Fascinante Sandra
Récit érotique écrit par Sandratvtg [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur transexuel.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fascinante Sandra
<p>Je suis heureux de passer ce dimanche avec Sandra. C’est une fille superbe qui aime réaliser mes fantasmes en prenant l’initiative lors de nos jeux érotiques.
Aujourd’hui, elle décide de me faire l’amour en inversant les rôles. Je me déshabille fébrilement pendant qu’elle choisit avec soin dans sa garde robe les dessous qu’elle me destine.
- Voilà qui va faire de toi une fille très attirante ma chérie, m’affirme-t-elle en me tendant un ensemble de dentelle affriolant.
Elle m’aide à passer une ensorcelante guêpière rouge et noire très sexy avec ses quatre jarretelles par côté qui maintiennent les coutures des bas bien alignées.
Puis, elle place de somptueuses prothèses en silicone dans mes bonnets 105c.
Ma taille élancée me permet de supporter aisément cette poitrine de rêve qui m’aide à devenir physiquement et mentalement une femme.
D’un geste très féminin, elle roule avec sensualité mes bas et les enfile sur mes jambes en les accrochant aux jarretelles.
J’ai une érection spectaculaire lorsqu’elle remonte lentement deux ravissantes jarretières à la limite de mes bas.
Satisfaite, elle me fixe d’un regard brûlant en explorant de sa main l’intérieur de mes cuisses.
- Ton gros clito m’impressionne ma belle, je meurs d’envie de le faire couler, me dit-t-elle en me pressant tendrement les bourses.
Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour me glisser un adorable slip ouvert qui met ma queue en valeur en dévoilant opportunément l’accès à ma grotte.
Une longue robe de nuit fendue jusqu’à mes hanches et des escarpins achèvent ma transformation.
- Je vais t’assouplir l’oeillet, me dit Sandra.
Sans me laisser le temps de réagir, elle soulève mes dessous et m’enfonce un plug qu’elle pousse dans mes fesses.
- Ne joue pas les effarouchées, tu vas connaître bien d’autres surprises, me dit-t-elle d’un ton moqueur.
Assise devant la coiffeuse, je croise et décroise les jambes pour entendre crisser mes bas et je contracte mes fesses en sentant vivre l’objet plongé dans mon intimité.
Pendant ce temps, Sandra maquille mes yeux et me pose des faux cils. Elle m’applique un rouge intense sur les lèvres et me coiffe d’une perruque blonde bouclée pour achever ma métamorphose.
Perchée sur mes talons aiguilles, je fais quelques pas devant la glace qui me renvoie l’image d’une attrayante salope ayant un peu forcé sur le maquillage…
J’admire ma taille élancée, sanglée dans cette ravissante guêpière qui comprime mes seins.
Je tire sur mes bas en caressant avec volupté la douceur du voile satiné.
Je contemple sans me lasser le galbe parfait de mes jambes mis en valeur par mes escarpins.
J’ai maintenant toutes les armes de la féminité et compte bien m’en servir.
- C’est une magnifique réussite Sandra, mais suis-je à ton goût ?
- Tu me plais beaucoup ma belle.
A genoux devant moi, elle plonge la tête dans mes dessous et remonte lentement ses mains le long de mes cuisses pour jouer avec l’objet qu’elle m’a planté dans la rosette.
Un moment plus tard, après m’avoir bien excitée, elle me culbute sur le lit.
D’un regard prometteur, elle relève ma robe de nuit sur mes seins en dévoilant ma guêpière.
Sournoisement sa main glisse dans la fente de mon slip pour se refermer sur mon sexe gorgé de sang qu’elle masturbe jusqu’à ce qu’il atteigne sa taille idéale.
Puis, elle saisit un gode ceinture noir qu’elle plaque avec soin sur son porte jarretelles.
C’est un triple spécial qui lui permet de se planter un sexe dans la chatte et un autre dans les fesses. Le troisième démesuré m’étant réservé.
Elle enfile sa culotte en latex en s’enfonçant les deux premiers godes. Puis, elle prend son temps pour attacher solidement le mandrin qu’elle me destine.
- Tu as un beau petit cul et je brûle d’envie de le prendre, me dit-t-elle avec un regard lourd.
Debout, face à moi, elle a les seins dressés dans un corset rose et noir. Sa taille est serrée dans une minijupe de cuir ultra courte qui laisse apparaître le pli de ses fesses. Elle est retroussée sur le devant par le phallus géant qui retombe lourdement sur ses cuissardes.
En riant, elle le plaque contre sa cuisse pour évaluer sa taille :
- Regarde comme il est long, il m’arrive au genou, il doit faire au moins trente centimètres.
- Je ne t’ai encore jamais prise avec un mandrin pareil, s’exclame-t-elle.
Me défiant du regard, elle glisse une main appuyée sur la hampe de ce sexe qui me donne des frissons.
Immobile, la bouche entrouverte, elle se passe la langue sur les lèvres en savourant l’instant.
Puis, cambrée sur ses talons aiguilles qui mettent sa chute de reins en valeur, elle s’approche de moi dominatrice et sure d’elle.
Allongée sur le lit, les yeux à la hauteur de sa taille, je contemple avec fascination le lourd balancement du gode entre ses cuisses.
Elle le saisit à deux mains en me fixant intensément. Puis, elle bascule lentement son bassin d’avant en arrière en mimant un coït imaginaire.
