Femme BCBG, escorte, non, pute… (26)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (26)
Alors que nous avons un contrat avec Séverine, notre magnifique escorte à la crinière rousse en Espagne, le couple qui a réservé notre fin d’après-midi et notre soirée nous conduis dans les arènes de Ronda ou ils nous ont réservé des places pour la corrida du jour.
Il est dix-sept heures trente, Julietta nous dit que le « Paseo » va débuter.
Elle nous explique que le Paseo est un défilé dans un ordre très précis.
C’est parti, le défilé commence.
Elle nous commente qui y participe.
En tête sur son cheval l’alguazil amène les clefs du toril au responsable des taureaux.
Viennent ensuite deux chevaux de trait qui portent des armures de plusieurs kilos qui leur protège tout le corps. Ils portent les picadors avec leurs lances aux bouts acérés.
Les différentes personnes qui vont officier dans l’arène.
Et enfin les trois cuadrillas qui vont officier contre les taureaux.
Chaque cuadrilla est composée de trois péones chargés d’aider le matador, ils portent des capes de couleurs vives. Il y a avec eux deux picadors.
Chaque matador va toréer deux taureaux. Donc six taureaux par corrida.
Le principal matador, Manuel El Cidero, est magnifique dans son costume de lumière.
Je sens que Julietta vibre lorsqu’elle nous explique, c’est différents tempos.
Je pense que la belle Espagnole doit mouiller intensément vu la passion qui l’anime dès que les premières mesures de musiques ont démarré.
• Avez-vous vu l’entre jambes d’El Cidero ?
Il est reconnu par les femmes espagnoles que Manuel à la plus belle paire de tous les toreros qui officie dans les diverses arènes espagnoles.
Je sens autour de nous des regards appuyés. Trois belles femelles si près du Président doivent être des femmes importantes. Pedro a mon côté, bien sage pour le moment doit faire des envieux.
Le premier taureau est annoncé. Il pèse cinq cent cinquante kilos.
La porte du toril est ouverte, tout s’agite autour de cette porte.
Il sort, quelle bête, une masse de muscles.
Mon premier regard se porte sans le vouloir sur les couilles de la bête.
Qu’elle salope, je fais, un homme à genoux devant un taureau monstrueux qui risque sa vie si le grand mouvement en cercle avec sa cape se passe mal et moi ce que je repère, ce sont les roupettes énormes de l’animal.
Julietta se penche vers nous et dit.
• Vous avez vu les couilles de ce taureau.
Eh bien, il y a une autre salope assise dans cette loge.
Séverine ajoute.
• Vous aussi mes salopes, vous les avez remarquées.
Regarde Magali, elle traîne presque jusqu’au sol.
La corrida se poursuit et le petit matador qui officie tue son premier toro.
La foule est en délire, elle agite des mouchoirs blancs.
Notre hôtesse nous demande de regarder le Président, s’il place son mouchoir blanc sur la balustrade devant lui, le matador obtiendrait une oreille de la bête qui est étendue sur le sable de l’arène. Nous sommes comme tout le monde très existés.
J’entends Séverine crier vers lui.
• Tu vas le sortir ton mouchoir.
Le Président fini par le sortir.
La foule redouble a faire tourner les mouchoirs, le président est imperturbables.
Le taureau mort est emmené tiré par deux chevaux.
Il s’est bien battu, la foule l’applaudit.
Le torero avec sa quadrille fait un tour d’honneur pour ramasser tout ce que les gens leurs lances. Fleurs Chapeau et autres objets hétéroclites.
La seconde cuadrilla fait un travail propre sans faire vibrer la foule. Le taureau mort sort sous les sifflets.
Pas de tour de piste pour le torero.
Enfin, c’est à lui, magnifique dans son costume rouge sang.
Séverine nous dit,
• Vous voyez, son costume est de la même couleur que ma crinière.
Ensemble, nous éclatons de rire.
C’est fait la bête de cinq cent quatre-vingt-dix kilos est morte.
Le président, après bien du temps lui, accorde une oreille.
Le matador commence son tour d’honneur. Lorsqu’il arrive à notre hauteur, il prend trois roses et nous les envoie une par une à chacune.
Pedro nous dit.
• Ce geste fait par le matador est considéré comme un hommage à votre beauté. Vous venez de vous faire des centaines d’ennemies femmes présentes dans l’arène.
