Fantasme professionnel VIII
Récit érotique écrit par Monsieur V [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fantasme professionnel VIII
— Vous croyez vous en tirer comme ça, Mesdemoiselles ?
La vieille avocate fixait les deux jeunes filles d’un regard furieux, le visage englué du sperme de son mari. S’asseyant sur un fauteuil, elle ordonna sèchement :
— Debout, chiennes lubriques que vous êtes ! Approchez, et venez rendre hommage à la semence de mon époux. Nettoyez-moi le visage ; avec vos langues, bien sûr… termina-t-elle en ricanant de manière sardonique.
Intimidées, Emmanuelle et Rosalie rejoignirent Charlotte Pittet et se placèrent de part et d’autre des larges accoudoirs.
— Alors, qu’attendez-vous, petites pouffiasses ? Léchez ! Régalez-vous !
Les deux amies s’inclinèrent pour amener leur visage à hauteur de celui de l’avocate et commencèrent à recueillir le sperme à l’aide de leur langue.
Excitée par la dépravation qu’elle leur imposait, Charlotte sentit des picotements envahir sa vulve qui s’humidifia et se mit à palpiter. Écartant ses lèvres intimes d’une main, elle s’enfila le manche de la cravache dans le vagin et le fit aller et venir tandis que les jeunes filles s’évertuaient à nettoyer son visage, déglutissant ponctuellement lorsque leur bouche s’emplissait du liquide gluant encore tiède.
— Aaah…
— Vous jouissez encore, chère amie ?
Maître Pittet était étonné de découvrir les ressources insoupçonnées de son épouse ; mais l'avocat, reprenant le dessus sur l'homme, Georges ordonna :
— Cessez tout cela ! Toutes les trois ! Charlotte, allez vous essuyer le visage dans la salle de bain. Mademoiselle Perrin, rentrez chez vous ; nous nous reverrons demain pour discuter en détail de votre affaire. Et vous, Rosalie, restez ici : j'ai à vous parler.
Les trois femmes obéirent à l'injonction et Maître Pittet attendit que sa femme et Emmanuelle fussent sorties de son bureau pour s'adresser à son assistante :
— Vous me troublez, vous savez ?
— Comment cela ?
— La séance de cravache avec mon épouse. Je n'avais ordonné que trois coups et vous, vous en avez redemandé. Au vu de ce que vous m'avez montré jusqu'à présent, cette attitude ne colle pas. Alors, pourquoi avez-vous fait cela ?
— J'ai pensé que cela vous ferait plaisir de me voir ainsi.
— Eh bien, vous avez eu tort. Au contraire, cela m'a profondément déçu, Mademoiselle Frei.
Sans répondre, Rosalie sourit à son employeur et enlaça celui-ci en lui donnant un sulfureux baiser sur les lèvres. Maître Pittet voulut lui rendre son baiser, mais la jeune avocate s'était déjà retirée.
— Ce baiser, c'était pour m'excuser de vous avoir déçu. Et maintenant, je vais me racheter...
Rosalie s'agenouilla devant son patron et approcha ses lèvres de son sexe. Elle suçota le gland quelques secondes durant puis, la queue de son employeur étant parvenue à son plus haut niveau de fermeté, la jeune femme se positionna à quatre pattes sur le sofa et invita Georges à s'asseoir à ses côtés.
Lorsqu’il l’eût rejointe, Rosalie se releva et se plaça debout devant son patron, dos à lui.
— Afin de réparer mon erreur, je tiens à vous offrir un petit cadeau. Votre épouse n'a – fort heureusement – pas pensé à le visiter. Je veux donc que ce soit vous qui me preniez par là le premier.
Sans attendre de réponse de son employeur, la jeune avocate se saisit du sexe de son employeur et s'assit progressivement dessus. Malgré la douleur intense qui la traversait de part en part, elle poursuivit sa descente le long de la colonne de chair.
Finalement, après quelques lents va-et-vient sur la queue de Maître Pittet, la jeune assistante ne ressentit plus aucune douleur et se mit à accélérer ses mouvements, lui faisant ainsi comprendre qu'elle était prête à être baisée.
Georges prit Rosalie par les hanches et l'abaissa fermement sur son sexe rigide, puis il la souleva pour l'abaisser une nouvelle fois sur sa queue toute raide d'excitation. Il accéléra son mouvement, ne manquant pas de faire crier de plaisir la jeune fille dont les seins ballotaient au rythme de ses mouvements.
N'ayant pas l'habitude de prendre une femme par derrière, l'avocat sentit qu'il allait éjaculer sous peu ; il souleva son assistante pour que son sexe émerge de son arrière-train défoncé.
— À genoux !
L'ordre avait claqué, sec. En professionnelle qu’elle était, Rosalie obtempéra et, devinant instinctivement ce que Georges désirait, ouvrit la bouche et tira la langue. Maître Pittet se leva et se branla pendant quelques secondes avant de se répandre en abondance dans la bouche offerte.
