Fantasme: première d'une travestie au sauna. (2)
Récit érotique écrit par Travonparis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2009 dans la catégorie A dormir debout
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Fantasme: première d'une travestie au sauna. (2)
J’ai besoin de reprendre mes esprits, et je m’enferme rapidement dans une cabine délaissée. Je m’y assois, appuyé contre un des murs et repense à tout ce que je viens de faire durant cette dernière heure. Je viens de sucer des bites dans un glory-hole, de me faire baiser et éjaculer dessus sans ménagement et sans présentation par plusieurs hommes qui se sont servis de moi comme d’un vide couille. Assise là seule, je me sens vraiment chienne. J’ai encore envie de bites et envie d’aller plus loin dans l’orgie. Passant ma main sur mon front je me rappelle que je suis encore couverte de sperme.
J’attrape une serviette puis me ravise. J’ai voulu être chienne, alors soyons chienne. Je ramène de mes doigts du foutre que je porte à mes lèvres et que je suce puis avale. Le mélange des différentes semences lui donne un goût à la fois sucré et salé qui n’est pas pour me déplaire… tant et si bien que je continue à me nettoyer le visage en avalant tout ce qu’ils m’ont offert. Une fois fait, je sors de la cabine, bien décidée à profiter de l’expérience. Je constate que beaucoup d’hommes sont arrivés, et nombreux sont ceux qui me jettent un regard intéressé lorsque je sors de la cabine, d’ailleurs l’un d’eux me suis alors que je marche vers une destination inconnue.
Dans un coin je vois soudain une autre travestie, peut être la trentaine, suçant deux verges, pendant qu’autour un mec mate le trio. Il a un beau corps et une queue de bonne dimension. Il fixe tant le trio qu’il ne m’a même pas vu. Je m’approche de lui, fait glisser ma main le long de son bras. Il retourne sa tête et est agréablement surpris de voir un autre travesti s’intéresser à lui. Je m’agenouille et m’occupe son sexe. L’autre travesti m’a remarqué et me fait un petit clin d’œil, ravie de voir une consœur à ses cotés. Je m’applique à sucer la queue qui est en face de moi, la léchant dans toute sa longueur avant de l’avaler et de tournoyer ma langue autour. Le mec ne tient pas longtemps et se retire pour jouir sur mon torse. Il s’en va sans un mot. Je prends alors l’une des queues délaissées par le travesti pour m’en occuper. Une fois terminé avec la sienne, elle vient me rejoindre pour finir le travail avec moi…nos langues se rencontrent pendant que nous léchons le sexe du type qui est aux anges et fini par jouir dans la bouche du travesti, amateur a l’évidence de sperme.
Plus personne ne semble nous porter d’intérêt, et Julia, puisque c’est son prénom, me propose de venir discuter un peu autour d’un verre. Apprenant que c’est ma première venue elle me félicite.
- Vraiment, moi la première fois que je suis venu, j’ai du rester une demi-heure pour ne rien faire finalement. J’étais venu en homme, j’ai regardé et je suis vite sorti. Mais je me suis redonné du courage pour revenir, m’habiller et ensuite réaliser la plupart de mes fantasmes.
- Et c’était quoi tes fantasmes ?
- Me faire baiser non stop, et me faire prendre à la chaîne.
- ce sont également mes fantasmes, surtout me faire gang banger. Je rêve d’avoir une multitude de queues autour de moi qui attendent leur tour pour me baiser ou se loger dans ma bouche, et qu’elles jouissent toutes sur moi.
- mmmm tu as vraiment un potentiel de petite salope toi. Mais si tu veux un conseil ne commence pas directement par l’énorme gang bang. Essaye de commencer avec quelques queues, environ 6, dans une cabine. Les grands gang bangs sont plus bestiaux, un peu moins intime et ça pourrait d’entrée te dégoûter et te donner l‘impression de n‘être qu‘un sac de
viandes.
- d’accord. Tu as sans doute raison.
