Fantasme inavouables, Michel sodomise Patricia après avoir fait de même à son fils
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2015 dans la catégorie Plus on est
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Fantasme inavouables, Michel sodomise Patricia après avoir fait de même à son fils
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
JEUX INTERDITS, FANTASMES INAVOUÉES
Résumé: Claudine est une femme mariée, son mari Jean a disparu il y a cinq ans.
Il est parti au travail et on ne l’a jamais revu.
Ils avaient recueilli Michel en bas âge, le neveu de Jean à la mort de ses parents dans un accident de voiture et l’élevaient comme le fils qu’ils n’ont jamais eu.
Quand il était petit il l’appelait maman mais depuis qu’elle lui a tout expliqué quand il a eu l’âge de comprendre, il ne le fait presque plus à la grande déception de Claudine.
Ca lui arrive de temps en temps dans des moments de tendresse.
Résumé des épisodes précédents: Michel et Claudine ont sauté le pas.
Il l’a un peu forcée au début mais maintenant qu’elle a connu l’extase avec son fils, elle en redemande.
La meilleure amie de Claudine, Patricia, a réussit la promesse qu’elle s’était faite, se faire sauter par Michel et a goûté à son énorme vit. Mais son fils les a surpris en pleine copulation.
Chapitre 9 : Patricia, Paul et Michel.
Les séances de pose ont repris, Patricia met en scène ses deux mannequins pour bien mettre en valeur les strings.
Elle a mi sur des trépieds des caméras qui filment en continu pour faire une présentation vidéo.
Après ce qui c’est passé le matin, ils se changent devant elle.
Patricia a sous les yeux les deux organes et fait des comparaisons, la bite de son fils est dans la moyenne mais très fine et repose sur ses bourses alors que la queue de Michel pend à mi-cuisse et écrase de son épaisseur des sacs de semence bien gonflés.
Quand un modèle pose des problèmes de taille à Michel, c’est Paul qui le porte.
Michel vient de passer avec difficulté un modèle avec étui pénien ouvert à l’extrémité pour laisser libre le gland.
Mais presque dix centimètres dépassent et la grosseur de sa verge déchire le fin tissu quand il tire dessus pour l’enfiler à fond.
La séance de pose arrive à sa fin, il ne reste que quelques modèles dont l’un est une poche qui enserre la hampe et les bourses. Michel essaie de le mettre mais sa trompe est si grosse que ses couilles ne peuvent rentrer.
Paul se penche devant lui pour essayer de tout faire rentrer mais le remède est pire que le mal.
Sous le contact des doigts de Paul, imperceptiblement le vit de Michel prend de la vigueur et quand Paul tire sur le lacet fermant la poche, elle n’enserre que les deux-tiers de sa formidable tige.
Paul ne peut plus résister à l’envie irrépressible de s’occuper d’un tel membre et sa main descend à la base de la verge qu’il comprime de ses doigts.
La réaction est immédiate, un afflux de sang sous pression rempli les corps caverneux et ne pouvant s’échapper fait grandir de façon exponentielle la colonne de chair recouverte maintenant à peine sur la moitié d’une manière grotesque par la poche dont le lacet étrangle la hampe.
Paul tire sur le lacet et retire le ridicule cache-sexe et l’extrémité de la queue de Michel se gonfle agrandissant si c’est possible encore ce formidable pieu.
Paul se met à genoux et presse les couilles obèses d’une main tandis que l'autre n’a pas lâché la hampe veineuse. Michel ne réagit pas et le laisse continuer.
Paul ouvre très grand la bouche pour aspirer sa queue et prendre un maximum de son énorme membre.
Michel le saisit par les cheveux et lui enfonce la queue le plus loin possible mais ça ne peut pas faire plus plaisir à Paul qui réussit à la faire disparaitre en entier au fond de sa gorge.
Quand enfin il la retire pour reprendre sa respiration il murmure à Michel.
