Fatalisme : M.A.K my life… ou presque XII
Récit érotique écrit par ANDRERP95 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fatalisme : M.A.K my life… ou presque XII
oooOOOoooMilieu de semaine, elle est au téléphone avec ma mère pour organiser le retour des enfants.
- Vous resterez dîner avec nous voyons. Oh ce n’est pas bien grave, l’essentiel c’est que les enfants aient leur vacance. Vous les avez trop gâtés. Comme d’habitude… Oui il va bien. C’est vrai c’est difficile pour lui, il prend les choses tellement à cœur.
- ...
- J’essaye de le soutenir au mieux..
- .......
- Des fois c’est difficile belle maman. Très difficile.
- ......
- Vous connaissez votre fils.
- ......
- Non belle maman cela me gêne beaucoup.
- ......
- Je sais belle maman, je sais toute l’affection que vous me portez. Mais c’est difficile..
- ....
- Non ! Nous n’avons aucun problème pécunier. J’ai repris un travail à mi-temps en plus.
- …..
- Il y a de cela oui...
-...
- Non ! Non, jamais. Il est doux comme un ange. Ce n’est pas cela du tout.
- ....
- Disons que la relation n’est pas facile.. C’est très intime belle maman.
- ......
- En fait il a beaucoup de mal à… Vous comprenez ?... A croire que je ne l’intéresse plus. Que c’est dans sa tête. Ou je sais pas moi..
- ........
- En fait il paraît que c’est mécanique.. Nous avons consulté... Il n’y a plus beaucoup de rigidité. Les vaisseaux sont bloqués. Ce sont de tous petits vaisseaux qui se bouchent facilement.
- ....
- C’est ce professeur que nous avons consulté oui.. Il y a peu d’espoir. Il n’y a plus assez de vascularisation à ce que j’ai compris.
- ........
- Oh moi ce n’est pas trop grave. Mais il est si malheureux.. Si vous saviez.
-.....
- C’est difficile pour un mari aimant de ne pas pouvoir honorer sa femme.
- ......
- Vous savez comme je l’aime.. Non. Non. Je ne peux pas me passer de mon Didou... Il faut que j’apprenne à vivre comme cela. Qu’on trouve un bon équilibre.
- .........
- Je vous remercie de m’avoir écouté Belle maman... Surtout pas un mot à votre fils, cela le rendrait encore plus malheureux.
Elle raccroche en souriant.
Je la regardais dans un état de nerf incroyable…- Pourquoi tu as dit ça à ma mère ? Pourquoi tu lui as dit que je suis impuissant ?
- Mais parce que c’est vrai Chéri. Non ?
- Tu sais très bien que ce sont les médocs. Tu veux que je lui dise aussi ce qui se passe à la maison.
- Chiche ! Dis-lui que tu es cocu sous ton toit. C’est pour toi que je dis cela Didou. Pour te donner une excuse compréhensible au cas où.
- Ou quoi ?
- Ou ils se croisent un jour mon chéri.
oooOOoooFIN D’ANNEE 2003La reprise a eu lieu, les enfants vont à l'école. On n'en a pas fini d'entendre parler des suites de cette fameuse canicule. Les enfants sont enchantés de leur nouvelle chambre de jeu. Margot ferme à clef les tiroirs de la commode pour qu'ils ne voient pas les affaires de leur papa dans cette chambre.
Bien entendu les grands parents ont insisté pour continuer à prendre les enfants le WE. Surtout ma mère. Persuadée qu’en nous laissant seuls, il pouvait se passer quelque chose.
- Chéri Kemb et Mathieu n'ont pas le temps de s’occuper de leur linge. Je leur ai dit de continuer à l’amener. Que ça nous dérangeait pas du tout et qu’on le lavera avec le nôtre. Tu le faisais déjà mon amour. Tu as le temps toi…C'est à partir de ce jour que je suis devenu en permanence un homme d'intérieur. Ou un homme de ménage. Margot bossait trois jours par semaine.
Cela ne me dérangeais pas de m'occuper de la maison et des enfants. Pour le linge c’était plus difficile pour moi. Des heures et des heures consacrées à laver et repasser nos fringues, les leurs, et les blouses et les putains de calots des amants de ma femme pendant qu'ils profitaient de ses largesses sexuelles.
Et comme ils étaient tous crevés, c'est moi qui faisais la cuisine, servais à table, desservais et lavais la vaisselle. Et comme un bon toutou, je faisais sans rien dire. De toute façon je ne refusais plus rien. Et je continuais bien sûr à chercher du travail sans succès.
