Féérie de Noël pour Jenna : Texte à 4 mains (2/2)
Récit érotique écrit par Piewy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Féérie de Noël pour Jenna : Texte à 4 mains (2/2)
Texte écrit à quatre mains avec l'auteure Jennashoes
Jenna :
J'ai hésité à rester en contact avec toi. Ma conscience jouant des tours. Mon corps veut te revoir mais ma tête dit non. Qui va gagner? Il faut que je sois discrète.
J'accepte enfin de te revoir lors de mon prochain passage. Nous nous donnons rendez-vous donc pour voir les décorations de Noël. Cela me détend toujours.
Je mets une robe assez chaude mais séduisante. Elle est en fait comme un pull long qui arrive au-dessus des genoux. J'ai une paire de bottes façon daim montant au-dessus des genoux avec des talons de 4cm. Parfait pour marcher dehors en hiver. Je porte une veste en cuir et des gants assortis bien sûr.
Pierre :
Je suis fébrile de te revoir et plein d’appréhensions ne sachant ni l'un ni l'autre comment nous allons gérer cette deuxième rencontre.
Je viens te prendre avec ma voiture et je nous emmène au parking au centre-ville pour te faire découvrir dès la sortie de celui-ci une des attractions en cette période :le sapin de plus de 30m sur une des grandes place de la ville. Mais avant de sortir de la voiture je t’admire et te trouve toujours aussi sublime et attirante.
Je te fais un petit bisou et je respire ton parfum. Un délice
Viens maintenant à la découverte..
Jenna :
Être proche de toi me rappelle la soirée torride que nous avons passé ensemble. J'essaie de me rappeler que je ne dois pas recommencer. Mais si telle est mon intention, pourquoi me suis-je vêtue ainsi ? Vraiment, Jenna, tu n'as pas porté tes cuissardes depuis des années.
Même si ce sont des cuissardes de grande marque et pas du style salace, cela reste quand même un signe de ma volonté d'être sexy.
Nous marchons dans la rue. Je te tiens par le bras, proche de toi, sentant ton corps dur. Ma tenue bien que partiellement cachée par le manteau attire des regards. Des regards qui disent "elle est en manque "
Pierre :
Je te regarde et vois tes yeux et ton visage briller de mille feux comme les décorations de la ville qui scintillent. Est-ce la décoration de la ville ou le fait d'être de nouveau tous les deux ? J'ose espérer les deux.
On passe devant la cathédrale illuminée avec les chalets. Je nous prends la spécialité de moment pour nous réchauffer : Un vin chaud. Nous le dégustons en nous regardant les yeux dans les yeux. Je t'entoure de mes bras et je pose mes lèvres sur les tiennes. Je te goûte en douceur et j'oublie le lieu où nous sommes. La magie de ce baiser me fait tout oublier.
Quand enfin nous interrompons ce baiser, je te murmure : "J'ai envie de toi, de sentir la chaleur de ton corps contre le mien"
Jenna :
Je rougis. Je sais que je ne suis pas venu pour de la romance mais pour des sensations fortes, pour me rassurer que mon apparence excite encore un homme. Je ne me suis pas habillée ainsi juste pour avoir les jambes au chaud. Mais je ne veux pas paraître trop facile non plus. Je te dis "marchons encore un peu" je pars devant pour voir un étalage mais sachant que tu regardes. Mes longues jambes accentuées par mes bottes trottent en avant. Je sens ton désir Tu me rejoins et poses ta main sur mes fesses. "Viens" dis-tu. Surprise, je te suis. Nous sommes à deux pas de l'appartement de ton ami. Tu avais tout prévu
Pierre :
Main dans la main je t’entraîne vers la garçonnière de mon ami. À l’entrée de l’immeuble je tape le code pour ouvrir la porte et t’emmène dans l’ascenseur. Pendant la montée je me colle à toi pour te murmurer :es-tu prête pour une nuit pleine de folies ?
La porte de l’ascenseur s’ouvre et je vais à la porte de l’appartement que j’ouvre. L’appartement est dans la pénombre, je te débarrasse de ta veste et t’emmène dans le salon. Tu découvres le salon avec une table dressée où trône un chandelier et deux flûtes de champagne d’où montent les fines bulles. La porte fenêtre nous offre le spectacle de la ville illuminée. Tu y vas pour admirer le spectacle, je te rejoins et te tends ton verre. Nous dégustons nos premières gorgées les yeux dans les yeux.
Mon complice a bien préparé notre soirée et notre nuit à venir.
________________________________________
Jenna :
Je reste un peu froide. Pas pour t'énerver mais pour ne pas paraître trop pressée, trop facile. Je te tourne le dos et te demande de me dire quels sont les points importants de la vue. Tu es colle à moi, ton bassin contre le mien. Tu caresses mes hanches. Je ne te repousse pas. Tu passes une main sous ma robe. Remontant le long de ma jambe tu sens le bas autorisant bien haut sur la cuisse. Puis tu découvres le tanga de dentelle qui couvre à peine mon intimité. Je ne dis rien mais te laisse me peloter sur ce balcon. Je pousse mon bassin en arrière pour te montrer que j'aime
Pierre :
Je sens que tu as envie de jouer et de prendre ton temps, de faire une lente progression vers cette union des sens que nous appelons tous les deux. Alors je glisse mes doigts sous ton tanga non pas pour venir te caresser, mais pour le faire glisse le long de tes jambes et te l'ôter. Tu poses tes mains sur le balcon puis tu lèves une botte après l'autre pour que je puisse te l'enlever.
Je le prends et sens l'odeur ton de ton intimité, de ton désir.
-Je le remplacerai après par ma bouche. Mais un attendant, viens déguster quelques spécialités de l'Alsace.
Je t'emmène à l'intérieur et te propose une chaise pour prendre place à la table. J'enfourne la deuxième partie du repas, puis je viens avec l'entrée :
- Tranche de foie gras avec sa gelée et pain d'épices accompagné d'un Gewürztraminer vieille vigne.
Nous bavardons de tout et de rien, mais nos regards et nos pieds qui se frôlent en disent bien plus. L'ambiance devient plus chaude après notre balade dans la fraicheur de la soirée.
Jenna :
L'ambiance plus chaude et le vin assez fort m'entendent joueuse. Je te laisse me toucher, me faire du pied pour un moment puis recule. Le jeu continue ainsi. Je n'aime pas être sans culotte mais je te laisse ce trophée pour l'instant. Je me lève et tu vois la lueur de début d'ivresse dans mes yeux. Je viens m'assoir sur tes genoux pour que tu me donnes ces encas avec les doigts. Assise ainsi je te laisse sentir ma poitrine au travers de la robe. Mes longues bottes mettent mes longues jambes croisées en évidence.
Pierre :
Une fois l'entrée finie, je pose une main sur ta cuisse gainée de bas et remonte pour arriver sous ta robe à la lisière du bas et de ta peau ; là où ta cuisse est aussi douce que la soie qui la recouvre.
