Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. IV

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Récit libertin : Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. IV Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. IV
FATALISME VII
A lire d’autres témoignages, les trios ne posent pas de problèmes. Cela doit être vrai quand ils durent le temps d’une étreinte sexuelle même longue. Mais quand ces trios deviennent un mode de vie. Cela devient très compliqué.
Kemb venait un W.E. sur deux.
Margot emmenait les enfants chez les “papi-mamie” dès le vendredi soir. Et nous vivions ensembles jusqu’au dimanche après-midi. Des fois, il ne partait que le lundi matin.
En plus il fallait gérer ses gardes à l'hôpital.
En semaine, quand j’étais en déplacement, ils n’hésitaient pas à se voir à l’association. Et Margot ne me le cachait pas au téléphone.
Les premières conversations sur ce sujet donnent un pincement au cœur car pour un mari même consentant, entendre sa femme lui dire:- Il était en super forme aujourd’hui…. Je le sentais dur tout au fond de mon ventre... Tu peux savoir comme je mouillais chéri... On l’a fait dans les douches du gymnase… Je vais me mettre de la crème adoucissante entre les fesses parce que cette après-midi je te dis pas ce que j‘ai pris Didou... etc.....
Cela fait un choc, un sacré choc même. Des fois on se prend pour le roi des cons à accepter, et des fois on se branle en l’écoutant avidement détailler les choses.
Il y a aussi une organisation matérielle à gérer:Faire les achats alimentaires pour trois adultes en tenant compte des goûts de l’amant.
S’habituer à voir une autre paire de chaussure d’homme, d’autres sous-vêtements que les vôtres, un autre rasoir, une autre brosse à dents etc....
Voir sa femme repasser et plier les fringues de son amant.
Et tout cacher pour le retour des enfants.
Et dormir!!!
Dormir à trois dans un lit n’est vraiment pas pratique. Pas pratique du tout.
Çà va pour des étreintes. Mais pour se reposer... Bonjour...
S’habituer à voir un mec nu en train de se raser, de prendre une douche. Sentir sa sueur ou son eau de toilette. Découvrir de nouvelles odeurs dans son lit.
Il y a aussi les comparaisons bien sûr. Muscles, sexes, endurances etc...
Bref tout un nouveau monde pour un mari consentant par la force des choses.
Et avec le recul, je dois reconnaître que Margot a su gérer tout cela, avec sourire, bonne humeur et beaucoup de finesses politique.
Ce n’était pas l’entente cordiale entre Kemb et moi, mais ce n’était pas non plus la guerre froide et les deux nous avions Margot comme point d’attache.
Et le sexe dans tout cela ?
Beaucoup d’entre vous m’ont posé cette question.
Les premières fois sont troublantes, bizarres et excitantes, des fois choquantes.
C’est très troublant de voir sa femme faire des gestes d’amour que vous connaissez bien avec un autre. La voir prendre le sexe en main de la même manière qu’avec vous. La voir l’embrasser, le lécher, le prendre en bouche de cette façon inimitable que vous, vous connaissez par cœur.
La voir se cambrer devant un autre homme. La voir introduire sa langue dans une autre bouche. La voir ouvrir ces jambes et se montrer sans pudeur.
La voir aussi jouir tellement fort.
Voir l’inconnu au sexe d’ébène bien dur, prendre possession de votre moitié. Le voir la labourer en force. Voir le corps de votre femme tressauter sous les assauts. La voir se tordre de bonheur. Vois son visage d’ange se contracter, transpirer.
L’entendre encourager l’amant à aller plus vite, plus loin.
La voir aussi obéir sans rechigner et faire des choses que vous n’auriez jamais oser lui demander par respect.
Voir Margot se mettre en levrette en plein salon…. Ouvrir elle-même ses fesses pour dévoiler son œillet tout plissé… L'entendre nous demandez de la sodomiser...
Voir cette grosse queue s’enfoncer lentement et en pleine lumière dans le cul de votre femme. Et découvrir qu’elle le supporte sans problème. Voir Kemb la défoncer avec violence en lui claquant les fesses. Vous avez mal pour elle, mais vous êtes tout ahuri de vous apercevoir que votre femme aime cela.
La voir assise sur un fauteuil, et mettre ses jambes sur les accoudoirs à notre demande, nous offrant ainsi une vue à couper le souffle sur son abricot. Voir ses doigts investir sa fente. La voir se caresser sans pudeur. La voir impudique, se faire jouir seule devant nous.
Et bien sur la découverte des nouvelles figures qu’autorise le trio.