Sans hésiter, Rosalie avala tout le sperme de son employeur. Épuisé, l'avocat se rassit sur le sofa en poussant un long râle d'aise. Son assistante le rejoignit et l'enlaça, ses seins lui touchant l'épaule. Tout en lui caressant le visage, elle lui susurra à l'oreille :
— Maître, il m'est venu une idée. Je pense que vous allez l'apprécier…
— Allez-y, Rosalie. Quelle est-elle ?
— Eh bien, j'ai remarqué que votre épouse avait un penchant pour le sadisme et les jeux sadomasochistes. Je pense que ces goûts lui sont venus du fait que vous ne lui faisiez pas assez l'amour, préférant le faire à d'autres femmes. Par conséquent, sachant par expérience qu'il y a beaucoup d'hommes qui apprécient d'être soumis, je pense – sans vouloir vous offenser ni discréditer votre épouse – que la meilleure façon pour elle d'être utile à ce cabinet, ce serait de calmer ses ardeurs et de nous laisser travailler tranquilles.
— Si je comprends bien, vous suggérez que Charlotte reste à la maison ?
— Je ne voulais pas vous le dire comme ça ; mais, oui, c'est cela l'idée.
Georges fixa son assistante pendant quelques longues secondes avant de répondre en affichant un sourire satisfait :
— Fantastique ! Quelle excellente idée, Mademoiselle Frei ! Je pense que, désormais, je peux vous faire suffisamment confiance pour vous accorder des parts de la société. Dorénavant, je vais faire transférer dix pour cent de mes parts et vingt de celles de mon épouse, sans compter le tiers de celles de mon associé qui partira en retraite à la fin de l'année.
— Merci, Monsieur.
— Mais à une condition : vous serez ma maîtresse, ce qui veut dire que, dès que je le souhaiterai, vous me servirez de vide-bourses. Bien sûr, je souhaite toujours que vous fassiez correctement votre travail au sein du cabinet. Acceptez-vous ce pacte, Mademoiselle Frei ?
— Avec plaisir, Monsieur.
— Très bien. Maintenant, rentrez chez vous et reposez-vous bien. Demain, nous parlerons tous les quatre de cette stratégie que vous m'avez proposée.
— Tous les quatre ?
— Oui ; je pense que votre amie sera également intéressée par la nouvelle. J'ai également une petite proposition pour elle : vous saurez tout demain. Sur ce, bonne soirée à vous et reposez-vous bien.
— Bonne soirée, Monsieur.
En rejoignant son domicile, la jeune avocate n'avait qu'une envie : retourner au cabinet des Pittet le plus rapidement possible afin de poursuivre son projet de séduction.
La vieille avocate fixait les deux jeunes filles d’un regard furieux, le visage englué du sperme de son mari. S’asseyant sur un fauteuil, elle ordonna sèchement :
— Debout, chiennes lubriques que vous êtes ! Approchez, et venez rendre hommage à la semence de mon époux. Nettoyez-moi le visage ; avec vos langues, bien sûr… termina-t-elle en ricanant de manière sardonique.
Intimidées, Emmanuelle et Rosalie rejoignirent Charlotte Pittet et se placèrent de part et d’autre des larges accoudoirs.
— Alors, qu’attendez-vous, petites pouffiasses ? Léchez ! Régalez-vous !
Les deux amies s’inclinèrent pour amener leur visage à hauteur de celui de l’avocate et commencèrent à recueillir le sperme à l’aide de leur langue.
Excitée par la dépravation qu’elle leur imposait, Charlotte sentit des picotements envahir sa vulve qui s’humidifia et se mit à palpiter. Écartant ses lèvres intimes d’une main, elle s’enfila le manche de la cravache dans le vagin et le fit aller et venir tandis que les jeunes filles s’évertuaient à nettoyer son visage, déglutissant ponctuellement lorsque leur bouche s’emplissait du liquide gluant encore tiède.
— Aaah…
— Vous jouissez encore, chère amie ?
Maître Pittet était étonné de découvrir les ressources insoupçonnées de son épouse ; mais l'avocat, reprenant le dessus sur l'homme, Georges ordonna :
— Cessez tout cela ! Toutes les trois ! Charlotte, allez vous essuyer le visage dans la salle de bain. Mademoiselle Perrin, rentrez chez vous ; nous nous reverrons demain pour discuter en détail de votre affaire. Et vous, Rosalie, restez ici : j'ai à vous parler.
Les trois femmes obéirent à l'injonction et Maître Pittet attendit que sa femme et Emmanuelle fussent sorties de son bureau pour s'adresser à son assistante :
— Vous me troublez, vous savez ?
— Comment cela ?
— La séance de cravache avec mon épouse. Je n'avais ordonné que trois coups et vous, vous en avez redemandé. Au vu de ce que vous m'avez montré jusqu'à présent, cette attitude ne colle pas. Alors, pourquoi avez-vous fait cela ?
— J'ai pensé que cela vous ferait plaisir de me voir ainsi.
— Eh bien, vous avez eu tort. Au contraire, cela m'a profondément déçu, Mademoiselle Frei.
Sans répondre, Rosalie sourit à son employeur et enlaça celui-ci en lui donnant un sulfureux baiser sur les lèvres. Maître Pittet voulut lui rendre son baiser, mais la jeune avocate s'était déjà retirée.