Deuxième taureau pour les deux autres exécutants, le premier à la malechance, la bête n’a pour lui que ses couilles qui nous fascinent.
Le deuxième torero lors d’une passe avec sa cape fait un mouvement et la corne imposante de la bête entre dans la cuisse du pauvre garçon.
Il le projette en l’air et quand il retombe, il reçoit dans le côté un deuxième coup de corne.
Rapidement tous les professionnels sortent avec leurs capes et font des moulinets pour éloigner la bête. Le torero en sang est évacué vers l’infirmerie.
Manuel sort et avec ses hommes cadre le taureau et le tue d’un coup d’épée.
Julietta nous dit, ce que vient de faire El Cidero est très dangereux car le taureau à encore toute sa puissance, car il est resté sans être assez châtié. De plus il a planté ses cornes dans l’homme et est prêt pour défendre sa peau de recommencer.
Enfin dernier taureau pour El Cidero.
Une masse de plus de six cents kilos sort du toril.
Manuel se place à quelques mètres de la porte dans l’axe de la sortie de la bête les genoux au sol.
Lorsque le taureau se lance vers la lumière, il fonce littéralement sur l’homme.
D’un mouvement presque dédaigneux avec sa cape, il fait passer la bête à quelques centimètres de lui.
Les picadors, les banderilleros le taureau, sont tous au diapason du maestro.
Viens, le temps des passes de muleta. Gracieuses, très lente. Les passes dites «naturelles » s’enchaînent.
Manuel arrive même à arrêter le taureau et à effleurer avec son épée la tête de l’animal en plein centre de l’arène bouche fermé signe de bravoure pour un taureau et aussi pour l’élevage.
Le matador récupère, l’épée de mise à mort.
Il salue la montera à la main, il se tourne vers Séverine et l’a salut.
Tous les yeux sont braqués sur elle.
Julietta lui dit.
• Tu es morte, le maestro vient de t’offrir la mort de son taureau.
Il avance vers le monstre de muscle.
Il lance la montera derrière son épaule, elle vient tomber au sol la partie haute vers le ciel. Signe de bon présage d’après Pedro qui pour que je le regarde en profite pour poser sa main sur ma cuisse à la limite de ma mini.
Manuel fait faire encore une ou deux passes au taureau et se mettre en position pour plonger l’épée juste dans le triangle au-dessus de ses cornes.
D’un mouvement de muleta, il fait partir la bête. Il plonge au milieu des cornes et foudroie le monstre qui tombe littéralement à ses pieds.
D’un mouvement gracieux du bras, épée levée vers le ciel, il salue la foule, rotation vers la droite, revient et part vers la gauche pour s’arrêter en regardant fièrement Séverine. Je suis sûr que si je lui mets ma main dans la chatte, elle est complètement trempée.
• Regarde, Séverine El Cidero bande en te regardant.
Il est vrai que l’entrejambe de Manuel a pris du volume malgré le costume serré.
Dans sa posture, El Cidero fait comprendre a notre amie « Je suis le mâle, je suis ton mâle ».
Il va vers sa cuadrilla qui lui passe de l’eau et une serviette pour essuyer la sueur qui ruisselle sur son front.
Le public est en délire, tous volent sur la piste cousins, chapeaux.
J’aperçois même un soutien-gorge d’une taille imposante. La mama qui l’a jeté a dû allaiter la moitié des présents dans l’arène.
Le président accorde la première oreille, la foule réclame la deuxième qui lui revient.
Le président leur accorde.
Séverine debout, à côté de cet homme assis impassible, le regarde intensément. Un instant leur regard se croise et d’un air de lui dit ce mouchoir est à vous, il sort pour la troisième fois le mouchoir fatidique. Julietta hurle.
• Il vient de lui accorder la queue.
Pedro ajoute.
• La queue, c’est à Séverine qu’il là accordé.
Il me saute au cou et me plaque un baiser rapide.
La foule se calme, manuel El Cidero reçoit les deux oreilles et la queue de l’animal.
Ce taureau bravo sort, sous un triomphe du public Manuel s’est déplacé avec ses trophées vers le centre de l’arène ou comme avec l’épée, la main levée vers le ciel accompagne la sortie de son adversaire d’un soir.
Il revient vers les barrières près du public. Ses acolytes ramassent des brassées de fleurs, renvoient les objets vers le public.
El Cidero ses trois trophées dans les mains les confie à son adjoint se baisse pour ramasser un bouquet de roses.
