Fayçal, le marocain amoureux 4/4
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fayçal, le marocain amoureux 4/4
C'est lui qui a voulu me déshabiller me regardant de son sourire coquin. Quand il a vu que je bandais comme un jeune cerf il s'est mis nu et s'est collé à moi, nos queues l'une contre l'autre, me serrant dans ses bras.
J'ai commencé à le laver et j'ai pris un plaisir extrême à caresser ce corps de voir que chaque partie que je touchais, il le tendait à ma main, s'offrait.
Quand je me suis mis à genoux pour nettoyer ses pieds j'avais son gros zob qui frottait contre ma joue auquel je fais de petits bisous ce qui le fait rire. Cuisses caressées, je le retourne pour avoir ses belles petites fesses devant moi. La mousse passée dans la raie, du doigt je touche son anus, aussitôt il tend ses fesses, mais je ne fais que passer dessus, le gratouiller gentiment, rien que pour l'entendre soupirer fortement. Frotter ses fesses avec la mousse, en les massant et les écartant, enlever la mousse et embrasser les fesses, remonter sur le dos, sur le cou, l'envelopper de mes bras, frotter ma queue dans sa raie offerte. L'embrasser dans son cou chaud, cela le chatouillait, il riait et s'est retourné me faisant face.
-à moi dit il les yeux pleins de malices.
Et je me suis abandonné à ses mains douces encore plus douces avec le gel douche. J'ai été enduit des pieds à la tête, frotté énergiquement dans un premier temps puis il est revenu sur chaque parcelle, doucement, des caresses qui me faisaient frissonner. Il s'est mis à genoux dans la douche pour toucher mes pieds, les caresser, les observer, se pencher dessus et les embrasser, me regarder et sourire. Ses mains sont remontées sur mes cuisses, entourant mes couilles, ma queue raide qui laissait voir le gland. Il a joué avec et avec la mousse. Il ne me branlait pas, mais juste de petites caresses qui m'électrisaient surtout que je voyais sa grosse queue raide comme la justice.
Je me suis retourné, il était face à fesses. Je me suis penché légèrement en avant et j'ai senti ses doigts passer dans la raie. Un doigt hésitant toucher l'anus et le gratter mais sans jamais chercher à le pénétrer. Son doigt, j'aurais bien voulu qu'il me fouille.
Les caresses ont continué et l'on s'est retrouvé à s'embrasser sous l'eau qui coulait sur nos corps.
On s'est essuyé mutuellement, je prenais sa queue dans la serviette la serrant pour la sécher.
Il m'a encore embrassé collant son corps au mien.
-je t'aime j'en suis sûr dit Fayçal en me regardant le regard sérieux.
-moi de plus en plus mon bébé dis je en lui caressant la joue.
-alors c'est quoi la leçon nouvelle du soir ? dit Fayçal, regard coquin et vicieux, frottant son sexe contre le mien.
Je le fixe, sérieux.
-tu te souviens de ce que j'ai fait hier soir à ton petit cul ?
-oui dit il tu m'as niqué.
-oui, mais avant.
Il me fixe… sourit.
-tu veux que je te prépare le tien avec ma langue ?
-oui si tu veux bien sûr.
-j'ai jamais fait ça dit il d'un air inquiet et ça va être la…
-première fois… c'est le week-end des premières fois Fayçal.
Il rigole.
-pourquoi je veux bien faire tout ce que tu veux Fabrice ?
-c'est à toi de me le dire Fayçal, mais je crois que ça fait deux fois que tu me le dis déjà..
Il colle sa tête sur ma poitrine en rougissant.
-parce que je t'aime dit il en soupirant.
C'est lui qui m'a emmené dans la chambre s'agenouillant sur le lit, face à moi.
-alors on fait comment ?
Il m'a presque fait rire, devant son air déterminé.
-avant c'est moi qui vais te le manger ton petit cul car je l'ai adoré et j'aime quand tu pousses des petits cris quand ma langue va en toi.