Au début, je devinais que Margot était gênée de me voir endosser ce rôle avec une telle soumission. Mais elle ne disait rien et laissait ses amants me diriger à sa place. Elle évitait toute discussion quand nous étions seuls. Elle travaillait dur. J’ai souvent surpris son regard sur moi pendant que je lavais ou repassais, un regard de tendresse, de tristesse, d’amour aussi. Je ne savais plus si cétait un regard d’amour pour un mari ou pour un animal de compagnie..
Leurs week-ends étaient torrides alors que les miens étaient crevants. Mais je devais toujours les sucer dès qu'ils le demandaient. N’ importe où dans la maison. Ils se faisaient un devoir de me faire sucer devant ma femme.
Je devine que je n’ai plus de volonté à cause des médicaments. Je rigole bêtement ou je pleure. Margot a demandé à Kemb s’il était nécessaire que je consulte un psy.
- Pas la peine ma Gazelle. Il ne fera rien de plus. Tant que ton mec ne sera pas clair dans sa tête, il ne verra pas le bout du tunnel.
- Mais c’est quoi le bout du tunnel.
- Toi ma Gazelle. C’est toi le tunnel. Et un taf.
Mathieu a ajouté- Tu dois lui dire ce que tu attends de lui. Tu sais bien que sa femme et ses gosses sont tout pour lui. Pour nous c’est royal. On a une super meuf et son mari est devenu une lopette. Pour lui c’est plus dur c’est sûr.
- Ne le traitez pas de lopette. C’est un homme et cet homme c’est mon mari.
- Bien sûr Margot. C’est pour ça qu’il se branle et jouit quand tu lui mets tes doigts dans le cul. On peut jouir sans bander tu sais.
- On peut lui mettre plus gros pour voir si ça le fait bander ton mec.
Ils ont éclaté de rire et Margot a souri aussi.
- Vous êtes des mômes les garçons.
- Des mômes à grosses bittes ma Gazelle..
- Ouais mieux vaut des mômes à grosses bittes qu’un mari sans.
- Aller écarte ma douce, tu vas voir comme elles sont grosses là !
- Vous me rendez folle les garçons…- Mets-toi en levrette ma Gazelle, nos zobs vont vraiment te rendre dingue là..
- Doucement… Doucement….. Oh ! Oui.. !
Ils ne savaient pas que j’écoutais.
Ce même jour, Margot et Kemb sont seuls dans le salon. Mathieu est de garde. Je prépare le repas. Ils discutent mais je ne comprends pas le sens. Ils parlent à voix contenues. J’entends des mots ou des bribes de phrases :- Non Kemb……. Pas question….
- Pourquoi ?... Tu sais ce que je ressens…..
- N’insiste pas Kemb…- Tu sais qu’il accepteras…- Je crois que tu comprends pas Kemb..
Ils se taisent à mon entrée avec le café. Kemb me regarde. Un regard de colère, de reproche. Margot a son regard neutre. Celui qu’elle prend quand elle se ferme. Kemb se lève. Regarde ma femme.
- Je ne pourrais pas rester ce soir ma Gazelle…Margot semble vaciller même si elle est assise.
Je sers le café. La voix de ma femme tremble.
- Comme tu veux Kemb…. Je comprends.
Il part sans boire son café.
Je me tourne, interrogateur vers ma femme…- C’est rien Chéri…. Tu veux bien dormir avec moi ce soir ?
J’ai rien trouvé à répondre.
oooOOOoooIl faisait encore beau et nous n’étions que les quatre en ce mercredi après-midi. Nous avions emmené les enfants au parc. Ils jouaient devant nous. Assis sur un banc nous les regardions. Margot me tenait la main. Comme un couple normal que nous n’étions plus. C’est elle qui a commencé à voix basse.
- Merci.
- Merci de quoi ?
- Pour tout. Tout ça. Tout ce qui arrive depuis deux ans.
- Tu ne m’as pas laissé le choix Margot.
- Je sais et c’est pour ça que je te remercie. Mais tu restes mon mari. Le seul et l’unique.
- Ouais. Ton mari..
- Tu en doutes Didou ?...
- Uniquement devant la loi. Je suis ton mari oui. Ton larbin aussi. Ton cocu.. Impuissant comme tu as eu la gentillesse de le dire à ma mère. Qui suce tes deux amants. Ah oui et j’ai oublié femme de ménage.
- Mais cela n’enlève rien à l’amour qui nous unis mon Chéri. Notre relation st bien plus forte qu’une simple relation sexuelle.
