Fatma, femme de ménage, amante et entremetteuse. Troisième partie: Aïcha et Louisa
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2010 dans la catégorie Plus on est
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Fatma, femme de ménage, amante et entremetteuse. Troisième partie: Aïcha et Louisa
Fatma, femme de ménage , amante et entremetteuse
Troisième partie : Aïcha et Louisa
Je ne sais pas si Fatma, comme elle s’en vantait, savait exactement tout ce qui se passait chez les voisines qu’elle fréquentait. Concernant Aicha et Louisa, les deux femmes qu’elle me présenta - ou plus exactement, qu’elle m’envoya – de toute évidence, elle était loin de connaître toute la réalité. Je venais de tomber sur un couple bizarre, pour ne pas dire diabolique : deux femmes – des belles-sœurs, de surcroît – qui étaient dans une relation amoureuse de domination. Louisa, la plus âgée (la quarantaine bien sonnée) était l’esclave sexuelle de Aïcha, la femme de son frère.
Quand elles sonnèrent à ma porte, de très bon matin (il était à peine sept heures trente minutes et j’étais encore au lit, ne devant aller travailler que vers neuf heures) j’ouvris la porte à un couple de femmes en tenue plus ou moins islamique (un foulard sur la tête - aux couleurs chatoyantes pour l’une, tout blanc pour l’autre - une longue tunique - bleue ciel pour l’une, et toute blanche pour l’autre - qui cachait leurs hanches et leurs fessiers et s’arrêtait à mi-cuisse et un pantalon en toile de jean grise pour toutes les deux. Elles étaient aussi grande l’une que l’autre - plus de un mètre soixante quinze - mais différentes quant aux formes qu’elles présentaient : l’une - Aïcha - paraissait plus ronde et plantureuse que l’autre - Louisa - donnait l’impression d’être une fausse maigre.
C’était la plus belle - Aïcha - qui parla la première.
- Nous sommes envoyées par Fatma !
- Entrez !
Je les fis entrer, et les accompagnai au salon sans rien dire. Je les examinais en silence, mais mes yeux devaient montrer tout l’étonnement qu’il y avait en moi. Je me trouvais en face d’un couple de femmes, dont l’une - Aïcha - semblait très à l’aise et l’autre gardait les yeux baissés, comme si elle faisait quelque chose qu’elle ne voulait pas faire et qu’elle dans une situation de grande gêne.
- Moi, c’est Aïcha, j’ai trente ans et je suis mariée à ton voisin, l’entrepreneur habitant au bâtiment 15. Elle c’est Louisa, la sœur de mon mari, quarante-deux ans, célibataire et toujours vierge !
- ….
Je ne m’attendais absolument pas à une telle entrée en matière. Mais je n’étais pas encore arrivé au bout de mes surprises.
- Fatma nous a assuré que tu étais un homme très ouvert, que rien dans la pratique amoureuse ne dérange. C’est vrai, n’est-ce pas ? Sinon nous faisons tout de suite demi-tour, car nous n’aurions rien à faire ici !
- …. (Je n’eus même pas le temps de répondre, puisqu’elle continua)
- Moi je suis bisexuelle : j’aime autant les hommes que les femmes. Louisa est une homo intégrale, du moins le croit-elle, puisqu’elle n’a encore jamais essayé avec un homme. Elle s’est gardée pour un futur mari. Mari qui ne s’est pas encore présenté, et que maintenant, elle désespère de ne jamais rencontrer. En fait, elle s’est faite à l’idée qu’elle ne se mariera pas et que c’est tant mieux, puisqu’elle a découvert avec moi les plaisir de l’homosexualité. Si nous sommes là, c’est d’une part parce que moi, j’ai envie d’un homme - un vrai - qui me fera grimper aux rideaux et d’autre part, parce que je veux que Louisa ait, au moins une fois dans sa vie, une relation avec un homme, pour confirmer son homosexualité intégrale, ou découvrir sa bisexualité.
- Et c’est moi qui devrais servir de révélateur ! dis-je de manière un peu idiote.
- Bien entendu ! Je suis sûre que tu aimeras ! Surtout que tu découvriras une autre de mes facettes érotiques : Louisa est mon esclave ! J’ai eu du mal à en arriver là avec elle, mais maintenant, elle ne peut plus s’imaginer autrement que dans un rapport d’esclave à maîtresse. D’ailleurs tu remarqueras qu’elle ne m’appelle jamais autrement que « maîtresse » (« Lalla » en arabe algérien).
- Ecoute, moi je n’ai rien contre les relations maîtresse/esclave, sauf que je n’ai absolument pas l’âme d’un esclave. Je suis plutôt à classer dans la catégorie des maîtres, tant j’aime dominer mes amantes.
- Cela me va parfaitement ! Je suis une maîtresse pour Louisa et parfois pour mon mari, quand il veut jouer aux durs avec moi et cherche à m’imposer certaines choses que je ne veux pas faire avec lui ; mais mon amant idéal est fort et dominateur !
Tout en parlant avec moi, sans aucune gêne, comme si on se connaissait depuis des lustres, elle enlevait lentement son foulard aux couleurs chatoyantes et mit à nue une superbe chevelure châtain foncé, longue, ondoyante et abondante. Elle dévala telle une vague sur ses épaules qu’elle recouvrit totalement. Elle était vraiment superbe. Je la regardai avec encore plus d’attention et découvrit une belle plante avec un visage lumineux et sensuel : de grands yeux noisette, surmontés de longs cils naturels de la même couleur que ses cheveux ; des sourcils finement épilés qui donnaient encore plus de profondeur et de mystère à son regard énigmatique ; un nez, un peu long et droit qui surmontait une bouche immense, véritable piège à fantasmes, entourées de deux superbes lèvres charnues, toujours légèrement entrouvertes et laissant apparaître de temps en temps un bout de langue, rose, luisante et pointue.
Le reste, du moins ce qui transparaissait sous la liquette, était du même acabit: tout en rondeurs torrides. De larges épaules rondes ; une forte poitrine portant une paire de seins volumineux et fermes, tendus vers l’avant tels des obus de gros calibre ; un ventre plat ; une taille fine, mettant en valeur des hanches larges et rondes ; et un fessier proéminent, bombé et relevé telle une croupe de pouliche. Ses jambes que moulait le jean qu’elle portait étaient longues, superbement galbées et paraissaient très fermes. Je me fis la remarque, qui se vérifia plus tard, que cette femme n’avait jamais enfanté : elle avait gardé un corps de jeune fille, que des relations sexuelles plaisantes avaient encore embelli.
- Tu es superbe ! dis-je, un peu bêtement.
- Je sais ! J’ai toujours fait bander les hommes ! Mais je n’ai connu intimement que mon mari. Je n’ai encore jamais eu d’amant ! Tu seras le premier ! Mon mari est un bon coup au lit : il baise comme un taureau ; mais comme c’est un esprit traditionnel, je ne me laisse pas aller à mes vrais désirs érotiques. Tous mes fantasmes restent en moi. Sauf quand il est vraiment en rut (comme un taureau !) alors là j’en profite et m’amuse à le pousser à bout : je me refuse à lui … s’il ne me le demande pas à genoux et s’il ne me supplie pas ! L’excitation, conjuguée aux quelques bouts de ma nudité que je lui permets d’entrevoir quelques fractions de secondes, le mettent dans un tel état, qu’il en perd complètement la tête. Dans ces moments-là, je savoure ma puissance et lui fait faire n’importe quoi. D’ailleurs je lui dis que je le tiens par son zob ! Il en rigole, mais accepte ! Je ne vais jamais plus loin, de peur d’éveiller en lui des soupçons qui auraient des conséquences désastreuses sur notre mariage. Alors c’est avec toi que j’ai décidé de vivre mes fantasmes - et ceux de Louisa. Mais avant toute chose je veux que tu la dépucèles. Elle ne veut pas ; elle n’accepte que pour m’obéir et rester mon esclave. Sinon je ne fais plus l’amour avec elle !