Un devant , un derrière et sentir la queue de l’autre à travers la paroi vaginale. Un qui est sucé pendant que l’autre honore le sexe ou les fesses. La voir essayer de nous sucer les deux.
Et puis beaucoup d’impudeur puisque nous vivions nus pratiquement toute la journée.
Nous mettions juste un short Kemb et moi. Margot à ma grande surprise restait nue à la demande expresse de Kemb. Et c’était cela qui me mettais le plus mal à l’aise.
La voir constamment à poil et accepter sans rien dire de rapides caresses quand son amant passait à côté d’elle. Des fois même cela aller au-delà, puisqu’il n’hésitait pas à lui enfoncer ses doigts dans le sexe ou entre les fesses.
Elle se laisser faire devant moi sans rien dire, avec un petit sourire sur les lèvres. Et souvent elle finissait à genoux avec la bitte de Kemb dans la bouche. Et bien sur elle ne refusait pas la mienne après.
Car les trios étaient très équilibrés entre Kemb et moi. Il n’y avait ni perdant ni gagnant. Nous faisons l’amour à trois. Dans un équilibre qui me paraissait normal.
Cela a duré six mois. Six mois avant que je découvre qu'en réalité, Kemb a assis doucement son pouvoir sur nous.
Margot avait une confiance aveugle en son amant. Et souvent quand je n’était pas d’accord, elle me faisait changer d’avis avec beaucoup de douceur ou de finesse pour ne heurter aucun de nous.
Ensuite le comportement de Kemb était d’un machisme absolu. Il ne participait jamais aux corvées et cela ne le dérangeait pas du tout d’être servis à table par ma femme, de ne rien débarrasser etc… Son éducation sans doute.
Au niveau sexuel aussi il prenait insidieusement le pouvoir.
Au début je n’avais pas compris pourquoi il me laissait commencer avec Margot. Au contraire cela me flattait. J’étais le mari alors à moi l’honneur. J’étais même fier de ce droit. Mais une fois que j’avais joui, lui commençait, et il avait de la réserve et ne se gênait pas pour me le montrer en baisant Margot plusieurs fois avec énergie et acharnement alors que je regardais repu certe, mais la bitte flasque.
Des fois j’avais honte parce que Margot essayait de me remettre en forme avec sa bouche, sans grand succès. Elle me regardait alors gentiment et se tournait vers son amant pour des séances torrides devant moi.
Et puis c’est vrai que le sexe de Kemb était plus imposant que le mien. Ce n’était pas les monstruosités que l’on voit sur Internet, mais il était bien monté, très bien même. Un gourdin long, très épais à la base, circoncis avec un gros gland plus clair et des belles couilles assez hautes sur la hampe.
Je l’enviais. J’enviais ses vingt-cinq ans, sa puissance, son assurance, ses certitudes et son pouvoir sur ma femme… Et sur moi.
Parce que je ne disais rien ou que Margot me dissuadait de me rebeller.
Mais je ne savais pas qu’à force de se taire ou de se trouver des excuses, on n’est plus capable de se défendre le moment venu.


2003: ANNUS HORRIBILIS
Janvier 2003Margot ne veut plus que je la touche quand nous sommes seuls. Elle prétend que c’est mieux quand Il est là et que nous le faisons à trois. J’accepte difficilement cette situation. Mais je ne peux quand même pas la violer.
Quand je me plaque contre elle en bandant, elle se contente de me dire:- Stop Didou, inutile d’insister.
Une fois j’ai fait exprès de me masturber à côté d’elle. Elle n’a rien dit.
Mal m’en a pris. La fois suivante avec Lui, elle n’a pas voulu que je participe.
- Puisque tu aimes te branler mon chéri, t’as qu’à le faire en nous regardant. Et tournant son regard vers Kemb elle a ajouté, Mon mari se masturbe le soir dans le lit. Je lui ai dit que je ne voulais plus le faire avec lui quand tu n’es pas là.
- Comme tu veux ma gazelle.
Je n’insiste plus. Nous faisons lit commun mais corps à part.
Ma femme a changé. Métamorphose complète. Maquillage savant, vêtement sexy, pose langoureuse, régime strict pour ne pas grossir. Toujours femme d’intérieur et maman hors pair, mais de plus en plus distante et directive avec moi.
Kemb la subjugue. Elle ne conteste jamais ses paroles et le défend quand j’ose faire des remarques désobligeantes. Il y a du mépris dans ses intonations quand elle me parle.