Arrivé devant nous, il enlève une rose du bouquet et me la lance.
Il en sort une pour Julietta et lui lance.
Le reste du bouquet atterrit dans les bras de Séverine qui est émue aux larmes.
Il finit son tour d’honneur, salut la foule au centre de la piste.
Les gens de piste, ses coéquipiers soulèvent Manuel et en le portant sur les épaules, lui font passer la porte d’honneur des arènes.
Vous allez vous dire, comment moi Magali est pu donner tous ces détails sur la corrida moi qui n’en avais jamais-vu. Julietta est la cheville ouvrière de ce texte. Je la remercie.
La corrida est terminée, deux heures de spectacle haut en couleur.
Le Président se lève et vient vers nous. Un baisemain pour chacune, une poignée de main pour Pedro.
S’adressant à notre mentor, il lui dit.
• Vous descendez comme prévu voir les matadors.
Nous descendons dans le ventre de l’arène. Je demande à Julietta si nous pouvons aller prendre des nouvelles du jeune qui a été encorné.
Nous nous dirigeons vers l’infirmerie.
Le Président entre pour voir s’il est visible.
Il ressort et nous pouvons le rencontrer. Il est prêt à partir vers son hôtel, le médecin lui a posé quelques points de suture à lui faire, aucun organe vital n’a été touché.
Après nous avoir salué, il s’éclipse aidé par ses partenaires.
Nous ressortons de l’infirmerie, Séverine est impatiente, elle a envie de rejoindre son habit de lumières.
• Pedro, où sont les autres Matadors ?
• Ils sont partis à leur hôtel.
La corrida leur prend beaucoup d’énergie. Ils se produisent dans une autre arène demain et doivent donc se coucher tôt pour récupérer.
Un instant j’ai l’impression que Séverine va pleurer.
Julietta la prend par les épaules et la câline.
• Viens, petite, nous allons continuer la soirée.
Nous saluons le Président.
Nous reprenons la voiture de Pedro et rentrons directement à l’hôtel.
Nous montons aux chambres et je vois Pedro ouvrir la porte de la chambre au milieu des deux nôtre.
Lorsque nos amis nous voient nous diriger dans la même chambre, ils souhaitent que chacune rejoigne la chambre qui nous a été assignée.
• Tenu de soirée dans trente minutes.
Lorsque j’entre ma chambre ai tapissé de bouquets de roses de couleur rose.
On frappe à ma porte, Séverine voit les fleurs.
• C’est pareil chez moi, mais elles sont toutes rouge sang.
• Vite, va te préparer, il nous faut honorer notre contrat.
Elle virevolte et part en courant.
Trente minutes tapantes, nous sortons de la chambre, Julietta et Pedro sortent aussi.
La belle Andalouse a mis une robe traditionnelle si moulante qu’il lui soit impossible de cacher qu’elle est nu dessous.
Il faut dire que nos deux robes de soirée n’ont rien à lui envié sauf la longueur. Elle s’arrête dix centimètres sous nos chattes.
Rouge pour elle vert pour moi comme la couleur de nos colliers que l’on a mise.
Pedro nous entraîne vers le bas de l’hôtel.
Nous pénétrons dans un salon privé où une table est dressée.
Le couvert est mis pour une vingtaine de personnes.
Je regarde Séverine et je sens en elle la même crainte.
Allons-nous être dans l’obligation de contenter quinze à seize personnes.
Certes, Julietta a l’air d’avoir de la santé mais tout de même…La porte du salon s’ouvre et monsieur le Président entre accompagner de madame. Personne très élégante.
Je rigole, on me dirait, il y a presque deux mois, femme B.C.B.G. avant de franchir la barrière des tabous.
Nous entendons, beaucoup de bruit, la porte s’ouvre et les trois toreros accompagnés de leurs associées font leurs entrées.
D’un seul coup le sourire de Séverine éclaire son visage.
Julietta nous explique que, lorsque la corrida se termine, le nombre de femmes qui s’agglutinent aux portes de l’arène les oblige à fuir le plus rapidement possible vers leur hôtel. Ils peuvent enlever le costume qu’ils ont mis des heures à enfiler et enlever de leur corps tout le sang que les taureaux ont perdu.
Costume impeccable, certainement taillé par un maître tailleurs Manuel s’avance vers nous.
Il fait un baisemain à Julietta, puis à moi, et fait de même pour Séverine, mais au moment de lui toucher le dessus de la main, il la retourne et lui embrasse la base du poignet.