Je regardai du côté de Louisa qui était assise sagement sur le sofa, à côté de sa belle-sœur. Elle ne participait pas à la discussion et depuis leur arrivée, avait gardé les yeux baissés ; comme si elle était gênée. Aïcha lui ordonna de se lever et de se mettre en face de nous. Cela me permit de l’observer et de détailler sa physionomie. Elle était presque aussi grande que son amie, mais beaucoup plus mince. Presque maigre, d’après ce que laissait entrevoir sa tenue. En fait, c’était une fausse maigre, qui avait des hanches larges et de coquines rondeurs juste là où il fallait. En dehors de son visage anguleux et de ses petits yeux enfoncés, elle était assez mignonne et désirable. C’était surtout sa grande bouche avec des lèvres pleines et pulpeuses qui attirait l’attention. Une bouche à la Monika Lewinsky, la stagiaire du président Clinton, qui avait fait fantasmer tous les machos du monde !
- Enlève ton foulard !
Elle obéit sans broncher, tout en gardant les yeux baissés. Elle dégrafa l’épingle qui retenait le tissu de soie, passa un doigt en dessous et d’un geste rapide et élégant, elle enleva le foulard blanc qui cachait ses cheveux, ses oreilles et tout le dessous du menton. Je découvris une chevelure d’un noir de jais, coupée court qui lui donnait un air de garçon manqué. Mais ce côté androgyne était loin d’être désagréable ; il ne faisait qu’ajouter au mystère d’ensemble qui se dégageait de sa personne. Elle gardait toujours les yeux baissés : à aucun moment, elle ne les leva sur moi. Il lui arrivait bien de temps en temps de lancer un regard suppliant vers son amie, mais moi, il me semblait que je n’avais aucun intérêt pour elle.
- Déshabille-toi ! Complètement ! Montre-nous ton joli corps et ton sublime cul ! Tout de suite !
Cette dernière phrase claqua comme un ordre, auquel il n’était pas question de désobéir. Louisa entreprit de se déshabiller lentement, en commençant par retirer sa liquette en toile de coton blanche et resta en soutien gorge. C’était vraiment une fausse maigre ; elle avait un squelette puissant, sur lequel étaient accrochés des muscles fins, très gracieux. Ses épaules étaient larges et rondes aux bons endroits. Elle avait une cage thoracique large, à l’image des athlètes coureuses de fond. Même ses seins semblaient, dessous le soutien gorge à balconnets qui les protégeait, d’un volume acceptable, fermes et d’une blancheur laiteuse, comme le reste de sa peau. Quand elle se débarrassa du soutien-gorge, je vis que j’avais raison de penser qu’elle avait de beaux seins. Ils avaient la forme de grosses poires bien fermes, haut plantées et tendues vers l’avant. Leurs tétons avaient une large auréole violacée. Ajouté à une taille de guêpe et à un ventre extra-plat, j’avais devant moi un morceau de choix. Une femme au corps parfait.
Elle jeta un regard interrogateur à Aïcha pour savoir si elle devait continuer l’effeuillage. Il n’y eut pas de réponse de son amie, mais ses yeux lui ordonnaient d’enlever tout le reste. Elle ne me regardait toujours pas. Elle dégrafa son pantalon en toile de jean et, d’un rapide geste de ses doigts accompagné d’un sublime déhanchement, elle le rabattit sur ses chevilles. Elle l’enleva complètement en levant un pied, plus l’autre pour le laisser tomber à côté d’elle. Elle regarda encore une fois son amie pour l’interroger du regard. Elle comprit qu’elle devait aussi enlever la petite culotte en coton blanc. Elle introduisit deux doigts à l’intérieur de l’élastique, un à droite, l’autre à gauche et avec le même déhanchement que tout à l’heure, elle s’en débarrassa en une fraction de seconde.
Elle resta ainsi totalement nue. Et quelle nudité ! Tout ce que je disais du haut de son corps était totalement confirmé par le bas. Des hanches larges, rondes ; un petit fessier rond et ferme ; des jambes longues, fines et superbement galbées ; et un pubis sans la moindre trace de poils, rond, bombés et luisant. Il donnait sur un entrecuisse d’où je pouvais apercevoir des grandes lèvres longues et dodues (la seule chose, avec les lèvres de sa bouche, qui avait du volume !), elles aussi complètement épilées.
Inutile de décrire l’état d’excitation dans lequel j’étais. La chaleur m’était montée à la tête et j’étais sûr que je devais être aussi rouge qu’une écrevisse ébouillantée. Mon sexe était gonflé à bloc et formait un immense chapiteau sur le devant de mon pantalon de pyjama.
- Elle est vraiment superbe ! dis-je à Aïcha. On ne le croirait pas quand elle est habillée !
- N’est-ce pas ? Elle te plait ? Tu la veux ? Et bien elle est à toi ! Viens, pour un instant ce sera lui ton maître ! Il va te dépuceler pour faire de toi une femme ! Au moins tu sauras ce que c’est ! Si après tu n’apprécies pas, il ne recommencera pas ! Mais je suis sûre que tu vas finir par aimer te faire tirer par un homme ! Que tu aimeras autant qu’avec moi ! Aller, viens offrir ta vulve et ton hymen à son engin ! Demain ou après-demain tu auras tes règles. Tu ne risques donc pas de tomber enceinte.
Elle s’approcha tout doucement de moi, les yeux toujours baissés. Je sentais qu’elle avait peur. Je crois même qu’elle était prise de panique. Elle avait dépassé quarante ans et était toujours vierge. Elle devait, tout au long de sa puberté, puis de son adolescence, de sa jeunesse et même à l’âge mûr, avoir beaucoup fantasmé sur son dépucelage par un homme. Comme la grande majorité des filles, elle paniquait surtout sur la douleur « atroce », qui était inséparable de la première fois. Elle n’hésita pourtant pas à venir à quelques centimètres de moi. Je tendis les mains pour la prendre par la taille et approcher ma bouche de sa poitrine. Je ne voulais pas la brusquer ; je voulais y aller en douceur. Je pensais pouvoir l’exciter rien qu’en la caressant et en l’embrasant très légèrement. J’avais oublié que jamais elle n’avait été caressée par un homme. Elle n’était habituée à se faire tripoter (et à tripoter elle-même) que par une femme.
Les caresses féminines ne ressemblent en rien à celles des hommes. Je sus bien vite que la belle ne ressentait pas grand-chose sous mes caresses. Il me fallait donc passer à autre chose, si je voulais éviter la honte de baiser une femme qui ne ressentira aucun plaisir. Je regardais Aïcha qui semblait s’amuser de mon désarroi. Elle savait que je voulais qu’elle intervienne et qu’elle prépare elle-même son amie. Elle savait ce qu’il fallait faire pour l’exciter. Elle savait que seule, elle, pouvait réussir. Son sourire moqueur s’accentua, puis au bout de quelques secondes d’hésitation, elle se décida. En un tour de main, elle se déshabilla totalement, se leva du sofa pour faire admirer sa nudité (c’était Vénus en personne ! Tout en elle suintait la sensualité ! Elle était belle ! Vraiment belle ! Belle et sensuelle !). Elle vint se mettre à genoux devant Louisa, posa ses lèvres sur son ventre et entreprit de l’embrasser avec passion.
Je vis immédiatement la différence ! Louisa commença à s’animer et à bouger son corps. Elle prit la tête de son amie et appuya dessus pour qu’elle reste entre ses seins. Elle avait un sourire de ravissement. Elle était heureuse de se faire entreprendre par son amante. La main de Aïcha alla palper les fesses de sa partenaire et se promena un moment sur elles, pénétrant furtivement dans la raie. Puis elle se décida de s’occuper de sa chatte. Elle introduisit sa main droite entre les genoux de Louisa que cette dernière tenait encore serrés, l’obligea à les ouvrir et remonta doucement vers le triangle de son entrecuisse. Je regardais le visage de la belle-sœur s’illuminer de plaisir et de bonheur. Elle avait le souffle court. Elle n’osait pas encore gémir, ni montrer l’intensité du plaisir qu’elle prenait ; j’étais sûr que c’était à cause de ma présence.
Puis Aïcha passa à la vitesse supérieure en baissant sa tête pour aller titiller le pubis et la chatte de son amie. Elle ne put résister plus longtemps et se mit à gémir et à pousser des petits cris rauques de plaisir. Elle attrapait les cheveux de sa partenaire et tirait dessus pour l’obliger à aller et venir entre ses cuisses qu’elle avait maintenant ouvertes au maximum. La bouche et la langue de Aïcha avaient pris possession de la chatte de Louisa et ne voulaient plus la lâcher. Elle gémissait de plus en plus et semblait être sur le point de jouir. Aïcha accéléra le mouvement et très rapidement j’entendis son amante pousser un long râle de jouissance et décharger dans la bouche de sa belle-sœur. Je la vis plier les jambes, vaincue par la fatigue et tomber à genoux dans les bras de Aïcha. Elles restèrent ainsi un long moment, sans s’occuper de moi - jaloux du pouvoir de Aïcha - puis se levèrent pour s’assoir sur le sofa.
