Femme BCBG, escorte, non, pute…. (3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute…. (3)
(0) Je suis une jeune femme n’ayant connu que le petit sexe de son mari.
(1) Ma vie va basculer avec l’ouverture au plaisir féminin grâce à Virginie.
Toujours dans la piscine, nous nous relaxons sur les marches.
Puis nous rentrons dans la cuisine découvrir ce qu’Anne nous a préparé dans le réfrigérateur : Carottes râpées, jambon blanc, salade et corbeille de fruit.
Le tout avec café pour toutes les deux.
Sur la table déjà préparée, auprès de nos assiettes, un bouquet de roses avec un bristol où ces quelques mots sont inscrits, « Bon appétit à toutes les deux ».
Intriguée par cette phrase et surtout « à toutes les deux », j’interroge mon amie qui m’explique que comme tous les jours elle a joint Anne au téléphone pour mettre au point son plan de travail de la journée et par la même occasion la mettre au courant de ma présence pour plusieurs semaines au pavillon.
Elle me dit qu’Anne était enthousiaste de mon arrivée et espère que notre entente sera aussi forte qu’entre elles.
Ayant rapidement mangé, nous nous rendons dans le salon afin de passer un moment relaxant devant la télé.
Le programme ne nous emballe pas, nous nous « emballons » directement. Les Sexes-Toys sont toujours sur la table devant nous.
J’empoigne un gode presque le double de grosseur de celui que nous nous sommes enfilé hier.
« Je veux sentir celui-là dans mon ventre » lui dis-je.
Virginie a un sourire radieux.
je vois que tu y prends goût et que des expériences de plus en plus osées te font envie. « Continue comme cela et bientôt tu seras aussi délurée que je le suis quand je le désire. »
Aussitôt dit, aussitôt fait, j’écarte les cuisses, me mouille la chatte avec mes doigts et j’attends.
Pas longtemps, elle démarre le système de vibration et plonge la bête dans mon intimité. Contrairement à ma peur, il glisse dans mon sexe sans me faire mal, mon ventre n’a simplement qu’une impression d’être rempli.
Elle le pousse au maximum et la présence de cet objet au fond de mes entrailles avec ses vibrations qui ont un cycle lent, rapide, plus rapide puis lent m’arrache des cris de jouissance dont je ne me croyais pas capable.
Que Pierre a eu raison de se tirer, sinon je n’aurai pas connu ses moments intenses.
Comme hier, je ressors le sexe de ma vulve, entièrement couvert de ma cyprine, je le présente devant la chatte de mon amie elle s’ouvre et je la pénètre sans problème.
Elle prend son plaisir rapidement et j’ai même la chance de recevoir son divin nectar dans la bouche.
J’essaye de ne pas en perdre une goutte, mais le flux me déborde.
Nous avons passées les deux jours de son repos, le salon fermant le lundi, entre notre lit, la piscine et le sonna profitant du temps exceptionnel de ces deux jours.
J’ai fait la connaissance d’Anne, jolie petite poupée eurasienne, son papa est Indochinois, sa maman de Joinville le Pont.
Tout le lundi matin elle a papillonné autour de nous.
Elle a gardé ses affaires, elle n’a pas eu l’air gênée de nos nudités.
J’observais Virginie lorsqu’ Anne était près de nous, mais à part sa langue passant sur ses lèvres, elle ne donnait aucun signe qu’entre elle et la poupée, des rapports autres que d’amitié soient établis.
J’en suis venue presque à le regretter, j’aurais beaucoup aimé voir ses tous petits seins dont les mamelons assez gros comme de petites billes pointaient sous le débardeur. J’aurais aimé voir sa petite chatte certainement recouverte d’une toison aussi noire que ses cheveux.
Mais je respectais la distance établie entre les deux femmes, ne voulant surtout pas mettre de la zizanie dans cette maison de rêve.
Pendant ces deux jours, nous avons parlé de mon avenir, mon aisance financière ne m’oblige pas à me ruer sur le première emploi trouvé.
