Fatima, infidèle, deuxième partie

- Par l'auteur HDS nass75 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Fatima, infidèle, deuxième partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fatima, infidèle, deuxième partie
Fatima et moi avions maintenant entamé une relation virtuelle quotidienne.
J'étais petit à petit devenu son exutoire dans sa vie réglée de maman, un rappel qu'elle n'était pas qu'une maman mais aussi une belle femme qui méritait qu'on prenne soin d'elle.

J'étais, en l'espace de deux semaines, devenu un élément essentiel de son quotidien. Nous nous écrivions en permanence et souvent je lui demandais une photo d'elle. Les photos étaient jolies et mettaient en valeur son beau visage.

Les jours passaient et elle se mit à m'en envoyer plusieurs photos d'elle par jour sans que je n'ai besoin d'en demander. J'en profitais donc pour lui demander de m'en envoyer d'elle toute entière. Elle m'en envoyait d'elle sur lesquelles je pouvais deviner ses jolies formes, notamment ses fesses bombées et sa généreuse poitrine. Je la complimentais sur son corps et elle m'envoyait des émojis rougissant. Je voyais bien que cela lui plaisait.

Elle commença peu à peu à m'envoyer des photos d'elle dans des positions un peu plus suggestives, cambrant un peu plus ses fesses et mettant un peu plus en valeur sa poitrine lorsqu'elle se prenait en photo.
Je lui répondais par écrit que j'aurais aimé être avec elle pour la manger et cela la faisait rire. Je continuais donc de la complimenter, tout en lui disant ce que j'aurais aimé lui faire.

Chaque midi, au moment de ma pause dej au travail, j'allais à un étage désert et m'enfermais dans les toilettes de cet étage pour lui téléphoner, sachant qu'elle était seule chez elle. La tension sexuelle était alors à son paroxysme et je lui disais tout ce que j'aurais aimé lui faire. Je savais que c'était le seul moment de la journée où je pouvais l'appeler, avant qu'elle n'aille chercher ses enfants et avant que monsieur de rentre du travail le soir.

Elle avait pris l'habitude de ces appels du midi et en était devenue totalement accro. Je l'entendais jouir tous les midis au téléphone pendant que je me branlais dans les toilettes.
Elle me dit à un moment de jouissance qu'elle avait hâte de sentir ma queue en elle et je profitais justement de ce moment pour lui dire que j'aimerais poser ma journée pour la voir en semaine et qu'on devait s'organiser pour passer du temps ensemble. Elle était très enthousiaste à cette idée.

Le soir même, alors qu'elle dormait à côté de son homme, elle m'écrivait qu'elle avait envie de moi et m'envoya, à ma surprise, une photo de sa chatte sous la couette.
Sa chatte, assez poilue, me donnait très envie même si la photo était un peu sombre. Je lui envoyais en retour une photo de ma queue bien dure pour elle et je m'arrangeais pour qu'elle soit bien éclairée, qu'elle voit tous les détails de ma queue, mon gland bien dur et les veines bien apparentes.
Elle me répondit qu'elle adorait ma queue, qu'elle n'avait rien à voir avec celle qu'elle voyait régulièrement.

J'organisais donc une sortie au cinéma, un mardi matin à la séance de 10h30 d'un cinéma du 13ème arrondissement, à Paris. L'heure était parfaite pour elle, car cela lui permettait de rentrer chez elle s'habiller après avoir accompagné les enfants à l'école. De mon côté, j'avais pris un jour de repos et m'étais abstenu de masturbation pendant 2 jours.

Je retrouvais Fatima devant le cinéma, littéralement rayonnante. Elle portait un legging qui mettait en valeur des fesses magnifiques et un manteau assez court. Sa chevelure longue, lisse et noire et son teint mate lui allaient à ravir. Elle était vraiment à tomber par terre. Ses grands yeux noirs et sa bouche pulpeuse étaient aussi beaux que le reste. Je lui donnais facilement 10 ans de moins que la première fois que je l'avais vue.

