Femme BCBG, escorte, non pute….(7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non pute….(7)
Note du nègre : Afin de ne pas alourdir le texte, toutes les scènes de sexe sont toujours protégées par préservatifs.
De retour à Chennevières après notre voyage à Bordeaux, nous avons repris notre vie habituelle.
Le soir de notre retour, craignant que j’aie du mal à digérer ma nouvelle situation, elle m’invite dans un château proche pour dîner.
Sous la table, je sens son pied nu, venir se poser sur mon genou. Par un mouvement de coté, elle me fait comprendre d’ouvrir mes cuisses. La longue nappe nous protège des regards de nos voisins et voisines. Son pied s’avance et rejoint mon sexe.
À travers ma petite culotte, elle me masse jusqu'à ce que mon corps se tende de plaisir. Difficile d’exprimer mon bien-être sans le faire voir. J’arrive difficilement à être impassible.
Afin de ne pas rester en reste face à Virginie, moi aussi j’enlève mon escarpin tend ma jambe jusqu’à ses genoux.
Je n’ai pas besoin d’attendre, ses cuisses s’ouvrent, j’avance mon pied, mes doigts caressent sa minette.
Oh ! Surprise, sa chatte n’a aucune protection. Aucun slip, juste son abricot que j’adore. Ouvrant et fermant mes doigts, je vois que le plaisir monte en elle, malgré les efforts qu’elle fait pour le cacher.
D’un seul coup mon pied est inondé par des petits jets liquides.
Une envie folle de plonger sous la table pour recevoir son nectar me titille.
Bien sûr la bien séance m’empêche de le faire.
— Chérie demain la femme de ménage va se demander pourquoi la moquette est constellée de petites taches.
Nous éclatons de rire, réglons et reprenons la route du pavillon.
Arrivé dans la chambre, douché, nous nous retrouvons dans les bras l’une l’autre.
J’ai bien mangé, bu du bon vin, mais pour mon dessert je veux recevoir son divin breuvage.
Quelques petits lapements et je reçois ma récompense, ma bouche se remplit, j’ai bien mérité ce petit cadeau. Ne suis-je pas devenu une bonne petite pute, sa bonne petite pute !
Le téléphone de Virginie sonne, Chantilly, mardi 20 heures, auberge du jeu de paume chambre 22.
— Ce contrat requière deux femmes, tu m’accompagnes ?
Ayant bien intégré dans mon subconscient que j’étais devenu une prostituée, je lui donne mon accord.
L’endroit et l’heure du rendez-vous nous permettent d’assurer le travail à l’institut et partir en voiture au rendez-vous.
Le mardi arrive, en fin d'après-midi, nous prenons la route vers Chantilly.
Je suis très excité de voir avec qui nous allons passer la soirée. Il est bizarre que nous n’ayons qu’un seul numéro de chambre, Virginie a bien une petite idée mais ne veut pas m’en dire plus. Ce sera une surprise. J’aime ses surprises. Je n’ai jamais été déçu.
Arrivé à l’auberge Valérie et Magali sort de la voiture.
Nous entrons et demandons la chambre 22.
Lorsque nous entrons, la porte communiquant avec celle voisine est ouverte.
Aussitôt que nous sommes entrées, une femme d’une quarantaine d’année apparaît.
Elle est très élégante dans un tailleur identique à ceux que j’ai porté pendant des années.
Elle nous fait entrer dans leur chambre. Un homme très élégant s’avance vers nous.
Il nous salue, immédiatement, je reconnais notre client, c’est un homme influent dans le monde artistique.
Il nous explique qu’avec son épouse, depuis le début de leur mariage, ils ont été des libertins. Sa situation évoluant, la venue d’escorte est le seul moyen qu’ils ont trouvé pour satisfaire leurs envies sans prendre de risque avec les paparazzis.
Une table est préparée au centre de la chambre. Un repas froid est servi.
Ils se présentent Frédéric et Frédérique !
— Vous m’avez reconnu.
— Oui, bien sûr vous passez fréquemment à la télé.
Il nous propose de faire un brin de toilette avant de passer à table.
Frédéric nous donne nos deux enveloppes. Nous passons dans notre chambre les déposer.
Le repas se passe de la meilleure des façons. Me souvenant de ce que m’avait fait ma marraine au restaurant, je tends la jambe vers Frédérique, un léger mouvement de surprise et rapidement elle écarte ses cuisses.
Son tailleur très strict l’empêche de les écarter comme elle le souhaite.
Discrètement je la voie passer la main sous la table et je sens sa jupe remonter.
J’atteins sa féminité, elle ne porte pas de culotte.
J’insinue mes doigts de pied dans sa chatte qui immédiatement se met à mouiller.
Son mari pendant ce temps discute avec Valérie.
Tout à la masturbation de la dame, je n’entends pas ce qu’ils se disent, mais je vois Frédéric avancer sa main, prendre celle de Valérie et lui déposer de légers baisers.
Rapidement mon amie se lève et se met nue. L’homme dégage sa chaise et déboutonne son pantalon. Elle sort sa queue déjà turgescente et la prend en bouche.
Je la vois allé et venir tous le long de cette tige, lui donnant des coups de langue qu’il semble apprécier.
— Si tu veux en profiter, vas-y !
Ce tutoiement me fait comprendre que nous sommes déjà complices et qu’elle a apprécié mon initiative.
Je me lève, me met nue et approche de ma convoitise.
Valérie me laisse de la place et nous léchons cette verge bien membrée.
Madame nous regarde faire et je la voie, elle aussi se mettre nue.
Elle approche mais à trois, la place est limitée.
Je quitte la verge pour prendre sa bouche. Sa langue est douce, elle m’entraîne vers le lit, mes lèvres commencent à aller et venir sur sa chatte non épilée. Elle se tourne et vient-elle aussi gober ma moule déjà bien juteuse.
Nous-nous suçons mutuellement. La tête dans sa chatte, je ne vois pas les mouvements dans mon dos, mais je sens que l’on m’empoigne les hanches.
J’ai un mouvement de surprise. Je replonge dans le con de ma nouvelle amie, son mari m’emmanche jusqu’aux tréfonds de mon ventre.
La vue de ma vulve pénétrée par son homme, la fait partir à jouir.
Oh ! Divine surprise, Frédérique est elle aussi une femme fontaine. Je bois le maximum de ce que son corps me donne. Le goût de ce que je reçois est un peu différent du goût projeté par Valérie.
La bitte enfoncée en moi me fait partir rapidement, je jouis.
Sa femme s’est couché sous moi, lèche ma fente, et récupère tout ce qu’elle peut de mes sécrétions.
Le sexe se retire et va aussitôt honorer ma marraine.