- Bon moi je dois partir malheureusement, mais en tout cas amuse toi bien ma cochonne.
Elle retourne aux vestiaires et moi je retourne dans la salle vidéo. Il y a déjà plus de monde maintenant.
Je me montre un peu puis me rebalade dans les couloirs. Mais un homme m’a suivi. Il a la queue à la main et ne me quitte pas des yeux. Je porte mon regard sur sa verge et découvre la plus grosse de la journée. Je dois sans doute écarquiller les yeux car il me demande si elle me plait, je lui dis que oui et que je m’en occuperais bien. Il me dit qu’il ne faut pas me gêner. Ni une ni deux je m’accroupis et avale ce monstre. Sa queue fait au moins en largeurs trois de mes doigts et en longueur probablement un peu moins que mon avant bras. C’est un monstre ! Le sol étant dur je lui demande d’aller dans une cabine tout en la laissant ouverte. Il me propose d’aller dans la cabine avec la vitre teintée, ce que j’accepte avec plaisir. Une fois dedans je me jette sur sa queue….quel régal de l’avaler même si je ne peux pas tout prendre. J’ai rapidement mal aux mâchoires et les calme en léchant ce chibre de long en large. Mon sucé apprécie
- ouaaaaouuu tu me suces vraiment bien ma cochonne… elle te plait vraiment !
- mmmmouiiii j’adore les belles pines comme la tienne dans ma bouche. Je les aime aussi dans mon cul si ça te tente.
- bien sur que ça me tente mais pour le moment continue de me sucer.
Il se couche sur le matelas et me laisse travailler. Alors que je m’active sur sa queue, une autre bite se présente soudain devant moi. Je regarde son propriétaire, la cinquantaine. Sa bite est bien sur plus petite que celle que je suce, mais je l’avale à son tour. Très vite ce sont 6 hommes qui m’entourent sans compter ma grosse queue allongée sur le matelas. Je leur demande si ça les intéresse de me gang bander ensemble, et ils me répondent tous oui. Sur ce je demande à l’un d’eux de fermer la porte, puis de tous se lever et m’entourer de leur queue. Ils s’exécutent et me voilà entourés de 7 bites autour de mon visage, je ne vois que ça. 7 bites rien que pour moi !!! Parmi elle la grosse queue que j’attends avec impatience dans mes fesses, celle du cinquantenaire, celle d’un jeune métis qui fini sa vingtaine, deux hommes à la trentaine dont l’un a un sexe pas trop long mais assez massif et que je savoure déjà d’avance, et deux autres qui ont un sexe de taille normale. Le type a la grosse queue qui a compris que j’étais plutôt salope, commence à tapoter sa queue sur mon visage et voyant que je ne protestait pas au contraire, les autres firent de même. Puis virent les mots crus. C’est lui qui une nouvelle fois engageait les hostilités
- regardez là cette jeune salope. Elle aime ça être entourée de queue. Allez y, donnez lui vos bites les mecs, qu’elle remplisse son travail de cochonne.
Je décide d’en rajouter pour que les timides se lancent comme lui
- mm oui donnez moi vos bites les mecs, faites moi sucer vos chibres, faites de moi votre pute.
Heureux de voir que je donne le feu vert, ils se montrent plus entreprenant. Me font sucer, parfois force le passage de ma bouche avec leur queue, ne cesse de me traiter de chienne
- ah on va bien te baiser petite chienne. Tu vas les sentir passer nos queue salope ! Me dis l’un d’eux tout en tapant sa verge sur ma joue
- Et ben commences par me mettre la tienne.
- d’accord me répond il.
Il met une capote, me fait allonger, me relève les jambes et rentre en moi tandis que les autres ont repositionné leur bites autour de mon visage, ou m’ont pris la main pour que je les masturbes. Le mec qui me baise s’y prend plutôt bien.
- Oh elle est bien ouverte déjà la cochonne, constant à quel point sa queue coulisse facilement.