-J’ai toujours adoré sucer une bite. J’adore la faire durcir dans ma bouche et la sentir m’étouffer, mais celle-ci m’excite encore plus tellement son diamètre est exceptionnel.
-J’espère que tu m’autoriseras à la mettre dans mon cul, je veux la sentir s’enfoncer dans mon petit trou et m’écarteler!
Et il replonge sur cette énorme friandise.
Michel immobilise sa tête et doucement baise la bouche qui suce l'immense queue comme s’il baisait une chatte.
Les pensés tournent dans le cerveau de Paul. « Mon dieu, il est monté comme un cheval ! Son sexe fait le double du mien et c’est bien le plus gros que je n’ai jamais sucé !
Patricia n’y tient plus et vient s’agenouiller à coté de son fils pour quémander sa part.
Michel retire son chibre des lèvres de Paul pour le présenter à sa mère.
Elle prend sa teub en bouche et le suce comme elle sait si bien le faire, alternant la vitesse et la tendresse, le suçant, léchant le gland violacé en laissant échapper des borborygmes « Mmmm, glurf » assourdis par la présence incongrue de ce bélier énorme.
Michel est sur un petit nuage entre ces deux bouches si différentes, celle de la mère, petite et tout en délicatesse qui compense par une science due à une longue expérience et la bouche de son fils beaucoup plus accueillante en volume permettant d’accepter son pal en entier.
Ils donnent encore plus d’ardeurs à la tâche se retrouvant parfois les deux en même temps sur cette longue colonne de chair, l’un suçant le gland pendant que l’autre gobe ses œufs plein de laitance.
Elle enfourne le gland dans sa bouche et essaie d'en faire entrer le plus possible, il est tellement gros qu’elle n’absorbe à peine la moitié de son monstre.
-Qu’elle est grosse ta bite !...J’adore lécher cette belle sucette ! …Hhhhmmm !...
Il se fait sucer par deux bouches avides, la mère et le fils. Les deux suceurs lèchent maintenant ensemble le gros mandrin, leurs langues se mélangent, ils ont passé chacun un bras autour de la taille de Michel qui ne peut plus se retenir.
Il explose dans leur deux bouches accolées, ils se battent à celui qui avalera le plus de sa liqueur séminale, Patricia a le dessus et engloutit le gland d’où s'échappe de nouvelles giclées de foutre.
Après ce traitement incroyable, il retire sa queue à peine débandée de la bouche de la mère et la met en position de levrette et sous les yeux de son fils, pose son manche sur ses fesses avant de présenter son gland à la chatte accueillante et de l’enfiler aussi loin qu’il le peut.
Michel la prend, alternant les mouvements rapides et lents et ressortant de temps en temps son bélier pour que son fils la couvre de sa salive en l’engloutissant dans sa bouche.
Elle remue des hanches, projetant sa chatte sur la bite de Michel qui épouse son rythme, Paul se saisit de ses couilles et accompagne de la main la pénétration de sa mère.
Michel halète la tringlant aussi fort qu’il le peut. Implacablement il projette son bassin contre les fesses de Patricia, grognant pendant qu’il enfonce son épi massif dans les tréfonds de cette chatte en fusion. Elle sent des spasmes monter de son ventre, la faisant se pâmer, son vagin se contracte, plus serré que jamais sur la colonne de chair titanesque.
- Aaaaggh. Je vais jouir ! Défonce-moi, encore !! Je jouis, Michel! Je jouuuuiiiiiiiis!"Et elle s’écroule éjectant la verge de Michel et expulsant de nouveau une quantité incroyable de cyprine sous les yeux médusés de son fils.
Paul s’est positionné à coté de sa mère et remue du cul invitant la pine engluée de cyprine à explorer un lieu inconnu pour Michel, le fion d’un homme.
Michel pense aux paroles de sa mère et en riant perversement il se positionne derrière Paul et l’encule d’une formidable poussée.
Paul attendait l’assaut de Michel et savait que l’introduction d’un tel morceau bien que son cul soit habitué ne serait pas une partie de plaisir.