Mon autre main, passe sous ton bras et se pose sur ton cœur ou plutôt sur ton sein que je caresse sans y paraitre tout en continuant de discuter de notre balade comme deux amis qui ne se sont pas vu depuis longtemps. Mais nos regards en disent bien plus et la sensation que m'envoie ma main sur ta cuisse et maintenant ma main sur ton sein où je sens les dessins de ton soutien-gorge mais aussi et surtout a pointe de ton sein se durcir sous la caresse de mes doigts. Une bosse se forme dans mon pantalon contre ta cuisse, ce que tu ne manques pas de remarquer et par de subtils mouvements de tes fesses et cuisses tu me caresses et ne fait qu'augmenter mon excitation.
Heureusement (ou malheureusement), la sonnerie du four annonce la suite du festin. Tu te lèves : "Je te laisse préparer la suite, je peux juste me rafraichir un peu ?"
Je t'indique où se trouve la salle de bain et vais à la cuisine chercher le vin et sortir du four la deuxième partie du repas.
Je nous verse un verre de Riesling et pose sur la table la douzaine d'escargots. Je t'invite à venir reprendre la place que tu viens de quitter sur mes genoux mais en passant la main dans ton dos, je remarque l'absence de ton soutien-gorge : "rafraichissement et allègement, on dirait ?"
Tu me réponds d'un sourire espiègle : "Oui il fait chaud ici" et tu t'assoies sur le haut de mes cuisses : "ET je crois que tu vas aussi avoir chaud" en glissant ta main sur mon sexe qui reprend de la vigueur.
"Mais ne laissons pas refroidir tes escargots, fais-moi goûter !"
Je me résigne à ne pas encore te déguster et te fait déguster le plat qui nous attend.
Jenna :
Je me frotte contre toi que ce soit avec mes jambes ou avec mon buste. Ma poitrine est clairement libre sous ma robe. Bien que celle-ci soit un peu épaisse, mes tétons pointent au travers. J'essaie de ne pas faire tomber de nourriture sur ma robe, coquette que je suis. Nous mangeons lentement et buvons. Tu vois que je commence à être éméchée.
Je te laisse passer ta main sous ma robe. Tu remontes au-dessus de mes bas puis trouve mon entre jambes. Joueuse, je ne te laisse pas accéder de suite mais après un moment je te laisse me toucher. Tu caresses ma vulve et joue avec mes lèvres. Je continue de manger comme si de rien n'était.
Tu rentres un doigt dans ma chatte humide mais serrée puis un deuxième. Je reste impassible, avec difficultés. En restant presque impassible, je passe main sur ton sexe bien raide. Je te caresse comme par habitude. . J'ouvre ta braguette et sort ton sexe que je branle lentement. Nous sommes tous les deux excités à fond. Restant encore comme si cela n'était pas le cas, je me lève un peu et met une jambe de chaque côté des tiennes. Je rajusté ma robe pour couvrir ton sexe. Prenant appuis sur les talons de mes bottes, je me relève. Dos à toi, je redescend lentement sur ton sexe. Je grogne et me retiens a la table " mon dieu oohh. Oohhhhhh. Ohhhhh trop gros" ma chatte prend du temps à s'ouvrir pour que je m’empale sur toi. Ma robe cachant cette pénétration, je reste de marbre une fois empalée. "Tu me sers un autre verre s'il te plaît"
Pierre :
Ouaaaahhhh, quelle sensation merveilleuse, sentir tes lèvres humides de cyprine s'ouvrir pour laisser mon gland te pénétrer. J'avoue tu m'as surpris mais j'attendais ce moment aussi depuis que l'on s'est quitté la dernière fois. Je savoure ta lente descente sur mon sexe... Et puis ta demande de te resservir à boire comme si de rien n'était. Une vraie femme BCBG dans toute sa splendeur qui cache une salope (dans le bon sens du terme) sous sa robe.
Comment refuser... Je me penche du côté droit pour saisir la bouteille mais elle est trop loin sur la table alors pour l'atteindre et garder l'équilibre je me retiens à toi en posant ma main gauche sur ton sein gauche et j'en profite pour pincer un peu ton téton qui se dresse à travers ta robe. Je passe la tête sous ton bras pour que ma main puisse atteindre la bouteille.
Mais avant de la saisir, c'est mes lèvres, qui attirées comme un aimant par ton autre sein, qui se pose sur l'autre pointe qui est à ma portée et avec mes dents je le mordille.
Tu me gratifies aussitôt d'une petite claque sur la joue : "Un peu de sérieux, le moment n'est pas au libertinage ! Nous sommes en train de manger" et en même temps tu joues des parois de ton vagin pour comprimer mon membre qui est en toi.
Jouant le jeu, je prends la bouteille et remplis ton verre. Je m'en empare pour le porter à tes lèvres.
-Bois ma belle tentatrice, je viendrais étancher ma soif à tes lèvres ensuite
Tu bois une partie du verre puis tu te penches pour venir m'embrasser et partager le vin que tu avais gardé en bouche. Après ce doux baiser au vin blanc, tu te redresses et avec un sourire espiègle tu me dis : "C'est bien à ces lèvres que tu voulais boire ?"
Je ne réponds pas, que répondre d'ailleurs. Je pose ton verre et mes mains s'emparent du bas de ta robe pour la remonter et découvrir tes seins. Je m'en empare avec mes mains en me redressant, j'approche ma bouche de ton oreille :
-Alors comme ça tu veux me mettre au supplice ?
Et je te mordille le lobe tout en écartant tes jambes avec mes genoux, voilà ton sexe offert à mes caresses
-Je vais me venger
Je descends une main sur ton haut de ton sexe pour décalotter ton clito
-A moi, maintenant
Et je fais rouler ton clito entre deux doigts tout comme la pointe de ton sein que je tiens dans l'autre main
Jenna :
Le haut de ma robe est facilement défait et tombe autour de ma taille. Je fais des petits mouvements de haut en bas sur ton sexe pour rester bien en place. Tes doigts me font réagir de suite. Mes seins ballotent alors que je tremble et remis. Tu me caresse le clito d'une main et me pince le téton de l'autre. Je ronronne de plaisir. Mes mouvements de haut en bas augmentent. Puis ayant trop chaud je retire ma robe par le haut. Tu vois mon porte jarretelles qui retient mes bas en haut sur les cuisses. Prenant appui sur mes talons de bottes je pompe sur ta grosse queue "oh mon dieu si profond. Hhhhhaaaaaaa. Ooohhhhh"
Pierre :
T'avoir nue contre moi a déjà augmenter mon excitation mais en commençant tes amples mouvements sur ma bite, elle gonfle encore un peu plus.
-doucement sinon tu vas me faire jouir
Tu tournes la tête vers moi :
-J'y compte bien que tu me remplisses de ton foutre
-Tournes toi alors que je puisse te manger tes seins en même temps
A peine ai-je le temps de finir ma phrase que tu te lèves, baisses mon pantalon sur mes chevilles. Tu saisies mon braquemar en te mettant sur moi et en me regardant dans droits dans les yeux, tu me dis:
-Et maintenant, tu vas me défoncer !
