Femme BCBG, escorte, non, pute… (44)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (44)
J’ai quitté Fabienne qui dort sur la terrasse après ce que l’on peut appeler un exploit en moins d’une heure de draguer un homme en ville et de l’amener près de nous pour se donner à lui afin de respecter la punition que nous lui avons infligée.
Quoiqu’elle ait dit avoir compris qu’elle devait être à l’écoute de Christian, son mari et éviter de lui rendre la vie impossible, nous avons appliqué la sentence.
Au matin comme j’ai pris l’habitude de le faire, je fais le tour des chambres afin de voir qui ont pris du plaisir avec qui, surtout pour que la bande reste souder.
Au premier tous va bien, seule Madeleine manque à l’appel.
Aucune Madeleine au milieu de tous ces couples. L’ont-ils abandonnée ?
Je monte jusqu'à sa chambre.
Elle est là, assise sur son lit, un livre posé à ses côtés.
Le sexe en ébène sort de sa chatte.
Elle vient de jouir, car ses yeux sont encore embués après le plaisir que la bite lui a donné.
Je me couche à ses côtés.
• Tu sais quand je suis parti de Paris, Noiraud à sauter dans ma valise en sortant seul de son tiroir.
Quand je suis seule et que je lis des scènes osées dans des livres, il vient me tenir compagnie.
Virginie possède des dizaines de godes, mais je suis fidèle à mon noiraud, il est le seul et il sera le seul à défoncer mon vagin.
Un jour dans la bibliothèque de Virginie, j’ai trouvé sur la dernière étagère en haut un livre d’allure anodine qui avait pour titre « Les Onze Mille Verges » de Guillaume Apollinaire.
Dans l’histoire, il raconte les péripéties à travers l’Europe d’un prince roumain qui sont ponctuées de scènes notablement crues, où toutes les facettes de la sexualité sont exploitées par Apollinaire, le sadisme, le masochisme, la pédophilie, l’onanisme et toutes autres formes de dépravation où Apollinaire semble se complaire.
Certains passages sont si crus que ma minette est trempée.
• Tu as bien raison de te faire jouir à la lecture de ces scènes très explicites.
J’ai lu ses livres dans ma jeunesse, mais j’ai été élevé dans le respect de mon corps et il m’aurait été impossible de me caresser comme tu le fais. Grâce à marraine, je me suis bien rattrapé depuis.
• Vous aviez laissé noiraud un matin sur la table du salon près du canapé où je lisais.
J’ai essayé de résister pour finir par céder la scène que je lisais étais très excitante.
Je l’ai saisi et présenté à ma vulve, étant seule je me rappelle avoir dit à mon ami noir.
• Tu en veux.
• Il a dû répondre par un oui car quelques secondes après, il était planté presque entièrement dans mon vagin.
Je l’ai fait aller et venir deux ou trois fois dans ma chatte et des jets de cyprine ont jailli, arrosant le canapé.
J’étais paniqué. J’ai mis plus d’une heure pour le nettoyer ainsi que le tapis qui en avait reçu.
Chaque fois que je m’introduis noiraud, il me fait sortir ces jets du con.
J’ai été obligé de m’organiser, j’ai acheté une alèse que j’ai coupée et que je mets avant de me l’introduire.
Tu vois ce matin, il m’a rendu visite et je l’ai mise. Regarde comme mes sécessions le font glisser.
En effet, dans les replis de l’alèse des petites flaques se sont formées.
Je saisis le sexe en ébène dans ma main avec du mal tellement, il est gros et je le fais aller une ou deux fois.
Comment ai-je pu le recevoir en moi le jour de mon anniversaire alors qu’il m’a été offert par le groupe de hardeur que Virginie avait fait venir avec en vedette Tof le garçon vu sur des DVD et sur lequel j’ai flashé.
Après avoir fait bouger noiraud comme elle l’appelle, la petite se tend et immédiatement des jets giclent tout autour du gode et sur mes mains.
