Fantasme professionnel VII
Récit érotique écrit par Monsieur V [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fantasme professionnel VII
Chapitre 7
À genoux sur le sofa, Rosalie paniquait intérieurement mais ne voulait rien laisser paraître, trop fière pour se mettre à pleurer devant cette momie pseudo-dominatrice qui lui servait de patronne. Elle se fit également la promesse de lui retourner chaque coup de cravache lorsqu'elle en aura la possibilité.
Charlotte se positionna derrière Rosalie, prête à frapper. Emmanuelle fixait la scène avec effroi : sa meilleure amie, celle qui était en train de l'aider dans son combat, allait se faire fouetter sous ses yeux. Elle lança un regard suppliant à Maître Pittet. Celui-ci se contenta de hausser les épaules et s'adressa à son épouse :
— Ma chère, eu égard au travail accompli par notre assistante et à ses apports à notre cabinet, je ne vous accorderai que trois coups de cravache.
Charlotte poussa un grognement de frustration : elle s'imaginait déjà fouetter cette petite salope de Rosalie Frei qui se permettait de la prendre de haut et de tenter de séduire son mari afin d'avoir de l'avancement.
La quinquagénaire ravala sa colère et porta le premier coup de cravache sur le fessier de Rosalie, qui planta ses ongles dans le cuir du sofa afin de mieux pouvoir supporter la douleur. La jeune assistante serra les dents : elle refusait d'offrir à sa complexée de patronne le plaisir de la voir manifester le moindre signe de souffrance.
Sous le coup, la croupe de la jeune avocate avait rosi et s’était zébrée d’une striure blanchâtre. Elle sentit une chaleur insolite envahir son postérieur cambré et s’étendre jusqu’à son bas-ventre ; quelques gouttes gluantes perlèrent sur ses lèvres intimes.
Charlotte infligea un deuxième coup. Cette nouvelle frappe ne fit qu’accroître le trouble de Rosalie, qui tendit instinctivement sa croupe vers cette cravache qui – à sa grande honte – lui inspirait de troubles désirs et une excitation grandissante. Cette fois-ci, l'avocate recula de quelques pas et, prenant de l’élan, asséna avec violence le troisième coup de cravache. Rosalie tressaillit sous la douleur et réprima à grand-peine le sanglot qu’elle avait failli laisser échapper ; mais ce qui s’échappait à présent de sa vulve ruisselante, c’était de longs filets de mouille qui s’écoulaient de manière incontrôlable sur ses cuisses. Elle était sur le point de jouir…
Georges voulut mettre fin au calvaire de la jeune femme :
— En voilà assez. Maintenant, j'ose espérer que vous avez retenu la leçon, Mademoiselle Frei.
Il fut étonné de l’entendre geindre, d’une voix suppliante :
— Encore, Maître, je vous en prie…
Répondant au regard interrogateur de son épouse, Georges hocha la tête en signe d’acquiescement. Charlotte abattit par trois fois sa cravache sur les fesses frémissantes de la stagiaire qui jouit en un long feulement de délivrance. Elle s’affaissa contre le dossier du canapé, essoufflée ; entre ses cuisses restées écartées, les petites lèvres de son sexe saillaient, luisantes de son nectar intime.
À la vue de ce tableau d’une rare obscénité, la verge de Maître Pittet s’était érigée ; il tenta de lui donner de l’aise mais c’était peine perdue, tant elle avait pris d’ampleur. Il se résolut à ouvrir sa braguette ; son pieux jaillit, orgueilleux, son gland arrogant déjà à demi-décalotté. Le regard d’Emmanuelle, fixé sur cette érection triomphante, ne pouvait s’en détourner. Georges s’aperçut de son trouble.
— Quant à vous, Mademoiselle Perrin, vous allez faire la connaissance de mon épouse : allongez-vous sur le dos. Mademoiselle Frei, accroupissez-vous au-dessus de visage de votre amie, la tête tournée vers moi. Et vous, ma chère, amusez-vous bien avec notre infirmière.
