Femme BCBG, escorte, non, pute… (27)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (27) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (27)
Après avoir assisté à une corrida à Ronda, nous avions été invités à venir en Espagne pour nous occuper des toreros qui ont officié tous l’après-midi.
Séverine a séduit Manel, le principal torero ayant tué trois taureaux avec une sortie triomphale par la grande porte après avoir coupé les deux oreilles et la queue de son dernier taureau.
Je viens de dépuceler le jeune Miguel et pendant qu’il dort, je passe dans la chambre mitoyenne où Pedro et Julietta ont leur chambre.
Discrètement je regarde si la porte de communication est ouverte.
Pedro et Julietta son couché nue tous les deux. Julietta, avec sa main, caresse le sexe de son homme.
Il bande. Je grimpe sur le lit, viens directement entre les cuisses de ma copine et je la lèche goulûment.
Encore une dame épilée au laser, il va falloir que j’y pense.
Subitement, étant en position de levrette, je sens que l’on me prend les hanches avec des mains vigoureuses.
Je lève légèrement la tête et vois Pedro à genoux derrière moi.
Je replonge dans la chatte de sa femme.
Sans plus attendre, il me sodomise.
Qu’est-ce que j’aime ça ?
Lorsque sa femme le branlait, il présentait un sexe fort intéressant.
Au bout du compte, on se donne beaucoup de plaisir entre amis.
Il me remplit, sa femme se tortille sous ma langue et me fait exploser un très bel orgasme dans ma bouche.
Je me retourne enlève la capote et nettoie intégralement la queue de notre mentor.
Continuant mon périple de chambre en chambre, je franchis la porte où se trouve Séverine.
Manuel vient juste de sortir de sa chatte. Elle était dans une position inconnue de moi.
Elle était placée sur le lit les épaules posées dessus.
Les jambes relevées passant au-dessus de sa tête le cul en l’air.
Son mâle en se tenant la queue la propulsait dans l’un des deux orifices à sa disposition.
Ce traitement lui a fait de l’effet, car il l’a rempli de semence.
Ma copine ramène ses jambes sur le lit et me présente un visage qui en dit long sur le plaisir qu’elle a pris.
Lorsqu’il me voie,
• Tu arrives trop tard, ça fait trois fois que ta salope de copine m’a fait décharger, je suis vanné. Je vais être obligé de vous quitter, j’ai une corrida demain et comme il me faut mon temps de sommeil, je risque l’accident.
Il remet, son slip nous embrasse en nous disant.

• Pedro a l’adresse de votre site, je vous ferais revenir rapidement.

Il quitte la chambre.
Je m’allonge auprès de ma grande sur son lit. Je lui dis que je suis venu dès que j’ai pu, car j’avais peur que de la façon dont elle était amoureuse ne lui fasse prendre des risques.
J’ajoute que dans ma valise, j’ai récupéré son enveloppe pour ses plaisirs sexuels. Elle rit, va dans son sac et envoie sur le lit une pluie de billets de cinq cents euros.

• Dix billets, cinq mille euros. Tu peux m’expliquer.
• Lorsque je suis entré dans la chambre avec Manuel, rapidement il m’a mise nue.
Quand il a commencé à me brouter la chatte et je lui ai dit que s’il avait gagné les deux oreilles et la queue de son taureau, c’est parce que j’avais fait monter la pression en lui en répondant à ses invitations dans l’arène.
La victoire qu’il avait obtenue va lui permettre d’engranger des milliers d’euros en signant des contrats juteux. Pendant que moi petite pute parisienne, il me donnait des miettes de billets.
Il a quitté la chambre cinq minutes et est revenu avec tous ses billets. J’étais deux fois plus contente qu’il s’occupe de tout mon corps.
Tu vois, j’ai apprécié que mon matamore face de moi la reine de l’arène mais je suis resté lucide pour repartir d’ici avec les poches remplis de billets.
• Tu as dit matamore.
• Oui, ceux qui tuent des taureaux.
• Ce sont des toreros ou des matadors.
• Matamore ou matadors, le principal, c’est qu’il met bien baisé.

J’emmène ma Séverine retrouver Miguel dans ma chambre.
Lorsque je passe dans celle du couple, il n’y a personne.
Nous passons chez moi, le tableau que nous découvrons me fait énormément plaisir.
Pedro est allongé sur le lit, jambes pendantes de côté. Julietta est empalée sur la verge de son homme par la chatte et Miguel est debout derrière Julietta et l’encule.
Il se retourne.

• Tu vois Magali, je mets déjà en pratique ce que je t’ai promis, j’en baise déjà une deuxième.
• Et ils me baisent bien ces deux salopards.
En nous disant cela, sa gorge laisse échapper un râle qui prouve le plaisir qu’elle prend.
Nous nous plaçons de chaque côté des couples.
Miguel me regarde et est fier des exploits réalisés en peu de temps.,
• Tu vas voir, tout à l’heure je vais encore t’en remettre un petit coup.
• Et moi.

C’est Séverine qui a parlé.

