FANTASME DEVENU REALITE
Récit érotique écrit par Angie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
FANTASME DEVENU REALITE
Je m’appelle Béatrice et j’ai 35 ans, je suis mariée. Je suis brune cheveux coupé au carré et je mesure 165cm et pèse 60kg. J’ai un tour de poitrine à en faire rêver plus d’un (95D). Je suis secrétaire et travail avec mon mari qui lui est avocat. Cela fait environ dix ans que je travaille là. Mais depuis l’arrivée d’un nouvel avocat, je dois dire que je suis toute chamboulée. En effet Patrice (nous l’appellerons comme ça) et un beau jeun homme à peine diplômé, il a 26 ans, mesure environ 180cm pour environ 75 kg, brun aux yeux bleu et à travers sa chemise on peut aisément deviné une plastique parfaite et des pectoraux saillant.
La semaine dernière, mon mari était contraint de se rendre dans le Nord de la France pour une affaire d’héritage qu’il devait régler au plus vite. Mon mari m’assura qu’il n’en aurait pour pas plus de quatre jours. Le soir de son départ, je m’étais vêtue d’un ensemble tailleur et jupe noir cintrée qui mettait mes formes en valeur ainsi que d’un chemisier blanc quasi transparent qui laissait entrevoir mon soutient gorge noir sexy. Je portais également des basses résilles noires et des talons hauts. Durant toute la journée, les collègues de mon mari me regardaient d’un air excité surtout Patrice, qui lui me regardait avec insistance. Donc ce soir là alors que tout le monde était partis, nous étions toujours au bureau (nous faisons la fermeture) je m’assurais de le satisfaire une dernière fois, avant son départ, donc je me rendis dans son bureau et ferma la porte à clef derrière moi. Je m’assurai que les rideaux étaient tirés afin que l’on puisse pas nous observer. Lui me tourné le dos, il était face au mur en train de téléphoner et ne s’était pas aperçu de mon entrée. Je me déshabillais, et était vêtu d’un ensemble string soutient gorge noir ainsi que prote jar telle et talon haut. Je me rendis auprès de mon mari et m’assis les jambes écartées sur le meuble qui lui faisait face. A voir son visage, il était tout à fait excité. Lui était toujours au téléphone avec son client important. Je me mis à genoux face à lui et commença à déboutonner son pantalon et à défaire sa fermeture éclair. Je vis alors son membre gonflé qui tendait son boxer. Je décidais de prendre ce membre qui s’offrait à moi et de le mettre en bouche et de faire des va et vient de plus en plus rapide. Cette conversation était très importante pour lui et qu’il ne pouvait la remettre à plus tard. Il ne pouvait raccrocher et devait finir cette discussion pendant que je le pompais. J’entendais sa respiration qui se faisait de plus en plus intense et de plus en plus excité. Après quelques minutes je sentais son foutre aller dans ma bouche. Je l’avalais goulûment et laissa mon mari en plan, me rhabillais et sorti de la pièce. En me remettant à mon bureau, je vis Patrice qui était là et qui me regardait d’un air coquin ce qui me laissa pas indifférente.
Le train de mon mari était à 21h ce soir là, je décidais de l’accompagnais jusqu’à la gare et quand il monta dans le train je l’embrassais fougueusement et lui mit discrètement mon string dans sa poche en lui chuchotant : « Pense à moi ».
Les au revoirs terminés, je repris la voiture et rentra chez moi pour prendre un bon bain chaud. Une heure après mon arrivée, j’entendis quelqu’un frappait à la porte, ce qui était bizarre étant donné l’heure (environ 22h30). Je décidai d’aller ouvrir avec prudence et demanda à travers la porte :
- « Qui est – ce ? »
Une voix masculine répondit :
- « Béatrice, c’est Patrice le collègue de votre mari. Je peux entrer pour lui déposer quelques papiers »
J’enfilais vite fais un peignoir rose et des mules à talons rose. Puis j’ouvris la porte.
- « Bonsoir, vous voulez entrer ? Où avez-vous eu mon adresse ? » Demandais-je
- « Oh, c’est Nicolas (un autre associé de mon mari) qui me l’a donné. »
Bien que je lui tourné le dos, je sentais qu’i me dévisageait et qu’il me scrutais dans les moindres détailles.
Je lui proposais donc de boire un verre en ma compagnie. Et en m’asseyant je fis en sorte que ma robe de nuit laisser entrevoir mes cuisses et la naissance de mon intimité. Je le senti tout d’abord gêner essayant de cacher son intimité qui était visiblement distendu. Pour le décontracter je décidais de me pencher en avant, de mettre ma main sur sa cuisse et de lui demander le vrai sujet de sa visite. Son visage était proche du mien, il inclina la tête et m’offrit un baiser tendre et chaleureux que je lui rendis.