Les deux jeunes filles se mirent dans la position indiquée. À quelques centimètres du visage d’Emmanuelle s’ouvrait impudiquement la vulve de son amie. Elle ne put s’empêcher de passer sa langue sur les cuisses maculées de Rosalie, s’abreuvement de sa cyprine. Lorsqu’elle eut tout avalé, elle se mit à laper directement à la source qui continuait de délivrer son jus savoureux.
Pas tout à fait remise de son précédent orgasme, la jeune avocate sentit à nouveau une boule de désir grossir dans son ventre embrasé par la langue habile de son amie qui léchait cette vulve épanouie.
L’épouse de Georges s’approcha de lui puis, ayant placé sa cravache sous la verge en érection, elle la souleva en lui portant un regard appréciateur.
— Eh bien, mon ami, vous êtes en grande forme ! Je vous ai rarement vu dans d’aussi bonnes dispositions…
Elle laissa retomber le membre violacé et le tapota de sa badine. Sous l’effet de cet attouchement pervers, une goutte de liquide clair apparut à l’extrémité du gland boursouflé. Elle s’en retourna vers le canapé où les deux amies se livraient à des caresses lubriques.
— Rosalie, je n’en peux plus depuis tout à l’heure, dans les toilettes… Fais-moi jouir !
— Tu veux jouir, petite dévergondée ? s’écria Charlotte. Alors, à genoux, et tourne-toi ! Vous aussi, Mademoiselle Frei !
Côte à côte, les deux amies tendirent leur croupe à la quinquagénaire. Prenant son phallus de cuir en main, elle l’amena à l’orée de la fente de l’infirmière et le fit glisser à plusieurs reprises de toute sa longueur contre le sillon ruisselant. Lorsqu’il fut bien lubrifié des sécrétions intimes d’Emmanuelle, elle se recula un peu, l’appliqua sur l’anus palpitant et s’y engouffra d’une longue et inexorable poussée. La jeune fille, le souffle coupé par cette lente progression qui l’écartelait, ouvrit la bouche en une longue plainte inaudible, se crispa convulsivement autour du formidable engin qui lui transperçait les entrailles et jouit immédiatement sans que Charlotte Pittet eût à faire le moindre va-et-vient. Lorsque le phallus se retira, elle s’écroula contre le cuir du canapé, le cul encore offert dévoilant son anus distendu.
— On va voir si tu es plus résistante que ta copine… ricana la vieille avocate en se plaçant derrière Rosalie.
Elle posa une main au niveau de la cambrure des reins de son assistante, la fit glisser sur la courbure du fessier et, d’un index investigateur, pénétra le vagin encore tout englué.
— Pas besoin de lubrifier cet orifice !
Elle n’eut qu’à appuyer légèrement pour que l’engin s’engouffre profondément dans le ventre de Rosalie. Celle-ci, qui avait déjà joui plusieurs fois en peu de temps, n’atteignit l’orgasme qu’après que le gode-ceinture lui eût fouillé son fourreau pendant pas loin d’un quart d’heure. Madame Pittet était tout aussi épuisée qu’elle après cette chevauchée fantastique. Haletante, elle ordonna à Emmanuelle :
— Maintenant, tu vas me lécher, petite chienne !
Reconnaissante du plaisir que l’avocate lui avait procuré quelques minutes plus tôt, la jeune infirmière enfouit sa tête entre les cuisses de la quinquagénaire et s’appliqua à introduire sa langue le plus loin possible dans le conduit intime de madame Pittet, tout en alternant avec des succions de son clitoris, qu’elle avait très développé. Lorsqu’elle lui introduisit un doigt dans son petit trou, l’avocate se mit à proférer des obscénités que l’on ne pourrait imaginer sortir de la bouche de cette bourgeoise à l’aspect habituellement austère :
— Bouffe-moi la chatte, espèce de salope ! Sale gouine, tu aimes les vieux trous comme le mien ? Eh bien, régale-toi, petite pute ! Lèche ! Avale-moi ! Oui… comme ça… Aaaah !