• Ma chérie, tu es, toi aussi comme Virginie une femme fontaine.
• Oui, je le sais, mais seulement quand noiraud rentre en moi.
J’ai essayé avec mes doigts pendant des heures à reproduire ces mêmes jets, ce fut un échec complet.
Tu m’en veux de t’avoir pris mon noiraud.
• Bien sûr, il est à toi, il te sert alors que moi depuis que nous sommes arrivés, j’aie à disposition tous les sexes dont j’ai envie.
Nous-nous embrassons assez goulûment.
Je me lève pour aller préparer le café.
Madeleine veut en faire autant se sentant obligé d’aller préparer le déjeuner.
• Reste mon cœur, lis un peu. Je m’occupe de tous, attention que noiraud déclenche en toi une overdose de sexe.
Un grand sourire complice apparaît sur nos visages.
À l’étage inférieur rien n’a bougé.
Je commence à faire couler le café et à mettre la table.
Carl arrive habillé.
• Il est bien que tu sois réveillé. Il faut que je parte, car à dix heures, j’ai un rendez-vous à La Rochelle, et il faut que je passe à mon hôtel pour me doucher et prendre mes affaires.
• Prends ce bon café bien chaud, il est prêt.
• Sans problème, il me reste cinq minutes.
Je me souviendrai de mon étape à Saint-Palais.
Il m’arrive au long des routes, toute l’année d’avoir des aventures d’un soir, celle d’hier est unique en son genre.
Je lui explique, quelle femme était notre amie il y a encore quelques jours, et comment j’ai réussi à faire ressortir sa vraie nature.
• Que fais-tu comme travail ?
• Je travaille pour un laboratoire pharmaceutique lyonnais et j’organise des séminaires pour des médecins et des pharmaciens à travers toute l’Europe pour leur faire connaître nos produits et nos nouveautés.
J’en prépare un à La Rochelle d’ici quelques jours.
J’aimerais revoir notre amie, peux-tu me donner ses coordonnées pour que je l’appelle.
• C’est impossible, car elle est seule à avoir ce droit, mais je peux te donner une carte d’un site Internet qui peut t’intéresser.
Je vais dans mon sac et je sors des cartes de l’organisation.
Je lui en donne une et je pose machinalement les autres à côté de mon bol.
• Je t’explique, la plupart des femmes en vacances dans cette maison sont des escortes girls et mes amies. Ce site est là pour nous permettre de trouver des clients.
Tu peux appeler, ils te donneront tous les renseignements.
• C’est mon jour de chance depuis hier.
Souvent lorsque je rencontre mes futurs séminaristes, ils me demandent si j’ai la possibilité de leur faire venir des femmes pour qu’ils passent de bons moments loin de leurs épouses.
J’ai toujours refusé, car il m’est impossible de prendre des risques avec des personnes peu fiables. Vous maintenant que je vous connais, je vais vous faire travailler.
Bon, il faut que je parte, on reste en contact, je vais être en retard.
Je l’accompagne jusqu’à sa voiture, il monte et je regarde sa Porche démarrer.
C’est à ce moment que je m’aperçois que je suis sortie nue.
Un coup d’œil personne dans la rue, je rentre.
Dans la salle, Fabienne est debout enroulée dans son imper.
Je vais à elle et je l’embrasse tendrement.
Elle me regarde les yeux pleins de sommeil.
• Quelle nuit.
Je boirai bien un café pour me réveiller.
• Assieds-toi, je vais te servir.
Carl vient de partir, il avait un rendez-vous à La Rochelle, il t’embrasse bien fort.
J’enlève les deux bols ayant servi.
Fabienne aperçoit les cartes malencontreusement posées sur la table.
Elle les prend en main et les regarde.
• Tient un site pour recruter des escortes girls ?
Il les a oubliés.