Il était tout rouge mais s'est retourné, m'a présenté ses belles petites fesses, la tête sur le lit, il les a écarté lui-même.
Son anus fermé appelait. J'ai fait des bisous sur ses fesses avant d'attaquer la raie, la lécher, forcer ce petit anus qui avait eu comme visite ma queue et je voyais qu'il poussait maintenant, l'anus bougeait sous ma langue quand la pointe a poussé la salive dedans un long gémissement a été émis.
Je me suis déchaîné sur ce petit cul. Un bouffage le plus profond que je pouvais et la récompense : ses petits cris et gémissements. Il tendait de plus en plus son cul en écartant ses jambes quand j'ai touché ses couilles, attrapant son zob suintant, là il a crié de surprise.
Je l'ai fait mettre sur le dos, les jambes relevées pliées en avant cul bien ouvert que j'ai repris à lécher, à noyer de salive. On pouvait se voir, ses yeux brillaient d'excitation. Son gros zob laissait couler sa mouille qui tombait sur son front.
Le petit trou ouvert je l'ai doigté doucement, l'ouvrant encore plus et, en le fixant j'enfonçais deux doigts dans son petit cul, sa queue coulait de plus en plus.
-branle toi Fayçal.
Il m'a obéi de suite empoignant son zob et l'agitant face à lui. Mes doigts foraient son petit cul et je suis venu lécher ses couilles coincées de chaque côté de sa queue.
Sa main s'activait sur sa queue, il ouvrait la bouche de plus en plus sans vraiment s'en rendre compte, mes doigts fouillaient bien son petit cul chaud.
D'un seul coup il a hurlé et j'ai vu tout son sperme se projeter sur son visage et il en avait du bon jus marocain. Il criait, riait et finissait de se branler les yeux fermés. Son sperme recouvrait une bonne partie du visage. Il s'est mis à se lécher les lèvres, a voulu ouvrir les yeux mais il ne devait rien voir. J'ai nettoyé d'un doigt ses yeux et j'ai continué de forer son petit cul avant de retirer mes doigts, pour qu'il s'allonge et que je vienne lécher son visage en lui donnant de temps en temps ma langue à sucer.
Il m'a pris dans ses bras et m'a embrassé à m'étouffer, avant, tel un asticot se retourner vivement pour venir me sucer me saisissant les couilles, il avale ma queue entièrement se la collant au fond de la bouche et me pipe comme s'il y avait le feu de plus en plus vite, serrant mon gland entre ses lèvres, l'aspirant, suçant si bien que je lui ai donné sa récompense assez rapidement. Tout le temps de mes giclées il a gardé ma queue dans sa bouche et quand elle est ressortie: propre, nette!
Il s'est levé du lit, pour venir se mettre au bout de mes pieds, me les relevant et me coller mes cuisses sur le torse pour que je lui offre mon cul.
Faites vous bouffer le cul par un mec qui n'a jamais fait ça mais qui a senti ce que cela faisait.
Je n'ai eu droit qu'à sa langue, sa salive et, elle est agile sa langue. Il la passait dans ma raie et insistait sur l'anus qui s'ouvrait quand même assez facilement. Il avait déjà eu des visites mais sentir ses lèvres embrasser mon anus, essayer de le manger, me mordre, embrasser mes fesses, les caresser. Il prenait son temps Fayçal et j'aime ça!
Quand enfin j'ai vu ses yeux coquins, c'est qu'il commençait l'exploration avec son doigt me caresser la paroi, s'enfoncer lentement, bouger en moi, là c'est moi qui gémissait sans m'en rendre vraiment compte, accentuant son sourire.
Il m'a mis deux doigts le coquin et m'a doigté en cadence. Il regardait ce qu'il faisait, admirant ses doigts entrer en moi.
Il m'a regardé de ses beaux yeux qui avaient viré au gris.
-branle toi Fabrice.