Je ne savais toujours pas ce qu’il fallait que je fasse. Ce fut encore une fois Aïcha qui trouva la solution. Elle serra sa belle-sœur dans ses bras et lui appliqua un baiser torride et mouillé, que sa partenaire lui rendit avec la même intensité. Aïcha prit alors sa partenaire par la taille pour lui faire quitter la position assise et lui dit quelque chose à l’oreille que je n’entendis pas. Louisa se mit alors à genoux entre les jambes de son amante et plongea sa tête entre ses cuisses. Elle était entrain de lui rendre le cunnilingus qu’elle lui avait appliqué tantôt. Elle y allait franchement. Il était évident qu’elle aimait cela. Aïcha me regarda, un moment savourant son pouvoir et me fit signe d’aller m’occuper du cul de sa partenaire.
Je venais de comprendre ! Aïcha voulait que je tire sa belle-sœur en levrette, pendant qu’elle était occupée à lui sucer la vulve. C’était bien vu ! Je m’empressai de me positionner derrière les superbes fesses ouvertes et offertes et me mit à les caresser. Je sentis une très forte crispation des muscles de tout le corps de Louisa, mais n’en tins aucun compte : je savais que Aïcha tenait fermement la tête de son amante et qu’elle l’obligeait de continuer son œuvre sur sa chatte. Je fis glisser deux doigts le long des grandes lèvres et vis qu’elles étaient mouillées (excitée par Aïcha !). Je me dis donc que ce n’était pas la peine de la caresser plus longtemps. Il était temps que j’utilise mon sexe qui était dans un état d’impatience indescriptible. Je le pris dans ma main droite et l’introduisit entre les grandes lèvres. La crispation devint plus forte. Elle s’était même arrêtée de sucer la chatte de son amie.
- Continue de me sucer comme cela ! lui dit-elle à l’oreille. C’est superbe ! Tu vas me faire jouir comme une folle !
Vaincue, Louisa continua son œuvre et ne s’occupa plus de moi. Je pus donc introduire le gland de mon sexe jusqu’à l’entrée du vagin et faire pénétrer l’ensemble d’un coup sec, faisant éclater au passage la fine membrane de son hymen. Elle cria très fort et mordit même au passage, une des lèvres de la chatte de son amie. Je maintins très fort les hanches de la femme, pour l’empêcher de fuir et restai un long moment au fond du vagin. Aïcha tenait toujours la tête de son amie, que maintenant elle caressait tendrement.
- N’aie pas peur mon amour ! C’est bientôt fini ! Tu es maintenant une vraie femme ! Tu verras comme c’est bon le zob d’un homme ! Un peu de courage ! Continue à me bouffer la chatte !
Vaincue, Louisa reprit son cunnilingus, pendant que moi je commençai un mouvement de va-et-vient dans le vagin de Louisa. Et quel vagin ! Etroit, chaud, humide (de cyprine et de sang). Je m’interdisais d’y aller franchement, comme je le désirais vraiment ; j’y allai avec douceur, de manière à ne pas trop lui faire mal et à ne pas la traumatiser. Je voulais que cette femme finisse par aimer se faire tirer par un homme ; et je voulais être cet homme-là. Je faisais pénétrer mon manche très loin dans son tunnel, mais en revenant je faisais attention à ne pas faire dépasser au gland, que j’avais très large à sa base (en forme de champignon !) l’endroit de la déchirure de l’hymen. De fait Louisa ne cria plus de douleur. Elle avait la tête toujours fourrée entre les cuisses de Aïcha. Il m’apparut même que petit à petit elle commençait à bouger ses hanches, comme pour accompagner les va-et-vient du manche dans le vagin. Je décidai de pousser l’expérience plus loin en envoyant ma main droite vers son sein et me mettre à le palper doucement et à caresser son téton. Le sein, tout comme le téton, étaient fermes, doux et surtout très excitable.
Ses hanches, qui ne faisaient que bouger légèrement, se mirent de la partie et accompagnaient maintenant très franchement mes coups de reins. Aïcha comprit elle aussi que la partie venait d’être gagnée. Elle tira sur les cheveux de son amie pour extraire sa tête d’entre ses cuisses. Elle voulait absolument voir Louisa prendre du plaisir à se faire piner par un homme. Elle lui releva la tête, lui donna un baiser très tendre sur la bouche et se mit à contempler la scène. Elle était excitée en regardant mon sexe, complètement rempli de sang, entrer en sortir du vagin de sa belle-sœur. Louisa se mit à gémir de plaisir et je vis sa tête partir dans un mouvement saccadé qu’elle n’arrivait pas à contrôler. J’avais le sentiment qu’elle ne voulait pas encore montrer qu’elle aimait être tirée ; elle ne disait donc toujours rien. La seule preuve du plaisir qu’elle prenait était ces mouvements incontrôlés de sa tête et de ses hanches, ainsi que les petits gémissements sourds qui sortaient de sa gorge.
Moi je voulais la faire hurler de plaisir. Je me mis donc à y aller plus franchement, conscient que j’allais lui faire mal, mais certain que le mal se transformera très rapidement en plaisir. C’est effectivement ce qui arriva.
- C’est bon ! n’est-ce pas ? Dis-moi que c’est bon ! Dis-le ! C’est bon ! Bon !
- Bo… (Elle résistait et ne voulait pas encore avouer clairement qu’elle aimait)
- Dis-moi que tu aimes te faire tirer par un homme ! Dis moi que mon zob est aussi bon que la chatte de Aïcha !
- Oui c’est bon ! C’est bon !
J’accélérai encore le rythme de mes coups de boutoir. Je ne faisais même plus attention à la douleur que je pouvais provoquer. Je voulais la faire jouir comme une folle. Et elle jouit comme une folle. Soudain, elle se lâcha complètement, se mit à pousser des cris de plaisir à chacune de mes pénétrations et à lâcher toute une bordée de mots crus, qui accroissaient son plaisir.
- Zob ! Magnifique ! Bon ! Encore ! Encore ! Plus fort ! Plus vite ! Gros zob ! Mon autre maître ! Je jouis ! Je jouis ! je jouiiis !
Elle accéléra les mouvements de ses hanches et de sa tête, lâcha des litres de salive, tendit tous les muscles de son corps et poussa un très long râle, avant de décharger des litres de cyprine sur mon sexe qui continuait imperturbablement à la pilonner. Exténuée, elle s’affala par terre, et s’allongea sur le ventre avec moi sur son dos et mon sexe encore affamé dans sa vulve. Je ne voulais pas, pour le moment éjaculer en elle. Je ne voulais pas prendre le risque d’une grossesse, bien que j’avais cru comprendre qu’elle n’était pas en période de fertilité.
Je sortis mon sexe de sa chatte pour le montrer à Aïcha qui avait suivi toute l’opération avec des yeux brillant de luxure et d’envie. Je voulais qu’elle reconnaisse que j’avais réussi une prouesse : celle de faire aimer un homme à une homosexuelle. Elle semblait s’en ficher éperdument. Ce qui l’intéressait, c’était cet immense zob, dressé comme un étendard et plein du sang de la vierge. Elle semblait émerveillée par le spectacle. Elle tendit la main pour agripper l’engin et le caresser. Elle regarda ses doigts devenus tout rouges et les porta à sa bouche. Elle se mit à les lécher goulûment.
- C’est le sang de mon esclave qui est maintenant devenue aussi la tienne. Si j’avais été un homme, c’est moi qui aurait eu le plaisir de la dépuceler. J’aurais aimé connaître cette sensation de déchirer un hymen de fille. Quand j’ai été dépucelée par mon mari, je n’ai ressenti que de la douleur. Le plaisir n’est venu que beaucoup plus tard, quand je me suis habituée à sa brutalité au lit. Je crois que maintenant j’aime cette brutalité et ne pourrait jouir qu’avec un homme qui me possède en force.