- J’ai ni la force ni le courage de discuter Margot. Et tes remerciements me font juste mal. Comme te voir entre leurs bras. Ou plutôt entre leurs sexes.
Elle est restée silencieuse. Puis s’est levée.
- Je suis vraiment désolée Didou. Mais c’est impossible pour moi d’arrêter. Je pensais que tu l’avais compris. Je m’en veux de te faire si mal. Je n’ai pas de solution mon Ange. A part une séparation qui me rendrait malade. Mais si cela peut te rendre heureux.
- Je veux tout Margot. Tout ce que j’avais avant. Mais c’est impossible. Il me reste mes enfants. Et je sais aussi que tu ne céderas rien Margot. Tu as toujours dirigé le foyer. Il n’y a pas de raison que cela change. Mais..
- Mais quoi ?....
- Un jour c’est lui qui te dirigera.
- C’est pas demain la veille ! Crois-moi Didou…. Mais c’est vrai, il va falloir prendre des décisions…. Allez les enfants on rentre maintenant.
oooOOOoooNous sommes au lit. Elle sort une boite du tiroir de son chevet et me la tend.
- Tiens c’est pour toi.
Devant mon air interrogateur.
- Ouvre.
Je déchire le papier et ouvre la boite assez étroite et longue d’une vingtaine de centimètres. C’est un cylindre en aluminium d’environ vingt centimètres sur à peu près trois de diamètre. Il brille sur son écrin.
- Prends-le.
Je le saisi. Il est froid. Je ne vois pas trop quoi en faire.
- C’est Kemb qui l’a amené. IL la récupéré dans un service. Il m’a dit que je pourrais m’amuser avec quand il n’est pas là. Alors je me suis dit qu’on pouvait s’amuser ensemble Didou.
Elle ne m’a pas laissé le temps de répondre. Sa bouche s’est collée à la mienne et sa langue a pris possession de mon palais comme elle savait si bien le faire.
Je me suis retrouvé rapidement à lécher sa chatte crémeuse. C’est elle qui s’est enfoncé l’engin pendant que je la lapais avec toujours autant de plaisir.
Je regardais ce cylindre coulisser dans son intimité, remplaçer mon sexe. Je masturbais ma bitte molle en buvant sa cyprine.
Le cylindre coulissait de plus en plus vite, de plus en plus loin. Elle jappait doucement. J’ai saisi l’engin pour faire le travail de piston. Elle me tenait la tête pour plaquer ma bouche sur son bouton. Je poussais l’engin de plus en plus loin. J’aspirais son clitoris turgescent. Son sexe était fontaine que je buvais sans problème. Elle a poussé un grand cri de jouissance et moi j’ai aspergé son mollet.
- Oulala c’’était bon !... Hein Didou.
J’ai nettoyé sa chatte inondée.
- Oui.
- Tu vois mon ange, on peut encore partager du sexe, même si tu ne bandes pas. Pour le moment je veux dire. Nettoie mon mollet Chéri…. Et de son air mutin elle ajoute, avec la langue Didou voyons !
Et très vite, cet objet a pris possession de tous ses trous, alors que pour moi c’était impossible et de toute façon interdit. Dans sa chatte avec ma bouche sur son clitoris ou sur son anus, dans son anus avec ma bouche ou mes doigts dans sa chatte, des allers-retours entre ses deux orifices.
Son anus me semblait très souple. Sa chatte ouverte et profonde. Son clitoris saillant. Erectile. Je ne reconnaissais plus son intimité. Les vingt centimètres disparaissaient presque en totalité dans son sexe et ressortais luisant de mouille pour descendre le long du périnée et aller se ficher dans son anus palpitant.
L’engin était toujours dur, toujours à son service. Je le manipulais avec de plus en plus de dextérité. Quand je la faisais jouir via l’olibos, je jouissais aussi en me branlant. Mais je restais mou. Je retrouvais un semblant de pouvoir et de virilitéCela a duré un mois.
Entre les week-ends à quatre et la semaine avec l’engin, ma femme jouissait très souvent et de plus en plus. J’ai vite compris que si son anus était devenu aussi souple, c’est qu’il était souvent visité par son amant. Le simili sexe que nous utilisions était moins épais que le pénis de Kemb.
Les soixante-neuf matrimoniaux devenaient presque rituels. Pendant que je léchais son clitoris en travaillant ses deux trous avec le gode, Margot s’occupait de mes couilles en me travaillant l’anus avec son doigt. Un au minimum, deux, de plus en plus souvent.
