Femme BCBG, escorte, non, pute…. (11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute…. (11)
Le repas se termine, Valérie et moi flânons sur la place rouge. Nous profitons du soleil, nous nous asseyons sur une terrasse pour prendre une collation. Nous sommes au soleil et en profitons pour parfaire notre bronzage.
Régulièrement nous remarquons le manège d’hommes qui passent et qui repassent devant nous. Deux belles pouliches comme nous cela les fait saliver. Ils peuvent toujours s’accrocher, ils n’ont certainement pas les moyens.
Pour passer le temps, nous imaginons un petit jeu. À chaque homme sa spécialité.
• Celui-ci doit aimer sucer.
• Celui-là doit aimer prendre sa partenaire en levrette etc.…etc.…
Nous parlons en français et ne faisons pas attention aux tables voisines. Certes, des hommes sont attablés, mais loin de nous l’idée que quelqu’un peut comprendre notre conversation. Un de nos voisins, un peu âgé et fort bien mis de sa personne, se lève, s’approche et dans un Français impeccable.
• Et moi, quelle est ma spécialité ?
Nous-nous regardons prises à notre propre jeu, un seul homme parle français sur la place rouge ce jour et nous tombons dessus alors que nous jouions les fofolles. Valérie toujours prompte invite ce monsieur à s’asseoir à notre table.
Il accepte.
• Vous êtes Russe.
• Oui, je m’appelle Vladimir, mon prénom plaide pour mes origines. J’ai fait mes études à Paris et je suis professeur de français à la faculté de Moscou. Je vais d’ailleurs, hélas, vous quittez, car j’ai un cours dans quelques minutes. Vous êtes à Moscou pour longtemps.
• Jusqu'à demain, nous repartons dimanche.
• Je n’ai aucun cours demain, si vous le désiré, nous pouvons, nous retrouver ici à douze heures, je vous ferais découvrir un très bon restaurant typique Russe et après je vous ferais connaître certains trésors de notre ville.
Nous le remercions et nous le regardons partir vers ses occupations.
Demain, nous viendrons retrouver cet homme, il peut s’avérer que ses connaissances et ce qu’il va nous faire découvrir peut-être très utiles lors de voyages futurs ici.
Dans la phase, repas, promenades inéluctables dans nos rendez-vous, l’érudition dont nous pouvons faire preuve nous donne une valeur au sein de l’organisation. Les nunuches fond rarement carrière dans notre milieu.
Comme hier, nous rejoignons nos chambres pour nous préparer.
Vers dix-neuf heures, nous faisons monter une collation que nous dégustons sans nous presser, nous avons le temps d’ici vingt-deux heures. Nous-nous bichonnons, nous maquillons.
Une question se pose, nue ou habillée pour recevoir Igor.
Nue, l’emporte à l’unanimité par deux votes à zéro. Un plébiscite.
Je fais bonne figure devant mon amie, mais plus le temps avance, plus la tension grandit en moi. Cette nouveauté sexuelle que j’ignore me pose des interrogations.
À vingt-deux heures, on frappe à notre porte. Valérie va ouvrir, Igor entre une attachée caisse à la main.
Nous embrassons langoureusement notre commanditaire.
Nous-nous installons à la table, il fait un geste pour ouvrir la mallette.
Mon amie lui fait un signe.
• Pas la peine d’ouvrir la mallette, depuis que je te connais tout, a toujours été claire, et je te fais confiance.
Il pousse l'attachée caisse vers moi.
• Fais-en un bon usage.
Elle est gentille ma copine, je l’ouvrirais bien pour me représenter ce que mon cul représente en liasse de billets. Tant pis, j’attendrais qu’il soit parti.
Je me lève, vais m’asseoir sur ses genoux. Je le prends par le cou et lui plaque le baiser le plus vorace possible.
• Pardon pour hier, j’ignorais que tu voulais me faire du bien. Je vais t’en donner pour ton argent.
• Si vous êtes d’accord, je suis la maîtresse de séance pour toute la soirée. Je décide de tous nos jeux amoureux et donc ni l’un, ni l’autre, vous ne pouvez prendre d’initiative sauf si je vous le demande.
Pour la sodomie avec prise du pucelage, de mademoiselle Magali, je déciderai du moment et de l’heure.
• Magali déshabille notre invité !
Il est indécent qu’ils soient en costume devant deux femmes nues !
Aussitôt fait aussitôt dit, un par un je l’effeuille.
J’ai un mouvement pour l’emboucher, mais une remarque sèche de la directrice des jeux érotiques me rappelle qu’elle donne les directives.
Elle récupère sur la table de nuit un foulard qu’elle noue devant les yeux d’Igor lui bouchant la vue.
• Mets-le, en condition pour qu’il puisse nous honorer.
Je l’embouche et lui fais une pipe qui tend sa verge rapidement vers le ciel.
• Igor es-tu prêt à un jeu agrémenté par de l’argent ?
• Oui, • Magali et moi allons nous placer les seins sur la table, les jambes bien écartées afin d’avoir nos vulves bien ouvertes. Lorsque nous serons en position, on te placera derrière l’une d’entre nous. Les mains levées, tu n’auras le droit que de saisir avec deux doigts ta verge pour t’introduire dans la chatte offerte.
Sans nous toucher avec tes mains, tu pourras nous limer le temps que tu le désireras. Tu as déjà baisé l’une et l’autre et tu as repéré certains mouvements particuliers dans nos ébats.
Chaque fois que tu décides de ressortir, tu nous diras qui tu baises. Si tu perds, la gagnante empoche cent euros dans sa cagnotte !
Lorsque tu sentiras que ta jouissance arrive, tu sors de la chatte, tu attends qu’elle te prenne la bite en bouche et tu lui donnes ton nectar. Cette gagnante touchera une prime de cinq cents euros.
• D’accord.
Valérie se place les seins sur la table les jambes écartées. Je guide Igor derrière elle, il s’introduit, il la lime avec ardeur. Au bout de cinq minutes, elle émet quelques gloussements. Au bout de dix minutes, il ressort.
• Magali !
• Perdu ! Cent euros.
• Pourquoi Magali ?
• Je pense avoir baisé un grand moment et au bout de quelques minutes j’ai entendu des gloussements de plaisir, te connaissant, tu m'as bien trompé car je sais qu’il te faut plus de temps pour te faire démarrer. J’ai perdu.
• Il faut savoir geindre au bon moment.
Il éclate de rire beau joueur.
Le jeu continu pendant plus d’une heure, Igor ne décharge toujours pas. Je suspect Valérie au moment de nous dire pourquoi il a choisi l’une ou l’autre de faire retomber sa tension et ainsi de faire durée le jeu plus longtemps et ainsi lui soutirer plus d’euros.
Au bout de ce temps, sa résistance ayant des limites, il prévient qu’il va partir. Valérie qui se fait prendre se retourne l’embouche et reçoit sa récompense.
Des jets de foutre au fond de sa gorge. Pendant ce temps, je lui ai enlevé le bandeau, il peut ainsi voir ma maîtresse savourer sa semence.
Valérie donne les résultats.
• Magali gagne mille deux cents euros.