Je fis alors glisser ma main le long de sa cuisse pour atteindre son sexe qu’on sentait dur même au travers du pantalon. Je déboutonna son pantalon et défaisais la fermeture éclair et mis ma main dans son boxer pour prendre son sexe bien dur, et pus gros que celui de mon mari, je continuais à l’embrassais tout en le masturbant. Lui avais défait ma robe de nuit et avait glissé ses mains sur mes seins fermes et alla jusqu’à mon mont de Vénus qui était déjà trempé et excité. Il me titilla le clitoris. Je me décollais de lui et le regardait fixement. Je descendais lentement pour prendre sa queue en bouche et lui faire une fellation qu’il n’aurait pas oublier de sitôt. Pendant que je le suçais je sentais sa respiration s’accélérait et il se déshabilla pour se retrouver comme le jour de sa naissance.
Après quelques minutes je le pris par la main et le conduisais jusqu’à mon lit où je m’allongea les jambes écartées et lui devant moi me regarda attentivement. Puis il se mit à genoux et me lécha mon intimité toute trempée de cyprine qu’il avala goulûment. Je gémissais ce qui avait l’air de l’exciter. Je sentais qu’il pénétrait des doigts dans mon intimité en faisant des vas et vient ce qui n’était pas pour me déplaire. Après quelques instants, il se mit sur moi sans me pénétrer me regarda fixement et me donna un baiser tendre puis avec sa main droite il positionna sa verge à l’entrée de mon vagin, tout en titillant mon bouton. Il me fixa et me dit : « tu vas crier comme jamais ton mari ne t’a fait crier !!! ». Et je lui dis « Ca fait des semaine que j’attends ça ». Il se cambra et me pénétra de tout son membre ce qui me fit me coller à lui et poussait un soupir de plaisir. Il me dit au creux de l’oreille : « Je veux t’entendre hurler de plaisir !!! ». A la fin de sa phrase, il me pilonna ce qui eut comme effet de me faire crier de plaisir, ce qui l’excitait de pus en plus. J’eus orgasme sur orgasme, jamais mon mari m’avait eu un tel effet sur moi-même eu début de notre mariage. Quand il sentit qu’il venait. Il sortit rapidement de mon vagin dilaté et se positionna devant ma bouche et expulsa son foutre sur mon visage.
Je lui dit j’allais prendre une douche et que lui pouvais faire ce qu’il voulais. J’étais à peine dans ma douche que je sentis une présence derrière moi c’était Patrice qui me dit alors : « Je veux te prendre par derrière ». Pour me préparer il me mit un doigt puis deux et une fois mon anus bien dilaté il me prit ce qui me fit hurler de plaisir. Patrice est resté tout le week end où mon mari est parti et depuis je ne pense qu’à lui et ne rêve que d’une chose c’est réitérer cette expérience.
La semaine dernière, mon mari était contraint de se rendre dans le Nord de la France pour une affaire d’héritage qu’il devait régler au plus vite. Mon mari m’assura qu’il n’en aurait pour pas plus de quatre jours. Le soir de son départ, je m’étais vêtue d’un ensemble tailleur et jupe noir cintrée qui mettait mes formes en valeur ainsi que d’un chemisier blanc quasi transparent qui laissait entrevoir mon soutient gorge noir sexy. Je portais également des basses résilles noires et des talons hauts. Durant toute la journée, les collègues de mon mari me regardaient d’un air excité surtout Patrice, qui lui me regardait avec insistance. Donc ce soir là alors que tout le monde était partis, nous étions toujours au bureau (nous faisons la fermeture) je m’assurais de le satisfaire une dernière fois, avant son départ, donc je me rendis dans son bureau et ferma la porte à clef derrière moi. Je m’assurai que les rideaux étaient tirés afin que l’on puisse pas nous observer. Lui me tourné le dos, il était face au mur en train de téléphoner et ne s’était pas aperçu de mon entrée. Je me déshabillais, et était vêtu d’un ensemble string soutient gorge noir ainsi que prote jar telle et talon haut. Je me rendis auprès de mon mari et m’assis les jambes écartées sur le meuble qui lui faisait face. A voir son visage, il était tout à fait excité. Lui était toujours au téléphone avec son client important. Je me mis à genoux face à lui et commença à déboutonner son pantalon et à défaire sa fermeture éclair. Je vis alors son membre gonflé qui tendait son boxer. Je décidais de prendre ce membre qui s’offrait à moi et de le mettre en bouche et de faire des va et vient de plus en plus rapide. Cette conversation était très importante pour lui et qu’il ne pouvait la remettre à plus tard. Il ne pouvait raccrocher et devait finir cette discussion pendant que je le pompais. J’entendais sa respiration qui se faisait de plus en plus intense et de plus en plus excité. Après quelques minutes je sentais son foutre aller dans ma bouche. Je l’avalais goulûment et laissa mon mari en plan, me rhabillais et sorti de la pièce. En me remettant à mon bureau, je vis Patrice qui était là et qui me regardait d’un air coquin ce qui me laissa pas indifférente.