• Non, c’est moi qui lui en ai donné, il appellera lorsqu’il aura besoin de nous dans les séminaires qu’il organise pour son laboratoire pharmaceutique.
• Je suis encore un peu endormie, mais tu as bien dit, que je lui ai donné.
Tu fais donc partie d’un réseau d’escorte girl. Je vois clair maintenant, c’est pour cela que vous êtes parti à Bayonne et que Virginie est en voyage avec les petites.
• Tu as tout compris, tu es choqué.
• Il y a quelques jours, j’aurais été horrifié et avec Christian, je me serais sauvé en courant, mais après ce que vous m’avez fait faire hier soir en me demandant d’aller lever en ville n’importe quel homme, ce serait mal venu.
Hier, si je regarde bien, je me suis comporté en pute, je dois dire que j’ai beaucoup aimé.
• Non pas en pute car pour être comme nous des putes, il faut se faire payer.
Hier tu as été une salope qui a su s’assumer.
J’ai une proposition à te faire.
• Oui.
• Le degré de complicité que vous avez liée avec Christian me fait penser que vous êtes prêt tous les deux à franchir une étape dans votre couple.
La manière, dont il t’a envoyé en ville chercher un inconnu pour te faire sauter, montre qu’il a besoin de te voir faire l’amour avec d’autres que lui.
L’organisation dont je fais partie manque de couple pour remplir ce que nous appelons des contrats principalement avec des couples qui cherchent des moments de plaisir à plusieurs en toute confidentialité, car souvent ce sont des gens célèbres qui évitent les clubs échangistes.
• Et sa paye bien.
• Nous, les filles, prenons deux mille euros la nuit directement en liquide payé avant toute prestation. Une somme est payée à l’organisation par le client qui couvre les frais généraux et une part qui nous revient sur chaque contrat.
Virginie qui est une escorte depuis plusieurs années m’a dit que pour un couple les prestations hors contrat étaient payées quatre mille euros.
• Quatre mille euros, où faut-il signer pour devenir vos putes avec Christian ?
• J’en parlerais avec Virginie et dès qu’un contrat se présentera, vous auriez une proposition si vous êtes toujours partant.
Déjeuné terminée, elle monte se doucher.
Incroyable la rapidité avec laquelle elle a fait évoluer sa vie, certainement au fond d’elle-même le double jeu qu’elle a créé pour se protéger dans son métier lui pesait.
Je sors sur la terrasse pour téléphoner à Virginie qui doit avoir quitté Saint-Tropez.
Elles sont à l’aéroport et décollent dans cinq minutes.
Je lui demande des nouvelles des petites.
• Elles ont été d’enfer. Je t’expliquerai.
Nous parlons de ce que nous avons fait hier avec Fabienne et ce qu’elle m’a demandé, il y a moins d’une heure.
• Bravo, ma grande, tu m’étonneras toujours.
• Peux-tu organiser si possible mardi soir une soirée dans un hôtel de Royan entre Frédéric et Frédérique et Christian et Fabienne avec toi ou moi comme accompagnatrice ?
• Nos amis sont toujours à notre disposition pour nous rendre service, tu en apprendras beaucoup plus tard.
• J’ai négocié la soirée à quatre mille euros pour le couple.
• Parfais, je les joins ainsi que l’organisation, tu auras ta réponse lorsque j’arriverai.
Enfin, je lui parle de la demande de Madeleine qui pour s’offrir une librairie au Quartier Latin aimerait faire des contrats sans prendre l’avion dont elle a une phobie.
• Elle veut rester à ton service jusqu’à ce que son rêve se réalise.
• J’ai une idée, nous avons un client qui habite Saintes, je suis allé régulièrement faire des soirées avec lui. Je vais demander à l’organisation s’il peut le joindre et lui proposer un contrat.
• Tu iras avec elle.
• Bien sûr, je sais qu’une nouvelle est toujours accompagnée.
Tu diras que je ne prends rien, je serais là en soutien.