- Suce-moi ! lui dis-je, excité par la scène de lèche-sexe enduit du sang de Louisa.
Elle ne se fit pas prier pour se mettre à genoux entre mes jambes, par terre à côté du sofa. Elle se mit d’abord à lécher le gland puis tout le sexe pour le nettoyer du sang qui l’enduisait. Elle avalait tout ce qu’elle ramassait. Puis elle ouvrit très grand son immense bouche et fit disparaître totalement l’engin. J’étais dans un autre paradis, aussi chaud, doux et humide que le vagin que je venais de quitter. Aïcha savait sucer : elle avait la science de la fellation. Au bout de quelques secondes seulement, j’eus une énorme envie d’utiliser cette bouche exactement comme si c’était un vagin. Je le lui dis. Elle leva la tête pour me regarder dans les yeux, comme si elle voulait être sûre qu’elle avait bien compris mon désir, puis m’attrapa par les hanches et fit le mouvement d’introduire le membre jusqu’au fond de sa gorge et de le ressortir totalement pour le réintroduire complètement. Par ce geste, elle me donnait le feu vert pour pilonner sa bouche, comme j’avais pilonné le vagin de son amie.
Je ne fis pas prier pour l’attraper par les cheveux pour bien bloquer sa tête et me mis à faire entrer et sortir l’engin à un rythme de plus en plus rapide. Je prenais soin toutefois de lui laisser un intervalle de respiration et de ne pas rester longtemps au fond de sa gorge, pour ne pas qu’elle étouffe et pour qu’elle ne vomisse pas. A chaque fois que je sortais de sa bouche, je lui faisais lever la tête pour voir l’effet de mon pilonnage : elle avait les yeux remplis de larmes qui descendaient en abondance le long de ses joues ; son nez coulait sans discontinuer ; et de la salive s’échappait de la commissure de ses lèvres pour s’étaler sur mon sexe à chacune de ses sorties. Je savais qu’elle souffrait. Et j’aimais cette souffrance que je trouvais tellement érotique ! (Il faudrait peut-être qu’un jour je me fasse psychanalyser pour connaître l’origine de l’immense plaisir que je prends à faire mal aux femmes que je baise). Je continuais donc ainsi en accélérant le rythme jusqu’au moment où je sentis que la jouissance allait arriver sans plus tarder.
Je regardai furtivement où se trouvait Louisa, parce que je voulais la faire participer à l’opération et la remplir elle aussi de sperme. Elle était assise par terre, adossée au sofa entrain de regarder avec intérêt sa maîtresse se faire piner sauvagement par la bouche. Elle aussi avait ouvert sa grande bouche, comme si elle attendait qu’un gros sexe s’y introduise. Je me disais que c’était exactement ce que je voulais : j’allais éjaculer une première grosse giclée dans la bouche qui m’accueillait et le reste dans celle de Louisa, qui était en attente. J’accélérai le rythme de mes va-et-vient et rapidement je sentis arriver la jouissance et un torrent de sperme dévala pour se déverser en une première grosse giclée au fond de la gorge de Aïcha. Je sortis rapidement de la première bouche et allai investir la seconde qui m’attendait.
Je refis quelques mouvements de va-et-vient dans la bouche de Louisa - qui avait plus de mal à m’accueillir, parce que non habituée - et lâchai une deuxième, puis une troisième bordée, qu’elle eut beaucoup de mal à avaler. Une grande partie sortit de sa bouche et se mit à couler sur son menton, puis sur son cou. Il restait encore beaucoup de sperme dans mes entrailles. Je le fis sortir en me masturbant et en le répartissant de manière équitable entre mes deux belles.
Elles étaient maintenant pleines de foutre, qu’elles s’amusèrent à aller ramasser avec leur langue l’une sur l’autre. Je regardais la scène avec extase. C’était tellement beau ! Tellement érotique ! Elles se léchaient avec empressement, se roulant au passage des patins très sonores et mouillés. Elles avaient oublié ma présence et s’étaient mises à faire l’amour entre elles, comme si je n’existais pas. Et de fait je n’existais pas ! Elles étaient toutes à leur plaisir de s’aimer. Et c’est à ce moment là que je compris réellement ce que Aïcha voulait dire quand elle qualifiait Louisa d’esclave. C’était elle qui dans le couple menait la danse : elle ordonnait et Louisa exécutait. Suce-moi la chatte ; et Louisa enfouissait sa tête entre les cuisses de sa maîtresse et suçait goulûment jusqu’à ce qu’un autre ordre vienne changer la donne. Met-moi un doigt dans le cul : et la fille introduisait délicatement un doigt dans l’anus de sa maîtresse, tout en continuant son cunnilingus.
- Masturbe-moi et fais-moi jouir avec tes doigts !
Et Louisa s’exécutait en branlant sa maîtresse avec maestria. La séance dura ainsi une éternité au cours de laquelle, j’ai pu admirer le pouvoir qu’avait Aïcha sur son amante. Dans le couple, c’était Louisa qui faisait l’homme et qui faisait jouir sa maîtresse. Elle la pinait avec sa main et faisait entrer jusqu’à quatre doigts en même temps pour la faire jouir. Mais elle ne faisait rien que sa maîtresse ne lui commandait de faire. Aïcha jouit ainsi plusieurs fois, sous les caresses de Louisa. Quand elles s’arrêtèrent et reprirent leur souffle, elles se rendirent compte de ma présence. Louisa me lança un petit sourire désolé et Aïcha me regarda bien en face, fière de m’avoir montré son pouvoir envers son amie.
- Je n’ai pas encore connu la chaleur de ta chatte ! Je ne vais pas vous laisser partir avant que je ne fasse connaissance avec ton minou !
- Je suis fatiguée ! Ce sera pour une prochaine fois ! Car cela ne va pas s’arrêter là ! N’est-ce pas ?
- Bien sûr que non ! Mais j’aurai bien aimé te baiser aujourd’hui ! Et même t’enculer ! Car bien sûr tu aimes la sodomisation !
- Pas tellement ! Mais c’est toi le maître ! Ordonne et j’obéis ! Mais pas aujourd’hui ! La prochaine fois.
Je les ai laissé partir, avec la promesse qu’elles reviendront, ensemble, le lendemain, et le surlendemain. Et tous les jours. Elles revinrent effectivement le lendemain et le surlendemain ; ensemble. Nous refîmes l’amour comme des bêtes. Louisa avait même fini par adorer faire l’amour avec moi, un homme. Elle se donnait à moi, sans retenue et me laissait lui faire tout ce que je voulais, y compris la sodomiser et la baiser par la bouche. Elle m’était devenue indispensable. Avec elle je prenais un plaisir immense ; supérieur à tout ce que les autres femmes m’avaient donné jusque là. Y compris Aïcha qui pourtant était plus belle et était une véritable experte en amour libre. Je crois que son corps mince et agile, sa totale disponibilité, le plaisir qu’elle prenait et qu’elle montrait sans fausse honte, l’étroitesse des ses trous qui n’avaient jamais servi avant moi et surtout le bonheur qui se lisait dans ses yeux quand elle était avec moi, firent qu’elle avait ma préférence. J’aimais quand elles venaient toutes les deux ensemble ; quand nos trois corps s’entremêlaient, quand tous les trois nous nous effondrions de fatigue et de plaisir.
Mais j’aimais encore mieux quand Louisa venait seule (Aïcha étant bloquée à la maison par la présence impromptue de son mari). Les moments que je passais alors avec elle avait un autre goût ; peut-être celui de l’amour. Je crois qu’effectivement j’étais tombé amoureux de cette femme, qui n’avait connu d’homme qu’à la quarantaine passée et qui s’évertuait à rattraper le retard en prenant, et en donnant, le maximum de plaisir.
Ce qui est exceptionnel, c’est que Aïcha, la magnifique Aïcha, comprit rapidement que j’avais une préférence pour son esclave, mais ne m’en tint pas rigueur. Ni à Louisa non plus. Elle continua de venir chez moi et de s’offrir à moi sans retenue, prenant un plaisir évident à le faire. Mais c’est vrai, qu’elle, elle était mariée et connaissait triplement le plaisir : avec son mari (même si elle réprimait ses désirs pour des raisons de morale sociale), avec son esclave et avec moi. Elle acceptait donc que Louisa ait sa part d’amour en dehors d’elle.