- Je vais te prendre maintenant ma belle, allonge toi sur le côté, me dit-t-elle d’un air décidé.
Elle se place derrière moi et me force avec son genou pour y glisser ce sexe infernal.
Se voulant rassurante, elle le fait coulisser entre mes cuisses en massant mon périnée à chaque va et vient.
Malgré mon inquiétude, j’ai très vite une superbe érection qui lui montre que je suis prête pour la suite.
Elle m’enlève alors le plug en examinant attentivement ma rosette.
Lorsqu’elle passe son doigt sur le pourtour plissé de mon anus, elle sent un léger relief qui lui révèle ma longue pratique de la sodomie. Elle explore longuement ce renflement avec sa langue avant de la plonger dans ma grotte en me donnant un plaisir fabuleux.
Elle me sourie d’un air complice et me dit :
- Eh bien ma petite cochonne, je sais maintenant que tu es capable d’accueillir ce gros calibre dans tes fesses.
Elle pointe le gode à l’entrée de mon anneau en l’excitant de petites pressions successives.
Je sais qu’elle va l’enfoncer à fond car elle me prend en levrette qui est la position la mieux adaptée aux pénétrations profondes. C’est donc avec une certaine fébrilité que j’attends son assaut.
Elle s’accroche à ma taille et tente sans succès de forcer mon passage à plusieurs reprises.
Déçue par ses échecs, elle retire le gode de sa fixation pour le lubrifier abondamment en me jetant un regard ambigu.
- Tu ne perds rien pour attendre ma chérie, me dit-t-elle en l’emboîtant avec force sur son socle.
J’entends un bruit sec qui me fait frissonner quand elle le plaque à nouveau sur son ventre. Puis, elle aspire dans un bocal une forte quantité de lubrifiant avec une seringue.
- Avec cette dose, tu vas t’ouvrir plus facilement, m’affirme-t-elle en me plongeant la canule dans les fesses.
Elle appuie lentement sur le piston pour bien répartir le gel et écarte délicatement la fente de mon slip pour poser le gode contre ma rosette.
- Maintenant, cambres toi et pousses au maximum pour m’aider ma belle car il est vraiment très gros, me dit-t-elle.
Je vacille sur mes genoux lorsqu’elle force mon passage. Dilatée à l’extrême, ma rondelle cède brutalement au pal qui m’ouvre en deux et je crie de douleur quand mes chairs s’écrasent devant cette pression intolérable.
Sandra s’active dans mes fesses et me relève une jambe pour s’enfoncer aussi loin que possible.
Elle me masturbe avec une telle ardeur que la douleur s’estompe et je finis par m’offrir moi-même à ce pieu qui me défonce. Voyant cela, elle m’encourage en s’accrochant à ma taille pour m’empaler avec plus d’efficacité.
- C’est bien ma chérie, il est presque entièrement rentré dans tes fesses, me susurre- t-elle à l’oreille.
Soudain, le gode bute contre un obstacle et je vois le visage de Sandra s’assombrir.
- Si prés du but, c’est vraiment dommage, me dit-t-elle.
- Attends, lui dis-je dans un souffle.
J’ondule et roule du bassin pour changer l’inclinaison du gode qui finit par franchir le repli sinueux de ma muqueuse.
Ravie, Sandra me défonce de plus belle et gémit de plaisir en sentant les godes remuer dans son ventre. Elle me baise avec fougue sans s’arrêter de me branler.
Me voyant embrochée jusqu’à la garde, elle se décide enfin à me faire jouir.
Très expérimentée, elle stimule ma glande d’amour de délicieuses pressions successives qui me mettent le feu au ventre et continue à me fouiller les entrailles en observant sur mon visage le plaisir intense qu’elle me donne.
Puis, elle m’achève par d’habiles caresses sur le frein qui font gicler ma semence en abondance sur ses doigts.
Lorsqu’elle sort de mes fesses, elle regarde subjuguée ma rondelle s’étirer sur l’énorme cylindre noir comme pour mieux le retenir.
Elle enlève son gode ceinture et me dit provocante.
- A ton tour de t’occuper de moi, tu sais que je n’ai aucun tabou.
Je l’allonge sur le dos et lui murmure à l’oreille ce que je vais lui faire.
Aussitôt, elle s’abandonne sans réserve et ses yeux brillent de désir quand elle voit l’énorme plug que je tiens à la main.
Elle laisse échapper un soupir quand je le vrille dans ses reins.
Son diamètre imposant comprime fortement son vagin en le rendant plus étroit et donc plus sensible à la pénétration.
En me souriant, elle écarte les jambes et saisit ses talons aiguilles à deux mains pour m’offrir sa vulve.
Cette attitude sensuelle et son regard pervers me stimulent les sens.
Je m’engouffre avec fougue dans sa chatte resserrée en la faisant fondre de bonheur.
- Continue à me baiser, je te sens mieux en moi. Tu as eu une idée géniale, me dit-t-elle survoltée en m’entourant la taille avec ses cuisses.
Un moment plus tard, je me retire et lui enlève le plug pour lui faire découvrir d’autres plaisirs.
Avec la paume de main, je pousse un gode dans son vagin et enfonce en même temps mon majeur dans ses fesses. Tandis que de l’autre, j’applique un vibromasseur sur son clito.
