Fayçal, le marocain amoureux 2/4
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fayçal, le marocain amoureux 2/4
Fayçal paraissait tout timide dans mon salon.
On s'est assis sur le divan. Il ne disait plus rien. Il me regardait en souriant.
-on va manger, t'as faim Fayçal ?
-le couscous de ma tante est vraiment excellent mais j'aimerais, si c'est possible prendre une douche si tu veux bien.
-bien sûr viens!
Je l'ai emmené dans la salle de bains, la douche lui tendait les bras. Je lui ai montré où prendre une serviette et tout ce qu'il aurait besoin. J'ai vu qu'il regardait les deux peignoirs de pendus.
-si tu veux tu peux prendre celui là, c'est celui des invités. Il est tout propre et tu seras très bien dedans.
Je croyais qu'il allait commencer à se déshabiller, et j'étais prêt pour assister au dépouillement mais il a fait son timide, alors je suis sorti.
-je prendrais la mienne après j'ai juste dit.
Il a pris son temps, et, quand je l'ai vu apparaitre dans le peignoir blanc, trop grand pour lui, j'ai eu l'impression qu'il avait rétrécit.
Il avait le sourire, je suis allé à sa rencontre, remettre le col qui partait en vrille, le respirer.
-mais c'est qu'il sent bon mon touriste marocain! t'as pas usé toutes les bouteilles quand même!
Il rigole, se serre contre moi, me fait un bisous sur la joue.
-t'es très gentil Fabrice!
-toi aussi jeune touriste marocain, je vais me laver, en m'attendant si tu veux j'ai un grand livre sur les animaux de la forêt, sur la table en face la télé.
J'ai pris ma douche vite fait.
Tout était en ordre dans la salle de bains. Ses affaires de plier dans un coin ça sentait le parfum et le gel douche.
Ma queue réclamait déjà et je bandais comme un fou. Il m'excitait quand même un max ce marocain…!
Quand je suis revenu dans le salon, il regardait le grand livre.
-c'est magnifique, il y en a que j'aimerais bien regarder tu sais où on peut en voir ?
-oui si on a de la chance, tu sais ils sont pas là tous les jours à la même heure au même endroit.
-tu pourras m'emmener encore en forêt comme cet après-midi ?
-oui Fayçal, pour l'instant on va manger.
On a dîné en tête à tête, je l'ai fait parler de son pays, de sa vie encore une fois, essayant d'éviter le côté sexe mais c'est lui qui y est revenu.
-jamais les mecs que j'ai niquer ne m'ont invité chez eux, jamais j'ai mangé avec eux ni bu un thé! rien! que du sexe sale!
-arrête de penser à ça Fayçal.
-si! il faut que tu saches ce que je suis Fabrice.
-non c'est pas ce que tu es, c'est ce qu'on t'a demandé de faire… voilà ce que c'est que d'avoir un gros zob aussi!
Il a enfin franchement rigolé.
Quand on a eu fini les pâtisseries que la maman de Mehdi avaient mis en quantité, je le voyais les mains levées, les doigts collants écartés prêt à se les lécher. J'ai attrapé sa main et, en le fixant j'ai léché les doigts un par un pour enlever tout le sucre. Ses yeux suivaient mes lèvres sur ses doigts. Je les avalais en serrant bien mes lèvres dessus et, quand il a vu que je faisais ça par jeu, il s'est mis à bouger son doigt dans ma bouche, touchant ma langue.
Je lui ai léché tous les doigts, quel sourire il avait! qu'il était beau Fayçal!
-tu es vraiment plus agréable à regarder que ce midi tu n'avais pas de sourire! rien! on aurait dit que t'étais fâché.
-non mais quand il y a des gens que je connais pas je suis comme ça. J'ai peur qu'on sache ce que je suis, ce que je fais.
Je me relève, le tenant par la main je l'emmène au salon. Je m'assois et l'invite à s'asseoir sur mes genoux.
-maintenant que je te tiens, je ne veux pas que tu te sauves dis je en le serrant contre moi.
Je me mets à le sniffer dans l'intérieur du peignoir, il rigole.
Je lui fais un bisou sous le menton il me tend ses lèvres.
-embrasse moi comme cet après midi en forêt s'il te plait.
