Fatma, femme de ménage, amante et entremetteuse. Deuxième partie: Kheira
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fatma, femme de ménage, amante et entremetteuse. Deuxième partie: Kheira
Fatma, femme de ménage , amante et entremetteuse
Deuxième partie : Kheira
Parmi les femmes qui habitaient dans le même bâtiment que moi, j’avais remarqué une magnifique rouquine, d’environ trente-cinq ans, mince, grande et avec des rondeurs à vous couper le souffle. Elle sortait tous les matins, à la même heure que moi, pour accompagner ses deux garçons - des jumeaux - à l’école ; probablement une des innombrables écoles privées qui avaient ouvert à Alger depuis quelques années et que les enfants de la nomenklatura fréquentaient, de préférence à l’école publique, réservée à la plèbe. Elle les conduisait dans une petite voiture de ville, que très souvent, elle avait du mal à sortir de son stationnement, tant le parking était encombré et probablement aussi, parce qu’elle ne savait pas encore très bien conduire.
Plusieurs fois, j’avais dû prendre sa place au volant pour l’aider à sortir la voiture et à la mettre en bonne position pour sortir du parking, sans faire trop de dégâts. Elle me remerciait d’un grand sourire lumineux, mais ne me parlait jamais. C’était comme si elle avait peur que le voisinage la surprenne entrain de parler avec un homme. Elle semblait pourtant faire partie de ces femmes qui n’avaient pas encore été touché par l’islamisation forcenée du pays. Elle s’habillait à l’occidental, avec un pantalon bien serré, mettant en valeur des hanches superbes, un fessier proéminent et bien rond et des jambes longues et pleines. Elle portait toujours des hauts qui accentuaient la largeur de ses épaules et une poitrine de taille moyenne, mais avec une paire de seins qui pointaient fièrement sous son chemisier ou sous son pull. Elle ne portait pas de khymar (foulard) et sortait tête nue, avec ses cheveux couleur rouille, coupés très courts. C’était vraiment une magnifique plante, super bandante. Je jalousais le père de ses enfants de dormir auprès d’une femme aussi splendide.
Chaque fois que je la rencontrais, je sentais une petite chaleur s’immiscer dans mon bas ventre et rayonner alentour. Des pensées coquines (pour ne pas dire cochonnes) me traversaient furtivement la tête. Mais comme d’évidence, elle ne s’intéressait pas à moi et semblait tellement tenir à sa réputation de femme sérieuse, je n’insistais pas. Jusqu’au jour béni où Fatma me parla d’elle. Elle m’apprit qu’elle était mariée à un haut fonctionnaire qui travaillait tout le temps, pratiquement seize heures par jour, et qui avait l’ambition de devenir un jour ministre. Il était souvent absent de la maison, dont il laissait la gestion à sa femme Kheira. Celle-ci était issue d’une grande famille constantinoise, avait fait des études supérieures et avait même commencé à travailler comme juriste dans un ministère avant de rencontrer son mari de se marier et d’avoir immédiatement deux enfants.
Elle quitta son travail sur injonction de son mari et devint, sans l’avoir vraiment voulu, une femme d’intérieur. Elle raconta à Fatma, qui savait s’y prendre pour confesser les femmes, qu’elle n’était pas très heureuse de sa situation. Bien que matériellement rien ne lui manquait (son mari était même entrain de leur construire une superbe villa dans un quartier chic d’Alger) elle était frustrée dans sa vie de femme. Elle avait aimé son mari et avait même été heureuse quelques temps après son mariage. L’arrivée des enfants, mais surtout les responsabilités professionnelles de son mari, avaient complètement bouleversé sa vie. Elle s’était retrouvée soudainement avec des responsabilités familiales importantes et un mari démissionnaire, qui ne s’intéressait plus qu’à ses ambitions politiques. Sa famille n’existait que pour ce qu’elle lui apportait comme image d’un bon père de famille.
En matière d’amour, il ne lui apportait plus rien, si ce n’est les quelques pauvres étreintes nocturnes, plus hygiéniques que passionnées, qu’il lui offrait de temps en temps, quand il rentrait tôt et quand il n’était pas trop fatigué. Autant dire, presque jamais. Kheira, à ce qu’elle avouait, un peu honteuse, à Fatma, avait des besoins sexuels « normaux » (sa manière à elle de dire qu’elle aimait faire l’amour et qu’elle en avait vraiment besoin).
- Tu ne voudrais pas faire sa connaissance ?
- Mais je la connais déjà !
- Arrête de faire l’imbécile ! Tu sais bien de quel type de connaissance je te parle : d’une connaissance intime !
- Et tu crois qu’elle voudra faire connaissance avec moi, comme cela ?
- Oui ! Elle m’a déjà donné son accord !
- …
- Nous en avons parlé longuement. La seule chose dont elle a peur c’est que son mari apprenne qu’elle le trompe. Si tout se passe dans la discrétion, elle est d’accord de vivre avec toi l’amour passion qu’elle attend depuis très longtemps. Je lui ai parlé de toi et de ta manière de faire l’amour ; de tes capacités à vivre tes fantasmes et à faire vivre les leurs à tes partenaires. Elle est réellement intéressée.
- Et toi qu’est-ce que tu y gagnes ?