Mais même après la vente et le remboursement du prêt sur notre appartement, ne voulant surtout pas me séparer de cette jolie maison de Saint-Palais, seul lien qui m’unit toujours à mes parents disparus, mes avoirs risquent de fondre comme neige au soleil si je désire conserver mon train de vie.
Virginie me proposait la solution suivante : Son institut de beauté ne désemplit pas, la charge de travail est de plus en plus lourde pour trois personnes surtout qu’il est obligatoire que l’une d’elle ne prenne pas de clientes , c'est chacune à leur tour afin de recevoir ces dames, de les diriger vers les cabines et de les faire se préparer.
Sans oublier après les soins, la facturation qui leur prend de précieuses minutes.
Elle souhaite donc créer depuis des semaines un poste à la réception qui en plus recevra les nombreux coups de téléphone pour prendre les rendez-vous.
Ayant testé le poste la matinée passée près d’elles le jour de la trahison de Pierre, j’accepte.
Je vois la possibilité d’être avec mon amante sans pour autant être une charge pour elle.
A mon arrivée devant l’institut, les deux jeunes femmes sont déjà là, nous nous réunissons pour évoquer les décisions du week-end. La réaction des deux jeunes filles à l’annonce de mon embauche est surprenante, elles me saute au coup et m’embrassent avec beaucoup d’amitié.
Par la suite, elles me disent que mon embauche vont les soulager de la partie administrative de leur travail, ce qui ce traduit pour elles par plus de clientes, donc plus de pourboires.
Elles pourront ainsi améliorer leur train de vie.
Avant d’ouvrir, nous passons toutes les quatre dans la partie privée du salon.
Les trois jeunes femmes font tomber leurs vêtements, soutien gorge compris gardant simplement leur petite culotte.
Odile leur passe chacune une blouse propre floquée à leur nom. Elle me demande de faire de même et me tend une blouse, vierge de tout nom. Une fois de plus, je peux pour la première fois de ma vie admirer trois magnifiques femmes presque nues et qui sans aucune retenue osent être dévêtues devant moi.
Nous ouvrons le salon, les premières clientes arrivent et ces dames passent dans les cabines de soins.
Coup de chance, Virginie n’a jamais de rendez-vous avec les clientes le mardi, c’est ce qui lui permet de s’occuper de la logistique du magasin dont j’aurai la charge à partir de ce jour.
Dans nos conversations durant le week-end, j’ai expliqué qu’avant mon mariage, j’ai eu mon bac avec mention bien puis un BTS de comptabilité.
Virginie a vu tout de suite, l’intérêt de cette formation même si je n’ai pratiqué ce métier dans un cabinet comptable qu’entre mon diplôme et mon mariage.
Mon éducation décrite précédemment veut qu’une jeune femme ne travaille pas devant être entièrement à la disposition de son homme.
Lorsque je m’aperçois où tous ces interdits m' ont menée et le temps perdu depuis mon mariage, il était temps que sans le vouloir je jette à la poubelle toutes ces barrières qu’une éducation rigoriste m’a enseigné.
J’ai la ferme intention de rattraper le temps perdu.
Virginie est là depuis quelques jours pour cela, surtout que je l’aime maintenant plus que tout au monde.
Je m’installe au comptoir. Deux minutes et le téléphone sonne, une cliente souhaite un rendez-vous.
L’institut étant informatisé, il me suffit de taper son nom, prénom.
Je demande confirmation que je suis sur la bonne fiche en demandant l’adresse et à l’écran apparaît le nom de celle qui a l’habitude de s’occuper d’elle.
Un planning de disponibilité lui est proposé et enregistré si cela lui convient . Pour les nouvelles clientes, il faut remplir la fiche intégralement et leur affecter une première fois une des trois praticiennes libres.
Virginie me demande de ne pas oublier d’appeler l’avocat pour le divorce. Je le fais, la secrétaire me donne rendez-vous jeudi quinze heures.