Notre trio infernal continue de fonctionner jusqu’à maintenant. Et sans être bigot, ni même croyant, je prie tous les jours le ciel pour que cela continue ainsi.
Troisième partie : Aïcha et Louisa
Je ne sais pas si Fatma, comme elle s’en vantait, savait exactement tout ce qui se passait chez les voisines qu’elle fréquentait. Concernant Aicha et Louisa, les deux femmes qu’elle me présenta - ou plus exactement, qu’elle m’envoya – de toute évidence, elle était loin de connaître toute la réalité. Je venais de tomber sur un couple bizarre, pour ne pas dire diabolique : deux femmes – des belles-sœurs, de surcroît – qui étaient dans une relation amoureuse de domination. Louisa, la plus âgée (la quarantaine bien sonnée) était l’esclave sexuelle de Aïcha, la femme de son frère.
Quand elles sonnèrent à ma porte, de très bon matin (il était à peine sept heures trente minutes et j’étais encore au lit, ne devant aller travailler que vers neuf heures) j’ouvris la porte à un couple de femmes en tenue plus ou moins islamique (un foulard sur la tête - aux couleurs chatoyantes pour l’une, tout blanc pour l’autre - une longue tunique - bleue ciel pour l’une, et toute blanche pour l’autre - qui cachait leurs hanches et leurs fessiers et s’arrêtait à mi-cuisse et un pantalon en toile de jean grise pour toutes les deux. Elles étaient aussi grande l’une que l’autre - plus de un mètre soixante quinze - mais différentes quant aux formes qu’elles présentaient : l’une - Aïcha - paraissait plus ronde et plantureuse que l’autre - Louisa - donnait l’impression d’être une fausse maigre.
C’était la plus belle - Aïcha - qui parla la première.
- Nous sommes envoyées par Fatma !
- Entrez !
Je les fis entrer, et les accompagnai au salon sans rien dire. Je les examinais en silence, mais mes yeux devaient montrer tout l’étonnement qu’il y avait en moi. Je me trouvais en face d’un couple de femmes, dont l’une - Aïcha - semblait très à l’aise et l’autre gardait les yeux baissés, comme si elle faisait quelque chose qu’elle ne voulait pas faire et qu’elle dans une situation de grande gêne.
- Moi, c’est Aïcha, j’ai trente ans et je suis mariée à ton voisin, l’entrepreneur habitant au bâtiment 15. Elle c’est Louisa, la sœur de mon mari, quarante-deux ans, célibataire et toujours vierge !
- ….
Je ne m’attendais absolument pas à une telle entrée en matière. Mais je n’étais pas encore arrivé au bout de mes surprises.
- Fatma nous a assuré que tu étais un homme très ouvert, que rien dans la pratique amoureuse ne dérange. C’est vrai, n’est-ce pas ? Sinon nous faisons tout de suite demi-tour, car nous n’aurions rien à faire ici !
- …. (Je n’eus même pas le temps de répondre, puisqu’elle continua)
- Moi je suis bisexuelle : j’aime autant les hommes que les femmes. Louisa est une homo intégrale, du moins le croit-elle, puisqu’elle n’a encore jamais essayé avec un homme. Elle s’est gardée pour un futur mari. Mari qui ne s’est pas encore présenté, et que maintenant, elle désespère de ne jamais rencontrer. En fait, elle s’est faite à l’idée qu’elle ne se mariera pas et que c’est tant mieux, puisqu’elle a découvert avec moi les plaisir de l’homosexualité. Si nous sommes là, c’est d’une part parce que moi, j’ai envie d’un homme - un vrai - qui me fera grimper aux rideaux et d’autre part, parce que je veux que Louisa ait, au moins une fois dans sa vie, une relation avec un homme, pour confirmer son homosexualité intégrale, ou découvrir sa bisexualité.
- Et c’est moi qui devrais servir de révélateur ! dis-je de manière un peu idiote.
- Bien entendu ! Je suis sûre que tu aimeras ! Surtout que tu découvriras une autre de mes facettes érotiques : Louisa est mon esclave ! J’ai eu du mal à en arriver là avec elle, mais maintenant, elle ne peut plus s’imaginer autrement que dans un rapport d’esclave à maîtresse. D’ailleurs tu remarqueras qu’elle ne m’appelle jamais autrement que « maîtresse » (« Lalla » en arabe algérien).
- Ecoute, moi je n’ai rien contre les relations maîtresse/esclave, sauf que je n’ai absolument pas l’âme d’un esclave. Je suis plutôt à classer dans la catégorie des maîtres, tant j’aime dominer mes amantes.
- Cela me va parfaitement ! Je suis une maîtresse pour Louisa et parfois pour mon mari, quand il veut jouer aux durs avec moi et cherche à m’imposer certaines choses que je ne veux pas faire avec lui ; mais mon amant idéal est fort et dominateur !
Tout en parlant avec moi, sans aucune gêne, comme si on se connaissait depuis des lustres, elle enlevait lentement son foulard aux couleurs chatoyantes et mit à nue une superbe chevelure châtain foncé, longue, ondoyante et abondante. Elle dévala telle une vague sur ses épaules qu’elle recouvrit totalement. Elle était vraiment superbe. Je la regardai avec encore plus d’attention et découvrit une belle plante avec un visage lumineux et sensuel : de grands yeux noisette, surmontés de longs cils naturels de la même couleur que ses cheveux ; des sourcils finement épilés qui donnaient encore plus de profondeur et de mystère à son regard énigmatique ; un nez, un peu long et droit qui surmontait une bouche immense, véritable piège à fantasmes, entourées de deux superbes lèvres charnues, toujours légèrement entrouvertes et laissant apparaître de temps en temps un bout de langue, rose, luisante et pointue.
Le reste, du moins ce qui transparaissait sous la liquette, était du même acabit: tout en rondeurs torrides. De larges épaules rondes ; une forte poitrine portant une paire de seins volumineux et fermes, tendus vers l’avant tels des obus de gros calibre ; un ventre plat ; une taille fine, mettant en valeur des hanches larges et rondes ; et un fessier proéminent, bombé et relevé telle une croupe de pouliche. Ses jambes que moulait le jean qu’elle portait étaient longues, superbement galbées et paraissaient très fermes. Je me fis la remarque, qui se vérifia plus tard, que cette femme n’avait jamais enfanté : elle avait gardé un corps de jeune fille, que des relations sexuelles plaisantes avaient encore embelli.
- Tu es superbe ! dis-je, un peu bêtement.
- Je sais ! J’ai toujours fait bander les hommes ! Mais je n’ai connu intimement que mon mari. Je n’ai encore jamais eu d’amant ! Tu seras le premier ! Mon mari est un bon coup au lit : il baise comme un taureau ; mais comme c’est un esprit traditionnel, je ne me laisse pas aller à mes vrais désirs érotiques. Tous mes fantasmes restent en moi. Sauf quand il est vraiment en rut (comme un taureau !) alors là j’en profite et m’amuse à le pousser à bout : je me refuse à lui … s’il ne me le demande pas à genoux et s’il ne me supplie pas ! L’excitation, conjuguée aux quelques bouts de ma nudité que je lui permets d’entrevoir quelques fractions de secondes, le mettent dans un tel état, qu’il en perd complètement la tête. Dans ces moments-là, je savoure ma puissance et lui fait faire n’importe quoi. D’ailleurs je lui dis que je le tiens par son zob ! Il en rigole, mais accepte ! Je ne vais jamais plus loin, de peur d’éveiller en lui des soupçons qui auraient des conséquences désastreuses sur notre mariage. Alors c’est avec toi que j’ai décidé de vivre mes fantasmes - et ceux de Louisa. Mais avant toute chose je veux que tu la dépucèles. Elle ne veut pas ; elle n’accepte que pour m’obéir et rester mon esclave. Sinon je ne fais plus l’amour avec elle !
Je regardai du côté de Louisa qui était assise sagement sur le sofa, à côté de sa belle-sœur. Elle ne participait pas à la discussion et depuis leur arrivée, avait gardé les yeux baissés ; comme si elle était gênée. Aïcha lui ordonna de se lever et de se mettre en face de nous. Cela me permit de l’observer et de détailler sa physionomie. Elle était presque aussi grande que son amie, mais beaucoup plus mince. Presque maigre, d’après ce que laissait entrevoir sa tenue. En fait, c’était une fausse maigre, qui avait des hanches larges et de coquines rondeurs juste là où il fallait. En dehors de son visage anguleux et de ses petits yeux enfoncés, elle était assez mignonne et désirable. C’était surtout sa grande bouche avec des lèvres pleines et pulpeuses qui attirait l’attention. Une bouche à la Monika Lewinsky, la stagiaire du président Clinton, qui avait fait fantasmer tous les machos du monde !
