Fantasme d'une soubrette dans une salle de bain
Récit érotique écrit par Dona_Switch [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fantasme d'une soubrette dans une salle de bain
- Je précise que cette histoire est un fantasme que j'ai développé depuis un moment mais que je n'ai encore jamais vécu, de près ou de loin. Je suis consciente que la mise en place d'un tel évènement demande une préparation et des précautions que je ne détaille pas complètement ici pour rester dans l'univers du fantasme. Si je devais être amenée à le vivre, cela ne se passerait pas exactement comme ça -
J’arrivai chez l’homme que je devais retrouver pour ce beau moment. Il m’accueillit chaleureusement chez lui et m’offrit un verre en me rappelant le programme qui allait être le mien pour l’après-midi. Je l’écoutais tout en me disant qu’il aurait été difficile pour moi de l’oublier, tant j’attendais ce moment avec excitation depuis plusieurs semaines. Evidemment, il me répétait tout ça pour être sûr que j’étais toujours d’accord avec ce qui allait m’arriver. Je lui confirmai que j’étais toujours partante pour tout ça. Nous buvions notre verre en parlant de tout et de rien en attendant de devoir se préparer. Il me raconta les difficultés qu’il a eu pour réunir les participants à l'événement. Je l’écoutais d’une oreille, déjà dans mon esprit et mes fantasmes pour imaginer ce qui allait m’arriver. Il me fit remarquer qu’il était l’heure de me préparer me rassura en me disant que j’allais être parfaite. Je commençais à me déshabiller devant lui pendant qu’il continuait à siroter son café. Je me retrouvais donc toute nue. Comme prévu je m’étais rasée intégralement et épilée, même s' il était peu probable que cela serve. L’idée était d’augmenter les étapes pour rendre cette journée parfaite. Je pris ensuite ma culotte de dentelle rose et l'enfilais, je l’entendis me dire alors que j’étais une très belle salope et que si il n’y avait pas pleins de gens à m’attendre, il me prendrait dès maintenant. Je ne répondis pas à sa remarque et continuais à me préparer. J’enfilai alors ma robe de soubrette et l’ajustai comme il faut. Maintenant les accessoires. Le tablier, les gants et la coiffe. J’étais maintenant prête à nettoyer tout l’appartement comme une bonne petite soubrette obéissante, mais cela n’était pas pour tout de suite dans notre programme.
« Tu es très belle comme ça ! Je suis sûre que tu vas plaire. On va aller t’installer maintenant. Tu es d’accord ? »
J’osais à peine répondre une timide approbation et le suivis lorsqu’il se leva. J’étais complètement débordée par l’émotion et l’excitation d’enfin vivre ce fantasme qui m'habitait depuis longtemps. Il ouvrait la marche et je le suivais à travers cet appartement que je découvrais alors. Pendant que nous traversions le couloir, je jetais des regards dans toutes les pièces que nous croisions, dans le but de fixer mon regard sur un détail qui calmerait mon cerveau en ébullition. En passant devant sa chambre, je vis un boxer sale sur le sol. Avait-il été laissé là pour moi ? Cela n’aurait aucun sens. Mais cela suffit à occuper mon esprit pendant les quelques secondes interminables de traversée du couloir. Nous arrivions enfin à la salle de bain. Au sol une bâche avait été disposée sur l’ensemble de la pièce. Quelques accessoires nous attendaient, prêts à l’emploi. Si je souhaitais reculer, c’était le dernier moment pour le faire. Je réfléchis une dernière fois tout en sachant que malgré la peur qui accompagnait l’excitation, je savais pertinemment que je n’avais pas l’envie de m’arrêter là. Je m’assis devant la cuvette comme convenu. Tout d’abord on m’enfila une cagoule sur la tête. C’était une belle cagoule en latex qui demanda un peu de temps à être bien installée. Une fois mise, je ne pouvais plus rien voir mais ma bouche et mon nez étaient découverts. La cagoule repassait au niveau du menton pour bien se maintenir sur mon visage. Je n’étais plus qu’un bout de visage, déshumanisé, offert aux futurs visiteurs. Mon hôte attacha mes mains avec des bracelets plutôt confortables et les relia aux bracelets qu’il installa à mes chevilles. Ainsi, j’étais maintenue dans ma position assise, les bras près des jambes, ne pouvant me relever ou m’éloigner. Pour finir, il me mit un gros collier qui, étant très large, limitait presque intégralement les mouvements de mon cou. Il passa une corde à travers les boucles du collier. Mon collier était relié derrière moi à plusieurs endroits derrière la cuvette. J’étais presque prête. Je ne pouvais pas bouger, pas voir, assise dans une salle de bain, habillée en tenue de soubrette et complètement disponible. Mon hôte me redit à quel point j’étais belle comme ça. Il me félicita et me remercia de m’offrir ainsi. Il annonça le clou du spectacle : un bâillon. Un simple bâillon boule rouge en silicone dans ma bouche et relié derrière. Il était suffisamment peu serré pour que quiconque puisse me l’enlever puis me le remettre dans la bouche en tirant sur la boule. J’étais enfin prête !
Je restais donc là quelque temps, seule et attachée dans la salle de bain d’un presque inconnu. Je ne savais pas combien de temps j’allais devoir attendre avant de pouvoir être utile. Mais la situation m’excitait déjà énormément. Je ne pouvais m’empêcher de penser à tout ce qui allait m’arriver et dont j’avais rêvé depuis plus d’un an maintenant sans avoir pu le tester. Je tentais de bouger un peu pour vérifier mes liens, il m’avait bien attachée, aucun doute là dessus. Je ne pouvais absolument pas bouger ma tête dans l’espace, ni la baisser, je pouvais simplement légèrement déplacer mes jambes pour me remettre en place si je commençais à avoir des fourmis. J’étais donc assise dans le froid de la salle de bain depuis plusieurs minutes (j’avais déjà perdu la notion du temps) quand j’entendis au loin dans l’appartement la porte s’ouvrir et des gens discuter. Je ne pouvais déjà plus reculer depuis un moment, tout avait été déjà bien organisé. Mais à cet instant mon stress et mon excitation grimpaient en flèche. C’est avec la boule au ventre que j’entendis le groupe de voix se rapprocher de ma pièce-prison. Mon hôte ouvrit la porte et me présenta à ses invités.