Au pardon, je vais m’occuper de toi aussi, mes couilles sont si pleines depuis que j’attends vos chattes qu’il y en aura pour chacune d’entre vous.
Le trio s’envoie en l’air dans des râles de plaisir.
Miguel vient en quelques heures de jetées toutes ses inhibitions.
Avant qu’ils se dessoudent, j’enlève mon collier rouge et le mets au cou de Julietta.
Séverine court chercher la laisse dans sa chambre. Elle l’attache à l’anneau.
Surprise, je vois ma grande donner la laisse au mari.

• Pedro, je te donne la laisse de cette chienne, jusqu'à demain fait en ton esclave, plutôt notre esclave.
• Ma belle pute, est-ce que tu acceptes ?
• Et comment, je suis toute à vous !
• Tu le seras jusqu’au moment où nous détacherons ce collier avant le décollage de notre avion.
Nous allons voir jusqu’où tu es notre esclave.
Les garçons, mettons-nous sur le lit un homme une femme !
Pedro en un, moi en deux, Miguel en trois, Séverine en quatre.
Maintenant mets toi face à ton mari, pompe le. En même temps, tu passes de l’un à l’autre rapidement. Tu feras pareil avec les deux autres.
Pedro toi qui tient la laisse, tu la diriges si elle est trop longue.
Vas-y.
Tu as envie de faire ce que je te demande.

Elle répond trop lentement, le maître de la laisse a compris son rôle, il tire légèrement, elle comprend son erreur.

• Je te le redemande, as-tu envies de le faire.
• Oui, Magali, j’ai envie.
• Depuis quand une esclave appelle ses maîtres par leur prénom. On dit oui maîtresse ou oui maître.
Attention ces directives seront valables jusqu'à ce que l’on enlève le collier.
Tu as compris.
• Oui, maîtresse.
• Alors, commence à t’occuper de nous.

Elle embouche son homme deux trois allés et retours et elle passe à mon minou.
Au bout de quelque temps, il bande. Ma chatte, elle est prête, je me mets en levrette et j’attends que Pedro me pénètre.

• Pedro passe la laisse à Miguel.
Julietta va t’occuper d’eux.
• Oui, maîtresse.

Le mâle placé, derrière mon intimité, fourre sa bitte bien au fond de mon vagin.
De leur côté, nos amis reçoivent les services de l’esclave.
Miguel bande en quelques secondes.
Séverine nous fait comprendre d’accélérer la pénétration, elle a une grande envie de recevoir cette jeune pousse dans sa minette.

• Séverine met toi en position comme moi. Et fais-toi pénétrer.

Le jeune étalon prépare sa saillie et directement fonce au centre de la cible.
Ironique,
• Et de trois. Tu vois Magali, je respecte ma promesse. À partir de maintenant mes femelles, vous avez intérêt à préparer vos petites chattes, j’arrive.

De mon côté la barre que j’ai dans ma vulve commence à me faire de l’effet. Séverine elle aussi commence à monter dans les gammes.
Notre esclave s’ennuie.

• Va prendre les boules de ces messieurs pour les aider à nous honoréééé….

Elle s’approche de Miguel et lui gobe les boules. Le petit apprécie.
Nous finissons de jouir ensemble et nous écroulons tous repus de fatigue.
Deux minutes après tout le monde dort un peu enchevêtré.

Huit heures, mon phone sonne. Il faut se lever.
Je bouge et j’aperçois Séverine et Miguel qui assit sur une chaise sont en train de baiser. Miguel est assis et la grande est emmanchée face à lui.
Je les regarde, ils sont beaux, je respect leur intimité et bougent que, lorsque leurs sexes repus se séparent.
Je sonne le tocsin, tout le monde a la douche.
Pedro appelle la réception et fait monter dans leur chambre un petit déjeuner pour six personnes.
Miguel nous quitte, mais avant je lui demande son numéro de portable. Je tiens à suivre l’évolution de sa carrière et de ses amours.
Lorsque nous sommes prêtes, Pedro nous accompagne jusqu’au hall de l’hôtel.

• Je vous confie mon épouse.
Je vous passe sa laisse pour que notre esclave soit jusqu’à votre départ pour Paris entièrement à votre service. Faite en bon usage.

À neuf heures trente, nous partons à l’héliport où Eduardo doit nous attendre.
Lorsque la voiture qui nous a amenés repart, Eduardo avance vers nous et salut Julietta. Il n’a aucun recul en la voyant porter fièrement mon collier et la laisse détachée que tient Séverine.
Il nous fait monter. Séverine passe sur la banquette arrière.
Lorsque Julietta est installée à ses côtés et quand j’ai refermé la porte, je remets la laisse à son mousqueton.

• Enlève ta jupe.

Elle s’exécute. Elle est maintenant nue du bas-ventre.
Eduardo lorsqu’il a fait le tour pour s’asseoir devant son manche est obligé de remarquer le changement de tenue de notre amie.
Il fait décoller l’appareil.

• Ou vous voulez aller, nous avons largement le temps de rejoindre Malaga.

Il se dirige en direction du rocher de Gibraltar sans passer dans leur espace aérien.
Dans les champs, nous pouvons apercevoir à côté des fermes andalouses des troupeaux de taureaux.
Eduardo descend au plus bas pour éviter d’effrayer ces bêtes monstrueuses.
Nous faisons demi-tour et remontons la côte.