J’entends rapidement ses cris de plaisir.
Prenant l’initiative il nous place toutes les trois côte à côte en levrette.
Comme Alain il passe de l’une à l’autre apportant à chacune un grand plaisir !
Sentant qu’il va éjaculer, il nous contourne et présente son sexe à nos trois bouches avides de recevoir sa semence. Les jets convoités sortent, une bonne giclée arrive jusqu’à ma glotte, j’avale tout. Nous laissons sa femme nettoyer avec sa bouche notre compagnon.
Nous revenons à la table, nous prenons un verre sans alcool.
Au cours de la nuit, nous pratiquons une nouvelle fois avec eux les jeux de l’amour.
Nous-nous endormons mélangés. À qui ce bras, cette jambe, cette chatte, cette verge. Non là on sait.
Ces chattes épilées, elles sont à Valérie ou Magali. Bref nous dormons d’un sommeil réparateur.
Au matin, nous rejoignons la chambre voisine, nous fermons la porte de communication. Nous demandons un petit déjeuner pour deux.
De l’autre côté, quelques minutes plus tard ils font de même. Les tables roulantes nous sont servies, j’ouvre à une soubrette presque nue ayant juste remis mon string.
Valérie est dans la salle de bain. Nous rejoignons nos amis et prenons ce repas ensemble les quatre nues.
Nous-nous baignons, rhabillons. Nous-nous embrassons.
Lorsque nous les quittons Frédérique nous dit qu’elle a été très satisfaite de notre prestation et fera appel à nous très rapidement.
Nous quittons l’hôtel, prenons la route de Paris. Au péage, Virginie s’arrête, ouvre les enveloppes et me donne mes deux mille euros. Je les range dans mon sac.
— Chérie, la première fois, Christian m’a payé pour la nuit mais je ne le savais pas. Je suis devenue une demi-pute, aujourd’hui entièrement consciente et consentante, je suis une « professionnelle » à part entière. Regarde le chemin que tu m’as fait parcourir !
Je me penche, embrasse sa bouche, mets ma main sous sa jupe et caresse sa chatte.
— Tu aurais pu me dire que tu ne portais pas de culotte j’en aurai fait autant !
Je me soulève enlève mon string, j’ouvre la fenêtre et le fais tomber à l’extérieur.
— Je peux te poser une question ?
— Tu as tous les droits avec moi.
— Hier au soir, à table, est-ce toi qui as entrepris Frédérique.
— Oui je me suis souvenu de notre soirée au restaurant et ton pied sur mon sexe. J’ai pris le même chemin. J’ai bien compris que c’est à nous de proposer des initiatives à nos clients et clientes.
— Très bien mon amour, tu apprends vite, bientôt tu seras une femme entièrement libérée et tu partiras seule en mission.
Le mercredi je vais à un troisième cours de code. Stéphane n’est pas là, il donne un coure de conduite à un élève. Sa secrétaire me reçoit et me projette les diapos.
Tous les soirs, je travaille avec mon amie. Je suis inscrit pour passer le code d’ici quinze jours.
La semaine prochaine je prends mes premiers cours de conduite.
Pour mon divorce, les choses avances rapidement. Il semble que mon ex et son avocat aient des connaissances leur permettant d’accélérer la procédure.
Jeudi, Anne à la possibilité de venir à l’institue pour faire des soins avec Odile.
Toute la journée, elle nous aide, allant même jusqu'à faire quelques massages softs à des clientes.
Virginie lui demande ou elle a appris ces massages.
— Ma maman en Indochine dans sa jeunesse a été vendue par ses parents à un salon de massage. Ils lui ont appris la pratique du massage avec les mains et avec le corps.
Un français de la marine marchande est venu dans ce salon, il en est tombé amoureux. Prenant tous les risques, il l’a enlevé à sa condition d’esclave.
Il est arrivé à la faire monter à bord de son bateau comme une passagère clandestine. Caché dans un canot de sauvetage jusqu’au retour en France, il lui donnait à manger la nuit.
Les amoureux passaient des moments agréables toutes les nuits dans ce canot. Arrivé à Marseille, il a réussi à la faire descendre sans problème.
Neuf mois plus tard, nous sommes nées ma sœur et moi. Mon papa a épousé ma maman. Il a quitté la marine et nous sommes venus tous les quatre en région parisienne où il a ouvert un garage à Pontault-combault. Il était mécanicien de formation.
C’est ma sœur jumelle Aline qui garde ma fille chez moi pendant ces deux jours.
Ma maman a pensé qu’il était utile d’apprendre à ses filles ce qu’elle avait pratiqué dans son pays contraint et forcé. Elle pensait que cela pourrait nous être utile dans leur vie.
Ce soir, Virginie a un rendez-vous dans un palace parisien.
Anne et moi devons passer la soirée chez Odile et Alain. J’espère que je pourrais déclencher des situations intéressantes entre nous.
Dans l’après-midi, je mets Odile au courant des soucis que ma petite poupée a subi avec un homme et l’aversion qu’elle en a gardée.
Nous sommes toutes les deux d’accord de faire le maximum pour que d’ici demain nous la fassions revenir à de meilleurs sentiments envers la gent masculine...
En fin de journée, Odile s’occupe d’Anne. Elle lui enlève méticuleusement sa toison vaginale.
Je tiens la main de mon bébé pendant ce travail. Lorsque tout est fini, elle se regarde dans la glace et nous remercie de lui avoir rendu sa fente de jeune fille.
Virginie est partie à son rendez-vous. J’espère qu’elle aura un partenaire à la hauteur. Ce qui est bien, ce sera la première fois qu’elle pourra me raconter dans les détails sa soirée. Je pense que ce qu’elle m’a dit sur ces derniers voyages, étaient amputés des moments de baisse intenses.
Maintenant que je sais, ayant moi-même une certaine pratique, elle pourra me décrire ce que ses partenaires lui ont fait.
L’institue fermée, nous prenons un taxi vers Montrouge. Nous rejoignons l’appartement. Alain est là, il embrasse sa femme. Me prend la bouche dans un baiser chaleureux. Il s’arrête devant Anne, il se contente de l’embrasser sur les joues. Odile fait les présentations. Je constate que les yeux légèrement brisés de la petite ne le laissent pas indifférent.
Rapidement nous prenons notre repas. Odile nous conduit dans la salle de bain pour que nous nous douchions. Anne se met nue prestement. Odile limite, je les suis.
Deux dans une baignoire, la place est restreinte. À trois, l’espace est tellement mini que nos corps sont toujours en contact. Odile savonne Anne qui me savonne.