« Et voici l’attraction de la journée ! Je l’ai préparée pour vous, j’espère que vous en ferez bon usage. »
Plusieurs commentaires furent faits sur ma personne. On complimenta ma tenue, la manière dont j’avais été installée là. Certaines personnes parlèrent de leur hâte à s'occuper de moi, certaines interrogèrent mon hôte sur la tenue de la journée. Je réagissais parfois d’un grognement sourd à certains compliments ou annonces qui m'excitaient encore plus. Je fis un certain bruit pour remercier la femme qui dit que j’étais une ravissante petite salope prête à l’emploi. Elle le remarqua et me dit que je serai probablement moins en forme une fois qu’on se sera occupé de ma grande bouche de pute. Je décidais alors de me faire plus discrète, consciente qu’on n’attendait pas de moi trop de réactions. Mon hôte fit ainsi entrer trois groupes de personnes pour admirer leur futur jouet avec à chaque fois le même type de commentaires. Je ne sais pas combien de temps espaçait chaque groupe de visiteurs ni le nombre qu’ils étaient à chaque fois. Je pu noter cependant qu’il y avait plus d’hommes que de femmes parmi les personnes qui avaient parlé à voix haute. Je pensais aussitôt qu’il était possible que certaines personnes ne se soient pas encore manifestées et je n’avais pas pu les voir pour compter leur nombre. Je tablais sur une petite dizaine, en espérant que le nombre ne soit pas plus élevé, dix personnes c’est déjà beaucoup. Ensuite il ne passa plus personne pendant un certain temps. J’entendais les personnes discuter, probablement confortablement installées dans le salon pendant que j’attendais là.
Alors que je commençais à m’assoupir dans mes liens, bercée par la douceur de ma robe de soubrette, j’entendis des pas s’approcher de moi. Une personne semblait se trouver sur le pas de la porte.
« Alors, à nous deux ma petite salope ! »
Il s’approcha de moi et retira mon bâillon d’un geste brusque qui tira un peu sur l’arrière de ma tête. Je n’eus pas le temps de respirer qu’il inséra sa bite dans ma bouche d’un coup. Je n’étais pas prête à accepter ce pénis qui s’enfonçait d’un coup vers le fond de ma gorge et déglutis face à cet assaut. Cela ne le dérangea pas plus que ça et il continuait donc à se balader dans ma bouche alors que je ne pouvais pas réagir. Mon cerveau se concentrait sur la manière d’accepter son sexe et je n’entendais pas les insultes dégradantes auxquelles j’avais le droit pendant ses coups de reins. Je ne sais pas combien de temps il resta dans ma bouche mais il sortit sans jouir. Il me donna quelques coups sur le visage avec son pénis ce qui me surprit énormément ne les ayant pas vus venir. Je me demandais si il allait se masturber sur moi mais il remit mon bâillon, et me dit : « Bonne suceuse va ! ». Sur ce, il se rhabilla et sortit de la pièce. je commençais à m’interroger sur la suite des évènements : est-ce qu’ils allaient tous venir à la chaine sans jouir dans ma bouche de cette manière ? Je ne me suis pas interrogée plus que ça car à peine les pas de la personne s’éloignaient de moi, d’autres pas se rapprochaient. Les deux personnes dans le couloir échangèrent quelques mots. Je cru comprendre vaguement : « Elle a une belle gueule de pute tu verras ». Le prochain à venir serait un homme, j’ai reconnu la voix masculine s’approchant.
« A mon tour, j’espère que tu as encore l’énergie de me sucer convenablement. »
C’est avec ses mots qu’il s’approcha de moi d’un pas décidé, sans s’arrêter. Il me retira mon bâillon et alors que je gardais ma bouche encore ouverte il me cracha violemment dans la bouche. Il ferma ma bouche avec sa main bien serrée sur mon menton et m’ordonna d’avaler.
« Maintenant ouvre et suce moi ! »
Je lui obéis sans me poser de questions et il approcha son sexe de ma bouche. Je m’attendais à plus de violence après le premier passage et je ne pris pas de suite son pénis en bouche.
« Qu’est ce que tu attends alors ? »
A ces mots il posa sa main à l’arrière de ma tête et accompagna mon mouvement pour que je le prenne. « Je vais pas faire tout le boulot tout seul. T’es censée être une bonne pute non ? ». Je m’appliquais donc à lui faire plaisir en prenant le maximum de son sexe en bouche, en jouant avec son gland grâce à ma langue. Je prenais une fierté à être la bonne pute que cet inconnu attendait de moi, et c’était très excitant. Ce qui était tout aussi excitant c’était d’entendre ses bruits de plaisir qu’il m’offrait en récompense. Il poussait de légers râles à mesure que je m’amusais avec sa bite. Je cherchais à accompagner son plaisir en ondulant autour du sexe, mais j’avais été bien ficellée. Impossible de me déplacer d’un millimètre, je n’avais que ma langue pour faire au mieux mon travail, ma bouche ne pouvait que s’ouvrir et pas tournoyer autour de son gland. Mais au moment où ma langue commençait à fatiguer, son sperme sorti dans ma bouche et s’étala partout sur ma langue. Il poussa un très gros râle de plaisir à ce moment et resta quelques secondes immobile en moi. Je n’avais pas vu venir le coup, concentrée sur ma tâche, et je me retrouvais un peu interdite avec tout ce sperme étalé dans ma bouche. Il se retira pendant que j’étais encore immobile, je gardais la bouche grande ouverte ne sachant pas quoi faire. Il se baissa vers moi, posa sa main sur mon menton pour m’attraper le visage et il m’offrit un baiser qui m’obligea à fermer ma gueule toujours remplie. Je ne m’attendais pas à un baiser si doux dans ce contexte.
« Maintenant avale salope ».
Il le dit avec douceur mais je sentis qu’il s’agissait toujours d’un ordre sévère. J’avalais donc même si cela n’a jamais été un goût que j’apprécie. Une fois bien avalée toute la semence, il me remit sa bite un peu ramollie pour que je la nettoie. Il la plaça un peu partout dans ma bouche afin qu’elle soit bien propre. Une fois fait, il se retira, me remit délicatement le bâillon et me fit un baiser sur le front, toujours encagoulé. « Merci ma pupute ». Décidément cette journée était déjà bien remplie.
J’attendis encore quelques longues minutes avant qu’une troisième personne entre dans mon cachot. Elle restait là sans rien dire devant moi, je ne pouvais la voir mais je l’avais évidemment entendue arriver.
« Tu sais que tu bloque mon accès aux toilettes là ? »
C’était une femme, je l’avais entendue pendant les passages de présentation au début de l’après-midi. J’étais tellement surprise de cette information que je n’avais pas réalisé le sens de ce qu’elle m’avait dit.
« Il va bien falloir que je me vide moi, tu feras sûrement l’affaire ».