• Bon sait tout, on va décoller.
Je fais le deuxième numéro.
• Allô! Tof.
Je t’appelle pour voir comment organiser le tournage du film porno que vous m’avez offert avec tes copains pour mon anniversaire…
Quoiqu’elle ait dit avoir compris qu’elle devait être à l’écoute de Christian, son mari et éviter de lui rendre la vie impossible, nous avons appliqué la sentence.
Au matin comme j’ai pris l’habitude de le faire, je fais le tour des chambres afin de voir qui ont pris du plaisir avec qui, surtout pour que la bande reste souder.
Au premier tous va bien, seule Madeleine manque à l’appel.
Aucune Madeleine au milieu de tous ces couples. L’ont-ils abandonnée ?
Je monte jusqu'à sa chambre.
Elle est là, assise sur son lit, un livre posé à ses côtés.
Le sexe en ébène sort de sa chatte.
Elle vient de jouir, car ses yeux sont encore embués après le plaisir que la bite lui a donné.
Je me couche à ses côtés.
• Tu sais quand je suis parti de Paris, Noiraud à sauter dans ma valise en sortant seul de son tiroir.
Quand je suis seule et que je lis des scènes osées dans des livres, il vient me tenir compagnie.
Virginie possède des dizaines de godes, mais je suis fidèle à mon noiraud, il est le seul et il sera le seul à défoncer mon vagin.
Un jour dans la bibliothèque de Virginie, j’ai trouvé sur la dernière étagère en haut un livre d’allure anodine qui avait pour titre « Les Onze Mille Verges » de Guillaume Apollinaire.
Dans l’histoire, il raconte les péripéties à travers l’Europe d’un prince roumain qui sont ponctuées de scènes notablement crues, où toutes les facettes de la sexualité sont exploitées par Apollinaire, le sadisme, le masochisme, la pédophilie, l’onanisme et toutes autres formes de dépravation où Apollinaire semble se complaire.
Certains passages sont si crus que ma minette est trempée.
• Tu as bien raison de te faire jouir à la lecture de ces scènes très explicites.
J’ai lu ses livres dans ma jeunesse, mais j’ai été élevé dans le respect de mon corps et il m’aurait été impossible de me caresser comme tu le fais. Grâce à marraine, je me suis bien rattrapé depuis.
• Vous aviez laissé noiraud un matin sur la table du salon près du canapé où je lisais.
J’ai essayé de résister pour finir par céder la scène que je lisais étais très excitante.
Je l’ai saisi et présenté à ma vulve, étant seule je me rappelle avoir dit à mon ami noir.
• Tu en veux.
• Il a dû répondre par un oui car quelques secondes après, il était planté presque entièrement dans mon vagin.
Je l’ai fait aller et venir deux ou trois fois dans ma chatte et des jets de cyprine ont jailli, arrosant le canapé.
J’étais paniqué. J’ai mis plus d’une heure pour le nettoyer ainsi que le tapis qui en avait reçu.
Chaque fois que je m’introduis noiraud, il me fait sortir ces jets du con.
J’ai été obligé de m’organiser, j’ai acheté une alèse que j’ai coupée et que je mets avant de me l’introduire.
Tu vois ce matin, il m’a rendu visite et je l’ai mise. Regarde comme mes sécessions le font glisser.
En effet, dans les replis de l’alèse des petites flaques se sont formées.
Je saisis le sexe en ébène dans ma main avec du mal tellement, il est gros et je le fais aller une ou deux fois.
Comment ai-je pu le recevoir en moi le jour de mon anniversaire alors qu’il m’a été offert par le groupe de hardeur que Virginie avait fait venir avec en vedette Tof le garçon vu sur des DVD et sur lequel j’ai flashé.
Après avoir fait bouger noiraud comme elle l’appelle, la petite se tend et immédiatement des jets giclent tout autour du gode et sur mes mains.