Le jeune torero blessé est là aussi, je m’approche de lui et lui demande.
• Comment, allez-vous ?
• Bien, il me sera impossible de travailler pendant au moins huit jours, mais après le soleil que le taureau m’a fait faire, je m’en sors bien.
• Quel âge as-tu ?
• Vingt ans.
• Quel est ton prénom ?
• Miguel madame.
• Pas la peine de m’appeler, Madame, mon prénom est Magalie.
Tu parles bien français, où as-tu appris ?
Il parle d’un rire franc.
• Je suis français de Nîmes.
• Tout petit, je passais entre les grilles des arènes pour voir les corridas. Mes parents étaient trop pauvres pour me payer l’entrée.
Lorsque j’ai eu l’âge, je suis entré à l’école taurine.
J’ai grimpé toutes les étapes pour arriver à être matador de taureau lors de la feria de ma ville, il y a un an.
Tu vois, à cette occasion, j’ai reçu la coleta ce petit chignon dans les cheveux.
Il me sera coupé lorsque je ferai mon dernier combat dans l’arène le plus tard possible, j’espère.
Pedro nous place a table.
Manuel est la vedette de la table avec Séverine a ses coté. Julietta est à sa droite avec Pedro. Puis vient une partie des compagnons des trois toreros.
En face de Miguel, la Présidente et le Président.
Quant à moi, je suis entre les autres toreros d’un côté Jésus et de l’autre mon petit Miguel.
Le reste des colistiers complète la table.
Jésus est bien sympa, mais j’ai rapidement l’impression qu’il n’a d’yeux que vers un bel étalon de sa cuadrilla.
En face de moi, Séverine a l’air aux anges.
Est-ce l’effet des mains de Manuel qui bizarrement manque sur la table.
Le repas se passe bien. L’heure avance rapidement.
Vers vingt-trois heures, le président se lève avec Madame.
Ils viennent nous saluer puis s’en vont.
Manuel tape dans ses mains.
Tous se lèvent et viennent un à un nous présenter leurs hommages.
Même Jésus part avec son bellâtre.
Pedro nous dit.
• Si nous montions dans nos chambres.
Arrivé à l’étage, il entre dans sa chambre et en ressort avec deux enveloppes l’une pour moi l’autre pour Séverine.
À partir de maintenant nous sommes de nouveau des putains qui vont se faire enfiler.
J’aide Miguel à entrer dans ma chambre. J’ai la nette impression que mon beau gosse s’appuie sur moi plus que de besoin.
Je le laisse faire amusée de la situation.
Aussitôt entré j’enlève ses vêtements. Il a l’air tétanisé.
• Décontract toi, je vais éviter de te faire de mal.
Sur son corps de nombreuses cicatrices marquent les endroits où les taureaux l’ont encorné.
Je m’agenouille et je lui prends le dard, il bande comme les taureaux qu’il tue.
Je le fais allonger, je récupère une capote et je viens m’enfourcher sur sa bite prête à éclater.
• Calme toi, si tu prends ton plaisir trop vite, notre soirée sera raté car tu seras le seul à avoir joui et ma chatte ne sera pas contente de ne pas avoir explosé.
Arrête de bouger, moi aussi je reste sans bouger.
Lorsque je sens que sa tension est retombée, je recommence à bouger sur sa verge.
Il me regarde avec des yeux pleins d’amour.
• Tu es la première femme à qui je fais l’amour.
• Tu es puceau.
• J’étais puceau.
Et il part dans un grand rire.
Pour la deuxième fois de ma vie, je viens de dépuceler un homme.
Le fait de parler a ralenti ses pulsions.
• J’avais entendu dire que les toreros étaient de grands baiseurs.
Pourquoi pas toi ?
• Je suis très timide et à chaque fois que j’ai voulu emmener une fille dans ma chambre, l’un des membres de nos équipes me l’a soulevé.
• Tu vas me promettre que maintenant avec les filles, tu seras le mâle dominant les femelles du troupeau comme le font les grands taureaux dans les élevages.
• Oui, Magali, je te le promets.
J’active le mouvement et je ressens une petite secousse comme du temps où je baisais avec Pierre.
Rien de grave pour l’instant, je suis là pour ce petit qui demande qu’à prendre son envole.
Voyant qu’il va décharger, j’enlève la capote l’embouche et le fait venir au fond de ma gorge.