Et tu t'empales sur mon sexe d'un mouvement sec, en prenant appuis avec tes mains sur le dossier de la chaise, à chaque descente tes fesses claquent contre mes cuisses. Prenant tes fesses dans mes mains j'augmente encore la puissance de ce va et vient.
Pris d'une frénésie presque bestiale, nos yeux ne se quittent plus et le bruit de nos sexes qui s'entrechoquent est de plus en plus fort à fur et à mesure de la monter de notre jouissance respective, Je sens ta cyprine couler sur mon bas-ventre.
-Je vais te faire crier de plaisir et te remplir ton con
-Oh oui, fais-moi jouir, inonde-moi de ton foutre
Et tu enserres encore plus mon sexe dans le tien pour mieux me pomper, je ne vais plus pouvoir me retenir, je sens ma sève monter le long de ma bite
-Tu vas me faire juter, je vais te remplir
Je me retiens au maximum et force encore la puissance et la vitesse de mon sexe qui s'enfonce en toi.
Jenna :
Le jeu m’a excité et j'ai envie de toi en moi. L'alcool me fait oublier que tu n'as pas de préservatif.
A ta demande je me tourne. Cela aide à me donner du plaisir. Il faut que la tension sexuelle explose. Je rebondis sur ton gros membre. Je me mordille la lèvre comme une gamine qui est surprise. Tu rentres si profond. Mes seins bondissent et tu te fais un plaisir à les masser, les pincer, les mordiller. Tu vois que je suis comme concentrée. Mes yeux mi fermés, la bouche ouverte en un petit o, ma respiration saccadée. Mes talons de bottes grincent sur le sol " oh mon dieu" sont les seuls mots que je peux dire Je sens soudain ton sperme gicler bien au fond de moi. Je ne dis rien, crispée, tendue, je me relâche enfin, jouissant puissamment. La salle est un écho de frais de plaisir
Pierre :
Nos jouissances respectives nous laissent essoufflés mais un grand sourire de plaisirs. Je te prends dans mes bras et nos lèvres se rejoignent pour un tendre échange. Après un moment ainsi enlacé, je te soulève et t'emporte dans la salle de bain pour prendre une douche pour nous rafraîchir un peu mais mes jeux de mains deviennent plus caresses au bout d'un moment. Alors tu éteins l'eau et tu me pousses hors de la douche : "D'abord le dessert, on verra ensuite si tu es sage."
Je te recouvre d'une serviette de bain pour te sécher puis t'habille d'une robe de bain. Ainsi vêtus nous regagnons la salle à manger pour prendre le dessert. Je te laisse t'assoir pendant que je prépare de kugelopf glacé. Je te rejoins et te vois avec un sourire illumine ton visage, je découvre ensuite le reste de ton corps... Je reste sans voix.
Jenna :
Je suis plus à l'aise avec un peu de vêtements mais allons y pour une fois
Je mets une grande serviette de bain, enroulée autour de moi. La serviette passe juste au-dessus de mes seins et sous mes aisselles.
Je semble plus timide, moins sure de moi qu'auparavant. Tu me proposes un morceau de dessert lorsque je m’assois sur la chaise. Je le prends avec ma bouche de tes doigts.
Puis tu déposes un morceau sur le haut de mes seins. Tu viens le chercher avec ta bouche. Tu passes une main par l'endroit où la serviette se croise pour caresser mes fesses. Tu deviens de plus en plus excité. Tu m'arrache presque la serviette. Je semble choquée mais aussi excitée d'être ainsi désirée si tôt.
Pierre :
Te voir ainsi nue, m'excite de plus en plus et me donne envie de te rendre la pareille quand tu m'as mis à ta merci en venant me chevaucher toute à l'heure. Alors en toute discrétion pendant que je t'embrasse, je défais la ceinture de mon peignoir. Je prends tes mains pour les joindre derrière le dossier de la chaise, quand tu sens le nœud se refermer sur tes poignets, je vois ton regard plein de surprises, de doutes et d'interrogations.
J'essaye de te rassurer :"Je ne veux que ton plaisir, je veux juste t'emporter à la jouissance sans que tu puisses m'interrompre. Je te promets de n'être que douceurs et caresses. Si tu me dis "Genug" j'arrêterai et je te libèrerai."
Je me redresse, mon peignoir s'entrouvre et tu vois mon sexe se dresser comme un mat plein de désir : "Alors je fais quoi ?"
Jenna :
Je tire un peu mais vois que le lien est solide.
Je perds tout contrôle ou presque cela n'est pas dans mes habitudes mais aussi un peu libérateur.
Je reprends mes esprits et te regarde avec défiance.
"Tu voulais être au contrôle ? Et bien pourquoi me demandes tu?"
Tu souris voyant que je te laisse le champ libre. Tu me caresses le début de mon décolleté sans toucher au peignoir. Tu ouvres mon peignoir en grand et mes seins rebondissent, les tétons durcissant déjà. Tu ne pince gentiment les tétons et je grogne. Je te regarde encore avec défiance d'un air de dire "et puis quoi encore?" Tu t'approches et passes ta queue entre mes seins.
Pierre :
Tu frissonnes et en même temps tu bombes ta poitrine en signe de défis. Alors je prends mon membre et avec le gland je caresse et tapote la pointe de tes seins. Ils pointent et durcissent à la recherche de cette douce torture. Quelques gouttes de liquide séminale viennent les mouiller et te montre le plaisir que j'ai à glisser mon sexe sur tes seins.
J'entends ton souffle s'accélérer mais ton regard est entre le plaisir et un rien moqueur : 'c'est tout ?'
Alors je saisis la ceinture de ton peignoir, ton regard devient interrogatoire, je fais un nœud avec un bout au niveau de ton genou droit mais comme je vois que cela ne suffira pas pour faire ce qui trotte dans ma tête, je te dis : 'Ne bouge pas, je reviens tout de suite...'
Avec un petit rire et un grand sourire tu me réponds :'Comme si je pouvais partir'
Je file dans la chambre et reviens avec plusieurs cravates en soie je les pose sur la table et avec la première j'attache ton second genou. Tu sembles sceptique sur mes intentions surtout que je passe derrière ta chaise et je me baisse et ne bouge plus.
Tu tournes la tête de gauche à droite pour voir ce que fais mais tu n'arrives pas à voir assez.
Je saisie alors les deux extrémités des liens qui sont sur tes genoux et tire dessus pour t'obliger les écarter et ainsi me donner accès à ton sexe ainsi offert. Je fais un nœud derrière la chaise.
Je reviens devant toi et m'adossant à la table j'admire le spectacle : "Tu es magnifique, je vais pouvoir profiter de toi ainsi offerte !". Et je glisse un doigt entre tes petites lèvres qui luisent de plaisir.