• Ma chérie, tu es, toi aussi comme Virginie une femme fontaine.
• Oui, je le sais, mais seulement quand noiraud rentre en moi.
J’ai essayé avec mes doigts pendant des heures à reproduire ces mêmes jets, ce fut un échec complet.
Tu m’en veux de t’avoir pris mon noiraud.
• Bien sûr, il est à toi, il te sert alors que moi depuis que nous sommes arrivés, j’aie à disposition tous les sexes dont j’ai envie.
Nous-nous embrassons assez goulûment.
Je me lève pour aller préparer le café.
Madeleine veut en faire autant se sentant obligé d’aller préparer le déjeuner.
• Reste mon cœur, lis un peu. Je m’occupe de tous, attention que noiraud déclenche en toi une overdose de sexe.
Un grand sourire complice apparaît sur nos visages.
À l’étage inférieur rien n’a bougé.
Je commence à faire couler le café et à mettre la table.
Carl arrive habillé.
• Il est bien que tu sois réveillé. Il faut que je parte, car à dix heures, j’ai un rendez-vous à La Rochelle, et il faut que je passe à mon hôtel pour me doucher et prendre mes affaires.
• Prends ce bon café bien chaud, il est prêt.
• Sans problème, il me reste cinq minutes.
Je me souviendrai de mon étape à Saint-Palais.
Il m’arrive au long des routes, toute l’année d’avoir des aventures d’un soir, celle d’hier est unique en son genre.
Je lui explique, quelle femme était notre amie il y a encore quelques jours, et comment j’ai réussi à faire ressortir sa vraie nature.
• Que fais-tu comme travail ?
• Je travaille pour un laboratoire pharmaceutique lyonnais et j’organise des séminaires pour des médecins et des pharmaciens à travers toute l’Europe pour leur faire connaître nos produits et nos nouveautés.
J’en prépare un à La Rochelle d’ici quelques jours.
J’aimerais revoir notre amie, peux-tu me donner ses coordonnées pour que je l’appelle.
• C’est impossible, car elle est seule à avoir ce droit, mais je peux te donner une carte d’un site Internet qui peut t’intéresser.
Je vais dans mon sac et je sors des cartes de l’organisation.
Je lui en donne une et je pose machinalement les autres à côté de mon bol.
• Je t’explique, la plupart des femmes en vacances dans cette maison sont des escortes girls et mes amies. Ce site est là pour nous permettre de trouver des clients.
Tu peux appeler, ils te donneront tous les renseignements.
• C’est mon jour de chance depuis hier.
Souvent lorsque je rencontre mes futurs séminaristes, ils me demandent si j’ai la possibilité de leur faire venir des femmes pour qu’ils passent de bons moments loin de leurs épouses.
J’ai toujours refusé, car il m’est impossible de prendre des risques avec des personnes peu fiables. Vous maintenant que je vous connais, je vais vous faire travailler.
Bon, il faut que je parte, on reste en contact, je vais être en retard.
Je l’accompagne jusqu’à sa voiture, il monte et je regarde sa Porche démarrer.
C’est à ce moment que je m’aperçois que je suis sortie nue.
Un coup d’œil personne dans la rue, je rentre.
Dans la salle, Fabienne est debout enroulée dans son imper.
Je vais à elle et je l’embrasse tendrement.
Elle me regarde les yeux pleins de sommeil.
• Quelle nuit.
Je boirai bien un café pour me réveiller.
• Assieds-toi, je vais te servir.
Carl vient de partir, il avait un rendez-vous à La Rochelle, il t’embrasse bien fort.
J’enlève les deux bols ayant servi.
Fabienne aperçoit les cartes malencontreusement posées sur la table.
Elle les prend en main et les regarde.
• Tient un site pour recruter des escortes girls ?
Il les a oubliés.
• Non, c’est moi qui lui en ai donné, il appellera lorsqu’il aura besoin de nous dans les séminaires qu’il organise pour son laboratoire pharmaceutique.
