Femme BCBG, escorte, non, pute… (28)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (28)
De retour de notre voyage en Espagne avec Séverine, nous avons repris l’avion après avoir honoré notre contrat avec les toreros qui ont fait la corrida de l’après-midi à Rondo.
Dix-huit heures l’avion se pose, nous sortons et récupérons nos bagages.
Des personnes avec des noms sur des pancartes attendent les passagers sortant de l’avion.
Véronique et Christine viennent de faire leur retour en France.
Pas de pancartes, mais Virginie, Anne et Aline nous, attendent.
Elles nous font signe.
Nous tombons toutes dans les bras l’une l’autre.
• Vous êtes venues nous chercher. Sympa, mais à cinq dans une mini avec les bagages, on va être serré.
Pourquoi rient-elles en m’entendent.
• Vous avez très bien travaillé en Espagne, l’organisation m’a appelé, le client est enchanté et souhaite que dans quelques semaines vous les retrouviez.
Tient Anne sait depuis que je lui ai dit que nous sommes des escortes girls.
Mais Aline est-elle au courant, nous verrons bien ce soir avec Virginie.
Nous arrivons sur le parking de l’aérogare. Je cherche la mini, mais elle brille par son absence.
Virginie appuie sur sa clef et à quelques mètres les feux d’une voiture inconnue s’allument.
Virginie voit notre étonnement.
• Lorsque l’on a parlé des voitures pour partir dimanche, une idée m’est venue.
Il y a longtemps que j’envisage de changer pour prendre plus grand.
J’ai vu sur un panneau publicitaire une voiture dont le dizain m’a beaucoup plus.
C’est une Citroën C4 Cactus.
Je suis allée chez le concessionnaire près de chez nous.
Il en avait une en stock bleu Lagoon.
Ils me l’ont préparé et nous sommes allées la chercher avec les filles tous à l’heure.
J’ai demandé qu’il me ramène le mini, demain, car je vais l’offrir à Anne et Aline lorsqu’elles auront passé et réussit leur permis.
Après votre départ, j’ai pensé à inscrire Aline avec sa sœur auprès de Stéphane.
Elles le passeront après les vacances.
Nous embraquons. Elle sent le neuf. Le coffre est spacieux.
Nous passons déposer Véronique, car elle doit préparer ses affaires pour dimanche.
De retour au pavillon, Madeleine nous attend.
Virginie suivi des filles dépose leurs vêtements. J’en fais autant.
Madeleine vient vers moi et me remercie pour tout ce que j’ai fait pour l’aider.
Elle a toujours ses habits sans âmes. Il est trop tard pour remédier à ce problème.
Je verrai cela à Royan.
Elle nous a préparé un repas aux chandelles au bord de la piscine pour fêter mon retour.
Je plonge pour me rafraîchir après ce voyage mouvementé.
Anne toujours amoureuse autant que moi me suis et inexorablement nos bouches se cherchent, se trouve et nos corps qui se soudent dans l’eau nous permettent de prendre un petit plaisir.
De retour à table Virginie me demande de lui raconter notre séjour et ce que nous avons fait qui sortait de l’ordinaire.
Je lui explique les grandes lignes de ce qui sait passer.
Je lui parle du plaisir que j’ai eu à dépuceler Miguel, le beau toréador et le bon moment que nous avons pris avec Véronique lorsque nous avons imposé à notre esclave Julietta de se faire sauter dans les toilettes du Palais de Malaga, sans oublier Véronique dans les arènes étant la reine de l’après-midi.
Virginie m’explique que l’organisation a accepté sa proposition non seulement d’engager Anne mais aussi Aline qui rêve depuis qu’elle sait ce que nous faisons de nous accompagner.
Je pense en mon for intérieur que le père des deux fillettes à quitter l’Indonésie en enlevant sa femme à un réseau de prostitution et que ses filles vont revenir aux sources volontairement elle.
Ainsi va la vie.
Nous aidons à débarrasser et au dodo, demain boulot.
Vendredi Virginie nous emmène travailler.
En arrivant les filles nous voit sortir de la voiture et nous entourent.
Elles finissent par aller se préparer, les clientes arrivent.
J’ai peu de travail ce matin. L’approche des vacances ralentit les commandes et les livraisons.