Nos bouches se sont retrouvées, nos langues aussi et les gémissements ont commencé. Il était plein de fougue, me serrait très fort dans ses bras en me projetant sa langue au fond de la gorge, avant de prendre la mienne et de l'aspirer au fond de la sienne, si bien que la salive s'est mise à couler de nos bouches.
Je l'ai fait reculer pour lécher la salive qui se sauvait.
Ses yeux brillaient comme des étoiles, ses yeux marrons clairs changeaient de couleur. Ils viraient vers le gris.
-t'as les yeux qui changent de couleur Fayçal.
-ma mère dit que c'est quand on est heureux que les yeux changent de couleurs.
Alors on a repris nos baisers, nos caresses. Il adorait frotter sa joue contre la mienne avant de revenir me bouffer les lèvres et la langue. Tout ce que je lui faisais il le reproduisait sur moi et il m'a léché le visage en riant!
Je me suis surpris à aimer le regarder, ses yeux, son visage, quand il avait le sourire il était magnifique.
Je l'ai pris sous les jambes en le soulevant.
-bon monsieur le touriste, il est temps de passer à la leçon suivante.
Il souriait, mais il paressait vraiment inquiet.
-tu vas me faire quoi ? demande t-il en parlant tout bas.
-je vais te manger tout cru des pieds à la tête monsieur le touriste, j'ai murmuré à son oreille.
Il m'a fait des bisous jusqu'à ce que je le dépose dans la chambre. Il n'y avait que la veilleuse d'allumée.
Je l'ai pris dans mes bras pour l'embrasser tendrement.
J'ai tiré sur le cordon du peignoir lui enlevant et j'ai eu le touriste marocain en boxer dans mes bras. Il tremblait doucement.
-enlève moi le peignoir Fayçal.
Et nous nous sommes retrouvés à égalité.
Il était vraiment plus petit que moi et ne pesait pas bien lourd. J'ai passé ma main dans ses cheveux, il a relevé la tête, m'a regardé, sa bouche entrouverte attendait encore des baisers.
-si tu me fais confiance Fayçal je vais te faire plein de choses mais si tu n'aimes pas ou si tu ne veux pas il suffira de me le dire et je ne le ferais pas. Je veux que tu sois heureux pour voir si tes yeux changent encore de couleurs.
-bien sûr que je te fais confiance, sinon je ne t'aurais jamais accepté de venir chez toi pour… dormir!
Alors je l'ai embrassé en prenant ses petites fesses dans mes mains, le collant à moi. Ses mains parcouraient mon corps en caresses douces et chaudes.
J'ai commencé à baisser son boxer et je l'ai poussé sur le lit tombant à la renverse. Je lui ai enlevé le boxer bloquant ses pieds sur mon torse chaud et je regardais en détails mon touriste marocain.
Sourire aux lèvres, il attendait la suite. Son corps était banal, pas de muscles apparents, pas d'abdos dessinés mais un corps lisse avec de tous petits tétons au milieu d'aréoles très foncées. Mes yeux descendent vers la queue. Ce zob immense en longueur remonte au dessus du nombril qu'il cache. On dirait vraiment un obus. Le gland est bien pointu et laisse couler la mouille qui coule sur son côté. Son pubis est bien poilu, j'aime les pubis poilus, j'aime respirer ce poil et dessous de belles couilles bien hautes, qui semblent bien fermes.
Les jambes sont en rapport avec le corps pas très épaisses recouvertes d'un duvet qui arrive aux pieds que je tiens dans mes mains, collés sur mon torse.
Je prends un pied dans mes mains, l'observe méticuleusement sans regarder Fayçal. Il a de longs orteils, le deuxième est le plus long, osseux, les ongles sont bien coupés. Je renifle, ça sent rien si mon parfum avec l'odeur de rebeu.
Je fais un bisou sur les orteils, un par un, les lèche, les avale, les suce. Je lui lèche les pieds, le dessous, le dessus jusqu'au moment où je l'entends gémir.
Je le regarde il a les yeux de fermés et semble savourer.
Alors je continue, les deux pieds y passent.
Puis j'écarte ses jambes, descendant mes lèvres du mollet, cuisses, pour arriver aux couilles que je renifle encore et encore en donnant de petits coups de langue pour en prendre une entre mes lèvres, l'aspirer pour l'avaler et l'entendre pousser un petit cri. J'arrive à prendre la deuxième en bouche, les noie dans ma salive, les faisant rouler l'une sur l'autre. Il gémit, crie en écartant ses jambes et soulevant ses fesses.