À ces mots elle enleva mon bâillon et m'attrapa la tête pour la tirer le plus possible vers elle. Ma tête ne pouvait réellement s’avancer plus à cause des attaches mais je me sentais toute tendue vers l’avant. Elle plaqua son sexe contre ma bouche et m’ordonna d’ouvrir grand. Dès que je le fis, je sentis le liquide chaud de son urine couler dans ma bouche. Je ne pouvais à peine respirer et le flot jaillissait dans ma gorge sans que je puisse réagir. Je manquais de m'étouffer mais je ne pouvais cracher son urine tant ma bouche était collée sous elle. Je crus défaillir à ce moment mais heureusement elle se retira assez vite et je pus cracher sur moi la fin de l’écoulement que je n’arrivais pas à avaler. Je sentais l’urine chaude couler sur mon cou et descendre le long de mon corps sous ma tenue. Elle me fit remarquer que j’étais déjà bien sale pour une soubrette. Je répondis par réflexe un « pardon madame ». C’était les premiers mots que je prononçais depuis un moment et ils sortirent bien faibles de ma gorge endolorie. Elle me reprit la tête et m'ordonna cette fois de lui donner du plaisir avec ma langue. Je m’appliquai au mieux bien que je commençais déjà à fatiguer après ces trois passages. Lorsque je commençais à me relâcher, elle me donnait des petites claques sur les joues pour me réveiller puis resserrait les cuisses contre mon crâne. Mon cou me faisait de plus en plus mal et je fatiguais mais j’essayais d’aller au bout de ce que ma tortionnaire souhaitait de moi. Lorsqu’elle s’approcha de l’orgasme, je sentis la pression exercée sur ma tête augmenter et la femme se raidir. Cela augmenta mon inconfort et retarda sa montée de plaisir. C’était bien ma veine, je n’en avais pas encore fini. Je me dis que je devais alors tout donner si je ne voulais pas mourir d’épuisement et de suffocation et j’augmentai les assauts de ma langue. Cela prit environ cinq minutes pour la ramener au précédent état d’excitation, puis encore 5 minutes pour arriver enfin à l’orgasme. Elle poussa un soupir bref au moment de sa jouissance et je ne pensais de mon côté qu’à la délivrance. Avec le recul ce moment fut magnifique mais au moment de le vivre je n’espérais que de le voir finir. Lorsqu’elle dégagea son emprise, je pus retrouver légèrement mes esprits. Je crois qu’elle me laissa une ou deux minutes de répit dont j’avais alors grandement besoin. Elle ne disait rien, comme si elle profitait de mon état d’épuisement et de vulnérabilité. Ce devait être un spectacle réjouissant. Puis sans prévenir, me voilà encore étouffée, cette fois par ce que je reconnus très vite être ses fesses. Je sortais ma langue endolorie sur son anus en espérant lui faire plaisir. Heureusement elle n’espérait pas plus de ma part et se retira au bout de trente secondes de suffocation.
« C’était mon petit cadeau de remerciement ma jolie »
Je bredouillai un merci madame juste avant de retrouver mon habituel bâillon. Il ne me restait déjà plus beaucoup d’énergie et j’espérais alors que tous les invités avaient abandonné l’idée d’utiliser la salle de bain. Malheureusement pour moi ce n’était pas encore fini. Heureusement pour moi, on m’offrit quelques minutes de repos.
« À nous ma jolie ! Tu sais qu’on dit dans le salon que tu es une bonne suceuse ? On va bien s'occuper de ta petite bouche de pute tu vas voir ! »
Comment ça « on » ?
« J’espère qu’il te reste un peu d’énergie quand même, parce qu’on a aussi envie d’en profiter. »
Ils étaient donc deux mecs à être entrés en même temps dans la pièce. Allaient-ils m’utiliser en même temps ? Je redoutais la suite des événements.
« Allez enlève ça et fais nous plaisir ! ».
Alliant ces mots aux gestes, l'un des deux enleva de nouveau mon bâillon devenu de plus en plus inconfortable. Je compris qu’ils étaient chacun d’un côté de mes jambes, leurs sexes dressés près de mes joues. Je ne pouvais presque pas tourner la tête mais celui de gauche tourna ma bouche vers lui juste assez pour que je puisse attraper en bouche son sexe. Je commençais à jouer avec ma langue sur son gland mais je compris vite qu’il n’était pas partant pour me laisser faire tout le travail. Son sexe faisait des allers-retours en moi sans que je puisse réagir, tapotant régulièrement le fond de ma gorge. Pendant ce temps, je sentais le second sexe venir frapper sur ma joue droite. Je commençais à perdre mes derniers repaires et je le laissais utiliser ma bouche à sa guise. Je n’étais plus qu’un trou dans lequel ces inconnus se vidaient sans que je n’eus rien à faire. Je les entendais m’encourager par des surnoms peu flatteurs, j’étais pour eux à la fois une chienne et une cuvette, parfois juste un trou. Je perdais complètement la notion du temps quand ma bouche passa de force sur le sexe de l’homme de droite. Le pilonnage de mon palais et de ma langue continuait ainsi passant de l’un à l'autre de plus en plus vite à tel point que je ne savais plus sur quel sexe j’étais. Je me contentais de garder ma mâchoire ouverte et de les laisser me diriger vers ce que je devais sucer. Je pense que celui qui n’était pas occupé dans ma bouche se masturbait à côté de celle-ci. Ils ne se disputaient pas pour m’avoir et savaient visiblement très bien me partager. Au bout d’un certain temps de ce défonçage de gueule, je sentis quelque chose m’arriver sur le visage. Celui qui n’était pas dans ma bouche avait giclé sur moi. Je le sentis s’essuyer sur ma joue et je trouvais la situation terriblement dégradante. Ma robe devait être dégoûtante et je devais donner un triste spectacle. Celui que je suçais me ramena à mes affaires en insistant avec sa main sur ma tête. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour jouir en moi, ma position humiliée de vide couille humain devait l’exciter terriblement. Tout son foutre s’écoula en moi et j’en avalais une bonne partie dès la réception sans le faire exprès, manquant de m’étouffer avec. Dès qu’il eut fini, il se retira et remit mon bâillon en place, me laissant avec le fort goût de son sperme dans la bouche. Il s’essuya le sexe sur le haut de ma robe de soubrette déjà bien salie.
« C’est vrai que t’es pas mal pour se vider toi »
« J’espère que tu seras dans le coin la prochaine fois que je voudrai décharger parce que t’es franchement pas mal comme pute. Tu pues le foutre et la pisse et je suis sûr que tu t’éclates en étant à notre disposition »
Je ne pouvais leur donner tort. Je ne savais plus très bien ce qu’il m’arrivait mais je savais que je vivais quelque chose d’encore plus fort que tout ce que j’avais pu fantasmer. J’étais devenue presque rien, un objet à disposition des passant·es, une videuse obéissante sans réactions, indifférente à ce qu’on fait d’elle. Je ne m’étais jamais sentie à ce point humiliée et rabaissée, et je ne pensais surtout pas autant apprécier le fait d’être une toilette humaine, mon objectif premier était surtout de sucer celles et ceux qui le souhaiteraient.