J’ai quelques coups de fil de clientes pour des rendez-vous en septembre.
Je demande à Virginie si je peux m’absenter jusqu’en début d’après-midi.
Il faut que j’aille chez le maroquinier.
J’y arrive rapidement, je lui demande s’il peut me fabriquer un collier et une laisse roses avec Saphir rose.
Je viendrai chercher l’ensemble au début septembre après mes vacances.
Je repars et je vais prendre un café.
J’en profite pour passer un coup de fil a une personne qui m’intéresse.
06 16…… ça décroche.
• Allô. Marie-Ange ?
• Oui.
• Bonjour, je t’appelle comme je te l’avais promis à l’institut.
• Oui, je me souviens. Comment vas-tu ?
• Bien, j’aimerais te rencontrer.
• Viens chez moi, je viens de me lever. J’ai un petit studio sous les toits.
Elle me donne son adresse dans le 1er arrondissement.
• Je peux venir maintenant.
• Oui, je t’attends.
Pour gagner du temps, je prends un taxi.
Pas content le gars, trois kilomètres et je suis arrivé.
• Excusez-moi.
Je le paye avec un gros pourboire.
J’entre dans l’immeuble et je monte jusque sous les toits.
Un couloir mansardé.
Deux portes, la première est anonyme.
La deuxième, une carte « Marie-Ange, manucure ».
Je frappe.
Elle m’ouvre en nuisette.
• Excuse, je sors de ma douche.
J’entre, la pièce est minuscule.
Handicape supplémentaire, un pan coupé avec un Velux permet d’être debout que sur les trois quarts de la pièce.
Tu vois, c’est restreint, m'est mon budget m’empêche de déménager.
Elle me fait installer sur le lit, seul endroit où s’asseoir.
Un lit, une petite table. Une penderie, dans un coin, une douche, un lavabo et les toilettes protégées par un paravent.
• Tu loues chère.
• Sept cents euros plus les charges. C’est exorbitant.
Elle s’assoit à côté de moi, sa nuisette ne me cache rien.
• J’ai vu sur ta porte que tu es pratique la manucure.
• Oui, je travaille principalement à domicile.
Quelquefois ici sur le lit et la table.
J’entretiens les ongles, mais ma spécialité, ce sont des motifs peints sur les ongles.
Ce sont des créations uniques. Chaque fois un motif différent. Les clientes choisissent la couleur.
• Oui, j’ai déjà vu des femmes qui en avaient et j’ai trouvé ça très beau. J’ignorais qui payais ces jolis ongles.
• Lorsque je suis venu à Paris, il y a deux ans, depuis ma Guadeloupe natale, pour entrer aux beaux-arts, je me suis rapidement rendu compte du coût de la vie à Paris qui est plus onéreux que dans mon île.
J’ai cherché du travail. Après plusieurs petits boulots souvent en intérim, j’ai pu avoir une formation pour devenir manucure.
Je venais juste de voir une pub sur les nouveaux dessins sur ongles.
J’ai donc réussi à passer l’examen et avoir mon diplôme.
• Et tu gagnes bien ta vie.
• Je prends cinquante euros pour dix doigts.
J’ai une petite clientèle dans le quartier après avoir mis des annonces dans les magasins. Mais tu vois où j’habite et cela démontre le problème que j’ai. « Le fric. »Lorsque certains mois, les rentrées sont plus importantes, je me paye, une séance dans votre institut afin de rester une femme digne.
C’est comme cela que tu m’as vu pour la première fois.
• Tu es joli Marie-Ange. J’aime surtout ta poitrine haute et ferme.
Je peux là toucher.
• Si ça te fait plaisir.
Elle se tourne légèrement vers moi pour m’offrir ses seins.
Je pose ma main sur le téton du sein à ma portée.
Je l’entoure et le mets à l’intérieur de la paume.
• Qu’Est-ce qu’il est ferme !
• Je fais beaucoup de sport dans une salle de mucus où j’ai réussis à avoir mes entrées sans débourser un euro.
• Il faudra que tu m’y emmènes, j’ai depuis quelque temps l’idée de me mettre à refaire du sport. Pendant mes années de femmes mariées oisives, j’ai beaucoup pratiqué la natation.
• J’aime aussi beaucoup nager, je te ferais connaître ma salle de gym et tu me feras connaître ta piscine.
