Femme BCBG, escorte, non, pute… (33)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2395 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 990 080 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 256 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Femme BCBG, escorte, non, pute… (33)
Alors que nous sommes parties pour nos vacances dans ma propriété à Saint-Palais sur mer, j’emmène Marie Ange nouvelle recrue pour l’institut, mais aussi nous l’espérons nouvelle recrue pour notre organisation d’escorte girls.
C’est avec plaisir que je vais pouvoir dire à Valérie qu’elle accepte.
Alain et Virginie ont mis le clignotant pour s’arrêter à un Restoroute.
Tout le monde se gare, je fais signe à Valérie de venir me rejoindre et je pars vers les toilettes.
Je la mets au courant de l’acceptation de Marie-Ange d’honorer un contrat qui lui sera proposé.
Elle est très contente persuadée que nous avons fait une bonne recrut.
Je lui explique que l’organisation vient de m’appeler. Ils sont en rappel.
• Qu’est-ce que je leur dis, on est en vacances ?
• Pour nous jamais de vacances. J’ai donné des directives au cas où un client souhaite un rendez-vous, ils appellent et nous nous organiserons, il faut que tu te souviennes que nous avons toujours le droit de refuser un contrat ou même un client avec qui nous avons eu des moments désagréables et comme nous sommes des femmes qui plusieurs jours par mois refusons à cause de la nature.
Vas-y, mon cœur appelle.
Je ressors des toilettes, je les rappelle.
J’entends.
• Bayonne, mercredi soir vingt et une heures, Hôtel Le bayonne. Chambre dix-neuf et vingt. Deux personnes.
Les clients souhaitent surtout votre présence.
• D’accord nous acceptons, la collègue qui m’accompagnera est déjà près de moi et est d’accord.
J’ajoute que Valérie va les rappeler pour parler de la fille qui va m’accompagner.
Pour les enveloppes pour chacune de nous je confirme les deux mille euros.
• Vous prendrez des avions à quinze heures de Royan jusqu'à Bayonne.
Un coursier sera au bar de l’aéroport à quatorze heures trente.
Merci.
Il raccroche.
J’ai noté les renseignements sur mon calepin. Je rejoins le groupe.
La petite joue avec Madeleine. Ils m’ont pris le café commandé.
Je me rapproche de Virginie.
• Ma chérie, avec l’organisation tout va toujours très vite, nous avons un contrat à Bayonne mercredi soir, toujours d’accord.
• Plus top deux fois qu’une, surtout si tu es avec moi.
Avant de repartir, je rejoins Valérie, je la mets au courant de la rapidité avec laquelle tout cela c’est réglé.
Elle va les rappeler, pour confirmer auprès d’eux notre nouvelle recrue.
Elle remonte en voiture tout en rigolant et me lâche.
• J’ai un contrat avec les deux petites, jeudi à Saint-Tropez quai des yachts pour deux jours.
Elles ont choisi leurs prénoms qu’elles ont voulus de consonance indonésienne « Arum » pour Anne et « Ayu » pour Aline.
Tu remarques que fidèles aux parents, elles ont choisi des prénoms commençant par « A ».
Il te reste à prévenir Marie-Ange et à lui trouver un prénom.
• Chérie, dès que j’en aurai parlé avec elle, on t’appelle et à Poitiers, tu règles le problème du prénom avec l’organisation.
• Je m’occuperai de son compte après les vacances ainsi que ceux d’Anne et Aline.
Nous reprenons la route.
Prochain arrêt Poitiers.
Marie-Ange a l’air anxieuse. Je la rassure.
• Tu as tout à gagner avec nous, Valérie va leur donner des renseignements sur ta personne, ils seront enchantés, tu seras la première fille de couleur travaillant pour eux.
Tout est ok mon cœur.
• Tout cela va très vite, mais comme je te l’ai dit, nous serons ensemble, je n’ai aucune appréhension tout va bien se passer.
• Il nous faut te trouver un prénom. Marie-Ange, Marilyne, qu’en penses-tu ?
• Sympa et facile à me souvenir même consonance.
Je la mets au courant qu’a notre retour, nous irons à la banque pour ouvrir un compte personnel servant exclusivement à l’organisation.
• Et parmi les filles qui nous accompagnent, elles font toute partie de votre organisation.
• Non, Odile est mariée avec Alain.
Antoinette avec Serge qui est antillais comme toi, mais de la Martinique.
Odile et Alain sont échangistes.