Et en même temps il me léchait les couilles j'ai obéi en redressant ma queue pour qu'il voit le prépuce jouer sur mon gland. Mon anus serrait ses doigts. Je sentais le plaisir arriver. Il avait avalé une couille et la faisait rouler dans sa salive, moi aussi j'ai hurlé en explosant mes giclées sur mon visage m'en mettant partout et je l'ai entendu rire. En même temps que ses doigts m'abandonnaient qu'il me laissait allonger mes jambes, j'ai senti son souffle sur mon visage et sa langue est entrée en action, me léchant les yeux et ensuite me donnait sa langue il en gardait en me le montrant et l'avalait en souriant.
Puis il s'est allongé sur moi, me tenant la tête pour me faire des bisous.
-t'as encore beaucoup de trucs comme ça à me montrer ? dit il en riant.
-oh tu sais on peut en trouver plein des "trucs comme ça".
-j'avais jamais léché un cul, c'est bizarre la sensation sur la langue la peau est très douce.
Il disait ça les yeux dans le vague comme s'il se remémorait ce qu'il venait de faire.
-et juter avec tes doigts dans mon cul, ça j'aime ça car quand je me branle je jute pas autant tu sais.
Il était devenu intarissable, me racontant ses baises sans vraiment de plaisir, certes il jouissait mais c'était du sexe.
Il venait de faire la différence entre le sexe et le plaisir par le sexe.
-tu sais j'ai un daron, quand j'ai fini de le niquer il veut que je pisse sur lui dans le lit! et après il dort comme ça dans ma pisse, tu te rends compte!
-arrête de penser à ça Fayçal.
-oui je sais, mais quand je vais rentrer, ils vont me rappeler.
-ben t'es pas obligé de le faire.
-oui mais j'aurais plus de fric.
Un silence se fait, il se serre contre moi et je le surprend à pleurer en silence. Je le caresse tendrement, lui faisant des bisous sur la tête, attendant que cela passe.
-je ne sais plus comment faire dit il.
-mais seulement comme t'en as envie. Tu sais des mecs qui font ça pour avoir du fric, je ne les juge pas, s'il n'y avait pas de demandes il n'y aurait pas de personnes qui le font alors tu feras comme tu veux. T'es pas obligé d'accepter de faire du crado comme ça.
-je sais Fabrice et tu vois avec toi ça me viendrait même pas à l'idée. Tu m'as fait faire tout ce que tu voulais mais tu en as parlé avant. Une fois j'ai eu un client que j'avais niqué et, par surprise il s'est jeté sur moi pour me niquer à son tour, mais je ne voulais pas alors on s'est battu et ça a failli mal tourner car il avait sorti un couteau. J'ai réussi à me sauver mais j'ai eu la trouille de ma vie tu sais!
On est resté un long moment dans le silence, il bougeait sa jambe sur mon corps, me caressait.
-je t'aime Fabrice.
-je crois bien que moi aussi Fayçal.
Il s'est endormi en 10 secondes.
Il avait encore trois semaines à passer en France. Il a bien dormi plus de la moitié du temps avec moi.
Ah on en fait des galipettes, on en a avalé du bon jus. Il donne son cul comme un chef et n'a jamais voulu prendre le mien (ouf!). J'ai juste eu droit à son gland à l'entrée pour qu'il me jouisse dessus, quel moment encore!
On a refait des visites, tous les deux, en forêt. On s'est aimé sur la mousse au soleil.
Avec ses cousins ils sont venus manger chez mes parents le fameux poulet frites de ma mère que Mehdi adore tant.
Mehdi venait souvent nous voir cherchant à s'incruster. Je le connais mon voyou, cela ne l'aurait pas gêné de niquer son cousin mais Fayçal n'était pas prêt à ça. Déjà quand Mehdi lui faisait des bisous fallait voir la tête qu'il faisait!
Même Malik est venu pour que je connaisse sa nouvelle copine et Fayçal avait les yeux qui sortaient de la tête devant la minette que Malek avait amené. Je ne sais pas où il va les chercher ce coquin, mais il a toujours eu de très belles nanas et ça continue encore et il aime venir me les présenter.