• D’accord.
Pendant que nous discutions, mes mains deviennent actives.
La première sur son sein et la deuxième sur sa cuisse.
Un regard qui se croise et deux bouches qui se trouvent. Voilà comment commence une relation.
Je vois que je suis acceptée, au contraire, la langue de Marie-Ange à une façon d’aller et venir dans ma bouche qui entraîne mon plaisir.
Il va prendre de l’ampleur quand je sens la main de la jolie black remonter ma cuisse pour atteindre mon sexe déjà bien lubrifié.
Elle retire sa langue et avec une voie étonnée.
• Tu as oublié ta culotte.
Je ris.
• Je t’expliquerai tout en détail.
Mais en attendant on a mieux à faire.
J’empoigne sa nuisette et la fais voler au-dessus de sa tête.
Elle m’enlève mon chemisier et s’empare de l’un de mes seins puis l’autre avec sa bouche.
Je me lève pour faire glisser ma mini. Dans le mouvement et l’espace restreints, je manque de chuter et tombe dans ses bras.
Nous, nous jetons sur le lit et reprenons la ronde de nos langues.
Je mets deux doigts dans sa chatte que je trouve très humide.
Je pivote et avale sa chatte avec ma bouche.
Je sens que la sienne cherche un chemin. J’écarte mes cuisses, sa langue me pénètre.
Je broute ce sexe dont les grandes lèvres couleur ébène sont très développées.
Un sexe noir mon premier, je fais un vœu !
C’est la première fois de ma vie que je vois un sexe de cette couleur entièrement épilé.
Quelle beauté, je l’aime donc je le bois et il apprécie, car il me donne des effluves jamais ressentis avec les hautes femmes.
Mon travail porte ses fruits, je sens mon amie se cabrer sous moi.
Nous roulons sur le côté nos bouches toujours soudées à nos chattes.
Un, deux orgasmes et plus nous dévastent.
Puis la tension retombe et nous revenons, nous mettre dans les bras l’une de l’autre.
Nous restons ainsi de longues minutes en nous regardant les yeux dans les yeux.
Que son visage est gracieux.
Que sa bouche est pulpeuse.
Que ses grands yeux noirs sont profonds.
Que son nez est mutin.
Que son front est expressif.
Et que ses cheveux bouclés encadrent bien son visage.
En trois mots. « Elle est belle ».
Elle me prend la main et regarde mes ongles.
• Ils sont bien entretenus, mais je suis sûr que je pourrais faire mieux.
Aussitôt elle s’échappe et gracieuse dans sa nudité, traverse la pièce et reviens avec sa mallette. Elle l’ouvre et sort sur la table des flacons et plusieurs boîtes.
• Aller fainéante au travail, amène-moi tes mains !
Je me lève et les lui tends.
La droite, c’est facile.
Assise sur le côté du lit, elle travaille les ongles de cette main. L’autre se demande quoi faire, je la place sur sa cuisse.
• Arrête, tu vas, tout gâcher en me troublant et après tu iras dire partout que je suis une piètre professionnelle.
Pour me faire pardonner, je pose un petit baisé sur le bout du « nez mutin ».
• Qu’aimerais-tu comme dessins sur tes ongles ?
• Je te fais entièrement confiance, tu as commencé les beaux-arts, je te donne, un support exceptionnel fait moi un chef-d’œuvre.
Elle rigole tout en continuant son travail.
Lorsqu’elle a terminé, je peux admirer dix tableaux miniatures qui mériteraient d’être exposés dans un musée.
Je vais pour la prendre dans mes bras.
• Tu veux tout massacrer.
• Non, mon cœur ne craint rien.
Le temps passe et si je veux être à l’heure à l’institut, il va falloir partir.
Une idée me vient.
• Que fais-tu en août et principalement à partir de dimanche ?
• Rien de spécial, j’aurais voulu entrer au pays, mais mes moyens m’empêchent de partir en vacances.
• Tu as des clientes qui ont pris, rendez-vous pendant ce mois.
Elle attrape, un calepin tourne les pages.
• Trois clientes.
• Tu peux les reporter.
• Oui bien sur, pourquoi ?
• Fais ta valise, je t’emmène en vacances dimanche matin, nous partons pour Saint-Palais sur mer ou je suis propriétaire d’une villa héritée de mes parents disparus.