Mais la violence de la pénétration pratiquement à sec est atroce. Pas tant pour la longueur qu’il accepte jusqu’au dernier millimètre, mais l’effroyable épaisseur de son défonce-cul distend son œillet au-delà de ce qu’il a déjà connu.
Sous le choc il s’effondre sur ses avant-bras facilitant encore plus l’intromission de ce chibre qui maintenant le ramone au plus profond de ses boyaux sans aucun ménagement.
Après plusieurs minutes de ce traitement, Paul commence à apprécier cet enculage d’anthologie et sa verge qui ballotte à chaque poussée l’amène comme sa mère à l’extase et il expulse sa semence qui rejoint le sol souillé du liquide de sa mère qui ne l’a pas quitté des yeux pendant qu’il se faisait sodomiser.
Michel s’est un peu calmé et il demande à Patricia si elle veut subir le même sort que son fils.
-Alors Patricia, es-tu prête, tu crois que tu peux t’enfiler mon manche de pioche dans le cul ?!!!
Patricia lui répond.
-Je veux bien essayer mais il faut te conduire d’une manière plus civilisé. Je suis fragile moi !!!
Michel la mise sur le dos et met sa tête entre ses jambes, il dévore la foufoune avant de faire tournoyer sa langue autour de son petit anneau, il enduit ses doigts du foutre et de la cyprine répandus et commence l’introduction.
Un doigt, puis deux, puis trois tournent et disparaissent dans son cul l’alésant au maximum.
Il approche son gland de son cul et pousse pour tester la souplesse de son anneau.
Le gland mafflu n’entre pas tellement le gabarit est large.
Il plonge dans sa chatte pour lubrifier de nouveau sa verge en la doigtant en même temps.
Elle semble apprécier la préparation et lui dit qu’elle est prête.
Il se retire, dirige sa poutre massive un peu plus bas et entreprend alors la pénétration.
Elle regarde le gland trigonocéphale se poser sur son sphincter et qui commence à écarter le petit anneau.
La queue de Michel plie sous l’effort quand soudain le gros gland franchit la barrière, Patricia reste la bouche grande ouverte quelques secondes avant de pousser un hurlement de douleur et dans un geste de réflexe, elle serre les fesses étranglant la verge dont le chapeau s’est regonflé une fois à l’intérieur.
Michel ne bouge plus et l’interroge.
-Ca va ? Tu veux que je continue ?
Patricia grimace mais ne veux pas abdiquer devant son fils qui a stoïquement accepté le monstre de Michel.
-Continues, mais de grâce, vas-y en douceur. Oh que j’ai malllll !!!
Il pousse lentement et sa queue entre plus facilement une fois l’étranglement passé.
Lentement, patiemment, son énorme chibre s’enfonce dans son fondement avec de grandes précautions. Elle s’émerveille de sa dureté, appréhendant les derniers centimètres de taille XXL, et n’en revenant pas à quel point il la remplit.
Pour la première fois, un trou de son corps a pu engloutir entièrement ce phallus démesuré.
Il commence à onduler du bassin. Elle sent sa queue regrossir une fois passé son sphincterSon corps tangue entre la douleur et un impressionnant plaisir.
Les coups de rein de Michel, jusque là modérés, sont devenus maintenant sauvages et incontrôlables.
Un piston de forge la pilonne et bientôt elle ressent une vague d’électricité s’emparer lentement de tout son être sous la montée de son plaisir.
Patricia hurle de plaisirSa chatte trempée ne peut plus retenir les énormes projections de cette femme fontaine sous les coups de boutoir de Michel.
Il se fige enfoncé jusqu’à la garde quand les jets d’une force incroyables éclaboussent son visage et son torse, elle se vide sur lui d’un volume phénoménal de cyprine.
Le visage déformé par le plaisir, il ne peut plus se retenir et extirpe sa pine de cet étau de chair pour expulser lui aussi son jus d’amour.
Elle voit la formidable lance projeter elle aussi des quantités énormes de sperme sur ses seins et son visage à plusieurs reprises avant qu’il ne s’effondre sans force sur elle.