Son plaisir monte aussi vite que mon sexe se durcit, je la bascule alors doucement sur le côté pour rentrer cette fois-ci dans ses reins.
- J’adore être dans ton petit trou et sentir ton anneau me presser la queue, lui dis-je.
Emboîtées l’une dans l’autre, je pilonne son vagin avec le gode et fait vibrer son clito qui ne me résiste pas longtemps.
Lorsqu’elle jouit, elle contracte par réflexe ses muscles intimes qui me serrent puissamment la verge. Haletante, elle coule comme une fontaine et m’inonde le ventre de cyprine en criant sans retenue son plaisir.
- Quel pied tu m’as fait prendre ! S’exclame-t-elle.
Elle se met sur le dos pour reprendre ses esprits en me laissant m’activer à ma guise dans ses fesses. Allongée sur elle, je lui travaille l’œillet depuis un moment, quand soudain, elle m’entoure la taille avec ses cuissardes et me dit :
- Ne bouge plus, et laisse moi faire.
Elle se colle contre moi en tortillant du bassin.
- Je vais te vider les couilles jusqu’à la dernière goutte, me chuchote-t-elle à l’oreille en croisant ses jambes dans mon dos pour m’immobiliser.
Puis, elle presse mes bourses entre ses doigts tout en me plantant un gode dans les reins.
J’essaie désespérément d’échapper à ce pal qu’elle manie avec une efficacité diabolique.
Implacable, elle ne me laisse aucune chance en le pressant fortement dans mon fourreau.
Au bord de la jouissance, je sens monter ma sève et abandonne alors toute résistance.
Elle me jette un regard triomphant quand je crie de plaisir en explosant dans son ventre.
Puis, elle se relève pour éponger avec une certaine incrédulité les longues coulées de sperme qui s’échappent abondamment de ses fesses, très surprise par la quantité recueillie.
- Et bien ma chérie, tu avais des réserves. Repose toi un instant et regarde moi jouir.
Assise face à moi, elle fléchit les jambes en commençant à se masturber d’un air coquin.
Puis, avec un érotisme torride, elle s’enfonce un gode dans la chatte en posant un vibro sur son clito.
Au bout d’un moment, submergée par le plaisir, son regard se voile.
Elle est vraiment très belle. J’admire ses gestes gracieux, ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur son ventre et ses bas à couture sortant de ses cuissardes.
Sans pudeur, les cuisses largement ouvertes, elle jouit devant moi en me regardant fixement le corps agité de spasmes incontrôlés.
Reprenant ses esprits, elle se lève et sort d’un tiroir un plug gonflable vibrant d’une redoutable efficacité. Elle l’agite triomphalement devant moi avec une lueur d’excitation dans les yeux.
- Il est maintenant temps que je m’occupe de toi et je sais que tu adores particulièrement ce jouet. Allonge toi sur le dos, m’intime-t-elle d’une voix ferme.
D’un geste précis, elle le plonge dans mes reins en le gonflant rapidement.
La pression écrase ma glande interne qui se défend en laissant échapper un mince filet de sperme sur mon bas.
- Ne jouis pas maintenant, me dit-t-elle en me serrant la queue pour faire retomber mon désir.
Avec patience, elle attend un moment avant de poursuivre.
Quand la tension devient insupportable, elle me soulage en laissant s’échapper un peu d’air du ballonnet avant de le regonfler.
Je finis par m’habituer à ces dilatations successives et lui réclame des pressions de plus en plus fortes pendant qu’elle me suce divinement la queue.
Elle s’arrête de me pomper lorsqu’elle voit que mon orgasme est proche.
- Je vais te faire découvrir mon dernier achat, me susurre-t-elle.
Elle me retire alors le plug et sort sournoisement des draps un gode spécial recouvert de reliefs irréguliers sur sa hampe.
Elle le lubrifie avec un regard lourd en me plantant sournoisement son orteil dans l’anus pour me faire patienter.
Puis, impassible, elle me montre le gourdin recouvert de sculptures saillantes qu’elle me destine.
- Il est beaucoup trop gros, lui dis-je avec inquiétude.
- Non ma chérie, je vais te rentrer facilement ses six cent grammes dans les fesses car tu es déjà bien ouverte, me répond-t-elle avec assurance.
Elle empoigne le gode avec un rire de gorge et un regard équivoque qui augure bien de ce qu’elle me réserve.
Je croise son regard brûlant et bande déjà comme un malade en sachant que mon anneau tiendra bientôt le rôle principal dans son scénario.
Déterminée, elle écarte mes cuisses et contemple mon oeillet qui s’ouvre comme une fleur.
Je tremble d’appréhension et de désir quand elle pose mes jambes gainées de nylon sur ses épaules.
- Je vais t’enfiler ma belle, dit-t-elle en me pressant contre elle.
Je sens cette trique noueuse se frayer un passage dans mes reins. Pendant un instant, je tente de ralentir sa progression. Mais, Sandra m’enlève toute résistance en me masturbant d’une main experte.
Satisfaite de me voir en son pouvoir, elle pousse toujours plus loin le gode en le tournant de droite à gauche pour me faire sentir son relief tourmenté.
Elle me sodomise lentement en voyant passer successivement dans mes yeux la surprise, la crainte, le plaisir.
- Il est maintenant enfoncé jusqu’au ras de tes fesses ma chérie et ton clito va exploser si je continue à te défoncer à ce rythme, me chuchote-t-elle à l’oreille.