• Valérie six cents plus cinq cents de prime de la gagne mille cent euros.
Nous-nous mettons à la table ou nous avons fait servir des rafraîchissements avant qu’Igor arrive.
Nous remercions notre ami d’avoir joué le jeu. Il aurait pu plus rapidement décharger et ainsi faire des économies.
Valérie me félicite, car si j’ai gagné une somme importante, c’est parce que j’ai su tromper le sexe qui me baisait.
Avec notre accord, Igor nous demande à téléphoner.
Il appelle un interlocuteur, parle en Russe et raccroche.
Dix minutes plus tard ont frappé à la porte, une main lui tendre une enveloppe. Il la pose devant nous sur la table.
• Une dette de jeu doit être honorée dans les meilleurs délais !
Je suis épaté.
La nuit avance, Valérie ne déclenche toujours pas la prise de ma petite rondelle.
Elle me donne l’autorisation à partir de maintenant de prendre les initiatives. Nous serons Igor et moi obliger de suivrent tes directives.
J’ai déjà mon idée.
• Valérie va sur le lit.
Elle s’exécute.
• Cale-toi avec des oreillers !
Ouvre tes cuisses au maximum !
Igor, place-toi entre ses cuisses !
Referme tous tes doigts et pénètre mon esclave.
Ayant l’expérience de la soirée d’hier, il s’exécute.
Je sens Valérie un peu anxieuse, n’à tel pas dit que le peu de fois où elle a pratiqué un « fisting » elle n’a pas été trop enthousiaste. Igor, petit à petit, pénètre l’intimité de Valérie.
La main arrive au point difficile.
Elle commence à se tortiller essayant d’expulser cette intruse.
La position que je lui ai fait prendre, caler par les oreillers lui permet de voir sa chatte se distend et cette main venir se cacher dans l’intérieur de son corps.
• Arrête de te tortiller, c’est moi qui suis maître de notre jeu !
Elle essaye de ne plus bouger, c’est plus fort qu’elle, au passage du poignet, son corps a un soubresaut qui propulse toute la main d’Igor au tréfonds de mon amie. Un véritable hurlement sort de sa bouche.
Un moment je crois que ce cri strident est un cri de douleur.
Quand je regarde son visage et ses yeux presque révulsés ainsi que les jets ininterrompus de cyprine qui sortent de sa chatte, je suis rassurée.
• Igor fait manœuvrer ta main sans la faire sortir.
Elle expulse des nouveaux jets de liquide. Lorsque je le regarde, il est à la limite de l’asphyxie. Il doit être en apnée depuis trop longtemps.
• Ouvre ta main !
Il détend ses doigts et ouvre son poignet, comme moi hier, elle crie et perd conscience deux secondes.
Sa chatte continue à éjecter du liquide, le lit est ravagé, les draps sont trempés.
• Tu me tues, ma salope.
• Retire ta main !
J’attends le flop au moment où la main fait ventouse pendant une fraction de seconde.
Je vais chercher un linge mouillé pour Valérie et un pour Igor.
Igor s'est affalé à côté de mon petit cœur, je leur mets les linges, quelques minutes après ils commencent à réagir. Rapidement je retrouve ma Valérie pimpante qui reprend la situation en main.
Nous reprenons un rafraîchissement et soufflons quelque temps.
Valérie voyant les dégâts qu’elle a fait subir au lit nous propose de venir dans sa chambre.
• Je reprends la direction de nos jeux !
Aller ma petite colombe, c’est le moment, de s’occuper de ton pucelage.
La porte de communication est ouverte, nous passons de l’autre côté sur l’autre lit.
Valérie a bien récupéré, elle dirige l’opération.
• Igor met toi sur le lit allongé sur le dos ! Magali fait bander ton ami !
Je le rejoins et le prends en bouche.
• C’est bon Magali, c’est le moment, c’est toi qui vas te sodomiser. Mets-toi à cheval au-dessus d’Igor, les fesses à hauteur de son sexe !
Quelle anxiété ! Moi qui étais, il y a peu chaste et pure, ai-je dégringolé où est-ce que je me suis libéré ?
Sans aucun souci, la deuxième solution est la bonne.
Que n’ai-je rencontré Valérie plutôt !
Merci à tous les partenaires hommes ou femmes qui m’ont appris à devenir la salope qui s’apprête à se faire sodomiser. Ultime étape de ma libération de tous les tabous qui m’ont été enseignés.
Je suis dans la position demandée par Valérie.
Elle saisit, le sexe de mon dépuceleur met le gland au contact de ma rosette.
• Igor pour l’instant reste sans bouger. Magali descend à la vitesse que tu le souhaites pour cette première pénétration. Tu prends le temps que tu désir pourvu que la totalité du sexe en toi.
Je commence à appuyer mes fesses sur le vit. Je sens le gland passer, je ressens une légère douleur vite estompée. J’appuie et je sens l’intégralité du mandrin investir mon séant.
• C’est fait, Igor, elle est à toi, tu peux en faire ce que tu en veux.
Il commence à aller et venir en moi, la sensation est étrange, complètement différente de celle ressentie dans mon sexe. Au bout de cinq minutes, Valérie lui demande de se retirer, il s’exécute.
• Magali, mais toi en, levrette.
• Igor vient la prendre par-derrière dans cette position. Une bonne sodomie se pratique dans cette position, car la femme se trouve prise comme une petite chienne et très profondément.
Il se positionne, place son gland et s’enfonce d’un grand coup. Mince alors, quelle surprise, me voilà collé à Igor.
Il me taraude l’anus à grands coups de sexe. Au bout d’un moment le plaisir me saisit. Il me met sa bite une fois dans l’anus, une fois dans la chatte, il recommence cette manœuvre des dizaines de fois. Pendant ce temps, Valérie s’est positionnée sous mon ventre et vient brouter ma chatte.
Ce vit plus ses lèvres me font atteindre l’orgasme, j’ai même la sensation de jouir aussi bien de la chatte que du cul.
Au bout d’un moment Igor me, quitte.
Je baisse la tête et je le vois entré dans la bouche de Valérie et lui lâcher les dernières parcelles de sperme qui lui reste dans le corps.
Valérie se retourne, prend ma bouche et partage avec moi le sperme d’Igor.
Nous-nous endormons tous les trois nos amants placés entre nous.
Vers onze heures, on frappe à la porte, Igor a commandé notre petit déjeuner.
Il est prêt à partir, il nous enlace et nous remercie pour la merveilleuse nuit que nous avons passée.
Il nous donne rendez-vous à vingt heures au restaurant.
• Nous serons tous les cinq ce soir.
• Magali, pour la prochaine soirée, ton œillet m’appartient jusqu’à la fin de ton voyage en Russie, interdiction qu’un autre te sodomise.
Je pense en moi-même, qu’au prix qu’il a payé pour l’avoir, je lui dois bien ce petit privilège.
Cette consigne donnée, il s’éclipse discrètement.
Nous-nous levons et passons à table, toutes ces péripéties nous ont donné faim. Je m’assois, sur la chaise, je pose mon postérieur qui me rappelle que depuis quelques heures mes deux trous ne sont plus vierges.
