Fantasmes par faits vécus.... - histoire érotique

Dans le sujets Dominants et dominés, que j'aurais pu aussi inscrire dans fétichisme peut être, ou entre nous hommes et femmes, voir également en liste rouge pour les côtés sexe hard, crade, gore, qu'en sais je encore ?.... Cela dit, tant pis, je maintiens ce sujet dans la catégorie dit de Dominants et dominés. A voir par la suite. Le sujet ici tient d'un fantasme que je fais parmi d'autres dans le genre, quelque peut extrait de faits réels, non pas forcément qui aient été d'ordre purement sexuel, ni directement sexuel en tout cas, du moins, de ce que je penses et en ressent jusqu'ici. Lorsque l'on est jeune surtout, l'on se laisse prendre d'imaginations mêlées à réalité de certains vécus, de faits, d'actes, de paroles mais qui n'ont rien forcément de purement sexuel, juste que j'aurais pu mélanger les choses, transformer, inventer, cela de façon inconsciente, à voir instinctivement, à savoir. Pour autant, je me souviens quand même de faits bien réels, même si pas forcément qui soient vraiment sexuel encore une fois, juste fantasmés par le fait de m'être trouvé souvent comme vulnérable en vers des femmes, certaines d'entre elles ayant pu en vers moi influencer de leur personne, de leur caractère ou mentalité, de leur forte et supériorité de femmes, qu'en sais je, mes pensées en vers elles, en vers les femmes en générale, mais des femmes aimant rabaisser un garçon, un homme, l'exploiter, l'humilier, des femmes aimant faire forte puissance, autorité, sévérité, qui aiment leur parler vertement, donner des ordres et les faire accomplir pour leur plus grand plaisir que de se faire servir par un garçon de tempérament faible surtout, qui soit timide, n'osant pas se défendre, ou incapable, n'ayant rien ni personne pour intervenir en sa faveur, pas d'armes, rien qui le protège, ni que de défendre sa cause. Je me souviens d'une femme, une maîtresse d'école primaire, bon, elle devait aimer boire, non pas de l'eau, peut être par problèmes qu'elle rencontrait dans sa vie privée ou autres, peut importe. Cette femme, ma maîtresse de classe en primaire, beaucoup la craignait, moi compris, en plus de ne pas sembler franchement lui plaire de ma personne réservée, timide, qu'elle devait définir comme étant un raté, un nul ou bon à rien, ignare, ou un cancre, quelque chose comme ça. Plus encore car ajouté au fait de mon physique, ma façon de me vêtir, de me coiffer, plutôt démodé portant pour ajouter de grosse lunettes à verres loupes, étant maigre, rien qui puisse plaire à des filles, mais plus pour que des filles ou des femmes veuillent plutôt me livrer à moqueries, insultes, me voir être pour elle, comme bon à rien, juste à servir de domestique, de servant, si pas pire. Je me souviens donc, par cette femme maîtresse d'école, très dure, sévère, qui m'a demandé de venir à elle, mon cahier de devoirs en mains, d'exercices, quel qu'ils soient, français, mathématique ou de calcules, j'en passes, de venir devant elle et de lui présenter mon cahier afin de vérifier les choses, si j'avais bien fait mes devoirs, si des fautes, des manques, etc. Je me souviens avoir reçu une bonne gifle, après qu'elle m'ai demandé d'enlever mes lunettes. Ensuit, qui m'a jeté sèchement le cahier au sol, m'a comme ordonné, comme pour un vrai chien, le sien, de ramasser et de vite retourner à ma place, tout comme à la niche, cela devant les élèves de la classe, surtout devant les filles qui alors, étaient plus nombreuses que les garçons, de ce que je me souviens. Devant ma maîtresse de classe, en primaire, je n'en menais pas large, et me suis exécuté sur le champs à ramasser mon cahier, et m'en retourner à mon pupitre, sans un mot, sans me plaindre et honteux devant les élèves, plus encore devant les filles dont certaines devaient