Après ce coup de fil ,elle appelle l’auto école, leçon de code pour moi deux fois par semaine à dix-huit heures les mercredis et vendredis.
Les clientes se succèdent dans les mains des deux jeunes femmes de service et à midi, Virginie et Antoinette partent manger.
Odile doit m’emmener dans une cabine pour pratiquer quelques transformations sur mon anatomie. Elle me demande si je suis prête à la suivre les yeux fermés, cette dernière ayant reçu ses ordres dans la matinée de la patronne.
J’accepte.
Dans la cabine, Odile retire ma blouse, mon string, et enlève elle même les siens.
Elle m’apparaît nue, silhouette parfaite, seins haut placés, mamelons en forme de poires. Petite chatte entièrement épilée, ses cheveux aussi blonds que les miens présagent que sa toison devait être très proche de la mienne.
Elle me couche sur la table de travail sur le dos et tout de suite s’occupe de faire disparaître ma toison.
Un bref instant j’ai envie de l’arrêter mais rapidement ma promesse à mon amante de suivre ses conseils et ses initiatives me fait tout accepter.
Cette opération terminée, Odile me fait lever pour me regarder dans la glace en pied à gauche de la table, j’admire cette fente que je n’avais pas vue aussi lisse depuis ma puberté. Odile passe derrière moi, colle son corps au mien et place une main sur mes seins, l’autre sur ma petite chatte.
Sa main commence à titiller la pointe de mes seins méticuleusement, ses doigts commencent à chercher l’intérieur de ma fente.
Ces caresses me font de l’effet, elle me retourne et plaque sa bouche sur la mienne. Nos langues se trouvent, se provoquent, nos salives se mélangent. Ses yeux d’un bleu profond commencent à devenir trouble.
Elle m’entraîne sur le canapé placé dans chaque cabine qui permet aux clientes d’attendre l’arrivée de celle qui doit officier. Je tombe à la renverse et quand sa langue quitte la mienne, je sens dans la fraction de seconde qu’elle pénètre mon intimité. La rapidité avec laquelle elle a agit m'a ôté toute velléité de rébellion.
Rapidement sous sa langue experte, une vague extraordinaire me submerge. Ne me laissant pas reprendre mon souffle, elle m’installe sur le canapé mes jambes à mi hauteur et écartée, elle glisse les siennes pour que nos deux chattes se trouvent en contact.
Elle commence à donner à son corps un mouvement de rotation qui a pour effet d’amener nos lèvres vaginales à s’écarter l’une l’autre et la partie plus sensible de nos anatomies à se coller.
Nos clitoris eux aussi sont en contact, ses mains viennent prendre mes tétons, nos bouches se retrouvent avec envie.
Nos sexes collés, par ce mouvement de rotation qu’elle me fait subir et le travail sur nos clitos nous amènent en quelques secondes à un orgasme phénoménal. Lorsqu’elle sent que je démarre elle me tord les mamelons.
En temps normal, le mal que je ressens par cette torsion m’aurait fait pousser un cri de douleur, là c’est un cri de plaisir intense qui sort de ma bouche.
Quelques secondes après moi, Odile a un orgasme dont la puissance la foudroie. Repues, nous tombons l’une l’autre en arrière tentant de redescendre sur terre.
Avons- nous dormi ?
Je réintègre l’espace dans lequel je suis, nous sommes toujours soudées par nos lèvres intimes, je me redresse légèrement, donne un mouvement à mon corps comme ma petite maîtresse me la fait précédemment. Sentant le mouvement sur sa vulve, elle regagne la terre, me regarde, me souris et attend que le plaisir la submerge de nouveau.
J’arrive à la faire partir en quelques secondes. Pour la deuxième fois en quelques minutes, nos chattes éclatent d’un plaisir intense.
Un bruit parvient à mes oreilles, j’ai un mouvement de peur, Virginie et Antoinette sont à hauteur de la porte et nous contemplent.