Je la serrais dans mes bras, sentant sa poitrine contre moi, et la fis rire d'entrée, pour la mettre à l'aise. Détendue, elle me prit immédiatement le bras, comme si nous étions en couple. Je pris les tickets pour un film dont je ne me souviens plus, ainsi que du pop corn.
Nous descendions les escaliers, passant à côté des toilettes et entrant dans la salle.

Une fois dans la salle, relativement petite, je constatais que nous étions les premiers présents à cette séance matinale. Immédiatement, je saisis cette opportunité, je déposai les popcorn sur un siège et embrassai Fatima fougueusement, debout, la précipitant contre le mur du fond de la salle. Fatima, surprise, se laissa faire. Cette première embrassade était passionnée : je sentais sa langue aller au fond de ma bouche tandis que je serrais ses fesses bien fermes avec mes mains.

Soudain, j'arrêtais de l'embrassais et la prenais par la main pour la mener aux toilettes à côté de la salle. Excitée, elle me suivit docilement.

Nous rentrâmes dans les toilettes pour femmes et nous nous enfermâmes dans les toilettes prévues pour les personnes handicapées, plus spacieuses. Les toilettes étaient très propres, probablement dû au fait que les femmes de ménage avaient dû nettoyer peu de temps avant l'ouverture du cinéma.

Enfermés dans les toilettes, j'y allais encore plus fort, la plaquant debout contre le mur et la retournant d'un geste. Fatima cambra ses fesses contre moi, me faisant bander comme un taureau. Je l'embrassais dans le cou et lui pelotait les seins en même temps, sentant son excitation à chacun de ses souffles saccadés. Ma main descendit entre ses cuisses et la caressa par dessus le legging, ce qui la rendit folle d'excitation.

Comprenant que c'était le bon moment, je me mis d'un coup à genoux tout en lui baissant son legging, plongeant mon visage dans son tanga noir, déjà mouillé. Surprise, elle se laissa encore faire, les mains collées au mur.
Ma langue la parcourait et je sentais son délicieux parfum naturel. Après quelques secondes, je retirai son tanga et plongeai carrément ma langue en elle, sentant sa chatte brûlante et mouillée succomber aux attaques de ma langue qui rentrait en elle comme dans du beurre.

Je lui bouffais littéralement la chatte et elle dut mettre une main sur la bouche pour ne pas hurler de plaisir.

Le plaisir doubla quand ma langue taquine se promena un peu au-dessus de sa chatte, sur son magnifique anus. Tout en lui écartant son cul moelleux et cambré avec mes deux mains, j'introduisis profondément ma langue dans son fondement. Je sentis sa surprise mais rapidement elle se cambra davantage pour la sentir en elle.

Elle avait un goût délicieux et mon excitation était à son comble.

Je me relevai au bout de quelques minutes à alterner ma langue dans ses deux orifices, et sortis de ma poche un préservatif. Fatima n'attendait que ça, cambrée comme dans une position de tir, et j'étais le fusil.

Enfilant rapidement mon préservatif, je la pris debout dans sa chatte, contre le mur, tout en mettant une main sur sa bouche pour qu'elle ne crie pas.
J'allais de plus en plus fort et rapidement, pour son plus grand plaisir et je sentais sa chatte dégouliner de plaisir sur ma queue bien dure.
Elle mouillait tellement que j'avais l'impression qu'elle pissait de plaisir.

Mais je n'en avais pas terminé avec elle. Ayant tout prévu depuis quelques jours, j'avais aussi dans ma poche un lubrifiant, que je sortis après l'avoir sentie jouir plusieurs fois sur ma queue et commençais à enduire son anus du gel froid et à introduire lentement mon pouce dans son anus pendant que ma queue était toujours dure en elle.

- Non, s'il te plaît, je n'ai jamais fait ça, me dit-elle.

- Fais-moi confiance bébé, lui répondis-je, sûr de moi.

Je recommençais à lui pilonner sa chatte bouillante mais cette fois-ci avec mon pouce dans son anus et elle commençait visiblement à aimer cette pratique nouvelle pour elle.