- Absolument rien ; sinon ta reconnaissance et la sienne. Et bien entendu qu’elle ne t’enlève pas totalement à moi !
C’est ainsi que mon histoire avec Kheira débuta : complètement arrangée par Fatma.
- Elle t’attend demain matin chez elle - l’appartement N° 5, au premier étage dans la même aile que le tien - à son retour après qu’elle aura déposé ses enfants à l’école. Tu n’auras même pas à sonner, elle t’ouvrira immédiatement.
Et effectivement le lendemain matin, après avoir surveillé son retour au parking et attendu environ dix minutes, je descendis les escaliers, un peu inquiet tout de même, et me présentai devant la porte de l’appartement N° 5, au premier étage. La porte s’ouvrit immédiatement et une main me tira vivement vers l’intérieur. Ma belle rouquine était réellement là, habillée d’une simple nuisette noire, lui arrivant à mi-cuisses, laissant entrevoir une coquine petite culotte et un soutien gorge, tous les deux de couleur blanche. Elle referma vivement la porte et se plaça devant moi pour se faire admirer. Elle paraissait vraiment à l’aise. Elle ne semblait aucunement gênée.
- Tu me trouves à ton goût ? Je te plais ? Fatma m’a dit que tu lui as souvent parlé de moi. D’après elle, tu bandes même tous les matins en me voyant. C’est exagéré ?
Je ne savais absolument pas quoi répondre à ce flot de paroles. Elle posait ses questions de manière qui semblait naturelle. Elle n’avait pas l’air de se moquer de moi. C’était comme si elle cherchait simplement une confirmation de mon intérêt pour elle. De mon désir pour elle. Parce qu’en fait, il ne s’agissait que de cela : elle voulait confirmer qu’elle était désirable et que j’allais le lui prouver sur le champ. Elle ne voulait pas perdre de temps.
- Oui tu me plais et si tu regardes le devant de mon pantalon, tu verras combien tu es bandante !
- Prouve-le !
Sans plus attendre elle tendit les bras pour que je m’approche d’elle et l’enlace. Elle était adossée au mur du couloir, juste à côté de la porte d’entrée. Je m’approchai d’elle et la pris par la taille. Je sentis qu’elle avait eu un petit frémissement au moment où mes mains se posèrent sur sa taille. Elle colla son corps chaud et frémissant contre le mien et tendit ses lèvres pour un baiser. Je ne me fis pas prier pour lui coller un patin tout ce qu’il y a de mouillé et de torride. Elle y répondit avec passion et violence. Comme si elle attendait cet instant depuis très longtemps ; trop longtemps ! Elle avait une langue fine et agile qui pénétrait dans ma bouche pour venir titiller la mienne. Ses lèvres, qu’elle avait fines et légèrement ourlées, étaient collées aux miennes comme des ventouses ; ses dents s’entrechoquaient contre les miennes. Elle buvait avec délectation toute la salive que sa langue récupérait de ma bouche et m’envoyait de temps en temps un peu de la sienne pour que, moi aussi, je m’abreuve.
Je me dis qu’il était peut-être temps que je prenne les choses en mains et lui rende la pareille. Ma langue se mit donc de la partie et alla faire son nid dans sa bouche, où elle montra à la sienne qu’elle savait elle aussi se battre. Elles se défièrent et entreprirent un véritable duel pour savoir une fois pour toutes qui était le maître. Elles se toisèrent, se titillèrent, attaquèrent de front, s’évitèrent pour mieux se surprendre, montèrent l’une sur l’autre. Au passage, elles ramassèrent des quantités inouïes de salive qu’elle et moi avalâmes goulûment. Nous n’arrêtâmes le duel qu’une fois au bord de l’asphyxie. Nous séparâmes nos bouches pour reprendre notre respiration et observer l’effet du baiser sur nous. Je fus rassuré de la voir sourire de satisfaction. Je supposai qu’elle aussi était rassurée.
Je m’éloignai un peu d’elle pour la regarder et admirer son corps. Elle se laissait contempler en souriant. Elle savait qu’elle était belle et désirable.
- Tu es magnifique ! lui dis-je. J’ai vraiment beaucoup de chance !
- Alors qu’attends-tu pour me baiser ? Tu ne vois pas combien j’ai envie d’être tirée ? Met ta main pour vérifier !
Je plongeai ma main entre ses longues cuisses blanches et fermes pour aller fourrager à la surface de sa petite culotte blanche. Elle était mouillée. Très mouillée ! Ma belle était en chaleur ! Je passai mes doigts à l’intérieur de l’élastique de la culotte et la fis descendre jusque sur ses chevilles. Elle s’en débarrassa en relevant un pied, puis le deuxième et l’envoya à l’autre bout du couloir. Je relevai le bas de sa nuisette pour pouvoir regarder et admirer sa chatte. Elle avait une chatte superbe ; avec un magnifique pubis bombé, soigneusement épilé (rien que pour moi ! me dis-je très fier) et luisant ; des grandes lèvres longues et fines, sans aucune trace de poils. Le tout était de couleur légèrement plus sombre que ses cuisses et donnait à sa chatte un aspect mystérieux et attirant.
- Baise-moi comme cela debout ! J’en ai toujours rêvé ! Laisse-moi d’abord voir ton gourdin. Il me semble immense, comme cela à travers le pantalon.
