait avec efficacité la vitesse des va et viens, elle savait parfaitement jouer avec sa langue sur mon gland et elle put me mener au bord de l'orgasme sans jamais m'y faire parvenir. Elle fit durer ce plaisir un bon moment jusqu'à ce que ma résistance soit au maximum. Je l'ai prévenu que j'allais jouir pour qu'elle puisse se retirer mais c'est à ce moment qu'elle s'accrocha encore plus à ma bite. Je compris qu'elle voulait que je vienne ainsi et ne me retint plus. Je lui ai tout déchargé au fond de la gorge par de longs jets puissants à la hauteur de mon excitation. Allait-elle avaler ou allait-elle tout recracher sur le sol ? Je n'eus pas longtemps à attendre la réponse. Elle leva la tête vers moi et ouvrit grand la bouche pour me montrer qu'il ne restait plus une goutte. Elle est gourmande la cochonne, voire même extrêmement gourmande car cette petite gâterie l'avait remise en appétit. Elle s'installa sur une table, bien en face de moi, les jambes écartées et elle se mit à se branler comme une sauvage. Elle en revoulait et elle n'hésitait pas à y aller fort pour en avoir à nouveau.
L'image de cette fille aux jambes écartées et à la chatte béante et dégoulinante me fit retrouver la forme quasi instantanément. J'aurais pu faire comme elle et me branler ou encore lui demander si elle voulait bien que je la prenne mais non. Sans un mot, je l'ai saisi par les cuisses et je lui ai mis ma bite directement dans le cul. Elle en a gémit de plaisir. Pendant je lui ramonais le fondement, je sentais ses doigts s'enfoncer de plus en plus vite et de plus fort dans sa chatte. Nous étions trop excité et nous avons joui ensemble dans les bras l'un de l'autre et en s'embrassant sauvagement. C'était l'extase et nous avons mis plusieurs minutes avant de nous remettre de nos émotions.
J'écris cette histoire alors que je suis au boulot et la dite stagiaire se trouve dans le bureau en face du mien. Mon pantalon est prêt à craquer tellement ma queue est dure et elle ne s'imagine même pas un instant que je me fais un scénario sur son compte. Si elle savait, me collerait-elle une baffe ou me sucerait-elle? Je ne connaitrais surement jamais la réponse mais comme je dis toujours: c'est beau de rêver, mais ce qu'il faut dans ces cas-là, c'est surtout ne pas se réveiller…
Tous les matins, nous avons pris l'habitude de fumer une cigarette avant de commencer notre journée. C'est souvent à ce moment-là qu'elle m'explique comment son mec lui a fait sa fête la veille avec force de détails. Je ne vous cache pas que ça me donne une trique d'enfer que j'essaie de cacher du mieux que je peux même si je sais que mes efforts sont souvent vains. Mais aujourd'hui, c'est différent, je ne cache rien. Elle me racontait qu'il l'avait enculé bien profond et bien fort pour finir par lui jouir dans la bouche et, bien sûr, cette gourmande avait tout avalé. Pour qu'elle jouisse elle aussi, il lui avait bouffé la chatte en lui collant un gode dans le cul et en lui mettant trois doigts dans son petit minou. Plus elle m'en disait, plus ma queue grossissait et je crus à un moment que mon boxer et mon pantalon allaient tous deux exploser. Je ne lui ai rien caché et elle s'en est bien évidemment aperçu (il aurait fallu être aveugle pour ne rien voir en fait). Elle rougit au départ et détourna les yeux comme gênée voire choquée par la situation. Je lui expliquais que c'était de sa faute, qu'elle me chauffait comme jamais on ne m'avait chauffé et que ma réaction était donc tout à fait normale. Elle acquiesça doucement de la tête mais gardait les yeux fixés sur ses chaussures. Je lui dit que ce n'était pas grave et qu'elle ne devait plus y penser (même si moi j'allais y penser pendant un bon bout de temps tant elle m'avait excité).