Elle m’accorde donc un instant de répit et libère ma croupe pour faire retomber ma tension.
Me sentant libre, je me tourne sur le ventre pour mettre de l’ordre dans mes dessous.
- Tu as de très belles jambes et un cul magnifique, s’exclame Sandra en écartant mes fesses pour y plonger sa langue.
Un instant plus tard, me voyant détendue, elle ouvre la fente de mon slip en me replantant brutalement le gode dans les reins.
Prise par surprise et totalement relâchée, elle l’enfonce à deux mains sans que je puisse réagir.
Je gémis lorsque le pieu termine sa course au plus profond de mes entrailles.
Clouée par ce dard qui me coupe la respiration, je n’ose plus bouger et Sandra en profite pour assurer sa prise.
Insatiable, elle pilonne ma prostate avec insistance.
Je suffoque de plaisir lorsqu’elle amplifie les rotations du gode en explorant les moindres replis de mes entrailles.
Je vois dans son regard qu’elle ne va pas tarder à me faire jouir.
Pour cela, elle me retourne sur le dos et s’allonge sur moi tête bêche.
La tête entre ses jambes, je suis sans défense, entravée par le poids de son corps pendant qu’elle m’ouvre les cuisses pour pouvoir me défoncer sous tous les angles.
Elle m’amène au bord de l’orgasme en posant un instant le vibromasseur sur mon gland qui laisse échapper quelques gouttes de sperme sur ma guêpière.
Je m’agite frénétiquement, le corps tendu en arc de cercle dans l’attente de ma délivrance.
Surprise par ma réaction qui la déséquilibre, elle m’étouffe en serrant mon visage entre ses cuisses gainées de nylon pour garder le contrôle.
- Du calme ma belle, laisse moi t’achever me dit-t-elle en me recouvrant la tête de ses dessous.
Avant de poursuivre, elle regarde dans quel état elle m’a mise.
La queue tendue, humide, tressautant de désir, elle sait qu’elle ne peut plus la toucher sans la faire exploser.
Mon sperme perle à la surface de mon gland sans toutefois me faire atteindre le point de non- retour.
Sandra continue à me goder en me faisant ressentir pleinement cette jouissance anale qui m’envahit d’une manière diffuse et durable.
Elle fait tout pour prolonger ce fragile équilibre en remuant imperceptiblement le gode dans mes fesses.
Puis, elle se redresse et me jette un dernier regard avant de me vider.
Avec fougue, elle avale ma queue gonflée de désir et pousse le pal à fond dans mon ventre en me gratifiant d’habiles coups de poignet.
Malgré mes soubresauts, elle me tient fermement et me défonce sans fléchir ni s’arrêter.
Je me raidis et serre les fesses pour retarder ma jouissance.
Mais devant son savoir faire et son obstination, je cesse tout combat.
- Achève moi ma chérie, je ne peux plus attendre, lui dis-je d’un ton suppliant
Elle me fait jouir et entend mon cri de délivrance lorsque mon sperme se libère à gros bouillons dans sa gorge.
Elle sent avec excitation le gode tressauter de nombreuses fois dans sa main, témoignant de mes fortes contractions anales et du fabuleux orgasme qu’elle me donne.
Heureuse de m’avoir fait vibrer avec une telle intensité, elle me donne un long baiser profond auquel je réponds faiblement encore toute étourdie de plaisir.
Brûlante de désir, elle veut poursuivre nos jeux et s’enfonce un dong épais dans la chatte. Elle s’allonge entre mes jambes en se préparant à m’empaler avec l’autre extrémité.
- J’en ai pas fini avec toi ma chérie, me dit-t-elle.
Face à moi, ses yeux rivés aux miens, elle me pénètre lentement en s’aidant de sa main.
Lorsqu’elle gémit de plaisir, je le saisis à mon tour pour le faire coulisser dans son fourreau jusqu’à ce qu’elle jouisse sur mon ventre.
Puis, elle continue à m’empaler en accomplissant l’exploit de me sucer la queue dans cette position.
Sodomisée et pompée à la fois, je sens la sève monter très vite dans mes reins.
Au moment crucial, elle se retire de mes fesses avec un sourire malicieux.
Elle plonge avec assurance son majeur dans mon fourreau en le recourbant vers le haut pour que la pulpe de son doigt presse ma glande interne.
Elle la masse avec insistance jusqu’à ce que mon corps vibre à nouveau de plaisir.
Quand elle me voit les yeux mi clos et en extase, elle lèche mon frein avec sa langue en faisant perler les premières gouttes de liqueur sur mon gland.
- Vide toi lentement ma belle, ce sera meilleure, m’assure-t-elle.
Elle regarde avec excitation mon sperme couler d’abord en un jet épais et continu qui se transforme peu à peu en un mince filet blanchâtre inondant ma guêpière
Dans le même temps, elle me caresse les bourses pour prolonger mon orgasme.
Lorsque je reprends mes esprits, elle m’implore du regard pour que j’apaise à mon tour sa libido.
- Fais moi jouir vite, me supplie-t-elle en se collant contre moi.
J’introduis alors mon pouce dans sa chatte et mon index dans ses fesses. Puis, je frotte doucement d’un mouvement circulaire la fine membrane interne qui sépare ses muqueuses.
Je sens très vite qu’elle apprécie mon massage.
