Femme BCBG, escorte, non, pute… (9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (9)
Je vous ai quitté quand nous allons nous coucher tous les quatre, deux pars deux. Les portes de la salle de bain sont ouvertes et au matin des cris de plaisir me réveillent.
Je me lève faisant attention à éviter de réveiller la petite. Je m’approche de la chambre de Virginie. Mes deux grandes mutuellement se sucent les chattes dans un soixante-neuf.
Je m’assieds sur le lit, j’avance ma main vers son abricot roux.
Ma maîtresse me repère, mais ne dit rien, elle continue à laper les grandes lèvres de sa nouvelle amie.
Je fais pénétrer trois doigts dans son vagin, Véronique semble surprise, mais se laisse faire.
Je ressors et réunis mes cinq doigts. Comme j’ai appris avec la petite, je fais tourner mes doigts, ma main avance avec un peu de difficulté. Véronique doit subir cette forte pénétration pour la première fois.
Je sens que sa bouche bloquée sous la chatte de Virginie émet des sons.
Est-ce de plaisir ou de douleur ?
Tant qu’elle laisse Virginie faire, c’est qu’elle doit apprécier.
Je continue d’avancer. Mon poignet arrive au point critique le plus épais. Je tourne encore un coup et tous entrent. Je suis au fond du vagin, il est chaud et tout mouillé.
Ma main est trempée. Je la tourne de plus en plus vite, Véronique me lèche la partie extérieure de la main, elle doit récupérer ce qui sort de la vulve de notre maîtresse. Elle dégage sa tête et pousse un cri aussi important que celui qu’elle a poussé hier dans son appartement.
• On s’amuse bien ici !
Je tourne la tête, Anne est dans l’embrasure de la porte.
• On m’oublie.
Je lui tends mon bras libre. Elle vient se blottir comme elle aime le faire et comme j’aime qu’elle se positionne.
• Tu as perdu ta main.
Nous éclatons de rire toutes les quatre. Virginie bascule sur le côté. Véronique se redresse et pour la première fois aperçois ce que je lui fais subir. Je reprends mon mouvement de rotation. Sa bouche se ferme, ses lèvres se pincent, un râle sort de sa bouche. Véronique est fascinée.
• Ouvre ta main, elle est prête.
Je m’exécute, deuxième cri de plaisir de Véronique. Elle retombe en arrière.
Je retire doucement ma main, le bruit de succions habituelles se fait entendre. Plus rapide qu’une gazelle, Anne, saute sur le lit, entre les jambes de la belle allongée et vient nettoyer la chatte dégoulinante de la grande.
Quelques minutes se passent, Virginie tape dans ses mains.
• Finis les amusements mes belles salopes, il faut se préparer à aller au travail, vos copines s’occupent déjà de la charge du jour.
Avant de se lever, la grande veut comprendre, comment j’ai réussi ce que je lui ai fait.
• Si je pensais que ma chatte était assez grande pour recevoir une main, ta main, j’aurai dit que c’était impossible.
J’espère que vous recommencerez, je crois que je vais être accro.
• Tu vois Anne, c’est la spécialiste.
En entendant ma petite se passe la langue sur les lèvres.
Véronique et Virginie prennent la salle de bains du bas. Je monte à l’étage avec mon petit bouchon, nous prenons notre douche et malgré le temps qui nous est compté, je la savonne insistant entre ses lèvres intimes. Elle en fait de même avec moi.
Nous nous séchons et nous redescendons nous préparer.
Nous sommes toutes prêtes, nous partons avec la mini de Virginie.
Véronique demande si elle peut venir visiter notre lieu de travail. Malgré la grosse journée du samedi, elle accepte.
• Tu te chargeras de notre amie !
Arrivés et garés, nous présentons la grande à Odile et Antoinette. Elles sont très étonnées quand je la présente comme la maîtresse de mon ex.
Nous nous changeons, Virginie fait mettre une blouse à Véronique.
Elle se déshabille et aux surprises, elle a pris les bonnes habitudes de la maison et a depuis ce matin retiré son string.
Je lui fais visiter les cabines qui vont être utilisées dans quelques minutes par les clientes. Elles sont toutes équipées avec des douches.
La salle réservée aux UV. Trois machines sont à notre disposition.
Et, pour finir le bureau de Virginie.
Les trois premières clientes sont arrivées. Une à une je les dispose dans les box suivant l’employée avec qui elles ont rendez-vous en leur donnant un peignoir afin qu’elles se déshabillent. Véronique me demande un rendez-vous, car elle souhaiterait se faire raser intégralement. Virginie passe à quelques mètres.
• Véronique, laisse ta toison rousse. Crois en mon expérience cette toison très fournie et de couleur renard est un capital pour toi.
Garde-la, par contre donne lui un rendez-vous avec moi en fin d'après-midi afin que je lui donne quelques soins qu’elle va apprécier. Évite les UV, une rousse à la peau blanche fait bander les hommes.
Nous éclatons de rire.
Véronique doit rentrer, j’ai une course à faire pour le dimanche.
Elle embrasse tout le monde.
Je prends la mini de Virginie, c’est la première fois que je la conduis.