Anne se retourne et les deux femmes s’embrassent. Je n’aurais jamais cru que la petite, « ma petite » était capable de prendre une telle initiative. D’un côté j’en suis contente, de l’autre un petit mouvement de jalousie me serre le cœur. Rapidement elle se retourne et m’embrasse fougueusement.
Nous nous rinçons, nous séchons l’une l’autre et nous prenons la direction de la chambre. Odile prend Anne dans ses bras, la couche sur le lit et tout en lui susurre des mots doux, elle présente ses doigts à la chatoune fraîchement rasée.
Elle écarte les cuisses afin de se faire pénétrer. Je me couche à sa hauteur, nos bouches se rejoignent.
Odile a entré deux doigts dans son vagin.
Je lui prends la main, lui fais refermer ses doigts. Elle les fait aller délicatement dans la vulve offerte. Ses cinq doigts sont réunis, je prends fermement son poignet et pousse vers l’avant.
La main est aux trois quarts entrés dans la petite. Je sens bien qu’Odile n’ose pas aller plus loin, un dernier mouvement de mon poignet et le sien passe entièrement.
L’intégralité de sa main se trouve dans le bas-ventre. Mes lèvres sur ses lèvres reçoivent sa jouissance.
Un râle profond saisi tout son être. Je libère la bouche, regarde Odile dont les yeux n’arrivent pas à croire ce qu’elle voit.
— Ouvre tes doigts !
Étonnée, elle exécute ma demande. Le ventre tendu de mon petit bouchon lui entraîne un orgasme d’une telle violence qu’Odile si je ne lui tenais pas le poignet l’aurait abandonné.
Lentement, elle retire sa main couverte des sécrétions de la petite. Je la saisis et la lèche avidement.
— Je peux me joindre à vous ?
Alain se trouve sur le seuil de la chambre entièrement nu. Son sexe fièrement tendu, me donne envie de le prendre en moi. Je lui fais signe de nous rejoindre. Il s’approche. Je me mets dans ma position préférée depuis les quelques jours ou des hommes mon pénétré, la levrette.
Il m’empoigne par les hanches et plonge dans ma vulve. Anne commence à reprendre ses esprits et aperçoit l’homme accroché à mes hanches.
Un mouvement de recul la saisie.
— Oh ! Anne, qu’il est bon d’avoir la grosse queue d’Alain au fond de moi ! Je sens que je vais partir.
Contrairement à la réaction qu’elle aurait, elle se glisse sous moi, et sa bouche vient rejoindre nos deux sexes.
Sa langue sur mon clitoris m’apporte une première, une deuxième vague de plaisir.
Sa langue me quitte et Alain fait un drôle de bruit.
— Que c’est bon, elle m'a gobé une couille !
—Délicatement je fais sortir mon amant de mon ventre, je me retourne, regarde Anne.
— Tu veux cette belle queue dans ton sexe.
— Oui ! Dans un souffle.
Alain l’attire à lui et plonge au fond de sa vulve. Il la laboure prestement et les deux amants ont une jouissance simultanée. Il se déverse en elle. Anne se réfugie dans mes bras et s’endort immédiatement. J’allais faire de même quand je vois Odile pomper goulûment son homme. Voyant que je la regarde, elle lève la tête.
— Je souhaite, moi aussi avoir mon plaisir.
Elle s’allonge ouvre les cuisses pour qu’il la satisfasse. Il bascule sur elle et la pénètre avec un regard amoureux et beaucoup d’envie. Je ne vois pas la fin de leurs ébats le sommeil me prend avant.
Au matin une bonne odeur de café nous réveille. Alain nous apporte le petit déjeuné au lit. Il est nu et porte un tablier de soubrette.
Il regarde Anne.
— Je croyais que pour toi les hommes c’était définitivement fini ?
Elle laisse perler un petit rire espiègle.
— Quand j’ai vu Alain te prendre et quand j’ai vu le plaisir que tu avais !
Quand j’ai vu la verge entrer et sortir en toi lorsque je te suçais, toutes mes inhibitions se sont dissipés et mon ventre n’a aspiré qu’à le recevoir.
Merci, Alain et toi Odile, c’est grâce à vous que j’ai retrouvé le goût d’une bonne virilité en moi. Je serais toujours disponible pour venir vous voir, notez-moi l’adresse de votre appartement de rêve.
Préparer, nous quittons Alain sans oublier de l’embrasser tendrement toutes les trois.
Dans le taxi, Anne se blottit contre moi, une main posée sur les cuisses découvertes par la minijupe d’Odile.
Virginie est déjà arrivé ainsi qu’Antoinette, elle a la tête de quelqu’un après avoir passé une nuit blanche. Nous passons dans la salle de repos, nous nous déshabillons et enfilons nos blouses.
Virginie et moi sommes entièrement nus, les autres ayant gardé leur petite culotte d’un format timbre-poste.
— Anne enlève tes affaires !
Nous lui donnons une blouse, elle enlève tous et l’enfile entièrement nue.
Nous ouvrons l’institut, les premières clientes arrivent.
Virginie se dirige vers la salle de repos.
— Peux-tu me suivre chérie !
Je là suis, persuadée qu’elle veut me raconter sa soirée de la veille.
— Hier j’étais au domicile d’une femme d’âge mur, divorcée ayant eu trois enfants.
Elle ne veut pas prendre de risque d’être reconnu en allant dans un hôtel.
— Où étais-tu ?
— J’ai promis de ne pas le révéler. Ce que je peux te dire c’est que nous étions au centre de Paris.
Sa silhouette élancée, malgré les années fait d’elle une femme encore très séduisante. Certes lorsque nous sommes nues, ses seins, qu’elle a refusés de se faire refaire malgré ses moyens, attestent de son âge.
Lorsque son mari le laissé tombé pour une jeunette, elle ne s’est pas plainte.
D’autant que dans son moi profond elle a toujours su que les femmes la séduisaient plus que les hommes.
Un jour, alors qu’elle venait d’avoir son troisième enfant, une amie est venue lui rendre visite.
Elles étaient seules dans le salon. L’heure de donner le sein au bébé est arrivée.
Naturellement, devant une femme, elle a pris le petit et a ouvert son corsage pour sortie un sein qu’elle a nettoyé comme le fait toutes les mamans qui allaitent.
Le petit s’est mis à téter goulûment ce sein gorgé de lait. Comme une bonne mère, elle lui a fait faire son rot. Elle l’a déposé dans son berceau, le sein toujours sorti pour le nettoyer avant de le remettre dans son corsage.
Elle s’est assise sur le canapé. Son amie la rejointe, elle a pris le coton pour nettoyer délicatement le sein des petites coulées laissées par l’enfant.
La sensation a été merveilleuse.
