Femme BCBG, escorte, non, pute… (25)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (25) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (25)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nous avons décollé de Malaga avec Eduardo, notre pilote dans un hélicoptère.
Voulant faire diversion, je dis, tiens des orangers.
Il retire sa main, regarde où nous sommes et nous dit, oui on vient de survoler la ville de Coin et nous sommes dans une vallée ou l’on cultive les oranges et les citrons.

• Attendez, je vais descendre.
• Nous risquons d’être en retard.
• Non, le commanditaire de mon vol m’a demandé à vous faire découvrir les merveilles d’une partie de l’Andalousie.

Il reprend le contrôle de l’appareil, et le fait tourner à gauche.
Et vlan, je suis projeté vers Eduardo.
Je veux me retenir avec ma main. Elle atterrit sur son sexe sans le faire volontairement.

• Pas si vite ma belle, on va atterrir, tu sembles très pressée.

Séverine qui a été projetée sur moi éclate de rire.
Moi qui vous ai prouvé qu’elle salope, je pouvais être, je suis rouge de honte.
Nous survolons, les dizaines d’hectares d’orangers.
Des personnes travaillent à la cueillette des agrumes.
Eduardo repère un champ où il peut nous poser.
Il atterrit et coupe les rotors.
Les palles font encore quelques tours et s’arrêtent, nous pouvons descendre.
Eduardo ouvre sa porte et saute à terre.
Il va dans un compartiment et arrive de notre côté et nous place un petit marchepied pour nous faciliter de retrouver la terre ferme.
Il aide Séverine en lui prenant la main. Nul doute, qu’une fois de plus elle a fait ce qu’il fallait pour lui monter sa chatte.
Je me glisse, pour descendre Eduardo attrape ma main toujours serviable. Un sourire illumine son visage. Il a une deuxième fois une vision agréable.
Avant de me poser des questions, Séverine sort de son sac ma laisse rouge.
Prestement elle l’attache à mon anneau.

• Acceptes-tu d’être notre esclave ?.

Sans hésiter, d’ailleurs en ai-je le droit, ou en ai-je l’envie.

• Oui bien sur.

Enlève tes chaussures.
Elle a raison, des talons aiguilles dans une prairie même petite, rend les déplacements impossibles.
Eduardo nous regarde médusés.

• Viens me cueillir des oranges mon amour.
• Oui, maîtresse, je vais le faire.

Je commence à prendre le chemin vers les orangers qui sont à quelques mètres de nous.

• Attends !

Elle essaye d’enlever ses chaussures mais manque de partir les fesses en l’air.
Séverine tend la laisse à notre mâle.

• Veux-tu qu’il te conduise ?

Sûr que je le veux, il est si beau notre Andalou.
Je repars tenue par notre ami.
Je pense que de sa vie de pilote jamais il n’a vécu une telle expérience et jamais il n’en revivra une identique.
Lorsque nous sommes à l’ombre des arbres, plutôt des arbrisseaux, les orangers mesurant à vue d’œil deux à trois mètres. Sans lâcher ma laisse, Eduardo, cueille une orange.
Il sort de sa poche un couteau et nous la coupe en deux.

• Mets ta tête en arrière.

Je reste sans bouger.

• C’est bien Séverine, tu es une bonne esclave, tu sais que tu dois répondre qu’à ton maître. Mets la tête en arrière.

Je m’exécute.
Amusé, il presse l’orange dans ma bouche, le jus ruisselle dans ma gorge et un peu sur mes joues.
Il fait de même avec Séverine qui apprécie ce nectar de fruits.

• Ma biche sort la bite d’Eduardo et suce-le.

Aussitôt dit aussitôt fait, je sors un dard de fort belle taille.
Je baisse son pantalon et je constate qu’il doit se faire bronzer intégral, aucune trace de maillot.
Assez, fine et très longue un modèle pas encore vu et eu.
Lorsqu’il bande, elle lui tend une capuche qu’il enfile.

• Relève ta mini, rends-lui sa bite et mais toi en levrette.

Je m’exécute. Séverine vient se placer sur le côté la jupe aussi relevée que la mienne.

• Eduardo vient m’enfiler, cette chienne sera bonne pour attendre.

Il se place et l’emmanche. Tous de suite elle couinent. La grosseur ne peut être la cause de sa surprise mais sa longueur.
Sa verge en touchant le fond de sa grotte l’a fait couiner.

• Vas-y baisses moi avant de prendre cette salope !
Tu verras quand tu la bourreras comme tu me bourres, elle en redemandera. C’est une vraie salope…
Ce dernier mot finissant dans un râle.

• Si je suis une salope, toi tu es une pute, te garder ce mandrin sans partager, ce sont les putes qui font ça.
• Mais ma petite esclave se rebiffe, elle va……
Va dans un autre râle.

• Va recevoir la punition qu’elle mérite.

À peine à tel fini ce dernier mot, qu’elle crie sa jouissance.

• Eduardooooo.
• Prends-la une fois dans la chatte une fois dans le cul !
Elle a voulu se rebeller, elle va te sentir passer.