Arrivé chez elle, je monte jusqu’à son appartement, elle prend un bain espérant que je la rejoigne. C’est impossible, Virginie a beau être mon amie, je suis tout de même son employée.
De plus j’ai une course à faire. J’attends qu’elle ait fini pour prendre congé.
• À demain.
Je prends le temps de l’essuyer comme je l’ai fait ce matin pour la puce.
Je venais de finir lorsque le téléphone sonne. Elle rejoint l’appareil.
• Ce doit être Pierre !
Elle met le haut-parleur.
• Comment vas-tu ma chérie !
Sa réponse est franche et directe.
• Adieu.
Et elle coupe l’appel.
Deux secondes et le téléphone sonne.
• Je t’ai dit adieu.
Elle raccroche.
La sonnerie se fait de nouveau entendre.
• Laisse sonner, il finira par se lasser.
Elle me prend dans ses bras, ses seins viennent agresser les miens à travers mon corsage. Arrête me dis-je, tu dois y aller.
Une nouvelle fois nous nous embrassons.
J’ouvre la porte, je sors sans me retourner de peur de craquer.
Je retrouve la voiture. Arrivé à la hauteur d’une boutique déjà visitée hier et où en sortant j’ai aperçu Pierre et Véronique passer sur le trottoir opposé, j’achète une magnifique écharpe, accompagnée d’un collier d’un cuir très fin agrémenté de dix émeraudes et d’un anneau en or. Ces cadeaux sont pour Véronique, car hier j’ai acheté à chacun de mes invités leur cadeau.
Je retourne à l’institut. Dès que j’arrive Virginie me demande mon passeport !
Elle doit les déposer à l’adresse habituelle avant quinze heures.
Le téléphone a sonné, nous partons ensemble jeudi pour quatre jours en Russie. Igor a souhaité que je vienne. La dernière fois que je l’ai rencontré, tu ignorais que j’étais call-girl. La rapidité de ta progression en connaissance sexuelle m’a fait penser que tu me rejoindrais dans cette activité parallèle à grosses valeurs ajoutées
Igor chaque fois que je le rencontre est toujours accompagné d’autres hommes qui payent des sommes énormes pour nous avoir à leur disposition pendant trois ou quatre jours et surtout nuit.
C’est un client important pour l’organisation, il a toujours payé cash ses prestations. Je te donnerais plus de détails lorsque nous serons dans l’avion.
Rapidement car une cliente l’attend, je lui explique ce que Véronique a fait à Pierre au téléphone comme elle l’avait promis.
Il me reste une chose à faire, vérifie les plannings pour les quatre jours d’absence afin que la charge de travail entre les trois filles soit réalisable.
Je la vois partir porter les passeports.
La journée finie, nous fermons la boutique et rentrons à la maison où le travail de préparation pour demain dimanche nous attend.
Nous déposons Anne, elle tient à passer quelques heures avec sa fille Sindy.
La matinée file sans que je m’en aperçoive, nous préparons le repas avec Aline qui nous rejoint vers dix heures. Je dispose les cadeaux pour chacun près de la piscine.
Comme je leur ai demandé Alain avec Odile et Véronique arrivera ensemble. J’ai donné les coordonnés de la grande pour qu’elle l’appelle afin qu’il l’amène.
Comme moi, habitant Paris, elle a son permis, mais pas de voiture.
Quelques minutes après, Antoinette et Serge un Antillais sont là.
Anne arrive avec sa fille.
Virginie et moi sommes déjà en tenue de bain.
J’avais prévenu Odile, Antoinette et Anne de prévoir des maillots afin de profiter de la piscine.
Je conduis mes invités dans ma chambre afin qu’ils se mettent à l’aise.
Nous nous réunissons près de la piscine et Aline nous sert l’apéritif.
Virginie propose de faire visiter sa maison à tous ceux qui viennent pour la première fois.
À leur retour, je prends la parole.
• Je vous ai réunis pour vous remercier de tout ce que vous m’avez apporté après ma séparation. Je fête aussi mon divorce enfin finalisé et ma réussite au permis de conduire.
Je distribue les cadeaux à chacun.
Pour Virginie, un déshabillé en soie naturelle qui la mettra en valeur lorsqu’elle rencontrera ses clients.
Pour Odile et Alain, un week-end en amoureux dans un château cinq étoiles.
Antoinette et Serge, un week-end identique, mais dans un autre château.
Véronique, une écharpe en soie et un collier en cuir vert d’un grand maroquinier. Il est agrémenté de dix émeraudes proches de la couleur de ses yeux ainsi qu’un anneau en or.
Sindy, une gourmette en or avec son prénom.
Sans oublier Aline, je lui ai acheté une Mobylette rouge.
Elle lui servira pour venir plus facilement à son travail et ainsi éviter les transports en commun.
Enfin, mon bébé, ma petite Anne, après bien des hésitations, mon choix s'est porté sur une journée de shoping entièrement à ma charge afin que je lui offre une garde-robe lui permettant de la mettre en valeur.
• Une dernière chose à vous dire, en août lorsque l’institut sera fermé, j’invite tous ceux qui le souhaitent encore réservé pour leurs vacances de venir dans la villa que je possède.
C’est l’héritage de mes parents. Elle est à Saint-Palais sur mer en Charente-maritime.