Ne s’arrêtant pas là, elle a sorti l’autre sein et avant qu’elle réagir, elle s’est mis à la téter.
Quel plaisir, quelle jouissance. Elles se sont embrassée mais son amie n’a pas poursuivi et malgré sa frustration tout c’est arrêté là.
Lorsqu’elle a divorcé, les sensations ressenties avec son amie et qu’elle n’a jamais oublié, sont remonté dans sa tête.
Ne se voyant pas dragué quelqu’une dans les rues, elle a eu l’idée d’allée sur Internet pour regarder ce qui ce dit sur les rencontres féminines.
Un site parlant d’escortes girls a attiré son attention. Il lui donnait la possibilité de rencontrer des femmes, des hommes ou des couples sur un simple coup de fil.
Elle a téléphoné au numéro indiqué, elle venait de tomber sur notre organisation.
La personne qui lui a répondu lui a présenté le tarif officiel et surtout officieux de nos prestations. Elle lui a demandé ses préférences sur la femme qu’elle souhaitait rencontrer.
J’ai été la première femme qu’elle a choisie.
Je lui ai fait découvrir l’amour au féminin. Elle adore que je prenne en bouche son clitoris qui possède une taille hors norme. J’ai l’impression d’avoir une petite bite à sucer.
Régulièrement elle retrouve d’autres escortes de l’organisation mais quand je suis disponible c’est moi qu’elle aime recevoir.
Toute cette nuit je lui ai donné du plaisir, toute la nuit elle en a fait de même pour moi. Au prochain rendez-vous si tu es d’accord nous lui ferons la surprise, nous arriverons toutes les deux et nous nous occuperons de sa belle chatte en duo.
— Ce que tu viens de me dire sur cette dame excite ma curiosité. Bien sûr nous ne prendrons le tarif que pour une visite et nous partagerons.
— Et vous comment c’est passé la soirée ?
Je lui raconte dans les moindres détails ce qu’Anne à accepter malgré son blocage. Comment elle a reçu Alain en elle, et comment tous ensembles nous avons passé une bonne soirée malgré son absence.
Trop contente Virginie m’embrasse.
— Depuis hier j’ai réfléchi. Je suis souvent obligé de m’absenter pour aller travailler pour l’organisation.
Tu as rejoint l’institut mais avec la rapidité ou tu as évolué pour devenir la petite pute que j’aime, tu t’absentes et tu va surtout t’absenter de plus en plus.
— Merci mon cœur j’essaye d’être à ta hauteur, mais c’est dur.
— Le salon fait le plein, il nous faut une personne de plus. La façon dont Anne nous a fait voir ses capacités à masser est très utile dans notre métier. Je pense qu’il est possible de lui proposer de travailler ici.
Odile la formera si elle accepte.
— Bien sur que je suis d’accord, Anne près de moi tous les jours, quel bonheur.
Nous appelons la petite et nous lui faisons la proposition, elle saute au cou de virginie puis au mien. Elle n’oublie pas au passage de prendre nos lèvres dans un fougueux baisée.
— Pour ton travail au pavillon, il nous faudra te remplacer.
— Ma sœur jumelle vient d’être licenciée et acceptera volontiers la place si je lui demande. Pour ma fille, maman sera enchantée de la garder dans la semaine à ses heures de travail. – Téléphone-lui si tu peux la joindre ?
Elle l’appelle et lui parle dans sa langue maternelle.
—Elle est enchantée de la proposition, elle m’a même dit en rigolant qu’elle vous rendra des prestations meilleures que les miennes.
Avant la fermeture, nous rencontrons Odile et Antoinette pour leur faire part des décisions prise.
Nous sommes très heureuses.
Je les quitte pour allée au cours du code. Virginie raccompagne mon bébé chez elle. Nous la prendrons demain matin pour son premier jour officiel à l’institut.
Stéphane est là lorsque j’arrive à son agence.
Je prends mon cour et il me propose de me reconduire.
— Voulez-vous allez boire un verre .
— Pourquoi pas !
Nous passons quelques minutes agréables. Je sens bien qu’il a envie aller plus loin dans notre relation. Trop contente de faire marcher ce grand benêt, à aucun moment je lui donne l’espoir qu’il arrivera à ses fins.
Ne suis-je pas devenu un peu « garce, voir salope » ?
Arrivé près de la voiture, il me tend les clefs.
— Prenez le volant !
La panique me saisit, je n’ai jamais pensé prendre le volant ce jour.
— N’ayez pas peur, regardez j’ai des doubles commandes. Il ne peut rien vous arriver.
Je m’installe, ma jupe courte remonte contre ma volonté, et pour quelques centimes ma chatoune reste caché.
Il me donne les directives aux jeunes conducteurs.
Je ne vous les rappelle pas vous êtes tous des conducteurs aguerris…
Première vitesse engagée, frein à main enlevé, je lâche la pédale d’embrayage.
Boum je cale.
Cela commence bien.
Stéphane est hilare.
— Ne vous en fait pas, neuf débutant sur dix ont le même problème.
Je recommence.
Je démarre.
Nous roulons sur cent mètres, à trente à l’heure, le moteur gronde.
— Si vous ne passez pas la deuxième comme je vous l’ai expliqué, nous arriverons à Chennevières après la nuit tombée.
Rapidement je comprends les manœuvres à effectuer. Lorsque nous arrivons devant la maison, je ne suis pas encore un pilote de rallye mais je suis très satisfaite de ma performance.
Le temps de me détacher, Stéphane a fait le tour de la voiture et il est à la hauteur de la portière.
Il l’ouvre.
Je pivote mes jambes, ma mini remonte des quelques centimes intempestifs.
Stéphane a certainement le temps de constater que non seulement je n’ai pas de culotte, mais que je suis rasée.
Immédiatement ses joues rougissent me confirmant que ses yeux n’ont rien perdu du spectacle.
Il me serre la main et attend que je sois entré pour redémarrer vers Paris.
Lorsque j’entre Virginie nue comme à son habitude a dressé la table, je vais dans la chambre enlever mes effets et je la rejoins pour souper.
Repas terminé et avoir tout rangé, nous nous installons dans le canapé.
Virginie démarre le CD, nous reprenons depuis le début. Avec l’expérience acquise, j’apprécie toutes les scènes.
Plusieurs filles se font enfiler par des mâles qui n’ont rien à envier aux hommes que j’ai rencontrés et reçus dans ma chatte.
Tof l’acteur à une seule couille me fait envie. J’en fais part à Virginie qui a un sourire narquois.
Au passage, je remarque des situations de pénétration que je mets en mémoire, bien décidé à les pratiquer avec mes amants ou mes clients.