Simultanément, je pose le vibromasseur sur son clito en amplifiant les vibrations qui déclenchent rapidement son orgasme. Sandra
Merci de me donner votre avis et vos suggestions sur cette histoire. sandratvtg@yahoo.fr
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Aujourd’hui, elle décide de me faire l’amour en inversant les rôles. Je me déshabille fébrilement pendant qu’elle choisit avec soin dans sa garde robe les dessous qu’elle me destine.
- Voilà qui va faire de toi une fille très attirante ma chérie, m’affirme-t-elle en me tendant un ensemble de dentelle affriolant.
Elle m’aide à passer une ensorcelante guêpière rouge et noire très sexy avec ses quatre jarretelles par côté qui maintiennent les coutures des bas bien alignées.
Puis, elle place de somptueuses prothèses en silicone dans mes bonnets 105c.
Ma taille élancée me permet de supporter aisément cette poitrine de rêve qui m’aide à devenir physiquement et mentalement une femme.
D’un geste très féminin, elle roule avec sensualité mes bas et les enfile sur mes jambes en les accrochant aux jarretelles.
J’ai une érection spectaculaire lorsqu’elle remonte lentement deux ravissantes jarretières à la limite de mes bas.
Satisfaite, elle me fixe d’un regard brûlant en explorant de sa main l’intérieur de mes cuisses.
- Ton gros clito m’impressionne ma belle, je meurs d’envie de le faire couler, me dit-t-elle en me pressant tendrement les bourses.
Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour me glisser un adorable slip ouvert qui met ma queue en valeur en dévoilant opportunément l’accès à ma grotte.
Une longue robe de nuit fendue jusqu’à mes hanches et des escarpins achèvent ma transformation.
- Je vais t’assouplir l’oeillet, me dit Sandra.
Sans me laisser le temps de réagir, elle soulève mes dessous et m’enfonce un plug qu’elle pousse dans mes fesses.
- Ne joue pas les effarouchées, tu vas connaître bien d’autres surprises, me dit-t-elle d’un ton moqueur.
Assise devant la coiffeuse, je croise et décroise les jambes pour entendre crisser mes bas et je contracte mes fesses en sentant vivre l’objet plongé dans mon intimité.
Pendant ce temps, Sandra maquille mes yeux et me pose des faux cils. Elle m’applique un rouge intense sur les lèvres et me coiffe d’une perruque blonde bouclée pour achever ma métamorphose.
Perchée sur mes talons aiguilles, je fais quelques pas devant la glace qui me renvoie l’image d’une attrayante salope ayant un peu forcé sur le maquillage…
J’admire ma taille élancée, sanglée dans cette ravissante guêpière qui comprime mes seins.
Je tire sur mes bas en caressant avec volupté la douceur du voile satiné.
Je contemple sans me lasser le galbe parfait de mes jambes mis en valeur par mes escarpins.
J’ai maintenant toutes les armes de la féminité et compte bien m’en servir.
- C’est une magnifique réussite Sandra, mais suis-je à ton goût ?
- Tu me plais beaucoup ma belle.
A genoux devant moi, elle plonge la tête dans mes dessous et remonte lentement ses mains le long de mes cuisses pour jouer avec l’objet qu’elle m’a planté dans la rosette.
Un moment plus tard, après m’avoir bien excitée, elle me culbute sur le lit.
D’un regard prometteur, elle relève ma robe de nuit sur mes seins en dévoilant ma guêpière.
Sournoisement sa main glisse dans la fente de mon slip pour se refermer sur mon sexe gorgé de sang qu’elle masturbe jusqu’à ce qu’il atteigne sa taille idéale.
Puis, elle saisit un gode ceinture noir qu’elle plaque avec soin sur son porte jarretelles.
C’est un triple spécial qui lui permet de se planter un sexe dans la chatte et un autre dans les fesses. Le troisième démesuré m’étant réservé.
Elle enfile sa culotte en latex en s’enfonçant les deux premiers godes. Puis, elle prend son temps pour attacher solidement le mandrin qu’elle me destine.
- Tu as un beau petit cul et je brûle d’envie de le prendre, me dit-t-elle avec un regard lourd.
Debout, face à moi, elle a les seins dressés dans un corset rose et noir. Sa taille est serrée dans une minijupe de cuir ultra courte qui laisse apparaître le pli de ses fesses. Elle est retroussée sur le devant par le phallus géant qui retombe lourdement sur ses cuissardes.
En riant, elle le plaque contre sa cuisse pour évaluer sa taille :
- Regarde comme il est long, il m’arrive au genou, il doit faire au moins trente centimètres.
- Je ne t’ai encore jamais prise avec un mandrin pareil, s’exclame-t-elle.
Me défiant du regard, elle glisse une main appuyée sur la hampe de ce sexe qui me donne des frissons.
Immobile, la bouche entrouverte, elle se passe la langue sur les lèvres en savourant l’instant.
Puis, cambrée sur ses talons aiguilles qui mettent sa chute de reins en valeur, elle s’approche de moi dominatrice et sure d’elle.
Allongée sur le lit, les yeux à la hauteur de sa taille, je contemple avec fascination le lourd balancement du gode entre ses cuisses.
Elle le saisit à deux mains en me fixant intensément. Puis, elle bascule lentement son bassin d’avant en arrière en mimant un coït imaginaire.
- Je vais te prendre maintenant ma belle, allonge toi sur le côté, me dit-t-elle d’un air décidé.