- Vas y, tu peux y aller, tu peux même me défoncer si tu veux.
Il ne se gène pas et très vite me donne de forts coups de rein alors que ma bouche se remplit sans cesse de queue. Je suis aux anges, je ne me suis jamais sentie aussi salope de toute ma vie. Le mec qui me baise fait une petite pause car il ne veut pas jouir tout de suite, et le cinquantenaire prend aussitôt la relève. Je ne sais pas si c’était un coup de chance, mais aucun ne voulait jouir de suite et voulait profiter du moment. Un seul après m’avoir baisé, n’a pas pu se retenir et m’a giclé sur le visage pendant que je le suçais. Son débit était important et je devinais mon visage maculé d’une longue traînée blanche. Le mec a la grosse bite, qui semblait le plus vicieux de tous, barbouilla mon visage avec son sexe du sperme qui s’y était déposé puis me fis sucer sa queue. Il ne m’avait pas encore baisé, mais je devinais son attente d’être un peu moins nombreux pour qu’il ait moins à me partager. Le métisse joui a son tour, dans mes fesses et parti sans avoir eu le temps de dire au revoir car rapidement remplacé par un autre. Deux nouvelles jouissances ont suivi, l’un sur mon
visage, l’autre dans mes fesses. Nous voilà plus que trois: le cinquantenaire, la grosse queue et un trentenaire. A coté de mon vicieux, les autres ont des petits calibres. Je suce tjrs la grosse verge, tandis que le cinquantenaire me prend en levrette. Le trentenaire décide lui de faire une pause en nous matant. Je ne sens plus trop la bite qui me baise, et d’ailleurs je ne sens même pas sa jouissance. Je ne comprends que quand il se retire et qu’il me dit merci.
- tu veux la baiser vieux: demande grosse queue au trentenaire.
- non je la baiserais tout à l’heure. Fais-toi plaisir.
- d’accord. Allez ma salope tend bien ton cul, tu vas l’avoir mon gros gourdin.
Il enfile une capote et présente sa queue à mon trou. J’ai beau avoir été baisé par 5 bites juste avant, je sens, certes sans réelle douleur, coulisser lentement sa large bite le long de mon conduit. Quel plaisir, je gémis tout le long et j‘ai l‘impression que j‘avale des kilomètres sans fin de chair. Il s’arrête enfin, il est au bout et le voilà qui revient.
Heureusement qu’il y a du lubrifiant sinon cela aurait été dur. Ses vas et vient débutent alors, très lentement. Il sait y faire. Chaque va et viens se fait plus facilement, tant et si bien qu’au bout de 5 minutes il me défonce bel et bien. Je ne peux m’empêcher de crier ce qui l’excite d’avantage et l’incite à me traiter de garage à bite.
- Tu la sens bien hein grosse cochonne, tu l’as sens qui explose ton hangar à verge hein ?
Ses propos sont très vulgaires mais je suis dans un état second, et je lui demande clairement de ne pas s’arrêter de me défoncer. Le bougre est endurant et pendant 20 minutes, il m’écarte l’anus comme personne. Deux fois il me fait changer de position, d’abord pour me mettre coller à la vitre en me prenant par derrière. Je devinais les hommes qui derrière se branlaient en me regardant me faire ouvrir à ce point, puis ensuite il me fit le chevaucher. Assises sur sa queue, je la faisais pénétrer le plus possible. Alors qu’il la tenait de sa main, je ma faisais sortit et rentrer violemment dans mes fesses.
A chaque fois une vague de plaisir anal immense. Jusqu’à ce qu’il ne puisse plus tenir, autoritaire il se débarrasse de sa capote, me tient la tête sans violence mais fermement et s’astique avec rapidité.
- tu vas voir salope, je n’ai pas qu’une grosse queue, j’ai aussi une tonne de foutre à donner. Allez tend ton visage me
cochonne…mmm ça va venir.. Tout mon foutre sur ton visage de chienne.. Allez..