"Salop !", mais en même temps tu avances ton bassin pour mieux ressentir mon doigt qui effleure ton clito.
Jenna :
Tu me doigte lentement tout en jouant avec mes seins. Je me demande ce que tu as en tête car attachée ainsi, je ne pourrais être baisée. Je subi ce que tu me fais en gémissant. Mon plaisir monte et l'on désir aussi. Tu approches ton sexe de mon visage et docile, je gobe le gland.
Ma tête tourne et monte et descend. Je ne suis que rarement aussi excitée de sucer un homme mais tu m'exciter si bien en même temps
Pierre :
C'est un vrai régal pour moi que de sentir ta langue sur mon gland et tes lèvres emprisonner mon sexe. Malgré une première jouissance cette caresse m'excite au plus haut point, tu es vraiment douée et ce n'est que rarement où j'ai droit à cela.
Je saisis alors une autre cravate et je te rends aveugle. Après avoir perdu le touché, tu perds la vue, tu n'en arrêtes pas pour autant ta fellation pendant que je reprends ma masturbation entre tes lèvres intimes, deux puis 3 doigts s'enfoncent en toi pendant que mon pouce joue avec ton bouton. Je ne sais pas si c'est mon sexe dans ta bouche ou mes doigts dans le tien qui t'excite le plus, en tout cas ta cyprine coule le long de mes doigts. Pour ma part je suis au bord du point de non-retour alors je me retire de ta bouche et de ton sexe.
-doucement ma belle, prenons notre temps nous avons toute la nuit.
Et je pose mes doigts trempés sur ta bouche.
Jenna :
Je reprends mon souffle car cela devenait trop chaud. Je tourne la tête pour ne pas avoir tes doigts mouillés de mon jus dans la bouche.
Tu me détache et me fais marcher à l'aveuglette. Tu me mets à plat ventre sur un lit. Mes mains et mes pieds attachés pour que je sois complètement écartée. Tu reprends le massage de ma chatte mais joue avec mon petit trou. J'aime visiblement avoir les deux orifices doigtés en même temps.
Pierre :
Tout en te caressant, je viens t'embrasser dans le cou. Tu tournes la tête de mon côté pour m'embrasser mais je te refuse ce plaisir et commence à te bisouter le long de ton dos en entament une lente descente vers ta chute de rein que j'admire de près mais surtout tes deux globes fessiers qui m'attirent au plus haut point. C’est un vrai pousse au crime. Plus j'approche ma bouche d'eux plus tu creuses tes reins comme pour me dire vient là. Je ne tarde pas trop et je ne résiste pas.
Pour être plus à l'aise, je me mets au-dessus de toi et avec mes deux mains j'écarte tes fesses et je peux enfin de nouveau admirer ces deux orifices qui m'excitent tant.
"Je vais me régaler", puis je pose ma bouche et ma langue au début de ton sillon fessier, puis doucement je descends en glissant ma langue à tous les endroits qu'elle peut atteindre.
Jenna :
Je suis impuissante ce qui me met mal à l'aise mais ta langue a vite fait de me radoucir. Je ronronne. J'apprécie que tu étales ta salive aussi sur mon petit trou. Jaime être stimulée dans le plus d'endroits possibles. Je suis surprise que tu n'hésites pas àe stimuler le petit trou. Ce n'est que la deuxième fois que nous nous rencontrions. Tu me doigtes et ajoute du lubrifiant dans mes deux orifices. Je gémi plus fort sans réaliser ton intention.
Tu te couches sur moi et pousse ton gros membre lentement en moi. Ma chatte est sensible après nos ébats précédents mais j'apprécie la pénétration lente
Pierre :
J’apprécie et me régale de ce doux fourreau chaud et humide dans lequel je glisse mon sexe.
Je défais les liens de tes chevilles afin de relever un peu ton bassin ta tête et tes épaules reposant encore sur les coussins les bars en croix.
Le spectacle est ainsi magnifique d’un érotisme torride : tes fesses écarté et au centre ta petit rose qui m’appelle mais surtout mon membre qui va et vient tout en douceur entre tes petites lèvres luisantes de plaisirs.
Jenna :
J'aime être ainsi dominée. Attachée et sans contrôle, je ne m'en serais jamais douté. Tu me prends lentement d’abord. Je grogne et gémis de plaisir. "Plus fort " je réclame. Tu vas un peu plus vite mais je me plains que tu me fais mal. Tu rajoutes du lubrifiant et reprend "oh oui hhhhheeiiiinnn. Hhhjjeeeiiinnn. Oui " je grogne de plaisir. Tu donnes des coups longs sortant ton sexe presque entièrement. "Oui comme ça. Oui. Défonces moi ooohhh. Ouiiiiii". Je commence à jouir. C'est là que tu sors ta queue de mon vagin bien défoncé. Couvert de lubrifiant tu rentres dans mon petit trou. Je suis serrée, très serrée. Je couine "non pas par là. Trop gros. Oooouuuiiee. Oooohhh". Tu me tiens la tête contre le lit "tu es toute à moi" tu grogne à mon oreille "ooh. Ooh. Ohh. D'accord ooohh. ". Je sens ton gros sexe me démonter le cul. Je ne peux l'avouer mais j'aime être ainsi soumise
Pierre :
Mon introduction brusque dans ton cul t'a fait râler dans un premier temps mais mes mots de soumission semblent t'avoir libéré et tu te détends pour me laisser accès à ton petit trou. J'en profite pour m'enfoncer par petit va et vient entièrement en toi.
Tu râles de plus en plus mais c'est le plaisir qui domine. Je me redresse et te prend les hanches pour encore mieux pouvoir te sodomiser. Mes mouvements sont de plus en plus amples et rapides : "Je vais aussi te défoncer ton petit cul" et un "Ouiiiiiiiiiiii" me répond "Fais-moi jouir par là aussi !"
Tes paroles m'excitent encore plus, ai-je réveillé sans le savoir une autre femme en toi ? Je veux que ce moment soit parfait pour toi aussi alors tout en restant aussi bestial dans ton cul, avec mes doigts je viens caresser ton clito pour précipiter ta perte et ta jouissance.
Je sens que tu fais des pressions sur ma queue avec ton sphincter "Tu vas me faire jouir, je vais remplir ton petit cul !" alors pour t'emporter avec moi au 7ème ciel je torture encore plus ton bouton. Je sens tout ton corps se contracter au moment où un puissant "OUUUUIIIII" sort de ta bouche et que je te remplis de ma jouissance mes doigts sur ton sexe recueillent la tienne.
Tous les deux hors d'haleine, je te libère de te liens et te prend dans mes bras pour un moment plein de tendresses et de douceurs. Puis je te prends dans mes bras pour t'emporter dans la salle de bain. Sous l'eau chaude, nous nous lavons mutuellement tout en nous bisoutant. Après nous avoir séché nous regagnons le lit et après et tendre câlin nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre.