Paul vient d’assister pour la deuxième fois de la journée mais cette fois en gros plan à ce spectacle.
Quelles révélations en si peu de temps, sa mère est aussi une femme, une amante déchaînée qui aime les grosses bites et qui lui a permit de voir un phénomène si rare, surtout pour un homo.
Une éjaculation féminine si puissante qui foutrait la honte à la plupart des hommes.
Mais Michel relève haut la main le défit et sauve l’honneur du mâle avec son organe démesuré et des craches d’anthologies.
Une fois remis de leurs ébats torrides et après une douche bienvenue, ils se retrouvent tous les trois autour de la table du salon.
Patricia prend la parole.
-Tu sais Michel, si tu te retrouves seul et que tu a envie de baiser, viens frapper à ma porte, je me dévouerai CORPS et âme pour te donner du plaisir.
-Paul, je te remercie que tu ne me fasses pas de reproches de m’être tapé ton copain comme la Couguar que je suis mais comment résister à un tel Etalon ? D’ailleurs, toi non plus tu n’as pas pu te retenir de profiter de son énorme pieu.
-Je vais vous libérer puis je ferai le tri des photos pour enlever les plus hots.
-Je flouterai les visages et si vous êtes d’accord, je les proposerai sur un site pour adultes, elles vont faire exploser les compteurs. Et le montage vidéo va être très chaud !!!
Michel est reparti mais Patricia veut aller plus loin, elle va contacter Claudine pour la rassurer, Michel n’est pas gay.
Elle veut voir la réaction de Claudine quand elle saura qu’elle est au courant pour leur relation incestueuse et lui raconter par le menu tout ce que lui a fait Michel…
Quelle sera la réaction de Claudine ?
Et si Michel se retrouve devant Claudine et Patricia, vont-elles résister à l’appel du sexe et expérimenter une partie à trois après avoir découvert chacune de leur coté le plaisir que leur a donné ce beau mâle doté d’attributs hors du commun?
Alors ? Vous voulez un épisode supplémentaire avec cette fois un homme et deux femmes ?
Quelques petits conseils pour la suite ?
A vos claviers !!!!!!
JEUX INTERDITS, FANTASMES INAVOUÉES
Résumé: Claudine est une femme mariée, son mari Jean a disparu il y a cinq ans.
Il est parti au travail et on ne l’a jamais revu.
Ils avaient recueilli Michel en bas âge, le neveu de Jean à la mort de ses parents dans un accident de voiture et l’élevaient comme le fils qu’ils n’ont jamais eu.
Quand il était petit il l’appelait maman mais depuis qu’elle lui a tout expliqué quand il a eu l’âge de comprendre, il ne le fait presque plus à la grande déception de Claudine.
Ca lui arrive de temps en temps dans des moments de tendresse.
Résumé des épisodes précédents: Michel et Claudine ont sauté le pas.
Il l’a un peu forcée au début mais maintenant qu’elle a connu l’extase avec son fils, elle en redemande.
La meilleure amie de Claudine, Patricia, a réussit la promesse qu’elle s’était faite, se faire sauter par Michel et a goûté à son énorme vit. Mais son fils les a surpris en pleine copulation.
Chapitre 9 : Patricia, Paul et Michel.
Les séances de pose ont repris, Patricia met en scène ses deux mannequins pour bien mettre en valeur les strings.
Elle a mi sur des trépieds des caméras qui filment en continu pour faire une présentation vidéo.
Après ce qui c’est passé le matin, ils se changent devant elle.
Patricia a sous les yeux les deux organes et fait des comparaisons, la bite de son fils est dans la moyenne mais très fine et repose sur ses bourses alors que la queue de Michel pend à mi-cuisse et écrase de son épaisseur des sacs de semence bien gonflés.
Quand un modèle pose des problèmes de taille à Michel, c’est Paul qui le porte.
Michel vient de passer avec difficulté un modèle avec étui pénien ouvert à l’extrémité pour laisser libre le gland.