Et soudain il explose d’une grosse giclée qui me recouvre toute la partie droite de mon visage. Je me dis à ce moment « waouw quelle giclée », mais immédiatement une suivante et similaire me tombe sur le nez et dégouline sur mes lèvres, suivi de deux autres plus petites qu’ils déposent sur mon coté gauche ma perversité. Mon visage est littéralement couvert de son foutre. Je me dis que ce mec n’est tout simplement pas humain.
- je t’avais dit que j’avais des tonnes à donner. Me dit-il avec sourire tout en me faisant sucer sa verge.
Son foutre visqueux dégouline et tombe sur le sol, mais beaucoup reste sur mon visage. Il s’en va en me disant que c’était génial et qu’il espère qu’il me retrouvera un jour dans les couloirs. Je lui dis qu’il pouvait me baiser à chaque fois qu’il me verrait ici avec grand plaisir.
Restait maintenant le trentenaire. Il me demande si ça va, et me dit qu’il comprend si je ne veux plus baiser. Je lui dis qu’il aura droit à sa baise mais lui demande de me laisser quelques minutes. Du sopalin je nettoie un peu mon visage, et lui et moi commentons la performance de la grosse queue. Puis la mienne. Je lui explique que c’est à la fois ma première fois au sauna et mon premier gang bang. Il me félicite et me demande s’il me reste des fantasmes. Je lui dis qu’il m’en reste encore dont un que j’aimerais réaliser avec de repartir du sauna: la double anale. Impressionner de n’en avoir jamais assez, il me dit qu’il est venu ici avec un ami et que s’il est toujours là on pourrait se tenter cela. Je donne mon accord et nous voilà à la recherche de son ami. Nous le trouvons en train de se masturber lentement dans la salle vidéo. Son ami lui explique la situation et il accepte. Nous allons donc en cabine et je me retrouve à genou en train de les sucer. Les deux compères sont plutôt calmes. Pas de parole, et ça n’est pas un moindre mal cette légère accalmie. Lorsqu’ils sont bien dur, je m’empale sur l’un d’eux et commence à le faire aller et venir pendant que je maintiens l’autre en force par une petite pipe. Puis je leur indique que je suis prête. Le second vient placer son gland dans l’espace déjà occupé, force un peu et à sa grande surprise tout comme la mienne, rentre d’un coup.
- waouw tu es bien ouverte dis donc.
- tu verrais la bite monstrueuse qu’elle s’est pris tout à l’heure. Pas étonnant que ça rentre facilement.
Ils commencent alors leur va et vient. Si la grosse queue m’a bien ouverte, il n’en reste pas moins qu’à elle deux, j’ai une colonne de chair plus large qui me ramone et je découvre tjrs avec surprise à quel point mon anus est élastique. Au fur et à mesure il accepte plus ces deux verges jusqu’à ce que, aider de lubrifiant, elle ne fasse plus qu’une.
- oh c’est trop bon, dit l’un d’eux. Sentir les parois d’un cul d’un coté, et une queue de l’autre. Pfew
- allez y les mecs, hésitez pas à me défoncer… je veux sentir vos deux queues bien au fond de mon cul.
Il ne se gène plus et me donne de grands coups de pines qui me font hurler à nouveau. Eux aussi ne peuvent contenir leur cris et encore moins lorsqu’ils jouissent quasi simultanément dans mes fesses. Ils se retirent, soufflent un peu, puis me félicitent et me remercient. Tout comme eux, et même bien plus je suis épuisé. En retournant vers la salle vidéo, je constate que cela fait 4 heures que je suis ici. Je n’ai plus envie de baiser et je me rends aux toilettes. Je ne sens plus trop mon anus, mais je n’ai pas mal. Je sens le sperme à plein nez et en me regardant dans la glace, je vois mon visage reflétant de ci de là des coulée de semence. Je retourne aux vestiaires, me déshabille, puis file rapidement sous la douche.
