Fantasme du samedi soir

- Par l'auteur HDS Nastysex83 -
Récit érotique écrit par Nastysex83 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Fantasme du samedi soir Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fantasme du samedi soir
Marie est une fille très jolie, 24 ans. À peine 5 pi 4 po, elle a de petits seins bien fermes, du 34B. Derrière ses petites lunettes carrées, des yeux noisettes au regard sensuel. Une bouche fine et des cheveux bruns parsemés de mèches blondes. Ses jambes sont longues et fines, mais ce qui attire le plus le regard, ce sont ses fesses. Des fesses bien rondes et bien proportionnées avec ses petits seins.

En couple depuis 4 ans, je sentais que notre relation tombait dans la routine. Au lit, nous passions de bons moments, bien que côté sexe, Marie est du genre conventionnel et pudique. J’avais envie de la dévergonder un peu. Je lui demandais souvent de me décrire ses fantasmes, mais son côté pudique l’empêchait de s’ouvrir complètement. J’ai donc pris l’initiative de mettre un peu de piquant dans notre vie sexuelle.

Depuis toujours, j’aime fantasmer sur les beaux petits culs des filles. Ce sont vraiment leurs fesses qui m’excitent et ce qu’il y a entre! J’ai donc proposé un jeu assez pervers à ma dulcinée. Nous avions convenu qu’à chaque début de semaine, un de nous deux devait remettre à l’autre une histoire décrivant un de ses fantasmes. Celui ou celle qui reçoit l’histoire a la responsabilité de préparer tout ce qui est nécessaire au bon déroulement du fantasme lors du samedi soir qui suit. Un jeu assez simple, mais terriblement efficace.

Étant donné que j’étais l’instigateur de cette nouvelle façon de partager nos envies sexuelles, j’ai proposé la première histoire. Cela faisait un bon moment que je fantasmais sur le petit trou de ma copine. Il me plaisait de regarder entre ses fesses et d’imaginer tout ce qu’il pourrait être fait avec son anus. Cette idée germait depuis longtemps dans ma tête et j’y étais très bien préparé. Par contre, elle ne l’était pas vraiment et elle prit un air assez surpris lorsqu’elle lu la liste des choses à se procurer : lubrifiant anal et buttplug. Je voyais bien qu’elle était réticente, mais elle avait juré de se plier au jeu.

Nous sommes donc samedi soir et c’est maintenant le temps pour Marie de montrer ce dont elle est capable. Je l’attends dans le salon pendant qu’elle termine les derniers préparatifs. Je l’entends descendre l’escalier. Ses talons hauts claquent sur le plancher et elle met beaucoup d’efforts à avoir une démarche lente et sensuelle. Elle s’approche tranquillement de moi qui est toujours assis dans le sofa. En contemplant sa démarche, j’ai tout le temps d’admirer les vêtements sexy qu’elle porte. J’avais demandé qu’elle soit très aguichante, mais je luis avais laissé le loisir de choisir ce qu’elle voulait porter. Je dois dire qu’elle est magnifique avec sa blouse blanche très serrée qui semblait vouloir éclater sous ses petits seins. Une jupe noire très courte, le genre de jupe qu’un petit coup de vent peut faire relever facilement. La jupe est suffisamment courte pour laisser entrevoir le porte-jarretelles qu’elle a en-dessous. Ses jambes n’étaient pas en reste avec ses bas de nylon noir avec de la dentelle dans le haut.

Sur la table à côté de moi, elle dépose tout le nécessaire au bon fonctionnement de la soirée. Elle s’approche très près de moi, se penche et m’embrasse langoureusement. Elle se recule pour me permettre de mieux la contempler. Elle déboutonne son chemisier qu’elle laisse tomber plus loin sur le plancher. À travers son soutien-gorge noir, elle masse ses seins fermement pour les faire pointer droit devant. Elle se retourne tout en se déhanchant et en faisant flotter sa jupe. Elle sait que j’aime regarder sous sa jupe et que ça me fait bander bien dur. Elle se penche en avant, les jambes bien écartées et le cul bien ouvert. Sa jupe remonte assez haut sur ses fesses pour laisser voir son G-string noir, comme tout le reste. Elle dégrafe sa jupe et la laisse tomber. Je peux ainsi mieux voir sa petite culotte. Elle a choisi un de ces modèles qui descend bien bas sur ses hanches et avec de petites cordes fines. Quand elle se penche bien en avant, je peux même distinguer son petit trou tellement la corde est fine entre ses fesses.

Marie se rapproche un peu de moi pour que je puisse voir son cul en gros plan et sentir son odeur de femme. Bien penchée par en avant, elle commence à caresser plus ouvertement son sexe. Ses caresses se font de plus en plus précise et je distingue une petite tache humide sur sa culotte, témoignant de son excitation. J’aime la voir se masturber et elle ne m’offre pas assez souvent ce spectacle. Elle continue de se masturber pendant quelques longues minutes jusqu’à ce qu’elle décide de poursuivre.