Mais presque dix centimètres dépassent et la grosseur de sa verge déchire le fin tissu quand il tire dessus pour l’enfiler à fond.
La séance de pose arrive à sa fin, il ne reste que quelques modèles dont l’un est une poche qui enserre la hampe et les bourses. Michel essaie de le mettre mais sa trompe est si grosse que ses couilles ne peuvent rentrer.
Paul se penche devant lui pour essayer de tout faire rentrer mais le remède est pire que le mal.
Sous le contact des doigts de Paul, imperceptiblement le vit de Michel prend de la vigueur et quand Paul tire sur le lacet fermant la poche, elle n’enserre que les deux-tiers de sa formidable tige.
Paul ne peut plus résister à l’envie irrépressible de s’occuper d’un tel membre et sa main descend à la base de la verge qu’il comprime de ses doigts.
La réaction est immédiate, un afflux de sang sous pression rempli les corps caverneux et ne pouvant s’échapper fait grandir de façon exponentielle la colonne de chair recouverte maintenant à peine sur la moitié d’une manière grotesque par la poche dont le lacet étrangle la hampe.
Paul tire sur le lacet et retire le ridicule cache-sexe et l’extrémité de la queue de Michel se gonfle agrandissant si c’est possible encore ce formidable pieu.
Paul se met à genoux et presse les couilles obèses d’une main tandis que l'autre n’a pas lâché la hampe veineuse. Michel ne réagit pas et le laisse continuer.
Paul ouvre très grand la bouche pour aspirer sa queue et prendre un maximum de son énorme membre.
Michel le saisit par les cheveux et lui enfonce la queue le plus loin possible mais ça ne peut pas faire plus plaisir à Paul qui réussit à la faire disparaitre en entier au fond de sa gorge.
Quand enfin il la retire pour reprendre sa respiration il murmure à Michel.
-J’ai toujours adoré sucer une bite. J’adore la faire durcir dans ma bouche et la sentir m’étouffer, mais celle-ci m’excite encore plus tellement son diamètre est exceptionnel.
-J’espère que tu m’autoriseras à la mettre dans mon cul, je veux la sentir s’enfoncer dans mon petit trou et m’écarteler!
Et il replonge sur cette énorme friandise.
Michel immobilise sa tête et doucement baise la bouche qui suce l'immense queue comme s’il baisait une chatte.
Les pensés tournent dans le cerveau de Paul. « Mon dieu, il est monté comme un cheval ! Son sexe fait le double du mien et c’est bien le plus gros que je n’ai jamais sucé !
Patricia n’y tient plus et vient s’agenouiller à coté de son fils pour quémander sa part.
Michel retire son chibre des lèvres de Paul pour le présenter à sa mère.
Elle prend sa teub en bouche et le suce comme elle sait si bien le faire, alternant la vitesse et la tendresse, le suçant, léchant le gland violacé en laissant échapper des borborygmes « Mmmm, glurf » assourdis par la présence incongrue de ce bélier énorme.
Michel est sur un petit nuage entre ces deux bouches si différentes, celle de la mère, petite et tout en délicatesse qui compense par une science due à une longue expérience et la bouche de son fils beaucoup plus accueillante en volume permettant d’accepter son pal en entier.
Ils donnent encore plus d’ardeurs à la tâche se retrouvant parfois les deux en même temps sur cette longue colonne de chair, l’un suçant le gland pendant que l’autre gobe ses œufs plein de laitance.
Elle enfourne le gland dans sa bouche et essaie d'en faire entrer le plus possible, il est tellement gros qu’elle n’absorbe à peine la moitié de son monstre.
-Qu’elle est grosse ta bite !...J’adore lécher cette belle sucette ! …Hhhhmmm !...
Il se fait sucer par deux bouches avides, la mère et le fils. Les deux suceurs lèchent maintenant ensemble le gros mandrin, leurs langues se mélangent, ils ont passé chacun un bras autour de la taille de Michel qui ne peut plus se retenir.