Ses jets ininterrompus de spermes si longtemps refoulés dans ses testicules me font un bien fou.
Très fatigué par sa journée, il s’endort…
Il est dix-sept heures trente, Julietta nous dit que le « Paseo » va débuter.
Elle nous explique que le Paseo est un défilé dans un ordre très précis.
C’est parti, le défilé commence.
Elle nous commente qui y participe.
En tête sur son cheval l’alguazil amène les clefs du toril au responsable des taureaux.
Viennent ensuite deux chevaux de trait qui portent des armures de plusieurs kilos qui leur protège tout le corps. Ils portent les picadors avec leurs lances aux bouts acérés.
Les différentes personnes qui vont officier dans l’arène.
Et enfin les trois cuadrillas qui vont officier contre les taureaux.
Chaque cuadrilla est composée de trois péones chargés d’aider le matador, ils portent des capes de couleurs vives. Il y a avec eux deux picadors.
Chaque matador va toréer deux taureaux. Donc six taureaux par corrida.
Le principal matador, Manuel El Cidero, est magnifique dans son costume de lumière.
Je sens que Julietta vibre lorsqu’elle nous explique, c’est différents tempos.
Je pense que la belle Espagnole doit mouiller intensément vu la passion qui l’anime dès que les premières mesures de musiques ont démarré.
• Avez-vous vu l’entre jambes d’El Cidero ?
Il est reconnu par les femmes espagnoles que Manuel à la plus belle paire de tous les toreros qui officie dans les diverses arènes espagnoles.
Je sens autour de nous des regards appuyés. Trois belles femelles si près du Président doivent être des femmes importantes. Pedro a mon côté, bien sage pour le moment doit faire des envieux.
Le premier taureau est annoncé. Il pèse cinq cent cinquante kilos.
La porte du toril est ouverte, tout s’agite autour de cette porte.
Il sort, quelle bête, une masse de muscles.
Mon premier regard se porte sans le vouloir sur les couilles de la bête.
Qu’elle salope, je fais, un homme à genoux devant un taureau monstrueux qui risque sa vie si le grand mouvement en cercle avec sa cape se passe mal et moi ce que je repère, ce sont les roupettes énormes de l’animal.
Julietta se penche vers nous et dit.
• Vous avez vu les couilles de ce taureau.
Eh bien, il y a une autre salope assise dans cette loge.
Séverine ajoute.
• Vous aussi mes salopes, vous les avez remarquées.
Regarde Magali, elle traîne presque jusqu’au sol.
La corrida se poursuit et le petit matador qui officie tue son premier toro.
La foule est en délire, elle agite des mouchoirs blancs.
Notre hôtesse nous demande de regarder le Président, s’il place son mouchoir blanc sur la balustrade devant lui, le matador obtiendrait une oreille de la bête qui est étendue sur le sable de l’arène. Nous sommes comme tout le monde très existés.
J’entends Séverine crier vers lui.
• Tu vas le sortir ton mouchoir.
Le Président fini par le sortir.
La foule redouble a faire tourner les mouchoirs, le président est imperturbables.
Le taureau mort est emmené tiré par deux chevaux.
Il s’est bien battu, la foule l’applaudit.
Le torero avec sa quadrille fait un tour d’honneur pour ramasser tout ce que les gens leurs lances. Fleurs Chapeau et autres objets hétéroclites.
La seconde cuadrilla fait un travail propre sans faire vibrer la foule. Le taureau mort sort sous les sifflets.
Pas de tour de piste pour le torero.
Enfin, c’est à lui, magnifique dans son costume rouge sang.
Séverine nous dit,
• Vous voyez, son costume est de la même couleur que ma crinière.
Ensemble, nous éclatons de rire.
C’est fait la bête de cinq cent quatre-vingt-dix kilos est morte.
Le président, après bien du temps lui, accorde une oreille.
Le matador commence son tour d’honneur. Lorsqu’il arrive à notre hauteur, il prend trois roses et nous les envoie une par une à chacune.
Pedro nous dit.
• Ce geste fait par le matador est considéré comme un hommage à votre beauté. Vous venez de vous faire des centaines d’ennemies femmes présentes dans l’arène.
Deuxième taureau pour les deux autres exécutants, le premier à la malechance, la bête n’a pour lui que ses couilles qui nous fascinent.
Le deuxième torero lors d’une passe avec sa cape fait un mouvement et la corne imposante de la bête entre dans la cuisse du pauvre garçon.