- Enlève ton foulard !
Elle obéit sans broncher, tout en gardant les yeux baissés. Elle dégrafa l’épingle qui retenait le tissu de soie, passa un doigt en dessous et d’un geste rapide et élégant, elle enleva le foulard blanc qui cachait ses cheveux, ses oreilles et tout le dessous du menton. Je découvris une chevelure d’un noir de jais, coupée court qui lui donnait un air de garçon manqué. Mais ce côté androgyne était loin d’être désagréable ; il ne faisait qu’ajouter au mystère d’ensemble qui se dégageait de sa personne. Elle gardait toujours les yeux baissés : à aucun moment, elle ne les leva sur moi. Il lui arrivait bien de temps en temps de lancer un regard suppliant vers son amie, mais moi, il me semblait que je n’avais aucun intérêt pour elle.
- Déshabille-toi ! Complètement ! Montre-nous ton joli corps et ton sublime cul ! Tout de suite !
Cette dernière phrase claqua comme un ordre, auquel il n’était pas question de désobéir. Louisa entreprit de se déshabiller lentement, en commençant par retirer sa liquette en toile de coton blanche et resta en soutien gorge. C’était vraiment une fausse maigre ; elle avait un squelette puissant, sur lequel étaient accrochés des muscles fins, très gracieux. Ses épaules étaient larges et rondes aux bons endroits. Elle avait une cage thoracique large, à l’image des athlètes coureuses de fond. Même ses seins semblaient, dessous le soutien gorge à balconnets qui les protégeait, d’un volume acceptable, fermes et d’une blancheur laiteuse, comme le reste de sa peau. Quand elle se débarrassa du soutien-gorge, je vis que j’avais raison de penser qu’elle avait de beaux seins. Ils avaient la forme de grosses poires bien fermes, haut plantées et tendues vers l’avant. Leurs tétons avaient une large auréole violacée. Ajouté à une taille de guêpe et à un ventre extra-plat, j’avais devant moi un morceau de choix. Une femme au corps parfait.
Elle jeta un regard interrogateur à Aïcha pour savoir si elle devait continuer l’effeuillage. Il n’y eut pas de réponse de son amie, mais ses yeux lui ordonnaient d’enlever tout le reste. Elle ne me regardait toujours pas. Elle dégrafa son pantalon en toile de jean et, d’un rapide geste de ses doigts accompagné d’un sublime déhanchement, elle le rabattit sur ses chevilles. Elle l’enleva complètement en levant un pied, plus l’autre pour le laisser tomber à côté d’elle. Elle regarda encore une fois son amie pour l’interroger du regard. Elle comprit qu’elle devait aussi enlever la petite culotte en coton blanc. Elle introduisit deux doigts à l’intérieur de l’élastique, un à droite, l’autre à gauche et avec le même déhanchement que tout à l’heure, elle s’en débarrassa en une fraction de seconde.
Elle resta ainsi totalement nue. Et quelle nudité ! Tout ce que je disais du haut de son corps était totalement confirmé par le bas. Des hanches larges, rondes ; un petit fessier rond et ferme ; des jambes longues, fines et superbement galbées ; et un pubis sans la moindre trace de poils, rond, bombés et luisant. Il donnait sur un entrecuisse d’où je pouvais apercevoir des grandes lèvres longues et dodues (la seule chose, avec les lèvres de sa bouche, qui avait du volume !), elles aussi complètement épilées.
Inutile de décrire l’état d’excitation dans lequel j’étais. La chaleur m’était montée à la tête et j’étais sûr que je devais être aussi rouge qu’une écrevisse ébouillantée. Mon sexe était gonflé à bloc et formait un immense chapiteau sur le devant de mon pantalon de pyjama.
- Elle est vraiment superbe ! dis-je à Aïcha. On ne le croirait pas quand elle est habillée !
- N’est-ce pas ? Elle te plait ? Tu la veux ? Et bien elle est à toi ! Viens, pour un instant ce sera lui ton maître ! Il va te dépuceler pour faire de toi une femme ! Au moins tu sauras ce que c’est ! Si après tu n’apprécies pas, il ne recommencera pas ! Mais je suis sûre que tu vas finir par aimer te faire tirer par un homme ! Que tu aimeras autant qu’avec moi ! Aller, viens offrir ta vulve et ton hymen à son engin ! Demain ou après-demain tu auras tes règles. Tu ne risques donc pas de tomber enceinte.
Elle s’approcha tout doucement de moi, les yeux toujours baissés. Je sentais qu’elle avait peur. Je crois même qu’elle était prise de panique. Elle avait dépassé quarante ans et était toujours vierge. Elle devait, tout au long de sa puberté, puis de son adolescence, de sa jeunesse et même à l’âge mûr, avoir beaucoup fantasmé sur son dépucelage par un homme. Comme la grande majorité des filles, elle paniquait surtout sur la douleur « atroce », qui était inséparable de la première fois. Elle n’hésita pourtant pas à venir à quelques centimètres de moi. Je tendis les mains pour la prendre par la taille et approcher ma bouche de sa poitrine. Je ne voulais pas la brusquer ; je voulais y aller en douceur. Je pensais pouvoir l’exciter rien qu’en la caressant et en l’embrasant très légèrement. J’avais oublié que jamais elle n’avait été caressée par un homme. Elle n’était habituée à se faire tripoter (et à tripoter elle-même) que par une femme.
Les caresses féminines ne ressemblent en rien à celles des hommes. Je sus bien vite que la belle ne ressentait pas grand-chose sous mes caresses. Il me fallait donc passer à autre chose, si je voulais éviter la honte de baiser une femme qui ne ressentira aucun plaisir. Je regardais Aïcha qui semblait s’amuser de mon désarroi. Elle savait que je voulais qu’elle intervienne et qu’elle prépare elle-même son amie. Elle savait ce qu’il fallait faire pour l’exciter. Elle savait que seule, elle, pouvait réussir. Son sourire moqueur s’accentua, puis au bout de quelques secondes d’hésitation, elle se décida. En un tour de main, elle se déshabilla totalement, se leva du sofa pour faire admirer sa nudité (c’était Vénus en personne ! Tout en elle suintait la sensualité ! Elle était belle ! Vraiment belle ! Belle et sensuelle !). Elle vint se mettre à genoux devant Louisa, posa ses lèvres sur son ventre et entreprit de l’embrasser avec passion.
Je vis immédiatement la différence ! Louisa commença à s’animer et à bouger son corps. Elle prit la tête de son amie et appuya dessus pour qu’elle reste entre ses seins. Elle avait un sourire de ravissement. Elle était heureuse de se faire entreprendre par son amante. La main de Aïcha alla palper les fesses de sa partenaire et se promena un moment sur elles, pénétrant furtivement dans la raie. Puis elle se décida de s’occuper de sa chatte. Elle introduisit sa main droite entre les genoux de Louisa que cette dernière tenait encore serrés, l’obligea à les ouvrir et remonta doucement vers le triangle de son entrecuisse. Je regardais le visage de la belle-sœur s’illuminer de plaisir et de bonheur. Elle avait le souffle court. Elle n’osait pas encore gémir, ni montrer l’intensité du plaisir qu’elle prenait ; j’étais sûr que c’était à cause de ma présence.
Puis Aïcha passa à la vitesse supérieure en baissant sa tête pour aller titiller le pubis et la chatte de son amie. Elle ne put résister plus longtemps et se mit à gémir et à pousser des petits cris rauques de plaisir. Elle attrapait les cheveux de sa partenaire et tirait dessus pour l’obliger à aller et venir entre ses cuisses qu’elle avait maintenant ouvertes au maximum. La bouche et la langue de Aïcha avaient pris possession de la chatte de Louisa et ne voulaient plus la lâcher. Elle gémissait de plus en plus et semblait être sur le point de jouir. Aïcha accéléra le mouvement et très rapidement j’entendis son amante pousser un long râle de jouissance et décharger dans la bouche de sa belle-sœur. Je la vis plier les jambes, vaincue par la fatigue et tomber à genoux dans les bras de Aïcha. Elles restèrent ainsi un long moment, sans s’occuper de moi - jaloux du pouvoir de Aïcha - puis se levèrent pour s’assoir sur le sofa.