Il explose dans leur deux bouches accolées, ils se battent à celui qui avalera le plus de sa liqueur séminale, Patricia a le dessus et engloutit le gland d’où s'échappe de nouvelles giclées de foutre.
Après ce traitement incroyable, il retire sa queue à peine débandée de la bouche de la mère et la met en position de levrette et sous les yeux de son fils, pose son manche sur ses fesses avant de présenter son gland à la chatte accueillante et de l’enfiler aussi loin qu’il le peut.
Michel la prend, alternant les mouvements rapides et lents et ressortant de temps en temps son bélier pour que son fils la couvre de sa salive en l’engloutissant dans sa bouche.
Elle remue des hanches, projetant sa chatte sur la bite de Michel qui épouse son rythme, Paul se saisit de ses couilles et accompagne de la main la pénétration de sa mère.
Michel halète la tringlant aussi fort qu’il le peut. Implacablement il projette son bassin contre les fesses de Patricia, grognant pendant qu’il enfonce son épi massif dans les tréfonds de cette chatte en fusion. Elle sent des spasmes monter de son ventre, la faisant se pâmer, son vagin se contracte, plus serré que jamais sur la colonne de chair titanesque.
- Aaaaggh. Je vais jouir ! Défonce-moi, encore !! Je jouis, Michel! Je jouuuuiiiiiiiis!"Et elle s’écroule éjectant la verge de Michel et expulsant de nouveau une quantité incroyable de cyprine sous les yeux médusés de son fils.
Paul s’est positionné à coté de sa mère et remue du cul invitant la pine engluée de cyprine à explorer un lieu inconnu pour Michel, le fion d’un homme.
Michel pense aux paroles de sa mère et en riant perversement il se positionne derrière Paul et l’encule d’une formidable poussée.
Paul attendait l’assaut de Michel et savait que l’introduction d’un tel morceau bien que son cul soit habitué ne serait pas une partie de plaisir.
Mais la violence de la pénétration pratiquement à sec est atroce. Pas tant pour la longueur qu’il accepte jusqu’au dernier millimètre, mais l’effroyable épaisseur de son défonce-cul distend son œillet au-delà de ce qu’il a déjà connu.
Sous le choc il s’effondre sur ses avant-bras facilitant encore plus l’intromission de ce chibre qui maintenant le ramone au plus profond de ses boyaux sans aucun ménagement.
Après plusieurs minutes de ce traitement, Paul commence à apprécier cet enculage d’anthologie et sa verge qui ballotte à chaque poussée l’amène comme sa mère à l’extase et il expulse sa semence qui rejoint le sol souillé du liquide de sa mère qui ne l’a pas quitté des yeux pendant qu’il se faisait sodomiser.
Michel s’est un peu calmé et il demande à Patricia si elle veut subir le même sort que son fils.
-Alors Patricia, es-tu prête, tu crois que tu peux t’enfiler mon manche de pioche dans le cul ?!!!
Patricia lui répond.
-Je veux bien essayer mais il faut te conduire d’une manière plus civilisé. Je suis fragile moi !!!
Michel la mise sur le dos et met sa tête entre ses jambes, il dévore la foufoune avant de faire tournoyer sa langue autour de son petit anneau, il enduit ses doigts du foutre et de la cyprine répandus et commence l’introduction.
Un doigt, puis deux, puis trois tournent et disparaissent dans son cul l’alésant au maximum.
Il approche son gland de son cul et pousse pour tester la souplesse de son anneau.
Le gland mafflu n’entre pas tellement le gabarit est large.
Il plonge dans sa chatte pour lubrifier de nouveau sa verge en la doigtant en même temps.
Elle semble apprécier la préparation et lui dit qu’elle est prête.
Il se retire, dirige sa poutre massive un peu plus bas et entreprend alors la pénétration.
Elle regarde le gland trigonocéphale se poser sur son sphincter et qui commence à écarter le petit anneau.