Nous avons encore tout le week-end pour nous découvrir et pourquoi pas te faire découvrir d'autres plaisirs...
Jenna :
J'ai hésité à rester en contact avec toi. Ma conscience jouant des tours. Mon corps veut te revoir mais ma tête dit non. Qui va gagner? Il faut que je sois discrète.
J'accepte enfin de te revoir lors de mon prochain passage. Nous nous donnons rendez-vous donc pour voir les décorations de Noël. Cela me détend toujours.
Je mets une robe assez chaude mais séduisante. Elle est en fait comme un pull long qui arrive au-dessus des genoux. J'ai une paire de bottes façon daim montant au-dessus des genoux avec des talons de 4cm. Parfait pour marcher dehors en hiver. Je porte une veste en cuir et des gants assortis bien sûr.
Pierre :
Je suis fébrile de te revoir et plein d’appréhensions ne sachant ni l'un ni l'autre comment nous allons gérer cette deuxième rencontre.
Je viens te prendre avec ma voiture et je nous emmène au parking au centre-ville pour te faire découvrir dès la sortie de celui-ci une des attractions en cette période :le sapin de plus de 30m sur une des grandes place de la ville. Mais avant de sortir de la voiture je t’admire et te trouve toujours aussi sublime et attirante.
Je te fais un petit bisou et je respire ton parfum. Un délice
Viens maintenant à la découverte..
Jenna :
Être proche de toi me rappelle la soirée torride que nous avons passé ensemble. J'essaie de me rappeler que je ne dois pas recommencer. Mais si telle est mon intention, pourquoi me suis-je vêtue ainsi ? Vraiment, Jenna, tu n'as pas porté tes cuissardes depuis des années.
Même si ce sont des cuissardes de grande marque et pas du style salace, cela reste quand même un signe de ma volonté d'être sexy.
Nous marchons dans la rue. Je te tiens par le bras, proche de toi, sentant ton corps dur. Ma tenue bien que partiellement cachée par le manteau attire des regards. Des regards qui disent "elle est en manque "
Pierre :
Je te regarde et vois tes yeux et ton visage briller de mille feux comme les décorations de la ville qui scintillent. Est-ce la décoration de la ville ou le fait d'être de nouveau tous les deux ? J'ose espérer les deux.
On passe devant la cathédrale illuminée avec les chalets. Je nous prends la spécialité de moment pour nous réchauffer : Un vin chaud. Nous le dégustons en nous regardant les yeux dans les yeux. Je t'entoure de mes bras et je pose mes lèvres sur les tiennes. Je te goûte en douceur et j'oublie le lieu où nous sommes. La magie de ce baiser me fait tout oublier.
Quand enfin nous interrompons ce baiser, je te murmure : "J'ai envie de toi, de sentir la chaleur de ton corps contre le mien"
Jenna :
Je rougis. Je sais que je ne suis pas venu pour de la romance mais pour des sensations fortes, pour me rassurer que mon apparence excite encore un homme. Je ne me suis pas habillée ainsi juste pour avoir les jambes au chaud. Mais je ne veux pas paraître trop facile non plus. Je te dis "marchons encore un peu" je pars devant pour voir un étalage mais sachant que tu regardes. Mes longues jambes accentuées par mes bottes trottent en avant. Je sens ton désir Tu me rejoins et poses ta main sur mes fesses. "Viens" dis-tu. Surprise, je te suis. Nous sommes à deux pas de l'appartement de ton ami. Tu avais tout prévu
Pierre :
Main dans la main je t’entraîne vers la garçonnière de mon ami. À l’entrée de l’immeuble je tape le code pour ouvrir la porte et t’emmène dans l’ascenseur. Pendant la montée je me colle à toi pour te murmurer :es-tu prête pour une nuit pleine de folies ?
La porte de l’ascenseur s’ouvre et je vais à la porte de l’appartement que j’ouvre. L’appartement est dans la pénombre, je te débarrasse de ta veste et t’emmène dans le salon. Tu découvres le salon avec une table dressée où trône un chandelier et deux flûtes de champagne d’où montent les fines bulles. La porte fenêtre nous offre le spectacle de la ville illuminée. Tu y vas pour admirer le spectacle, je te rejoins et te tends ton verre. Nous dégustons nos premières gorgées les yeux dans les yeux.
Mon complice a bien préparé notre soirée et notre nuit à venir.
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Jenna :
Je reste un peu froide. Pas pour t'énerver mais pour ne pas paraître trop pressée, trop facile. Je te tourne le dos et te demande de me dire quels sont les points importants de la vue. Tu es colle à moi, ton bassin contre le mien. Tu caresses mes hanches. Je ne te repousse pas. Tu passes une main sous ma robe. Remontant le long de ma jambe tu sens le bas autorisant bien haut sur la cuisse. Puis tu découvres le tanga de dentelle qui couvre à peine mon intimité. Je ne dis rien mais te laisse me peloter sur ce balcon. Je pousse mon bassin en arrière pour te montrer que j'aime
Pierre :
Je sens que tu as envie de jouer et de prendre ton temps, de faire une lente progression vers cette union des sens que nous appelons tous les deux. Alors je glisse mes doigts sous ton tanga non pas pour venir te caresser, mais pour le faire glisse le long de tes jambes et te l'ôter. Tu poses tes mains sur le balcon puis tu lèves une botte après l'autre pour que je puisse te l'enlever.
Je le prends et sens l'odeur ton de ton intimité, de ton désir.
-Je le remplacerai après par ma bouche. Mais un attendant, viens déguster quelques spécialités de l'Alsace.
Je t'emmène à l'intérieur et te propose une chaise pour prendre place à la table. J'enfourne la deuxième partie du repas, puis je viens avec l'entrée :
- Tranche de foie gras avec sa gelée et pain d'épices accompagné d'un Gewürztraminer vieille vigne.
Nous bavardons de tout et de rien, mais nos regards et nos pieds qui se frôlent en disent bien plus. L'ambiance devient plus chaude après notre balade dans la fraicheur de la soirée.
Jenna :
L'ambiance plus chaude et le vin assez fort m'entendent joueuse. Je te laisse me toucher, me faire du pied pour un moment puis recule. Le jeu continue ainsi. Je n'aime pas être sans culotte mais je te laisse ce trophée pour l'instant. Je me lève et tu vois la lueur de début d'ivresse dans mes yeux. Je viens m'assoir sur tes genoux pour que tu me donnes ces encas avec les doigts. Assise ainsi je te laisse sentir ma poitrine au travers de la robe. Mes longues bottes mettent mes longues jambes croisées en évidence.
Pierre :
Une fois l'entrée finie, je pose une main sur ta cuisse gainée de bas et remonte pour arriver sous ta robe à la lisière du bas et de ta peau ; là où ta cuisse est aussi douce que la soie qui la recouvre.