Avant de nous préparer, je saisis notre mallette et je peux enfin admirer ce que ma Valérie nous a fait gagner.
Quand nous sommes prêtes, nous sortons rejoindre Vladimir.
Arrivé au café, il nous attend sur la terrasse. Il se lève pour nous accueillir. Nous-nous installons.
• Hier, nous avons oublié de nous présenter, je m’appelle Valérie et mon amie Magali !
• Je dirais Valérie et Magali les deux plus belles femmes que l’on peut admirer sur la place rouge.
Nous commandons un apéritif, puis notre guide nous dirige vers le restaurant « Le Yar » au décore et a l’ambiance typique Russe.
La cuisine est raffinée. Au cours de la conversation Vladimir nous demande ce que nous sommes venues faire à Moscou.
Sans se démonter.
• Nous sommes venues agrémenter les trois soirées d’hommes distingués.
Vladimir vieille école n’a aucune réaction.
Il nous explique que depuis trois ans sa vie a été bouleversée après la mort de son épouse d’une longue maladie.
Il est seul sans enfants et sans famille. Vers la fin du repas, Valérie nous quitte pour se rendre aux toilettes.
Vladimir se lève et lui propose de l’accompagner, car dans cette ville, certains lieux peuvent être dangereux pour une femme seule.
Vingt minutes et ils sont de retour. Nous finissons notre repas. J’ai besoin, moi aussi d’aller aux toilettes. Vladimir se lève et m’accompagne.
J’entre dans le secteur femme, fais ce pour quoi je suis venue, réajuste mon maquillage et ressort.
Nous remontons en salle et notre chaperon nous entraîne au musée des beaux-arts Pouchkine.
Ce musée renferme des trésors tels que des Picasso, Rembrandt, Matisse et de nombreux autres peintres contemporains. De nombreuses salles sont consacrées à des objets dont certains date de l’Antiquité.
Vladimir nous montre les pièces principales de la collection. Il vient depuis trois ans qu’il est seul une fois par semaine. Malgré toutes ces visites, il découvre toujours des trésors pour ses yeux jamais remarqués.
Lorsqu’il rentre chez lui il recherche, l’utilité de ces pièces dans le passé s’est devenu une passion pour lui.
L’heure avance, nous quittons notre nouvel ami. Valérie ouvre son sac et lui donne une carte. Si vous venez à Paris, vous téléphonez au numéro marqué sur la carte et demandé Valérie et Magali.
De retour dans nos chambres, Valérie sort de son sac une poignée de billets. J’en saisis un, ce sont des roubles.
• Il y en a pour cinq cents euros environ vingt-cinq mille roubles.
Voyant mon étonnement, elle m’explique.
Lorsque nous sommes descendues aux toilettes, Vladimir m'a dit qu’il me trouvait très belle et qu’il avait envie de moi étant dans l’abstinence depuis la perte de son épouse. Je lui ai dit que nous étions des prostituées de luxe venues voir des clients russes que nous les retrouvons tous les soirs. J’ai ajouté que je pouvais lui faire une petite gâterie, mais moyennant cinq cents euros pour une pipe et mille pour une pénétration.
Il m’a dit, attendez-moi là, je reviens !
• Tu étais dos à la porte et à la sortie, il est passé sans que tu le remarques.
Il est revenu un peu essoufflé et m’a tendu vingt-cinq mille roubles. Je l’ai entraîné dans les toilettes, je lui ai sorti la queue, l’ai embouché et sucé méticuleusement. Je voyais qu’il faisait des efforts pour retenir sa sève.
J’ai eu une grande envie qui est venue de mon ventre. Peu importe combien d’argent, il m’avait donné. J’ai posé mon pied sur la cuvette, j’ai saisi sa verge et je l’ai plantée au fond de mon sexe.
Le regard qu’il m’a lancé m’a fait voir que mon geste l’avait touché, une fraction de seconde, j’ai eu l’impression que son cœur se réveillait à la vie.
J’ai arrêté la pénétration et j’ai pu prendre mon dessert lorsqu’il m’a éclaboussé la glotte.
Je me suis rafraîchie et nous t’avons rejointe.
Lorsque tu as demandé de t’absenter, il s’est senti obligé de t’accompagner pour des risques qui sont inexistants.
C’est pour cela que je lui ai donné la carte de l’organisation.
S’il vient à Paris et mon petit doigt me dit que je le verrais, il deviendra un de nos clients.
De plus je viens fréquemment en Russie, soit pour Igor soit pour d’autres hommes et je gagnerais une petite prime de voyage.
Si Vladimir vient à Paris pour nous rencontrer, nous récupérerons ses coordonnés et pendant les longs après midi ou nous sommes seules, nous pourrons récupérer quelques roubles en agrémentant la vie de ce pauvre veuf. Elle éclate de rire.
Nous rejoignons nos appartements afin de nous préparer pour le rendez-vous avec nos amis.
Comme prévu à vingt heures, nous prenons le chemin du restaurant !
Igor est là avec ses deux amis Dimitri et Andrei. Nous-nous installons, Igor souhaite nous avoir de chaque côté de lui avec Valérie.
Veut-il en ce début de soirée faire voir aux deux hommes qu’il est la bosse ?
Le repas se déroule sans problème. La conversation s’oriente vers la visite du musée Pouchkine. Je constate l’érudition des trois hommes. Leurs connaissances de l’art aussi bien ancien que contemporain.
Lors des prochains voyages, j’étudierais sur Internet tout ce qui touche à la culture dans cette ville, pour pouvoir répondre aux questions que l’on pourrait me poser.
Vers vingt-deux heures, le repas terminé les hommes s’interrogent pour savoir ou aller.
Je suggère que pour notre dernière soirée, nous rejoignions directement nos chambres.
Ils sont étonnés de ma proposition, mais y souscrivent pleinement.
Ils ont payé notre nuit pour copuler avec nous !
Nous prenons l’ascenseur et à peine entré dans ma chambre, nous nous mettons nues. Les trois hommes vont dans la salle de bain.
Comme hier, sur la table de nuit, l’enveloppe est posée.
Je la glisse dans mon sac rapidement.
Valérie va dans sa chambre faire certainement la même opération.
Les hommes discutés, le fait de s’isoler hors de notre chambre, est-il fait pour que nous ayons le temps de vérifier qu’ils ont respecté le contrat financier ?
Tout le monde revient dans ma chambre, ils sont nus.
Valérie tient encore à être l’organisatrice de notre soirée.
• Monsieur, voulez-vous jouer avec nous ?
Bien sûr, nous répondent-ils en chœur.
• Acceptez-vous que nous intéressions nos jeux ?
Sans problème nous dit Igor, confirme qu’il est le financier du groupe.
• Comme tous les jours, vous aller nous prendre tout notre argent mais vous êtes si belles que tout vous est pardonné !
• Voilà un dé et un sablier qui décompte cinq minutes.
Voici les règles.
Un « six », Magali, gagne deux cents euros sans ne rien avoir à faire.
Un « cinq », je gagne deux cents euros sans rien n’avoir à faire.