Je ne savais toujours pas ce qu’il fallait que je fasse. Ce fut encore une fois Aïcha qui trouva la solution. Elle serra sa belle-sœur dans ses bras et lui appliqua un baiser torride et mouillé, que sa partenaire lui rendit avec la même intensité. Aïcha prit alors sa partenaire par la taille pour lui faire quitter la position assise et lui dit quelque chose à l’oreille que je n’entendis pas. Louisa se mit alors à genoux entre les jambes de son amante et plongea sa tête entre ses cuisses. Elle était entrain de lui rendre le cunnilingus qu’elle lui avait appliqué tantôt. Elle y allait franchement. Il était évident qu’elle aimait cela. Aïcha me regarda, un moment savourant son pouvoir et me fit signe d’aller m’occuper du cul de sa partenaire.
Je venais de comprendre ! Aïcha voulait que je tire sa belle-sœur en levrette, pendant qu’elle était occupée à lui sucer la vulve. C’était bien vu ! Je m’empressai de me positionner derrière les superbes fesses ouvertes et offertes et me mit à les caresser. Je sentis une très forte crispation des muscles de tout le corps de Louisa, mais n’en tins aucun compte : je savais que Aïcha tenait fermement la tête de son amante et qu’elle l’obligeait de continuer son œuvre sur sa chatte. Je fis glisser deux doigts le long des grandes lèvres et vis qu’elles étaient mouillées (excitée par Aïcha !). Je me dis donc que ce n’était pas la peine de la caresser plus longtemps. Il était temps que j’utilise mon sexe qui était dans un état d’impatience indescriptible. Je le pris dans ma main droite et l’introduisit entre les grandes lèvres. La crispation devint plus forte. Elle s’était même arrêtée de sucer la chatte de son amie.
- Continue de me sucer comme cela ! lui dit-elle à l’oreille. C’est superbe ! Tu vas me faire jouir comme une folle !
Vaincue, Louisa continua son œuvre et ne s’occupa plus de moi. Je pus donc introduire le gland de mon sexe jusqu’à l’entrée du vagin et faire pénétrer l’ensemble d’un coup sec, faisant éclater au passage la fine membrane de son hymen. Elle cria très fort et mordit même au passage, une des lèvres de la chatte de son amie. Je maintins très fort les hanches de la femme, pour l’empêcher de fuir et restai un long moment au fond du vagin. Aïcha tenait toujours la tête de son amie, que maintenant elle caressait tendrement.
- N’aie pas peur mon amour ! C’est bientôt fini ! Tu es maintenant une vraie femme ! Tu verras comme c’est bon le zob d’un homme ! Un peu de courage ! Continue à me bouffer la chatte !
Vaincue, Louisa reprit son cunnilingus, pendant que moi je commençai un mouvement de va-et-vient dans le vagin de Louisa. Et quel vagin ! Etroit, chaud, humide (de cyprine et de sang). Je m’interdisais d’y aller franchement, comme je le désirais vraiment ; j’y allai avec douceur, de manière à ne pas trop lui faire mal et à ne pas la traumatiser. Je voulais que cette femme finisse par aimer se faire tirer par un homme ; et je voulais être cet homme-là. Je faisais pénétrer mon manche très loin dans son tunnel, mais en revenant je faisais attention à ne pas faire dépasser au gland, que j’avais très large à sa base (en forme de champignon !) l’endroit de la déchirure de l’hymen. De fait Louisa ne cria plus de douleur. Elle avait la tête toujours fourrée entre les cuisses de Aïcha. Il m’apparut même que petit à petit elle commençait à bouger ses hanches, comme pour accompagner les va-et-vient du manche dans le vagin. Je décidai de pousser l’expérience plus loin en envoyant ma main droite vers son sein et me mettre à le palper doucement et à caresser son téton. Le sein, tout comme le téton, étaient fermes, doux et surtout très excitable.
Ses hanches, qui ne faisaient que bouger légèrement, se mirent de la partie et accompagnaient maintenant très franchement mes coups de reins. Aïcha comprit elle aussi que la partie venait d’être gagnée. Elle tira sur les cheveux de son amie pour extraire sa tête d’entre ses cuisses. Elle voulait absolument voir Louisa prendre du plaisir à se faire piner par un homme. Elle lui releva la tête, lui donna un baiser très tendre sur la bouche et se mit à contempler la scène. Elle était excitée en regardant mon sexe, complètement rempli de sang, entrer en sortir du vagin de sa belle-sœur. Louisa se mit à gémir de plaisir et je vis sa tête partir dans un mouvement saccadé qu’elle n’arrivait pas à contrôler. J’avais le sentiment qu’elle ne voulait pas encore montrer qu’elle aimait être tirée ; elle ne disait donc toujours rien. La seule preuve du plaisir qu’elle prenait était ces mouvements incontrôlés de sa tête et de ses hanches, ainsi que les petits gémissements sourds qui sortaient de sa gorge.
Moi je voulais la faire hurler de plaisir. Je me mis donc à y aller plus franchement, conscient que j’allais lui faire mal, mais certain que le mal se transformera très rapidement en plaisir. C’est effectivement ce qui arriva.
- C’est bon ! n’est-ce pas ? Dis-moi que c’est bon ! Dis-le ! C’est bon ! Bon !
- Bo… (Elle résistait et ne voulait pas encore avouer clairement qu’elle aimait)
- Dis-moi que tu aimes te faire tirer par un homme ! Dis moi que mon zob est aussi bon que la chatte de Aïcha !
- Oui c’est bon ! C’est bon !
J’accélérai encore le rythme de mes coups de boutoir. Je ne faisais même plus attention à la douleur que je pouvais provoquer. Je voulais la faire jouir comme une folle. Et elle jouit comme une folle. Soudain, elle se lâcha complètement, se mit à pousser des cris de plaisir à chacune de mes pénétrations et à lâcher toute une bordée de mots crus, qui accroissaient son plaisir.
- Zob ! Magnifique ! Bon ! Encore ! Encore ! Plus fort ! Plus vite ! Gros zob ! Mon autre maître ! Je jouis ! Je jouis ! je jouiiis !
Elle accéléra les mouvements de ses hanches et de sa tête, lâcha des litres de salive, tendit tous les muscles de son corps et poussa un très long râle, avant de décharger des litres de cyprine sur mon sexe qui continuait imperturbablement à la pilonner. Exténuée, elle s’affala par terre, et s’allongea sur le ventre avec moi sur son dos et mon sexe encore affamé dans sa vulve. Je ne voulais pas, pour le moment éjaculer en elle. Je ne voulais pas prendre le risque d’une grossesse, bien que j’avais cru comprendre qu’elle n’était pas en période de fertilité.
Je sortis mon sexe de sa chatte pour le montrer à Aïcha qui avait suivi toute l’opération avec des yeux brillant de luxure et d’envie. Je voulais qu’elle reconnaisse que j’avais réussi une prouesse : celle de faire aimer un homme à une homosexuelle. Elle semblait s’en ficher éperdument. Ce qui l’intéressait, c’était cet immense zob, dressé comme un étendard et plein du sang de la vierge. Elle semblait émerveillée par le spectacle. Elle tendit la main pour agripper l’engin et le caresser. Elle regarda ses doigts devenus tout rouges et les porta à sa bouche. Elle se mit à les lécher goulûment.
- C’est le sang de mon esclave qui est maintenant devenue aussi la tienne. Si j’avais été un homme, c’est moi qui aurait eu le plaisir de la dépuceler. J’aurais aimé connaître cette sensation de déchirer un hymen de fille. Quand j’ai été dépucelée par mon mari, je n’ai ressenti que de la douleur. Le plaisir n’est venu que beaucoup plus tard, quand je me suis habituée à sa brutalité au lit. Je crois que maintenant j’aime cette brutalité et ne pourrait jouir qu’avec un homme qui me possède en force.
- Suce-moi ! lui dis-je, excité par la scène de lèche-sexe enduit du sang de Louisa.