Elle se place derrière moi et me force avec son genou pour y glisser ce sexe infernal.
Se voulant rassurante, elle le fait coulisser entre mes cuisses en massant mon périnée à chaque va et vient.
Malgré mon inquiétude, j’ai très vite une superbe érection qui lui montre que je suis prête pour la suite.
Elle m’enlève alors le plug en examinant attentivement ma rosette.
Lorsqu’elle passe son doigt sur le pourtour plissé de mon anus, elle sent un léger relief qui lui révèle ma longue pratique de la sodomie. Elle explore longuement ce renflement avec sa langue avant de la plonger dans ma grotte en me donnant un plaisir fabuleux.
Elle me sourie d’un air complice et me dit :
- Eh bien ma petite cochonne, je sais maintenant que tu es capable d’accueillir ce gros calibre dans tes fesses.
Elle pointe le gode à l’entrée de mon anneau en l’excitant de petites pressions successives.
Je sais qu’elle va l’enfoncer à fond car elle me prend en levrette qui est la position la mieux adaptée aux pénétrations profondes. C’est donc avec une certaine fébrilité que j’attends son assaut.
Elle s’accroche à ma taille et tente sans succès de forcer mon passage à plusieurs reprises.
Déçue par ses échecs, elle retire le gode de sa fixation pour le lubrifier abondamment en me jetant un regard ambigu.
- Tu ne perds rien pour attendre ma chérie, me dit-t-elle en l’emboîtant avec force sur son socle.
J’entends un bruit sec qui me fait frissonner quand elle le plaque à nouveau sur son ventre. Puis, elle aspire dans un bocal une forte quantité de lubrifiant avec une seringue.
- Avec cette dose, tu vas t’ouvrir plus facilement, m’affirme-t-elle en me plongeant la canule dans les fesses.
Elle appuie lentement sur le piston pour bien répartir le gel et écarte délicatement la fente de mon slip pour poser le gode contre ma rosette.
- Maintenant, cambres toi et pousses au maximum pour m’aider ma belle car il est vraiment très gros, me dit-t-elle.
Je vacille sur mes genoux lorsqu’elle force mon passage. Dilatée à l’extrême, ma rondelle cède brutalement au pal qui m’ouvre en deux et je crie de douleur quand mes chairs s’écrasent devant cette pression intolérable.
Sandra s’active dans mes fesses et me relève une jambe pour s’enfoncer aussi loin que possible.
Elle me masturbe avec une telle ardeur que la douleur s’estompe et je finis par m’offrir moi-même à ce pieu qui me défonce. Voyant cela, elle m’encourage en s’accrochant à ma taille pour m’empaler avec plus d’efficacité.
- C’est bien ma chérie, il est presque entièrement rentré dans tes fesses, me susurre- t-elle à l’oreille.
Soudain, le gode bute contre un obstacle et je vois le visage de Sandra s’assombrir.
- Si prés du but, c’est vraiment dommage, me dit-t-elle.
- Attends, lui dis-je dans un souffle.
J’ondule et roule du bassin pour changer l’inclinaison du gode qui finit par franchir le repli sinueux de ma muqueuse.
Ravie, Sandra me défonce de plus belle et gémit de plaisir en sentant les godes remuer dans son ventre. Elle me baise avec fougue sans s’arrêter de me branler.
Me voyant embrochée jusqu’à la garde, elle se décide enfin à me faire jouir.
Très expérimentée, elle stimule ma glande d’amour de délicieuses pressions successives qui me mettent le feu au ventre et continue à me fouiller les entrailles en observant sur mon visage le plaisir intense qu’elle me donne.
Puis, elle m’achève par d’habiles caresses sur le frein qui font gicler ma semence en abondance sur ses doigts.
Lorsqu’elle sort de mes fesses, elle regarde subjuguée ma rondelle s’étirer sur l’énorme cylindre noir comme pour mieux le retenir.
Elle enlève son gode ceinture et me dit provocante.
- A ton tour de t’occuper de moi, tu sais que je n’ai aucun tabou.
Je l’allonge sur le dos et lui murmure à l’oreille ce que je vais lui faire.
Aussitôt, elle s’abandonne sans réserve et ses yeux brillent de désir quand elle voit l’énorme plug que je tiens à la main.
Elle laisse échapper un soupir quand je le vrille dans ses reins.
Son diamètre imposant comprime fortement son vagin en le rendant plus étroit et donc plus sensible à la pénétration.
En me souriant, elle écarte les jambes et saisit ses talons aiguilles à deux mains pour m’offrir sa vulve.
Cette attitude sensuelle et son regard pervers me stimulent les sens.
Je m’engouffre avec fougue dans sa chatte resserrée en la faisant fondre de bonheur.
- Continue à me baiser, je te sens mieux en moi. Tu as eu une idée géniale, me dit-t-elle survoltée en m’entourant la taille avec ses cuisses.
Un moment plus tard, je me retire et lui enlève le plug pour lui faire découvrir d’autres plaisirs.
Avec la paume de main, je pousse un gode dans son vagin et enfonce en même temps mon majeur dans ses fesses. Tandis que de l’autre, j’applique un vibromasseur sur son clito.
Son plaisir monte aussi vite que mon sexe se durcit, je la bascule alors doucement sur le côté pour rentrer cette fois-ci dans ses reins.