Elle s’occupa fébrilement de défaire la ceinture, de déboutonner le pantalon, d’ouvrir la braguette et de plonger sa main à l’intérieur pour palper l’engin.
- Ouah !!! Fatma ne m’a pas menti ; tu es membré comme un âne ! Comme dans mes fantasmes ! Prend-moi vite ! Fais-moi sentir sa force !
Je plaquai Kheira contre le mur, lui soulevai la jambe gauche en passant mon avant bras droit sous son genou pour la maintenir dans la position ouverte et pris l’engin dans ma main gauche pour chercher l’ouverture. La belle était accrochée à mon cou et attendait en haletant l’instant où j’allai la pénétrer. Le gland de mon sexe avait trouvé les grandes lèvres et poussait doucement pour s’introduire entre elles et trouver l’entrée de la grotte. J’avais plié un peu les jambes pour positionner mon membre en dessous de la chatte et pouvoir ainsi la pénétrer plus facilement, sans la déchirer.
Je n’avais pas besoin de lubrifier l’entrée du vagin ; il l’était déjà assez. Je donnai une brusque poussée à mes hanches et me retrouvait immédiatement à l’intérieur d’un vagin étroit, brulant et complètement mouillé. Le paradis ! C’était tellement bon, que je voulais rester ainsi, le membre enfoncé dans cette chatte si accueillante. Mais ma mie ne l’entendait pas de cette oreille : elle voulait que je la pine en force ; que je fasse aller et venir l’engin dans son vagin ; que je lui fasse mal ; qu’elle sente la force de son maître.
- Tire-moi fort ! Déchire-moi le vagin ! Fais-moi mal ! J’adore ton zob ! C’est mon maître ! Je suis totalement à lui !
C’était effectivement une position où elle ne pouvait que sentir la force de mon membre. Elle était collée contre le mur, la jambe droite relevée très haut et maintenue par mon avant bras, qui en même temps la soulevait toute entière du sol, ses mains accrochées à mon cou. Mes coups de boutoir la pénétraient profondément et lui faisaient mal. Elle criait à chacun de mes coups de reins. Des cris de douleur et de plaisir. Elle aimait avoir mal en se faisant tirer. Cela ajoutait à son plaisir. Elle n’arrêtait pas de m’encourager à y aller encore plus fort.
- Plus fort ! Plus vite ! Fais-moi mal ! Plus mal ! Fais-moi hurler de plaisir ! J’aime ! J’aime ! J’aime ! J’aiiimmme !
Elle poussa subitement un long cri de jouissance en déchargeant des litres et des litres de jus sur mon manche et en dehors. Elle respirait difficilement et haletait, en continuant de m’ordonner de continuer à la piner comme cela en force. Elle planta ses ongles dans ma nuque et mordit avec violence mon épaule gauche. Quand elle se calma, quelques minutes plus tard, elle éloigna sa tête de la mienne, me regarda et me demanda de l’embrasser. Je lui donnai un baiser qu’elle trouva trop mou et me força à l’embrasser avec passion ; à lui donner un baiser d’amant excité ; pas un baiser d’amoureux. Tout en restant en elle dans la même position, avec mon sexe toujours vaillant (je n’avais pas joui, parce que je ne m’attendais pas à ce qu’elle jouisse aussi vite), je lui appliquai un patin super mouillé et super torride, qu’elle me rendit dans les mêmes formes.
Je ne sortis de sa chatte que quand elle le décida elle-même. Elle me demanda de sortir l’engin et de lâcher sa jambe. Elle se remit debout une seconde avant de se laisser tomber par terre et se mettre à ramper devant moi. Elle se comportait comme une chatte en période de chaleur. Elle rampait et venait se frotter à mes jambes, montrant au passage ses superbes fesses. Elle me regardait avec des yeux brillant de désir qui cherchaient à m’indiquer ce qu’elle voulait que je lui fasse. J’étais un peu perdu ; je n’avais encore jamais rencontré de femme comme elle. Elle avait tout du félin femelle en chaleur. Et comme toute femelle en chaleur, elle cherchait à éteindre le feu qui la consumait. Elle retira sa nuisette et son soutien gorge et resta toute nue, à quatre pattes par terre, rampant tout autour de moi.
Elle était superbe et tellement excitante. Ses fesses nues, fermes et brillantes, appelaient le mâle pour éteindre le feu qui les consumait. J’avais envie de me mettre à genoux derrière elle pour la tirer en levrette, ou même pour l’enculer. Mais d’évidence, ce n’était ce qu’elle cherchait pour le moment. Ce qu’elle voulait, c’était ramper comme cela devant son mâle et lui montrer combien elle voulait se faire tirer. Lui monter sa disponibilité. Elle voulait être une femelle, pas une femme. J’avais même cru un moment qu’elle allait se mettre à miauler comme une chatte en manque. Elle continuait son petit jeu, tout en me regardant dans les yeux avec sur les lèvres un sourire énigmatique.