« Bravo les filles, je savais que deux cochonnes comme vous sauraient vous donner du plaisir et ce que nous avons vu, depuis dix minutes que nous vous observons, me conforte dans mes convictions. »
Elle vient jusqu’à nous, se penche sur moi et le baiser qu’elle plaque sur ma bouche me rassure, tout ce qui vient de se passer est prémédité entre les deux femmes pour tester le degré de perversion que je suis prête à accepter.
Elle passe sa main sur mon sexe nu, faufile ses doigts dans ma vulve, les ressort mouillés de mes sécrétions et les suce avec avidité.
Elle replonge ses doigts dans ma grotte, dans mon gouffre devrais-je dire, les présente à Antoinette qui les suce goulûment.
La journée passe rapidement. A la fermeture, Virginie m’entraîne dans quelques boutiques où elle a ses habitudes afin de changer ma garde robe pour passer du style BCBG vers le style « je suis une femme libérée. »
Deux heures après, nous roulons vers notre chaumière pour finir cette journée mémorable pour moi.
Elle me remercie de tout ce que j’ai accepté ce jour sans jamais me plaindre où renâcler. Lorsqu’elle a demandé à Odile de me faire l’amour après m’avoir épilée la chatte, elle voulait tester si je pouvais baiser avec d’autres personnes qu’elle comme je l’avais promis la veille.
Elle est très fière de moi, mes performances avec Odile la comblent au delà de ses espérances.
Nos amies sont arrivées dans leur nid, moi je dois rentrer chez moi, je vous donne rendez-vous pour la suite de BCBG, escorte non pute…..
(1) Ma vie va basculer avec l’ouverture au plaisir féminin grâce à Virginie.
Toujours dans la piscine, nous nous relaxons sur les marches.
Puis nous rentrons dans la cuisine découvrir ce qu’Anne nous a préparé dans le réfrigérateur : Carottes râpées, jambon blanc, salade et corbeille de fruit.
Le tout avec café pour toutes les deux.
Sur la table déjà préparée, auprès de nos assiettes, un bouquet de roses avec un bristol où ces quelques mots sont inscrits, « Bon appétit à toutes les deux ».
Intriguée par cette phrase et surtout « à toutes les deux », j’interroge mon amie qui m’explique que comme tous les jours elle a joint Anne au téléphone pour mettre au point son plan de travail de la journée et par la même occasion la mettre au courant de ma présence pour plusieurs semaines au pavillon.
Elle me dit qu’Anne était enthousiaste de mon arrivée et espère que notre entente sera aussi forte qu’entre elles.
Ayant rapidement mangé, nous nous rendons dans le salon afin de passer un moment relaxant devant la télé.
Le programme ne nous emballe pas, nous nous « emballons » directement. Les Sexes-Toys sont toujours sur la table devant nous.
J’empoigne un gode presque le double de grosseur de celui que nous nous sommes enfilé hier.
« Je veux sentir celui-là dans mon ventre » lui dis-je.
Virginie a un sourire radieux.
je vois que tu y prends goût et que des expériences de plus en plus osées te font envie. « Continue comme cela et bientôt tu seras aussi délurée que je le suis quand je le désire. »
Aussitôt dit, aussitôt fait, j’écarte les cuisses, me mouille la chatte avec mes doigts et j’attends.
Pas longtemps, elle démarre le système de vibration et plonge la bête dans mon intimité. Contrairement à ma peur, il glisse dans mon sexe sans me faire mal, mon ventre n’a simplement qu’une impression d’être rempli.
Elle le pousse au maximum et la présence de cet objet au fond de mes entrailles avec ses vibrations qui ont un cycle lent, rapide, plus rapide puis lent m’arrache des cris de jouissance dont je ne me croyais pas capable.
Que Pierre a eu raison de se tirer, sinon je n’aurai pas connu ses moments intenses.
Comme hier, je ressors le sexe de ma vulve, entièrement couvert de ma cyprine, je le présente devant la chatte de mon amie elle s’ouvre et je la pénètre sans problème.
Elle prend son plaisir rapidement et j’ai même la chance de recevoir son divin nectar dans la bouche.