- J’adore être dans ton petit trou et sentir ton anneau me presser la queue, lui dis-je.
Emboîtées l’une dans l’autre, je pilonne son vagin avec le gode et fait vibrer son clito qui ne me résiste pas longtemps.
Lorsqu’elle jouit, elle contracte par réflexe ses muscles intimes qui me serrent puissamment la verge. Haletante, elle coule comme une fontaine et m’inonde le ventre de cyprine en criant sans retenue son plaisir.
- Quel pied tu m’as fait prendre ! S’exclame-t-elle.
Elle se met sur le dos pour reprendre ses esprits en me laissant m’activer à ma guise dans ses fesses. Allongée sur elle, je lui travaille l’œillet depuis un moment, quand soudain, elle m’entoure la taille avec ses cuissardes et me dit :
- Ne bouge plus, et laisse moi faire.
Elle se colle contre moi en tortillant du bassin.
- Je vais te vider les couilles jusqu’à la dernière goutte, me chuchote-t-elle à l’oreille en croisant ses jambes dans mon dos pour m’immobiliser.
Puis, elle presse mes bourses entre ses doigts tout en me plantant un gode dans les reins.
J’essaie désespérément d’échapper à ce pal qu’elle manie avec une efficacité diabolique.
Implacable, elle ne me laisse aucune chance en le pressant fortement dans mon fourreau.
Au bord de la jouissance, je sens monter ma sève et abandonne alors toute résistance.
Elle me jette un regard triomphant quand je crie de plaisir en explosant dans son ventre.
Puis, elle se relève pour éponger avec une certaine incrédulité les longues coulées de sperme qui s’échappent abondamment de ses fesses, très surprise par la quantité recueillie.
- Et bien ma chérie, tu avais des réserves. Repose toi un instant et regarde moi jouir.
Assise face à moi, elle fléchit les jambes en commençant à se masturber d’un air coquin.
Puis, avec un érotisme torride, elle s’enfonce un gode dans la chatte en posant un vibro sur son clito.
Au bout d’un moment, submergée par le plaisir, son regard se voile.
Elle est vraiment très belle. J’admire ses gestes gracieux, ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur son ventre et ses bas à couture sortant de ses cuissardes.
Sans pudeur, les cuisses largement ouvertes, elle jouit devant moi en me regardant fixement le corps agité de spasmes incontrôlés.
Reprenant ses esprits, elle se lève et sort d’un tiroir un plug gonflable vibrant d’une redoutable efficacité. Elle l’agite triomphalement devant moi avec une lueur d’excitation dans les yeux.
- Il est maintenant temps que je m’occupe de toi et je sais que tu adores particulièrement ce jouet. Allonge toi sur le dos, m’intime-t-elle d’une voix ferme.
D’un geste précis, elle le plonge dans mes reins en le gonflant rapidement.
La pression écrase ma glande interne qui se défend en laissant échapper un mince filet de sperme sur mon bas.
- Ne jouis pas maintenant, me dit-t-elle en me serrant la queue pour faire retomber mon désir.
Avec patience, elle attend un moment avant de poursuivre.
Quand la tension devient insupportable, elle me soulage en laissant s’échapper un peu d’air du ballonnet avant de le regonfler.
Je finis par m’habituer à ces dilatations successives et lui réclame des pressions de plus en plus fortes pendant qu’elle me suce divinement la queue.
Elle s’arrête de me pomper lorsqu’elle voit que mon orgasme est proche.
- Je vais te faire découvrir mon dernier achat, me susurre-t-elle.
Elle me retire alors le plug et sort sournoisement des draps un gode spécial recouvert de reliefs irréguliers sur sa hampe.
Elle le lubrifie avec un regard lourd en me plantant sournoisement son orteil dans l’anus pour me faire patienter.
Puis, impassible, elle me montre le gourdin recouvert de sculptures saillantes qu’elle me destine.
- Il est beaucoup trop gros, lui dis-je avec inquiétude.
- Non ma chérie, je vais te rentrer facilement ses six cent grammes dans les fesses car tu es déjà bien ouverte, me répond-t-elle avec assurance.
Elle empoigne le gode avec un rire de gorge et un regard équivoque qui augure bien de ce qu’elle me réserve.
Je croise son regard brûlant et bande déjà comme un malade en sachant que mon anneau tiendra bientôt le rôle principal dans son scénario.
Déterminée, elle écarte mes cuisses et contemple mon oeillet qui s’ouvre comme une fleur.
Je tremble d’appréhension et de désir quand elle pose mes jambes gainées de nylon sur ses épaules.
- Je vais t’enfiler ma belle, dit-t-elle en me pressant contre elle.
Je sens cette trique noueuse se frayer un passage dans mes reins. Pendant un instant, je tente de ralentir sa progression. Mais, Sandra m’enlève toute résistance en me masturbant d’une main experte.
Satisfaite de me voir en son pouvoir, elle pousse toujours plus loin le gode en le tournant de droite à gauche pour me faire sentir son relief tourmenté.
Elle me sodomise lentement en voyant passer successivement dans mes yeux la surprise, la crainte, le plaisir.
- Il est maintenant enfoncé jusqu’au ras de tes fesses ma chérie et ton clito va exploser si je continue à te défoncer à ce rythme, me chuchote-t-elle à l’oreille.
Elle m’accorde donc un instant de répit et libère ma croupe pour faire retomber ma tension.