Alors que je méditais sur la force de vivre un tel fantasme que l’on traîne depuis si longtemps, l’un des deux hommes se vida sur moi de son urine. Mon bâillon avait été remis et je ne pouvais donc pas recevoir son urine. Je compris de toutes façons qu’il ne visait pas un endroit particulier mais qu’il essayait de me mouiller un maximum. Il joua en faisant aller son jet de ma tête à mes jambes en insistant particulièrement sur mon torse. C’était une nouvelle étape dans l’humiliation. Ma robe était complètement imbibée, je me sentais humide et moite. Mon nez ne pouvait sentir autre chose que la forte odeur de son urine. Il avait dû se retenir depuis un moment car j’avais l’impression de sortir d’une douche complète d’urine, qui malheureusement refroidissait vite.
Alors que je commençais à grelotter et qu’il finit son œuvre dégradante, j’entendis quelques claquements de mains vers l’entrée de la pièce. On nous avait observé pendant ce moment. Mais depuis quand me regardait-on ? Ces gens avaient dû rentrer alors que je suçais les deux hommes et je n’avais donc pas entendu leur arrivée. Je compris qu’il y avait un certain nombre de personnes maintenant dans la pièce. C’est alors que notre hôte m’enleva le bâillon pour me dire :
« Tu as été très utile aujourd’hui et tu peux être fière de toi ma petite salope, tu as merveilleusement servie mes invités. Maintenant garde la bouche grande ouverte, tire la langue et ne bouge pas, certains voudraient terminer ce qu’ils ont commencé dans le salon sur toi. Accueille donc leurs offrandes. »
Je m’exécutais et je sortis la langue qu’il attrapa avec sa bouche, en faisant un suçon qui réveilla et étira bien ma langue. Je restais bien immobile et offerte à un nombre inconnu d’invités. Je reçus en premier un nouveau jet d’urine. Celui-ci était beaucoup plus dirigé vers ma bouche mais, gardant toujours la langue tirée, le jet s’écoula sur moi en ruisselant sur mes joues. J’avais dépassé ce stade de la honte et je recevais cela sans vraiment réaliser à quel point je n’étais qu’une serpillère à urine. Juste après qu’il ait fini de me pisser dessus, un autre jet arriva, de sperme cette fois, sur ma langue et sur ma joue. Je compris qu’ils allaient tous un par un se vider sur moi et j’étais prête à tout accepter. J’entendis un autre homme se masturber tout près de mon visage et je compris qu’il mettait un peu de temps avant de faire venir son orgasme. J’imagine que ce n’est pas toujours évident de se masturber sur une personne attachée devant plusieurs spectateurs, potentiellement eux-mêmes en train de se masturber devant le spectacle honteux que j’offrais. Il réussit cependant à venir mais le jet assez faible tomba sur le bas de ma robe et resta en partie dans sa main. Cela ne l’embêta pas plus que ça puisqu’il s’essuya plusieurs fois la main sur ma langue pour enlever son sperme. Après lui, j’eus le droit encore à 3 émissions de sperme et deux jets d’urine, tous se déposant sur l’ensemble de mon corps immobile. Je gardais toujours ma langue bien pendante, pour bien montrer que j’étais devenue la chienne avide de tout ce qu’ils voudraient m’offrir. Je dois dire que je ne réfléchissais quasiment plus, j’avais atteint un état de jouissance si poussé et nouveau que je n’étais qu’une boule de plaisir qui dépassait ses limites et plongeait dans ses fantasmes les plus fous.
Une fois tout le monde bien vidé, on me remercia, m’insulta avec tendresse et fit des bises de loin. Personne n’osa m’embrasser vraiment et je m’étonnais de ne pas plus repousser les gens. L’odeur devait être sacrément rance à ce moment. Dans mes narines je ne percevais plus qu’un mélange indistinct de sperme et d’urine. J’entendis mon hôte raccompagner à la porte tous les invités, qui s’échangeaient des formules de politesse comme s’il s’agissait du plus classique des dîners. Je n’étais qu’une attraction rigolote, ni plus ni moins. J’avais fait passer un bon moment à ces personnes et je dois dire que j’en étais fière.
Une fois tout le monde parti, mon hôte revint vers moi. Il me félicita encore d’avoir bien rempli ma tâche, de n’avoir rien refusé et d’avoir réjoui tous les invités. Il commença à me détacher et m’informa que j’avais passé plus de deux heures dans cette position qui devenait inconfortable. Une fois complètement libre de mes mouvements, il enleva le bâillon accroché à mon cou, puis ôta la cagoule. Je retrouvais la vue, et la lumière blanche de la salle de bain fut difficile à retrouver. Une fois habituée, je pus voir l’état désastreux dans lequel on m’avait laissée, recouverte de foutre et de pisse. Mon hôte me laissa quelques minutes assise sur la cuvette des toilettes pour retrouver mes esprits. Je ne pouvais penser à autre chose qu'à ce que je venais de vivre et cela a continué à habiter mes pensées par la suite. Au bout de quelques minutes il m’ordonna de nettoyer le sol de la salle de bain, après tout j’étais une soubrette, j’étais faite pour ça. Je me mis à quatre pattes pour éponger les traces au sol sous l'œil attentif de mon hôte. Je ne suis pas sûre d’avoir fait du bon travail, mais il ne m’en tint pas rigueur évidemment. Il était tout aussi conscient que moi du caractère exceptionnel de ce que nous venions de vivre. Une fois le sol et la cuvette à peu près propre, il m’ordonna d’aller à la douche pour me nettoyer. Il m’aida à ôter tous mes vêtements qu’il mit dans un grand sac plastique. Il me laissa ensuite seule dans la douche pour me détendre et retrouver mes esprits. C’était mon aftercare, un temps illimité dans la douche. Je ne sais combien de temps j’ai passé sous l’eau mais j’ai fait plus que laver les traces des passages sur moi. Je pris le temps de repenser à l'enchaînement des choses et je pus enfin me dire que j’avais aimé l’ensemble de tout ce que j’avais vécu ce jour. J’étais satisfaite d’avoir enfin vécu ce fantasme, et que ce se soit passé si merveilleusement. Je ne sais pas si je revivrai cela un jour mais je sais que cela restera un des souvenirs les plus forts de ma vie.