La casette terminée nous rejoignons la chambre après cette journée bien remplie.
De retour à Chennevières après notre voyage à Bordeaux, nous avons repris notre vie habituelle.
Le soir de notre retour, craignant que j’aie du mal à digérer ma nouvelle situation, elle m’invite dans un château proche pour dîner.
Sous la table, je sens son pied nu, venir se poser sur mon genou. Par un mouvement de coté, elle me fait comprendre d’ouvrir mes cuisses. La longue nappe nous protège des regards de nos voisins et voisines. Son pied s’avance et rejoint mon sexe.
À travers ma petite culotte, elle me masse jusqu'à ce que mon corps se tende de plaisir. Difficile d’exprimer mon bien-être sans le faire voir. J’arrive difficilement à être impassible.
Afin de ne pas rester en reste face à Virginie, moi aussi j’enlève mon escarpin tend ma jambe jusqu’à ses genoux.
Je n’ai pas besoin d’attendre, ses cuisses s’ouvrent, j’avance mon pied, mes doigts caressent sa minette.
Oh ! Surprise, sa chatte n’a aucune protection. Aucun slip, juste son abricot que j’adore. Ouvrant et fermant mes doigts, je vois que le plaisir monte en elle, malgré les efforts qu’elle fait pour le cacher.
D’un seul coup mon pied est inondé par des petits jets liquides.
Une envie folle de plonger sous la table pour recevoir son nectar me titille.
Bien sûr la bien séance m’empêche de le faire.
— Chérie demain la femme de ménage va se demander pourquoi la moquette est constellée de petites taches.
Nous éclatons de rire, réglons et reprenons la route du pavillon.
Arrivé dans la chambre, douché, nous nous retrouvons dans les bras l’une l’autre.
J’ai bien mangé, bu du bon vin, mais pour mon dessert je veux recevoir son divin breuvage.
Quelques petits lapements et je reçois ma récompense, ma bouche se remplit, j’ai bien mérité ce petit cadeau. Ne suis-je pas devenu une bonne petite pute, sa bonne petite pute !
Le téléphone de Virginie sonne, Chantilly, mardi 20 heures, auberge du jeu de paume chambre 22.
— Ce contrat requière deux femmes, tu m’accompagnes ?
Ayant bien intégré dans mon subconscient que j’étais devenu une prostituée, je lui donne mon accord.
L’endroit et l’heure du rendez-vous nous permettent d’assurer le travail à l’institut et partir en voiture au rendez-vous.
Le mardi arrive, en fin d'après-midi, nous prenons la route vers Chantilly.
Je suis très excité de voir avec qui nous allons passer la soirée. Il est bizarre que nous n’ayons qu’un seul numéro de chambre, Virginie a bien une petite idée mais ne veut pas m’en dire plus. Ce sera une surprise. J’aime ses surprises. Je n’ai jamais été déçu.
Arrivé à l’auberge Valérie et Magali sort de la voiture.
Nous entrons et demandons la chambre 22.
Lorsque nous entrons, la porte communiquant avec celle voisine est ouverte.
Aussitôt que nous sommes entrées, une femme d’une quarantaine d’année apparaît.
Elle est très élégante dans un tailleur identique à ceux que j’ai porté pendant des années.
Elle nous fait entrer dans leur chambre. Un homme très élégant s’avance vers nous.
Il nous salue, immédiatement, je reconnais notre client, c’est un homme influent dans le monde artistique.
Il nous explique qu’avec son épouse, depuis le début de leur mariage, ils ont été des libertins. Sa situation évoluant, la venue d’escorte est le seul moyen qu’ils ont trouvé pour satisfaire leurs envies sans prendre de risque avec les paparazzis.
Une table est préparée au centre de la chambre. Un repas froid est servi.
Ils se présentent Frédéric et Frédérique !
— Vous m’avez reconnu.
— Oui, bien sûr vous passez fréquemment à la télé.
Il nous propose de faire un brin de toilette avant de passer à table.
Frédéric nous donne nos deux enveloppes. Nous passons dans notre chambre les déposer.
Le repas se passe de la meilleure des façons. Me souvenant de ce que m’avait fait ma marraine au restaurant, je tends la jambe vers Frédérique, un léger mouvement de surprise et rapidement elle écarte ses cuisses.
Son tailleur très strict l’empêche de les écarter comme elle le souhaite.
Discrètement je la voie passer la main sous la table et je sens sa jupe remonter.
J’atteins sa féminité, elle ne porte pas de culotte.
J’insinue mes doigts de pied dans sa chatte qui immédiatement se met à mouiller.
Son mari pendant ce temps discute avec Valérie.
Tout à la masturbation de la dame, je n’entends pas ce qu’ils se disent, mais je vois Frédéric avancer sa main, prendre celle de Valérie et lui déposer de légers baisers.
Rapidement mon amie se lève et se met nue. L’homme dégage sa chaise et déboutonne son pantalon. Elle sort sa queue déjà turgescente et la prend en bouche.
Je la vois allé et venir tous le long de cette tige, lui donnant des coups de langue qu’il semble apprécier.
— Si tu veux en profiter, vas-y !
Ce tutoiement me fait comprendre que nous sommes déjà complices et qu’elle a apprécié mon initiative.
Je me lève, me met nue et approche de ma convoitise.
Valérie me laisse de la place et nous léchons cette verge bien membrée.
Madame nous regarde faire et je la voie, elle aussi se mettre nue.
Elle approche mais à trois, la place est limitée.
Je quitte la verge pour prendre sa bouche. Sa langue est douce, elle m’entraîne vers le lit, mes lèvres commencent à aller et venir sur sa chatte non épilée. Elle se tourne et vient-elle aussi gober ma moule déjà bien juteuse.
Nous-nous suçons mutuellement. La tête dans sa chatte, je ne vois pas les mouvements dans mon dos, mais je sens que l’on m’empoigne les hanches.
J’ai un mouvement de surprise. Je replonge dans le con de ma nouvelle amie, son mari m’emmanche jusqu’aux tréfonds de mon ventre.
La vue de ma vulve pénétrée par son homme, la fait partir à jouir.
Oh ! Divine surprise, Frédérique est elle aussi une femme fontaine. Je bois le maximum de ce que son corps me donne. Le goût de ce que je reçois est un peu différent du goût projeté par Valérie.
La bitte enfoncée en moi me fait partir rapidement, je jouis.
Sa femme s’est couché sous moi, lèche ma fente, et récupère tout ce qu’elle peut de mes sécrétions.
Le sexe se retire et va aussitôt honorer ma marraine.
J’entends rapidement ses cris de plaisir.
Prenant l’initiative il nous place toutes les trois côte à côte en levrette.