Elle fut prise d’une jouissance irrépressible qui la laissa pantelante.
Georges, demeuré à l’écart, le dard agité de spasmes, avait suivi avec intérêt les ébats des trois femelles ; mais à présent, il ne pouvait plus contenir son envie.
— À genoux, les jeunes gouines ! Vous allez me sucer toutes les deux !
Devant tant d’autorité, Rosalie et Emmanuelle s’exécutèrent. Agenouillées côte à côte devant Maître Pittet qui dardait une bite congestionnée, au bord de l’éjaculation, l’une se saisit du membre tandis que l’autre prenait ses couilles en main. Elles commencèrent à le caresser.
— Vos bouches, salopes !
Les deux amies approchèrent leur bouche de cette pine majestueuse prête à cracher son venin et, disposant leurs lèvres de part et d’autre de la hampe noueuse, elles les firent courir le long de cette verge arrogante, avalant chacune à leur tour ce gland tuméfié qui laissait perler des gouttes annonciatrices d’un plaisir imminent.
— Vos langues, maintenant, sur le frein ! Léchez-le !
Emmanuelle et Rosalie joignirent la pointe de leur langue sous le gland de l’avocat où elles entamèrent un ballet frénétique sur cette partie si sensible, les langues se mêlant parfois pour un baiser sensuel.
— Charlotte, à genoux devant moi, vite !
Son épouse eut à peine le temps de prendre place qu’un jet de sperme phénoménal vint s’écraser sur son front. Un deuxième atteignit ses yeux ; les suivants achevèrent de lui maculer le visage tandis que son mari hurlait de plaisir.
Après quelques instants, Rosalie adressa un clin d’œil à son amie et lui souffla à l’oreille :
— Je te l’avais bien dit : avec mes employeurs, le sexe, c’est un exercice de haut niveau !
[ à suivre ]
Note des auteurs : afin d'obtenir des retours sur cette série, nous vous proposons, chers lecteurs, de nous donner vos ressentis par rapport aux personnages. À quel personnage vous identifiez-vous le plus et pourquoi ?
Merci d'avance pour votre participation.
À genoux sur le sofa, Rosalie paniquait intérieurement mais ne voulait rien laisser paraître, trop fière pour se mettre à pleurer devant cette momie pseudo-dominatrice qui lui servait de patronne. Elle se fit également la promesse de lui retourner chaque coup de cravache lorsqu'elle en aura la possibilité.
Charlotte se positionna derrière Rosalie, prête à frapper. Emmanuelle fixait la scène avec effroi : sa meilleure amie, celle qui était en train de l'aider dans son combat, allait se faire fouetter sous ses yeux. Elle lança un regard suppliant à Maître Pittet. Celui-ci se contenta de hausser les épaules et s'adressa à son épouse :
— Ma chère, eu égard au travail accompli par notre assistante et à ses apports à notre cabinet, je ne vous accorderai que trois coups de cravache.
Charlotte poussa un grognement de frustration : elle s'imaginait déjà fouetter cette petite salope de Rosalie Frei qui se permettait de la prendre de haut et de tenter de séduire son mari afin d'avoir de l'avancement.
La quinquagénaire ravala sa colère et porta le premier coup de cravache sur le fessier de Rosalie, qui planta ses ongles dans le cuir du sofa afin de mieux pouvoir supporter la douleur. La jeune assistante serra les dents : elle refusait d'offrir à sa complexée de patronne le plaisir de la voir manifester le moindre signe de souffrance.
Sous le coup, la croupe de la jeune avocate avait rosi et s’était zébrée d’une striure blanchâtre. Elle sentit une chaleur insolite envahir son postérieur cambré et s’étendre jusqu’à son bas-ventre ; quelques gouttes gluantes perlèrent sur ses lèvres intimes.