Une fois sortie de ma transe sous la douche, je sortis et je découvris qu’il m’attendait là avec une serviette. Il m’enveloppa et m’essuya. Puis il m’aida à me rhabiller tranquillement, s’assura que j’avais passé un beau moment et que rien ne m’avait gêné. Une fois le débrief complet effectué, il me laissa rentrer chez moi avec mon sac plastique de linge sale.
J’arrivai chez l’homme que je devais retrouver pour ce beau moment. Il m’accueillit chaleureusement chez lui et m’offrit un verre en me rappelant le programme qui allait être le mien pour l’après-midi. Je l’écoutais tout en me disant qu’il aurait été difficile pour moi de l’oublier, tant j’attendais ce moment avec excitation depuis plusieurs semaines. Evidemment, il me répétait tout ça pour être sûr que j’étais toujours d’accord avec ce qui allait m’arriver. Je lui confirmai que j’étais toujours partante pour tout ça. Nous buvions notre verre en parlant de tout et de rien en attendant de devoir se préparer. Il me raconta les difficultés qu’il a eu pour réunir les participants à l'événement. Je l’écoutais d’une oreille, déjà dans mon esprit et mes fantasmes pour imaginer ce qui allait m’arriver. Il me fit remarquer qu’il était l’heure de me préparer me rassura en me disant que j’allais être parfaite. Je commençais à me déshabiller devant lui pendant qu’il continuait à siroter son café. Je me retrouvais donc toute nue. Comme prévu je m’étais rasée intégralement et épilée, même s' il était peu probable que cela serve. L’idée était d’augmenter les étapes pour rendre cette journée parfaite. Je pris ensuite ma culotte de dentelle rose et l'enfilais, je l’entendis me dire alors que j’étais une très belle salope et que si il n’y avait pas pleins de gens à m’attendre, il me prendrait dès maintenant. Je ne répondis pas à sa remarque et continuais à me préparer. J’enfilai alors ma robe de soubrette et l’ajustai comme il faut. Maintenant les accessoires. Le tablier, les gants et la coiffe. J’étais maintenant prête à nettoyer tout l’appartement comme une bonne petite soubrette obéissante, mais cela n’était pas pour tout de suite dans notre programme.
« Tu es très belle comme ça ! Je suis sûre que tu vas plaire. On va aller t’installer maintenant. Tu es d’accord ? »
J’osais à peine répondre une timide approbation et le suivis lorsqu’il se leva. J’étais complètement débordée par l’émotion et l’excitation d’enfin vivre ce fantasme qui m'habitait depuis longtemps. Il ouvrait la marche et je le suivais à travers cet appartement que je découvrais alors. Pendant que nous traversions le couloir, je jetais des regards dans toutes les pièces que nous croisions, dans le but de fixer mon regard sur un détail qui calmerait mon cerveau en ébullition. En passant devant sa chambre, je vis un boxer sale sur le sol. Avait-il été laissé là pour moi ? Cela n’aurait aucun sens. Mais cela suffit à occuper mon esprit pendant les quelques secondes interminables de traversée du couloir. Nous arrivions enfin à la salle de bain. Au sol une bâche avait été disposée sur l’ensemble de la pièce. Quelques accessoires nous attendaient, prêts à l’emploi. Si je souhaitais reculer, c’était le dernier moment pour le faire. Je réfléchis une dernière fois tout en sachant que malgré la peur qui accompagnait l’excitation, je savais pertinemment que je n’avais pas l’envie de m’arrêter là. Je m’assis devant la cuvette comme convenu. Tout d’abord on m’enfila une cagoule sur la tête. C’était une belle cagoule en latex qui demanda un peu de temps à être bien installée. Une fois mise, je ne pouvais plus rien voir mais ma bouche et mon nez étaient découverts. La cagoule repassait au niveau du menton pour bien se maintenir sur mon visage. Je n’étais plus qu’un bout de visage, déshumanisé, offert aux futurs visiteurs. Mon hôte attacha mes mains avec des bracelets plutôt confortables et les relia aux bracelets qu’il installa à mes chevilles. Ainsi, j’étais maintenue dans ma position assise, les bras près des jambes, ne pouvant me relever ou m’éloigner. Pour finir, il me mit un gros collier qui, étant très large, limitait presque intégralement les mouvements de mon cou. Il passa une corde à travers les boucles du collier. Mon collier était relié derrière moi à plusieurs endroits derrière la cuvette. J’étais presque prête. Je ne pouvais pas bouger, pas voir, assise dans une salle de bain, habillée en tenue de soubrette et complètement disponible. Mon hôte me redit à quel point j’étais belle comme ça. Il me félicita et me remercia de m’offrir ainsi. Il annonça le clou du spectacle : un bâillon. Un simple bâillon boule rouge en silicone dans ma bouche et relié derrière. Il était suffisamment peu serré pour que quiconque puisse me l’enlever puis me le remettre dans la bouche en tirant sur la boule. J’étais enfin prête !
Je restais donc là quelque temps, seule et attachée dans la salle de bain d’un presque inconnu. Je ne savais pas combien de temps j’allais devoir attendre avant de pouvoir être utile. Mais la situation m’excitait déjà énormément. Je ne pouvais m’empêcher de penser à tout ce qui allait m’arriver et dont j’avais rêvé depuis plus d’un an maintenant sans avoir pu le tester. Je tentais de bouger un peu pour vérifier mes liens, il m’avait bien attachée, aucun doute là dessus. Je ne pouvais absolument pas bouger ma tête dans l’espace, ni la baisser, je pouvais simplement légèrement déplacer mes jambes pour me remettre en place si je commençais à avoir des fourmis. J’étais donc assise dans le froid de la salle de bain depuis plusieurs minutes (j’avais déjà perdu la notion du temps) quand j’entendis au loin dans l’appartement la porte s’ouvrir et des gens discuter. Je ne pouvais déjà plus reculer depuis un moment, tout avait été déjà bien organisé. Mais à cet instant mon stress et mon excitation grimpaient en flèche. C’est avec la boule au ventre que j’entendis le groupe de voix se rapprocher de ma pièce-prison. Mon hôte ouvrit la porte et me présenta à ses invités.