À partir de ce moment, les choses deviennent plus sérieuses. Toujours avec son cul à quelques centimètres de ma figure, son majeur sort de sa petite chatte mouillée pour se diriger tranquillement vers son anus qu’elle devait avoir parfaitement épilé. Son doigt décrit de petites trajectoires circulaires autour de son petit trou, à travers sa culotte. Elle écarte finalement le string et son doigt s’arrête à l’entrée de son cul. Elle applique de légères pressions pour en forcer l’entrée et son majeur se glisse finalement à l’intérieur. Elle se fait de petites pénétrations pour commencer puis elle réussi à glisser complètement son doigt à l’intérieur. Elle continue à faire des va-et-vient dans son cul pour finalement tenter un deuxième doigt. Il s’y glisse presque aussi facilement que le précédent, avec un petit gémissement de douleur, et elle peut maintenant tenter des mouvements un peu plus rapides. Je ne pensais pas que ce serait aussi facile pour elle. Visiblement, elle s’est pratiquée quelque fois avant ce soir.

Après un moment, elle retire ses doigts et me demande de lui lécher la chatte et le cul. J’ai une envie folle de la goûter. Dans nos relations <<normales>>, je pratique souvent le cunnilingus et je ne me lasse pas de son petit goût sucré. Je me mets à lui lécher la chatte comme je sais si bien le faire et je la sens mouiller de plus en plus. Sa respiration se fait plus courte et j’entends ses petits halètements. Je continue à lui donner mes meilleurs coups de langues tout en allant bien lui lécher l’anus et la croupe. Il ne me fallu pas beaucoup plus de temps pour la faire jouir fort. Je l’entendis crier et elle pressait sa chatte contre ma langue pour s’assurer que je ne m’arrête pas. Son premier orgasme était assurément intense et elle se retourne pour me gratifier du regard. Elle vient m’embrasser et ma langue porte encore le goût de sa chatte. Elle ne semble pas détester.

Marie reprend son souffle et son regard se pose sur l’énorme bosse de mon pantalon. Elle entreprend donc de me dévêtir complètement et en un rien de temps je me retrouve nu comme un vers avec la queue bien bandée. Elle me caresse le corps avec ses mains et sa bouche, mais je ne fais que penser à la fellation qui va suivre et elle sait très bien que je n’attends que cela en ce moment. Je suis toujours assis et elle est maintenant à genoux face à moi, prête à engloutir mon membre bien dur. Elle commence par le parcourir avec sa langue puis elle l’engouffre tranquillement dans sa bouche. Elle me suce avec beaucoup d’avidité et elle prend plaisir à baver abondamment sur mon pénis. Tout le temps qu’a duré la fellation, elle me regardait constamment et je voyais qu’elle avait autant de plaisir que moi à jouer la cochonne. Je mettais mes mains en arrière de sa tête pour lui caresser les cheveux, mais aussi pour la forcer gentiment à prendre ma queue de plus en plus creux. Je la voyais me prendre presque entièrement dans sa bouche et cela m’excitait au plus haut point. Elle s’arrêtait régulièrement pour me lécher les couilles et même l’anus, chose qu’elle fait très rarement.

Je sentais la sève monter dans mon membre et je ne voulais définitivement pas que ma queue se sépare de sa bouche. Dans le script de la soirée, j’avais pris le soin d’insister sur le fait que chacune de mes éjaculations devait la souiller. J’avais même sous-entendu que je voulais venir dans le fond de sa gorge, ce qu’elle m’a toujours refusé. Je ne savais pas si j’allais avoir l’occasion de lui faire goûter mon sperme, mais je m’apprêtais à venir d’un moment à l’autre et je le lui criais. Elle ne semblait pas vouloir prendre de recul. Au contraire, elle accélérait ses mouvements et elle entourait mon sexe de sa bouche avec beaucoup plus de fermeté. L’inévitable arriva. Je ne pouvais plus me retenir et je laissai de longs jets de sperme descendre sa gorge qu’elle avala sans rechigner. Elle ne pouvait pas tout avaler et le reste se retrouva sur son beau visage. Elle pris soin de bien astiquer ma queue et me lança un regard m’indiquant qu’elle était prête à continuer.

En effet, nous avions eu chacun un orgasme, mais il n’était pas question d’en rester là pour ce soir. Après s’être nettoyé le visage de mon sperme, Marie s’installe sur ses quatre pates, le cul bien en l’air. Je l’embrasse amoureusement pour lui signifier que je suis en train de passer une merveilleuse soirée et elle m’enjoint à poursuivre jusqu’au bout mon fantasme. Je me place en arrière d’elle pour lui retirer son string et ainsi me faciliter l’accès. Marie a définitivement le plus beau cul qu’il m’ait été donné de contempler et j’ai bien l’intention d’en profiter au maximum. Je me dirige évidemment vers son petit trou et, pour le réchauffer un peu, je le lèche un bon moment. Avec mon majeur, je force l’entrée sans qu’elle m’offre de réelle résistance. Je poursuis donc en lubrifiant bien son anus avec un lubrifiant spécialement conçu pour ça. Je lui demande régulièrement de me décrire ses sensations. Elle m’explique qu’elle ressent des sensations toutes nouvelles et que la douleur s’est rapidement dissipée. Je la sents devenir beaucoup plus ouverte à cette nouvelle pénétration et je la surprends même à accélérer et à amplifier le mouvement de va-et-vient que je lui impose. Voyant son enthousiasme, je décide de passer à l’étape suivante.