Le train de mon mari était à 21h ce soir là, je décidais de l’accompagnais jusqu’à la gare et quand il monta dans le train je l’embrassais fougueusement et lui mit discrètement mon string dans sa poche en lui chuchotant : « Pense à moi ».
Les au revoirs terminés, je repris la voiture et rentra chez moi pour prendre un bon bain chaud. Une heure après mon arrivée, j’entendis quelqu’un frappait à la porte, ce qui était bizarre étant donné l’heure (environ 22h30). Je décidai d’aller ouvrir avec prudence et demanda à travers la porte :
- « Qui est – ce ? »
Une voix masculine répondit :
- « Béatrice, c’est Patrice le collègue de votre mari. Je peux entrer pour lui déposer quelques papiers »
J’enfilais vite fais un peignoir rose et des mules à talons rose. Puis j’ouvris la porte.
- « Bonsoir, vous voulez entrer ? Où avez-vous eu mon adresse ? » Demandais-je
- « Oh, c’est Nicolas (un autre associé de mon mari) qui me l’a donné. »
Bien que je lui tourné le dos, je sentais qu’i me dévisageait et qu’il me scrutais dans les moindres détailles.
Je lui proposais donc de boire un verre en ma compagnie. Et en m’asseyant je fis en sorte que ma robe de nuit laisser entrevoir mes cuisses et la naissance de mon intimité. Je le senti tout d’abord gêner essayant de cacher son intimité qui était visiblement distendu. Pour le décontracter je décidais de me pencher en avant, de mettre ma main sur sa cuisse et de lui demander le vrai sujet de sa visite. Son visage était proche du mien, il inclina la tête et m’offrit un baiser tendre et chaleureux que je lui rendis.
Je fis alors glisser ma main le long de sa cuisse pour atteindre son sexe qu’on sentait dur même au travers du pantalon. Je déboutonna son pantalon et défaisais la fermeture éclair et mis ma main dans son boxer pour prendre son sexe bien dur, et pus gros que celui de mon mari, je continuais à l’embrassais tout en le masturbant. Lui avais défait ma robe de nuit et avait glissé ses mains sur mes seins fermes et alla jusqu’à mon mont de Vénus qui était déjà trempé et excité. Il me titilla le clitoris. Je me décollais de lui et le regardait fixement. Je descendais lentement pour prendre sa queue en bouche et lui faire une fellation qu’il n’aurait pas oublier de sitôt. Pendant que je le suçais je sentais sa respiration s’accélérait et il se déshabilla pour se retrouver comme le jour de sa naissance.
Après quelques minutes je le pris par la main et le conduisais jusqu’à mon lit où je m’allongea les jambes écartées et lui devant moi me regarda attentivement. Puis il se mit à genoux et me lécha mon intimité toute trempée de cyprine qu’il avala goulûment. Je gémissais ce qui avait l’air de l’exciter. Je sentais qu’il pénétrait des doigts dans mon intimité en faisant des vas et vient ce qui n’était pas pour me déplaire. Après quelques instants, il se mit sur moi sans me pénétrer me regarda fixement et me donna un baiser tendre puis avec sa main droite il positionna sa verge à l’entrée de mon vagin, tout en titillant mon bouton. Il me fixa et me dit : « tu vas crier comme jamais ton mari ne t’a fait crier !!! ». Et je lui dis « Ca fait des semaine que j’attends ça ». Il se cambra et me pénétra de tout son membre ce qui me fit me coller à lui et poussait un soupir de plaisir. Il me dit au creux de l’oreille : « Je veux t’entendre hurler de plaisir !!! ». A la fin de sa phrase, il me pilonna ce qui eut comme effet de me faire crier de plaisir, ce qui l’excitait de pus en plus. J’eus orgasme sur orgasme, jamais mon mari m’avait eu un tel effet sur moi-même eu début de notre mariage. Quand il sentit qu’il venait. Il sortit rapidement de mon vagin dilaté et se positionna devant ma bouche et expulsa son foutre sur mon visage.
Je lui dit j’allais prendre une douche et que lui pouvais faire ce qu’il voulais. J’étais à peine dans ma douche que je sentis une présence derrière moi c’était Patrice qui me dit alors : « Je veux te prendre par derrière ». Pour me préparer il me mit un doigt puis deux et une fois mon anus bien dilaté il me prit ce qui me fit hurler de plaisir. Patrice est resté tout le week end où mon mari est parti et depuis je ne pense qu’à lui et ne rêve que d’une chose c’est réitérer cette expérience.
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