Elle domine la plage et possède assez de chambres pour loger tout le monde.
J’en ai déjà parlé à Virginie, Anne et sa fille, elles peuvent venir.
Aline viendra assurer l’intendance comme elle le fait très bien ici.
• Odile, Alain ?
• Nous pensions partir pour un tour de France gastronomique, mais ta proposition est alléchante, je pense qu’Alain est d’accord et nous acceptons. Il opine de la tête.
• Antoinette et Serge ?
• Hélas, nous partons en Martinique d’où je suis originaire. Je vais retrouver mes parents et mes deux sœurs dans le village de Diamant d’où je suis originaire.
• Et toi Véronique ?
• Jusqu'à hier, je t’aurais dit que j’étais indisponible, Pierre devait m’emmener dans un voyage surprise. Une jolie dame est arrivée dans ma vie. Je devrais plutôt dire des jolies dames et Pierre s'est trouvé gommé de mon espace. C’est un grand oui…
• Très bien, je suis contente même si j’ai des regrets pour Antoinette et Serge. Ce sera que parti remis, nous organiserons un séjour pour les fêtes de fin d’année.
Un par un, ils viennent m’embrasser pour me remercier.
Véronique s’arrange pour être la dernière, m’embrasse aux coins des lèvres.
• Merci pour ce collier, nous irons ensemble chez ton maroquinier acheter la laisse qui manque au bout de l’anneau !
• J’espérais que tu la réclames, c’est pour cela que tu iras toi-même avec moi l’acheter et faire voir que tu es ma soumise.
Je saute dans l’eau pour nous rafraîchir avant de passer à table.
Nous restons dans la piscine une bonne demi-heure, mais la faim nous tenaille et nous passons à table.
L’après-midi se passe d’une façon agréable. Un climat de sympathie règne entre tous.
Nous avons gardé nos maillots, la présence d’amis que nous ignorons jusqu'où va leur libération sexuelle ainsi que la fille de ma petite nous oblige à rester très sage.
Vers minuit les Parisiens repartent sans Véronique qui décide de rester à la demande de Virginie. Je tiens qu’Anne et sa sœur restent et évitent de partir seuls la nuit avec un bébé.
Aline s’installe au premier étage avec Sindy qui va dormir dans le lit parapluie que mon petit colibri à amener. Nous prenons un bain rapide et je rejoins ma chambre avec Anne.
Malgré la porte de communication fermée, des petits criés de bonheur arrivent de la chambre voisine.
À peine couchée, ma petite-maîtresse vient boire à ma source. J’en fais de même dans un formidable soixante-neuf qui nous laissent pantelantes. Dans les bras l’une de l’autre nous passons une nuit agréable.
Au matin, nous remettons la maison en état toutes les cinq. Sindy qui commence à se tenir debout joue dans le parc acheté par Virginie lorsqu’elle vient chez elle. Le reste de la journée, nous profitons de la piscine pour nous reposer.
Étant entre nous, nous reprenons notre bonne habitude d’être nue.
Véronique et moi nous rendons au sauna, ce qui nous permet de faire monter la température entre nous.
Depuis ce matin, elle porte fièrement son collier.
Alors que nous arrivons au sommet de notre plaisir, elle me dit dans un souffle.
• Je suis ta jolie chienne…
Le mardi matin direction Paris, nous déposons Véronique chez elle, elle doit aller sortir sur le palier les valises de mon ex, qui va être son ex, il rentre en début d’après-midi.
Lorsque je la dépose, elle souhaite que je reste chez elle le soir.
Virginie est d’accord, aucun problème, elle s’occupe d’amener Anne auprès de sa fille.
Arrivés à la boutique, nous retrouvons Odile et Antoinette. Elles nous remercient de l’agréable dimanche qu’elles ont passé.
À la fin de journée, Véronique, arrive à l’institut, je suis venue te chercher, nous avons une course à faire.
L’institut fermé, chacun, part de son côté. Véronique m’entraîne.
• Suis-moi chez le maroquinier où tu as acheté mon collier.
Main dans la main, nous parcourons le chemin qui nous sépare de la boutique.
Nous entrons, le maroquinier nous reçoit et me reconnaît me demande si tout a bien été.
• Regarder, je le porte, mais il manque un élément. La laisse de même couleur qui pourra s’attacher à l’anneau que vous avez placé là.
L’artisan rit.
• J’étais persuadé que vous viendrez chercher l’élément manquant au bout de l’anneau. Je l’ai donc fabriquée, la voici.
Il sort de son comptoir une boîte en carton, l’ouvre et nous la sort dans le même cuir vert que le collier.
Il me donne le mousqueton à accrocher à l’anneau et me met dans la main l’extrémité de la lanière de cuir.
Elle veut payer. Le maroquinier lui en fait cadeau, car celle qui va le porter va mettre son travail en valeur.
Nous le remercions et prenons le chemin de son appartement.
J’ai gardé dans mes mains la laisse offerte, Véronique tourne la tête fréquemment vers moi avec des yeux amoureux. Dès que nous entrons dans le hall, elle me tend son cou.
• Attache-moi !
Je m’exécute, nous prenons l’ascenseur collé l’une à l’autre. Tout le temps de la montée nos bouches se fouillent.