Charlotte infligea un deuxième coup. Cette nouvelle frappe ne fit qu’accroître le trouble de Rosalie, qui tendit instinctivement sa croupe vers cette cravache qui – à sa grande honte – lui inspirait de troubles désirs et une excitation grandissante. Cette fois-ci, l'avocate recula de quelques pas et, prenant de l’élan, asséna avec violence le troisième coup de cravache. Rosalie tressaillit sous la douleur et réprima à grand-peine le sanglot qu’elle avait failli laisser échapper ; mais ce qui s’échappait à présent de sa vulve ruisselante, c’était de longs filets de mouille qui s’écoulaient de manière incontrôlable sur ses cuisses. Elle était sur le point de jouir…
Georges voulut mettre fin au calvaire de la jeune femme :
— En voilà assez. Maintenant, j'ose espérer que vous avez retenu la leçon, Mademoiselle Frei.
Il fut étonné de l’entendre geindre, d’une voix suppliante :
— Encore, Maître, je vous en prie…
Répondant au regard interrogateur de son épouse, Georges hocha la tête en signe d’acquiescement. Charlotte abattit par trois fois sa cravache sur les fesses frémissantes de la stagiaire qui jouit en un long feulement de délivrance. Elle s’affaissa contre le dossier du canapé, essoufflée ; entre ses cuisses restées écartées, les petites lèvres de son sexe saillaient, luisantes de son nectar intime.
À la vue de ce tableau d’une rare obscénité, la verge de Maître Pittet s’était érigée ; il tenta de lui donner de l’aise mais c’était peine perdue, tant elle avait pris d’ampleur. Il se résolut à ouvrir sa braguette ; son pieux jaillit, orgueilleux, son gland arrogant déjà à demi-décalotté. Le regard d’Emmanuelle, fixé sur cette érection triomphante, ne pouvait s’en détourner. Georges s’aperçut de son trouble.
— Quant à vous, Mademoiselle Perrin, vous allez faire la connaissance de mon épouse : allongez-vous sur le dos. Mademoiselle Frei, accroupissez-vous au-dessus de visage de votre amie, la tête tournée vers moi. Et vous, ma chère, amusez-vous bien avec notre infirmière.
Les deux jeunes filles se mirent dans la position indiquée. À quelques centimètres du visage d’Emmanuelle s’ouvrait impudiquement la vulve de son amie. Elle ne put s’empêcher de passer sa langue sur les cuisses maculées de Rosalie, s’abreuvement de sa cyprine. Lorsqu’elle eut tout avalé, elle se mit à laper directement à la source qui continuait de délivrer son jus savoureux.
Pas tout à fait remise de son précédent orgasme, la jeune avocate sentit à nouveau une boule de désir grossir dans son ventre embrasé par la langue habile de son amie qui léchait cette vulve épanouie.
L’épouse de Georges s’approcha de lui puis, ayant placé sa cravache sous la verge en érection, elle la souleva en lui portant un regard appréciateur.
— Eh bien, mon ami, vous êtes en grande forme ! Je vous ai rarement vu dans d’aussi bonnes dispositions…
Elle laissa retomber le membre violacé et le tapota de sa badine. Sous l’effet de cet attouchement pervers, une goutte de liquide clair apparut à l’extrémité du gland boursouflé. Elle s’en retourna vers le canapé où les deux amies se livraient à des caresses lubriques.
— Rosalie, je n’en peux plus depuis tout à l’heure, dans les toilettes… Fais-moi jouir !
— Tu veux jouir, petite dévergondée ? s’écria Charlotte. Alors, à genoux, et tourne-toi ! Vous aussi, Mademoiselle Frei !
Côte à côte, les deux amies tendirent leur croupe à la quinquagénaire. Prenant son phallus de cuir en main, elle l’amena à l’orée de la fente de l’infirmière et le fit glisser à plusieurs reprises de toute sa longueur contre le sillon ruisselant. Lorsqu’il fut bien lubrifié des sécrétions intimes d’Emmanuelle, elle se recula un peu, l’appliqua sur l’anus palpitant et s’y engouffra d’une longue et inexorable poussée. La jeune fille, le souffle coupé par cette lente progression qui l’écartelait, ouvrit la bouche en une longue plainte inaudible, se crispa convulsivement autour du formidable engin qui lui transperçait les entrailles et jouit immédiatement sans que Charlotte Pittet eût à faire le moindre va-et-vient. Lorsque le phallus se retira, elle s’écroula contre le cuir du canapé, le cul encore offert dévoilant son anus distendu.