J’essaye de ne pas en perdre une goutte, mais le flux me déborde.
Nous avons passées les deux jours de son repos, le salon fermant le lundi, entre notre lit, la piscine et le sonna profitant du temps exceptionnel de ces deux jours.
J’ai fait la connaissance d’Anne, jolie petite poupée eurasienne, son papa est Indochinois, sa maman de Joinville le Pont.
Tout le lundi matin elle a papillonné autour de nous.
Elle a gardé ses affaires, elle n’a pas eu l’air gênée de nos nudités.
J’observais Virginie lorsqu’ Anne était près de nous, mais à part sa langue passant sur ses lèvres, elle ne donnait aucun signe qu’entre elle et la poupée, des rapports autres que d’amitié soient établis.
J’en suis venue presque à le regretter, j’aurais beaucoup aimé voir ses tous petits seins dont les mamelons assez gros comme de petites billes pointaient sous le débardeur. J’aurais aimé voir sa petite chatte certainement recouverte d’une toison aussi noire que ses cheveux.
Mais je respectais la distance établie entre les deux femmes, ne voulant surtout pas mettre de la zizanie dans cette maison de rêve.
Pendant ces deux jours, nous avons parlé de mon avenir, mon aisance financière ne m’oblige pas à me ruer sur le première emploi trouvé.
Mais même après la vente et le remboursement du prêt sur notre appartement, ne voulant surtout pas me séparer de cette jolie maison de Saint-Palais, seul lien qui m’unit toujours à mes parents disparus, mes avoirs risquent de fondre comme neige au soleil si je désire conserver mon train de vie.
Virginie me proposait la solution suivante : Son institut de beauté ne désemplit pas, la charge de travail est de plus en plus lourde pour trois personnes surtout qu’il est obligatoire que l’une d’elle ne prenne pas de clientes , c'est chacune à leur tour afin de recevoir ces dames, de les diriger vers les cabines et de les faire se préparer.
Sans oublier après les soins, la facturation qui leur prend de précieuses minutes.
Elle souhaite donc créer depuis des semaines un poste à la réception qui en plus recevra les nombreux coups de téléphone pour prendre les rendez-vous.
Ayant testé le poste la matinée passée près d’elles le jour de la trahison de Pierre, j’accepte.
Je vois la possibilité d’être avec mon amante sans pour autant être une charge pour elle.
A mon arrivée devant l’institut, les deux jeunes femmes sont déjà là, nous nous réunissons pour évoquer les décisions du week-end. La réaction des deux jeunes filles à l’annonce de mon embauche est surprenante, elles me saute au coup et m’embrassent avec beaucoup d’amitié.
Par la suite, elles me disent que mon embauche vont les soulager de la partie administrative de leur travail, ce qui ce traduit pour elles par plus de clientes, donc plus de pourboires.
Elles pourront ainsi améliorer leur train de vie.
Avant d’ouvrir, nous passons toutes les quatre dans la partie privée du salon.
Les trois jeunes femmes font tomber leurs vêtements, soutien gorge compris gardant simplement leur petite culotte.
Odile leur passe chacune une blouse propre floquée à leur nom. Elle me demande de faire de même et me tend une blouse, vierge de tout nom. Une fois de plus, je peux pour la première fois de ma vie admirer trois magnifiques femmes presque nues et qui sans aucune retenue osent être dévêtues devant moi.
Nous ouvrons le salon, les premières clientes arrivent et ces dames passent dans les cabines de soins.
Coup de chance, Virginie n’a jamais de rendez-vous avec les clientes le mardi, c’est ce qui lui permet de s’occuper de la logistique du magasin dont j’aurai la charge à partir de ce jour.
Dans nos conversations durant le week-end, j’ai expliqué qu’avant mon mariage, j’ai eu mon bac avec mention bien puis un BTS de comptabilité.
Virginie a vu tout de suite, l’intérêt de cette formation même si je n’ai pratiqué ce métier dans un cabinet comptable qu’entre mon diplôme et mon mariage.