Un « quatre », Igor, gagne le droit de baiser celle qui lui plaît pendant cinq minutes. La fille choisie gagne cent euros.
Un « trois », Dimitri, gagne le droit de baiser celle qui lui plaît pendant cinq minutes.
Un « deux », Andrei, gagne le droit de baiser celle qui lui plaît pendant cinq minutes.
Un « un », Magali et moi perdons vingt pour cent de nos gains si vous arrivez à faire cinquante fois ce chiffre dans tout le jeu.
Si l’un de vous trois éjaculent pendant ces cinq minutes, il met au pot cinq cents euros.
Le jeu se joue en deux heures dernières copulations révolues, si l’un de vous bande mou, il met mille euros dans le pot.
Au bout dès deux heures, celui qui a copulé le plus grand nombre de fois verse mille euros au pot.
Un handicap pour Dimitri et Andrei, interdiction de sodomiser Magali, ce privilège est réservé à Igor.
Chaque homme lance le dé.
J’ai une feuille et un stylo pour tenir les comptes.
• Premier lancé, Igor.
Il prend le dé, « un »
• Dimitri, « six », Magali gagne deux cents euros.
• Andrei « trois » qui veux-tu baiser.
• Magali… • Prépare-le, je démarre le sablier.
En forme, il me saisit, me fait asseoir sur la table et entre dans ma chatte.
J’ai compris, l’intérêt financier pour nous si un des hommes éjacule.
Je donne de grands coups de reins pour que ma vulve soit le maximum en contact avec la bitte de celui qui me pénètre.
Le jeu continu et nous amassons les billets.
• Bravo mille euros car il impossible de bander.
Valérie demande à Igor de l’aider à faire les comptes.
Les résultats sont programmés. Les calculs vite faits.
• Magali gagne trois mille deux cents euros.
• Valérie gagne deux mille deux cents euros.
• Nombre de « Un », « 41 » Les vingt pour cent ne son pas appliqué, les sommes sont acquises à chacune.
Nous-nous installons pour prendre un rafraîchissement. Igor comme hier téléphone et parle en russe.
Nous allons prendre une douche réparatrice nécessaire après nos ébats. On tape à la porte, Igor entrebâille, une main lui passe des enveloppes. Les sommes sont dessus, il nous les donne suivant nos gains. Nous les portons dans nos sacs comme les précédentes.
Tout le monde est prêt pour une nouvelle aventure.
Valérie nous propose pour ce final, de copuler librement suivant nos envies.
J’émets le désir de passer un moment avec Dimitri et Andrei que j’ai peu vu étant accaparés par Igor.
Je les entraîne sur le lit et embouche leurs membres. Andrei a repris des forces et les deux bandes. Je m’allonge et demande à Andrei de venir m’enfiler la chatte. Avec tous ce qu’il a perdu, il a bien le droit de me mettre une bonne saillie. Pendant ce temps, Dimitri me fait sucer sa bite.
Une première, je baise avec deux hommes.
Pendant ce temps à côté de nous Igor prend Valérie en levrette, à son regard, je vois qu’elle va jouir.
• Il te prend la chatte ou te sodomise.
• La chatte mon cœur.
• Igor, je t’interdis de la sodomiser !
Tu mets réservé pour cela.
Ok ! La chatte de Valérie est chaude et profonde, je ne perds pas au change.
Alors qu’elle se fait prendre Valérie à encore le reflex de donner des directives.
• Dimitri, allonge-toi.
Il s’exécute.
• Magali, enfile-toi son sexe en, étant retourné par rapport à lui.
Je prends la position demandée. J’aime sentir ce sexe étant bien dans l’axe de ma vulve.
• Maintenant, Andrei, tu te mets dans la même position que précédemment et tu l’enfiles dans la chatte en te faisant de la place dans le même trou déjà remplie par Dimitri.
Il se place et enfile sa bitte.
Mince alors j’ai deux bittes dans mon chaton qui me taraude, là, vous ne pouvez plus dire que je suis une oie blanche, je suis bien mieux que cela, « une grande pute »Ils me liment pendant un bon moment.
Voyant qu’ils vont éjaculer, je leur donne l’ordre de venir dans ma bouche.
Deux minutes et le sperme giclent des deux bites, la moitié dans ma bouche l’autre sur tout mon visage et même jusque dans mes cheveux. Pendant ce temps à la pépère Valérie et Igor arrive au plaisir simplement comme deux amis qu’ils sont depuis longtemps.
Retour à la salle de bains. La nuit avance, mais Valérie veut que j’en prenne encore et qu’Igor reçoive la récompense des dépenses qu’il a engagées pendant ses trois jours.
• Andrei, allonge-toi.
• Magali, fais-le bander.
L’homme semble épuisé, et a le sexe qui pend.
Hélas, Andrei, sort du jeu.
• Dimitri prend sa place.
Il s’allonge, je le branle, il bande de façon satisfaisante.
• Magali, chevauche-le, face à lui.
J’enfourche cette queue et l'introduis au fond de ma grotte.
• Igor, a toi l’apothéose de nos nuits, donne à ta petite chienne la dernière saillie quelle à bien mérité par son entrain et son abnégation.
Encule-la et donne-lui les derniers plaisirs que vous avez tous mérités.
• Andrei, rempli lui-la bouche.
Igor s’approche, je donne quelques coups de reins pour maintenir Dimitri tendu.
Un coup de reins et mon grand ami se retrouvent une fois de plus au fond de mon anus.
Je constate qu’il est entré sans avoir à forcer. Ma rondelle a bien accepté de se faire défoncer. Igor me pilonne, je constate une sensation encore nouvelle.
Je ressens par la friction de ses deux bites dans mes deux orifices, le mouvement sur la petite paroi qui sépare ma vulve de mon anus. J’ai l’impression que ses deux sexes se touchent dans mon intérieur. Andrei me met sa bite très flasque dans la bouche, j’ai beau le pomper, il a sa dose et son engin est bon pour un repos de longue durée.
Les deux bites dans mes trous commencent à me faire de l’effet. Je monte au septième ciel comme il est dit chez les femmes B.C.B.G.
Après un long moment de ce traitement, je sens que Dimitri va nous abandonner alors que mon étalon pourrait encore me satisfaire pendant des heures.
Quel homme !
• Rejoignez vos sexes dans nos deux bouches,
Valérie après ces trois nuits a bien mérité une bonne giclée. Cela part, cela gicle, nous sommes complètement arrosés de sperme.
Avec mes doigts, je récupère le maximum de foutre sur son visage et les avale goulûment. De son côté, elle fait de même sur mon visage avec sa langue et me prend la bouche dans un baiser de fin.
Rideau pour tous et surtout pour nous. Nos trois males vont se doucher et s’habillent.
Après nous avoir remercié, il nous fait un baisemain très respectueux. Dimitri et Andrei sortent de la chambre.
Igor nous demande si nous avons été satisfaites de notre séjour aussi bien sur le plan sexuel que financier. Valérie le rassure sur ces deux points.
• D’ici quelques mois, je rappellerais votre organisation pour que nous recommencions pendant trois ou quatre jours nos jeux amoureux.
Il nous embrasse et quitte la chambre.