« Et voici l’attraction de la journée ! Je l’ai préparée pour vous, j’espère que vous en ferez bon usage. »
Plusieurs commentaires furent faits sur ma personne. On complimenta ma tenue, la manière dont j’avais été installée là. Certaines personnes parlèrent de leur hâte à s'occuper de moi, certaines interrogèrent mon hôte sur la tenue de la journée. Je réagissais parfois d’un grognement sourd à certains compliments ou annonces qui m'excitaient encore plus. Je fis un certain bruit pour remercier la femme qui dit que j’étais une ravissante petite salope prête à l’emploi. Elle le remarqua et me dit que je serai probablement moins en forme une fois qu’on se sera occupé de ma grande bouche de pute. Je décidais alors de me faire plus discrète, consciente qu’on n’attendait pas de moi trop de réactions. Mon hôte fit ainsi entrer trois groupes de personnes pour admirer leur futur jouet avec à chaque fois le même type de commentaires. Je ne sais pas combien de temps espaçait chaque groupe de visiteurs ni le nombre qu’ils étaient à chaque fois. Je pu noter cependant qu’il y avait plus d’hommes que de femmes parmi les personnes qui avaient parlé à voix haute. Je pensais aussitôt qu’il était possible que certaines personnes ne se soient pas encore manifestées et je n’avais pas pu les voir pour compter leur nombre. Je tablais sur une petite dizaine, en espérant que le nombre ne soit pas plus élevé, dix personnes c’est déjà beaucoup. Ensuite il ne passa plus personne pendant un certain temps. J’entendais les personnes discuter, probablement confortablement installées dans le salon pendant que j’attendais là.
Alors que je commençais à m’assoupir dans mes liens, bercée par la douceur de ma robe de soubrette, j’entendis des pas s’approcher de moi. Une personne semblait se trouver sur le pas de la porte.
« Alors, à nous deux ma petite salope ! »
Il s’approcha de moi et retira mon bâillon d’un geste brusque qui tira un peu sur l’arrière de ma tête. Je n’eus pas le temps de respirer qu’il inséra sa bite dans ma bouche d’un coup. Je n’étais pas prête à accepter ce pénis qui s’enfonçait d’un coup vers le fond de ma gorge et déglutis face à cet assaut. Cela ne le dérangea pas plus que ça et il continuait donc à se balader dans ma bouche alors que je ne pouvais pas réagir. Mon cerveau se concentrait sur la manière d’accepter son sexe et je n’entendais pas les insultes dégradantes auxquelles j’avais le droit pendant ses coups de reins. Je ne sais pas combien de temps il resta dans ma bouche mais il sortit sans jouir. Il me donna quelques coups sur le visage avec son pénis ce qui me surprit énormément ne les ayant pas vus venir. Je me demandais si il allait se masturber sur moi mais il remit mon bâillon, et me dit : « Bonne suceuse va ! ». Sur ce, il se rhabilla et sortit de la pièce. je commençais à m’interroger sur la suite des évènements : est-ce qu’ils allaient tous venir à la chaine sans jouir dans ma bouche de cette manière ? Je ne me suis pas interrogée plus que ça car à peine les pas de la personne s’éloignaient de moi, d’autres pas se rapprochaient. Les deux personnes dans le couloir échangèrent quelques mots. Je cru comprendre vaguement : « Elle a une belle gueule de pute tu verras ». Le prochain à venir serait un homme, j’ai reconnu la voix masculine s’approchant.
« A mon tour, j’espère que tu as encore l’énergie de me sucer convenablement. »
C’est avec ses mots qu’il s’approcha de moi d’un pas décidé, sans s’arrêter. Il me retira mon bâillon et alors que je gardais ma bouche encore ouverte il me cracha violemment dans la bouche. Il ferma ma bouche avec sa main bien serrée sur mon menton et m’ordonna d’avaler.
« Maintenant ouvre et suce moi ! »
Je lui obéis sans me poser de questions et il approcha son sexe de ma bouche. Je m’attendais à plus de violence après le premier passage et je ne pris pas de suite son pénis en bouche.
« Qu’est ce que tu attends alors ? »
A ces mots il posa sa main à l’arrière de ma tête et accompagna mon mouvement pour que je le prenne. « Je vais pas faire tout le boulot tout seul. T’es censée être une bonne pute non ? ». Je m’appliquais donc à lui faire plaisir en prenant le maximum de son sexe en bouche, en jouant avec son gland grâce à ma langue. Je prenais une fierté à être la bonne pute que cet inconnu attendait de moi, et c’était très excitant. Ce qui était tout aussi excitant c’était d’entendre ses bruits de plaisir qu’il m’offrait en récompense. Il poussait de légers râles à mesure que je m’amusais avec sa bite. Je cherchais à accompagner son plaisir en ondulant autour du sexe, mais j’avais été bien ficellée. Impossible de me déplacer d’un millimètre, je n’avais que ma langue pour faire au mieux mon travail, ma bouche ne pouvait que s’ouvrir et pas tournoyer autour de son gland. Mais au moment où ma langue commençait à fatiguer, son sperme sorti dans ma bouche et s’étala partout sur ma langue. Il poussa un très gros râle de plaisir à ce moment et resta quelques secondes immobile en moi. Je n’avais pas vu venir le coup, concentrée sur ma tâche, et je me retrouvais un peu interdite avec tout ce sperme étalé dans ma bouche. Il se retira pendant que j’étais encore immobile, je gardais la bouche grande ouverte ne sachant pas quoi faire. Il se baissa vers moi, posa sa main sur mon menton pour m’attraper le visage et il m’offrit un baiser qui m’obligea à fermer ma gueule toujours remplie. Je ne m’attendais pas à un baiser si doux dans ce contexte.
« Maintenant avale salope ».
Il le dit avec douceur mais je sentis qu’il s’agissait toujours d’un ordre sévère. J’avalais donc même si cela n’a jamais été un goût que j’apprécie. Une fois bien avalée toute la semence, il me remit sa bite un peu ramollie pour que je la nettoie. Il la plaça un peu partout dans ma bouche afin qu’elle soit bien propre. Une fois fait, il se retira, me remit délicatement le bâillon et me fit un baiser sur le front, toujours encagoulé. « Merci ma pupute ». Décidément cette journée était déjà bien remplie.
J’attendis encore quelques longues minutes avant qu’une troisième personne entre dans mon cachot. Elle restait là sans rien dire devant moi, je ne pouvais la voir mais je l’avais évidemment entendue arriver.
« Tu sais que tu bloque mon accès aux toilettes là ? »
C’était une femme, je l’avais entendue pendant les passages de présentation au début de l’après-midi. J’étais tellement surprise de cette information que je n’avais pas réalisé le sens de ce qu’elle m’avait dit.
« Il va bien falloir que je me vide moi, tu feras sûrement l’affaire ».