Sur le palier, je sors la première et la fais venir vers sa porte.
• Ouvre mon amour !
Elle s’exécute.
• Entre ma belle !
Nous rejoignons sa chambre.
Je tire délicatement sur son lien, elle se retourne.
• Déshabille-moi !
Un à un elle enlève mes vêtements. Je suis nue.
• Déshabille-toi maintenant !
Elle s’exécute prestement.
Qu’elle est belle, que sa toison rouge ait fascinante. Continuant notre petit jeu, je me laisse tomber sur le lit, les jambes dans le vide et ouverte.
Dans ce mouvement, je fais très attention à ce que la laisse reste distendue, afin que son joli cou parte fortement en avant. Nous pouvons jouer, mais surtout éviter de la blesser. Je tire légèrement.
• Viens boire à ma source.
• Oui, maîtresse !
Elle s’agenouille, lentement comme si elle attendait mon ordre, elle avance sa bouche. Une légère pression sur la laisse, sa bouche prend possession de ma minette. Le mouvement de ses lèvres sur mes lèvres m’aide à atteindre une jouissance exceptionnelle.
• Nettoie-moi bien la chatte, ma petite chatte ?
Avec de grands coups de langue de bas en haut principalement sur mon clito, elle m’amène rapidement une nouvelle fois au nirvana.
Je change de position, je remonte sur le lit sans la lâcher et je m’allonge.
• Viens te coucher près de moi.
Elle s’allonge et son corps se soude au mien, pose sa main sur ma vulve. J’ouvre les cuisses.
• Caresse-moi !
Elle masse délicatement ma partie la plus sensible.
J’ai l’impression que depuis que je suis devenue une salope et que je baise sans compter, mon clito a pris de l’ampleur, j’ai l’impression que son volume s’accroît.
C’est normal, plus l’on s’en sert plus, on doit le développé, sinon il se rabougrit comme un fruit sec.
• Écarte les jambes afin que je m’occupe du tien.
Elle s’allonge et ouvre les cuisses. Sa toison m’empêche d’admirer la partie interne de ses lèvres. Avec ses mains, elle les écarte.
Je m’approche et il est là tout beau, prêt à l’emploi, attendant que je le gobe.
Je passe ma langue délicatement dessus, il réagit, il fait tendre le corps de mon amie comme un arc.
Elle avance son bassin vers ma bouche. Elle part, elle jouit, elle est belle dans cette jouissance.
Nous nous réinstallons sur le lit nos bras enlacés. Je plane et je prends conscience que, pendant tout ce temps j’ai gardé la laisse dans ma main.
Après quelques minutes de repos, nous décidons d’aller manger, le sport en chambre donne faim.
Nous rejoignons la salle à manger.
Elle marche devant moi la laisse toujours accrochée à l’anneau. Alors que nous passons devant la porte d’entrée, on sonne.
Sans se rendre compte qu’elle est nue et en laisse, elle ouvre la porte. Pierre est devant elle. Ses yeux lui sortent de la tête en nous voyant, en la voyant, en me voyant tenue en laisse. Elle claque la porte
• Adieu.
Prenant conscience de ce qui vient de se passer et surtout du tableau que nous formions devant notre ex, nous tombons dans les bras l’une l’autre et partons d’un éclat de rire convulsif.
Nous préparons le repas très diététique et bio, ligne oblige. Lorsque l’on a fini, nous rejoignons notre couche d’amour.
Avant que nous ne reprenions nos jeux, je lui annonce que Virginie et moi partons pour quatre jours en Russie.
Il est impossible à l’instant présent de lui dire que nous allons, nous prostituer.
Je lui explique que nous partons à un congrès pour des soins de beauté offerte par la société qui nous fournit les produits que nous utilisons à l’institut.
Il faut dire, des mensonges pieux quand il faut cacher la vérité.
La nuit porte conseil, nous rejoignons les bras de Morphée.
Je me lève faisant attention à éviter de réveiller la petite. Je m’approche de la chambre de Virginie. Mes deux grandes mutuellement se sucent les chattes dans un soixante-neuf.
Je m’assieds sur le lit, j’avance ma main vers son abricot roux.
Ma maîtresse me repère, mais ne dit rien, elle continue à laper les grandes lèvres de sa nouvelle amie.
Je fais pénétrer trois doigts dans son vagin, Véronique semble surprise, mais se laisse faire.
Je ressors et réunis mes cinq doigts. Comme j’ai appris avec la petite, je fais tourner mes doigts, ma main avance avec un peu de difficulté. Véronique doit subir cette forte pénétration pour la première fois.
Je sens que sa bouche bloquée sous la chatte de Virginie émet des sons.
Est-ce de plaisir ou de douleur ?
Tant qu’elle laisse Virginie faire, c’est qu’elle doit apprécier.
Je continue d’avancer. Mon poignet arrive au point critique le plus épais. Je tourne encore un coup et tous entrent. Je suis au fond du vagin, il est chaud et tout mouillé.
Ma main est trempée. Je la tourne de plus en plus vite, Véronique me lèche la partie extérieure de la main, elle doit récupérer ce qui sort de la vulve de notre maîtresse. Elle dégage sa tête et pousse un cri aussi important que celui qu’elle a poussé hier dans son appartement.