Il est trois heures Valérie s’écroule sur le lit repu. J’en fais de même.
Demain, notre départ est prévu en fin de matinée pour Orly.
Régulièrement nous remarquons le manège d’hommes qui passent et qui repassent devant nous. Deux belles pouliches comme nous cela les fait saliver. Ils peuvent toujours s’accrocher, ils n’ont certainement pas les moyens.
Pour passer le temps, nous imaginons un petit jeu. À chaque homme sa spécialité.
• Celui-ci doit aimer sucer.
• Celui-là doit aimer prendre sa partenaire en levrette etc.…etc.…
Nous parlons en français et ne faisons pas attention aux tables voisines. Certes, des hommes sont attablés, mais loin de nous l’idée que quelqu’un peut comprendre notre conversation. Un de nos voisins, un peu âgé et fort bien mis de sa personne, se lève, s’approche et dans un Français impeccable.
• Et moi, quelle est ma spécialité ?
Nous-nous regardons prises à notre propre jeu, un seul homme parle français sur la place rouge ce jour et nous tombons dessus alors que nous jouions les fofolles. Valérie toujours prompte invite ce monsieur à s’asseoir à notre table.
Il accepte.
• Vous êtes Russe.
• Oui, je m’appelle Vladimir, mon prénom plaide pour mes origines. J’ai fait mes études à Paris et je suis professeur de français à la faculté de Moscou. Je vais d’ailleurs, hélas, vous quittez, car j’ai un cours dans quelques minutes. Vous êtes à Moscou pour longtemps.
• Jusqu'à demain, nous repartons dimanche.
• Je n’ai aucun cours demain, si vous le désiré, nous pouvons, nous retrouver ici à douze heures, je vous ferais découvrir un très bon restaurant typique Russe et après je vous ferais connaître certains trésors de notre ville.
Nous le remercions et nous le regardons partir vers ses occupations.
Demain, nous viendrons retrouver cet homme, il peut s’avérer que ses connaissances et ce qu’il va nous faire découvrir peut-être très utiles lors de voyages futurs ici.
Dans la phase, repas, promenades inéluctables dans nos rendez-vous, l’érudition dont nous pouvons faire preuve nous donne une valeur au sein de l’organisation. Les nunuches fond rarement carrière dans notre milieu.
Comme hier, nous rejoignons nos chambres pour nous préparer.
Vers dix-neuf heures, nous faisons monter une collation que nous dégustons sans nous presser, nous avons le temps d’ici vingt-deux heures. Nous-nous bichonnons, nous maquillons.
Une question se pose, nue ou habillée pour recevoir Igor.
Nue, l’emporte à l’unanimité par deux votes à zéro. Un plébiscite.
Je fais bonne figure devant mon amie, mais plus le temps avance, plus la tension grandit en moi. Cette nouveauté sexuelle que j’ignore me pose des interrogations.
À vingt-deux heures, on frappe à notre porte. Valérie va ouvrir, Igor entre une attachée caisse à la main.
Nous embrassons langoureusement notre commanditaire.
Nous-nous installons à la table, il fait un geste pour ouvrir la mallette.
Mon amie lui fait un signe.
• Pas la peine d’ouvrir la mallette, depuis que je te connais tout, a toujours été claire, et je te fais confiance.
Il pousse l'attachée caisse vers moi.
• Fais-en un bon usage.
Elle est gentille ma copine, je l’ouvrirais bien pour me représenter ce que mon cul représente en liasse de billets. Tant pis, j’attendrais qu’il soit parti.
Je me lève, vais m’asseoir sur ses genoux. Je le prends par le cou et lui plaque le baiser le plus vorace possible.
• Pardon pour hier, j’ignorais que tu voulais me faire du bien. Je vais t’en donner pour ton argent.
• Si vous êtes d’accord, je suis la maîtresse de séance pour toute la soirée. Je décide de tous nos jeux amoureux et donc ni l’un, ni l’autre, vous ne pouvez prendre d’initiative sauf si je vous le demande.
Pour la sodomie avec prise du pucelage, de mademoiselle Magali, je déciderai du moment et de l’heure.
• Magali déshabille notre invité !
Il est indécent qu’ils soient en costume devant deux femmes nues !
Aussitôt fait aussitôt dit, un par un je l’effeuille.
J’ai un mouvement pour l’emboucher, mais une remarque sèche de la directrice des jeux érotiques me rappelle qu’elle donne les directives.
Elle récupère sur la table de nuit un foulard qu’elle noue devant les yeux d’Igor lui bouchant la vue.
• Mets-le, en condition pour qu’il puisse nous honorer.
Je l’embouche et lui fais une pipe qui tend sa verge rapidement vers le ciel.
• Igor es-tu prêt à un jeu agrémenté par de l’argent ?
• Oui, • Magali et moi allons nous placer les seins sur la table, les jambes bien écartées afin d’avoir nos vulves bien ouvertes. Lorsque nous serons en position, on te placera derrière l’une d’entre nous. Les mains levées, tu n’auras le droit que de saisir avec deux doigts ta verge pour t’introduire dans la chatte offerte.
Sans nous toucher avec tes mains, tu pourras nous limer le temps que tu le désireras. Tu as déjà baisé l’une et l’autre et tu as repéré certains mouvements particuliers dans nos ébats.
Chaque fois que tu décides de ressortir, tu nous diras qui tu baises. Si tu perds, la gagnante empoche cent euros dans sa cagnotte !
Lorsque tu sentiras que ta jouissance arrive, tu sors de la chatte, tu attends qu’elle te prenne la bite en bouche et tu lui donnes ton nectar. Cette gagnante touchera une prime de cinq cents euros.
• D’accord.
Valérie se place les seins sur la table les jambes écartées. Je guide Igor derrière elle, il s’introduit, il la lime avec ardeur. Au bout de cinq minutes, elle émet quelques gloussements. Au bout de dix minutes, il ressort.
• Magali !
• Perdu ! Cent euros.
• Pourquoi Magali ?
• Je pense avoir baisé un grand moment et au bout de quelques minutes j’ai entendu des gloussements de plaisir, te connaissant, tu m'as bien trompé car je sais qu’il te faut plus de temps pour te faire démarrer. J’ai perdu.
• Il faut savoir geindre au bon moment.
Il éclate de rire beau joueur.
Le jeu continu pendant plus d’une heure, Igor ne décharge toujours pas. Je suspect Valérie au moment de nous dire pourquoi il a choisi l’une ou l’autre de faire retomber sa tension et ainsi de faire durée le jeu plus longtemps et ainsi lui soutirer plus d’euros.
Au bout de ce temps, sa résistance ayant des limites, il prévient qu’il va partir. Valérie qui se fait prendre se retourne l’embouche et reçoit sa récompense.
Des jets de foutre au fond de sa gorge. Pendant ce temps, je lui ai enlevé le bandeau, il peut ainsi voir ma maîtresse savourer sa semence.
Valérie donne les résultats.
• Magali gagne mille deux cents euros.
• Valérie six cents plus cinq cents de prime de la gagne mille cent euros.
Nous-nous mettons à la table ou nous avons fait servir des rafraîchissements avant qu’Igor arrive.