Après je nettoyais son torse de toutes traces de mon sperme.
- Vous resterez dîner avec nous voyons. Oh ce n’est pas bien grave, l’essentiel c’est que les enfants aient leur vacance. Vous les avez trop gâtés. Comme d’habitude… Oui il va bien. C’est vrai c’est difficile pour lui, il prend les choses tellement à cœur.
- ...
- J’essaye de le soutenir au mieux..
- .......
- Des fois c’est difficile belle maman. Très difficile.
- ......
- Vous connaissez votre fils.
- ......
- Non belle maman cela me gêne beaucoup.
- ......
- Je sais belle maman, je sais toute l’affection que vous me portez. Mais c’est difficile..
- ....
- Non ! Nous n’avons aucun problème pécunier. J’ai repris un travail à mi-temps en plus.
- …..
- Il y a de cela oui...
-...
- Non ! Non, jamais. Il est doux comme un ange. Ce n’est pas cela du tout.
- ....
- Disons que la relation n’est pas facile.. C’est très intime belle maman.
- ......
- En fait il a beaucoup de mal à… Vous comprenez ?... A croire que je ne l’intéresse plus. Que c’est dans sa tête. Ou je sais pas moi..
- ........
- En fait il paraît que c’est mécanique.. Nous avons consulté... Il n’y a plus beaucoup de rigidité. Les vaisseaux sont bloqués. Ce sont de tous petits vaisseaux qui se bouchent facilement.
- ....
- C’est ce professeur que nous avons consulté oui.. Il y a peu d’espoir. Il n’y a plus assez de vascularisation à ce que j’ai compris.
- ........
- Oh moi ce n’est pas trop grave. Mais il est si malheureux.. Si vous saviez.
-.....
- C’est difficile pour un mari aimant de ne pas pouvoir honorer sa femme.
- ......
- Vous savez comme je l’aime.. Non. Non. Je ne peux pas me passer de mon Didou... Il faut que j’apprenne à vivre comme cela. Qu’on trouve un bon équilibre.
- .........
- Je vous remercie de m’avoir écouté Belle maman... Surtout pas un mot à votre fils, cela le rendrait encore plus malheureux.
Elle raccroche en souriant.
Je la regardais dans un état de nerf incroyable…- Pourquoi tu as dit ça à ma mère ? Pourquoi tu lui as dit que je suis impuissant ?
- Mais parce que c’est vrai Chéri. Non ?
- Tu sais très bien que ce sont les médocs. Tu veux que je lui dise aussi ce qui se passe à la maison.
- Chiche ! Dis-lui que tu es cocu sous ton toit. C’est pour toi que je dis cela Didou. Pour te donner une excuse compréhensible au cas où.
- Ou quoi ?
- Ou ils se croisent un jour mon chéri.
oooOOoooFIN D’ANNEE 2003La reprise a eu lieu, les enfants vont à l'école. On n'en a pas fini d'entendre parler des suites de cette fameuse canicule. Les enfants sont enchantés de leur nouvelle chambre de jeu. Margot ferme à clef les tiroirs de la commode pour qu'ils ne voient pas les affaires de leur papa dans cette chambre.
Bien entendu les grands parents ont insisté pour continuer à prendre les enfants le WE. Surtout ma mère. Persuadée qu’en nous laissant seuls, il pouvait se passer quelque chose.
- Chéri Kemb et Mathieu n'ont pas le temps de s’occuper de leur linge. Je leur ai dit de continuer à l’amener. Que ça nous dérangeait pas du tout et qu’on le lavera avec le nôtre. Tu le faisais déjà mon amour. Tu as le temps toi…C'est à partir de ce jour que je suis devenu en permanence un homme d'intérieur. Ou un homme de ménage. Margot bossait trois jours par semaine.
Cela ne me dérangeais pas de m'occuper de la maison et des enfants. Pour le linge c’était plus difficile pour moi. Des heures et des heures consacrées à laver et repasser nos fringues, les leurs, et les blouses et les putains de calots des amants de ma femme pendant qu'ils profitaient de ses largesses sexuelles.
Et comme ils étaient tous crevés, c'est moi qui faisais la cuisine, servais à table, desservais et lavais la vaisselle. Et comme un bon toutou, je faisais sans rien dire. De toute façon je ne refusais plus rien. Et je continuais bien sûr à chercher du travail sans succès.