-tu crois qu'ils couchent ensemble a demandé Fayçal les yeux ronds.
-oh connaissant Malik, je te dis oui tout de suite! c'est un coquin gentil, Malik, un baratineur, un amour avec tout le monde.
-t'en parles bizarrement de Malik.
-parce que je l'aime beaucoup. Tu sais il est jeune et tout petit il venait s'asseoir sur mes genoux et me racontait déjà tout ce qu'il faisait alors même en grandissant il continue.
-il s'assoit encore sur tes genoux ?
-parce que tu crois que ça le gêne! dis je en riant.
-il sait que tu aimes les garçons ? et que Mehdi aussi ?
-ça oui! car quand il s'en est douté ben il nous l'a demandé!
Fayçal rigole.
-je ne voyais pas mon cousin comme ça dit il rêveur, en plus il est très beau et les filles doivent lui courir après.
Plus la date de départ arrivait, plus Fayçal devenait agressif. J'avais un mal fou à le calmer. Il pleurait souvent en se demandant ce qu'il allait faire à Casablanca si je n'étais pas là.
On baisait de plus en plus hard. Il voulait que je le nique "comme une salope" disait il cela m'horripilait de l'entendre parler comme ça, de faire sa mauvaise tête. Si bien que deux jours avant son départ au lit, il était odieux et je l'ai bloqué sous mon bras et je lui ai mis une fessée comme on mettait à un gosse qui ne fait que des bêtises. Il a hurlé, ses belles petites fesses étaient rouges vifs.
Quand il s'est mis à pleurer, j'ai arrêté pour lui caresser et venir les embrasser et lui bouffer le cul lui ouvrir l'anus de deux doigts, le forer avec force avant de l'enculer lentement, regardant ma queue entrer en lui et il s'offrait.
Je lui ai fait l'amour comme si cela devait être la dernière fois.
On a joui comme des malades en hurlant.
On s'est embrassé comme des amoureux que l'on était.
Il s'est excusé d'être odieux, que j'avais bien fait de lui donner la fessée qu'il le méritait et ça m'a excité dit ce coquin de Fayçal.
-c'est maintenant que tu dis ça si j'avais su je te l'aurais fait avant!
-je préfère tes caresses et tes bisous quand même!
Il est parti avec sa famille. Je n'étais pas là ce matin là.
Je me suis senti seul d'un coup, de ne plus le retrouver le soir, de ne plus sentir son odeur, ses bisous, ses caresses. Le lit était vide.
Par une célèbre messagerie on s'est parlé tous les jours. On se regardait en vidéo, on se branlait ensemble et tout le temps il me demandait quand je viendrais le voir.
J'ai hésité longtemps et c'est Mehdi qui m'a décidé.
-il te manque tant que ça le cousin ?
J'ai pas répondu.
-on peut aller en vacances chez ma tante cet été tous les deux!
-ça va avancer à quoi? lui à Casablanca et moi ici. Les branlettes par cam tu sais très bien que j'aime pas ça.
-eh mec! arrête de faire ton bougon, tes vacances comme les miennes sont en septembre alors d'ici là tu te seras peut être décidé! en attendant si tu cherches du marocain ben j'suis là! dit il en riant.
-pfft tu parles un marocain né en Sologne!
Il se jette sur moi, on roule sur le divan.
-dis donc espèce de voyou de français solognot, t'as pas tout le temps dit ça. Tu veux que je te rappelles tout ce que l'on a fait ensemble ? monsieur a la mémoire courte.
Je rigole en le voyant au dessus de moi, me tenant par mon tee-shirt sous le menton, comme s'il allait me frapper.
-c'est vrai qu'il y a longtemps que tu m'as pas fait un bisou, un vrai bisou espèce de faux marocain.
-j'en aurais entendu avec toi!
-à moins que tu sois devenu fidèle à ton copain Pascal.
-pfft moi! fidèle ? et il éclate de rire, se lève, me tire par la main m'emmène vers la chambre.
-viens je voudrais voir si le cousin ne t'a pas trop perverti quand même!