Il se déplace et contrairement à l’ordre de Séverine, il me pénètre en douceur.
Il m’enfile dans le cul, toujours avec beaucoup de prévenance.
Il va dans un trou puis dans l’autre de plus en plus rapidement.

• Putain, quel bon baiseur, j’ai bien fait de venir.

Au bout de quelques minutes de ce traitement.

• Tes trous sont bien humides, tu mouilles.

Quelques secondes après plein d’humour.

• Tu prends ton pied, allez envol toi au septième ciel.

L’immonde phallocrate, il m’aura fait la totale.

• Continue, tu vas atteindre le septième ciel.
• Retire-toi avant que ton sperme soit en elle, vient nous le faire avaler.

Il nous contourne, présente son sexe à nos bouches, se masturbe et nous envoie de longs bons jets de foutre au fond de nos gorges.
J’embrasse Séverine à pleine bouche, récupérant une partie de la semence pas encore avalée.
Nous nous relevons, elle m’enlève ma laisse.

• Grâce à vous j’ai vécu une expérience que peu d’hommes ont vécue.

Il nous attrape une autre orange et nous presse le jus en bouche.
Avant de retourner à l’hélico, il en cueille encore une dizaine qu’il emporte avec lui.
Il les met dans un sac.

• Ce sera pour vous en souvenir.

Il sort un jerrican d’eau, nous nous rafraîchissons et nous rajustons nos vêtements.
Nous reprenons nos places, nous décollons.
Avant de quitter le secteur des orangeraies, ce qui me frappe, ce sont les fermes entièrement blanches. Elles sont complètement isolées l’une par rapport à l’autre.
Eduardo nous dit que nous nous dirigeons vers la côte et la ville de Marbella.
L’Andalousie vue du ciel est une province espagnole magnifique.
D’un seul coup au loin, nous apercevons Méditerranée.
À proximité de Marbella, ce qui nous frappe, ce sont les immeubles. Tout le long de la cote, ils sont en rang serré.
Nous survolons Marbella. Les plages immenses couvertes de fourmis, à non, ce sont des hommes et femmes qui se baignent dans ces eaux turquoise.
Nous virons de nouveau sur la droite pour remonter vers notre destination finale Ronda.
Rapidement le paysage change. La vallée puis la mer font place à des collines rouges comme mon collier.
A mis hauteur, une route serpente le long de la paroi.
Le vide en dessous est impressionnant. J’aurai peur de rouler sur ces aplombs.
Ronda s’offre a nous.
Eduardo pose son hélico, nous sommes arrivés à destination.
Il nous confie à un chauffeur de taxi pour qu’il nous conduise à notre hôtel.
Nous prenons possession de nos chambres. Tien elles sont séparées par une autre.
Ma chambre possède une porte de communication. Je tourne la poigner. Elle est fermée.
Je vais à la fenêtre, ma vue est magnifique, nous donnons au-dessus de la gorge de Ronda. En bas une rivière coule.
Séverine sort sur son balcon.
Elle a le dos tourné, je l’appelle, elle se retourne et me sourit.

• Que c‘est beau.
• Tu as vu cette belle rivière au bas de la gorge.
• Oui, j’ai remarqué en posant mes affaires une brochure sur l’Hôtel, il s’agit de la rivière Guadalevin.
• Dommage que nous soyons séparés.
• J’ai un lit à deux places, viens me rejoindre.

Elle arrive avec sa valise.

• Il est midi. Prépare-toi, nous sortons déjeuner.

Je me déshabille et je vais prendre une douche. Ce n’est pas du luxe après l’épisode dans les orangers.
Qu’elle est belle, et si nous restions dans la chambre…Non, j’ai trop faim et il faut être en forme pour ce soir. Nous descendons dans le hall.
Je demande au chauffeur de nous faire visiter la ville. Il parle un peu français, Il nous fait voir les jardins de Cuenca. Le vieux Pont Arabe. La Fontaine des huit jets. Les bains Arabes. Les murailles et les portes de l’Almocabar.
Sans parler du nombres d’églises et couvents qu’il nous fait découvrir.
Nous finissons aux arènes.
Je fais énormément de photos afin de les montrer à tous nos amis.
Depuis mes différents voyages avec Virginie, j’ai commencé un album photo..
Plusieurs restaurants entourent ces arènes. Nous quittons notre chauffeur en le remerciant.

Nous prenons place sur une terrasse face aux arènes.
Un panneau publicitaire, annonce
Grandiosa Corrida de Toros6 Bravos Matador El Cidero.
17 h 30.

Que penses-tu de la corrida Séverine ?
J’en ai vu à la télé, il y a quelques années, j’ai bien aimé les couleurs, la passion du public.
À part cela, aucun avis tranché.
Moi, jamais je n’ai vu de corrida de ma vie, je suis sûr que j’aimerais assister à un tel spectacle.
Dommage, il y a, une corrida ce soir mais nous manquons de billet et un contrat à honorer à partir de seize heures.
Nous flânons sur cette terrasse jusqu’à quatorze heures trente.
Nous rejoignons notre hôtel pour nous préparer.
Pour une fois, la consigne est facile à suivre. Tenue décontractée.
À seize heures comme prévu, nous entrons au bar de l’hôtel.
Un couple est seul présent dans le bar.
Couple d’environ quarante ans. L’homme grand est très fin. Madame, première classe même dans sa tenue légère.
Ils se présentent.
• Julietta, mon épouse. Pedro chargé d’affaire à la province Andalouse.