Mon autre main, passe sous ton bras et se pose sur ton cœur ou plutôt sur ton sein que je caresse sans y paraitre tout en continuant de discuter de notre balade comme deux amis qui ne se sont pas vu depuis longtemps. Mais nos regards en disent bien plus et la sensation que m'envoie ma main sur ta cuisse et maintenant ma main sur ton sein où je sens les dessins de ton soutien-gorge mais aussi et surtout a pointe de ton sein se durcir sous la caresse de mes doigts. Une bosse se forme dans mon pantalon contre ta cuisse, ce que tu ne manques pas de remarquer et par de subtils mouvements de tes fesses et cuisses tu me caresses et ne fait qu'augmenter mon excitation.
Heureusement (ou malheureusement), la sonnerie du four annonce la suite du festin. Tu te lèves : "Je te laisse préparer la suite, je peux juste me rafraichir un peu ?"
Je t'indique où se trouve la salle de bain et vais à la cuisine chercher le vin et sortir du four la deuxième partie du repas.
Je nous verse un verre de Riesling et pose sur la table la douzaine d'escargots. Je t'invite à venir reprendre la place que tu viens de quitter sur mes genoux mais en passant la main dans ton dos, je remarque l'absence de ton soutien-gorge : "rafraichissement et allègement, on dirait ?"
Tu me réponds d'un sourire espiègle : "Oui il fait chaud ici" et tu t'assoies sur le haut de mes cuisses : "ET je crois que tu vas aussi avoir chaud" en glissant ta main sur mon sexe qui reprend de la vigueur.
"Mais ne laissons pas refroidir tes escargots, fais-moi goûter !"
Je me résigne à ne pas encore te déguster et te fait déguster le plat qui nous attend.
Jenna :
Je me frotte contre toi que ce soit avec mes jambes ou avec mon buste. Ma poitrine est clairement libre sous ma robe. Bien que celle-ci soit un peu épaisse, mes tétons pointent au travers. J'essaie de ne pas faire tomber de nourriture sur ma robe, coquette que je suis. Nous mangeons lentement et buvons. Tu vois que je commence à être éméchée.
Je te laisse passer ta main sous ma robe. Tu remontes au-dessus de mes bas puis trouve mon entre jambes. Joueuse, je ne te laisse pas accéder de suite mais après un moment je te laisse me toucher. Tu caresses ma vulve et joue avec mes lèvres. Je continue de manger comme si de rien n'était.
Tu rentres un doigt dans ma chatte humide mais serrée puis un deuxième. Je reste impassible, avec difficultés. En restant presque impassible, je passe main sur ton sexe bien raide. Je te caresse comme par habitude. . J'ouvre ta braguette et sort ton sexe que je branle lentement. Nous sommes tous les deux excités à fond. Restant encore comme si cela n'était pas le cas, je me lève un peu et met une jambe de chaque côté des tiennes. Je rajusté ma robe pour couvrir ton sexe. Prenant appuis sur les talons de mes bottes, je me relève. Dos à toi, je redescend lentement sur ton sexe. Je grogne et me retiens a la table " mon dieu oohh. Oohhhhhh. Ohhhhh trop gros" ma chatte prend du temps à s'ouvrir pour que je m’empale sur toi. Ma robe cachant cette pénétration, je reste de marbre une fois empalée. "Tu me sers un autre verre s'il te plaît"
Pierre :
Ouaaaahhhh, quelle sensation merveilleuse, sentir tes lèvres humides de cyprine s'ouvrir pour laisser mon gland te pénétrer. J'avoue tu m'as surpris mais j'attendais ce moment aussi depuis que l'on s'est quitté la dernière fois. Je savoure ta lente descente sur mon sexe... Et puis ta demande de te resservir à boire comme si de rien n'était. Une vraie femme BCBG dans toute sa splendeur qui cache une salope (dans le bon sens du terme) sous sa robe.
Comment refuser... Je me penche du côté droit pour saisir la bouteille mais elle est trop loin sur la table alors pour l'atteindre et garder l'équilibre je me retiens à toi en posant ma main gauche sur ton sein gauche et j'en profite pour pincer un peu ton téton qui se dresse à travers ta robe. Je passe la tête sous ton bras pour que ma main puisse atteindre la bouteille.
Mais avant de la saisir, c'est mes lèvres, qui attirées comme un aimant par ton autre sein, qui se pose sur l'autre pointe qui est à ma portée et avec mes dents je le mordille.
Tu me gratifies aussitôt d'une petite claque sur la joue : "Un peu de sérieux, le moment n'est pas au libertinage ! Nous sommes en train de manger" et en même temps tu joues des parois de ton vagin pour comprimer mon membre qui est en toi.
Jouant le jeu, je prends la bouteille et remplis ton verre. Je m'en empare pour le porter à tes lèvres.
-Bois ma belle tentatrice, je viendrais étancher ma soif à tes lèvres ensuite
Tu bois une partie du verre puis tu te penches pour venir m'embrasser et partager le vin que tu avais gardé en bouche. Après ce doux baiser au vin blanc, tu te redresses et avec un sourire espiègle tu me dis : "C'est bien à ces lèvres que tu voulais boire ?"
Je ne réponds pas, que répondre d'ailleurs. Je pose ton verre et mes mains s'emparent du bas de ta robe pour la remonter et découvrir tes seins. Je m'en empare avec mes mains en me redressant, j'approche ma bouche de ton oreille :
-Alors comme ça tu veux me mettre au supplice ?
Et je te mordille le lobe tout en écartant tes jambes avec mes genoux, voilà ton sexe offert à mes caresses
-Je vais me venger
Je descends une main sur ton haut de ton sexe pour décalotter ton clito
-A moi, maintenant
Et je fais rouler ton clito entre deux doigts tout comme la pointe de ton sein que je tiens dans l'autre main
Jenna :
Le haut de ma robe est facilement défait et tombe autour de ma taille. Je fais des petits mouvements de haut en bas sur ton sexe pour rester bien en place. Tes doigts me font réagir de suite. Mes seins ballotent alors que je tremble et remis. Tu me caresse le clito d'une main et me pince le téton de l'autre. Je ronronne de plaisir. Mes mouvements de haut en bas augmentent. Puis ayant trop chaud je retire ma robe par le haut. Tu vois mon porte jarretelles qui retient mes bas en haut sur les cuisses. Prenant appui sur mes talons de bottes je pompe sur ta grosse queue "oh mon dieu si profond. Hhhhhaaaaaaa. Ooohhhhh"
Pierre :
T'avoir nue contre moi a déjà augmenter mon excitation mais en commençant tes amples mouvements sur ma bite, elle gonfle encore un peu plus.
-doucement sinon tu vas me faire jouir
Tu tournes la tête vers moi :
-J'y compte bien que tu me remplisses de ton foutre
-Tournes toi alors que je puisse te manger tes seins en même temps
A peine ai-je le temps de finir ma phrase que tu te lèves, baisses mon pantalon sur mes chevilles. Tu saisies mon braquemar en te mettant sur moi et en me regardant dans droits dans les yeux, tu me dis:
-Et maintenant, tu vas me défoncer !