être plus moqueuses, méchantes que d'autres, d'autres qui peut être n'osaient pas non plus agir contre la maîtresse qu'elles craignaient, tout comme moi qui de fait, devais me faire tout petit. J'aime repenser à ces faits, ces scènes, j'aime penser comment j'ai subit cette femme qui était ma maîtresse, sèche, froide, dure, très sévère, qui imposait sa forte personnalité de femme, me contraignait et me demandait tout comme à un chien, de venir à elle, tout comme à ses pieds, la gifle punitive, tout comme une façon de me dresser pour que je me ratatine, me courbe devant elle, baisse la tête sans un mot, n'osant pas la regarder, et de m'accomplir de son "ordre", ramasser mon cahier, et docilement, tête basse, bien sagement, bon garçon et chien à sa maîtresse, de revenir à ma place, comme son toutou à sa niche. Ma façon de penser les choses, cette femme, les filles de ma classe, même si rien de sexuel, mais que j'ai dans le temps, transformé en fantasme, fortement excitant. Peut être les raisons de mon côté soumis, esclave, homme à dresser pour servir des femmes supérieures, de forte personnalité, caractère, des femmes strictes, sévères, très autoritaire, même froides, moqueuses, aimant mâter un garçon, un homme comme moi, et qu'elles veuillent à leurs pieds, sous leurs ordres, faire de moi, comme étant leur propriété, conçu forcément pour elles et leurs désirs, désir de me réduire domestique, de m'humilier, que je n'ose pas devant elles, n'ose répliquer, ne les respectant pas, par crainte d'elles, d'être punis au cas ou je leur manquerais de respecter leur supériorité sur moi, au cas de manquements que cela soit de m'exécuter de leurs ordres en me montrant en vers elles, penaud, garçon bien docile, obéissant, sage et facilement exploitable. fantasmes sexuels que je fais, sacrement excitant pour moi à titre sexuel lorsque je me masturbe. Me penser ainsi traité, me faire en effet dresser, me voir même, interdit, empêché de toutes formes de libertés que de m'appartenir à moi même, de disposer de mon corps comme, quand, et avec qui je le désir, comme je l'entends, me voir privé définitivement, par des femmes, femmes dominatrices, perverses, de fort caractère, et déterminées, donc, de ne plus pouvoir décider, choisir, jusqu'à interdictions formelles et strictes, définitivement, que je n'ai plus d'intimité devant elles, de décider de ma sexualité, masturbation, attouchements, tripotages de tout mon corps, même si très excité, même pire, plus droit jamais, de décider de mes passages sur le wc, devant demander permission et me soumettre à être accompagné, me faire assister, faire mes besoins quand, comme elles en décideraient, et décidant dans quoi, comment je devrais les faire, sous leurs yeux, décideraient de mes positions en faisant mon pipi et mon caca qui seraient prélevé et exploité, étudié également, en plus de mes spermes et baves. Je devrais me laisser vérifier le bas du ventre, si dur ou pas, si vessie bien remplie à vidanger, puis, qu'elles me vérifient ensuite l'anus, s'il se dilate, s'agite, semble s'ouvrir et de me laissé par ces femmes, doigté pour voir si bien rempli, si je ne ment pas d'envie de caca, du pot et si pas le cas, qui me puniraient durement les unes et les autres entre elles, les unes devant les autres et qui tourneraient afin de me tabasser les fesses à me faire hurler, pleurer par des fessées cinglantes , cuisantes dont les coups, les brulures ou claques, dureraient très longtemps pour me persuader et me faire bien encrer en tête, à qui j'ai à faire, appartiens, à qui je dois obéir, me donner à exécuter les ordres, pour qui je dois être bien docile, et bon garçon chien à ses maîtresses. J'aime fantasmer de ce genre de femmes vicieuses, obscene, véritables nympho, malades sexuelles que tout de moi, exciteraient à fond...