Me sentant libre, je me tourne sur le ventre pour mettre de l’ordre dans mes dessous.
- Tu as de très belles jambes et un cul magnifique, s’exclame Sandra en écartant mes fesses pour y plonger sa langue.
Un instant plus tard, me voyant détendue, elle ouvre la fente de mon slip en me replantant brutalement le gode dans les reins.
Prise par surprise et totalement relâchée, elle l’enfonce à deux mains sans que je puisse réagir.
Je gémis lorsque le pieu termine sa course au plus profond de mes entrailles.
Clouée par ce dard qui me coupe la respiration, je n’ose plus bouger et Sandra en profite pour assurer sa prise.
Insatiable, elle pilonne ma prostate avec insistance.
Je suffoque de plaisir lorsqu’elle amplifie les rotations du gode en explorant les moindres replis de mes entrailles.
Je vois dans son regard qu’elle ne va pas tarder à me faire jouir.
Pour cela, elle me retourne sur le dos et s’allonge sur moi tête bêche.
La tête entre ses jambes, je suis sans défense, entravée par le poids de son corps pendant qu’elle m’ouvre les cuisses pour pouvoir me défoncer sous tous les angles.
Elle m’amène au bord de l’orgasme en posant un instant le vibromasseur sur mon gland qui laisse échapper quelques gouttes de sperme sur ma guêpière.
Je m’agite frénétiquement, le corps tendu en arc de cercle dans l’attente de ma délivrance.
Surprise par ma réaction qui la déséquilibre, elle m’étouffe en serrant mon visage entre ses cuisses gainées de nylon pour garder le contrôle.
- Du calme ma belle, laisse moi t’achever me dit-t-elle en me recouvrant la tête de ses dessous.
Avant de poursuivre, elle regarde dans quel état elle m’a mise.
La queue tendue, humide, tressautant de désir, elle sait qu’elle ne peut plus la toucher sans la faire exploser.
Mon sperme perle à la surface de mon gland sans toutefois me faire atteindre le point de non- retour.
Sandra continue à me goder en me faisant ressentir pleinement cette jouissance anale qui m’envahit d’une manière diffuse et durable.
Elle fait tout pour prolonger ce fragile équilibre en remuant imperceptiblement le gode dans mes fesses.
Puis, elle se redresse et me jette un dernier regard avant de me vider.
Avec fougue, elle avale ma queue gonflée de désir et pousse le pal à fond dans mon ventre en me gratifiant d’habiles coups de poignet.
Malgré mes soubresauts, elle me tient fermement et me défonce sans fléchir ni s’arrêter.
Je me raidis et serre les fesses pour retarder ma jouissance.
Mais devant son savoir faire et son obstination, je cesse tout combat.
- Achève moi ma chérie, je ne peux plus attendre, lui dis-je d’un ton suppliant
Elle me fait jouir et entend mon cri de délivrance lorsque mon sperme se libère à gros bouillons dans sa gorge.
Elle sent avec excitation le gode tressauter de nombreuses fois dans sa main, témoignant de mes fortes contractions anales et du fabuleux orgasme qu’elle me donne.
Heureuse de m’avoir fait vibrer avec une telle intensité, elle me donne un long baiser profond auquel je réponds faiblement encore toute étourdie de plaisir.
Brûlante de désir, elle veut poursuivre nos jeux et s’enfonce un dong épais dans la chatte. Elle s’allonge entre mes jambes en se préparant à m’empaler avec l’autre extrémité.
- J’en ai pas fini avec toi ma chérie, me dit-t-elle.
Face à moi, ses yeux rivés aux miens, elle me pénètre lentement en s’aidant de sa main.
Lorsqu’elle gémit de plaisir, je le saisis à mon tour pour le faire coulisser dans son fourreau jusqu’à ce qu’elle jouisse sur mon ventre.
Puis, elle continue à m’empaler en accomplissant l’exploit de me sucer la queue dans cette position.
Sodomisée et pompée à la fois, je sens la sève monter très vite dans mes reins.
Au moment crucial, elle se retire de mes fesses avec un sourire malicieux.
Elle plonge avec assurance son majeur dans mon fourreau en le recourbant vers le haut pour que la pulpe de son doigt presse ma glande interne.
Elle la masse avec insistance jusqu’à ce que mon corps vibre à nouveau de plaisir.
Quand elle me voit les yeux mi clos et en extase, elle lèche mon frein avec sa langue en faisant perler les premières gouttes de liqueur sur mon gland.
- Vide toi lentement ma belle, ce sera meilleure, m’assure-t-elle.
Elle regarde avec excitation mon sperme couler d’abord en un jet épais et continu qui se transforme peu à peu en un mince filet blanchâtre inondant ma guêpière
Dans le même temps, elle me caresse les bourses pour prolonger mon orgasme.
Lorsque je reprends mes esprits, elle m’implore du regard pour que j’apaise à mon tour sa libido.
- Fais moi jouir vite, me supplie-t-elle en se collant contre moi.
J’introduis alors mon pouce dans sa chatte et mon index dans ses fesses. Puis, je frotte doucement d’un mouvement circulaire la fine membrane interne qui sépare ses muqueuses.
Je sens très vite qu’elle apprécie mon massage.
Simultanément, je pose le vibromasseur sur son clito en amplifiant les vibrations qui déclenchent rapidement son orgasme. Sandra
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