Il le projette en l’air et quand il retombe, il reçoit dans le côté un deuxième coup de corne.
Rapidement tous les professionnels sortent avec leurs capes et font des moulinets pour éloigner la bête. Le torero en sang est évacué vers l’infirmerie.
Manuel sort et avec ses hommes cadre le taureau et le tue d’un coup d’épée.
Julietta nous dit, ce que vient de faire El Cidero est très dangereux car le taureau à encore toute sa puissance, car il est resté sans être assez châtié. De plus il a planté ses cornes dans l’homme et est prêt pour défendre sa peau de recommencer.
Enfin dernier taureau pour El Cidero.
Une masse de plus de six cents kilos sort du toril.
Manuel se place à quelques mètres de la porte dans l’axe de la sortie de la bête les genoux au sol.
Lorsque le taureau se lance vers la lumière, il fonce littéralement sur l’homme.
D’un mouvement presque dédaigneux avec sa cape, il fait passer la bête à quelques centimètres de lui.
Les picadors, les banderilleros le taureau, sont tous au diapason du maestro.
Viens, le temps des passes de muleta. Gracieuses, très lente. Les passes dites «naturelles » s’enchaînent.
Manuel arrive même à arrêter le taureau et à effleurer avec son épée la tête de l’animal en plein centre de l’arène bouche fermé signe de bravoure pour un taureau et aussi pour l’élevage.
Le matador récupère, l’épée de mise à mort.
Il salue la montera à la main, il se tourne vers Séverine et l’a salut.
Tous les yeux sont braqués sur elle.
Julietta lui dit.
• Tu es morte, le maestro vient de t’offrir la mort de son taureau.
Il avance vers le monstre de muscle.
Il lance la montera derrière son épaule, elle vient tomber au sol la partie haute vers le ciel. Signe de bon présage d’après Pedro qui pour que je le regarde en profite pour poser sa main sur ma cuisse à la limite de ma mini.
Manuel fait faire encore une ou deux passes au taureau et se mettre en position pour plonger l’épée juste dans le triangle au-dessus de ses cornes.
D’un mouvement de muleta, il fait partir la bête. Il plonge au milieu des cornes et foudroie le monstre qui tombe littéralement à ses pieds.
D’un mouvement gracieux du bras, épée levée vers le ciel, il salue la foule, rotation vers la droite, revient et part vers la gauche pour s’arrêter en regardant fièrement Séverine. Je suis sûr que si je lui mets ma main dans la chatte, elle est complètement trempée.
• Regarde, Séverine El Cidero bande en te regardant.
Il est vrai que l’entrejambe de Manuel a pris du volume malgré le costume serré.
Dans sa posture, El Cidero fait comprendre a notre amie « Je suis le mâle, je suis ton mâle ».
Il va vers sa cuadrilla qui lui passe de l’eau et une serviette pour essuyer la sueur qui ruisselle sur son front.
Le public est en délire, tous volent sur la piste cousins, chapeaux.
J’aperçois même un soutien-gorge d’une taille imposante. La mama qui l’a jeté a dû allaiter la moitié des présents dans l’arène.
Le président accorde la première oreille, la foule réclame la deuxième qui lui revient.
Le président leur accorde.
Séverine debout, à côté de cet homme assis impassible, le regarde intensément. Un instant leur regard se croise et d’un air de lui dit ce mouchoir est à vous, il sort pour la troisième fois le mouchoir fatidique. Julietta hurle.
• Il vient de lui accorder la queue.
Pedro ajoute.
• La queue, c’est à Séverine qu’il là accordé.
Il me saute au cou et me plaque un baiser rapide.
La foule se calme, manuel El Cidero reçoit les deux oreilles et la queue de l’animal.
Ce taureau bravo sort, sous un triomphe du public Manuel s’est déplacé avec ses trophées vers le centre de l’arène ou comme avec l’épée, la main levée vers le ciel accompagne la sortie de son adversaire d’un soir.
Il revient vers les barrières près du public. Ses acolytes ramassent des brassées de fleurs, renvoient les objets vers le public.
El Cidero ses trois trophées dans les mains les confie à son adjoint se baisse pour ramasser un bouquet de roses.
Arrivé devant nous, il enlève une rose du bouquet et me la lance.
Il en sort une pour Julietta et lui lance.
Le reste du bouquet atterrit dans les bras de Séverine qui est émue aux larmes.