• Je suis encore un peu endormie, mais tu as bien dit, que je lui ai donné.
Tu fais donc partie d’un réseau d’escorte girl. Je vois clair maintenant, c’est pour cela que vous êtes parti à Bayonne et que Virginie est en voyage avec les petites.
• Tu as tout compris, tu es choqué.
• Il y a quelques jours, j’aurais été horrifié et avec Christian, je me serais sauvé en courant, mais après ce que vous m’avez fait faire hier soir en me demandant d’aller lever en ville n’importe quel homme, ce serait mal venu.
Hier, si je regarde bien, je me suis comporté en pute, je dois dire que j’ai beaucoup aimé.
• Non pas en pute car pour être comme nous des putes, il faut se faire payer.
Hier tu as été une salope qui a su s’assumer.
J’ai une proposition à te faire.
• Oui.
• Le degré de complicité que vous avez liée avec Christian me fait penser que vous êtes prêt tous les deux à franchir une étape dans votre couple.
La manière, dont il t’a envoyé en ville chercher un inconnu pour te faire sauter, montre qu’il a besoin de te voir faire l’amour avec d’autres que lui.
L’organisation dont je fais partie manque de couple pour remplir ce que nous appelons des contrats principalement avec des couples qui cherchent des moments de plaisir à plusieurs en toute confidentialité, car souvent ce sont des gens célèbres qui évitent les clubs échangistes.
• Et sa paye bien.
• Nous, les filles, prenons deux mille euros la nuit directement en liquide payé avant toute prestation. Une somme est payée à l’organisation par le client qui couvre les frais généraux et une part qui nous revient sur chaque contrat.
Virginie qui est une escorte depuis plusieurs années m’a dit que pour un couple les prestations hors contrat étaient payées quatre mille euros.
• Quatre mille euros, où faut-il signer pour devenir vos putes avec Christian ?
• J’en parlerais avec Virginie et dès qu’un contrat se présentera, vous auriez une proposition si vous êtes toujours partant.
Déjeuné terminée, elle monte se doucher.
Incroyable la rapidité avec laquelle elle a fait évoluer sa vie, certainement au fond d’elle-même le double jeu qu’elle a créé pour se protéger dans son métier lui pesait.
Je sors sur la terrasse pour téléphoner à Virginie qui doit avoir quitté Saint-Tropez.
Elles sont à l’aéroport et décollent dans cinq minutes.
Je lui demande des nouvelles des petites.
• Elles ont été d’enfer. Je t’expliquerai.
Nous parlons de ce que nous avons fait hier avec Fabienne et ce qu’elle m’a demandé, il y a moins d’une heure.
• Bravo, ma grande, tu m’étonneras toujours.
• Peux-tu organiser si possible mardi soir une soirée dans un hôtel de Royan entre Frédéric et Frédérique et Christian et Fabienne avec toi ou moi comme accompagnatrice ?
• Nos amis sont toujours à notre disposition pour nous rendre service, tu en apprendras beaucoup plus tard.
• J’ai négocié la soirée à quatre mille euros pour le couple.
• Parfais, je les joins ainsi que l’organisation, tu auras ta réponse lorsque j’arriverai.
Enfin, je lui parle de la demande de Madeleine qui pour s’offrir une librairie au Quartier Latin aimerait faire des contrats sans prendre l’avion dont elle a une phobie.
• Elle veut rester à ton service jusqu’à ce que son rêve se réalise.
• J’ai une idée, nous avons un client qui habite Saintes, je suis allé régulièrement faire des soirées avec lui. Je vais demander à l’organisation s’il peut le joindre et lui proposer un contrat.
• Tu iras avec elle.
• Bien sûr, je sais qu’une nouvelle est toujours accompagnée.
Tu diras que je ne prends rien, je serais là en soutien.
• Bon sait tout, on va décoller.
Je fais le deuxième numéro.
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