Dans le métro en rentrant, je fais mes comptes et en arrive à la conclusion qu’en un après midi, une vingtaine d’hommes parfaitement inconnus auront profité de mon corps pour jouir. Quelle salope je suis !
Si cette histoire vous a plu, si vous allez souvent au sauna, voire à ce sauna, n’hésitez pas à me laisser un petit message.
Travonparis@gmail.com
J’attrape une serviette puis me ravise. J’ai voulu être chienne, alors soyons chienne. Je ramène de mes doigts du foutre que je porte à mes lèvres et que je suce puis avale. Le mélange des différentes semences lui donne un goût à la fois sucré et salé qui n’est pas pour me déplaire… tant et si bien que je continue à me nettoyer le visage en avalant tout ce qu’ils m’ont offert. Une fois fait, je sors de la cabine, bien décidée à profiter de l’expérience. Je constate que beaucoup d’hommes sont arrivés, et nombreux sont ceux qui me jettent un regard intéressé lorsque je sors de la cabine, d’ailleurs l’un d’eux me suis alors que je marche vers une destination inconnue.
Dans un coin je vois soudain une autre travestie, peut être la trentaine, suçant deux verges, pendant qu’autour un mec mate le trio. Il a un beau corps et une queue de bonne dimension. Il fixe tant le trio qu’il ne m’a même pas vu. Je m’approche de lui, fait glisser ma main le long de son bras. Il retourne sa tête et est agréablement surpris de voir un autre travesti s’intéresser à lui. Je m’agenouille et m’occupe son sexe. L’autre travesti m’a remarqué et me fait un petit clin d’œil, ravie de voir une consœur à ses cotés. Je m’applique à sucer la queue qui est en face de moi, la léchant dans toute sa longueur avant de l’avaler et de tournoyer ma langue autour. Le mec ne tient pas longtemps et se retire pour jouir sur mon torse. Il s’en va sans un mot. Je prends alors l’une des queues délaissées par le travesti pour m’en occuper. Une fois terminé avec la sienne, elle vient me rejoindre pour finir le travail avec moi…nos langues se rencontrent pendant que nous léchons le sexe du type qui est aux anges et fini par jouir dans la bouche du travesti, amateur a l’évidence de sperme.
Plus personne ne semble nous porter d’intérêt, et Julia, puisque c’est son prénom, me propose de venir discuter un peu autour d’un verre. Apprenant que c’est ma première venue elle me félicite.
- Vraiment, moi la première fois que je suis venu, j’ai du rester une demi-heure pour ne rien faire finalement. J’étais venu en homme, j’ai regardé et je suis vite sorti. Mais je me suis redonné du courage pour revenir, m’habiller et ensuite réaliser la plupart de mes fantasmes.
- Et c’était quoi tes fantasmes ?
- Me faire baiser non stop, et me faire prendre à la chaîne.
- ce sont également mes fantasmes, surtout me faire gang banger. Je rêve d’avoir une multitude de queues autour de moi qui attendent leur tour pour me baiser ou se loger dans ma bouche, et qu’elles jouissent toutes sur moi.
- mmmm tu as vraiment un potentiel de petite salope toi. Mais si tu veux un conseil ne commence pas directement par l’énorme gang bang. Essaye de commencer avec quelques queues, environ 6, dans une cabine. Les grands gang bangs sont plus bestiaux, un peu moins intime et ça pourrait d’entrée te dégoûter et te donner l‘impression de n‘être qu‘un sac de
viandes.
- d’accord. Tu as sans doute raison.
- Bon moi je dois partir malheureusement, mais en tout cas amuse toi bien ma cochonne.
Elle retourne aux vestiaires et moi je retourne dans la salle vidéo. Il y a déjà plus de monde maintenant.