Elle ne se fit pas prier pour se mettre à genoux entre mes jambes, par terre à côté du sofa. Elle se mit d’abord à lécher le gland puis tout le sexe pour le nettoyer du sang qui l’enduisait. Elle avalait tout ce qu’elle ramassait. Puis elle ouvrit très grand son immense bouche et fit disparaître totalement l’engin. J’étais dans un autre paradis, aussi chaud, doux et humide que le vagin que je venais de quitter. Aïcha savait sucer : elle avait la science de la fellation. Au bout de quelques secondes seulement, j’eus une énorme envie d’utiliser cette bouche exactement comme si c’était un vagin. Je le lui dis. Elle leva la tête pour me regarder dans les yeux, comme si elle voulait être sûre qu’elle avait bien compris mon désir, puis m’attrapa par les hanches et fit le mouvement d’introduire le membre jusqu’au fond de sa gorge et de le ressortir totalement pour le réintroduire complètement. Par ce geste, elle me donnait le feu vert pour pilonner sa bouche, comme j’avais pilonné le vagin de son amie.
Je ne fis pas prier pour l’attraper par les cheveux pour bien bloquer sa tête et me mis à faire entrer et sortir l’engin à un rythme de plus en plus rapide. Je prenais soin toutefois de lui laisser un intervalle de respiration et de ne pas rester longtemps au fond de sa gorge, pour ne pas qu’elle étouffe et pour qu’elle ne vomisse pas. A chaque fois que je sortais de sa bouche, je lui faisais lever la tête pour voir l’effet de mon pilonnage : elle avait les yeux remplis de larmes qui descendaient en abondance le long de ses joues ; son nez coulait sans discontinuer ; et de la salive s’échappait de la commissure de ses lèvres pour s’étaler sur mon sexe à chacune de ses sorties. Je savais qu’elle souffrait. Et j’aimais cette souffrance que je trouvais tellement érotique ! (Il faudrait peut-être qu’un jour je me fasse psychanalyser pour connaître l’origine de l’immense plaisir que je prends à faire mal aux femmes que je baise). Je continuais donc ainsi en accélérant le rythme jusqu’au moment où je sentis que la jouissance allait arriver sans plus tarder.
Je regardai furtivement où se trouvait Louisa, parce que je voulais la faire participer à l’opération et la remplir elle aussi de sperme. Elle était assise par terre, adossée au sofa entrain de regarder avec intérêt sa maîtresse se faire piner sauvagement par la bouche. Elle aussi avait ouvert sa grande bouche, comme si elle attendait qu’un gros sexe s’y introduise. Je me disais que c’était exactement ce que je voulais : j’allais éjaculer une première grosse giclée dans la bouche qui m’accueillait et le reste dans celle de Louisa, qui était en attente. J’accélérai le rythme de mes va-et-vient et rapidement je sentis arriver la jouissance et un torrent de sperme dévala pour se déverser en une première grosse giclée au fond de la gorge de Aïcha. Je sortis rapidement de la première bouche et allai investir la seconde qui m’attendait.
Je refis quelques mouvements de va-et-vient dans la bouche de Louisa - qui avait plus de mal à m’accueillir, parce que non habituée - et lâchai une deuxième, puis une troisième bordée, qu’elle eut beaucoup de mal à avaler. Une grande partie sortit de sa bouche et se mit à couler sur son menton, puis sur son cou. Il restait encore beaucoup de sperme dans mes entrailles. Je le fis sortir en me masturbant et en le répartissant de manière équitable entre mes deux belles.
Elles étaient maintenant pleines de foutre, qu’elles s’amusèrent à aller ramasser avec leur langue l’une sur l’autre. Je regardais la scène avec extase. C’était tellement beau ! Tellement érotique ! Elles se léchaient avec empressement, se roulant au passage des patins très sonores et mouillés. Elles avaient oublié ma présence et s’étaient mises à faire l’amour entre elles, comme si je n’existais pas. Et de fait je n’existais pas ! Elles étaient toutes à leur plaisir de s’aimer. Et c’est à ce moment là que je compris réellement ce que Aïcha voulait dire quand elle qualifiait Louisa d’esclave. C’était elle qui dans le couple menait la danse : elle ordonnait et Louisa exécutait. Suce-moi la chatte ; et Louisa enfouissait sa tête entre les cuisses de sa maîtresse et suçait goulûment jusqu’à ce qu’un autre ordre vienne changer la donne. Met-moi un doigt dans le cul : et la fille introduisait délicatement un doigt dans l’anus de sa maîtresse, tout en continuant son cunnilingus.
- Masturbe-moi et fais-moi jouir avec tes doigts !
Et Louisa s’exécutait en branlant sa maîtresse avec maestria. La séance dura ainsi une éternité au cours de laquelle, j’ai pu admirer le pouvoir qu’avait Aïcha sur son amante. Dans le couple, c’était Louisa qui faisait l’homme et qui faisait jouir sa maîtresse. Elle la pinait avec sa main et faisait entrer jusqu’à quatre doigts en même temps pour la faire jouir. Mais elle ne faisait rien que sa maîtresse ne lui commandait de faire. Aïcha jouit ainsi plusieurs fois, sous les caresses de Louisa. Quand elles s’arrêtèrent et reprirent leur souffle, elles se rendirent compte de ma présence. Louisa me lança un petit sourire désolé et Aïcha me regarda bien en face, fière de m’avoir montré son pouvoir envers son amie.
- Je n’ai pas encore connu la chaleur de ta chatte ! Je ne vais pas vous laisser partir avant que je ne fasse connaissance avec ton minou !
- Je suis fatiguée ! Ce sera pour une prochaine fois ! Car cela ne va pas s’arrêter là ! N’est-ce pas ?
- Bien sûr que non ! Mais j’aurai bien aimé te baiser aujourd’hui ! Et même t’enculer ! Car bien sûr tu aimes la sodomisation !
- Pas tellement ! Mais c’est toi le maître ! Ordonne et j’obéis ! Mais pas aujourd’hui ! La prochaine fois.
Je les ai laissé partir, avec la promesse qu’elles reviendront, ensemble, le lendemain, et le surlendemain. Et tous les jours. Elles revinrent effectivement le lendemain et le surlendemain ; ensemble. Nous refîmes l’amour comme des bêtes. Louisa avait même fini par adorer faire l’amour avec moi, un homme. Elle se donnait à moi, sans retenue et me laissait lui faire tout ce que je voulais, y compris la sodomiser et la baiser par la bouche. Elle m’était devenue indispensable. Avec elle je prenais un plaisir immense ; supérieur à tout ce que les autres femmes m’avaient donné jusque là. Y compris Aïcha qui pourtant était plus belle et était une véritable experte en amour libre. Je crois que son corps mince et agile, sa totale disponibilité, le plaisir qu’elle prenait et qu’elle montrait sans fausse honte, l’étroitesse des ses trous qui n’avaient jamais servi avant moi et surtout le bonheur qui se lisait dans ses yeux quand elle était avec moi, firent qu’elle avait ma préférence. J’aimais quand elles venaient toutes les deux ensemble ; quand nos trois corps s’entremêlaient, quand tous les trois nous nous effondrions de fatigue et de plaisir.
Mais j’aimais encore mieux quand Louisa venait seule (Aïcha étant bloquée à la maison par la présence impromptue de son mari). Les moments que je passais alors avec elle avait un autre goût ; peut-être celui de l’amour. Je crois qu’effectivement j’étais tombé amoureux de cette femme, qui n’avait connu d’homme qu’à la quarantaine passée et qui s’évertuait à rattraper le retard en prenant, et en donnant, le maximum de plaisir.
Ce qui est exceptionnel, c’est que Aïcha, la magnifique Aïcha, comprit rapidement que j’avais une préférence pour son esclave, mais ne m’en tint pas rigueur. Ni à Louisa non plus. Elle continua de venir chez moi et de s’offrir à moi sans retenue, prenant un plaisir évident à le faire. Mais c’est vrai, qu’elle, elle était mariée et connaissait triplement le plaisir : avec son mari (même si elle réprimait ses désirs pour des raisons de morale sociale), avec son esclave et avec moi. Elle acceptait donc que Louisa ait sa part d’amour en dehors d’elle.
Notre trio infernal continue de fonctionner jusqu’à maintenant. Et sans être bigot, ni même croyant, je prie tous les jours le ciel pour que cela continue ainsi.
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