Comme Alain il passe de l’une à l’autre apportant à chacune un grand plaisir !
Sentant qu’il va éjaculer, il nous contourne et présente son sexe à nos trois bouches avides de recevoir sa semence. Les jets convoités sortent, une bonne giclée arrive jusqu’à ma glotte, j’avale tout. Nous laissons sa femme nettoyer avec sa bouche notre compagnon.
Nous revenons à la table, nous prenons un verre sans alcool.
Au cours de la nuit, nous pratiquons une nouvelle fois avec eux les jeux de l’amour.
Nous-nous endormons mélangés. À qui ce bras, cette jambe, cette chatte, cette verge. Non là on sait.
Ces chattes épilées, elles sont à Valérie ou Magali. Bref nous dormons d’un sommeil réparateur.
Au matin, nous rejoignons la chambre voisine, nous fermons la porte de communication. Nous demandons un petit déjeuner pour deux.
De l’autre côté, quelques minutes plus tard ils font de même. Les tables roulantes nous sont servies, j’ouvre à une soubrette presque nue ayant juste remis mon string.
Valérie est dans la salle de bain. Nous rejoignons nos amis et prenons ce repas ensemble les quatre nues.
Nous-nous baignons, rhabillons. Nous-nous embrassons.
Lorsque nous les quittons Frédérique nous dit qu’elle a été très satisfaite de notre prestation et fera appel à nous très rapidement.
Nous quittons l’hôtel, prenons la route de Paris. Au péage, Virginie s’arrête, ouvre les enveloppes et me donne mes deux mille euros. Je les range dans mon sac.
— Chérie, la première fois, Christian m’a payé pour la nuit mais je ne le savais pas. Je suis devenue une demi-pute, aujourd’hui entièrement consciente et consentante, je suis une « professionnelle » à part entière. Regarde le chemin que tu m’as fait parcourir !
Je me penche, embrasse sa bouche, mets ma main sous sa jupe et caresse sa chatte.
— Tu aurais pu me dire que tu ne portais pas de culotte j’en aurai fait autant !
Je me soulève enlève mon string, j’ouvre la fenêtre et le fais tomber à l’extérieur.
— Je peux te poser une question ?
— Tu as tous les droits avec moi.
— Hier au soir, à table, est-ce toi qui as entrepris Frédérique.
— Oui je me suis souvenu de notre soirée au restaurant et ton pied sur mon sexe. J’ai pris le même chemin. J’ai bien compris que c’est à nous de proposer des initiatives à nos clients et clientes.
— Très bien mon amour, tu apprends vite, bientôt tu seras une femme entièrement libérée et tu partiras seule en mission.
Le mercredi je vais à un troisième cours de code. Stéphane n’est pas là, il donne un coure de conduite à un élève. Sa secrétaire me reçoit et me projette les diapos.
Tous les soirs, je travaille avec mon amie. Je suis inscrit pour passer le code d’ici quinze jours.
La semaine prochaine je prends mes premiers cours de conduite.
Pour mon divorce, les choses avances rapidement. Il semble que mon ex et son avocat aient des connaissances leur permettant d’accélérer la procédure.
Jeudi, Anne à la possibilité de venir à l’institue pour faire des soins avec Odile.
Toute la journée, elle nous aide, allant même jusqu'à faire quelques massages softs à des clientes.
Virginie lui demande ou elle a appris ces massages.
— Ma maman en Indochine dans sa jeunesse a été vendue par ses parents à un salon de massage. Ils lui ont appris la pratique du massage avec les mains et avec le corps.
Un français de la marine marchande est venu dans ce salon, il en est tombé amoureux. Prenant tous les risques, il l’a enlevé à sa condition d’esclave.
Il est arrivé à la faire monter à bord de son bateau comme une passagère clandestine. Caché dans un canot de sauvetage jusqu’au retour en France, il lui donnait à manger la nuit.
Les amoureux passaient des moments agréables toutes les nuits dans ce canot. Arrivé à Marseille, il a réussi à la faire descendre sans problème.
Neuf mois plus tard, nous sommes nées ma sœur et moi. Mon papa a épousé ma maman. Il a quitté la marine et nous sommes venus tous les quatre en région parisienne où il a ouvert un garage à Pontault-combault. Il était mécanicien de formation.
C’est ma sœur jumelle Aline qui garde ma fille chez moi pendant ces deux jours.
Ma maman a pensé qu’il était utile d’apprendre à ses filles ce qu’elle avait pratiqué dans son pays contraint et forcé. Elle pensait que cela pourrait nous être utile dans leur vie.
Ce soir, Virginie a un rendez-vous dans un palace parisien.
Anne et moi devons passer la soirée chez Odile et Alain. J’espère que je pourrais déclencher des situations intéressantes entre nous.
Dans l’après-midi, je mets Odile au courant des soucis que ma petite poupée a subi avec un homme et l’aversion qu’elle en a gardée.
Nous sommes toutes les deux d’accord de faire le maximum pour que d’ici demain nous la fassions revenir à de meilleurs sentiments envers la gent masculine...
En fin de journée, Odile s’occupe d’Anne. Elle lui enlève méticuleusement sa toison vaginale.
Je tiens la main de mon bébé pendant ce travail. Lorsque tout est fini, elle se regarde dans la glace et nous remercie de lui avoir rendu sa fente de jeune fille.
Virginie est partie à son rendez-vous. J’espère qu’elle aura un partenaire à la hauteur. Ce qui est bien, ce sera la première fois qu’elle pourra me raconter dans les détails sa soirée. Je pense que ce qu’elle m’a dit sur ces derniers voyages, étaient amputés des moments de baisse intenses.
Maintenant que je sais, ayant moi-même une certaine pratique, elle pourra me décrire ce que ses partenaires lui ont fait.
L’institue fermée, nous prenons un taxi vers Montrouge. Nous rejoignons l’appartement. Alain est là, il embrasse sa femme. Me prend la bouche dans un baiser chaleureux. Il s’arrête devant Anne, il se contente de l’embrasser sur les joues. Odile fait les présentations. Je constate que les yeux légèrement brisés de la petite ne le laissent pas indifférent.
Rapidement nous prenons notre repas. Odile nous conduit dans la salle de bain pour que nous nous douchions. Anne se met nue prestement. Odile limite, je les suis.
Deux dans une baignoire, la place est restreinte. À trois, l’espace est tellement mini que nos corps sont toujours en contact. Odile savonne Anne qui me savonne.
Anne se retourne et les deux femmes s’embrassent. Je n’aurais jamais cru que la petite, « ma petite » était capable de prendre une telle initiative. D’un côté j’en suis contente, de l’autre un petit mouvement de jalousie me serre le cœur. Rapidement elle se retourne et m’embrasse fougueusement.