• On s’amuse bien ici !
Je tourne la tête, Anne est dans l’embrasure de la porte.
• On m’oublie.
Je lui tends mon bras libre. Elle vient se blottir comme elle aime le faire et comme j’aime qu’elle se positionne.
• Tu as perdu ta main.
Nous éclatons de rire toutes les quatre. Virginie bascule sur le côté. Véronique se redresse et pour la première fois aperçois ce que je lui fais subir. Je reprends mon mouvement de rotation. Sa bouche se ferme, ses lèvres se pincent, un râle sort de sa bouche. Véronique est fascinée.
• Ouvre ta main, elle est prête.
Je m’exécute, deuxième cri de plaisir de Véronique. Elle retombe en arrière.
Je retire doucement ma main, le bruit de succions habituelles se fait entendre. Plus rapide qu’une gazelle, Anne, saute sur le lit, entre les jambes de la belle allongée et vient nettoyer la chatte dégoulinante de la grande.
Quelques minutes se passent, Virginie tape dans ses mains.
• Finis les amusements mes belles salopes, il faut se préparer à aller au travail, vos copines s’occupent déjà de la charge du jour.
Avant de se lever, la grande veut comprendre, comment j’ai réussi ce que je lui ai fait.
• Si je pensais que ma chatte était assez grande pour recevoir une main, ta main, j’aurai dit que c’était impossible.
J’espère que vous recommencerez, je crois que je vais être accro.
• Tu vois Anne, c’est la spécialiste.
En entendant ma petite se passe la langue sur les lèvres.
Véronique et Virginie prennent la salle de bains du bas. Je monte à l’étage avec mon petit bouchon, nous prenons notre douche et malgré le temps qui nous est compté, je la savonne insistant entre ses lèvres intimes. Elle en fait de même avec moi.
Nous nous séchons et nous redescendons nous préparer.
Nous sommes toutes prêtes, nous partons avec la mini de Virginie.
Véronique demande si elle peut venir visiter notre lieu de travail. Malgré la grosse journée du samedi, elle accepte.
• Tu te chargeras de notre amie !
Arrivés et garés, nous présentons la grande à Odile et Antoinette. Elles sont très étonnées quand je la présente comme la maîtresse de mon ex.
Nous nous changeons, Virginie fait mettre une blouse à Véronique.
Elle se déshabille et aux surprises, elle a pris les bonnes habitudes de la maison et a depuis ce matin retiré son string.
Je lui fais visiter les cabines qui vont être utilisées dans quelques minutes par les clientes. Elles sont toutes équipées avec des douches.
La salle réservée aux UV. Trois machines sont à notre disposition.
Et, pour finir le bureau de Virginie.
Les trois premières clientes sont arrivées. Une à une je les dispose dans les box suivant l’employée avec qui elles ont rendez-vous en leur donnant un peignoir afin qu’elles se déshabillent. Véronique me demande un rendez-vous, car elle souhaiterait se faire raser intégralement. Virginie passe à quelques mètres.
• Véronique, laisse ta toison rousse. Crois en mon expérience cette toison très fournie et de couleur renard est un capital pour toi.
Garde-la, par contre donne lui un rendez-vous avec moi en fin d'après-midi afin que je lui donne quelques soins qu’elle va apprécier. Évite les UV, une rousse à la peau blanche fait bander les hommes.
Nous éclatons de rire.
Véronique doit rentrer, j’ai une course à faire pour le dimanche.
Elle embrasse tout le monde.
Je prends la mini de Virginie, c’est la première fois que je la conduis.
Arrivé chez elle, je monte jusqu’à son appartement, elle prend un bain espérant que je la rejoigne. C’est impossible, Virginie a beau être mon amie, je suis tout de même son employée.
De plus j’ai une course à faire. J’attends qu’elle ait fini pour prendre congé.
• À demain.
Je prends le temps de l’essuyer comme je l’ai fait ce matin pour la puce.
Je venais de finir lorsque le téléphone sonne. Elle rejoint l’appareil.
• Ce doit être Pierre !
Elle met le haut-parleur.
• Comment vas-tu ma chérie !
Sa réponse est franche et directe.
• Adieu.
Et elle coupe l’appel.
Deux secondes et le téléphone sonne.
• Je t’ai dit adieu.
Elle raccroche.
La sonnerie se fait de nouveau entendre.
• Laisse sonner, il finira par se lasser.
Elle me prend dans ses bras, ses seins viennent agresser les miens à travers mon corsage. Arrête me dis-je, tu dois y aller.
Une nouvelle fois nous nous embrassons.
J’ouvre la porte, je sors sans me retourner de peur de craquer.
Je retrouve la voiture. Arrivé à la hauteur d’une boutique déjà visitée hier et où en sortant j’ai aperçu Pierre et Véronique passer sur le trottoir opposé, j’achète une magnifique écharpe, accompagnée d’un collier d’un cuir très fin agrémenté de dix émeraudes et d’un anneau en or. Ces cadeaux sont pour Véronique, car hier j’ai acheté à chacun de mes invités leur cadeau.
Je retourne à l’institut. Dès que j’arrive Virginie me demande mon passeport !