Je l'entends souffler. Je lâche les couilles et je fais des bisous sur sa longue et épaisse queue qui repose sur son ventre.
Il rigole et je n'arrête pas mes bisous… faut dire qu'il y a de la longueur à honorer.
Je relève son beau zob d'une main, le redressant. Il est bien droit, bien raide, le méat grand ouvert coule en continue.
Je remplace les baisers par ma langue chaude et humide, ses gémissements reprennent mais quand j'arrive à son gland je n'y touche pas encore, ne m'occupant que de la hampe. Il bouge tel un ver de terre, tortillant son petit cul quand ma bouche arrive près de son gland, il se tord pour que je le prenne en bouche.
Mais c'est d'abord un coup de langue qu'il reçoit, essuyant toute la mouille avant de l'envelopper de mes lèvres et de l'aspirer.
Là il crie Fayçal, son cul se lève pour que sa queue s'enfonce en moi mais c'est moi qui dirige.
Avec mes bras je bloque ses cuisses et je peux sucer, lécher son zob comme j'en ai envie pour l'entendre crier et gémir. Sa main arrive pour me caresser la tête.
J'avale tout ce que je peux de cette belle queue mais je suis loin de réussir l'exploit de tout avaler.
Mais je le pipe, le lèche, l'aspire, serrant ses couilles, les tirant. Il gémit, crie, son gland durcit, sa queue s'allonge, les cris se font de plus en plus rapprochés. Il marmonne et je comprends qu'il dit qu'il va juter au moment au je reçois sa première giclée. La première giclée de mon touriste marocain je l'avais déjà vu à l'œuvre. Les giclées se sont rapidement suivies et coulaient en moi pendant qu'il criait en essayant de bouger dans tous les sens, de s'arrêter, de rire en disant :
-je suis mort pour la deuxième fois aujourd'hui.
Je lèche consciencieusement son beau morceau et ma bouche remonte sur son torse. Il me regarde arriver, la bouche entrouverte attendant le bisou.
Mais je m'attaque à ses minuscules tétons qui pointent. Au premier coup de langue il pousse un long gémissement. Je le regarde étonné, il a l'air aussi étonné que moi alors je continue, j'insiste et les gémissements reprennent de plus en plus forts. J'en prend un entre deux doigts que je martyrise doucement.
Il crie, gémit en ouvrant la bouche toute grande.
Je me jette sur sa bouche et l'embrasse à perdre haleine sentant ses bras me serrer contre lui, ses jambes m'envelopper les reins, me serrant.
-j'ai adoré ton jus monsieur le touriste ! et ton zob est vraiment magnifique, gros et dur, t'es vraiment adorable.
-et toi ? tu n'as pas joui.
-pas encore, mais maintenant tu vas me montrer si tu as bien retenu ma leçon.
-donc tu veux que je te suce.
-si tu veux bien.
-j'ai jamais fait ça Fabrice.
-alors tu peux faire tout ce que tu veux avec ma queue sauf la mordre pour la manger.
Il rigole en m'embrassant, me fait tourner pour venir sur moi.
-je vais faire très attention de ne pas l'abîmer, j'ai déjà aimé lui faire des bisous tout à l'heure.
-oui elle attend la suite tu sais.
J'ai encore eu droit à plein de bisous, avant qu'il ne vienne me lécher les tétons, les pincer, les aspirer, les martyriser.
Il a observé mon torse, mes muscles plus apparents que les siens, les touchant de la main, les caressant.
Il a regardé ma queue prisonnière du boxer, passant sa main dessus, la caressant. Il s'est penché et fait des bisous, la mordant à travers le tissu et me regarder en riant.
Enfin il a viré le boxer, a posé sa joue sur une cuisse et ma queue n'a jamais été tant caressé avant que le gland n'arrive sur ses lèvres. Il s'est amusé avec mon prépuce, passant sa main dans ma toison blonde et s'est mis à me lécher le gland comme une boule de glace qui peinait à fondre et quel coup de langue il avait Fayçal, il y mettait tout son plaisir, il s'appliquait je dirais!
Il s'est décidé à l'avaler, la faisant glisser sur sa langue quand le gland a touché sa luette il a toussé, craché, pleuré dessus et, sans me regarder est reparti à l'attaque me pipant en serrant bien ses lèvres sur ma hampe. Ses doigts tenaient mes couilles et les tripotaient.