Je prends le buttplug qui est sur la table à côté de moi et je le présente à la bouche de ma bien-aimée. Je lui demande de le sucer pour faciliter son insertion dans son cul, ce qu’elle s’empresse de faire. Elle y met beaucoup d’énergie et prend un soin particulier à bien saliver sur le jouet tout en me lançant des regards cochons. Jugeant que le buttplug est suffisamment lubrifié, j’entreprends de pénétrer Marie avec. Elle n’a certes pas choisi le plus gros modèle du sexshop, mais ses dimensions respectables le rend un peu difficile à mettre dans le petit cul de Marie. Je continue tout de même à appliquer une pression constante sur le petit trou. Il finit par céder tout en arrachant à ma bien-aimée un petit gémissement. Je le pousse finalement jusqu’au fond de son cul et je sens que son anus est bien dilaté. Marie ne semble pas détester cette sensation.

Elle me sourit et je l’embrasse langoureusement. Marie se penche et me fait une pipe d’enfer, histoire de bien me mettre dur. Une fois satisfaite de mon érection, elle s’installe sur le dos, les jambes bien écartées pour que je lui pénètre la chatte. Je m’installe donc à l’entrée et je pousse tranquillement. Elle est bien plus serrée que d’habitude à cause du jouet qu’elle a dans le cul. Je m’enfonce jusqu’au fond puis ressort et je recommence ce petit manège plusieurs fois. Ça la rend folle et elle me supplie de rester en elle jusqu’à lui donner un orgasme. Après peu de temps, elle me crie sa jouissance et je dois m’arrêter pour ne pas jouir en elle. Je garde mon dernier orgasme de la soirée pour un autre moment.

Marie reprend son souffle et m’avoue qu’elle a apprécié la sensation de double pénétration. Elle a eu l’impression de se donner complètement à moi et ça l’excitait vraiment. Une fois ses esprits retrouvés, sans même que j’aie eu besoin de lui demander, elle se lève et se dirige vers l’escalier pour monter à notre chambre. Elle a de nouveau cette démarche si sensuelle qu’elle avait en entrant dans le salon excepté que maintenant elle a ce buttplug entre les deux fesses. Elle monte l’escalier devant moi et mon regard est fixé sur son magnifique cul. Il faut dire qu’elle met beaucoup d’efforts pour me donner la meilleure vue.

Une fois arrivé dans la chambre, elle se met à quatre pattes sur le lit, les fesses bien écartées. Elle entreprend, lentement, de retirer le fameux jouet. Son anus reprend une extension maximale avant de repousser complètement l’objet conique. Elle le dépose à côté d’elle et me jette un regard du genre : <<viens finir le travail mon beau!>>. Cette fois, je n’ai pas besoin qu’elle me suce. J’ai été absolument envoûté par le spectacle et j’ai maintenant envie de jouir comme jamais.

Je m’installe derrière elle et, juste avant que je m’exécute, elle me demande d’être doux avec son petit trou. J’acquiesce et j’entreprends de la lubrifier à nouveau. Ensuite, je la pénètre doucement. La pénétration est facile puisque son anus est resté légèrement ouvert à cause du jouet qu’elle a porté un bon moment. Je finis par me rendre jusqu’au fond et j’entreprends un mouvement de va-et-vient, de plus en plus rapide. C’est là que je réalise tout le plaisir que cette pénétration me procure. De plus, Marie semble y trouver son compte puisqu’elle se masturbe avec beaucoup de vigueur. Elle semble en transe et laisse échapper de petits cris de plaisir. Il ne m’en faut pas plus pour jouir à mon tour. Je me retire de son cul et j’éjacule sur ses fesses et sa croupe. Elle est splendide dans cette position avec mon sperme qui la souille de cette façon.

Après nous êtres lavés, nous nous sommes couchés. Nous étions épuisés, mais je tenais à dire à ma blonde combien je l’aime et à quel point j’ai apprécié notre soirée. Elle aussi a bien apprécié. Au début, elle faisait tout ce manège uniquement pour me faire plaisir, mais par la suite elle y a trouvé son compte et ça lui a même donné plusieurs idées pour la fin de semaine prochaine. Ça promet…!

Nastysex83

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Texte coquin : Fantasme du samedi soir
Histoire sexe : Une rose rouge
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