Au début, je devinais que Margot était gênée de me voir endosser ce rôle avec une telle soumission. Mais elle ne disait rien et laissait ses amants me diriger à sa place. Elle évitait toute discussion quand nous étions seuls. Elle travaillait dur. J’ai souvent surpris son regard sur moi pendant que je lavais ou repassais, un regard de tendresse, de tristesse, d’amour aussi. Je ne savais plus si cétait un regard d’amour pour un mari ou pour un animal de compagnie..
Leurs week-ends étaient torrides alors que les miens étaient crevants. Mais je devais toujours les sucer dès qu'ils le demandaient. N’ importe où dans la maison. Ils se faisaient un devoir de me faire sucer devant ma femme.
Je devine que je n’ai plus de volonté à cause des médicaments. Je rigole bêtement ou je pleure. Margot a demandé à Kemb s’il était nécessaire que je consulte un psy.
- Pas la peine ma Gazelle. Il ne fera rien de plus. Tant que ton mec ne sera pas clair dans sa tête, il ne verra pas le bout du tunnel.
- Mais c’est quoi le bout du tunnel.
- Toi ma Gazelle. C’est toi le tunnel. Et un taf.
Mathieu a ajouté- Tu dois lui dire ce que tu attends de lui. Tu sais bien que sa femme et ses gosses sont tout pour lui. Pour nous c’est royal. On a une super meuf et son mari est devenu une lopette. Pour lui c’est plus dur c’est sûr.
- Ne le traitez pas de lopette. C’est un homme et cet homme c’est mon mari.
- Bien sûr Margot. C’est pour ça qu’il se branle et jouit quand tu lui mets tes doigts dans le cul. On peut jouir sans bander tu sais.
- On peut lui mettre plus gros pour voir si ça le fait bander ton mec.
Ils ont éclaté de rire et Margot a souri aussi.
- Vous êtes des mômes les garçons.
- Des mômes à grosses bittes ma Gazelle..
- Ouais mieux vaut des mômes à grosses bittes qu’un mari sans.
- Aller écarte ma douce, tu vas voir comme elles sont grosses là !
- Vous me rendez folle les garçons…- Mets-toi en levrette ma Gazelle, nos zobs vont vraiment te rendre dingue là..
- Doucement… Doucement….. Oh ! Oui.. !
Ils ne savaient pas que j’écoutais.
Ce même jour, Margot et Kemb sont seuls dans le salon. Mathieu est de garde. Je prépare le repas. Ils discutent mais je ne comprends pas le sens. Ils parlent à voix contenues. J’entends des mots ou des bribes de phrases :- Non Kemb……. Pas question….
- Pourquoi ?... Tu sais ce que je ressens…..
- N’insiste pas Kemb…- Tu sais qu’il accepteras…- Je crois que tu comprends pas Kemb..
Ils se taisent à mon entrée avec le café. Kemb me regarde. Un regard de colère, de reproche. Margot a son regard neutre. Celui qu’elle prend quand elle se ferme. Kemb se lève. Regarde ma femme.
- Je ne pourrais pas rester ce soir ma Gazelle…Margot semble vaciller même si elle est assise.
Je sers le café. La voix de ma femme tremble.
- Comme tu veux Kemb…. Je comprends.
Il part sans boire son café.
Je me tourne, interrogateur vers ma femme…- C’est rien Chéri…. Tu veux bien dormir avec moi ce soir ?
J’ai rien trouvé à répondre.
oooOOOoooIl faisait encore beau et nous n’étions que les quatre en ce mercredi après-midi. Nous avions emmené les enfants au parc. Ils jouaient devant nous. Assis sur un banc nous les regardions. Margot me tenait la main. Comme un couple normal que nous n’étions plus. C’est elle qui a commencé à voix basse.
- Merci.
- Merci de quoi ?
- Pour tout. Tout ça. Tout ce qui arrive depuis deux ans.
- Tu ne m’as pas laissé le choix Margot.
- Je sais et c’est pour ça que je te remercie. Mais tu restes mon mari. Le seul et l’unique.
- Ouais. Ton mari..
- Tu en doutes Didou ?...
- Uniquement devant la loi. Je suis ton mari oui. Ton larbin aussi. Ton cocu.. Impuissant comme tu as eu la gentillesse de le dire à ma mère. Qui suce tes deux amants. Ah oui et j’ai oublié femme de ménage.
- Mais cela n’enlève rien à l’amour qui nous unis mon Chéri. Notre relation st bien plus forte qu’une simple relation sexuelle.