Nous remercions notre ami d’avoir joué le jeu. Il aurait pu plus rapidement décharger et ainsi faire des économies.
Valérie me félicite, car si j’ai gagné une somme importante, c’est parce que j’ai su tromper le sexe qui me baisait.
Avec notre accord, Igor nous demande à téléphoner.
Il appelle un interlocuteur, parle en Russe et raccroche.
Dix minutes plus tard ont frappé à la porte, une main lui tendre une enveloppe. Il la pose devant nous sur la table.
• Une dette de jeu doit être honorée dans les meilleurs délais !
Je suis épaté.
La nuit avance, Valérie ne déclenche toujours pas la prise de ma petite rondelle.
Elle me donne l’autorisation à partir de maintenant de prendre les initiatives. Nous serons Igor et moi obliger de suivrent tes directives.
J’ai déjà mon idée.
• Valérie va sur le lit.
Elle s’exécute.
• Cale-toi avec des oreillers !
Ouvre tes cuisses au maximum !
Igor, place-toi entre ses cuisses !
Referme tous tes doigts et pénètre mon esclave.
Ayant l’expérience de la soirée d’hier, il s’exécute.
Je sens Valérie un peu anxieuse, n’à tel pas dit que le peu de fois où elle a pratiqué un « fisting » elle n’a pas été trop enthousiaste. Igor, petit à petit, pénètre l’intimité de Valérie.
La main arrive au point difficile.
Elle commence à se tortiller essayant d’expulser cette intruse.
La position que je lui ai fait prendre, caler par les oreillers lui permet de voir sa chatte se distend et cette main venir se cacher dans l’intérieur de son corps.
• Arrête de te tortiller, c’est moi qui suis maître de notre jeu !
Elle essaye de ne plus bouger, c’est plus fort qu’elle, au passage du poignet, son corps a un soubresaut qui propulse toute la main d’Igor au tréfonds de mon amie. Un véritable hurlement sort de sa bouche.
Un moment je crois que ce cri strident est un cri de douleur.
Quand je regarde son visage et ses yeux presque révulsés ainsi que les jets ininterrompus de cyprine qui sortent de sa chatte, je suis rassurée.
• Igor fait manœuvrer ta main sans la faire sortir.
Elle expulse des nouveaux jets de liquide. Lorsque je le regarde, il est à la limite de l’asphyxie. Il doit être en apnée depuis trop longtemps.
• Ouvre ta main !
Il détend ses doigts et ouvre son poignet, comme moi hier, elle crie et perd conscience deux secondes.
Sa chatte continue à éjecter du liquide, le lit est ravagé, les draps sont trempés.
• Tu me tues, ma salope.
• Retire ta main !
J’attends le flop au moment où la main fait ventouse pendant une fraction de seconde.
Je vais chercher un linge mouillé pour Valérie et un pour Igor.
Igor s'est affalé à côté de mon petit cœur, je leur mets les linges, quelques minutes après ils commencent à réagir. Rapidement je retrouve ma Valérie pimpante qui reprend la situation en main.
Nous reprenons un rafraîchissement et soufflons quelque temps.
Valérie voyant les dégâts qu’elle a fait subir au lit nous propose de venir dans sa chambre.
• Je reprends la direction de nos jeux !
Aller ma petite colombe, c’est le moment, de s’occuper de ton pucelage.
La porte de communication est ouverte, nous passons de l’autre côté sur l’autre lit.
Valérie a bien récupéré, elle dirige l’opération.
• Igor met toi sur le lit allongé sur le dos ! Magali fait bander ton ami !
Je le rejoins et le prends en bouche.
• C’est bon Magali, c’est le moment, c’est toi qui vas te sodomiser. Mets-toi à cheval au-dessus d’Igor, les fesses à hauteur de son sexe !
Quelle anxiété ! Moi qui étais, il y a peu chaste et pure, ai-je dégringolé où est-ce que je me suis libéré ?
Sans aucun souci, la deuxième solution est la bonne.
Que n’ai-je rencontré Valérie plutôt !
Merci à tous les partenaires hommes ou femmes qui m’ont appris à devenir la salope qui s’apprête à se faire sodomiser. Ultime étape de ma libération de tous les tabous qui m’ont été enseignés.
Je suis dans la position demandée par Valérie.
Elle saisit, le sexe de mon dépuceleur met le gland au contact de ma rosette.
• Igor pour l’instant reste sans bouger. Magali descend à la vitesse que tu le souhaites pour cette première pénétration. Tu prends le temps que tu désir pourvu que la totalité du sexe en toi.
Je commence à appuyer mes fesses sur le vit. Je sens le gland passer, je ressens une légère douleur vite estompée. J’appuie et je sens l’intégralité du mandrin investir mon séant.
• C’est fait, Igor, elle est à toi, tu peux en faire ce que tu en veux.
Il commence à aller et venir en moi, la sensation est étrange, complètement différente de celle ressentie dans mon sexe. Au bout de cinq minutes, Valérie lui demande de se retirer, il s’exécute.
• Magali, mais toi en, levrette.
• Igor vient la prendre par-derrière dans cette position. Une bonne sodomie se pratique dans cette position, car la femme se trouve prise comme une petite chienne et très profondément.
Il se positionne, place son gland et s’enfonce d’un grand coup. Mince alors, quelle surprise, me voilà collé à Igor.
Il me taraude l’anus à grands coups de sexe. Au bout d’un moment le plaisir me saisit. Il me met sa bite une fois dans l’anus, une fois dans la chatte, il recommence cette manœuvre des dizaines de fois. Pendant ce temps, Valérie s’est positionnée sous mon ventre et vient brouter ma chatte.
Ce vit plus ses lèvres me font atteindre l’orgasme, j’ai même la sensation de jouir aussi bien de la chatte que du cul.
Au bout d’un moment Igor me, quitte.
Je baisse la tête et je le vois entré dans la bouche de Valérie et lui lâcher les dernières parcelles de sperme qui lui reste dans le corps.
Valérie se retourne, prend ma bouche et partage avec moi le sperme d’Igor.
Nous-nous endormons tous les trois nos amants placés entre nous.
Vers onze heures, on frappe à la porte, Igor a commandé notre petit déjeuner.
Il est prêt à partir, il nous enlace et nous remercie pour la merveilleuse nuit que nous avons passée.
Il nous donne rendez-vous à vingt heures au restaurant.
• Nous serons tous les cinq ce soir.
• Magali, pour la prochaine soirée, ton œillet m’appartient jusqu’à la fin de ton voyage en Russie, interdiction qu’un autre te sodomise.
Je pense en moi-même, qu’au prix qu’il a payé pour l’avoir, je lui dois bien ce petit privilège.
Cette consigne donnée, il s’éclipse discrètement.
Nous-nous levons et passons à table, toutes ces péripéties nous ont donné faim. Je m’assois, sur la chaise, je pose mon postérieur qui me rappelle que depuis quelques heures mes deux trous ne sont plus vierges.
Avant de nous préparer, je saisis notre mallette et je peux enfin admirer ce que ma Valérie nous a fait gagner.