Et tu t'empales sur mon sexe d'un mouvement sec, en prenant appuis avec tes mains sur le dossier de la chaise, à chaque descente tes fesses claquent contre mes cuisses. Prenant tes fesses dans mes mains j'augmente encore la puissance de ce va et vient.
Pris d'une frénésie presque bestiale, nos yeux ne se quittent plus et le bruit de nos sexes qui s'entrechoquent est de plus en plus fort à fur et à mesure de la monter de notre jouissance respective, Je sens ta cyprine couler sur mon bas-ventre.
-Je vais te faire crier de plaisir et te remplir ton con
-Oh oui, fais-moi jouir, inonde-moi de ton foutre
Et tu enserres encore plus mon sexe dans le tien pour mieux me pomper, je ne vais plus pouvoir me retenir, je sens ma sève monter le long de ma bite
-Tu vas me faire juter, je vais te remplir
Je me retiens au maximum et force encore la puissance et la vitesse de mon sexe qui s'enfonce en toi.
Jenna :
Le jeu m’a excité et j'ai envie de toi en moi. L'alcool me fait oublier que tu n'as pas de préservatif.
A ta demande je me tourne. Cela aide à me donner du plaisir. Il faut que la tension sexuelle explose. Je rebondis sur ton gros membre. Je me mordille la lèvre comme une gamine qui est surprise. Tu rentres si profond. Mes seins bondissent et tu te fais un plaisir à les masser, les pincer, les mordiller. Tu vois que je suis comme concentrée. Mes yeux mi fermés, la bouche ouverte en un petit o, ma respiration saccadée. Mes talons de bottes grincent sur le sol " oh mon dieu" sont les seuls mots que je peux dire Je sens soudain ton sperme gicler bien au fond de moi. Je ne dis rien, crispée, tendue, je me relâche enfin, jouissant puissamment. La salle est un écho de frais de plaisir
Pierre :
Nos jouissances respectives nous laissent essoufflés mais un grand sourire de plaisirs. Je te prends dans mes bras et nos lèvres se rejoignent pour un tendre échange. Après un moment ainsi enlacé, je te soulève et t'emporte dans la salle de bain pour prendre une douche pour nous rafraîchir un peu mais mes jeux de mains deviennent plus caresses au bout d'un moment. Alors tu éteins l'eau et tu me pousses hors de la douche : "D'abord le dessert, on verra ensuite si tu es sage."
Je te recouvre d'une serviette de bain pour te sécher puis t'habille d'une robe de bain. Ainsi vêtus nous regagnons la salle à manger pour prendre le dessert. Je te laisse t'assoir pendant que je prépare de kugelopf glacé. Je te rejoins et te vois avec un sourire illumine ton visage, je découvre ensuite le reste de ton corps... Je reste sans voix.
Jenna :
Je suis plus à l'aise avec un peu de vêtements mais allons y pour une fois
Je mets une grande serviette de bain, enroulée autour de moi. La serviette passe juste au-dessus de mes seins et sous mes aisselles.
Je semble plus timide, moins sure de moi qu'auparavant. Tu me proposes un morceau de dessert lorsque je m’assois sur la chaise. Je le prends avec ma bouche de tes doigts.
Puis tu déposes un morceau sur le haut de mes seins. Tu viens le chercher avec ta bouche. Tu passes une main par l'endroit où la serviette se croise pour caresser mes fesses. Tu deviens de plus en plus excité. Tu m'arrache presque la serviette. Je semble choquée mais aussi excitée d'être ainsi désirée si tôt.
Pierre :
Te voir ainsi nue, m'excite de plus en plus et me donne envie de te rendre la pareille quand tu m'as mis à ta merci en venant me chevaucher toute à l'heure. Alors en toute discrétion pendant que je t'embrasse, je défais la ceinture de mon peignoir. Je prends tes mains pour les joindre derrière le dossier de la chaise, quand tu sens le nœud se refermer sur tes poignets, je vois ton regard plein de surprises, de doutes et d'interrogations.
J'essaye de te rassurer :"Je ne veux que ton plaisir, je veux juste t'emporter à la jouissance sans que tu puisses m'interrompre. Je te promets de n'être que douceurs et caresses. Si tu me dis "Genug" j'arrêterai et je te libèrerai."
Je me redresse, mon peignoir s'entrouvre et tu vois mon sexe se dresser comme un mat plein de désir : "Alors je fais quoi ?"
Jenna :
Je tire un peu mais vois que le lien est solide.
Je perds tout contrôle ou presque cela n'est pas dans mes habitudes mais aussi un peu libérateur.
Je reprends mes esprits et te regarde avec défiance.
"Tu voulais être au contrôle ? Et bien pourquoi me demandes tu?"
Tu souris voyant que je te laisse le champ libre. Tu me caresses le début de mon décolleté sans toucher au peignoir. Tu ouvres mon peignoir en grand et mes seins rebondissent, les tétons durcissant déjà. Tu ne pince gentiment les tétons et je grogne. Je te regarde encore avec défiance d'un air de dire "et puis quoi encore?" Tu t'approches et passes ta queue entre mes seins.
Pierre :
Tu frissonnes et en même temps tu bombes ta poitrine en signe de défis. Alors je prends mon membre et avec le gland je caresse et tapote la pointe de tes seins. Ils pointent et durcissent à la recherche de cette douce torture. Quelques gouttes de liquide séminale viennent les mouiller et te montre le plaisir que j'ai à glisser mon sexe sur tes seins.
J'entends ton souffle s'accélérer mais ton regard est entre le plaisir et un rien moqueur : 'c'est tout ?'
Alors je saisis la ceinture de ton peignoir, ton regard devient interrogatoire, je fais un nœud avec un bout au niveau de ton genou droit mais comme je vois que cela ne suffira pas pour faire ce qui trotte dans ma tête, je te dis : 'Ne bouge pas, je reviens tout de suite...'
Avec un petit rire et un grand sourire tu me réponds :'Comme si je pouvais partir'
Je file dans la chambre et reviens avec plusieurs cravates en soie je les pose sur la table et avec la première j'attache ton second genou. Tu sembles sceptique sur mes intentions surtout que je passe derrière ta chaise et je me baisse et ne bouge plus.
Tu tournes la tête de gauche à droite pour voir ce que fais mais tu n'arrives pas à voir assez.
Je saisie alors les deux extrémités des liens qui sont sur tes genoux et tire dessus pour t'obliger les écarter et ainsi me donner accès à ton sexe ainsi offert. Je fais un nœud derrière la chaise.
Je reviens devant toi et m'adossant à la table j'admire le spectacle : "Tu es magnifique, je vais pouvoir profiter de toi ainsi offerte !". Et je glisse un doigt entre tes petites lèvres qui luisent de plaisir.
"Salop !", mais en même temps tu avances ton bassin pour mieux ressentir mon doigt qui effleure ton clito.