- J’ai ni la force ni le courage de discuter Margot. Et tes remerciements me font juste mal. Comme te voir entre leurs bras. Ou plutôt entre leurs sexes.
Elle est restée silencieuse. Puis s’est levée.
- Je suis vraiment désolée Didou. Mais c’est impossible pour moi d’arrêter. Je pensais que tu l’avais compris. Je m’en veux de te faire si mal. Je n’ai pas de solution mon Ange. A part une séparation qui me rendrait malade. Mais si cela peut te rendre heureux.
- Je veux tout Margot. Tout ce que j’avais avant. Mais c’est impossible. Il me reste mes enfants. Et je sais aussi que tu ne céderas rien Margot. Tu as toujours dirigé le foyer. Il n’y a pas de raison que cela change. Mais..
- Mais quoi ?....
- Un jour c’est lui qui te dirigera.
- C’est pas demain la veille ! Crois-moi Didou…. Mais c’est vrai, il va falloir prendre des décisions…. Allez les enfants on rentre maintenant.
oooOOOoooNous sommes au lit. Elle sort une boite du tiroir de son chevet et me la tend.
- Tiens c’est pour toi.
Devant mon air interrogateur.
- Ouvre.
Je déchire le papier et ouvre la boite assez étroite et longue d’une vingtaine de centimètres. C’est un cylindre en aluminium d’environ vingt centimètres sur à peu près trois de diamètre. Il brille sur son écrin.
- Prends-le.
Je le saisi. Il est froid. Je ne vois pas trop quoi en faire.
- C’est Kemb qui l’a amené. IL la récupéré dans un service. Il m’a dit que je pourrais m’amuser avec quand il n’est pas là. Alors je me suis dit qu’on pouvait s’amuser ensemble Didou.
Elle ne m’a pas laissé le temps de répondre. Sa bouche s’est collée à la mienne et sa langue a pris possession de mon palais comme elle savait si bien le faire.
Je me suis retrouvé rapidement à lécher sa chatte crémeuse. C’est elle qui s’est enfoncé l’engin pendant que je la lapais avec toujours autant de plaisir.
Je regardais ce cylindre coulisser dans son intimité, remplaçer mon sexe. Je masturbais ma bitte molle en buvant sa cyprine.
Le cylindre coulissait de plus en plus vite, de plus en plus loin. Elle jappait doucement. J’ai saisi l’engin pour faire le travail de piston. Elle me tenait la tête pour plaquer ma bouche sur son bouton. Je poussais l’engin de plus en plus loin. J’aspirais son clitoris turgescent. Son sexe était fontaine que je buvais sans problème. Elle a poussé un grand cri de jouissance et moi j’ai aspergé son mollet.
- Oulala c’’était bon !... Hein Didou.
J’ai nettoyé sa chatte inondée.
- Oui.
- Tu vois mon ange, on peut encore partager du sexe, même si tu ne bandes pas. Pour le moment je veux dire. Nettoie mon mollet Chéri…. Et de son air mutin elle ajoute, avec la langue Didou voyons !
Et très vite, cet objet a pris possession de tous ses trous, alors que pour moi c’était impossible et de toute façon interdit. Dans sa chatte avec ma bouche sur son clitoris ou sur son anus, dans son anus avec ma bouche ou mes doigts dans sa chatte, des allers-retours entre ses deux orifices.
Son anus me semblait très souple. Sa chatte ouverte et profonde. Son clitoris saillant. Erectile. Je ne reconnaissais plus son intimité. Les vingt centimètres disparaissaient presque en totalité dans son sexe et ressortais luisant de mouille pour descendre le long du périnée et aller se ficher dans son anus palpitant.
L’engin était toujours dur, toujours à son service. Je le manipulais avec de plus en plus de dextérité. Quand je la faisais jouir via l’olibos, je jouissais aussi en me branlant. Mais je restais mou. Je retrouvais un semblant de pouvoir et de virilitéCela a duré un mois.
Entre les week-ends à quatre et la semaine avec l’engin, ma femme jouissait très souvent et de plus en plus. J’ai vite compris que si son anus était devenu aussi souple, c’est qu’il était souvent visité par son amant. Le simili sexe que nous utilisions était moins épais que le pénis de Kemb.
Les soixante-neuf matrimoniaux devenaient presque rituels. Pendant que je léchais son clitoris en travaillant ses deux trous avec le gode, Margot s’occupait de mes couilles en me travaillant l’anus avec son doigt. Un au minimum, deux, de plus en plus souvent.
Après je nettoyais son torse de toutes traces de mon sperme.
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