Bah on est pas mal dans les bras de Mehdi, même si c'est pas un vrai marocain de souche.
Je ne suis jamais allé à Casablanca…
J'ai commencé à le laver et j'ai pris un plaisir extrême à caresser ce corps de voir que chaque partie que je touchais, il le tendait à ma main, s'offrait.
Quand je me suis mis à genoux pour nettoyer ses pieds j'avais son gros zob qui frottait contre ma joue auquel je fais de petits bisous ce qui le fait rire. Cuisses caressées, je le retourne pour avoir ses belles petites fesses devant moi. La mousse passée dans la raie, du doigt je touche son anus, aussitôt il tend ses fesses, mais je ne fais que passer dessus, le gratouiller gentiment, rien que pour l'entendre soupirer fortement. Frotter ses fesses avec la mousse, en les massant et les écartant, enlever la mousse et embrasser les fesses, remonter sur le dos, sur le cou, l'envelopper de mes bras, frotter ma queue dans sa raie offerte. L'embrasser dans son cou chaud, cela le chatouillait, il riait et s'est retourné me faisant face.
-à moi dit il les yeux pleins de malices.
Et je me suis abandonné à ses mains douces encore plus douces avec le gel douche. J'ai été enduit des pieds à la tête, frotté énergiquement dans un premier temps puis il est revenu sur chaque parcelle, doucement, des caresses qui me faisaient frissonner. Il s'est mis à genoux dans la douche pour toucher mes pieds, les caresser, les observer, se pencher dessus et les embrasser, me regarder et sourire. Ses mains sont remontées sur mes cuisses, entourant mes couilles, ma queue raide qui laissait voir le gland. Il a joué avec et avec la mousse. Il ne me branlait pas, mais juste de petites caresses qui m'électrisaient surtout que je voyais sa grosse queue raide comme la justice.
Je me suis retourné, il était face à fesses. Je me suis penché légèrement en avant et j'ai senti ses doigts passer dans la raie. Un doigt hésitant toucher l'anus et le gratter mais sans jamais chercher à le pénétrer. Son doigt, j'aurais bien voulu qu'il me fouille.
Les caresses ont continué et l'on s'est retrouvé à s'embrasser sous l'eau qui coulait sur nos corps.
On s'est essuyé mutuellement, je prenais sa queue dans la serviette la serrant pour la sécher.
Il m'a encore embrassé collant son corps au mien.
-je t'aime j'en suis sûr dit Fayçal en me regardant le regard sérieux.
-moi de plus en plus mon bébé dis je en lui caressant la joue.
-alors c'est quoi la leçon nouvelle du soir ? dit Fayçal, regard coquin et vicieux, frottant son sexe contre le mien.
Je le fixe, sérieux.
-tu te souviens de ce que j'ai fait hier soir à ton petit cul ?
-oui dit il tu m'as niqué.
-oui, mais avant.
Il me fixe… sourit.
-tu veux que je te prépare le tien avec ma langue ?
-oui si tu veux bien sûr.
-j'ai jamais fait ça dit il d'un air inquiet et ça va être la…
-première fois… c'est le week-end des premières fois Fayçal.
Il rigole.
-pourquoi je veux bien faire tout ce que tu veux Fabrice ?
-c'est à toi de me le dire Fayçal, mais je crois que ça fait deux fois que tu me le dis déjà..
Il colle sa tête sur ma poitrine en rougissant.
-parce que je t'aime dit il en soupirant.
C'est lui qui m'a emmené dans la chambre s'agenouillant sur le lit, face à moi.
-alors on fait comment ?
Il m'a presque fait rire, devant son air déterminé.
-avant c'est moi qui vais te le manger ton petit cul car je l'ai adoré et j'aime quand tu pousses des petits cris quand ma langue va en toi.
Il était tout rouge mais s'est retourné, m'a présenté ses belles petites fesses, la tête sur le lit, il les a écarté lui-même.