Il n'allait pas vite au départ.. prenant son temps comme s'il dégustait mais quand il a pris de la vitesse, ses doigts se refermant sur mes couilles il pipait en aspirant le gland. J'ai senti ma queue durcir et le plaisir monter et arriver en même temps que je lâchais ma première giclée qui a dû bien lui remplir la bouche.
Je ne sais pas s'il en a beaucoup avalé cette première fois mais il en a recraché beaucoup, les yeux larmoyants et il a fini de me vider en me branlant et regardant mon jus sortir avant de bien me lécher la queue.
Il m'a essuyé avec une serviette et est venu dans mes bras.
-désolé tu avais trop de jute et c'est la première fois que je fais ça, mais ça a bon goût quand même dit il avec des yeux coquins.
-tu es doué quand même Fayçal pour un garçon qui fait ça pour la première fois.
-on me l'a fait tellement de fois tu sais.
La machine à bisous est repartie. Il aimait être sur moi pour se frotter. Je caressais ses petites fesses, les malaxant, les pétrissant.
On roulait sur le lit, on s'embrassait.
-je suis bien avec toi Fabrice.
-alors je vais finir de te manger Fayçal.
Avant qu'il ne réagisse, je me lève du lit, le tire par les pieds, le fait retourner pour avoir en ligne de mire ses belles petites fesses.
Ma bouche embrasse ses cuisses, remontant sur ses fesses qui reçoivent mille bisous et plein de caresses. Je l'entends rire.
-jamais on m'a embrassé les fesses dit il en riant.
Je le prends aux hanches et le force à relever son petit cul, que je vois s'ouvrir. Je lui fais bouger les jambes pour ouvrir encore plus mon cadeau et je recommence les bisous sur les fesses, les caresses et ma langue commence à passer dans la raie et, machinalement il redresse ses fesses les ouvrant encore plus. Quand ma langue passe sur son anus fermé il pousse un petit cri. Je n'insiste pas mais je reviens, mettant plein de salive, ouvrant bien les fesses pour que ma langue puisse bien toucher l'anus rond, lisse et l'entendre gémir de plus en plus en s'offrant.
Ma queue palpitait et avait envie d'aller visiter ce petit trou.
Mais y'avait du boulot avant d'arriver là.
On s'est assis sur le divan. Il ne disait plus rien. Il me regardait en souriant.
-on va manger, t'as faim Fayçal ?
-le couscous de ma tante est vraiment excellent mais j'aimerais, si c'est possible prendre une douche si tu veux bien.
-bien sûr viens!
Je l'ai emmené dans la salle de bains, la douche lui tendait les bras. Je lui ai montré où prendre une serviette et tout ce qu'il aurait besoin. J'ai vu qu'il regardait les deux peignoirs de pendus.
-si tu veux tu peux prendre celui là, c'est celui des invités. Il est tout propre et tu seras très bien dedans.
Je croyais qu'il allait commencer à se déshabiller, et j'étais prêt pour assister au dépouillement mais il a fait son timide, alors je suis sorti.
-je prendrais la mienne après j'ai juste dit.
Il a pris son temps, et, quand je l'ai vu apparaitre dans le peignoir blanc, trop grand pour lui, j'ai eu l'impression qu'il avait rétrécit.
Il avait le sourire, je suis allé à sa rencontre, remettre le col qui partait en vrille, le respirer.
-mais c'est qu'il sent bon mon touriste marocain! t'as pas usé toutes les bouteilles quand même!
Il rigole, se serre contre moi, me fait un bisous sur la joue.
-t'es très gentil Fabrice!
-toi aussi jeune touriste marocain, je vais me laver, en m'attendant si tu veux j'ai un grand livre sur les animaux de la forêt, sur la table en face la télé.
J'ai pris ma douche vite fait.
Tout était en ordre dans la salle de bains. Ses affaires de plier dans un coin ça sentait le parfum et le gel douche.
Ma queue réclamait déjà et je bandais comme un fou. Il m'excitait quand même un max ce marocain…!
Quand je suis revenu dans le salon, il regardait le grand livre.
-c'est magnifique, il y en a que j'aimerais bien regarder tu sais où on peut en voir ?
-oui si on a de la chance, tu sais ils sont pas là tous les jours à la même heure au même endroit.
-tu pourras m'emmener encore en forêt comme cet après-midi ?