Elle doit les déposer à l’adresse habituelle avant quinze heures.
Le téléphone a sonné, nous partons ensemble jeudi pour quatre jours en Russie. Igor a souhaité que je vienne. La dernière fois que je l’ai rencontré, tu ignorais que j’étais call-girl. La rapidité de ta progression en connaissance sexuelle m’a fait penser que tu me rejoindrais dans cette activité parallèle à grosses valeurs ajoutées
Igor chaque fois que je le rencontre est toujours accompagné d’autres hommes qui payent des sommes énormes pour nous avoir à leur disposition pendant trois ou quatre jours et surtout nuit.
C’est un client important pour l’organisation, il a toujours payé cash ses prestations. Je te donnerais plus de détails lorsque nous serons dans l’avion.
Rapidement car une cliente l’attend, je lui explique ce que Véronique a fait à Pierre au téléphone comme elle l’avait promis.
Il me reste une chose à faire, vérifie les plannings pour les quatre jours d’absence afin que la charge de travail entre les trois filles soit réalisable.
Je la vois partir porter les passeports.
La journée finie, nous fermons la boutique et rentrons à la maison où le travail de préparation pour demain dimanche nous attend.
Nous déposons Anne, elle tient à passer quelques heures avec sa fille Sindy.
La matinée file sans que je m’en aperçoive, nous préparons le repas avec Aline qui nous rejoint vers dix heures. Je dispose les cadeaux pour chacun près de la piscine.
Comme je leur ai demandé Alain avec Odile et Véronique arrivera ensemble. J’ai donné les coordonnés de la grande pour qu’elle l’appelle afin qu’il l’amène.
Comme moi, habitant Paris, elle a son permis, mais pas de voiture.
Quelques minutes après, Antoinette et Serge un Antillais sont là.
Anne arrive avec sa fille.
Virginie et moi sommes déjà en tenue de bain.
J’avais prévenu Odile, Antoinette et Anne de prévoir des maillots afin de profiter de la piscine.
Je conduis mes invités dans ma chambre afin qu’ils se mettent à l’aise.
Nous nous réunissons près de la piscine et Aline nous sert l’apéritif.
Virginie propose de faire visiter sa maison à tous ceux qui viennent pour la première fois.
À leur retour, je prends la parole.
• Je vous ai réunis pour vous remercier de tout ce que vous m’avez apporté après ma séparation. Je fête aussi mon divorce enfin finalisé et ma réussite au permis de conduire.
Je distribue les cadeaux à chacun.
Pour Virginie, un déshabillé en soie naturelle qui la mettra en valeur lorsqu’elle rencontrera ses clients.
Pour Odile et Alain, un week-end en amoureux dans un château cinq étoiles.
Antoinette et Serge, un week-end identique, mais dans un autre château.
Véronique, une écharpe en soie et un collier en cuir vert d’un grand maroquinier. Il est agrémenté de dix émeraudes proches de la couleur de ses yeux ainsi qu’un anneau en or.
Sindy, une gourmette en or avec son prénom.
Sans oublier Aline, je lui ai acheté une Mobylette rouge.
Elle lui servira pour venir plus facilement à son travail et ainsi éviter les transports en commun.
Enfin, mon bébé, ma petite Anne, après bien des hésitations, mon choix s'est porté sur une journée de shoping entièrement à ma charge afin que je lui offre une garde-robe lui permettant de la mettre en valeur.
• Une dernière chose à vous dire, en août lorsque l’institut sera fermé, j’invite tous ceux qui le souhaitent encore réservé pour leurs vacances de venir dans la villa que je possède.
C’est l’héritage de mes parents. Elle est à Saint-Palais sur mer en Charente-maritime.
Elle domine la plage et possède assez de chambres pour loger tout le monde.
J’en ai déjà parlé à Virginie, Anne et sa fille, elles peuvent venir.
Aline viendra assurer l’intendance comme elle le fait très bien ici.
• Odile, Alain ?
• Nous pensions partir pour un tour de France gastronomique, mais ta proposition est alléchante, je pense qu’Alain est d’accord et nous acceptons. Il opine de la tête.
• Antoinette et Serge ?
• Hélas, nous partons en Martinique d’où je suis originaire. Je vais retrouver mes parents et mes deux sœurs dans le village de Diamant d’où je suis originaire.
• Et toi Véronique ?
• Jusqu'à hier, je t’aurais dit que j’étais indisponible, Pierre devait m’emmener dans un voyage surprise. Une jolie dame est arrivée dans ma vie. Je devrais plutôt dire des jolies dames et Pierre s'est trouvé gommé de mon espace. C’est un grand oui…
• Très bien, je suis contente même si j’ai des regrets pour Antoinette et Serge. Ce sera que parti remis, nous organiserons un séjour pour les fêtes de fin d’année.
Un par un, ils viennent m’embrasser pour me remercier.
Véronique s’arrange pour être la dernière, m’embrasse aux coins des lèvres.
• Merci pour ce collier, nous irons ensemble chez ton maroquinier acheter la laisse qui manque au bout de l’anneau !
• J’espérais que tu la réclames, c’est pour cela que tu iras toi-même avec moi l’acheter et faire voir que tu es ma soumise.
