Fantasme sous la douche - histoire érotique

Mes ordres pris de Maitresse Diane, je me diriegais en culotte, plug a la main, sous
la douche.L'eau chaude commence a couler sur ma peau, je sent ma culotte passer de
moite a humide, j'attrape alors mon plug et le flacon de lubrifiant. Le liquide
coule alors de manière délicate sur l'objet phallique, le recouvrant langoureusement
pour mieux le faire briller. Je le lèche légèrement fermant les yeux et imaginant....
La nuit est chaude et humide, je marche dans la rue habillée comme une prostituée ,
cuissardes, robe courte en satin rouge, culotte noire serrant mon sexe déjà bien dur,
rasé de près, comme mon visage et bien maquillé. A mes côtés, Maitresse Diane
resplendissante dans son manteau cuir, cravache dans une main, me tiens en laisse dans
l'autre.
« Mélanie , me dit -elle , puisque tu es une pute avérée, MA pute, il est plus que
temps d'agir comme telle et de me rapporter de l'argent. En conséquence je t'ai louée
pour la soirée et tu as intérêt a ce que j'ai des échos favorables.
Mais ? A qui maitresse ?
TAIS TOI SALOPE ! Tu n'as pas à le savoir , fit elle en me donnant une claque, quand
tu ouvres ta bouche , c'est pour sucer pas pour parler !
Mais....
TU ES SOURDE CHIENNE ??? Fit elle en me tirant les cheveux et en me cravachant le sexe
, TU TE TAIS ET TU SUCES ! SINON JE TE JURE QUE TU VA FINIR PAR TE FAIRE GANGBANGER
SUR LA RIVE DROITE COMME LA DERNIERE DES CATINS!
Elle relâcha son emprise, je hochais la tête l'air penaud en signe de soumission, elle
acquiesça de contentement tout en gardant un air grave. Nous arrivâmes alors a une
maison, Maitresse Diane sonna une porte s'ouvrit. Une dame brune , la trentaine, peau
halée en jupe jean, bas noirs et seins nus se tenait là.
« Bonsoir ! fit Diane, comme convenu voici Mélanie , je passe vous la reprendre d'ici
une heure d'ici la ( elle lui tendit ma laisse) , amusez vous bien. »
La dame acquiesça et, sans un mot ni même un regard envers moi, sa chose, sa pute,
Diane repartit.
Sans mot dire , la dame m'entraina dans son salon ou , tirant ma laisse vers moi,
elle se mit a m'embrasser sauvagement. Je commençait à l'enlacer a la carresser celle
ci me repoussa et me gifla.
«  Tu dois savoir ou est ta place pute ! JE décide tu obéis. »
D'un geste sec elle me mit a quatre pattes et releva sa jupe. En dessous, pas de
culotte mais une énorme queue semi érigée.
« Tu as commencé a la lever , maintenant finit le travail » dit elle .
Et sans mot dire , elle m'enfourna son membre dans la bouche.
Je commençais alors a sucer goulument mon plug, m'imaginant que c'était sa queue
l'eau chaude coulant toujours sur moi, humidifiant ma culotte la collant a ma peau et
a mon sexe toujours plus en érection.
« C'est bien , bonne chienne ! »Fit elle en me tapotant la tête , elle retire alors
son engin de ma bouche , un filet de bave encore dessus. « Maintenant elle est mure
pour la suite. Amène ton cul ! »
J'exécutais un demi tour , fébrile chaud , moite , bref excité à l'idée de la suite.
Je baissait alors délicatement ma culotte , présentant alors mon anus impatient a sa
verge , et m'enfonçait fermement le plug dedans avec un petit cri. Ça y est ! Elle
m'encule ! Je sent sa verge dure et chaude en moi, ses coups de reins deviennent de
plus en plus puissants. Je sent une « femme » qui à l'habitude de ce genre de choses.
Mon plaisir et le sien deviennent de plus en plus intense, celle ci me relevant et me
branlant en même temps qu'elle me défonce l'orifice, me faisant mal et bien a la fois
.
« Mmmmmmmmmmmmm c'est booooooooon ! » pensais je, manifestant ma joie par des
gémissements de plaisir digne d'une actrice porno.
Soudain ! Elle se retira me repoussant , je la sentais pourtant prête a jouir.
Elle me remit a quatre pattes et , sévèrement me dit :
« Diane m'a dit que tu étais la dernière des catins , tes cris me l'ont prouvé, tu vas
donc finir le travail comme telle.
Dans la douche je retirais mon plug et regardait mon sexe gonflé, trop serré par ma
petite culotte , prêt à rependre sur moi toute sa semence.
Je lus dans son regard ce qu'elle voulait et, n'ayant pas le choix , ouvrit la
bouche, de sa verge jaillit un jet blanchâtre se rependant abondamment dans ma bouche
et sur mon visage pendant que, sous l'eau chaude ma verge faisait de même, mes mains
récoltant l'abondant jus avant de, comme Diane l'avait ordonné, me l'étaler sur le
visage et les lèvres.
« Maintenant avale ! Ordonna elle. Je m'exécutais et léchait, rouge de honte et de
plaisir, ma propre semence et la sienne confondues.
Je remettais ma culotte en silence , me lavait et me rincait ,et ramassait par terre
les billets que nonchalamment elle me jetais, avant de repartir rejoindre ma
maitresse.