Quand nous sommes prêtes, nous sortons rejoindre Vladimir.
Arrivé au café, il nous attend sur la terrasse. Il se lève pour nous accueillir. Nous-nous installons.
• Hier, nous avons oublié de nous présenter, je m’appelle Valérie et mon amie Magali !
• Je dirais Valérie et Magali les deux plus belles femmes que l’on peut admirer sur la place rouge.
Nous commandons un apéritif, puis notre guide nous dirige vers le restaurant « Le Yar » au décore et a l’ambiance typique Russe.
La cuisine est raffinée. Au cours de la conversation Vladimir nous demande ce que nous sommes venues faire à Moscou.
Sans se démonter.
• Nous sommes venues agrémenter les trois soirées d’hommes distingués.
Vladimir vieille école n’a aucune réaction.
Il nous explique que depuis trois ans sa vie a été bouleversée après la mort de son épouse d’une longue maladie.
Il est seul sans enfants et sans famille. Vers la fin du repas, Valérie nous quitte pour se rendre aux toilettes.
Vladimir se lève et lui propose de l’accompagner, car dans cette ville, certains lieux peuvent être dangereux pour une femme seule.
Vingt minutes et ils sont de retour. Nous finissons notre repas. J’ai besoin, moi aussi d’aller aux toilettes. Vladimir se lève et m’accompagne.
J’entre dans le secteur femme, fais ce pour quoi je suis venue, réajuste mon maquillage et ressort.
Nous remontons en salle et notre chaperon nous entraîne au musée des beaux-arts Pouchkine.
Ce musée renferme des trésors tels que des Picasso, Rembrandt, Matisse et de nombreux autres peintres contemporains. De nombreuses salles sont consacrées à des objets dont certains date de l’Antiquité.
Vladimir nous montre les pièces principales de la collection. Il vient depuis trois ans qu’il est seul une fois par semaine. Malgré toutes ces visites, il découvre toujours des trésors pour ses yeux jamais remarqués.
Lorsqu’il rentre chez lui il recherche, l’utilité de ces pièces dans le passé s’est devenu une passion pour lui.
L’heure avance, nous quittons notre nouvel ami. Valérie ouvre son sac et lui donne une carte. Si vous venez à Paris, vous téléphonez au numéro marqué sur la carte et demandé Valérie et Magali.
De retour dans nos chambres, Valérie sort de son sac une poignée de billets. J’en saisis un, ce sont des roubles.
• Il y en a pour cinq cents euros environ vingt-cinq mille roubles.
Voyant mon étonnement, elle m’explique.
Lorsque nous sommes descendues aux toilettes, Vladimir m'a dit qu’il me trouvait très belle et qu’il avait envie de moi étant dans l’abstinence depuis la perte de son épouse. Je lui ai dit que nous étions des prostituées de luxe venues voir des clients russes que nous les retrouvons tous les soirs. J’ai ajouté que je pouvais lui faire une petite gâterie, mais moyennant cinq cents euros pour une pipe et mille pour une pénétration.
Il m’a dit, attendez-moi là, je reviens !
• Tu étais dos à la porte et à la sortie, il est passé sans que tu le remarques.
Il est revenu un peu essoufflé et m’a tendu vingt-cinq mille roubles. Je l’ai entraîné dans les toilettes, je lui ai sorti la queue, l’ai embouché et sucé méticuleusement. Je voyais qu’il faisait des efforts pour retenir sa sève.
J’ai eu une grande envie qui est venue de mon ventre. Peu importe combien d’argent, il m’avait donné. J’ai posé mon pied sur la cuvette, j’ai saisi sa verge et je l’ai plantée au fond de mon sexe.
Le regard qu’il m’a lancé m’a fait voir que mon geste l’avait touché, une fraction de seconde, j’ai eu l’impression que son cœur se réveillait à la vie.
J’ai arrêté la pénétration et j’ai pu prendre mon dessert lorsqu’il m’a éclaboussé la glotte.
Je me suis rafraîchie et nous t’avons rejointe.
Lorsque tu as demandé de t’absenter, il s’est senti obligé de t’accompagner pour des risques qui sont inexistants.
C’est pour cela que je lui ai donné la carte de l’organisation.
S’il vient à Paris et mon petit doigt me dit que je le verrais, il deviendra un de nos clients.
De plus je viens fréquemment en Russie, soit pour Igor soit pour d’autres hommes et je gagnerais une petite prime de voyage.
Si Vladimir vient à Paris pour nous rencontrer, nous récupérerons ses coordonnés et pendant les longs après midi ou nous sommes seules, nous pourrons récupérer quelques roubles en agrémentant la vie de ce pauvre veuf. Elle éclate de rire.
Nous rejoignons nos appartements afin de nous préparer pour le rendez-vous avec nos amis.
Comme prévu à vingt heures, nous prenons le chemin du restaurant !
Igor est là avec ses deux amis Dimitri et Andrei. Nous-nous installons, Igor souhaite nous avoir de chaque côté de lui avec Valérie.
Veut-il en ce début de soirée faire voir aux deux hommes qu’il est la bosse ?
Le repas se déroule sans problème. La conversation s’oriente vers la visite du musée Pouchkine. Je constate l’érudition des trois hommes. Leurs connaissances de l’art aussi bien ancien que contemporain.
Lors des prochains voyages, j’étudierais sur Internet tout ce qui touche à la culture dans cette ville, pour pouvoir répondre aux questions que l’on pourrait me poser.
Vers vingt-deux heures, le repas terminé les hommes s’interrogent pour savoir ou aller.
Je suggère que pour notre dernière soirée, nous rejoignions directement nos chambres.
Ils sont étonnés de ma proposition, mais y souscrivent pleinement.
Ils ont payé notre nuit pour copuler avec nous !
Nous prenons l’ascenseur et à peine entré dans ma chambre, nous nous mettons nues. Les trois hommes vont dans la salle de bain.
Comme hier, sur la table de nuit, l’enveloppe est posée.
Je la glisse dans mon sac rapidement.
Valérie va dans sa chambre faire certainement la même opération.
Les hommes discutés, le fait de s’isoler hors de notre chambre, est-il fait pour que nous ayons le temps de vérifier qu’ils ont respecté le contrat financier ?
Tout le monde revient dans ma chambre, ils sont nus.
Valérie tient encore à être l’organisatrice de notre soirée.
• Monsieur, voulez-vous jouer avec nous ?
Bien sûr, nous répondent-ils en chœur.
• Acceptez-vous que nous intéressions nos jeux ?
Sans problème nous dit Igor, confirme qu’il est le financier du groupe.
• Comme tous les jours, vous aller nous prendre tout notre argent mais vous êtes si belles que tout vous est pardonné !
• Voilà un dé et un sablier qui décompte cinq minutes.
Voici les règles.
Un « six », Magali, gagne deux cents euros sans ne rien avoir à faire.
Un « cinq », je gagne deux cents euros sans rien n’avoir à faire.
Un « quatre », Igor, gagne le droit de baiser celle qui lui plaît pendant cinq minutes. La fille choisie gagne cent euros.
Un « trois », Dimitri, gagne le droit de baiser celle qui lui plaît pendant cinq minutes.