Je me montre un peu puis me rebalade dans les couloirs. Mais un homme m’a suivi. Il a la queue à la main et ne me quitte pas des yeux. Je porte mon regard sur sa verge et découvre la plus grosse de la journée. Je dois sans doute écarquiller les yeux car il me demande si elle me plait, je lui dis que oui et que je m’en occuperais bien. Il me dit qu’il ne faut pas me gêner. Ni une ni deux je m’accroupis et avale ce monstre. Sa queue fait au moins en largeurs trois de mes doigts et en longueur probablement un peu moins que mon avant bras. C’est un monstre ! Le sol étant dur je lui demande d’aller dans une cabine tout en la laissant ouverte. Il me propose d’aller dans la cabine avec la vitre teintée, ce que j’accepte avec plaisir. Une fois dedans je me jette sur sa queue….quel régal de l’avaler même si je ne peux pas tout prendre. J’ai rapidement mal aux mâchoires et les calme en léchant ce chibre de long en large. Mon sucé apprécie
- ouaaaaouuu tu me suces vraiment bien ma cochonne… elle te plait vraiment !
- mmmmouiiii j’adore les belles pines comme la tienne dans ma bouche. Je les aime aussi dans mon cul si ça te tente.
- bien sur que ça me tente mais pour le moment continue de me sucer.
Il se couche sur le matelas et me laisse travailler. Alors que je m’active sur sa queue, une autre bite se présente soudain devant moi. Je regarde son propriétaire, la cinquantaine. Sa bite est bien sur plus petite que celle que je suce, mais je l’avale à son tour. Très vite ce sont 6 hommes qui m’entourent sans compter ma grosse queue allongée sur le matelas. Je leur demande si ça les intéresse de me gang bander ensemble, et ils me répondent tous oui. Sur ce je demande à l’un d’eux de fermer la porte, puis de tous se lever et m’entourer de leur queue. Ils s’exécutent et me voilà entourés de 7 bites autour de mon visage, je ne vois que ça. 7 bites rien que pour moi !!! Parmi elle la grosse queue que j’attends avec impatience dans mes fesses, celle du cinquantenaire, celle d’un jeune métis qui fini sa vingtaine, deux hommes à la trentaine dont l’un a un sexe pas trop long mais assez massif et que je savoure déjà d’avance, et deux autres qui ont un sexe de taille normale. Le type a la grosse queue qui a compris que j’étais plutôt salope, commence à tapoter sa queue sur mon visage et voyant que je ne protestait pas au contraire, les autres firent de même. Puis virent les mots crus. C’est lui qui une nouvelle fois engageait les hostilités
- regardez là cette jeune salope. Elle aime ça être entourée de queue. Allez y, donnez lui vos bites les mecs, qu’elle remplisse son travail de cochonne.
Je décide d’en rajouter pour que les timides se lancent comme lui
- mm oui donnez moi vos bites les mecs, faites moi sucer vos chibres, faites de moi votre pute.
Heureux de voir que je donne le feu vert, ils se montrent plus entreprenant. Me font sucer, parfois force le passage de ma bouche avec leur queue, ne cesse de me traiter de chienne
- ah on va bien te baiser petite chienne. Tu vas les sentir passer nos queue salope ! Me dis l’un d’eux tout en tapant sa verge sur ma joue
- Et ben commences par me mettre la tienne.
- d’accord me répond il.
Il met une capote, me fait allonger, me relève les jambes et rentre en moi tandis que les autres ont repositionné leur bites autour de mon visage, ou m’ont pris la main pour que je les masturbes. Le mec qui me baise s’y prend plutôt bien.
- Oh elle est bien ouverte déjà la cochonne, constant à quel point sa queue coulisse facilement.
- Vas y, tu peux y aller, tu peux même me défoncer si tu veux.