Il finit son tour d’honneur, salut la foule au centre de la piste.
Les gens de piste, ses coéquipiers soulèvent Manuel et en le portant sur les épaules, lui font passer la porte d’honneur des arènes.
Vous allez vous dire, comment moi Magali est pu donner tous ces détails sur la corrida moi qui n’en avais jamais-vu. Julietta est la cheville ouvrière de ce texte. Je la remercie.
La corrida est terminée, deux heures de spectacle haut en couleur.
Le Président se lève et vient vers nous. Un baisemain pour chacune, une poignée de main pour Pedro.
S’adressant à notre mentor, il lui dit.
• Vous descendez comme prévu voir les matadors.
Nous descendons dans le ventre de l’arène. Je demande à Julietta si nous pouvons aller prendre des nouvelles du jeune qui a été encorné.
Nous nous dirigeons vers l’infirmerie.
Le Président entre pour voir s’il est visible.
Il ressort et nous pouvons le rencontrer. Il est prêt à partir vers son hôtel, le médecin lui a posé quelques points de suture à lui faire, aucun organe vital n’a été touché.
Après nous avoir salué, il s’éclipse aidé par ses partenaires.
Nous ressortons de l’infirmerie, Séverine est impatiente, elle a envie de rejoindre son habit de lumières.
• Pedro, où sont les autres Matadors ?
• Ils sont partis à leur hôtel.
La corrida leur prend beaucoup d’énergie. Ils se produisent dans une autre arène demain et doivent donc se coucher tôt pour récupérer.
Un instant j’ai l’impression que Séverine va pleurer.
Julietta la prend par les épaules et la câline.
• Viens, petite, nous allons continuer la soirée.
Nous saluons le Président.
Nous reprenons la voiture de Pedro et rentrons directement à l’hôtel.
Nous montons aux chambres et je vois Pedro ouvrir la porte de la chambre au milieu des deux nôtre.
Lorsque nos amis nous voient nous diriger dans la même chambre, ils souhaitent que chacune rejoigne la chambre qui nous a été assignée.
• Tenu de soirée dans trente minutes.
Lorsque j’entre ma chambre ai tapissé de bouquets de roses de couleur rose.
On frappe à ma porte, Séverine voit les fleurs.
• C’est pareil chez moi, mais elles sont toutes rouge sang.
• Vite, va te préparer, il nous faut honorer notre contrat.
Elle virevolte et part en courant.
Trente minutes tapantes, nous sortons de la chambre, Julietta et Pedro sortent aussi.
La belle Andalouse a mis une robe traditionnelle si moulante qu’il lui soit impossible de cacher qu’elle est nu dessous.
Il faut dire que nos deux robes de soirée n’ont rien à lui envié sauf la longueur. Elle s’arrête dix centimètres sous nos chattes.
Rouge pour elle vert pour moi comme la couleur de nos colliers que l’on a mise.
Pedro nous entraîne vers le bas de l’hôtel.
Nous pénétrons dans un salon privé où une table est dressée.
Le couvert est mis pour une vingtaine de personnes.
Je regarde Séverine et je sens en elle la même crainte.
Allons-nous être dans l’obligation de contenter quinze à seize personnes.
Certes, Julietta a l’air d’avoir de la santé mais tout de même…La porte du salon s’ouvre et monsieur le Président entre accompagner de madame. Personne très élégante.
Je rigole, on me dirait, il y a presque deux mois, femme B.C.B.G. avant de franchir la barrière des tabous.
Nous entendons, beaucoup de bruit, la porte s’ouvre et les trois toreros accompagnés de leurs associées font leurs entrées.
D’un seul coup le sourire de Séverine éclaire son visage.
Julietta nous explique que, lorsque la corrida se termine, le nombre de femmes qui s’agglutinent aux portes de l’arène les oblige à fuir le plus rapidement possible vers leur hôtel. Ils peuvent enlever le costume qu’ils ont mis des heures à enfiler et enlever de leur corps tout le sang que les taureaux ont perdu.
Costume impeccable, certainement taillé par un maître tailleurs Manuel s’avance vers nous.
Il fait un baisemain à Julietta, puis à moi, et fait de même pour Séverine, mais au moment de lui toucher le dessus de la main, il la retourne et lui embrasse la base du poignet.
Le jeune torero blessé est là aussi, je m’approche de lui et lui demande.
• Comment, allez-vous ?