J’étais moi-même à moitié nu, le sexe en l’air, bandant comme un âne. Je la regardais tourner autour de moi, toujours en rampant. Elle ne disait toujours rien, mais me suppliait avec ses yeux de faire quelque chose que je ne comprenais pas encore. Et puis soudain, ce fut l’illumination : elle voulait que je fasse comme elle ; que je devienne un félin mâle en rut, qui cherche à conquérir sa belle. Je me mis donc moi-même à quatre pattes et commençai à ramper autour d’elle, en cherchant à atteindre son intimité. Elle eut un petit rire de satisfaction et s’éloigna de moi, me poussant à la poursuivre. Mon but était que j’atteigne sa croupe, que je la monte et la tire en levrette. Son but à elle était de se sauver à chaque fois et de ne me laisser faire que quand elle le décidera elle-même.
Je me mis donc à poursuivre, rattraper et tenter de grimper sur ma partenaire, pendant qu’elle essayait de m’échapper. Ce fut une scène d’un érotisme torride. Je m’étais laissé prendre au jeu et me prenais réellement pour un félin mâle, essayant d’attraper sa femelle en chaleur, mais qui ne voulait pas le laisser faire. A chaque fois que je l’attrapais et que j’essayais de la monter, elle s’échappait et allait m’attendre quelques mètres plus loin. La scène recommença au moins une vingtaine de fois ; jusqu’au moment où l’ayant attrapée encore une fois, je l’immobilisai pour essayer de grimper sur elle. Et oh miracle ! elle me laissa faire. Elle se mit à ronronner de plaisir et à pousser se fesses vers l’arrière pour que je la pénètre profondément.
De ma vie je n’ai eu autant de plaisir à tirer une femme. Je crois que l’attente et la difficulté avaient démultiplié mon désir d’elle. Quand je la pénétrai, j’ai ressenti un immense bien être se répandre en moi. Je la tenais fermement par la taille, de peur qu’elle ne m’échappe encore une fois. Je la tirai avec de furieux coup de reins. Je ne réfléchissais pas ! Je baisais ma femelle et cela me suffisait ! Elle était dans le même état que moi, complètement dans son rôle de femelle. Elle ronronnait sous mes coups de boutoir, tandis que moi je gémissais de plaisir. Je ne faisais plus attention à rien : même pas à réduire la force de pénétration. Je savais que je lui faisais mal en la pénétrant ainsi comme une brute ; mais je n’étais plus un homme ; et elle, elle n’était plus une femme. Nous n’étions que deux animaux en rut et en chaleur.
Je crois que la jouissance que nous eûmes en même temps était la plus forte que nous avions eu jusque là. J’éjaculais très longuement et presque de manière continue, tout le sperme que j’avais emmagasiné. Sa jouissance à elle avait été plus silencieuse que la précédente ; mais beaucoup plus intense. Il m’avait même semblé un moment qu’elle allait s’évanouir ou tomber en syncope, tant l’orgasme était fort. Quand tout s’arrêta, nous nous retrouvâmes allongés par terre dans le couloir, l’un à côté de l’autre nous regardant avec des étoiles dans les yeux. Notre bonheur se lisait dans nos yeux.
- Je t’aime ! fit-elle. Tu es vraiment l’homme que j’attendais depuis toujours ! Tu as su immédiatement ce que je voulais et tu n’as pas hésité une seconde à me l’offrir. Je suis une femme qui a plein de fantasmes, mais qui n’en a jamais vécu un seul. Depuis que tu es entré, tu m’en as déjà fait vivre deux ! Dis-moi que nous allons continuer !
- Bien entendu que nous allons continuer ! Je ne vais pas abandonner une femme comme toi ! Tu es exactement mon type de femme ! Physiquement d’abord, parce que tu es belle. Sexuellement ensuite parce que tu n’as aucun tabou. Je plains ton mari qui ne profite pas de tes qualités d’amante.
- Allons dans la chambre nous reposer un peu. Nous avons encore le temps de nous aimer avant que je n’aille chercher mes enfants de l’école.
Nous refîmes l’amour encore deux fois, toujours de manière extrême et nous ne nous séparâmes que vers quinze heures, au moment où elle devait prendre sa douche et se préparer à aller récupérer les jumeaux de l’école. Notre histoire dura environ deux années ; jusqu’au jour où toute la famille déménagea pour aller occuper la villa que le mari avait terminé de construire.
Pendant tout le temps que dura ma relation amoureuse avec Kheira, je continuais de rencontrer Fatma, qui me rendait toujours visite deux fois par semaine, et de faire l’amour avec elle. Elle n’ignorait rien de ce que nous faisions Kheira et moi. Parfois c’était moi qui lui racontais, mais le plus souvent c’était elle. Elle n’était pas jalouse. Elle voulait sa part d’amour et elle l’avait. Ce que je faisais avec d’autres femmes lui importait peu. Au contraire cela semblait lui titiller l’imagination et la rendait encore plus coquine pendant nos séances au lit.
Après le déménagement de Kheira et le vide qu’elle avait laissé en moi, Fatma entreprit de me consoler en me parlant d’une belle jeune femme, pratiquement cloîtrée chez elle, mariée à un entrepreneur en bâtiment, une espèce de brute jalouse, qui la faisait surveiller par sa sœur, une « vieille fille » de quarante ans, qui vivait avec eux.
- Il faut absolument que tu fasses sa connaissance ! Ou plutôt que tu fasses leur connaissance, car Aïcha ne sort jamais sans sa belle-sœur Louisa.
Et de fait, Fatma me fit faire la connaissance de deux véritables coquines, qui avaient décidé de donner du piment à leur vie un peu terne.