Il ne se gène pas et très vite me donne de forts coups de rein alors que ma bouche se remplit sans cesse de queue. Je suis aux anges, je ne me suis jamais sentie aussi salope de toute ma vie. Le mec qui me baise fait une petite pause car il ne veut pas jouir tout de suite, et le cinquantenaire prend aussitôt la relève. Je ne sais pas si c’était un coup de chance, mais aucun ne voulait jouir de suite et voulait profiter du moment. Un seul après m’avoir baisé, n’a pas pu se retenir et m’a giclé sur le visage pendant que je le suçais. Son débit était important et je devinais mon visage maculé d’une longue traînée blanche. Le mec a la grosse bite, qui semblait le plus vicieux de tous, barbouilla mon visage avec son sexe du sperme qui s’y était déposé puis me fis sucer sa queue. Il ne m’avait pas encore baisé, mais je devinais son attente d’être un peu moins nombreux pour qu’il ait moins à me partager. Le métisse joui a son tour, dans mes fesses et parti sans avoir eu le temps de dire au revoir car rapidement remplacé par un autre. Deux nouvelles jouissances ont suivi, l’un sur mon
visage, l’autre dans mes fesses. Nous voilà plus que trois: le cinquantenaire, la grosse queue et un trentenaire. A coté de mon vicieux, les autres ont des petits calibres. Je suce tjrs la grosse verge, tandis que le cinquantenaire me prend en levrette. Le trentenaire décide lui de faire une pause en nous matant. Je ne sens plus trop la bite qui me baise, et d’ailleurs je ne sens même pas sa jouissance. Je ne comprends que quand il se retire et qu’il me dit merci.
- tu veux la baiser vieux: demande grosse queue au trentenaire.
- non je la baiserais tout à l’heure. Fais-toi plaisir.
- d’accord. Allez ma salope tend bien ton cul, tu vas l’avoir mon gros gourdin.
Il enfile une capote et présente sa queue à mon trou. J’ai beau avoir été baisé par 5 bites juste avant, je sens, certes sans réelle douleur, coulisser lentement sa large bite le long de mon conduit. Quel plaisir, je gémis tout le long et j‘ai l‘impression que j‘avale des kilomètres sans fin de chair. Il s’arrête enfin, il est au bout et le voilà qui revient.
Heureusement qu’il y a du lubrifiant sinon cela aurait été dur. Ses vas et vient débutent alors, très lentement. Il sait y faire. Chaque va et viens se fait plus facilement, tant et si bien qu’au bout de 5 minutes il me défonce bel et bien. Je ne peux m’empêcher de crier ce qui l’excite d’avantage et l’incite à me traiter de garage à bite.
- Tu la sens bien hein grosse cochonne, tu l’as sens qui explose ton hangar à verge hein ?
Ses propos sont très vulgaires mais je suis dans un état second, et je lui demande clairement de ne pas s’arrêter de me défoncer. Le bougre est endurant et pendant 20 minutes, il m’écarte l’anus comme personne. Deux fois il me fait changer de position, d’abord pour me mettre coller à la vitre en me prenant par derrière. Je devinais les hommes qui derrière se branlaient en me regardant me faire ouvrir à ce point, puis ensuite il me fit le chevaucher. Assises sur sa queue, je la faisais pénétrer le plus possible. Alors qu’il la tenait de sa main, je ma faisais sortit et rentrer violemment dans mes fesses.
A chaque fois une vague de plaisir anal immense. Jusqu’à ce qu’il ne puisse plus tenir, autoritaire il se débarrasse de sa capote, me tient la tête sans violence mais fermement et s’astique avec rapidité.
- tu vas voir salope, je n’ai pas qu’une grosse queue, j’ai aussi une tonne de foutre à donner. Allez tend ton visage me
cochonne…mmm ça va venir.. Tout mon foutre sur ton visage de chienne.. Allez..
Et soudain il explose d’une grosse giclée qui me recouvre toute la partie droite de mon visage. Je me dis à ce moment « waouw quelle giclée », mais immédiatement une suivante et similaire me tombe sur le nez et dégouline sur mes lèvres, suivi de deux autres plus petites qu’ils déposent sur mon coté gauche ma perversité. Mon visage est littéralement couvert de son foutre. Je me dis que ce mec n’est tout simplement pas humain.