La queue de Michel plie sous l’effort quand soudain le gros gland franchit la barrière, Patricia reste la bouche grande ouverte quelques secondes avant de pousser un hurlement de douleur et dans un geste de réflexe, elle serre les fesses étranglant la verge dont le chapeau s’est regonflé une fois à l’intérieur.
Michel ne bouge plus et l’interroge.
-Ca va ? Tu veux que je continue ?
Patricia grimace mais ne veux pas abdiquer devant son fils qui a stoïquement accepté le monstre de Michel.
-Continues, mais de grâce, vas-y en douceur. Oh que j’ai malllll !!!
Il pousse lentement et sa queue entre plus facilement une fois l’étranglement passé.
Lentement, patiemment, son énorme chibre s’enfonce dans son fondement avec de grandes précautions. Elle s’émerveille de sa dureté, appréhendant les derniers centimètres de taille XXL, et n’en revenant pas à quel point il la remplit.
Pour la première fois, un trou de son corps a pu engloutir entièrement ce phallus démesuré.
Il commence à onduler du bassin. Elle sent sa queue regrossir une fois passé son sphincterSon corps tangue entre la douleur et un impressionnant plaisir.
Les coups de rein de Michel, jusque là modérés, sont devenus maintenant sauvages et incontrôlables.
Un piston de forge la pilonne et bientôt elle ressent une vague d’électricité s’emparer lentement de tout son être sous la montée de son plaisir.
Patricia hurle de plaisirSa chatte trempée ne peut plus retenir les énormes projections de cette femme fontaine sous les coups de boutoir de Michel.
Il se fige enfoncé jusqu’à la garde quand les jets d’une force incroyables éclaboussent son visage et son torse, elle se vide sur lui d’un volume phénoménal de cyprine.
Le visage déformé par le plaisir, il ne peut plus se retenir et extirpe sa pine de cet étau de chair pour expulser lui aussi son jus d’amour.
Elle voit la formidable lance projeter elle aussi des quantités énormes de sperme sur ses seins et son visage à plusieurs reprises avant qu’il ne s’effondre sans force sur elle.
Paul vient d’assister pour la deuxième fois de la journée mais cette fois en gros plan à ce spectacle.
Quelles révélations en si peu de temps, sa mère est aussi une femme, une amante déchaînée qui aime les grosses bites et qui lui a permit de voir un phénomène si rare, surtout pour un homo.
Une éjaculation féminine si puissante qui foutrait la honte à la plupart des hommes.
Mais Michel relève haut la main le défit et sauve l’honneur du mâle avec son organe démesuré et des craches d’anthologies.
Une fois remis de leurs ébats torrides et après une douche bienvenue, ils se retrouvent tous les trois autour de la table du salon.
Patricia prend la parole.
-Tu sais Michel, si tu te retrouves seul et que tu a envie de baiser, viens frapper à ma porte, je me dévouerai CORPS et âme pour te donner du plaisir.
-Paul, je te remercie que tu ne me fasses pas de reproches de m’être tapé ton copain comme la Couguar que je suis mais comment résister à un tel Etalon ? D’ailleurs, toi non plus tu n’as pas pu te retenir de profiter de son énorme pieu.
-Je vais vous libérer puis je ferai le tri des photos pour enlever les plus hots.
-Je flouterai les visages et si vous êtes d’accord, je les proposerai sur un site pour adultes, elles vont faire exploser les compteurs. Et le montage vidéo va être très chaud !!!
Michel est reparti mais Patricia veut aller plus loin, elle va contacter Claudine pour la rassurer, Michel n’est pas gay.
Elle veut voir la réaction de Claudine quand elle saura qu’elle est au courant pour leur relation incestueuse et lui raconter par le menu tout ce que lui a fait Michel…
Quelle sera la réaction de Claudine ?
Et si Michel se retrouve devant Claudine et Patricia, vont-elles résister à l’appel du sexe et expérimenter une partie à trois après avoir découvert chacune de leur coté le plaisir que leur a donné ce beau mâle doté d’attributs hors du commun?
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