Mais ceci est une autre histoire que je vous raconterai une prochaine fois.
Deuxième partie : Kheira
Parmi les femmes qui habitaient dans le même bâtiment que moi, j’avais remarqué une magnifique rouquine, d’environ trente-cinq ans, mince, grande et avec des rondeurs à vous couper le souffle. Elle sortait tous les matins, à la même heure que moi, pour accompagner ses deux garçons - des jumeaux - à l’école ; probablement une des innombrables écoles privées qui avaient ouvert à Alger depuis quelques années et que les enfants de la nomenklatura fréquentaient, de préférence à l’école publique, réservée à la plèbe. Elle les conduisait dans une petite voiture de ville, que très souvent, elle avait du mal à sortir de son stationnement, tant le parking était encombré et probablement aussi, parce qu’elle ne savait pas encore très bien conduire.
Plusieurs fois, j’avais dû prendre sa place au volant pour l’aider à sortir la voiture et à la mettre en bonne position pour sortir du parking, sans faire trop de dégâts. Elle me remerciait d’un grand sourire lumineux, mais ne me parlait jamais. C’était comme si elle avait peur que le voisinage la surprenne entrain de parler avec un homme. Elle semblait pourtant faire partie de ces femmes qui n’avaient pas encore été touché par l’islamisation forcenée du pays. Elle s’habillait à l’occidental, avec un pantalon bien serré, mettant en valeur des hanches superbes, un fessier proéminent et bien rond et des jambes longues et pleines. Elle portait toujours des hauts qui accentuaient la largeur de ses épaules et une poitrine de taille moyenne, mais avec une paire de seins qui pointaient fièrement sous son chemisier ou sous son pull. Elle ne portait pas de khymar (foulard) et sortait tête nue, avec ses cheveux couleur rouille, coupés très courts. C’était vraiment une magnifique plante, super bandante. Je jalousais le père de ses enfants de dormir auprès d’une femme aussi splendide.
Chaque fois que je la rencontrais, je sentais une petite chaleur s’immiscer dans mon bas ventre et rayonner alentour. Des pensées coquines (pour ne pas dire cochonnes) me traversaient furtivement la tête. Mais comme d’évidence, elle ne s’intéressait pas à moi et semblait tellement tenir à sa réputation de femme sérieuse, je n’insistais pas. Jusqu’au jour béni où Fatma me parla d’elle. Elle m’apprit qu’elle était mariée à un haut fonctionnaire qui travaillait tout le temps, pratiquement seize heures par jour, et qui avait l’ambition de devenir un jour ministre. Il était souvent absent de la maison, dont il laissait la gestion à sa femme Kheira. Celle-ci était issue d’une grande famille constantinoise, avait fait des études supérieures et avait même commencé à travailler comme juriste dans un ministère avant de rencontrer son mari de se marier et d’avoir immédiatement deux enfants.
Elle quitta son travail sur injonction de son mari et devint, sans l’avoir vraiment voulu, une femme d’intérieur. Elle raconta à Fatma, qui savait s’y prendre pour confesser les femmes, qu’elle n’était pas très heureuse de sa situation. Bien que matériellement rien ne lui manquait (son mari était même entrain de leur construire une superbe villa dans un quartier chic d’Alger) elle était frustrée dans sa vie de femme. Elle avait aimé son mari et avait même été heureuse quelques temps après son mariage. L’arrivée des enfants, mais surtout les responsabilités professionnelles de son mari, avaient complètement bouleversé sa vie. Elle s’était retrouvée soudainement avec des responsabilités familiales importantes et un mari démissionnaire, qui ne s’intéressait plus qu’à ses ambitions politiques. Sa famille n’existait que pour ce qu’elle lui apportait comme image d’un bon père de famille.
En matière d’amour, il ne lui apportait plus rien, si ce n’est les quelques pauvres étreintes nocturnes, plus hygiéniques que passionnées, qu’il lui offrait de temps en temps, quand il rentrait tôt et quand il n’était pas trop fatigué. Autant dire, presque jamais. Kheira, à ce qu’elle avouait, un peu honteuse, à Fatma, avait des besoins sexuels « normaux » (sa manière à elle de dire qu’elle aimait faire l’amour et qu’elle en avait vraiment besoin).
- Tu ne voudrais pas faire sa connaissance ?
- Mais je la connais déjà !
- Arrête de faire l’imbécile ! Tu sais bien de quel type de connaissance je te parle : d’une connaissance intime !
- Et tu crois qu’elle voudra faire connaissance avec moi, comme cela ?
- Oui ! Elle m’a déjà donné son accord !
- …
- Nous en avons parlé longuement. La seule chose dont elle a peur c’est que son mari apprenne qu’elle le trompe. Si tout se passe dans la discrétion, elle est d’accord de vivre avec toi l’amour passion qu’elle attend depuis très longtemps. Je lui ai parlé de toi et de ta manière de faire l’amour ; de tes capacités à vivre tes fantasmes et à faire vivre les leurs à tes partenaires. Elle est réellement intéressée.
- Et toi qu’est-ce que tu y gagnes ?
- Absolument rien ; sinon ta reconnaissance et la sienne. Et bien entendu qu’elle ne t’enlève pas totalement à moi !
C’est ainsi que mon histoire avec Kheira débuta : complètement arrangée par Fatma.
