Fatima mariée, deux enfants, infidèle. - histoire érotique

Je m'appelle Nassim, 33 ans, sportif, éduqué et cérébral (détail qui a son importance).



Histoire vraie.


J'ai rencontré Fatima au supermarché un samedi qu'elle faisait les courses avec ses deux enfants. Me voyant passer à côté d'elle, elle sollicita mon aide pour prendre un produit à un étage auquel elle n'avait pas accès. Evidemment, je l'aidai et lui sourit gentiment. Je n'avais pas spécialement fait attention à elle avant qu'elle ne me parle mais quand je lui ai donné le produit, j'ai immédiatement remarqué le charme qui se dégageait de cette quarantenaire. Elle avait les traits un peu fatigués mais restait naturellement très jolie et ses formes prononcées la rendaient très désirable. D'une taille relativement petite, environ 160cm, elle est dotée d'un bon 90c et d'une belle cambrure que je devinais d'un coup d'oeil rapide.

Je la re-croisais plus tard dans la file pleine des caisses automatiques. Placé juste derrière elle, j'avais une vue parfaite sur son cul bombé. Sa cambrure se devinait dans les mouvements de ses vêtements amples. Son petit garçon de 5 ans, très actif, me faisait des grimaces, ce à quoi je répondais par d'autres grimaces. Sa fille âgée de 10 ans était plus calme.

Fatima se retourna et me sourit comme pour s'excuser, ce qui me permit d'engager la discussion, dans cette file longue et immobile. Je commençais par lui demander le prénom de ses enfants et elle commença à me parler de la pluie et du beau temps, mais je voyais bien qu'à sa façon de me regarder, je ne la laissais pas insensible.
Elle me parlait de ses enfants, qui lui nécessitaient beaucoup de travail et pour lesquels elle a dû mettre un terme à son ancien job. Je sentais la maman qui avait peu à peu oublié qu'elle était aussi une jolie femme.

Nous nous sommes séparés qu'au moment où une caisse automatique se libéra finalement.

Arrivés quasi simultanément dans deux caisses automatiques différentes, je m'arrangeais pour terminer de valider mes courses en même temps qu'elle, avec une petite idée derrière la tête...

Voyant qu'elle était bien chargée et que ses enfants ne pouvaient pas tellement l'aider, je le recroisais au moment de valider le ticket par la porte automatique et lui proposais de l'aider à porter ses courses jusque chez elle. Hésitante une poignée de secondes, je pris l'initiative de prendre deux sacs de courses directement de sa main pour ne pas lui laisser le choix, ce qu'elle laissa faire. Dans l'élan, je pris aussi les deux autres sacs qu'elle portait, la libérant de tout poids. Je voyais qu'elle appréciait ma prise d'initiative.

Pendant tout le trajet, je me montrais proche de ses enfants et lui fis quelques compliments bien calculés. Elle les reçut avec timidité et plaisir à la fois. Je la sentis rougir mais malgré tout, elle continuait de me regarder avec intérêt, ce qui m'incitait à continuer ce petit jeu. Je compris qu'elle était mariée car elle portait un anneau à l'annulaire et devais me montrer prudent.

Arrivé en bas de chez elle, à quelques minutes du supermarché, je lui ouvris la porte et nous fîmes d'abord rentrer les enfants dans le hall de l'immeuble. Je déposai les sacs devant l'immeuble et tentai le tout pour le tout, en lui disant que je la trouvais très agréable et que j'aimerais beaucoup la revoir pour faire connaissance. Surprise par autant de spontanéité, elle ne sut pas quoi répondre mais je lui tendis avec un sourire mon téléphone pour qu'elle inscrive son numéro. Elle n'hésita qu'une poignée de secondes avant d'écrire son numéro. Les enfants, qui n'avaient rien vu, commençaient à chahuter dans le hall et je compris que je devais m'en aller.

Je lui souris et lui dis à bientôt.

En rentant à la maison, j'envoyais un message à Fatima, sans être particulièrement optimiste quant au résultat, car en effet, il y a une grande différence pour une femme entre être attirée par une personne qu'on vient de rencontrer et décider de lui écrire, surtout quand on est mariée.

Deux heures plus tard, alors que j'avais presque oublié cette histoire, je reçus un message sur whatsapp :

- merci pour tout à l'heure ! Tu es vraiment une bonne personne mais sache que je suis mariée

- Il est tout à fait normal qu'une aussi belle personne que toi sois mariée. Cela ne me pose pas de problème et j'espère que ton mari a conscience de la chance qu'il a de t'avoir dans sa vie... J'aimerais juste qu'on puisse discuter, si tu le veux bien.

Je misais justement sur le fait que son mari ne faisait pas ce qu'il fallait. Et je n'avais pas tort. 30 minutes plus tard, je reçus :

- Tu es vraiment trop gentil. On peut discuter avec plaisir:)


Ainsi commencèrent nos échanges, assez banals au début, puis petit à petit, au bout de plusieurs jours, je commençai à l'orienter sur son couple, puis plus spécifiquement sur son intimité de couple. Je commençai à comprendre que monsieur ne la touchait plus vraiment, ce que j'avais deviné dès le début de notre rencontre mais j'en avais maintenant la confirmation.

Sensible aux compliments que je lui faisais, je compris que son mari ne lui en faisait plus depuis un bon moment, non plus.

A force de discuter avec elle, je commençai parfois à l'appeler, quand je savais que son mari était absent. Je sentais un réel plaisir chez elle d'entendre ma voix. Ce plaisir devint rapidement une attente. J'étais devenue une présence qui comblait le vide crée par son mari.

Peu à peu, je commençais à orienter les conversation téléphoniques. Je sentais à sa respiration que ce que je lui disais lui faisais beaucoup d'effet. La journée, quand ses enfants étaient à l'école, elle avait très souvent beaucoup de tâches ménagères à accomplir mais nous restions au téléphone le temps qu'il fallait. Je préparais le terrain. D'abord des compliments, puis peu à peu, je lui disais que j'aurais voulu être avec elle, la tenir dans mes bras, l'embrasser... peu à peu le programme que je lui proposais devenait de plus en plus épicé. Elle ne disait rien et me laissait parler.
Je commençais à lui dire que j'aimerais serrer ses fesses dans mes mains tout en fourrant ma langue dans sa bouche. Elle commença aussitôt à haleter au téléphone. Le signal m'était donné.

Je poursuivais avec elle mon récit au téléphone, lui demandant de se caresser pendant que je lui parlais. Elle se doigtait pendant que je lui racontais tout ce que j'allais lui faire. Je lui parlais maintenant de pénétration. Je l'entendais jouir au téléphone. J'allais de plus en plus loin dans les mots crus, la traitant de salope et elle aimait ça, la coquine. Elle commença à parler et à me dire que sa chatte était trempée. Je lui répondis en retour que ma queue était bien raide.

Notre échange se termina après plusieurs jouissances de sa part. Elle me remercia et je savais désormais que ce n'était qu'une histoire de jours avant que ma queue se retrouve profondément en elle.

La suite à venir...