Quand nous sommes au lit les trois, je la regarde se délecter du corps de Kemb. Se frotter contre son ventre, ses cuisses, son torse. Prendre le sexe noir en main pour le caresser lentement sous mes yeux. Se pencher au-dessus du gland pour y déposer de savants baisers avant d’ouvrir la bouche pour l’engloutir avec volupté. Souvent elle me regarde en le suçant. Et quand il est bien dur, c’est elle qui vient le chevaucher de toutes ses forces en feulant de plaisir.
Elle aime cette position et jouit en poussant un long un cri rauque.
Quand c’est mon tour, elle se couche jambes écartées. Je vois son sexe encore entrouvert, rougi et mouillé de la sève de son amant. Elle me laisse la pénétrer sans bouger, presque sans participer. A peine quelques mouvements du bassin Alors cela va assez vite devant son amant goguenard qui encourage:- Vas-y Pt’i mâle. Profite de ta femme.
J’ai presque honte de jouir aussi vite en elle.
Dès que j’ai fini, ils reprennent leurs ébats devant moi. Au début je restais pour faire comme si je participais. Mais j’ai vite abdiqué pour les laisser seuls. Je retourne dans notre chambre que tard le samedi soir pour dormir avec eux.
Notre chambre sent souvent nos sueurs et sécrétions intimes.
Un dimanche soir avant de partir pour prendre son service, Kemb lui a dit:- Ecoute ma gazelle, je respecte ta décision de ne plus avoir de rapports avec ton mari. Mais il reste ton mari et tu dois le satisfaire. Alors autorise le au moins à te lécher.. Cela me ferait plaisir.
- Si tu veux Kemb.
Aucune discussion ni révolte de la part de Margot.
Le soir même je l’ai trouvée couchée nue et cuisses écartées au milieu de notre lit encore défait des ébats du week-end. Visage souriant et doux de la Margot d’avant:- Tu as envie Didou?
Oui j’avais envie. une envie à en crever.
- Allez viens mon chéri. Viens me nettoyer, je ne me suis pas encore lavée.
Mieux valait cela que rien du tout. J’ai réussi à la faire jouir. J’ai gardé longtemps en bouche le goût du sperme de Kemb. C’est comme cela que grâce à lui, je peux encore toucher ma femme quand il n’est pas là.
oooOOOooo
Février 2003Margot sort souvent seule avec lui en semaine ou même les week-ends.
Nous recevons aussi beaucoup d’amis de Kemb à la maison. Cinq copains qui bossent avec lui à l'hôpital. Ce sont souvent des soirées pizzas devant des matchs de foot ou de basket. Ils sont rarement tous ensembles à cause de leurs tours de garde.
Les premières soirées sont sympathiques. On discute de tout et de rien.
Margot et moi faisons le service. Mais bien sûr ils lui proposent de rester avec eux et je me retrouve seul à servir.
Margot met un point d’honneur à se faire belle. Kemb l’encourage à soigner sa tenue. Il aime la voir en jupe courte moulante et chemisier ou pull. Il admet le soutien-gorge. Il aime aussi beaucoup les bas. Les culottes sont rares ou alors très provocantes.
Quand elle apparaît dans le salon, ce ne sont que sifflements et cris d’admiration.
Margot et Kemb sont très discrets devant les autres. En tout cas au début. Mais j’ai vite compris que la nouvelle était en train de répandre en découvrant les expressions de leurs visages quant au fil des soirées, ils me regardent. Surprise, amusement, étonnement, mépris etc...
Ils commencent à comprendre ou Kemb leur a expliqué la situation. Je ne sais pas.
En tout cas, savent ou se doutent de quelque chose. Quelle honte devant leurs sourires goguenards, leurs regards insistants, leurs manières de me parler ou leur attitudes en ma présence. Bien sur la conversation dévie souvent sur le sexe. Mais rien de bien méchant et ils ont beaucoup de respect pour ma femme.
Un samedi de foot ou il y avait trois de ces amis, Kemb a demandé à Margot si elle voulait qu’il l’aide à préparer le repas. Cela n’était jamais arrivé. Ils sont partis ensembles dans la cuisine.
Très légers sourires entendus sur les lèvres des amis. Aucune parole.
Avec le bruit de la télé on ne pouvait pas entendre ce qui se passait dans la cuisine.
Au bout d’un moment ils sont revenus avec les plateaux repas.
- C’est servi les mecs!
Margot m’a tendu mon assiette.
- Tiens Didou.