- Elle t’attend demain matin chez elle - l’appartement N° 5, au premier étage dans la même aile que le tien - à son retour après qu’elle aura déposé ses enfants à l’école. Tu n’auras même pas à sonner, elle t’ouvrira immédiatement.
Et effectivement le lendemain matin, après avoir surveillé son retour au parking et attendu environ dix minutes, je descendis les escaliers, un peu inquiet tout de même, et me présentai devant la porte de l’appartement N° 5, au premier étage. La porte s’ouvrit immédiatement et une main me tira vivement vers l’intérieur. Ma belle rouquine était réellement là, habillée d’une simple nuisette noire, lui arrivant à mi-cuisses, laissant entrevoir une coquine petite culotte et un soutien gorge, tous les deux de couleur blanche. Elle referma vivement la porte et se plaça devant moi pour se faire admirer. Elle paraissait vraiment à l’aise. Elle ne semblait aucunement gênée.
- Tu me trouves à ton goût ? Je te plais ? Fatma m’a dit que tu lui as souvent parlé de moi. D’après elle, tu bandes même tous les matins en me voyant. C’est exagéré ?
Je ne savais absolument pas quoi répondre à ce flot de paroles. Elle posait ses questions de manière qui semblait naturelle. Elle n’avait pas l’air de se moquer de moi. C’était comme si elle cherchait simplement une confirmation de mon intérêt pour elle. De mon désir pour elle. Parce qu’en fait, il ne s’agissait que de cela : elle voulait confirmer qu’elle était désirable et que j’allais le lui prouver sur le champ. Elle ne voulait pas perdre de temps.
- Oui tu me plais et si tu regardes le devant de mon pantalon, tu verras combien tu es bandante !
- Prouve-le !
Sans plus attendre elle tendit les bras pour que je m’approche d’elle et l’enlace. Elle était adossée au mur du couloir, juste à côté de la porte d’entrée. Je m’approchai d’elle et la pris par la taille. Je sentis qu’elle avait eu un petit frémissement au moment où mes mains se posèrent sur sa taille. Elle colla son corps chaud et frémissant contre le mien et tendit ses lèvres pour un baiser. Je ne me fis pas prier pour lui coller un patin tout ce qu’il y a de mouillé et de torride. Elle y répondit avec passion et violence. Comme si elle attendait cet instant depuis très longtemps ; trop longtemps ! Elle avait une langue fine et agile qui pénétrait dans ma bouche pour venir titiller la mienne. Ses lèvres, qu’elle avait fines et légèrement ourlées, étaient collées aux miennes comme des ventouses ; ses dents s’entrechoquaient contre les miennes. Elle buvait avec délectation toute la salive que sa langue récupérait de ma bouche et m’envoyait de temps en temps un peu de la sienne pour que, moi aussi, je m’abreuve.
Je me dis qu’il était peut-être temps que je prenne les choses en mains et lui rende la pareille. Ma langue se mit donc de la partie et alla faire son nid dans sa bouche, où elle montra à la sienne qu’elle savait elle aussi se battre. Elles se défièrent et entreprirent un véritable duel pour savoir une fois pour toutes qui était le maître. Elles se toisèrent, se titillèrent, attaquèrent de front, s’évitèrent pour mieux se surprendre, montèrent l’une sur l’autre. Au passage, elles ramassèrent des quantités inouïes de salive qu’elle et moi avalâmes goulûment. Nous n’arrêtâmes le duel qu’une fois au bord de l’asphyxie. Nous séparâmes nos bouches pour reprendre notre respiration et observer l’effet du baiser sur nous. Je fus rassuré de la voir sourire de satisfaction. Je supposai qu’elle aussi était rassurée.
Je m’éloignai un peu d’elle pour la regarder et admirer son corps. Elle se laissait contempler en souriant. Elle savait qu’elle était belle et désirable.
- Tu es magnifique ! lui dis-je. J’ai vraiment beaucoup de chance !
- Alors qu’attends-tu pour me baiser ? Tu ne vois pas combien j’ai envie d’être tirée ? Met ta main pour vérifier !
Je plongeai ma main entre ses longues cuisses blanches et fermes pour aller fourrager à la surface de sa petite culotte blanche. Elle était mouillée. Très mouillée ! Ma belle était en chaleur ! Je passai mes doigts à l’intérieur de l’élastique de la culotte et la fis descendre jusque sur ses chevilles. Elle s’en débarrassa en relevant un pied, puis le deuxième et l’envoya à l’autre bout du couloir. Je relevai le bas de sa nuisette pour pouvoir regarder et admirer sa chatte. Elle avait une chatte superbe ; avec un magnifique pubis bombé, soigneusement épilé (rien que pour moi ! me dis-je très fier) et luisant ; des grandes lèvres longues et fines, sans aucune trace de poils. Le tout était de couleur légèrement plus sombre que ses cuisses et donnait à sa chatte un aspect mystérieux et attirant.
- Baise-moi comme cela debout ! J’en ai toujours rêvé ! Laisse-moi d’abord voir ton gourdin. Il me semble immense, comme cela à travers le pantalon.
Elle s’occupa fébrilement de défaire la ceinture, de déboutonner le pantalon, d’ouvrir la braguette et de plonger sa main à l’intérieur pour palper l’engin.