Excitées comme jamais, elle me regarda dans les yeux avec un sourire.

- Tu me baises comme un vrai rajel (homme en arabe), me dit-elle.

A quoi je lui répondis :

- Je vais te laisser te laisser un souvenir que je veux que tu gardes quand tu dormiras ce soir.

Je retirai alors mon préservatif et lui fourrai ma queue dans son anus excité mais encore serré.

Elle me regarda dans les yeux, la bouche grande ouverte comme pour signifier sa surprise, mais au bout de quelques secondes à peine, elle commença à gémir de plaisir.
Pour mieux faire passer la douleur du début de l'anal, je l'embrassais, fourrant ma langue dans sa bouche.

Ma queue était dure comme un os et je sentais que je touchais avec mon gland le fond de son cul chaud. Je la pris lentement au début, m'assurant que son anus avalait bien toute ma queue, avant de faire des allers retours.

Sa chatte détrempée coulait comme jamais et j'en profitais pour la doigter en même temps, ce qui la fit grimper au rideau.

Deux femmes étaient entrées dans les toilettes et nous avaient probablement entendus mais à ce stade de jouissance, cela nous importait peu.

Au bout d'une quinzaine de minutes intenses, j'éjaculais une quantité phénoménale de sperme au fond de son anus, dans un râle commun. J'avais bien fait de me retenir pendant deux jours, me dis-je.

Je la serrais dans mes bras tout en continuant de remuer ma queue en elle et en l'embrassant, tendrement cette fois-ci.

- Merci Nassim, je n'ai jamais autant joui de ma vie, dit-elle, dégoulinant de plaisir.

- Je veux que tu gardes mon sperme en toi ce soir, quand tu t'endormiras à côté de l'homme qui ne t'honore plus.

- Promis bébé, je me caresserai même en pensant à toi et en léchant le sperme qui en sortira.

Elle était vicieuse comme j'aime et je faisais ressortir la femelle en rut qui était en elle.

Victorieux, je sortir ma queue de son cul et lui ordonnais de me la nettoyer.
Elle se mit à genoux devant moi, comprenant que je l'avais totalement conquise, et se mit à sucer ma queue qui avait le goût de son cul.

Elle me regardait dans les yeux avec un air qui disais "tu es le seul digne de m'avoir".

Nous nous rhabillâmes et partîmes regarder le film pour lequel nous étions initialement venus. Je passais tout le film à l'embrasser et à la caresser entre les cuisses. Je sentais qu'elle avait encore envie de moi mais je préférais la laisser avec notre premier souvenir intense.

Après le cinéma, je l'invitais à manger dans un restaurant, lui faisant plaisir et lui faisant de nouveau de nombreux compliments, m'assurant qu'elle me verrait comme l'homme parfait.

Je la raccompagnais ensuite en taxi et lorsqu'elle me dit au revoir, je sentis de un peu d'amertume dans sa voix.

Il était trop tard pour que j'aille chez elle, sachant qu'il était bientôt l'heure pour elle de chercher ses enfants à l'école.

Je rentrais donc chez moi dans l'après-midi et fis une sieste tel un conquérant ayant conquis de nouvelles terres.

Lorsque je me réveillai, Fatima m'avait envoyé plusieurs photos de sa chatte et de son anus, me réclamant.

Je lui répondis par un baiser en émoji et refermai mon téléphone.

- Elle m'appartient, me dis-je.

J'irai chez elle la prochaine fois.






Avis aux jolies femmes qui ont aimé mon histoire, n'hésitez pas à m'écrire :

nasslebrave@gmail.com

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Merci Daniel. J'aurais pu allonger certaines parties, mettre plus de détails à certains moments, mais j'avais peu de temps au moment d'écrire, j'étais pressé!
La suite bientôt peut-être

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Très beau chapitre suite à ton introduction c’est net bien écrit et on participe à l’émancipation de cette maman au foyer délaissée par son mari et redevenue femme prenant son plaisir. Daniel



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