— Ce baiser, c'était pour m'excuser de vous avoir déçu. Et maintenant, je vais me racheter...
Rosalie s'agenouilla devant son patron et approcha ses lèvres de son sexe. Elle suçota le gland quelques secondes durant puis, la queue de son employeur étant parvenue à son plus haut niveau de fermeté, la jeune femme se positionna à quatre pattes sur le sofa et invita Georges à s'asseoir à ses côtés.
Lorsqu’il l’eût rejointe, Rosalie se releva et se plaça debout devant son patron, dos à lui.
— Afin de réparer mon erreur, je tiens à vous offrir un petit cadeau. Votre épouse n'a – fort heureusement – pas pensé à le visiter. Je veux donc que ce soit vous qui me preniez par là le premier.
Sans attendre de réponse de son employeur, la jeune avocate se saisit du sexe de son employeur et s'assit progressivement dessus. Malgré la douleur intense qui la traversait de part en part, elle poursuivit sa descente le long de la colonne de chair.
Finalement, après quelques lents va-et-vient sur la queue de Maître Pittet, la jeune assistante ne ressentit plus aucune douleur et se mit à accélérer ses mouvements, lui faisant ainsi comprendre qu'elle était prête à être baisée.
Georges prit Rosalie par les hanches et l'abaissa fermement sur son sexe rigide, puis il la souleva pour l'abaisser une nouvelle fois sur sa queue toute raide d'excitation. Il accéléra son mouvement, ne manquant pas de faire crier de plaisir la jeune fille dont les seins ballotaient au rythme de ses mouvements.
N'ayant pas l'habitude de prendre une femme par derrière, l'avocat sentit qu'il allait éjaculer sous peu ; il souleva son assistante pour que son sexe émerge de son arrière-train défoncé.
— À genoux !
L'ordre avait claqué, sec. En professionnelle qu’elle était, Rosalie obtempéra et, devinant instinctivement ce que Georges désirait, ouvrit la bouche et tira la langue. Maître Pittet se leva et se branla pendant quelques secondes avant de se répandre en abondance dans la bouche offerte.
Sans hésiter, Rosalie avala tout le sperme de son employeur. Épuisé, l'avocat se rassit sur le sofa en poussant un long râle d'aise. Son assistante le rejoignit et l'enlaça, ses seins lui touchant l'épaule. Tout en lui caressant le visage, elle lui susurra à l'oreille :
— Maître, il m'est venu une idée. Je pense que vous allez l'apprécier…
— Allez-y, Rosalie. Quelle est-elle ?
— Eh bien, j'ai remarqué que votre épouse avait un penchant pour le sadisme et les jeux sadomasochistes. Je pense que ces goûts lui sont venus du fait que vous ne lui faisiez pas assez l'amour, préférant le faire à d'autres femmes. Par conséquent, sachant par expérience qu'il y a beaucoup d'hommes qui apprécient d'être soumis, je pense – sans vouloir vous offenser ni discréditer votre épouse – que la meilleure façon pour elle d'être utile à ce cabinet, ce serait de calmer ses ardeurs et de nous laisser travailler tranquilles.
— Si je comprends bien, vous suggérez que Charlotte reste à la maison ?
— Je ne voulais pas vous le dire comme ça ; mais, oui, c'est cela l'idée.
Georges fixa son assistante pendant quelques longues secondes avant de répondre en affichant un sourire satisfait :
— Fantastique ! Quelle excellente idée, Mademoiselle Frei ! Je pense que, désormais, je peux vous faire suffisamment confiance pour vous accorder des parts de la société. Dorénavant, je vais faire transférer dix pour cent de mes parts et vingt de celles de mon épouse, sans compter le tiers de celles de mon associé qui partira en retraite à la fin de l'année.
— Merci, Monsieur.
— Mais à une condition : vous serez ma maîtresse, ce qui veut dire que, dès que je le souhaiterai, vous me servirez de vide-bourses. Bien sûr, je souhaite toujours que vous fassiez correctement votre travail au sein du cabinet. Acceptez-vous ce pacte, Mademoiselle Frei ?
— Avec plaisir, Monsieur.
— Très bien. Maintenant, rentrez chez vous et reposez-vous bien. Demain, nous parlerons tous les quatre de cette stratégie que vous m'avez proposée.
— Tous les quatre ?
— Oui ; je pense que votre amie sera également intéressée par la nouvelle. J'ai également une petite proposition pour elle : vous saurez tout demain. Sur ce, bonne soirée à vous et reposez-vous bien.
— Bonne soirée, Monsieur.
En rejoignant son domicile, la jeune avocate n'avait qu'une envie : retourner au cabinet des Pittet le plus rapidement possible afin de poursuivre son projet de séduction.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle élégance de proposer à une femme de servir de vide-bourses. La délicatesse, bon dieu, la délicatesse. L'auteur devrait en acheter un kilo.
Besogneuse histoire. C'est l'éternel recommencement dans un style lourd, quasi traduit du germanique. Texte complètement dénué d'inspiration poétique. Parfois un éclair, comme si un correcteur reprenait le plus fade de cette longue suite pénible.
bof