Elle me saute au cou pour m’embrasser.
• Mes chefs d’œuvres !
Dix-huit heures l’avion se pose, nous sortons et récupérons nos bagages.
Des personnes avec des noms sur des pancartes attendent les passagers sortant de l’avion.
Véronique et Christine viennent de faire leur retour en France.
Pas de pancartes, mais Virginie, Anne et Aline nous, attendent.
Elles nous font signe.
Nous tombons toutes dans les bras l’une l’autre.
• Vous êtes venues nous chercher. Sympa, mais à cinq dans une mini avec les bagages, on va être serré.
Pourquoi rient-elles en m’entendent.
• Vous avez très bien travaillé en Espagne, l’organisation m’a appelé, le client est enchanté et souhaite que dans quelques semaines vous les retrouviez.
Tient Anne sait depuis que je lui ai dit que nous sommes des escortes girls.
Mais Aline est-elle au courant, nous verrons bien ce soir avec Virginie.
Nous arrivons sur le parking de l’aérogare. Je cherche la mini, mais elle brille par son absence.
Virginie appuie sur sa clef et à quelques mètres les feux d’une voiture inconnue s’allument.
Virginie voit notre étonnement.
• Lorsque l’on a parlé des voitures pour partir dimanche, une idée m’est venue.
Il y a longtemps que j’envisage de changer pour prendre plus grand.
J’ai vu sur un panneau publicitaire une voiture dont le dizain m’a beaucoup plus.
C’est une Citroën C4 Cactus.
Je suis allée chez le concessionnaire près de chez nous.
Il en avait une en stock bleu Lagoon.
Ils me l’ont préparé et nous sommes allées la chercher avec les filles tous à l’heure.
J’ai demandé qu’il me ramène le mini, demain, car je vais l’offrir à Anne et Aline lorsqu’elles auront passé et réussit leur permis.
Après votre départ, j’ai pensé à inscrire Aline avec sa sœur auprès de Stéphane.
Elles le passeront après les vacances.
Nous embraquons. Elle sent le neuf. Le coffre est spacieux.
Nous passons déposer Véronique, car elle doit préparer ses affaires pour dimanche.
De retour au pavillon, Madeleine nous attend.
Virginie suivi des filles dépose leurs vêtements. J’en fais autant.
Madeleine vient vers moi et me remercie pour tout ce que j’ai fait pour l’aider.
Elle a toujours ses habits sans âmes. Il est trop tard pour remédier à ce problème.
Je verrai cela à Royan.
Elle nous a préparé un repas aux chandelles au bord de la piscine pour fêter mon retour.
Je plonge pour me rafraîchir après ce voyage mouvementé.
Anne toujours amoureuse autant que moi me suis et inexorablement nos bouches se cherchent, se trouve et nos corps qui se soudent dans l’eau nous permettent de prendre un petit plaisir.
De retour à table Virginie me demande de lui raconter notre séjour et ce que nous avons fait qui sortait de l’ordinaire.
Je lui explique les grandes lignes de ce qui sait passer.
Je lui parle du plaisir que j’ai eu à dépuceler Miguel, le beau toréador et le bon moment que nous avons pris avec Véronique lorsque nous avons imposé à notre esclave Julietta de se faire sauter dans les toilettes du Palais de Malaga, sans oublier Véronique dans les arènes étant la reine de l’après-midi.
Virginie m’explique que l’organisation a accepté sa proposition non seulement d’engager Anne mais aussi Aline qui rêve depuis qu’elle sait ce que nous faisons de nous accompagner.
Je pense en mon for intérieur que le père des deux fillettes à quitter l’Indonésie en enlevant sa femme à un réseau de prostitution et que ses filles vont revenir aux sources volontairement elle.
Ainsi va la vie.
Nous aidons à débarrasser et au dodo, demain boulot.
Vendredi Virginie nous emmène travailler.
En arrivant les filles nous voit sortir de la voiture et nous entourent.
Elles finissent par aller se préparer, les clientes arrivent.
J’ai peu de travail ce matin. L’approche des vacances ralentit les commandes et les livraisons.
J’ai quelques coups de fil de clientes pour des rendez-vous en septembre.