Je me présente.

• Magali et Séverine mon amie.

Ils nous demandent si nous sommes satisfaits de nos appartements.

• La vue est magnifique sur la gorge de Ronda.

J’ajoute que je suis resté en retrait sans aller au bord du balcon, j’ai tendance à avoir le vertige et la hauteur de la paroi rocheuse sous nos fenêtres m’a impressionné.
Nous nous installons au bar et commençons à converser.

• Avez-vous apprécié le voyage en hélicoptère ?

Séverine le remercie car pour elle, ce voyage au-dessus d’une partie de l’Andalousie était passionnant, j’ai apprécié les orangés immenses à perte de vue.
La dégustation d’orange lorsque le pilote s’est posé.
Dans ma tête, j’ajoute, mais ne le dit pas, « la queue de ce beau pilote andalou au fond de nos chattes ».
Enfin, après avoir survolé Marbella et les montagnes près de Ronda avec la route impressionnante à flanc de montagne.

• Eduardo, le pilote a été prévenant avec vous.
La situation de mon mari me permet de le solliciter de temps en temps, j’ai toujours aimé sa prévenance envers moi.

Tiens, elle aussi a tâté de la queue du monsieur. Si c’est le cas, elle a bien raison.
Pedro signale que demain, le pilote nous attendra pour le retour à Malaga à dix heures à l’endroit où il nous a déposé ce matin.

• À quelle heure est votre avion ?
• Seize heures.
• Qu’allez-vous faire en attendant ?
• J’ai regardé sur Internet, les points d’intérêt à Ronda et surtout Malaga, tout parle du palais de l’Alcazar.
Ce site disait que pour les particuliers, il était difficile d’entrer, car les tours opérateurs réservaient des places, il était impossible pour les autres sauf désistement, il fallait attendre des heures le droit de visiter.

Pedro s’excuse et s’éclipse quelques secondes. Il revient et nous dit.

• Eduardo à votre arrivée mettra un taxi à votre disposition.
Le taxi vous conduira à l’Alcazar ou au guichet d’entrée, des tickets vous sera remis. Vous pourrez visiter cette merveille construite entre le XIème et le XIVe siècle qui servait de forteresse et de palais, où vivaient les gouverneurs de la Malaga musulmane.

Attends-lui dit Julietta, demain je n’ai rien de prévu. Je prendrai l’hélico avec elle et je les accompagnerais pour visiter ce Palais dont je pourrais leur raconter l’histoire.
Vu que tu fais partie de conseil d’administration de la province. Je n’ai aucun mal à entrer.
Est-ce le palais qui la passionne ou le bel Eduardo, l’avenir nous le dira.

• Bonne idée ma chérie.
• Tu pourras aussi les accompagner à l’avion pour Paris et ainsi leur éviter toutes les formalités.

Pedro nous demande de nous mettre en mouvement si nous voulons éviter d’être en retard.
Sa voiture avec chauffeur nous attend devant l’hôtel. La voiture est spacieuse, nous montons tous les quatre a l’arrière.
Pedro gentleman s’assoit sur le strapontin.
Quelques minutes et nous nous arrêtons devant l’entrée principale des arènes.

• Aimez-vous, les corridas ?
• Vous allez voir comme le monde est petit, à midi après une visite de la ville en taxi, nous avons déjeuné au restaurant face aux arènes. Nous avons vu l’affiche et avons regretté d’être sans place.

Pedro est aux anges.

• Tu vois, j’ai eu raison au moment de passer le contrat avec nos amies, d’éviter d’en parler pour leur faire une surprise.

Julietta nous prend toutes les deux par le bras de chaque côté. Elle nous caresse furtivement le sein au passage.
Ce simple frôlement rapide électrise mon corps. Aurait elle un fluide qu’elle sera capable de nous transmettre.
Les portes s’ouvrent devant nous. Un officiel nous conduit vers la tribune d’honneur.
La foule est déjà importante. Le bruit, les chants, fusent de partout.
L’officielle nous installe dans la loge à la droite d’un homme qui semble important dans la corrida. Séverine voit, mon intérêt pour ce personnage se penche et me dit, c’est le Président de cette corrida, il est le seul juge avec le public des décisions qu’il y aura à prendre.
Julietta placée entre nous lui dit,
• C’est bien ma petite Séverine, je vois que vous êtes connaisseuse.

Mon amie manque de courage de lui expliquer que ses seules connaissances sont celles qu’elle a vues à la télé française.
Je porte ma main à mes yeux pour voir le centre de l’arène, le soleil est dans l’axe de mes yeux.
Notre amie voyant le geste, appel un officiel placé au bout de notre tribune, elle lui parle à l’oreille et quelques minutes après trois visières lui sont apportées.

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