Son anus fermé appelait. J'ai fait des bisous sur ses fesses avant d'attaquer la raie, la lécher, forcer ce petit anus qui avait eu comme visite ma queue et je voyais qu'il poussait maintenant, l'anus bougeait sous ma langue quand la pointe a poussé la salive dedans un long gémissement a été émis.
Je me suis déchaîné sur ce petit cul. Un bouffage le plus profond que je pouvais et la récompense : ses petits cris et gémissements. Il tendait de plus en plus son cul en écartant ses jambes quand j'ai touché ses couilles, attrapant son zob suintant, là il a crié de surprise.
Je l'ai fait mettre sur le dos, les jambes relevées pliées en avant cul bien ouvert que j'ai repris à lécher, à noyer de salive. On pouvait se voir, ses yeux brillaient d'excitation. Son gros zob laissait couler sa mouille qui tombait sur son front.
Le petit trou ouvert je l'ai doigté doucement, l'ouvrant encore plus et, en le fixant j'enfonçais deux doigts dans son petit cul, sa queue coulait de plus en plus.
-branle toi Fayçal.
Il m'a obéi de suite empoignant son zob et l'agitant face à lui. Mes doigts foraient son petit cul et je suis venu lécher ses couilles coincées de chaque côté de sa queue.
Sa main s'activait sur sa queue, il ouvrait la bouche de plus en plus sans vraiment s'en rendre compte, mes doigts fouillaient bien son petit cul chaud.
D'un seul coup il a hurlé et j'ai vu tout son sperme se projeter sur son visage et il en avait du bon jus marocain. Il criait, riait et finissait de se branler les yeux fermés. Son sperme recouvrait une bonne partie du visage. Il s'est mis à se lécher les lèvres, a voulu ouvrir les yeux mais il ne devait rien voir. J'ai nettoyé d'un doigt ses yeux et j'ai continué de forer son petit cul avant de retirer mes doigts, pour qu'il s'allonge et que je vienne lécher son visage en lui donnant de temps en temps ma langue à sucer.
Il m'a pris dans ses bras et m'a embrassé à m'étouffer, avant, tel un asticot se retourner vivement pour venir me sucer me saisissant les couilles, il avale ma queue entièrement se la collant au fond de la bouche et me pipe comme s'il y avait le feu de plus en plus vite, serrant mon gland entre ses lèvres, l'aspirant, suçant si bien que je lui ai donné sa récompense assez rapidement. Tout le temps de mes giclées il a gardé ma queue dans sa bouche et quand elle est ressortie: propre, nette!
Il s'est levé du lit, pour venir se mettre au bout de mes pieds, me les relevant et me coller mes cuisses sur le torse pour que je lui offre mon cul.
Faites vous bouffer le cul par un mec qui n'a jamais fait ça mais qui a senti ce que cela faisait.
Je n'ai eu droit qu'à sa langue, sa salive et, elle est agile sa langue. Il la passait dans ma raie et insistait sur l'anus qui s'ouvrait quand même assez facilement. Il avait déjà eu des visites mais sentir ses lèvres embrasser mon anus, essayer de le manger, me mordre, embrasser mes fesses, les caresser. Il prenait son temps Fayçal et j'aime ça!
Quand enfin j'ai vu ses yeux coquins, c'est qu'il commençait l'exploration avec son doigt me caresser la paroi, s'enfoncer lentement, bouger en moi, là c'est moi qui gémissait sans m'en rendre vraiment compte, accentuant son sourire.
Il m'a mis deux doigts le coquin et m'a doigté en cadence. Il regardait ce qu'il faisait, admirant ses doigts entrer en moi.
Il m'a regardé de ses beaux yeux qui avaient viré au gris.
-branle toi Fabrice.
Et en même temps il me léchait les couilles j'ai obéi en redressant ma queue pour qu'il voit le prépuce jouer sur mon gland. Mon anus serrait ses doigts. Je sentais le plaisir arriver. Il avait avalé une couille et la faisait rouler dans sa salive, moi aussi j'ai hurlé en explosant mes giclées sur mon visage m'en mettant partout et je l'ai entendu rire. En même temps que ses doigts m'abandonnaient qu'il me laissait allonger mes jambes, j'ai senti son souffle sur mon visage et sa langue est entrée en action, me léchant les yeux et ensuite me donnait sa langue il en gardait en me le montrant et l'avalait en souriant.