Ses jambes devant mon visage. Elle ne portait plus ses bas noirs!!!
Elle a servi les autres. J’avais le cœur qui battait la chamade. Peur que les autres s'aperçoivent de la situation. Peur des conséquences. Mais heureusement, personne n’a rien dit. Margot s’est assise à côté de Kemb. Leurs jambes se touchaient. Impossible aux autres d’ignorer. Mais là encore, pas un mot. Juste des regards furtifs.
Le dernier à partir fut Mathieu. Avant de fermer la porte, il a parlé à l’oreille de Kemb qui a rigolé.
- Allez! Salut les loups et à bientôt.
Un fois seuls, Kemb a donné une petite tape sur les fesses de ma femme:- La prochaine fois n’oublie pas de remettre tes bas ma gazelle.
Surprise ébahie de ma femme qui a regardé ses jambes nues:- Oh zut... j’ai complètement oublié de les remettre après.
Inutile d’être devin pour comprendre. Kemb a rigolé de bon cœur. Moi beaucoup moins. Puis il s’est tourné vers moi:- Mon pote trouve ta femme à son goût. Si tu as envie de la lécher, ne te prive pas, elle doit être bien pleine après ce que je lui ai mis dans la cuisine. Aller ma gazelle, vas te faire reluire par ton P’ti mâle, je vous rejoins. Je vais pisser un bon coup.
oooOOOoooMars 2003Je perds deux gros clients coup sur coup. Mais je m’en fous, je suis content.
Kemb n’est pas venu depuis quinze jours. Margot est dans tous ses états. Elle tente de le joindre plusieurs fois par jours. Je l’entends lui demander pourquoi. Le supplier.
Je vois ses yeux humides de larmes.
Heureusement que les enfants sont là. Elle arrive à se contrôler devant eux.
Les W.E. sans Kemb et ses amis sont terribles.
Face à face silencieux.
Elle s’enferme dans la chambre.
Elle est suspendue au téléphone.
Mais rien n’y fait. Kemb semble intraitable.
Moi je me tais. Surtout ne rien dire. Attendre et la consoler.
Mais elle ne veut pas de moi.
Elle est méconnaissable. Pas maquillée. Les traits tirés. Elle ne dort pas. Ne mange pas. Un vrai zombie. Cela fait presque vingt jours qu’il n’est pas là.
Margot me fait pitié et en même temps très peur. Quand je la retrouve aux retours de mes déplacements c’est de pire en pire. Même les enfants le sentent.
Elle est complètement “accro” à son amant.
Dernier W.E., même si elle se doute qu’il ne viendra pas, elle a emmené les enfants chez mes parents. Ma mère m’a téléphoné pour me demander si Margot n’était pas souffrante. Je l’ai rassurée du mieux que j’ai pu.
Vendredi soir, je sors de la salle de bain. Elle est encore au téléphone avec lui.
J’écoute silencieux:- S’il te plaît Kemb....
-..........
- Mais pourquoi? ... Pourquoi?... Je ne comprends pas ....
- ..........
- Je t’en supplie Kemb.... Donne-moi une chance.... Qu’est-ce que j’ai fait mon amour...
-...........
- Non.... Non...
Elle a la voix humble, presque terrorisée...
- Ne me demande pas ça.....
-..........
- Non... NON..... Ne raccroche pas ....
Elle baisse la tête.
- Oui... Oui....
Sa voix n’est qu’un souffle.....
- Maintenant?.... Tout de suite.... Mais André est là...
-........
- Oui.... OUI...... JE VIENS...
Elle raccroche. S'aperçoit de ma présence. Me regarde quelques secondes....
- Excuse-moi Didou. Je suis désolée… Mais c’est plus fort que moi...
Elle se lève et se prépare à toute vitesse . Je ne comprends pas trop ce qui se passe. Elle se maquille à peine.
- Je le rejoins. Il veut que je le retrouve chez lui.
- Comme ça tout de suite ? ... Et moi ? ...
- Je t’en prie chéri, ne complique pas les choses. Je t’en supplie.
Elle se sauve en courant me laissant seul avec mes désillusions.
Pas un coup de fil. Rien. Je ne sais pas où elle est, ni ce qu’elle fait. Je sais seulement qu’elle est avec lui et que c’est comme une drogue pour elle.
Une addiction.
Elle revient à la maison dimanche soir. Elle semble très lasse. Je ne sais pas quoi dire.
- Ça va .... ????
- Oui oui Didou....
- Kemb n’est pas avec toi?
- Il viendra samedi prochain....