À ces mots elle enleva mon bâillon et m'attrapa la tête pour la tirer le plus possible vers elle. Ma tête ne pouvait réellement s’avancer plus à cause des attaches mais je me sentais toute tendue vers l’avant. Elle plaqua son sexe contre ma bouche et m’ordonna d’ouvrir grand. Dès que je le fis, je sentis le liquide chaud de son urine couler dans ma bouche. Je ne pouvais à peine respirer et le flot jaillissait dans ma gorge sans que je puisse réagir. Je manquais de m'étouffer mais je ne pouvais cracher son urine tant ma bouche était collée sous elle. Je crus défaillir à ce moment mais heureusement elle se retira assez vite et je pus cracher sur moi la fin de l’écoulement que je n’arrivais pas à avaler. Je sentais l’urine chaude couler sur mon cou et descendre le long de mon corps sous ma tenue. Elle me fit remarquer que j’étais déjà bien sale pour une soubrette. Je répondis par réflexe un « pardon madame ». C’était les premiers mots que je prononçais depuis un moment et ils sortirent bien faibles de ma gorge endolorie. Elle me reprit la tête et m'ordonna cette fois de lui donner du plaisir avec ma langue. Je m’appliquai au mieux bien que je commençais déjà à fatiguer après ces trois passages. Lorsque je commençais à me relâcher, elle me donnait des petites claques sur les joues pour me réveiller puis resserrait les cuisses contre mon crâne. Mon cou me faisait de plus en plus mal et je fatiguais mais j’essayais d’aller au bout de ce que ma tortionnaire souhaitait de moi. Lorsqu’elle s’approcha de l’orgasme, je sentis la pression exercée sur ma tête augmenter et la femme se raidir. Cela augmenta mon inconfort et retarda sa montée de plaisir. C’était bien ma veine, je n’en avais pas encore fini. Je me dis que je devais alors tout donner si je ne voulais pas mourir d’épuisement et de suffocation et j’augmentai les assauts de ma langue. Cela prit environ cinq minutes pour la ramener au précédent état d’excitation, puis encore 5 minutes pour arriver enfin à l’orgasme. Elle poussa un soupir bref au moment de sa jouissance et je ne pensais de mon côté qu’à la délivrance. Avec le recul ce moment fut magnifique mais au moment de le vivre je n’espérais que de le voir finir. Lorsqu’elle dégagea son emprise, je pus retrouver légèrement mes esprits. Je crois qu’elle me laissa une ou deux minutes de répit dont j’avais alors grandement besoin. Elle ne disait rien, comme si elle profitait de mon état d’épuisement et de vulnérabilité. Ce devait être un spectacle réjouissant. Puis sans prévenir, me voilà encore étouffée, cette fois par ce que je reconnus très vite être ses fesses. Je sortais ma langue endolorie sur son anus en espérant lui faire plaisir. Heureusement elle n’espérait pas plus de ma part et se retira au bout de trente secondes de suffocation.
« C’était mon petit cadeau de remerciement ma jolie »
Je bredouillai un merci madame juste avant de retrouver mon habituel bâillon. Il ne me restait déjà plus beaucoup d’énergie et j’espérais alors que tous les invités avaient abandonné l’idée d’utiliser la salle de bain. Malheureusement pour moi ce n’était pas encore fini. Heureusement pour moi, on m’offrit quelques minutes de repos.
« À nous ma jolie ! Tu sais qu’on dit dans le salon que tu es une bonne suceuse ? On va bien s'occuper de ta petite bouche de pute tu vas voir ! »
Comment ça « on » ?
« J’espère qu’il te reste un peu d’énergie quand même, parce qu’on a aussi envie d’en profiter. »
Ils étaient donc deux mecs à être entrés en même temps dans la pièce. Allaient-ils m’utiliser en même temps ? Je redoutais la suite des événements.
« Allez enlève ça et fais nous plaisir ! ».
Alliant ces mots aux gestes, l'un des deux enleva de nouveau mon bâillon devenu de plus en plus inconfortable. Je compris qu’ils étaient chacun d’un côté de mes jambes, leurs sexes dressés près de mes joues. Je ne pouvais presque pas tourner la tête mais celui de gauche tourna ma bouche vers lui juste assez pour que je puisse attraper en bouche son sexe. Je commençais à jouer avec ma langue sur son gland mais je compris vite qu’il n’était pas partant pour me laisser faire tout le travail. Son sexe faisait des allers-retours en moi sans que je puisse réagir, tapotant régulièrement le fond de ma gorge. Pendant ce temps, je sentais le second sexe venir frapper sur ma joue droite. Je commençais à perdre mes derniers repaires et je le laissais utiliser ma bouche à sa guise. Je n’étais plus qu’un trou dans lequel ces inconnus se vidaient sans que je n’eus rien à faire. Je les entendais m’encourager par des surnoms peu flatteurs, j’étais pour eux à la fois une chienne et une cuvette, parfois juste un trou. Je perdais complètement la notion du temps quand ma bouche passa de force sur le sexe de l’homme de droite. Le pilonnage de mon palais et de ma langue continuait ainsi passant de l’un à l'autre de plus en plus vite à tel point que je ne savais plus sur quel sexe j’étais. Je me contentais de garder ma mâchoire ouverte et de les laisser me diriger vers ce que je devais sucer. Je pense que celui qui n’était pas occupé dans ma bouche se masturbait à côté de celle-ci. Ils ne se disputaient pas pour m’avoir et savaient visiblement très bien me partager. Au bout d’un certain temps de ce défonçage de gueule, je sentis quelque chose m’arriver sur le visage. Celui qui n’était pas dans ma bouche avait giclé sur moi. Je le sentis s’essuyer sur ma joue et je trouvais la situation terriblement dégradante. Ma robe devait être dégoûtante et je devais donner un triste spectacle. Celui que je suçais me ramena à mes affaires en insistant avec sa main sur ma tête. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour jouir en moi, ma position humiliée de vide couille humain devait l’exciter terriblement. Tout son foutre s’écoula en moi et j’en avalais une bonne partie dès la réception sans le faire exprès, manquant de m’étouffer avec. Dès qu’il eut fini, il se retira et remit mon bâillon en place, me laissant avec le fort goût de son sperme dans la bouche. Il s’essuya le sexe sur le haut de ma robe de soubrette déjà bien salie.
« C’est vrai que t’es pas mal pour se vider toi »
« J’espère que tu seras dans le coin la prochaine fois que je voudrai décharger parce que t’es franchement pas mal comme pute. Tu pues le foutre et la pisse et je suis sûr que tu t’éclates en étant à notre disposition »
Je ne pouvais leur donner tort. Je ne savais plus très bien ce qu’il m’arrivait mais je savais que je vivais quelque chose d’encore plus fort que tout ce que j’avais pu fantasmer. J’étais devenue presque rien, un objet à disposition des passant·es, une videuse obéissante sans réactions, indifférente à ce qu’on fait d’elle. Je ne m’étais jamais sentie à ce point humiliée et rabaissée, et je ne pensais surtout pas autant apprécier le fait d’être une toilette humaine, mon objectif premier était surtout de sucer celles et ceux qui le souhaiteraient.