Puis il s'est allongé sur moi, me tenant la tête pour me faire des bisous.
-t'as encore beaucoup de trucs comme ça à me montrer ? dit il en riant.
-oh tu sais on peut en trouver plein des "trucs comme ça".
-j'avais jamais léché un cul, c'est bizarre la sensation sur la langue la peau est très douce.
Il disait ça les yeux dans le vague comme s'il se remémorait ce qu'il venait de faire.
-et juter avec tes doigts dans mon cul, ça j'aime ça car quand je me branle je jute pas autant tu sais.
Il était devenu intarissable, me racontant ses baises sans vraiment de plaisir, certes il jouissait mais c'était du sexe.
Il venait de faire la différence entre le sexe et le plaisir par le sexe.
-tu sais j'ai un daron, quand j'ai fini de le niquer il veut que je pisse sur lui dans le lit! et après il dort comme ça dans ma pisse, tu te rends compte!
-arrête de penser à ça Fayçal.
-oui je sais, mais quand je vais rentrer, ils vont me rappeler.
-ben t'es pas obligé de le faire.
-oui mais j'aurais plus de fric.
Un silence se fait, il se serre contre moi et je le surprend à pleurer en silence. Je le caresse tendrement, lui faisant des bisous sur la tête, attendant que cela passe.
-je ne sais plus comment faire dit il.
-mais seulement comme t'en as envie. Tu sais des mecs qui font ça pour avoir du fric, je ne les juge pas, s'il n'y avait pas de demandes il n'y aurait pas de personnes qui le font alors tu feras comme tu veux. T'es pas obligé d'accepter de faire du crado comme ça.
-je sais Fabrice et tu vois avec toi ça me viendrait même pas à l'idée. Tu m'as fait faire tout ce que tu voulais mais tu en as parlé avant. Une fois j'ai eu un client que j'avais niqué et, par surprise il s'est jeté sur moi pour me niquer à son tour, mais je ne voulais pas alors on s'est battu et ça a failli mal tourner car il avait sorti un couteau. J'ai réussi à me sauver mais j'ai eu la trouille de ma vie tu sais!
On est resté un long moment dans le silence, il bougeait sa jambe sur mon corps, me caressait.
-je t'aime Fabrice.
-je crois bien que moi aussi Fayçal.
Il s'est endormi en 10 secondes.
Il avait encore trois semaines à passer en France. Il a bien dormi plus de la moitié du temps avec moi.
Ah on en fait des galipettes, on en a avalé du bon jus. Il donne son cul comme un chef et n'a jamais voulu prendre le mien (ouf!). J'ai juste eu droit à son gland à l'entrée pour qu'il me jouisse dessus, quel moment encore!
On a refait des visites, tous les deux, en forêt. On s'est aimé sur la mousse au soleil.
Avec ses cousins ils sont venus manger chez mes parents le fameux poulet frites de ma mère que Mehdi adore tant.
Mehdi venait souvent nous voir cherchant à s'incruster. Je le connais mon voyou, cela ne l'aurait pas gêné de niquer son cousin mais Fayçal n'était pas prêt à ça. Déjà quand Mehdi lui faisait des bisous fallait voir la tête qu'il faisait!
Même Malik est venu pour que je connaisse sa nouvelle copine et Fayçal avait les yeux qui sortaient de la tête devant la minette que Malek avait amené. Je ne sais pas où il va les chercher ce coquin, mais il a toujours eu de très belles nanas et ça continue encore et il aime venir me les présenter.
-tu crois qu'ils couchent ensemble a demandé Fayçal les yeux ronds.
-oh connaissant Malik, je te dis oui tout de suite! c'est un coquin gentil, Malik, un baratineur, un amour avec tout le monde.