- Ouah !!! Fatma ne m’a pas menti ; tu es membré comme un âne ! Comme dans mes fantasmes ! Prend-moi vite ! Fais-moi sentir sa force !
Je plaquai Kheira contre le mur, lui soulevai la jambe gauche en passant mon avant bras droit sous son genou pour la maintenir dans la position ouverte et pris l’engin dans ma main gauche pour chercher l’ouverture. La belle était accrochée à mon cou et attendait en haletant l’instant où j’allai la pénétrer. Le gland de mon sexe avait trouvé les grandes lèvres et poussait doucement pour s’introduire entre elles et trouver l’entrée de la grotte. J’avais plié un peu les jambes pour positionner mon membre en dessous de la chatte et pouvoir ainsi la pénétrer plus facilement, sans la déchirer.
Je n’avais pas besoin de lubrifier l’entrée du vagin ; il l’était déjà assez. Je donnai une brusque poussée à mes hanches et me retrouvait immédiatement à l’intérieur d’un vagin étroit, brulant et complètement mouillé. Le paradis ! C’était tellement bon, que je voulais rester ainsi, le membre enfoncé dans cette chatte si accueillante. Mais ma mie ne l’entendait pas de cette oreille : elle voulait que je la pine en force ; que je fasse aller et venir l’engin dans son vagin ; que je lui fasse mal ; qu’elle sente la force de son maître.
- Tire-moi fort ! Déchire-moi le vagin ! Fais-moi mal ! J’adore ton zob ! C’est mon maître ! Je suis totalement à lui !
C’était effectivement une position où elle ne pouvait que sentir la force de mon membre. Elle était collée contre le mur, la jambe droite relevée très haut et maintenue par mon avant bras, qui en même temps la soulevait toute entière du sol, ses mains accrochées à mon cou. Mes coups de boutoir la pénétraient profondément et lui faisaient mal. Elle criait à chacun de mes coups de reins. Des cris de douleur et de plaisir. Elle aimait avoir mal en se faisant tirer. Cela ajoutait à son plaisir. Elle n’arrêtait pas de m’encourager à y aller encore plus fort.
- Plus fort ! Plus vite ! Fais-moi mal ! Plus mal ! Fais-moi hurler de plaisir ! J’aime ! J’aime ! J’aime ! J’aiiimmme !
Elle poussa subitement un long cri de jouissance en déchargeant des litres et des litres de jus sur mon manche et en dehors. Elle respirait difficilement et haletait, en continuant de m’ordonner de continuer à la piner comme cela en force. Elle planta ses ongles dans ma nuque et mordit avec violence mon épaule gauche. Quand elle se calma, quelques minutes plus tard, elle éloigna sa tête de la mienne, me regarda et me demanda de l’embrasser. Je lui donnai un baiser qu’elle trouva trop mou et me força à l’embrasser avec passion ; à lui donner un baiser d’amant excité ; pas un baiser d’amoureux. Tout en restant en elle dans la même position, avec mon sexe toujours vaillant (je n’avais pas joui, parce que je ne m’attendais pas à ce qu’elle jouisse aussi vite), je lui appliquai un patin super mouillé et super torride, qu’elle me rendit dans les mêmes formes.
Je ne sortis de sa chatte que quand elle le décida elle-même. Elle me demanda de sortir l’engin et de lâcher sa jambe. Elle se remit debout une seconde avant de se laisser tomber par terre et se mettre à ramper devant moi. Elle se comportait comme une chatte en période de chaleur. Elle rampait et venait se frotter à mes jambes, montrant au passage ses superbes fesses. Elle me regardait avec des yeux brillant de désir qui cherchaient à m’indiquer ce qu’elle voulait que je lui fasse. J’étais un peu perdu ; je n’avais encore jamais rencontré de femme comme elle. Elle avait tout du félin femelle en chaleur. Et comme toute femelle en chaleur, elle cherchait à éteindre le feu qui la consumait. Elle retira sa nuisette et son soutien gorge et resta toute nue, à quatre pattes par terre, rampant tout autour de moi.
Elle était superbe et tellement excitante. Ses fesses nues, fermes et brillantes, appelaient le mâle pour éteindre le feu qui les consumait. J’avais envie de me mettre à genoux derrière elle pour la tirer en levrette, ou même pour l’enculer. Mais d’évidence, ce n’était ce qu’elle cherchait pour le moment. Ce qu’elle voulait, c’était ramper comme cela devant son mâle et lui montrer combien elle voulait se faire tirer. Lui monter sa disponibilité. Elle voulait être une femelle, pas une femme. J’avais même cru un moment qu’elle allait se mettre à miauler comme une chatte en manque. Elle continuait son petit jeu, tout en me regardant dans les yeux avec sur les lèvres un sourire énigmatique.
J’étais moi-même à moitié nu, le sexe en l’air, bandant comme un âne. Je la regardais tourner autour de moi, toujours en rampant. Elle ne disait toujours rien, mais me suppliait avec ses yeux de faire quelque chose que je ne comprenais pas encore. Et puis soudain, ce fut l’illumination : elle voulait que je fasse comme elle ; que je devienne un félin mâle en rut, qui cherche à conquérir sa belle. Je me mis donc moi-même à quatre pattes et commençai à ramper autour d’elle, en cherchant à atteindre son intimité. Elle eut un petit rire de satisfaction et s’éloigna de moi, me poussant à la poursuivre. Mon but était que j’atteigne sa croupe, que je la monte et la tire en levrette. Son but à elle était de se sauver à chaque fois et de ne me laisser faire que quand elle le décidera elle-même.