Antoinette et Serge sortent d’une épreuve qui aurait pu faire éclater le couple, mais qu’ils ont surmonté grâce à Madeleine avec qui elle a passé la soirée d’hier.
Mais c’est une autre histoire que je te raconterais plus tard.
Il reste Véronique, l’ex de mon ex.
Tu imagines que si nous sommes devenues des amantes et que je l’ai piqué à mon ex-mari, la logique a été de la faire venir s’éclater la chatte avec moi, surtout avec sa crinière rouge qui est un atout pour elle comme le fait que tu sois black pour toi. Véronique lors de ses déplacements s’appelle Séverine.
Nous avons fait son premier voyage en Espagne la semaine dernière comme novice et moi comme responsable de contrat.
Là, encore je te raconterai les détails de ce voyage plus tard la route est longue.
Il nous reste trois filles.
Les deux petites sœurs d’origine indonésienne, père français, mère indonésienne.
Je lui narre la saga de la famille et comment j’aime Anne qui travaillait à l’entretien du pavillon de Virginie.
Comment Anne est arrivée à l’institut et comment sa sœur a pris sa place ?
Aline qui elle aussi a pris une place à l’institut remplacé par Madeleine.
J’espère que tu as réussi à suivre mon cœur.
En lui disant cela, je lâche une main du volant et la pose sur sa cuisse.
Elle prend ma main et la fait monter vers sa vulve.
Une culotte, très petite, certes, mais une culotte.
• Enlève-moi ça, je te veux nue toujours sous mes doigts.
• Quand nous serons arrêtés, je le ferais.
• Non, tout de suite.
Elle se soulève comme elle peut et tire vers le bas ce petit timbre-poste.
• Donne-moi là !
J’ouvre la fenêtre et là jette. Elle est tellement légère qu’elle s’envole.
Je la suis dans le rétroviseur et je la vois se coller sur le pare-brise de la voiture qui nous suit.
Qu’elle surprise, le conducteur doit avoir eu.
Nous recevons un nouvel appel téléphonique d’Alain.
Il faut changer la petite, arrêt dans deux kilomètres au prochain Restoroute.
Nous, nous garons et chacun se dirige vers l’entrée de la station.
Je contrôle mon portable, Marie-Ange m’attend.
Une voiture vient se ranger à côté de nous.
Le conducteur descend en nous regardant.
• C’est à vous.
Au bout de ses doigts, le timbre-poste.
• Je l’ai attrapé sur mon pare-brise, vous avez failli me faire partir dans les décors.
• Marilyne va te faire pardonner d’avoir failli enlever la vie à ce monsieur.
Je dis à ce monsieur de nous suivre pour nous faire pardonner.
Nous prenons le chemin du Restoroute.
Je glisse une capote sortie de mon sac à Marilyne.
• Va aux toilettes te faire pardonner !
Lorsqu’ils sont entrés, je les suis.
Je les vois entrer rapidement dans les toilettes des dames.
Une toilette est occupée, la pastille rouge du verrou est mise.
Je me glisse dans celle voisine et j’écoute.
• Au oui, mets-moi là bien à fond !
Tu ignores depuis combien de temps ma petite chatte attend pour qu’on la ramone.
La paroi qui nous sépare est tellement fine que je la sens bouger à chaque coup de queue qu’il lui enfonce.
Oubliant toute prudence, elle hurle son plaisir.
Je me masturbe frénétiquement en les entendant baiser.
L’homme après qu’elle eut pris son plaisir doit éjaculer au son qu’il émet.
J’entends leur porte s’ouvrir.
Je sors aussi et vais vers les lavabos. Je vois une silhouette masculine franchir la porte des toilettes rapidement.
La pute Maryline a fait place à Marie-Ange lorsqu’elle sort de la cabine après c’être rajusté.
C’est devant la glace refaisant notre maquillage que l’on se retrouve.
• Tu étais là.
• Bien sûr, je vous ai suivi, j’étais dans les toilettes voisines.
• Merci de m’avoir appelé par mon prénom de futur escorte girl, j’ai tout de suite compris que tu voulais voir si je suis capable de devenir une bonne pute bien obéissante, au retour à Paris, j’espère que tu m’offriras un joli collier te prouvant mon attachement à toi.
J’espère avoir été à la hauteur.
Je suis déjà rassuré, regarde ce qu’il m’a glissé dans le string et mis dans ma main après avoir ouvert son portefeuille.
Je vais les garder comme porte-bonheur.