-t'en parles bizarrement de Malik.
-parce que je l'aime beaucoup. Tu sais il est jeune et tout petit il venait s'asseoir sur mes genoux et me racontait déjà tout ce qu'il faisait alors même en grandissant il continue.
-il s'assoit encore sur tes genoux ?
-parce que tu crois que ça le gêne! dis je en riant.
-il sait que tu aimes les garçons ? et que Mehdi aussi ?
-ça oui! car quand il s'en est douté ben il nous l'a demandé!
Fayçal rigole.
-je ne voyais pas mon cousin comme ça dit il rêveur, en plus il est très beau et les filles doivent lui courir après.
Plus la date de départ arrivait, plus Fayçal devenait agressif. J'avais un mal fou à le calmer. Il pleurait souvent en se demandant ce qu'il allait faire à Casablanca si je n'étais pas là.
On baisait de plus en plus hard. Il voulait que je le nique "comme une salope" disait il cela m'horripilait de l'entendre parler comme ça, de faire sa mauvaise tête. Si bien que deux jours avant son départ au lit, il était odieux et je l'ai bloqué sous mon bras et je lui ai mis une fessée comme on mettait à un gosse qui ne fait que des bêtises. Il a hurlé, ses belles petites fesses étaient rouges vifs.
Quand il s'est mis à pleurer, j'ai arrêté pour lui caresser et venir les embrasser et lui bouffer le cul lui ouvrir l'anus de deux doigts, le forer avec force avant de l'enculer lentement, regardant ma queue entrer en lui et il s'offrait.
Je lui ai fait l'amour comme si cela devait être la dernière fois.
On a joui comme des malades en hurlant.
On s'est embrassé comme des amoureux que l'on était.
Il s'est excusé d'être odieux, que j'avais bien fait de lui donner la fessée qu'il le méritait et ça m'a excité dit ce coquin de Fayçal.
-c'est maintenant que tu dis ça si j'avais su je te l'aurais fait avant!
-je préfère tes caresses et tes bisous quand même!
Il est parti avec sa famille. Je n'étais pas là ce matin là.
Je me suis senti seul d'un coup, de ne plus le retrouver le soir, de ne plus sentir son odeur, ses bisous, ses caresses. Le lit était vide.
Par une célèbre messagerie on s'est parlé tous les jours. On se regardait en vidéo, on se branlait ensemble et tout le temps il me demandait quand je viendrais le voir.
J'ai hésité longtemps et c'est Mehdi qui m'a décidé.
-il te manque tant que ça le cousin ?
J'ai pas répondu.
-on peut aller en vacances chez ma tante cet été tous les deux!
-ça va avancer à quoi? lui à Casablanca et moi ici. Les branlettes par cam tu sais très bien que j'aime pas ça.
-eh mec! arrête de faire ton bougon, tes vacances comme les miennes sont en septembre alors d'ici là tu te seras peut être décidé! en attendant si tu cherches du marocain ben j'suis là! dit il en riant.
-pfft tu parles un marocain né en Sologne!
Il se jette sur moi, on roule sur le divan.
-dis donc espèce de voyou de français solognot, t'as pas tout le temps dit ça. Tu veux que je te rappelles tout ce que l'on a fait ensemble ? monsieur a la mémoire courte.
Je rigole en le voyant au dessus de moi, me tenant par mon tee-shirt sous le menton, comme s'il allait me frapper.
-c'est vrai qu'il y a longtemps que tu m'as pas fait un bisou, un vrai bisou espèce de faux marocain.
-j'en aurais entendu avec toi!
-à moins que tu sois devenu fidèle à ton copain Pascal.
-pfft moi! fidèle ? et il éclate de rire, se lève, me tire par la main m'emmène vers la chambre.
-viens je voudrais voir si le cousin ne t'a pas trop perverti quand même!
Bah on est pas mal dans les bras de Mehdi, même si c'est pas un vrai marocain de souche.
Je ne suis jamais allé à Casablanca…
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