Nous nous rinçons, nous séchons l’une l’autre et nous prenons la direction de la chambre. Odile prend Anne dans ses bras, la couche sur le lit et tout en lui susurre des mots doux, elle présente ses doigts à la chatoune fraîchement rasée.
Elle écarte les cuisses afin de se faire pénétrer. Je me couche à sa hauteur, nos bouches se rejoignent.
Odile a entré deux doigts dans son vagin.
Je lui prends la main, lui fais refermer ses doigts. Elle les fait aller délicatement dans la vulve offerte. Ses cinq doigts sont réunis, je prends fermement son poignet et pousse vers l’avant.
La main est aux trois quarts entrés dans la petite. Je sens bien qu’Odile n’ose pas aller plus loin, un dernier mouvement de mon poignet et le sien passe entièrement.
L’intégralité de sa main se trouve dans le bas-ventre. Mes lèvres sur ses lèvres reçoivent sa jouissance.
Un râle profond saisi tout son être. Je libère la bouche, regarde Odile dont les yeux n’arrivent pas à croire ce qu’elle voit.
— Ouvre tes doigts !
Étonnée, elle exécute ma demande. Le ventre tendu de mon petit bouchon lui entraîne un orgasme d’une telle violence qu’Odile si je ne lui tenais pas le poignet l’aurait abandonné.
Lentement, elle retire sa main couverte des sécrétions de la petite. Je la saisis et la lèche avidement.
— Je peux me joindre à vous ?
Alain se trouve sur le seuil de la chambre entièrement nu. Son sexe fièrement tendu, me donne envie de le prendre en moi. Je lui fais signe de nous rejoindre. Il s’approche. Je me mets dans ma position préférée depuis les quelques jours ou des hommes mon pénétré, la levrette.
Il m’empoigne par les hanches et plonge dans ma vulve. Anne commence à reprendre ses esprits et aperçoit l’homme accroché à mes hanches.
Un mouvement de recul la saisie.
— Oh ! Anne, qu’il est bon d’avoir la grosse queue d’Alain au fond de moi ! Je sens que je vais partir.
Contrairement à la réaction qu’elle aurait, elle se glisse sous moi, et sa bouche vient rejoindre nos deux sexes.
Sa langue sur mon clitoris m’apporte une première, une deuxième vague de plaisir.
Sa langue me quitte et Alain fait un drôle de bruit.
— Que c’est bon, elle m'a gobé une couille !
—Délicatement je fais sortir mon amant de mon ventre, je me retourne, regarde Anne.
— Tu veux cette belle queue dans ton sexe.
— Oui ! Dans un souffle.
Alain l’attire à lui et plonge au fond de sa vulve. Il la laboure prestement et les deux amants ont une jouissance simultanée. Il se déverse en elle. Anne se réfugie dans mes bras et s’endort immédiatement. J’allais faire de même quand je vois Odile pomper goulûment son homme. Voyant que je la regarde, elle lève la tête.
— Je souhaite, moi aussi avoir mon plaisir.
Elle s’allonge ouvre les cuisses pour qu’il la satisfasse. Il bascule sur elle et la pénètre avec un regard amoureux et beaucoup d’envie. Je ne vois pas la fin de leurs ébats le sommeil me prend avant.
Au matin une bonne odeur de café nous réveille. Alain nous apporte le petit déjeuné au lit. Il est nu et porte un tablier de soubrette.
Il regarde Anne.
— Je croyais que pour toi les hommes c’était définitivement fini ?
Elle laisse perler un petit rire espiègle.
— Quand j’ai vu Alain te prendre et quand j’ai vu le plaisir que tu avais !
Quand j’ai vu la verge entrer et sortir en toi lorsque je te suçais, toutes mes inhibitions se sont dissipés et mon ventre n’a aspiré qu’à le recevoir.
Merci, Alain et toi Odile, c’est grâce à vous que j’ai retrouvé le goût d’une bonne virilité en moi. Je serais toujours disponible pour venir vous voir, notez-moi l’adresse de votre appartement de rêve.
Préparer, nous quittons Alain sans oublier de l’embrasser tendrement toutes les trois.
Dans le taxi, Anne se blottit contre moi, une main posée sur les cuisses découvertes par la minijupe d’Odile.
Virginie est déjà arrivé ainsi qu’Antoinette, elle a la tête de quelqu’un après avoir passé une nuit blanche. Nous passons dans la salle de repos, nous nous déshabillons et enfilons nos blouses.
Virginie et moi sommes entièrement nus, les autres ayant gardé leur petite culotte d’un format timbre-poste.
— Anne enlève tes affaires !
Nous lui donnons une blouse, elle enlève tous et l’enfile entièrement nue.
Nous ouvrons l’institut, les premières clientes arrivent.
Virginie se dirige vers la salle de repos.
— Peux-tu me suivre chérie !
Je là suis, persuadée qu’elle veut me raconter sa soirée de la veille.
— Hier j’étais au domicile d’une femme d’âge mur, divorcée ayant eu trois enfants.
Elle ne veut pas prendre de risque d’être reconnu en allant dans un hôtel.
— Où étais-tu ?
— J’ai promis de ne pas le révéler. Ce que je peux te dire c’est que nous étions au centre de Paris.
Sa silhouette élancée, malgré les années fait d’elle une femme encore très séduisante. Certes lorsque nous sommes nues, ses seins, qu’elle a refusés de se faire refaire malgré ses moyens, attestent de son âge.
Lorsque son mari le laissé tombé pour une jeunette, elle ne s’est pas plainte.
D’autant que dans son moi profond elle a toujours su que les femmes la séduisaient plus que les hommes.
Un jour, alors qu’elle venait d’avoir son troisième enfant, une amie est venue lui rendre visite.
Elles étaient seules dans le salon. L’heure de donner le sein au bébé est arrivée.
Naturellement, devant une femme, elle a pris le petit et a ouvert son corsage pour sortie un sein qu’elle a nettoyé comme le fait toutes les mamans qui allaitent.
Le petit s’est mis à téter goulûment ce sein gorgé de lait. Comme une bonne mère, elle lui a fait faire son rot. Elle l’a déposé dans son berceau, le sein toujours sorti pour le nettoyer avant de le remettre dans son corsage.
Elle s’est assise sur le canapé. Son amie la rejointe, elle a pris le coton pour nettoyer délicatement le sein des petites coulées laissées par l’enfant.
La sensation a été merveilleuse.
Ne s’arrêtant pas là, elle a sorti l’autre sein et avant qu’elle réagir, elle s’est mis à la téter.