-oui Fayçal, pour l'instant on va manger.
On a dîné en tête à tête, je l'ai fait parler de son pays, de sa vie encore une fois, essayant d'éviter le côté sexe mais c'est lui qui y est revenu.
-jamais les mecs que j'ai niquer ne m'ont invité chez eux, jamais j'ai mangé avec eux ni bu un thé! rien! que du sexe sale!
-arrête de penser à ça Fayçal.
-si! il faut que tu saches ce que je suis Fabrice.
-non c'est pas ce que tu es, c'est ce qu'on t'a demandé de faire… voilà ce que c'est que d'avoir un gros zob aussi!
Il a enfin franchement rigolé.
Quand on a eu fini les pâtisseries que la maman de Mehdi avaient mis en quantité, je le voyais les mains levées, les doigts collants écartés prêt à se les lécher. J'ai attrapé sa main et, en le fixant j'ai léché les doigts un par un pour enlever tout le sucre. Ses yeux suivaient mes lèvres sur ses doigts. Je les avalais en serrant bien mes lèvres dessus et, quand il a vu que je faisais ça par jeu, il s'est mis à bouger son doigt dans ma bouche, touchant ma langue.
Je lui ai léché tous les doigts, quel sourire il avait! qu'il était beau Fayçal!
-tu es vraiment plus agréable à regarder que ce midi tu n'avais pas de sourire! rien! on aurait dit que t'étais fâché.
-non mais quand il y a des gens que je connais pas je suis comme ça. J'ai peur qu'on sache ce que je suis, ce que je fais.
Je me relève, le tenant par la main je l'emmène au salon. Je m'assois et l'invite à s'asseoir sur mes genoux.
-maintenant que je te tiens, je ne veux pas que tu te sauves dis je en le serrant contre moi.
Je me mets à le sniffer dans l'intérieur du peignoir, il rigole.
Je lui fais un bisou sous le menton il me tend ses lèvres.
-embrasse moi comme cet après midi en forêt s'il te plait.
Nos bouches se sont retrouvées, nos langues aussi et les gémissements ont commencé. Il était plein de fougue, me serrait très fort dans ses bras en me projetant sa langue au fond de la gorge, avant de prendre la mienne et de l'aspirer au fond de la sienne, si bien que la salive s'est mise à couler de nos bouches.
Je l'ai fait reculer pour lécher la salive qui se sauvait.
Ses yeux brillaient comme des étoiles, ses yeux marrons clairs changeaient de couleur. Ils viraient vers le gris.
-t'as les yeux qui changent de couleur Fayçal.
-ma mère dit que c'est quand on est heureux que les yeux changent de couleurs.
Alors on a repris nos baisers, nos caresses. Il adorait frotter sa joue contre la mienne avant de revenir me bouffer les lèvres et la langue. Tout ce que je lui faisais il le reproduisait sur moi et il m'a léché le visage en riant!
Je me suis surpris à aimer le regarder, ses yeux, son visage, quand il avait le sourire il était magnifique.
Je l'ai pris sous les jambes en le soulevant.
-bon monsieur le touriste, il est temps de passer à la leçon suivante.
Il souriait, mais il paressait vraiment inquiet.
-tu vas me faire quoi ? demande t-il en parlant tout bas.
-je vais te manger tout cru des pieds à la tête monsieur le touriste, j'ai murmuré à son oreille.
Il m'a fait des bisous jusqu'à ce que je le dépose dans la chambre. Il n'y avait que la veilleuse d'allumée.
Je l'ai pris dans mes bras pour l'embrasser tendrement.
J'ai tiré sur le cordon du peignoir lui enlevant et j'ai eu le touriste marocain en boxer dans mes bras. Il tremblait doucement.
-enlève moi le peignoir Fayçal.
Et nous nous sommes retrouvés à égalité.
Il était vraiment plus petit que moi et ne pesait pas bien lourd. J'ai passé ma main dans ses cheveux, il a relevé la tête, m'a regardé, sa bouche entrouverte attendait encore des baisers.
-si tu me fais confiance Fayçal je vais te faire plein de choses mais si tu n'aimes pas ou si tu ne veux pas il suffira de me le dire et je ne le ferais pas. Je veux que tu sois heureux pour voir si tes yeux changent encore de couleurs.
-bien sûr que je te fais confiance, sinon je ne t'aurais jamais accepté de venir chez toi pour… dormir!