C’est la première fois que je gagne autant d’argent en si peu de temps, ce qui est drôle, c’est que c’est avec mes fesses.
C’est vrai, elle a son petit bout de tissu en main avec un billet de cent euros…
C’est avec plaisir que je vais pouvoir dire à Valérie qu’elle accepte.
Alain et Virginie ont mis le clignotant pour s’arrêter à un Restoroute.
Tout le monde se gare, je fais signe à Valérie de venir me rejoindre et je pars vers les toilettes.
Je la mets au courant de l’acceptation de Marie-Ange d’honorer un contrat qui lui sera proposé.
Elle est très contente persuadée que nous avons fait une bonne recrut.
Je lui explique que l’organisation vient de m’appeler. Ils sont en rappel.
• Qu’est-ce que je leur dis, on est en vacances ?
• Pour nous jamais de vacances. J’ai donné des directives au cas où un client souhaite un rendez-vous, ils appellent et nous nous organiserons, il faut que tu te souviennes que nous avons toujours le droit de refuser un contrat ou même un client avec qui nous avons eu des moments désagréables et comme nous sommes des femmes qui plusieurs jours par mois refusons à cause de la nature.
Vas-y, mon cœur appelle.
Je ressors des toilettes, je les rappelle.
J’entends.
• Bayonne, mercredi soir vingt et une heures, Hôtel Le bayonne. Chambre dix-neuf et vingt. Deux personnes.
Les clients souhaitent surtout votre présence.
• D’accord nous acceptons, la collègue qui m’accompagnera est déjà près de moi et est d’accord.
J’ajoute que Valérie va les rappeler pour parler de la fille qui va m’accompagner.
Pour les enveloppes pour chacune de nous je confirme les deux mille euros.
• Vous prendrez des avions à quinze heures de Royan jusqu'à Bayonne.
Un coursier sera au bar de l’aéroport à quatorze heures trente.
Merci.
Il raccroche.
J’ai noté les renseignements sur mon calepin. Je rejoins le groupe.
La petite joue avec Madeleine. Ils m’ont pris le café commandé.
Je me rapproche de Virginie.
• Ma chérie, avec l’organisation tout va toujours très vite, nous avons un contrat à Bayonne mercredi soir, toujours d’accord.
• Plus top deux fois qu’une, surtout si tu es avec moi.
Avant de repartir, je rejoins Valérie, je la mets au courant de la rapidité avec laquelle tout cela c’est réglé.
Elle va les rappeler, pour confirmer auprès d’eux notre nouvelle recrue.
Elle remonte en voiture tout en rigolant et me lâche.
• J’ai un contrat avec les deux petites, jeudi à Saint-Tropez quai des yachts pour deux jours.
Elles ont choisi leurs prénoms qu’elles ont voulus de consonance indonésienne « Arum » pour Anne et « Ayu » pour Aline.
Tu remarques que fidèles aux parents, elles ont choisi des prénoms commençant par « A ».
Il te reste à prévenir Marie-Ange et à lui trouver un prénom.
• Chérie, dès que j’en aurai parlé avec elle, on t’appelle et à Poitiers, tu règles le problème du prénom avec l’organisation.
• Je m’occuperai de son compte après les vacances ainsi que ceux d’Anne et Aline.
Nous reprenons la route.
Prochain arrêt Poitiers.
Marie-Ange a l’air anxieuse. Je la rassure.
• Tu as tout à gagner avec nous, Valérie va leur donner des renseignements sur ta personne, ils seront enchantés, tu seras la première fille de couleur travaillant pour eux.
Tout est ok mon cœur.
• Tout cela va très vite, mais comme je te l’ai dit, nous serons ensemble, je n’ai aucune appréhension tout va bien se passer.
• Il nous faut te trouver un prénom. Marie-Ange, Marilyne, qu’en penses-tu ?
• Sympa et facile à me souvenir même consonance.
Je la mets au courant qu’a notre retour, nous irons à la banque pour ouvrir un compte personnel servant exclusivement à l’organisation.
• Et parmi les filles qui nous accompagnent, elles font toute partie de votre organisation.
• Non, Odile est mariée avec Alain.
Antoinette avec Serge qui est antillais comme toi, mais de la Martinique.
Odile et Alain sont échangistes.
Antoinette et Serge sortent d’une épreuve qui aurait pu faire éclater le couple, mais qu’ils ont surmonté grâce à Madeleine avec qui elle a passé la soirée d’hier.