• Tu peux rejoindre les orangeraies notre petite esclave a envie de manger des agrumes.

Il retrouve le carré d’herbe où il peut poser son hélico.
Arrivé au sol rotor arrêté, il vient nous faire descendre.
J’enlève mes chaussures pour qu’elles restent propres pour la fin du voyage.
Julietta descend nous regardant fièrement. Je l’emmène jusqu’aux arbres.

• Occupe-toi de notre pilote, depuis hier, tu as eu ta dose de plaisir lui pas.

Elle lui défait, la braguette sort sa verge et la place au fond de sa bouche.
Elle le pompe goulûment.
Il réagit et nous présente une tige fièrement dressée vers le ciel.

• Agenouille-toi et met toi en levrette.

Elle s’exécute. Il se présente.

• Tu as déjà baissé cette chienne.
• Oui, nous sommes voisins et amants depuis trois ans.
• Pedro le sait et souvent nous la labourons ensemble.

Julietta toujours les fesses en l’air se permet de demander quand elle peut espérer qu’il va l’enfiler.
Je devrais la remettre à sa place, mais je manque de courage.
Eduardo la prend rapidement et ses mouvements et ses râles nous font voir qu’elle jouit et lui aussi.
Nous retournons à l’hélico.
Dommage, je me serais bien fait mettre une fois par notre bel Andalou, mais il est l’heure de rejoindre Malaga.
Au moment de décoller, le téléphone de Julietta sonne. Elle écoute et me tend le portable.
C’est Pedro.

• Est-ce que mon épouse est sage ?
• Oui, elle vient d’apprécier l’orangeraie et surtout la verge de votre ami Eduardo.
• Puis-je te demander un service ?
• Si je peux bien sûr.
• Peux-tu me faire parvenir un collier et une laisse ?
• Pas de problème, mon maroquinier va finir par faire fortune avec toutes mes nouvelles clientes.
• Ma belle garce adore le rose. Cuir Rose et Saphir rose feront un ensemble fort agréable et un joli cadeau pour son anniversaire dans deux mois.
• L’organisation vous fera tous parvenir rapidement.
• Bon voyage et bonne visite du palais de l’Alcazar.

Il raccroche.
Nous décollons et quelque temps plus tard nous nous posons sur l’aéroport de Malaga.
Comme prévu un chauffeur nous attend et nous conduit devant une fortification qui de l’extérieur cache bien le trésor qu’il contient.
Julietta comme elle nous la dit nous ouvre toutes les portes.
La visite de cette merveille, avec notre guide nous, émerveille.
L’Alcazar est un palais-forteresse situé sur une colline au sommet de laquelle est érigé le château de Gibralfaro.
Elle nous fait visiter les salles.
Dans l’une d’elles, un homme d’une grande beauté se promène devant nous.
Je me tourne vers Julietta et lui dit, nous venons de passer devant des toilettes pour dames.

• Tu vois cet homme, débrouille-toi, pour qu’il te suive là-bas et fait, toi baiser.

Un moment de doute mais elle s’exécute. Elle rattrape le mâle, lui parle.
Que se disent-ils, mais fond demi-tour, passe près de nous et s’engouffre aux toilettes.
Nous les suivons. Avec Séverine, nous nous plaçons près de la porte extérieure comme si nous faisions la queue.
J’entends dans la toilette des bruits qui ne souffre d’aucun doute, l’homme la baise.
Ils parlent en anglais.
Je comprends certains mots mais pas la totalité.
« Tu aimes ça, ………. une vrai salope ……ma queue…… » et elle « ….grosse……jouis…. ».
Je fais une photo de la porte des toilettes où ils baisent. Pour l’album.
Plus rien, ils doivent avoir terminé et doivent se rajuster.
Nous nous reculons. Je le vois sortir en faisant attention à ce que personne ne le voie.
Julietta sort aussi et nous rejoint. L’homme la voie nous rejoindre et doit se demander à quel jeu nous jouons.
Séverine et moi nous l’embrassons. Je lui enlève le collier.

• Tu es libre ma chérie.

Elle nous regarde avec des yeux pleins d’amour.

• Je croyais être une belle garce, mais j’ai trouvé plus forte que moi comme salope.

Nous finissons la visite et je flash à tous va.
Il est l’heure de retourner à l’avion.
Dans l’aéroport, nous prenons un encas pour reprendre des forces.
Julietta nous fait arriver directement à l’embarquement sans attente.
Au moment de quitter notre amie.

• Ne vous en faites pas vous reviendrez.

Je lui donne une carte du site sur laquelle j’écris Magali et Séverine.
Nous nous embrassons et nous entrons dans l’avion.
Nous décollons au revoir l’Espagne.
L’hôtesse qui nous place est inconnue de Séverine, non Véronique.

• Pardon mademoiselle, vous avez des bananes.
• Oui, ma jeune collègue au bout de la cabine fait son premier voyage.

Comme d’habitude pour le retour, dès que l’avion a décollé, nous dormons pour récupérer…

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