Jenna :
Tu me doigte lentement tout en jouant avec mes seins. Je me demande ce que tu as en tête car attachée ainsi, je ne pourrais être baisée. Je subi ce que tu me fais en gémissant. Mon plaisir monte et l'on désir aussi. Tu approches ton sexe de mon visage et docile, je gobe le gland.
Ma tête tourne et monte et descend. Je ne suis que rarement aussi excitée de sucer un homme mais tu m'exciter si bien en même temps
Pierre :
C'est un vrai régal pour moi que de sentir ta langue sur mon gland et tes lèvres emprisonner mon sexe. Malgré une première jouissance cette caresse m'excite au plus haut point, tu es vraiment douée et ce n'est que rarement où j'ai droit à cela.
Je saisis alors une autre cravate et je te rends aveugle. Après avoir perdu le touché, tu perds la vue, tu n'en arrêtes pas pour autant ta fellation pendant que je reprends ma masturbation entre tes lèvres intimes, deux puis 3 doigts s'enfoncent en toi pendant que mon pouce joue avec ton bouton. Je ne sais pas si c'est mon sexe dans ta bouche ou mes doigts dans le tien qui t'excite le plus, en tout cas ta cyprine coule le long de mes doigts. Pour ma part je suis au bord du point de non-retour alors je me retire de ta bouche et de ton sexe.
-doucement ma belle, prenons notre temps nous avons toute la nuit.
Et je pose mes doigts trempés sur ta bouche.
Jenna :
Je reprends mon souffle car cela devenait trop chaud. Je tourne la tête pour ne pas avoir tes doigts mouillés de mon jus dans la bouche.
Tu me détache et me fais marcher à l'aveuglette. Tu me mets à plat ventre sur un lit. Mes mains et mes pieds attachés pour que je sois complètement écartée. Tu reprends le massage de ma chatte mais joue avec mon petit trou. J'aime visiblement avoir les deux orifices doigtés en même temps.
Pierre :
Tout en te caressant, je viens t'embrasser dans le cou. Tu tournes la tête de mon côté pour m'embrasser mais je te refuse ce plaisir et commence à te bisouter le long de ton dos en entament une lente descente vers ta chute de rein que j'admire de près mais surtout tes deux globes fessiers qui m'attirent au plus haut point. C’est un vrai pousse au crime. Plus j'approche ma bouche d'eux plus tu creuses tes reins comme pour me dire vient là. Je ne tarde pas trop et je ne résiste pas.
Pour être plus à l'aise, je me mets au-dessus de toi et avec mes deux mains j'écarte tes fesses et je peux enfin de nouveau admirer ces deux orifices qui m'excitent tant.
"Je vais me régaler", puis je pose ma bouche et ma langue au début de ton sillon fessier, puis doucement je descends en glissant ma langue à tous les endroits qu'elle peut atteindre.
Jenna :
Je suis impuissante ce qui me met mal à l'aise mais ta langue a vite fait de me radoucir. Je ronronne. J'apprécie que tu étales ta salive aussi sur mon petit trou. Jaime être stimulée dans le plus d'endroits possibles. Je suis surprise que tu n'hésites pas àe stimuler le petit trou. Ce n'est que la deuxième fois que nous nous rencontrions. Tu me doigtes et ajoute du lubrifiant dans mes deux orifices. Je gémi plus fort sans réaliser ton intention.
Tu te couches sur moi et pousse ton gros membre lentement en moi. Ma chatte est sensible après nos ébats précédents mais j'apprécie la pénétration lente
Pierre :
J’apprécie et me régale de ce doux fourreau chaud et humide dans lequel je glisse mon sexe.
Je défais les liens de tes chevilles afin de relever un peu ton bassin ta tête et tes épaules reposant encore sur les coussins les bars en croix.
Le spectacle est ainsi magnifique d’un érotisme torride : tes fesses écarté et au centre ta petit rose qui m’appelle mais surtout mon membre qui va et vient tout en douceur entre tes petites lèvres luisantes de plaisirs.
Jenna :
J'aime être ainsi dominée. Attachée et sans contrôle, je ne m'en serais jamais douté. Tu me prends lentement d’abord. Je grogne et gémis de plaisir. "Plus fort " je réclame. Tu vas un peu plus vite mais je me plains que tu me fais mal. Tu rajoutes du lubrifiant et reprend "oh oui hhhhheeiiiinnn. Hhhjjeeeiiinnn. Oui " je grogne de plaisir. Tu donnes des coups longs sortant ton sexe presque entièrement. "Oui comme ça. Oui. Défonces moi ooohhh. Ouiiiiii". Je commence à jouir. C'est là que tu sors ta queue de mon vagin bien défoncé. Couvert de lubrifiant tu rentres dans mon petit trou. Je suis serrée, très serrée. Je couine "non pas par là. Trop gros. Oooouuuiiee. Oooohhh". Tu me tiens la tête contre le lit "tu es toute à moi" tu grogne à mon oreille "ooh. Ooh. Ohh. D'accord ooohh. ". Je sens ton gros sexe me démonter le cul. Je ne peux l'avouer mais j'aime être ainsi soumise
Pierre :
Mon introduction brusque dans ton cul t'a fait râler dans un premier temps mais mes mots de soumission semblent t'avoir libéré et tu te détends pour me laisser accès à ton petit trou. J'en profite pour m'enfoncer par petit va et vient entièrement en toi.
Tu râles de plus en plus mais c'est le plaisir qui domine. Je me redresse et te prend les hanches pour encore mieux pouvoir te sodomiser. Mes mouvements sont de plus en plus amples et rapides : "Je vais aussi te défoncer ton petit cul" et un "Ouiiiiiiiiiiii" me répond "Fais-moi jouir par là aussi !"
Tes paroles m'excitent encore plus, ai-je réveillé sans le savoir une autre femme en toi ? Je veux que ce moment soit parfait pour toi aussi alors tout en restant aussi bestial dans ton cul, avec mes doigts je viens caresser ton clito pour précipiter ta perte et ta jouissance.
Je sens que tu fais des pressions sur ma queue avec ton sphincter "Tu vas me faire jouir, je vais remplir ton petit cul !" alors pour t'emporter avec moi au 7ème ciel je torture encore plus ton bouton. Je sens tout ton corps se contracter au moment où un puissant "OUUUUIIIII" sort de ta bouche et que je te remplis de ma jouissance mes doigts sur ton sexe recueillent la tienne.
Tous les deux hors d'haleine, je te libère de te liens et te prend dans mes bras pour un moment plein de tendresses et de douceurs. Puis je te prends dans mes bras pour t'emporter dans la salle de bain. Sous l'eau chaude, nous nous lavons mutuellement tout en nous bisoutant. Après nous avoir séché nous regagnons le lit et après et tendre câlin nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre.
Nous avons encore tout le week-end pour nous découvrir et pourquoi pas te faire découvrir d'autres plaisirs...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un très beau texte, torride! J'aime!