Alors que je méditais sur la force de vivre un tel fantasme que l’on traîne depuis si longtemps, l’un des deux hommes se vida sur moi de son urine. Mon bâillon avait été remis et je ne pouvais donc pas recevoir son urine. Je compris de toutes façons qu’il ne visait pas un endroit particulier mais qu’il essayait de me mouiller un maximum. Il joua en faisant aller son jet de ma tête à mes jambes en insistant particulièrement sur mon torse. C’était une nouvelle étape dans l’humiliation. Ma robe était complètement imbibée, je me sentais humide et moite. Mon nez ne pouvait sentir autre chose que la forte odeur de son urine. Il avait dû se retenir depuis un moment car j’avais l’impression de sortir d’une douche complète d’urine, qui malheureusement refroidissait vite.
Alors que je commençais à grelotter et qu’il finit son œuvre dégradante, j’entendis quelques claquements de mains vers l’entrée de la pièce. On nous avait observé pendant ce moment. Mais depuis quand me regardait-on ? Ces gens avaient dû rentrer alors que je suçais les deux hommes et je n’avais donc pas entendu leur arrivée. Je compris qu’il y avait un certain nombre de personnes maintenant dans la pièce. C’est alors que notre hôte m’enleva le bâillon pour me dire :
« Tu as été très utile aujourd’hui et tu peux être fière de toi ma petite salope, tu as merveilleusement servie mes invités. Maintenant garde la bouche grande ouverte, tire la langue et ne bouge pas, certains voudraient terminer ce qu’ils ont commencé dans le salon sur toi. Accueille donc leurs offrandes. »
Je m’exécutais et je sortis la langue qu’il attrapa avec sa bouche, en faisant un suçon qui réveilla et étira bien ma langue. Je restais bien immobile et offerte à un nombre inconnu d’invités. Je reçus en premier un nouveau jet d’urine. Celui-ci était beaucoup plus dirigé vers ma bouche mais, gardant toujours la langue tirée, le jet s’écoula sur moi en ruisselant sur mes joues. J’avais dépassé ce stade de la honte et je recevais cela sans vraiment réaliser à quel point je n’étais qu’une serpillère à urine. Juste après qu’il ait fini de me pisser dessus, un autre jet arriva, de sperme cette fois, sur ma langue et sur ma joue. Je compris qu’ils allaient tous un par un se vider sur moi et j’étais prête à tout accepter. J’entendis un autre homme se masturber tout près de mon visage et je compris qu’il mettait un peu de temps avant de faire venir son orgasme. J’imagine que ce n’est pas toujours évident de se masturber sur une personne attachée devant plusieurs spectateurs, potentiellement eux-mêmes en train de se masturber devant le spectacle honteux que j’offrais. Il réussit cependant à venir mais le jet assez faible tomba sur le bas de ma robe et resta en partie dans sa main. Cela ne l’embêta pas plus que ça puisqu’il s’essuya plusieurs fois la main sur ma langue pour enlever son sperme. Après lui, j’eus le droit encore à 3 émissions de sperme et deux jets d’urine, tous se déposant sur l’ensemble de mon corps immobile. Je gardais toujours ma langue bien pendante, pour bien montrer que j’étais devenue la chienne avide de tout ce qu’ils voudraient m’offrir. Je dois dire que je ne réfléchissais quasiment plus, j’avais atteint un état de jouissance si poussé et nouveau que je n’étais qu’une boule de plaisir qui dépassait ses limites et plongeait dans ses fantasmes les plus fous.
Une fois tout le monde bien vidé, on me remercia, m’insulta avec tendresse et fit des bises de loin. Personne n’osa m’embrasser vraiment et je m’étonnais de ne pas plus repousser les gens. L’odeur devait être sacrément rance à ce moment. Dans mes narines je ne percevais plus qu’un mélange indistinct de sperme et d’urine. J’entendis mon hôte raccompagner à la porte tous les invités, qui s’échangeaient des formules de politesse comme s’il s’agissait du plus classique des dîners. Je n’étais qu’une attraction rigolote, ni plus ni moins. J’avais fait passer un bon moment à ces personnes et je dois dire que j’en étais fière.
Une fois tout le monde parti, mon hôte revint vers moi. Il me félicita encore d’avoir bien rempli ma tâche, de n’avoir rien refusé et d’avoir réjoui tous les invités. Il commença à me détacher et m’informa que j’avais passé plus de deux heures dans cette position qui devenait inconfortable. Une fois complètement libre de mes mouvements, il enleva le bâillon accroché à mon cou, puis ôta la cagoule. Je retrouvais la vue, et la lumière blanche de la salle de bain fut difficile à retrouver. Une fois habituée, je pus voir l’état désastreux dans lequel on m’avait laissée, recouverte de foutre et de pisse. Mon hôte me laissa quelques minutes assise sur la cuvette des toilettes pour retrouver mes esprits. Je ne pouvais penser à autre chose qu'à ce que je venais de vivre et cela a continué à habiter mes pensées par la suite. Au bout de quelques minutes il m’ordonna de nettoyer le sol de la salle de bain, après tout j’étais une soubrette, j’étais faite pour ça. Je me mis à quatre pattes pour éponger les traces au sol sous l'œil attentif de mon hôte. Je ne suis pas sûre d’avoir fait du bon travail, mais il ne m’en tint pas rigueur évidemment. Il était tout aussi conscient que moi du caractère exceptionnel de ce que nous venions de vivre. Une fois le sol et la cuvette à peu près propre, il m’ordonna d’aller à la douche pour me nettoyer. Il m’aida à ôter tous mes vêtements qu’il mit dans un grand sac plastique. Il me laissa ensuite seule dans la douche pour me détendre et retrouver mes esprits. C’était mon aftercare, un temps illimité dans la douche. Je ne sais combien de temps j’ai passé sous l’eau mais j’ai fait plus que laver les traces des passages sur moi. Je pris le temps de repenser à l'enchaînement des choses et je pus enfin me dire que j’avais aimé l’ensemble de tout ce que j’avais vécu ce jour. J’étais satisfaite d’avoir enfin vécu ce fantasme, et que ce se soit passé si merveilleusement. Je ne sais pas si je revivrai cela un jour mais je sais que cela restera un des souvenirs les plus forts de ma vie.
Une fois sortie de ma transe sous la douche, je sortis et je découvris qu’il m’attendait là avec une serviette. Il m’enveloppa et m’essuya. Puis il m’aida à me rhabiller tranquillement, s’assura que j’avais passé un beau moment et que rien ne m’avait gêné. Une fois le débrief complet effectué, il me laissa rentrer chez moi avec mon sac plastique de linge sale.
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Les avis des lecteurs
C'est bien écrit, l'uro m'attire aussi, donner et recevoir je pense mais en plus petit comité 😄