• Bien, il me sera impossible de travailler pendant au moins huit jours, mais après le soleil que le taureau m’a fait faire, je m’en sors bien.
• Quel âge as-tu ?
• Vingt ans.
• Quel est ton prénom ?
• Miguel madame.
• Pas la peine de m’appeler, Madame, mon prénom est Magalie.
Tu parles bien français, où as-tu appris ?
Il parle d’un rire franc.
• Je suis français de Nîmes.
• Tout petit, je passais entre les grilles des arènes pour voir les corridas. Mes parents étaient trop pauvres pour me payer l’entrée.
Lorsque j’ai eu l’âge, je suis entré à l’école taurine.
J’ai grimpé toutes les étapes pour arriver à être matador de taureau lors de la feria de ma ville, il y a un an.
Tu vois, à cette occasion, j’ai reçu la coleta ce petit chignon dans les cheveux.
Il me sera coupé lorsque je ferai mon dernier combat dans l’arène le plus tard possible, j’espère.
Pedro nous place a table.
Manuel est la vedette de la table avec Séverine a ses coté. Julietta est à sa droite avec Pedro. Puis vient une partie des compagnons des trois toreros.
En face de Miguel, la Présidente et le Président.
Quant à moi, je suis entre les autres toreros d’un côté Jésus et de l’autre mon petit Miguel.
Le reste des colistiers complète la table.
Jésus est bien sympa, mais j’ai rapidement l’impression qu’il n’a d’yeux que vers un bel étalon de sa cuadrilla.
En face de moi, Séverine a l’air aux anges.
Est-ce l’effet des mains de Manuel qui bizarrement manque sur la table.
Le repas se passe bien. L’heure avance rapidement.
Vers vingt-trois heures, le président se lève avec Madame.
Ils viennent nous saluer puis s’en vont.
Manuel tape dans ses mains.
Tous se lèvent et viennent un à un nous présenter leurs hommages.
Même Jésus part avec son bellâtre.
Pedro nous dit.
• Si nous montions dans nos chambres.
Arrivé à l’étage, il entre dans sa chambre et en ressort avec deux enveloppes l’une pour moi l’autre pour Séverine.
À partir de maintenant nous sommes de nouveau des putains qui vont se faire enfiler.
J’aide Miguel à entrer dans ma chambre. J’ai la nette impression que mon beau gosse s’appuie sur moi plus que de besoin.
Je le laisse faire amusée de la situation.
Aussitôt entré j’enlève ses vêtements. Il a l’air tétanisé.
• Décontract toi, je vais éviter de te faire de mal.
Sur son corps de nombreuses cicatrices marquent les endroits où les taureaux l’ont encorné.
Je m’agenouille et je lui prends le dard, il bande comme les taureaux qu’il tue.
Je le fais allonger, je récupère une capote et je viens m’enfourcher sur sa bite prête à éclater.
• Calme toi, si tu prends ton plaisir trop vite, notre soirée sera raté car tu seras le seul à avoir joui et ma chatte ne sera pas contente de ne pas avoir explosé.
Arrête de bouger, moi aussi je reste sans bouger.
Lorsque je sens que sa tension est retombée, je recommence à bouger sur sa verge.
Il me regarde avec des yeux pleins d’amour.
• Tu es la première femme à qui je fais l’amour.
• Tu es puceau.
• J’étais puceau.
Et il part dans un grand rire.
Pour la deuxième fois de ma vie, je viens de dépuceler un homme.
Le fait de parler a ralenti ses pulsions.
• J’avais entendu dire que les toreros étaient de grands baiseurs.
Pourquoi pas toi ?
• Je suis très timide et à chaque fois que j’ai voulu emmener une fille dans ma chambre, l’un des membres de nos équipes me l’a soulevé.
• Tu vas me promettre que maintenant avec les filles, tu seras le mâle dominant les femelles du troupeau comme le font les grands taureaux dans les élevages.
• Oui, Magali, je te le promets.
J’active le mouvement et je ressens une petite secousse comme du temps où je baisais avec Pierre.
Rien de grave pour l’instant, je suis là pour ce petit qui demande qu’à prendre son envole.
Voyant qu’il va décharger, j’enlève la capote l’embouche et le fait venir au fond de ma gorge.
Ses jets ininterrompus de spermes si longtemps refoulés dans ses testicules me font un bien fou.
Très fatigué par sa journée, il s’endort…
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