Mais c’est une autre histoire que je te raconterais plus tard.
Il reste Véronique, l’ex de mon ex.
Tu imagines que si nous sommes devenues des amantes et que je l’ai piqué à mon ex-mari, la logique a été de la faire venir s’éclater la chatte avec moi, surtout avec sa crinière rouge qui est un atout pour elle comme le fait que tu sois black pour toi. Véronique lors de ses déplacements s’appelle Séverine.
Nous avons fait son premier voyage en Espagne la semaine dernière comme novice et moi comme responsable de contrat.
Là, encore je te raconterai les détails de ce voyage plus tard la route est longue.
Il nous reste trois filles.
Les deux petites sœurs d’origine indonésienne, père français, mère indonésienne.
Je lui narre la saga de la famille et comment j’aime Anne qui travaillait à l’entretien du pavillon de Virginie.
Comment Anne est arrivée à l’institut et comment sa sœur a pris sa place ?
Aline qui elle aussi a pris une place à l’institut remplacé par Madeleine.
J’espère que tu as réussi à suivre mon cœur.
En lui disant cela, je lâche une main du volant et la pose sur sa cuisse.
Elle prend ma main et la fait monter vers sa vulve.
Une culotte, très petite, certes, mais une culotte.
• Enlève-moi ça, je te veux nue toujours sous mes doigts.
• Quand nous serons arrêtés, je le ferais.
• Non, tout de suite.
Elle se soulève comme elle peut et tire vers le bas ce petit timbre-poste.
• Donne-moi là !
J’ouvre la fenêtre et là jette. Elle est tellement légère qu’elle s’envole.
Je la suis dans le rétroviseur et je la vois se coller sur le pare-brise de la voiture qui nous suit.
Qu’elle surprise, le conducteur doit avoir eu.
Nous recevons un nouvel appel téléphonique d’Alain.
Il faut changer la petite, arrêt dans deux kilomètres au prochain Restoroute.
Nous, nous garons et chacun se dirige vers l’entrée de la station.
Je contrôle mon portable, Marie-Ange m’attend.
Une voiture vient se ranger à côté de nous.
Le conducteur descend en nous regardant.
• C’est à vous.
Au bout de ses doigts, le timbre-poste.
• Je l’ai attrapé sur mon pare-brise, vous avez failli me faire partir dans les décors.
• Marilyne va te faire pardonner d’avoir failli enlever la vie à ce monsieur.
Je dis à ce monsieur de nous suivre pour nous faire pardonner.
Nous prenons le chemin du Restoroute.
Je glisse une capote sortie de mon sac à Marilyne.
• Va aux toilettes te faire pardonner !
Lorsqu’ils sont entrés, je les suis.
Je les vois entrer rapidement dans les toilettes des dames.
Une toilette est occupée, la pastille rouge du verrou est mise.
Je me glisse dans celle voisine et j’écoute.
• Au oui, mets-moi là bien à fond !
Tu ignores depuis combien de temps ma petite chatte attend pour qu’on la ramone.
La paroi qui nous sépare est tellement fine que je la sens bouger à chaque coup de queue qu’il lui enfonce.
Oubliant toute prudence, elle hurle son plaisir.
Je me masturbe frénétiquement en les entendant baiser.
L’homme après qu’elle eut pris son plaisir doit éjaculer au son qu’il émet.
J’entends leur porte s’ouvrir.
Je sors aussi et vais vers les lavabos. Je vois une silhouette masculine franchir la porte des toilettes rapidement.
La pute Maryline a fait place à Marie-Ange lorsqu’elle sort de la cabine après c’être rajusté.
C’est devant la glace refaisant notre maquillage que l’on se retrouve.
• Tu étais là.
• Bien sûr, je vous ai suivi, j’étais dans les toilettes voisines.
• Merci de m’avoir appelé par mon prénom de futur escorte girl, j’ai tout de suite compris que tu voulais voir si je suis capable de devenir une bonne pute bien obéissante, au retour à Paris, j’espère que tu m’offriras un joli collier te prouvant mon attachement à toi.
J’espère avoir été à la hauteur.
Je suis déjà rassuré, regarde ce qu’il m’a glissé dans le string et mis dans ma main après avoir ouvert son portefeuille.
Je vais les garder comme porte-bonheur.
C’est la première fois que je gagne autant d’argent en si peu de temps, ce qui est drôle, c’est que c’est avec mes fesses.
C’est vrai, elle a son petit bout de tissu en main avec un billet de cent euros…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...