- J’étais inquiet. Qu’est-ce que tu as fait tout ce temps.
Devant mes yeux incrédules, elle a relevé sa jupe.
Elle avait le sexe entièrement épilé et juste au-dessus de sa fente deux lettres minuscules.
Un F et un K entrelacés.
Je suis resté cloué sur mon siège. Partagé entre haine et peine, révolte et impuissance, colère et incompréhension. J’arrivais à peine à parler.
- C’est... c’est lui qui t’as fait ça?
- Quand je suis arrivée, il y avait un ami que je ne connaissais pas avec lui.
Elle regardais fixement le tapis du salon.
- Et alors? ?? Continue.
- Kemb… Kemb m’a présentée. Ensuite... Ensuite il m’a enlevé la jupe devant son ami. J’ai essayé de le faire changer d’avis mais il m’a dit de partir et que c’était fini. Alors je me suis mise nue devant eux........
- Fred je te présente Margot.
- Elle est superbe... Vous êtes magnifique mademoiselle - Elle est mariée.
- Ah bon... Et son mari?
- Pas de problème il sait.... Alors on fait comment?
- Il faudrait qu’elle se penche et écarte bien les jambes pour que je vois correctement tous les trésors de Madâââame.
- Du respect Fred… C’est pas tes salopes habituelles. Vas-y ma Gazelle....
- J’ai obéis. Fred m’a caressé le sexe en tirant sur les poils et en écartant mes lèvres intimes. Il aussi largement ouvert mes fesses pour dégager toute ma raie. Il a rigolé - Je vois que la porte de service sert aussi..
- Il m’a mis un doigt dans le derrière. J’avais honte, Kemb m’a dit de ne pas bouger.
- Pour sa raie il n’y a pas de problèmes, elle n’a pas de poils. Pour le reste, ils sont tellement fins que ça ira vite.
- Tu veux qu’elle se mette dans quelle position Man?
- Couchée au milieu de la table en ramenant ses talons contre ses fesses et en écartant bien les genoux. Il faut que toute sa foufoune soit accessible.
Je n’osais même pas imaginer ma femme dans cette position humiliante devant un inconnu. Nue complètement ouverte, cuisses largement écartées, sexe entrebâillé.
- Fred est venu s'asseoir devant moi son visage à hauteur de mon sexe. Il a commencé à étaler de la crème et il m’a entièrement rasée partout. Kemb me tenait la tête qui dépassait de la table. Après l’épilation, Fred m’a badigeonnée d’alcool et il a pris son pistolet à tatouage. J’avais peur... Peur et honte aussi. Oh Didou si tu savais comme j’avais honte… Mais Kemb était là, à coté de moi.
Elle pleurait silencieusement en racontant et moi comme un con j’avais envie de la prendre dans mes bras pour la consoler.
- J’ai eu un peu mal.. Kemb m’embrassait pour faire taire mes gémissements. Cela a duré longtemps.
- Et voilà le travail mon pote.
- Bien. Très bien Fred. C’est exactement ce que je voulais pour ma Gazelle.
- Il faut désinfecter deux fois par jours avec ce produit. Et pas de relations pendant 48 heures. Je sais, je sais, c’est rageant pour vous les mecs, mais faut pas jouer avec la santé Kemb.
- N’oublie pas que je suis toubib Fred. Combien je te dois ?
Margot tremblait en continuant son récit. Elle balançait mécaniquement son buste d’avant en arrière. Comme une automate.
- J’avais un peu mal au pubis. Kemb m’a regardé en me disant que maintenant même mariée avec toi, j’étais quand même à lui… Après.....
Elle s’est tu.
- Oui … Vas-y chérie. Raconte ça fait du bien.
- On a été chez Mathieu qui était parti en province chez ses parents. Je l’ai sucé. Longtemps. C’était tellement bon. J’avais tellement envie Didou. Tellement.... Son odeur, sa force, la texture de sa peau. Ensuite comme on ne pouvait pas par devant il m’a prise par les fesses. Souvent.... Très souvent. J’ai joui Didou. Comme une folle... Sans me toucher.
Elle m’a regardé fixement.
- Voilà, tu sais tout. Et je ne regrette rien. C’est pas cher payé pour le garder. Excuse moi je suis fatiguée je vais me coucher. . Rassure-toi quand les poils repousseront, on ne verra rien. Il y a que toi qui sait. Cela ne changera rien entre nous mon Chéri.
Je suis resté assis sur le canapé. Un abîme dans ma tête.

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