Je demande à Virginie si je peux m’absenter jusqu’en début d’après-midi.
Il faut que j’aille chez le maroquinier.
J’y arrive rapidement, je lui demande s’il peut me fabriquer un collier et une laisse roses avec Saphir rose.
Je viendrai chercher l’ensemble au début septembre après mes vacances.
Je repars et je vais prendre un café.
J’en profite pour passer un coup de fil a une personne qui m’intéresse.
06 16…… ça décroche.
• Allô. Marie-Ange ?
• Oui.
• Bonjour, je t’appelle comme je te l’avais promis à l’institut.
• Oui, je me souviens. Comment vas-tu ?
• Bien, j’aimerais te rencontrer.
• Viens chez moi, je viens de me lever. J’ai un petit studio sous les toits.
Elle me donne son adresse dans le 1er arrondissement.
• Je peux venir maintenant.
• Oui, je t’attends.
Pour gagner du temps, je prends un taxi.
Pas content le gars, trois kilomètres et je suis arrivé.
• Excusez-moi.
Je le paye avec un gros pourboire.
J’entre dans l’immeuble et je monte jusque sous les toits.
Un couloir mansardé.
Deux portes, la première est anonyme.
La deuxième, une carte « Marie-Ange, manucure ».
Je frappe.
Elle m’ouvre en nuisette.
• Excuse, je sors de ma douche.
J’entre, la pièce est minuscule.
Handicape supplémentaire, un pan coupé avec un Velux permet d’être debout que sur les trois quarts de la pièce.
Tu vois, c’est restreint, m'est mon budget m’empêche de déménager.
Elle me fait installer sur le lit, seul endroit où s’asseoir.
Un lit, une petite table. Une penderie, dans un coin, une douche, un lavabo et les toilettes protégées par un paravent.
• Tu loues chère.
• Sept cents euros plus les charges. C’est exorbitant.
Elle s’assoit à côté de moi, sa nuisette ne me cache rien.
• J’ai vu sur ta porte que tu es pratique la manucure.
• Oui, je travaille principalement à domicile.
Quelquefois ici sur le lit et la table.
J’entretiens les ongles, mais ma spécialité, ce sont des motifs peints sur les ongles.
Ce sont des créations uniques. Chaque fois un motif différent. Les clientes choisissent la couleur.
• Oui, j’ai déjà vu des femmes qui en avaient et j’ai trouvé ça très beau. J’ignorais qui payais ces jolis ongles.
• Lorsque je suis venu à Paris, il y a deux ans, depuis ma Guadeloupe natale, pour entrer aux beaux-arts, je me suis rapidement rendu compte du coût de la vie à Paris qui est plus onéreux que dans mon île.
J’ai cherché du travail. Après plusieurs petits boulots souvent en intérim, j’ai pu avoir une formation pour devenir manucure.
Je venais juste de voir une pub sur les nouveaux dessins sur ongles.
J’ai donc réussi à passer l’examen et avoir mon diplôme.
• Et tu gagnes bien ta vie.
• Je prends cinquante euros pour dix doigts.
J’ai une petite clientèle dans le quartier après avoir mis des annonces dans les magasins. Mais tu vois où j’habite et cela démontre le problème que j’ai. « Le fric. »Lorsque certains mois, les rentrées sont plus importantes, je me paye, une séance dans votre institut afin de rester une femme digne.
C’est comme cela que tu m’as vu pour la première fois.
• Tu es joli Marie-Ange. J’aime surtout ta poitrine haute et ferme.
Je peux là toucher.
• Si ça te fait plaisir.
Elle se tourne légèrement vers moi pour m’offrir ses seins.
Je pose ma main sur le téton du sein à ma portée.
Je l’entoure et le mets à l’intérieur de la paume.
• Qu’Est-ce qu’il est ferme !
• Je fais beaucoup de sport dans une salle de mucus où j’ai réussis à avoir mes entrées sans débourser un euro.
• Il faudra que tu m’y emmènes, j’ai depuis quelque temps l’idée de me mettre à refaire du sport. Pendant mes années de femmes mariées oisives, j’ai beaucoup pratiqué la natation.
• J’aime aussi beaucoup nager, je te ferais connaître ma salle de gym et tu me feras connaître ta piscine.
• D’accord.