Mon éducation décrite précédemment veut qu’une jeune femme ne travaille pas devant être entièrement à la disposition de son homme.
Lorsque je m’aperçois où tous ces interdits m' ont menée et le temps perdu depuis mon mariage, il était temps que sans le vouloir je jette à la poubelle toutes ces barrières qu’une éducation rigoriste m’a enseigné.
J’ai la ferme intention de rattraper le temps perdu.
Virginie est là depuis quelques jours pour cela, surtout que je l’aime maintenant plus que tout au monde.
Je m’installe au comptoir. Deux minutes et le téléphone sonne, une cliente souhaite un rendez-vous.
L’institut étant informatisé, il me suffit de taper son nom, prénom.
Je demande confirmation que je suis sur la bonne fiche en demandant l’adresse et à l’écran apparaît le nom de celle qui a l’habitude de s’occuper d’elle.
Un planning de disponibilité lui est proposé et enregistré si cela lui convient . Pour les nouvelles clientes, il faut remplir la fiche intégralement et leur affecter une première fois une des trois praticiennes libres.
Virginie me demande de ne pas oublier d’appeler l’avocat pour le divorce. Je le fais, la secrétaire me donne rendez-vous jeudi quinze heures.
Après ce coup de fil ,elle appelle l’auto école, leçon de code pour moi deux fois par semaine à dix-huit heures les mercredis et vendredis.
Les clientes se succèdent dans les mains des deux jeunes femmes de service et à midi, Virginie et Antoinette partent manger.
Odile doit m’emmener dans une cabine pour pratiquer quelques transformations sur mon anatomie. Elle me demande si je suis prête à la suivre les yeux fermés, cette dernière ayant reçu ses ordres dans la matinée de la patronne.
J’accepte.
Dans la cabine, Odile retire ma blouse, mon string, et enlève elle même les siens.
Elle m’apparaît nue, silhouette parfaite, seins haut placés, mamelons en forme de poires. Petite chatte entièrement épilée, ses cheveux aussi blonds que les miens présagent que sa toison devait être très proche de la mienne.
Elle me couche sur la table de travail sur le dos et tout de suite s’occupe de faire disparaître ma toison.
Un bref instant j’ai envie de l’arrêter mais rapidement ma promesse à mon amante de suivre ses conseils et ses initiatives me fait tout accepter.
Cette opération terminée, Odile me fait lever pour me regarder dans la glace en pied à gauche de la table, j’admire cette fente que je n’avais pas vue aussi lisse depuis ma puberté. Odile passe derrière moi, colle son corps au mien et place une main sur mes seins, l’autre sur ma petite chatte.
Sa main commence à titiller la pointe de mes seins méticuleusement, ses doigts commencent à chercher l’intérieur de ma fente.
Ces caresses me font de l’effet, elle me retourne et plaque sa bouche sur la mienne. Nos langues se trouvent, se provoquent, nos salives se mélangent. Ses yeux d’un bleu profond commencent à devenir trouble.
Elle m’entraîne sur le canapé placé dans chaque cabine qui permet aux clientes d’attendre l’arrivée de celle qui doit officier. Je tombe à la renverse et quand sa langue quitte la mienne, je sens dans la fraction de seconde qu’elle pénètre mon intimité. La rapidité avec laquelle elle a agit m'a ôté toute velléité de rébellion.
Rapidement sous sa langue experte, une vague extraordinaire me submerge. Ne me laissant pas reprendre mon souffle, elle m’installe sur le canapé mes jambes à mi hauteur et écartée, elle glisse les siennes pour que nos deux chattes se trouvent en contact.
Elle commence à donner à son corps un mouvement de rotation qui a pour effet d’amener nos lèvres vaginales à s’écarter l’une l’autre et la partie plus sensible de nos anatomies à se coller.
Nos clitoris eux aussi sont en contact, ses mains viennent prendre mes tétons, nos bouches se retrouvent avec envie.
