Femme BCBG, escorte, non, pute… (30)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (30) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Femme BCBG, escorte, non, pute… (30)
Après avoir fait engager Marie-Ange jeune femme cliente de l’institut. J’ai rapidement brouté sa chatte noire et à qui j’ai donné du plaisir autant que j’en ai pris, de retour chez Valérie, Madeleine nous raconte les suites de malheurs qui ont jalonné sa vie.
C’est autour d’une bonne table que nous l’écoutons, nous qui avons eu une vie heureuse jusque-là.
C’est Antoinette et Serge en pleine reconversion dans leur couple qu’ils l’ont accosté dans un café en la voyant en pleine détresse l’ont invité chez eux ou pour les remercier, elle participe avec eux à l’évolution de couple.

• Non seulement ces moments intimes m’ont permis de passer la nuit dans une maison propre et bien tenue, mais surtout cela m’a permis de vous rencontrer et d’être avec vous ce soir pour passer un moment très agréable.
Lorsque je suis arrivé dans votre ravissante maison, j’ai rapidement vu que vous aimiez être en tenue plus que décontractée. C’est pour vous remercier que je vous ai attendu nue ce soir afin d’être en harmonie avec vous.
J’ai profité de ce que je fusse seule pour déambuler nue dans le pavillon et ainsi m’habituer car malgré leurs travers mes parents m’ont donné une éducation très rigoriste.
J’ai beaucoup apprécié la situation au bout d’un moment, j’ai même profité de la piscine où l’eau glissant entre mes cuisses m’a procuré un plaisir et des joies qui m’ont permis de vous concocter quelques bons petits plats avec les ingrédients qu’Aline avait laissés dans les frigos.
Sans me vanter, je suis bonne cuisinière et il va vous falloir faire de nombreuses longueurs de bassin et des heures de sauna pour éliminer les kilos que je risque de vous faire prendre.
De plus, j’ai compris qu’entre vous toute il y a une complicité amoureuse et sexuelle.
Si vous le désiré, je vous donne mon corps qui sera toujours à votre disposition suivant vos envies et sûrement les miens, mais depuis mon ouverture vers le sexe, j’aime que l’on me violente, car je suis d’une nature assez passive à la limite de la soumission.

À la fin de ces mots, elle se penche vers la chatte de Virginie qu’elle embrasse.
Puis se retourne et en fait de même sur ma minette nous montrant par là même qu’elle sait aussi prendre des initiatives.
Un peu plus vicieuse, j’écarte mes cuisses et ses lèvres se trouvent en contact direct avec les parties plus tendres de ma vulve.
Alors qu’elle aurait pu se retirer, je sens une petite langue venir caresser l’intérieur de ma chatte qui commence à mouiller.
La manière dont elle me lèche me fait comprendre que notre amie est vierge d’expérience avec les femmes, mais c’est troublant de voir le mal qu’elle se donne pour me rendre heureuse.
Voulant éviter de la décevoir, c’est par son obstination que je la récompense d’un cri de jouissance venu du fond de moi.

• Madeleine, tu m’as fait jouir, Virginie espère que tu lui fasses la même chose.

Connaissant ma marraine lorsqu’une bouche nouvelle la dévore, je tiens à voir, comment elle va réagir lorsque la chatte de notre amie lui déversera des jets de liquide au visage.
Contrairement à ce que je craignais, lorsque l’orage arrive, elle aspire le maximum de cyprine évitant d’en perdre une goutte.
Très naturellement elle se relève et nous dit merci alors que c’est nous qui aurions dû le faire.
Comme me l’avait expliquée Antoinette, j’ai cru qu’elle allait pleurer.
Je les pris dans mes bras pour la consoler.
La regardant dans les yeux.

• Pourquoi es-tu triste petit cœur ?
• Au non aucune tristesse, au contraire je suis heureuse.
Comme je vous l’ai dit avant vous connaître ainsi qu’Antoinette et Serge, aucun être humain ne m’avaient donné autant d’amours.
Sachez tout ce que vous m’apportez, dans deux jours, nous partons en vacances moi qui suis toujours resté sur Paris.
Qui plus est à la mer où mais orteils aspirent à jouer dans les vagues et tout cela pendant un mois.
Comment voulez-vous que je reste insensible à votre bonté et à votre beauté.

Sur ces derniers mots que nous apprécions, elle repart dans de gros sanglots.
Exaspérée d’un regard avec Valérie, Madeleine attrapée par les pieds et les mains est balancée dans la piscine. En sortant la tête de l’eau, elle hurle qu’elle va se noyer, personne ne lui ayant appris à nager alors qu’à cet endroit elle a pied.

Valérie toujours prévoyante donne ses directives.

• Passons aux choses sérieuses, il faut que nous fassions nos valises pour être prêtes sans avoir à courir.
Cet après-midi, j’ai appelé l’homme qui s’occupe d’entretenir la piscine et le jardin, pour qu’il vienne deux fois par semaine vérifier que tout est en ordre.
Nous partirons en vacances sans aucun souci.
Madeleine, tu viendras à l’institut avec nous demain afin qu’Odile, fasse le nécessaire pour te donner une silhouette de jeune fille moderne.
• Super Virginie, lorsque ce sera fait, je l’emmènerais dans deux ou trois boutiques pour lui acheter des vêtements à la hauteur de sa beauté dévoilée après le traitement que tu vas lui faire subir.

Une heure après nous nous retrouvons devant une orangeade satisfaite de notre travail.
Madeleine a rangé la table où nous avons mangé, pour notre amie en ce moment sa valise, se résume à sa trousse de toilette le reste même ses petites culottes sera à donner à des plus pauvres qu’elle.