Je me mis donc à poursuivre, rattraper et tenter de grimper sur ma partenaire, pendant qu’elle essayait de m’échapper. Ce fut une scène d’un érotisme torride. Je m’étais laissé prendre au jeu et me prenais réellement pour un félin mâle, essayant d’attraper sa femelle en chaleur, mais qui ne voulait pas le laisser faire. A chaque fois que je l’attrapais et que j’essayais de la monter, elle s’échappait et allait m’attendre quelques mètres plus loin. La scène recommença au moins une vingtaine de fois ; jusqu’au moment où l’ayant attrapée encore une fois, je l’immobilisai pour essayer de grimper sur elle. Et oh miracle ! elle me laissa faire. Elle se mit à ronronner de plaisir et à pousser se fesses vers l’arrière pour que je la pénètre profondément.
De ma vie je n’ai eu autant de plaisir à tirer une femme. Je crois que l’attente et la difficulté avaient démultiplié mon désir d’elle. Quand je la pénétrai, j’ai ressenti un immense bien être se répandre en moi. Je la tenais fermement par la taille, de peur qu’elle ne m’échappe encore une fois. Je la tirai avec de furieux coup de reins. Je ne réfléchissais pas ! Je baisais ma femelle et cela me suffisait ! Elle était dans le même état que moi, complètement dans son rôle de femelle. Elle ronronnait sous mes coups de boutoir, tandis que moi je gémissais de plaisir. Je ne faisais plus attention à rien : même pas à réduire la force de pénétration. Je savais que je lui faisais mal en la pénétrant ainsi comme une brute ; mais je n’étais plus un homme ; et elle, elle n’était plus une femme. Nous n’étions que deux animaux en rut et en chaleur.
Je crois que la jouissance que nous eûmes en même temps était la plus forte que nous avions eu jusque là. J’éjaculais très longuement et presque de manière continue, tout le sperme que j’avais emmagasiné. Sa jouissance à elle avait été plus silencieuse que la précédente ; mais beaucoup plus intense. Il m’avait même semblé un moment qu’elle allait s’évanouir ou tomber en syncope, tant l’orgasme était fort. Quand tout s’arrêta, nous nous retrouvâmes allongés par terre dans le couloir, l’un à côté de l’autre nous regardant avec des étoiles dans les yeux. Notre bonheur se lisait dans nos yeux.
- Je t’aime ! fit-elle. Tu es vraiment l’homme que j’attendais depuis toujours ! Tu as su immédiatement ce que je voulais et tu n’as pas hésité une seconde à me l’offrir. Je suis une femme qui a plein de fantasmes, mais qui n’en a jamais vécu un seul. Depuis que tu es entré, tu m’en as déjà fait vivre deux ! Dis-moi que nous allons continuer !
- Bien entendu que nous allons continuer ! Je ne vais pas abandonner une femme comme toi ! Tu es exactement mon type de femme ! Physiquement d’abord, parce que tu es belle. Sexuellement ensuite parce que tu n’as aucun tabou. Je plains ton mari qui ne profite pas de tes qualités d’amante.
- Allons dans la chambre nous reposer un peu. Nous avons encore le temps de nous aimer avant que je n’aille chercher mes enfants de l’école.
Nous refîmes l’amour encore deux fois, toujours de manière extrême et nous ne nous séparâmes que vers quinze heures, au moment où elle devait prendre sa douche et se préparer à aller récupérer les jumeaux de l’école. Notre histoire dura environ deux années ; jusqu’au jour où toute la famille déménagea pour aller occuper la villa que le mari avait terminé de construire.
Pendant tout le temps que dura ma relation amoureuse avec Kheira, je continuais de rencontrer Fatma, qui me rendait toujours visite deux fois par semaine, et de faire l’amour avec elle. Elle n’ignorait rien de ce que nous faisions Kheira et moi. Parfois c’était moi qui lui racontais, mais le plus souvent c’était elle. Elle n’était pas jalouse. Elle voulait sa part d’amour et elle l’avait. Ce que je faisais avec d’autres femmes lui importait peu. Au contraire cela semblait lui titiller l’imagination et la rendait encore plus coquine pendant nos séances au lit.
Après le déménagement de Kheira et le vide qu’elle avait laissé en moi, Fatma entreprit de me consoler en me parlant d’une belle jeune femme, pratiquement cloîtrée chez elle, mariée à un entrepreneur en bâtiment, une espèce de brute jalouse, qui la faisait surveiller par sa sœur, une « vieille fille » de quarante ans, qui vivait avec eux.
- Il faut absolument que tu fasses sa connaissance ! Ou plutôt que tu fasses leur connaissance, car Aïcha ne sort jamais sans sa belle-sœur Louisa.
Et de fait, Fatma me fit faire la connaissance de deux véritables coquines, qui avaient décidé de donner du piment à leur vie un peu terne.
Mais ceci est une autre histoire que je vous raconterai une prochaine fois.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toutes les histoires de cet auteur sont extrêmement bien écrites et diablement
excitantes... Vivement les prochaines !
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