Je saute dans l’eau pour nous rafraîchir avant de passer à table.
Nous restons dans la piscine une bonne demi-heure, mais la faim nous tenaille et nous passons à table.
L’après-midi se passe d’une façon agréable. Un climat de sympathie règne entre tous.
Nous avons gardé nos maillots, la présence d’amis que nous ignorons jusqu'où va leur libération sexuelle ainsi que la fille de ma petite nous oblige à rester très sage.
Vers minuit les Parisiens repartent sans Véronique qui décide de rester à la demande de Virginie. Je tiens qu’Anne et sa sœur restent et évitent de partir seuls la nuit avec un bébé.
Aline s’installe au premier étage avec Sindy qui va dormir dans le lit parapluie que mon petit colibri à amener. Nous prenons un bain rapide et je rejoins ma chambre avec Anne.
Malgré la porte de communication fermée, des petits criés de bonheur arrivent de la chambre voisine.
À peine couchée, ma petite-maîtresse vient boire à ma source. J’en fais de même dans un formidable soixante-neuf qui nous laissent pantelantes. Dans les bras l’une de l’autre nous passons une nuit agréable.
Au matin, nous remettons la maison en état toutes les cinq. Sindy qui commence à se tenir debout joue dans le parc acheté par Virginie lorsqu’elle vient chez elle. Le reste de la journée, nous profitons de la piscine pour nous reposer.
Étant entre nous, nous reprenons notre bonne habitude d’être nue.
Véronique et moi nous rendons au sauna, ce qui nous permet de faire monter la température entre nous.
Depuis ce matin, elle porte fièrement son collier.
Alors que nous arrivons au sommet de notre plaisir, elle me dit dans un souffle.
• Je suis ta jolie chienne…
Le mardi matin direction Paris, nous déposons Véronique chez elle, elle doit aller sortir sur le palier les valises de mon ex, qui va être son ex, il rentre en début d’après-midi.
Lorsque je la dépose, elle souhaite que je reste chez elle le soir.
Virginie est d’accord, aucun problème, elle s’occupe d’amener Anne auprès de sa fille.
Arrivés à la boutique, nous retrouvons Odile et Antoinette. Elles nous remercient de l’agréable dimanche qu’elles ont passé.
À la fin de journée, Véronique, arrive à l’institut, je suis venue te chercher, nous avons une course à faire.
L’institut fermé, chacun, part de son côté. Véronique m’entraîne.
• Suis-moi chez le maroquinier où tu as acheté mon collier.
Main dans la main, nous parcourons le chemin qui nous sépare de la boutique.
Nous entrons, le maroquinier nous reçoit et me reconnaît me demande si tout a bien été.
• Regarder, je le porte, mais il manque un élément. La laisse de même couleur qui pourra s’attacher à l’anneau que vous avez placé là.
L’artisan rit.
• J’étais persuadé que vous viendrez chercher l’élément manquant au bout de l’anneau. Je l’ai donc fabriquée, la voici.
Il sort de son comptoir une boîte en carton, l’ouvre et nous la sort dans le même cuir vert que le collier.
Il me donne le mousqueton à accrocher à l’anneau et me met dans la main l’extrémité de la lanière de cuir.
Elle veut payer. Le maroquinier lui en fait cadeau, car celle qui va le porter va mettre son travail en valeur.
Nous le remercions et prenons le chemin de son appartement.
J’ai gardé dans mes mains la laisse offerte, Véronique tourne la tête fréquemment vers moi avec des yeux amoureux. Dès que nous entrons dans le hall, elle me tend son cou.
• Attache-moi !
Je m’exécute, nous prenons l’ascenseur collé l’une à l’autre. Tout le temps de la montée nos bouches se fouillent.
Sur le palier, je sors la première et la fais venir vers sa porte.
• Ouvre mon amour !
Elle s’exécute.
• Entre ma belle !
Nous rejoignons sa chambre.
Je tire délicatement sur son lien, elle se retourne.
• Déshabille-moi !
Un à un elle enlève mes vêtements. Je suis nue.
• Déshabille-toi maintenant !
Elle s’exécute prestement.
Qu’elle est belle, que sa toison rouge ait fascinante. Continuant notre petit jeu, je me laisse tomber sur le lit, les jambes dans le vide et ouverte.
Dans ce mouvement, je fais très attention à ce que la laisse reste distendue, afin que son joli cou parte fortement en avant. Nous pouvons jouer, mais surtout éviter de la blesser. Je tire légèrement.
• Viens boire à ma source.
• Oui, maîtresse !
Elle s’agenouille, lentement comme si elle attendait mon ordre, elle avance sa bouche. Une légère pression sur la laisse, sa bouche prend possession de ma minette. Le mouvement de ses lèvres sur mes lèvres m’aide à atteindre une jouissance exceptionnelle.
• Nettoie-moi bien la chatte, ma petite chatte ?
Avec de grands coups de langue de bas en haut principalement sur mon clito, elle m’amène rapidement une nouvelle fois au nirvana.
Je change de position, je remonte sur le lit sans la lâcher et je m’allonge.
• Viens te coucher près de moi.
Elle s’allonge et son corps se soude au mien, pose sa main sur ma vulve. J’ouvre les cuisses.