Malgré sa gêne apparente, elle m'avoua d'une voix faible que ça l'excitait de raconter comment elle se faisait prendre. C'était devenu une drogue chez elle, elle ne pouvait s'empêcher d'exciter les autres pour se faire mouiller elle-même, et ça, à longueur de journée. Elle m'avoua donc qu'elle était trempée à cet instant précis et que de voir mon sexe tendu à travers mes vêtements lui avait littéralement inondé son string. Je lui dis pour rire que, contrairement à elle, je ne pouvais pas le constater de mes propres yeux et que je ne pouvais que l'imaginer. Cette phrase fut comme un électrochoc car dans la seconde, la jupe fut relevé et le string baissé jusqu'aux genoux. Elle me prit la main et mit cette dernière directement sur sa chatte. Son entrejambe inondait littéralement mes doigts comme si je les passais sous un robinet ouvert. La scène qui se produisait devant moi était surréaliste: une bombe sexuelle avait la jupe relevée (laissant apparaitre ses bas noirs), son string baissé et j'avais mes doigts qui lui caressaient l'intimité. En effet, je n'allais pas rester à ne rien faire et je ne me suis pas gêné pour la masturber sans préambule ni douceur. Sa jouissance ne se fit pas attendre et elle cria son plaisir sans retenu. Heureusement qu'à cette heure de la journée, nous étions seuls dans le bâtiment, la situation en aurait été plus qu'embarrassante. Imaginez-vous qu'en plus de baiser sur mon lieu de travail, je sautais une stagiaire ce qui m'aurait valu un renvoi immédiat et sans préavis.
Elle haletait de plaisir alors que moi, je n'en pouvais plus. L'entendre jouir comme ça avait décuplé mon excitation et ma queue me hurlait de la laisser sortir pour faire son office. Je l'ai écouté et je l'ai sorti. Je pensais me branler pour "évacuer" toute cette tension sexuelle mais la demoiselle ne m'en laissa pas le temps. Quand elle vit mon membre à l'air libre, elle ne put s'empêcher de se jeter dessus et de la prendre en bouche. C'est qu'elle est doué avec sa langue cette petite salope ! Elle alternait avec efficacité la vitesse des va et viens, elle savait parfaitement jouer avec sa langue sur mon gland et elle put me mener au bord de l'orgasme sans jamais m'y faire parvenir. Elle fit durer ce plaisir un bon moment jusqu'à ce que ma résistance soit au maximum. Je l'ai prévenu que j'allais jouir pour qu'elle puisse se retirer mais c'est à ce moment qu'elle s'accrocha encore plus à ma bite. Je compris qu'elle voulait que je vienne ainsi et ne me retint plus. Je lui ai tout déchargé au fond de la gorge par de longs jets puissants à la hauteur de mon excitation. Allait-elle avaler ou allait-elle tout recracher sur le sol ? Je n'eus pas longtemps à attendre la réponse. Elle leva la tête vers moi et ouvrit grand la bouche pour me montrer qu'il ne restait plus une goutte. Elle est gourmande la cochonne, voire même extrêmement gourmande car cette petite gâterie l'avait remise en appétit. Elle s'installa sur une table, bien en face de moi, les jambes écartées et elle se mit à se branler comme une sauvage. Elle en revoulait et elle n'hésitait pas à y aller fort pour en avoir à nouveau.
L'image de cette fille aux jambes écartées et à la chatte béante et dégoulinante me fit retrouver la forme quasi instantanément. J'aurais pu faire comme elle et me branler ou encore lui demander si elle voulait bien que je la prenne mais non. Sans un mot, je l'ai saisi par les cuisses et je lui ai mis ma bite directement dans le cul. Elle en a gémit de plaisir. Pendant je lui ramonais le fondement, je sentais ses doigts s'enfoncer de plus en plus vite et de plus fort dans sa chatte. Nous étions trop excité et nous avons joui ensemble dans les bras l'un de l'autre et en s'embrassant sauvagement. C'était l'extase et nous avons mis plusieurs minutes avant de nous remettre de nos émotions.
J'écris cette histoire alors que je suis au boulot et la dite stagiaire se trouve dans le bureau en face du mien. Mon pantalon est prêt à craquer tellement ma queue est dure et elle ne s'imagine même pas un instant que je me fais un scénario sur son compte. Si elle savait, me collerait-elle une baffe ou me sucerait-elle? Je ne connaitrais surement jamais la réponse mais comme je dis toujours: c'est beau de rêver, mais ce qu'il faut dans ces cas-là, c'est surtout ne pas se réveiller…
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