Un « deux », Andrei, gagne le droit de baiser celle qui lui plaît pendant cinq minutes.
Un « un », Magali et moi perdons vingt pour cent de nos gains si vous arrivez à faire cinquante fois ce chiffre dans tout le jeu.
Si l’un de vous trois éjaculent pendant ces cinq minutes, il met au pot cinq cents euros.
Le jeu se joue en deux heures dernières copulations révolues, si l’un de vous bande mou, il met mille euros dans le pot.
Au bout dès deux heures, celui qui a copulé le plus grand nombre de fois verse mille euros au pot.
Un handicap pour Dimitri et Andrei, interdiction de sodomiser Magali, ce privilège est réservé à Igor.
Chaque homme lance le dé.
J’ai une feuille et un stylo pour tenir les comptes.
• Premier lancé, Igor.
Il prend le dé, « un »
• Dimitri, « six », Magali gagne deux cents euros.
• Andrei « trois » qui veux-tu baiser.
• Magali… • Prépare-le, je démarre le sablier.
En forme, il me saisit, me fait asseoir sur la table et entre dans ma chatte.
J’ai compris, l’intérêt financier pour nous si un des hommes éjacule.
Je donne de grands coups de reins pour que ma vulve soit le maximum en contact avec la bitte de celui qui me pénètre.
Le jeu continu et nous amassons les billets.
• Bravo mille euros car il impossible de bander.
Valérie demande à Igor de l’aider à faire les comptes.
Les résultats sont programmés. Les calculs vite faits.
• Magali gagne trois mille deux cents euros.
• Valérie gagne deux mille deux cents euros.
• Nombre de « Un », « 41 » Les vingt pour cent ne son pas appliqué, les sommes sont acquises à chacune.
Nous-nous installons pour prendre un rafraîchissement. Igor comme hier téléphone et parle en russe.
Nous allons prendre une douche réparatrice nécessaire après nos ébats. On tape à la porte, Igor entrebâille, une main lui passe des enveloppes. Les sommes sont dessus, il nous les donne suivant nos gains. Nous les portons dans nos sacs comme les précédentes.
Tout le monde est prêt pour une nouvelle aventure.
Valérie nous propose pour ce final, de copuler librement suivant nos envies.
J’émets le désir de passer un moment avec Dimitri et Andrei que j’ai peu vu étant accaparés par Igor.
Je les entraîne sur le lit et embouche leurs membres. Andrei a repris des forces et les deux bandes. Je m’allonge et demande à Andrei de venir m’enfiler la chatte. Avec tous ce qu’il a perdu, il a bien le droit de me mettre une bonne saillie. Pendant ce temps, Dimitri me fait sucer sa bite.
Une première, je baise avec deux hommes.
Pendant ce temps à côté de nous Igor prend Valérie en levrette, à son regard, je vois qu’elle va jouir.
• Il te prend la chatte ou te sodomise.
• La chatte mon cœur.
• Igor, je t’interdis de la sodomiser !
Tu mets réservé pour cela.
Ok ! La chatte de Valérie est chaude et profonde, je ne perds pas au change.
Alors qu’elle se fait prendre Valérie à encore le reflex de donner des directives.
• Dimitri, allonge-toi.
Il s’exécute.
• Magali, enfile-toi son sexe en, étant retourné par rapport à lui.
Je prends la position demandée. J’aime sentir ce sexe étant bien dans l’axe de ma vulve.
• Maintenant, Andrei, tu te mets dans la même position que précédemment et tu l’enfiles dans la chatte en te faisant de la place dans le même trou déjà remplie par Dimitri.
Il se place et enfile sa bitte.
Mince alors j’ai deux bittes dans mon chaton qui me taraude, là, vous ne pouvez plus dire que je suis une oie blanche, je suis bien mieux que cela, « une grande pute »Ils me liment pendant un bon moment.
Voyant qu’ils vont éjaculer, je leur donne l’ordre de venir dans ma bouche.
Deux minutes et le sperme giclent des deux bites, la moitié dans ma bouche l’autre sur tout mon visage et même jusque dans mes cheveux. Pendant ce temps à la pépère Valérie et Igor arrive au plaisir simplement comme deux amis qu’ils sont depuis longtemps.
Retour à la salle de bains. La nuit avance, mais Valérie veut que j’en prenne encore et qu’Igor reçoive la récompense des dépenses qu’il a engagées pendant ses trois jours.
• Andrei, allonge-toi.
• Magali, fais-le bander.
L’homme semble épuisé, et a le sexe qui pend.
Hélas, Andrei, sort du jeu.
• Dimitri prend sa place.
Il s’allonge, je le branle, il bande de façon satisfaisante.
• Magali, chevauche-le, face à lui.
J’enfourche cette queue et l'introduis au fond de ma grotte.
• Igor, a toi l’apothéose de nos nuits, donne à ta petite chienne la dernière saillie quelle à bien mérité par son entrain et son abnégation.
Encule-la et donne-lui les derniers plaisirs que vous avez tous mérités.
• Andrei, rempli lui-la bouche.
Igor s’approche, je donne quelques coups de reins pour maintenir Dimitri tendu.
Un coup de reins et mon grand ami se retrouvent une fois de plus au fond de mon anus.
Je constate qu’il est entré sans avoir à forcer. Ma rondelle a bien accepté de se faire défoncer. Igor me pilonne, je constate une sensation encore nouvelle.
Je ressens par la friction de ses deux bites dans mes deux orifices, le mouvement sur la petite paroi qui sépare ma vulve de mon anus. J’ai l’impression que ses deux sexes se touchent dans mon intérieur. Andrei me met sa bite très flasque dans la bouche, j’ai beau le pomper, il a sa dose et son engin est bon pour un repos de longue durée.
Les deux bites dans mes trous commencent à me faire de l’effet. Je monte au septième ciel comme il est dit chez les femmes B.C.B.G.
Après un long moment de ce traitement, je sens que Dimitri va nous abandonner alors que mon étalon pourrait encore me satisfaire pendant des heures.
Quel homme !
• Rejoignez vos sexes dans nos deux bouches,
Valérie après ces trois nuits a bien mérité une bonne giclée. Cela part, cela gicle, nous sommes complètement arrosés de sperme.
Avec mes doigts, je récupère le maximum de foutre sur son visage et les avale goulûment. De son côté, elle fait de même sur mon visage avec sa langue et me prend la bouche dans un baiser de fin.
Rideau pour tous et surtout pour nous. Nos trois males vont se doucher et s’habillent.
Après nous avoir remercié, il nous fait un baisemain très respectueux. Dimitri et Andrei sortent de la chambre.
Igor nous demande si nous avons été satisfaites de notre séjour aussi bien sur le plan sexuel que financier. Valérie le rassure sur ces deux points.
• D’ici quelques mois, je rappellerais votre organisation pour que nous recommencions pendant trois ou quatre jours nos jeux amoureux.
Il nous embrasse et quitte la chambre.
Il est trois heures Valérie s’écroule sur le lit repu. J’en fais de même.
Demain, notre départ est prévu en fin de matinée pour Orly.
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