Quel plaisir, quelle jouissance. Elles se sont embrassée mais son amie n’a pas poursuivi et malgré sa frustration tout c’est arrêté là.
Lorsqu’elle a divorcé, les sensations ressenties avec son amie et qu’elle n’a jamais oublié, sont remonté dans sa tête.
Ne se voyant pas dragué quelqu’une dans les rues, elle a eu l’idée d’allée sur Internet pour regarder ce qui ce dit sur les rencontres féminines.
Un site parlant d’escortes girls a attiré son attention. Il lui donnait la possibilité de rencontrer des femmes, des hommes ou des couples sur un simple coup de fil.
Elle a téléphoné au numéro indiqué, elle venait de tomber sur notre organisation.
La personne qui lui a répondu lui a présenté le tarif officiel et surtout officieux de nos prestations. Elle lui a demandé ses préférences sur la femme qu’elle souhaitait rencontrer.
J’ai été la première femme qu’elle a choisie.
Je lui ai fait découvrir l’amour au féminin. Elle adore que je prenne en bouche son clitoris qui possède une taille hors norme. J’ai l’impression d’avoir une petite bite à sucer.
Régulièrement elle retrouve d’autres escortes de l’organisation mais quand je suis disponible c’est moi qu’elle aime recevoir.
Toute cette nuit je lui ai donné du plaisir, toute la nuit elle en a fait de même pour moi. Au prochain rendez-vous si tu es d’accord nous lui ferons la surprise, nous arriverons toutes les deux et nous nous occuperons de sa belle chatte en duo.
— Ce que tu viens de me dire sur cette dame excite ma curiosité. Bien sûr nous ne prendrons le tarif que pour une visite et nous partagerons.
— Et vous comment c’est passé la soirée ?
Je lui raconte dans les moindres détails ce qu’Anne à accepter malgré son blocage. Comment elle a reçu Alain en elle, et comment tous ensembles nous avons passé une bonne soirée malgré son absence.
Trop contente Virginie m’embrasse.
— Depuis hier j’ai réfléchi. Je suis souvent obligé de m’absenter pour aller travailler pour l’organisation.
Tu as rejoint l’institut mais avec la rapidité ou tu as évolué pour devenir la petite pute que j’aime, tu t’absentes et tu va surtout t’absenter de plus en plus.
— Merci mon cœur j’essaye d’être à ta hauteur, mais c’est dur.
— Le salon fait le plein, il nous faut une personne de plus. La façon dont Anne nous a fait voir ses capacités à masser est très utile dans notre métier. Je pense qu’il est possible de lui proposer de travailler ici.
Odile la formera si elle accepte.
— Bien sur que je suis d’accord, Anne près de moi tous les jours, quel bonheur.
Nous appelons la petite et nous lui faisons la proposition, elle saute au cou de virginie puis au mien. Elle n’oublie pas au passage de prendre nos lèvres dans un fougueux baisée.
— Pour ton travail au pavillon, il nous faudra te remplacer.
— Ma sœur jumelle vient d’être licenciée et acceptera volontiers la place si je lui demande. Pour ma fille, maman sera enchantée de la garder dans la semaine à ses heures de travail. – Téléphone-lui si tu peux la joindre ?
Elle l’appelle et lui parle dans sa langue maternelle.
—Elle est enchantée de la proposition, elle m’a même dit en rigolant qu’elle vous rendra des prestations meilleures que les miennes.
Avant la fermeture, nous rencontrons Odile et Antoinette pour leur faire part des décisions prise.
Nous sommes très heureuses.
Je les quitte pour allée au cours du code. Virginie raccompagne mon bébé chez elle. Nous la prendrons demain matin pour son premier jour officiel à l’institut.
Stéphane est là lorsque j’arrive à son agence.
Je prends mon cour et il me propose de me reconduire.
— Voulez-vous allez boire un verre .
— Pourquoi pas !
Nous passons quelques minutes agréables. Je sens bien qu’il a envie aller plus loin dans notre relation. Trop contente de faire marcher ce grand benêt, à aucun moment je lui donne l’espoir qu’il arrivera à ses fins.
Ne suis-je pas devenu un peu « garce, voir salope » ?
Arrivé près de la voiture, il me tend les clefs.
— Prenez le volant !
La panique me saisit, je n’ai jamais pensé prendre le volant ce jour.
— N’ayez pas peur, regardez j’ai des doubles commandes. Il ne peut rien vous arriver.
Je m’installe, ma jupe courte remonte contre ma volonté, et pour quelques centimes ma chatoune reste caché.
Il me donne les directives aux jeunes conducteurs.
Je ne vous les rappelle pas vous êtes tous des conducteurs aguerris…
Première vitesse engagée, frein à main enlevé, je lâche la pédale d’embrayage.
Boum je cale.
Cela commence bien.
Stéphane est hilare.
— Ne vous en fait pas, neuf débutant sur dix ont le même problème.
Je recommence.
Je démarre.
Nous roulons sur cent mètres, à trente à l’heure, le moteur gronde.
— Si vous ne passez pas la deuxième comme je vous l’ai expliqué, nous arriverons à Chennevières après la nuit tombée.
Rapidement je comprends les manœuvres à effectuer. Lorsque nous arrivons devant la maison, je ne suis pas encore un pilote de rallye mais je suis très satisfaite de ma performance.
Le temps de me détacher, Stéphane a fait le tour de la voiture et il est à la hauteur de la portière.
Il l’ouvre.
Je pivote mes jambes, ma mini remonte des quelques centimes intempestifs.
Stéphane a certainement le temps de constater que non seulement je n’ai pas de culotte, mais que je suis rasée.
Immédiatement ses joues rougissent me confirmant que ses yeux n’ont rien perdu du spectacle.
Il me serre la main et attend que je sois entré pour redémarrer vers Paris.
Lorsque j’entre Virginie nue comme à son habitude a dressé la table, je vais dans la chambre enlever mes effets et je la rejoins pour souper.
Repas terminé et avoir tout rangé, nous nous installons dans le canapé.
Virginie démarre le CD, nous reprenons depuis le début. Avec l’expérience acquise, j’apprécie toutes les scènes.
Plusieurs filles se font enfiler par des mâles qui n’ont rien à envier aux hommes que j’ai rencontrés et reçus dans ma chatte.
Tof l’acteur à une seule couille me fait envie. J’en fais part à Virginie qui a un sourire narquois.
Au passage, je remarque des situations de pénétration que je mets en mémoire, bien décidé à les pratiquer avec mes amants ou mes clients.
La casette terminée nous rejoignons la chambre après cette journée bien remplie.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire, magnifique, surtout continuez j'attends la suite avec impatience.