Nos sexes collés, par ce mouvement de rotation qu’elle me fait subir et le travail sur nos clitos nous amènent en quelques secondes à un orgasme phénoménal. Lorsqu’elle sent que je démarre elle me tord les mamelons.
En temps normal, le mal que je ressens par cette torsion m’aurait fait pousser un cri de douleur, là c’est un cri de plaisir intense qui sort de ma bouche.
Quelques secondes après moi, Odile a un orgasme dont la puissance la foudroie. Repues, nous tombons l’une l’autre en arrière tentant de redescendre sur terre.
Avons- nous dormi ?
Je réintègre l’espace dans lequel je suis, nous sommes toujours soudées par nos lèvres intimes, je me redresse légèrement, donne un mouvement à mon corps comme ma petite maîtresse me la fait précédemment. Sentant le mouvement sur sa vulve, elle regagne la terre, me regarde, me souris et attend que le plaisir la submerge de nouveau.
J’arrive à la faire partir en quelques secondes. Pour la deuxième fois en quelques minutes, nos chattes éclatent d’un plaisir intense.
Un bruit parvient à mes oreilles, j’ai un mouvement de peur, Virginie et Antoinette sont à hauteur de la porte et nous contemplent.
« Bravo les filles, je savais que deux cochonnes comme vous sauraient vous donner du plaisir et ce que nous avons vu, depuis dix minutes que nous vous observons, me conforte dans mes convictions. »
Elle vient jusqu’à nous, se penche sur moi et le baiser qu’elle plaque sur ma bouche me rassure, tout ce qui vient de se passer est prémédité entre les deux femmes pour tester le degré de perversion que je suis prête à accepter.
Elle passe sa main sur mon sexe nu, faufile ses doigts dans ma vulve, les ressort mouillés de mes sécrétions et les suce avec avidité.
Elle replonge ses doigts dans ma grotte, dans mon gouffre devrais-je dire, les présente à Antoinette qui les suce goulûment.
La journée passe rapidement. A la fermeture, Virginie m’entraîne dans quelques boutiques où elle a ses habitudes afin de changer ma garde robe pour passer du style BCBG vers le style « je suis une femme libérée. »
Deux heures après, nous roulons vers notre chaumière pour finir cette journée mémorable pour moi.
Elle me remercie de tout ce que j’ai accepté ce jour sans jamais me plaindre où renâcler. Lorsqu’elle a demandé à Odile de me faire l’amour après m’avoir épilée la chatte, elle voulait tester si je pouvais baiser avec d’autres personnes qu’elle comme je l’avais promis la veille.
Elle est très fière de moi, mes performances avec Odile la comblent au delà de ses espérances.
Nos amies sont arrivées dans leur nid, moi je dois rentrer chez moi, je vous donne rendez-vous pour la suite de BCBG, escorte non pute…..
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
superbe saga, j'adore les femmes fontaines? Continuez!
HISTOIRE TRES EXITANTE
JE SUIS AMI AVEC UN COUPLE DE LESBIENNES ET TRES SOUVENT JE LES REGARDE FAIRE L'AMOUR JE TROUVE AUSSI MON COMPTE ENSUITE ELLES SONT TRES COMPREHENSIBLE...!!!
JE SUIS AMI AVEC UN COUPLE DE LESBIENNES ET TRES SOUVENT JE LES REGARDE FAIRE L'AMOUR JE TROUVE AUSSI MON COMPTE ENSUITE ELLES SONT TRES COMPREHENSIBLE...!!!
Mon cher Chris,
Je suis littéralement subjuguée par cette histoire qui éveille en moi plein de belles choses. Je suis impatiente de lire la suite. Merci à toi pour le plaisir que je prends à lire tes écrits.
Agnès
Je suis littéralement subjuguée par cette histoire qui éveille en moi plein de belles choses. Je suis impatiente de lire la suite. Merci à toi pour le plaisir que je prends à lire tes écrits.
Agnès
Toujours passionnantes ses récits d'une "nouvelle vie" !
Superbe, vivement la suite