Pendant que nous discutions, mes mains deviennent actives.
La première sur son sein et la deuxième sur sa cuisse.
Un regard qui se croise et deux bouches qui se trouvent. Voilà comment commence une relation.
Je vois que je suis acceptée, au contraire, la langue de Marie-Ange à une façon d’aller et venir dans ma bouche qui entraîne mon plaisir.
Il va prendre de l’ampleur quand je sens la main de la jolie black remonter ma cuisse pour atteindre mon sexe déjà bien lubrifié.
Elle retire sa langue et avec une voie étonnée.
• Tu as oublié ta culotte.
Je ris.
• Je t’expliquerai tout en détail.
Mais en attendant on a mieux à faire.
J’empoigne sa nuisette et la fais voler au-dessus de sa tête.
Elle m’enlève mon chemisier et s’empare de l’un de mes seins puis l’autre avec sa bouche.
Je me lève pour faire glisser ma mini. Dans le mouvement et l’espace restreints, je manque de chuter et tombe dans ses bras.
Nous, nous jetons sur le lit et reprenons la ronde de nos langues.
Je mets deux doigts dans sa chatte que je trouve très humide.
Je pivote et avale sa chatte avec ma bouche.
Je sens que la sienne cherche un chemin. J’écarte mes cuisses, sa langue me pénètre.
Je broute ce sexe dont les grandes lèvres couleur ébène sont très développées.
Un sexe noir mon premier, je fais un vœu !
C’est la première fois de ma vie que je vois un sexe de cette couleur entièrement épilé.
Quelle beauté, je l’aime donc je le bois et il apprécie, car il me donne des effluves jamais ressentis avec les hautes femmes.
Mon travail porte ses fruits, je sens mon amie se cabrer sous moi.
Nous roulons sur le côté nos bouches toujours soudées à nos chattes.
Un, deux orgasmes et plus nous dévastent.
Puis la tension retombe et nous revenons, nous mettre dans les bras l’une de l’autre.
Nous restons ainsi de longues minutes en nous regardant les yeux dans les yeux.
Que son visage est gracieux.
Que sa bouche est pulpeuse.
Que ses grands yeux noirs sont profonds.
Que son nez est mutin.
Que son front est expressif.
Et que ses cheveux bouclés encadrent bien son visage.
En trois mots. « Elle est belle ».
Elle me prend la main et regarde mes ongles.
• Ils sont bien entretenus, mais je suis sûr que je pourrais faire mieux.
Aussitôt elle s’échappe et gracieuse dans sa nudité, traverse la pièce et reviens avec sa mallette. Elle l’ouvre et sort sur la table des flacons et plusieurs boîtes.
• Aller fainéante au travail, amène-moi tes mains !
Je me lève et les lui tends.
La droite, c’est facile.
Assise sur le côté du lit, elle travaille les ongles de cette main. L’autre se demande quoi faire, je la place sur sa cuisse.
• Arrête, tu vas, tout gâcher en me troublant et après tu iras dire partout que je suis une piètre professionnelle.
Pour me faire pardonner, je pose un petit baisé sur le bout du « nez mutin ».
• Qu’aimerais-tu comme dessins sur tes ongles ?
• Je te fais entièrement confiance, tu as commencé les beaux-arts, je te donne, un support exceptionnel fait moi un chef-d’œuvre.
Elle rigole tout en continuant son travail.
Lorsqu’elle a terminé, je peux admirer dix tableaux miniatures qui mériteraient d’être exposés dans un musée.
Je vais pour la prendre dans mes bras.
• Tu veux tout massacrer.
• Non, mon cœur ne craint rien.
Le temps passe et si je veux être à l’heure à l’institut, il va falloir partir.
Une idée me vient.
• Que fais-tu en août et principalement à partir de dimanche ?
• Rien de spécial, j’aurais voulu entrer au pays, mais mes moyens m’empêchent de partir en vacances.
• Tu as des clientes qui ont pris, rendez-vous pendant ce mois.
Elle attrape, un calepin tourne les pages.
• Trois clientes.
• Tu peux les reporter.
• Oui bien sur, pourquoi ?
• Fais ta valise, je t’emmène en vacances dimanche matin, nous partons pour Saint-Palais sur mer ou je suis propriétaire d’une villa héritée de mes parents disparus.
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