Alors je l'ai embrassé en prenant ses petites fesses dans mes mains, le collant à moi. Ses mains parcouraient mon corps en caresses douces et chaudes.
J'ai commencé à baisser son boxer et je l'ai poussé sur le lit tombant à la renverse. Je lui ai enlevé le boxer bloquant ses pieds sur mon torse chaud et je regardais en détails mon touriste marocain.
Sourire aux lèvres, il attendait la suite. Son corps était banal, pas de muscles apparents, pas d'abdos dessinés mais un corps lisse avec de tous petits tétons au milieu d'aréoles très foncées. Mes yeux descendent vers la queue. Ce zob immense en longueur remonte au dessus du nombril qu'il cache. On dirait vraiment un obus. Le gland est bien pointu et laisse couler la mouille qui coule sur son côté. Son pubis est bien poilu, j'aime les pubis poilus, j'aime respirer ce poil et dessous de belles couilles bien hautes, qui semblent bien fermes.
Les jambes sont en rapport avec le corps pas très épaisses recouvertes d'un duvet qui arrive aux pieds que je tiens dans mes mains, collés sur mon torse.
Je prends un pied dans mes mains, l'observe méticuleusement sans regarder Fayçal. Il a de longs orteils, le deuxième est le plus long, osseux, les ongles sont bien coupés. Je renifle, ça sent rien si mon parfum avec l'odeur de rebeu.
Je fais un bisou sur les orteils, un par un, les lèche, les avale, les suce. Je lui lèche les pieds, le dessous, le dessus jusqu'au moment où je l'entends gémir.
Je le regarde il a les yeux de fermés et semble savourer.
Alors je continue, les deux pieds y passent.
Puis j'écarte ses jambes, descendant mes lèvres du mollet, cuisses, pour arriver aux couilles que je renifle encore et encore en donnant de petits coups de langue pour en prendre une entre mes lèvres, l'aspirer pour l'avaler et l'entendre pousser un petit cri. J'arrive à prendre la deuxième en bouche, les noie dans ma salive, les faisant rouler l'une sur l'autre. Il gémit, crie en écartant ses jambes et soulevant ses fesses.
Je l'entends souffler. Je lâche les couilles et je fais des bisous sur sa longue et épaisse queue qui repose sur son ventre.
Il rigole et je n'arrête pas mes bisous… faut dire qu'il y a de la longueur à honorer.
Je relève son beau zob d'une main, le redressant. Il est bien droit, bien raide, le méat grand ouvert coule en continue.
Je remplace les baisers par ma langue chaude et humide, ses gémissements reprennent mais quand j'arrive à son gland je n'y touche pas encore, ne m'occupant que de la hampe. Il bouge tel un ver de terre, tortillant son petit cul quand ma bouche arrive près de son gland, il se tord pour que je le prenne en bouche.
Mais c'est d'abord un coup de langue qu'il reçoit, essuyant toute la mouille avant de l'envelopper de mes lèvres et de l'aspirer.
Là il crie Fayçal, son cul se lève pour que sa queue s'enfonce en moi mais c'est moi qui dirige.
Avec mes bras je bloque ses cuisses et je peux sucer, lécher son zob comme j'en ai envie pour l'entendre crier et gémir. Sa main arrive pour me caresser la tête.
J'avale tout ce que je peux de cette belle queue mais je suis loin de réussir l'exploit de tout avaler.
Mais je le pipe, le lèche, l'aspire, serrant ses couilles, les tirant. Il gémit, crie, son gland durcit, sa queue s'allonge, les cris se font de plus en plus rapprochés. Il marmonne et je comprends qu'il dit qu'il va juter au moment au je reçois sa première giclée. La première giclée de mon touriste marocain je l'avais déjà vu à l'œuvre. Les giclées se sont rapidement suivies et coulaient en moi pendant qu'il criait en essayant de bouger dans tous les sens, de s'arrêter, de rire en disant :
-je suis mort pour la deuxième fois aujourd'hui.
Je lèche consciencieusement son beau morceau et ma bouche remonte sur son torse. Il me regarde arriver, la bouche entrouverte attendant le bisou.
Mais je m'attaque à ses minuscules tétons qui pointent. Au premier coup de langue il pousse un long gémissement. Je le regarde étonné, il a l'air aussi étonné que moi alors je continue, j'insiste et les gémissements reprennent de plus en plus forts. J'en prend un entre deux doigts que je martyrise doucement.