— On va voir si tu es plus résistante que ta copine… ricana la vieille avocate en se plaçant derrière Rosalie.
Elle posa une main au niveau de la cambrure des reins de son assistante, la fit glisser sur la courbure du fessier et, d’un index investigateur, pénétra le vagin encore tout englué.
— Pas besoin de lubrifier cet orifice !
Elle n’eut qu’à appuyer légèrement pour que l’engin s’engouffre profondément dans le ventre de Rosalie. Celle-ci, qui avait déjà joui plusieurs fois en peu de temps, n’atteignit l’orgasme qu’après que le gode-ceinture lui eût fouillé son fourreau pendant pas loin d’un quart d’heure. Madame Pittet était tout aussi épuisée qu’elle après cette chevauchée fantastique. Haletante, elle ordonna à Emmanuelle :
— Maintenant, tu vas me lécher, petite chienne !
Reconnaissante du plaisir que l’avocate lui avait procuré quelques minutes plus tôt, la jeune infirmière enfouit sa tête entre les cuisses de la quinquagénaire et s’appliqua à introduire sa langue le plus loin possible dans le conduit intime de madame Pittet, tout en alternant avec des succions de son clitoris, qu’elle avait très développé. Lorsqu’elle lui introduisit un doigt dans son petit trou, l’avocate se mit à proférer des obscénités que l’on ne pourrait imaginer sortir de la bouche de cette bourgeoise à l’aspect habituellement austère :
— Bouffe-moi la chatte, espèce de salope ! Sale gouine, tu aimes les vieux trous comme le mien ? Eh bien, régale-toi, petite pute ! Lèche ! Avale-moi ! Oui… comme ça… Aaaah !
Elle fut prise d’une jouissance irrépressible qui la laissa pantelante.
Georges, demeuré à l’écart, le dard agité de spasmes, avait suivi avec intérêt les ébats des trois femelles ; mais à présent, il ne pouvait plus contenir son envie.
— À genoux, les jeunes gouines ! Vous allez me sucer toutes les deux !
Devant tant d’autorité, Rosalie et Emmanuelle s’exécutèrent. Agenouillées côte à côte devant Maître Pittet qui dardait une bite congestionnée, au bord de l’éjaculation, l’une se saisit du membre tandis que l’autre prenait ses couilles en main. Elles commencèrent à le caresser.
— Vos bouches, salopes !
Les deux amies approchèrent leur bouche de cette pine majestueuse prête à cracher son venin et, disposant leurs lèvres de part et d’autre de la hampe noueuse, elles les firent courir le long de cette verge arrogante, avalant chacune à leur tour ce gland tuméfié qui laissait perler des gouttes annonciatrices d’un plaisir imminent.
— Vos langues, maintenant, sur le frein ! Léchez-le !
Emmanuelle et Rosalie joignirent la pointe de leur langue sous le gland de l’avocat où elles entamèrent un ballet frénétique sur cette partie si sensible, les langues se mêlant parfois pour un baiser sensuel.
— Charlotte, à genoux devant moi, vite !
Son épouse eut à peine le temps de prendre place qu’un jet de sperme phénoménal vint s’écraser sur son front. Un deuxième atteignit ses yeux ; les suivants achevèrent de lui maculer le visage tandis que son mari hurlait de plaisir.
Après quelques instants, Rosalie adressa un clin d’œil à son amie et lui souffla à l’oreille :
— Je te l’avais bien dit : avec mes employeurs, le sexe, c’est un exercice de haut niveau !
[ à suivre ]
Note des auteurs : afin d'obtenir des retours sur cette série, nous vous proposons, chers lecteurs, de nous donner vos ressentis par rapport aux personnages. À quel personnage vous identifiez-vous le plus et pourquoi ?
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Ca traîne
Oeuvre magistrale, digne de Goncourt