Tout est prêt à être chargé le lendemain, nous prenons une douche et partons-nous coucher, les trois biens fatigués de notre journée.
Le lendemain, nous récupérons les deux poupées chez elles et retournons à l’institut.
Je fais mon travail jusqu'à midi.
Odile s’occupe de Madeleine vers onze heures et nous change une citrouille en carrosse.
Odile est coiffeuse de formation, elle a même été reçue avec la meilleure coupe de l'école de coiffures de Paris.
La coupe de cheveux, qu’elle lui fait, lui donne un visage plus jeune, plus doux.
Je suis sûr qu’elle a passé à la débroussailleuse son intimité.

Nous mangeons toutes au restaurant et nous partons faire du lèche-vitrine.

• Comment vais-je payer ?
• Aucun problème pour l’argent, je vais m’en occuper.
• Je te rembourserais lorsque j’aurai fait des économies.
• Aucun problème, on verra, je te ferais confiance.

Nous avançons dans les rues, mes pas m’attirent vers un lieu que je connais bien.
Le sex-shop est toujours à la même place, le patron est toujours derrière son comptoir.
Lorsqu’il nous voie entrer, il me donne l’impression d’être satisfait de nous voir.

• Il y a longtemps, j’ai failli être jaloux.
• Rien à craindre, vos objets, reste tellement intéressant !
Pouvez-vous fermer la porte de la boutique, le temps que l’on fasse nos emplettes ?
• Vos désirs sont des ordres belles dames, c’était justement l’heure de faire prendre l’air à ma queue, il serait mal venu que de jolies dames entrant à ce moment-là soient offusquées.
• Ma copine veut voir vos guêpières elle aussi.
• Qui m’aime me suis.

Nous passons dans la salle contiguë, je prends Madeleine par le bras et je la dirige vers la penderie où elles sont stockées.

• Choisi celle de la couleur que tu désires, il te donnera la bonne taille.
• Jaune clair, elles sont très sexy.

Il sort une guêpière qui semble à ses mensurations.

• Enlève tes vêtements et essaye là.

Elle s’exécute. Pendant ce temps, je sors la queue du patron et je la suce consciencieusement, je connais bien le morceau qu’il est capable de développer pour mon plus grand plaisir.
Pendant ce temps, la petite s’est mise nue. J’admire une fois de plus les globes magnifiques qui pointent fièrement en avant. Avec des obus comme ceux-là, elle devrait faire son chemin.
Ajouté à cela le travaille d’Odile sur sa fente lui ayant laissé qu’une minuscule touffe donnant à sa chatte un regard mutin.
L’homme comme à son habitude est toujours aussi entreprenant, pendant que j’admire mon amie, il m’appuie sur la table et d’écarter mes cuisses relevant ma jupe très courte, il me pénètre rapidement mon sexe étant déjà ruisselant.
Il me donne un assaut tellement intense et rapide que je sens le plaisir irradier l’intégralité de mon être.
Madeleine regarde notre copulation avec envie.

• Ta copine semble appréciée, tu crois que je peux y goûter.
• Regarde comme elle est belle dans sa guêpière, elle est à toi.
• Il quitte ma vulve et prestement la saisie, l’assoit sur la table proche et la pourfend.

Immédiatement, ses yeux commencent à virer, signe de l’orgasme qui monte en elle. S’il insiste un peu, elle va exploser rapidement.
Je passe derrière lui et empoigne ses boules.
Je les tourne légèrement sans pour autant lui faire mal.
Cette manœuvre a l’air de lui plaire, car dès que Madeleine éclate, il éclate aussi.
Il se retire et enlève sa protection. Sa queue a du mal à retrouver sa place à l’intérieur de ses Jeans.
Il quitte la pièce pour retourner à l’accueil.
Madeleine est toujours comme pétrifiée, elle est toujours assise sur la table, la chatte offerte.
Et je me l’offre, je la suce, la lèche la pénètre avec ma langue, je lui mordille délicatement le clitoris qui a une belle grosseur.
En peu de mots, je lui fais l’amour.
Je peux de très prêts admirer le travail d’Odile, sa chatte est belle.
Réagissant enfin, elle veut me rendre le plaisir que je lui ai donné, elle me relève, me fait prendre sa place sur la table et plonge dans mon minet.
Il réagit très vite et je pars rapidement.
Je la fais coucher entièrement sur la table, y monte aussi et lui présente ma vulve pendant que j’attaque la sienne.
Elle prend de l’assurance avec sa langue depuis hier au soir.
Encore une ou deux séances et j’aurai créé une championne broute minet.
Encore une fois on prend notre pied.
Le temps passe, il faut retourner au magasin retrouver les filles.
Nous quittons le sex-shop avec une guêpière supplémentaire non payée une fois de plus. Si le patron nous voit trop souvent, la faillite le guette.
Nous repassons dans toutes les boutiques où nous avons laissé des paquets.
À la dernière, j’emmène, Madeleine dans la cabine d’essayage lui fait enlever tout ce qui lui reste de son ancienne vie et l’habile avec les vêtements de sa nouvelle vie qui vont si bien avec le travail qu’Odile a fait.
Il est dix-sept heures quand nous arrivons près des autres filles.
La dernière cliente vient de partir, je n’ai pris aucun rendez-vous pour que nous fêtions les vacances.
Alain arrive avec Serge au volant de sa voiture.
Les bagages du couple sont dans le coffre. Ils vont les conduire à Orly pour leur départ aux Antilles.
Lorsqu’ils entrent, Madeleine saute au cou de Serge. Elle l’embrasse, il la repousse légèrement et admire notre travail sur notre amie.

• Madeleine avec Antoinette si nous t’avions croisé dans la rue, nous serions passés près de toi sans te reconnaître, tu es superbe.

Nous ouvrons la bouteille de champagne qu’ils ont apportée.

• Vive les vacances.

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