Il crie, gémit en ouvrant la bouche toute grande.
Je me jette sur sa bouche et l'embrasse à perdre haleine sentant ses bras me serrer contre lui, ses jambes m'envelopper les reins, me serrant.
-j'ai adoré ton jus monsieur le touriste ! et ton zob est vraiment magnifique, gros et dur, t'es vraiment adorable.
-et toi ? tu n'as pas joui.
-pas encore, mais maintenant tu vas me montrer si tu as bien retenu ma leçon.
-donc tu veux que je te suce.
-si tu veux bien.
-j'ai jamais fait ça Fabrice.
-alors tu peux faire tout ce que tu veux avec ma queue sauf la mordre pour la manger.
Il rigole en m'embrassant, me fait tourner pour venir sur moi.
-je vais faire très attention de ne pas l'abîmer, j'ai déjà aimé lui faire des bisous tout à l'heure.
-oui elle attend la suite tu sais.
J'ai encore eu droit à plein de bisous, avant qu'il ne vienne me lécher les tétons, les pincer, les aspirer, les martyriser.
Il a observé mon torse, mes muscles plus apparents que les siens, les touchant de la main, les caressant.
Il a regardé ma queue prisonnière du boxer, passant sa main dessus, la caressant. Il s'est penché et fait des bisous, la mordant à travers le tissu et me regarder en riant.
Enfin il a viré le boxer, a posé sa joue sur une cuisse et ma queue n'a jamais été tant caressé avant que le gland n'arrive sur ses lèvres. Il s'est amusé avec mon prépuce, passant sa main dans ma toison blonde et s'est mis à me lécher le gland comme une boule de glace qui peinait à fondre et quel coup de langue il avait Fayçal, il y mettait tout son plaisir, il s'appliquait je dirais!
Il s'est décidé à l'avaler, la faisant glisser sur sa langue quand le gland a touché sa luette il a toussé, craché, pleuré dessus et, sans me regarder est reparti à l'attaque me pipant en serrant bien ses lèvres sur ma hampe. Ses doigts tenaient mes couilles et les tripotaient.
Il n'allait pas vite au départ.. prenant son temps comme s'il dégustait mais quand il a pris de la vitesse, ses doigts se refermant sur mes couilles il pipait en aspirant le gland. J'ai senti ma queue durcir et le plaisir monter et arriver en même temps que je lâchais ma première giclée qui a dû bien lui remplir la bouche.
Je ne sais pas s'il en a beaucoup avalé cette première fois mais il en a recraché beaucoup, les yeux larmoyants et il a fini de me vider en me branlant et regardant mon jus sortir avant de bien me lécher la queue.
Il m'a essuyé avec une serviette et est venu dans mes bras.
-désolé tu avais trop de jute et c'est la première fois que je fais ça, mais ça a bon goût quand même dit il avec des yeux coquins.
-tu es doué quand même Fayçal pour un garçon qui fait ça pour la première fois.
-on me l'a fait tellement de fois tu sais.
La machine à bisous est repartie. Il aimait être sur moi pour se frotter. Je caressais ses petites fesses, les malaxant, les pétrissant.
On roulait sur le lit, on s'embrassait.
-je suis bien avec toi Fabrice.
-alors je vais finir de te manger Fayçal.
Avant qu'il ne réagisse, je me lève du lit, le tire par les pieds, le fait retourner pour avoir en ligne de mire ses belles petites fesses.
Ma bouche embrasse ses cuisses, remontant sur ses fesses qui reçoivent mille bisous et plein de caresses. Je l'entends rire.
-jamais on m'a embrassé les fesses dit il en riant.
Je le prends aux hanches et le force à relever son petit cul, que je vois s'ouvrir. Je lui fais bouger les jambes pour ouvrir encore plus mon cadeau et je recommence les bisous sur les fesses, les caresses et ma langue commence à passer dans la raie et, machinalement il redresse ses fesses les ouvrant encore plus. Quand ma langue passe sur son anus fermé il pousse un petit cri. Je n'insiste pas mais je reviens, mettant plein de salive, ouvrant bien les fesses pour que ma langue puisse bien toucher l'anus rond, lisse et l'entendre gémir de plus en plus en s'offrant.
Ma queue palpitait et avait envie d'aller visiter ce petit trou.
Mais y'avait du boulot avant d'arriver là.
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