- je t’avais dit que j’avais des tonnes à donner. Me dit-il avec sourire tout en me faisant sucer sa verge.
Son foutre visqueux dégouline et tombe sur le sol, mais beaucoup reste sur mon visage. Il s’en va en me disant que c’était génial et qu’il espère qu’il me retrouvera un jour dans les couloirs. Je lui dis qu’il pouvait me baiser à chaque fois qu’il me verrait ici avec grand plaisir.
Restait maintenant le trentenaire. Il me demande si ça va, et me dit qu’il comprend si je ne veux plus baiser. Je lui dis qu’il aura droit à sa baise mais lui demande de me laisser quelques minutes. Du sopalin je nettoie un peu mon visage, et lui et moi commentons la performance de la grosse queue. Puis la mienne. Je lui explique que c’est à la fois ma première fois au sauna et mon premier gang bang. Il me félicite et me demande s’il me reste des fantasmes. Je lui dis qu’il m’en reste encore dont un que j’aimerais réaliser avec de repartir du sauna: la double anale. Impressionner de n’en avoir jamais assez, il me dit qu’il est venu ici avec un ami et que s’il est toujours là on pourrait se tenter cela. Je donne mon accord et nous voilà à la recherche de son ami. Nous le trouvons en train de se masturber lentement dans la salle vidéo. Son ami lui explique la situation et il accepte. Nous allons donc en cabine et je me retrouve à genou en train de les sucer. Les deux compères sont plutôt calmes. Pas de parole, et ça n’est pas un moindre mal cette légère accalmie. Lorsqu’ils sont bien dur, je m’empale sur l’un d’eux et commence à le faire aller et venir pendant que je maintiens l’autre en force par une petite pipe. Puis je leur indique que je suis prête. Le second vient placer son gland dans l’espace déjà occupé, force un peu et à sa grande surprise tout comme la mienne, rentre d’un coup.
- waouw tu es bien ouverte dis donc.
- tu verrais la bite monstrueuse qu’elle s’est pris tout à l’heure. Pas étonnant que ça rentre facilement.
Ils commencent alors leur va et vient. Si la grosse queue m’a bien ouverte, il n’en reste pas moins qu’à elle deux, j’ai une colonne de chair plus large qui me ramone et je découvre tjrs avec surprise à quel point mon anus est élastique. Au fur et à mesure il accepte plus ces deux verges jusqu’à ce que, aider de lubrifiant, elle ne fasse plus qu’une.
- oh c’est trop bon, dit l’un d’eux. Sentir les parois d’un cul d’un coté, et une queue de l’autre. Pfew
- allez y les mecs, hésitez pas à me défoncer… je veux sentir vos deux queues bien au fond de mon cul.
Il ne se gène plus et me donne de grands coups de pines qui me font hurler à nouveau. Eux aussi ne peuvent contenir leur cris et encore moins lorsqu’ils jouissent quasi simultanément dans mes fesses. Ils se retirent, soufflent un peu, puis me félicitent et me remercient. Tout comme eux, et même bien plus je suis épuisé. En retournant vers la salle vidéo, je constate que cela fait 4 heures que je suis ici. Je n’ai plus envie de baiser et je me rends aux toilettes. Je ne sens plus trop mon anus, mais je n’ai pas mal. Je sens le sperme à plein nez et en me regardant dans la glace, je vois mon visage reflétant de ci de là des coulée de semence. Je retourne aux vestiaires, me déshabille, puis file rapidement sous la douche.
Dans le métro en rentrant, je fais mes comptes et en arrive à la conclusion qu’en un après midi, une vingtaine d’hommes parfaitement inconnus auront profité de mon corps pour jouir. Quelle salope je suis !
Si cette histoire vous a plu, si vous allez souvent au sauna, voire à ce sauna, n’hésitez pas à me laisser un petit message.
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