• Caresse-moi !
Elle masse délicatement ma partie la plus sensible.
J’ai l’impression que depuis que je suis devenue une salope et que je baise sans compter, mon clito a pris de l’ampleur, j’ai l’impression que son volume s’accroît.
C’est normal, plus l’on s’en sert plus, on doit le développé, sinon il se rabougrit comme un fruit sec.
• Écarte les jambes afin que je m’occupe du tien.
Elle s’allonge et ouvre les cuisses. Sa toison m’empêche d’admirer la partie interne de ses lèvres. Avec ses mains, elle les écarte.
Je m’approche et il est là tout beau, prêt à l’emploi, attendant que je le gobe.
Je passe ma langue délicatement dessus, il réagit, il fait tendre le corps de mon amie comme un arc.
Elle avance son bassin vers ma bouche. Elle part, elle jouit, elle est belle dans cette jouissance.
Nous nous réinstallons sur le lit nos bras enlacés. Je plane et je prends conscience que, pendant tout ce temps j’ai gardé la laisse dans ma main.
Après quelques minutes de repos, nous décidons d’aller manger, le sport en chambre donne faim.
Nous rejoignons la salle à manger.
Elle marche devant moi la laisse toujours accrochée à l’anneau. Alors que nous passons devant la porte d’entrée, on sonne.
Sans se rendre compte qu’elle est nue et en laisse, elle ouvre la porte. Pierre est devant elle. Ses yeux lui sortent de la tête en nous voyant, en la voyant, en me voyant tenue en laisse. Elle claque la porte
• Adieu.
Prenant conscience de ce qui vient de se passer et surtout du tableau que nous formions devant notre ex, nous tombons dans les bras l’une l’autre et partons d’un éclat de rire convulsif.
Nous préparons le repas très diététique et bio, ligne oblige. Lorsque l’on a fini, nous rejoignons notre couche d’amour.
Avant que nous ne reprenions nos jeux, je lui annonce que Virginie et moi partons pour quatre jours en Russie.
Il est impossible à l’instant présent de lui dire que nous allons, nous prostituer.
Je lui explique que nous partons à un congrès pour des soins de beauté offerte par la société qui nous fournit les produits que nous utilisons à l’institut.
Il faut dire, des mensonges pieux quand il faut cacher la vérité.
La nuit porte conseil, nous rejoignons les bras de Morphée.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour Chris,
Il y a quelques temps je vous avez laissé un message sous le pseudonyme de "Libellule" dans lequel je vous vous disais ma satisfaction d'avoir enfin une suite à BCBG ...
Malheureusement depuis plus rien de cette saga mais d'autres textes, pourquoi?
Dans votre réponse vous regrettiez que mon adresse internet soit masquée, j'a créé celle-ci uniquement pour correspondre anonymement sur la toile. Je me dois d'être très prudente et discrète.
Je suis impatiente de lire votre réponse et surtout d'avoir les deux ou trois chapitres dont vous m'avez parlés.
Libellule ou Brimbelle qui ne font qu'une seule et unique femme.
Il y a quelques temps je vous avez laissé un message sous le pseudonyme de "Libellule" dans lequel je vous vous disais ma satisfaction d'avoir enfin une suite à BCBG ...
Malheureusement depuis plus rien de cette saga mais d'autres textes, pourquoi?
Dans votre réponse vous regrettiez que mon adresse internet soit masquée, j'a créé celle-ci uniquement pour correspondre anonymement sur la toile. Je me dois d'être très prudente et discrète.
Je suis impatiente de lire votre réponse et surtout d'avoir les deux ou trois chapitres dont vous m'avez parlés.
Libellule ou Brimbelle qui ne font qu'une seule et unique femme.
Merci Libellule, je vais vous dire pourquoi j'avais arrêté de publier cette
histoire. J'ai 40 chapitres d'écrit et j'ai pensé en faire un autre usage.
J'ai tenté avec une autre saga de la publier en livre et vu le résultat décevant à savoir 1 acheté le miens j'ai décidé de faire plaisir à des personnes comme vous en continuant à publier sur HDS seul site qui est fidèle à ces hauteur.
Il en va de même pour certain autres titre exemple POMPON que je reprendrais après BCBG Je suis un Thon ou autre Marié malgré moi.
Amitié aux lecteurs HDS. Dommage que je n'ai pas votre adresse mail je vous aurais envoyé deux ou trois épisodes comme je le fais à tous ceux qui me mettent des avis positif.
CHRIST71
histoire. J'ai 40 chapitres d'écrit et j'ai pensé en faire un autre usage.
J'ai tenté avec une autre saga de la publier en livre et vu le résultat décevant à savoir 1 acheté le miens j'ai décidé de faire plaisir à des personnes comme vous en continuant à publier sur HDS seul site qui est fidèle à ces hauteur.
Il en va de même pour certain autres titre exemple POMPON que je reprendrais après BCBG Je suis un Thon ou autre Marié malgré moi.
Amitié aux lecteurs HDS. Dommage que je n'ai pas votre adresse mail je vous aurais envoyé deux ou trois épisodes comme je le fais à tous ceux qui me mettent des avis positif.
CHRIST71
Bonjour Chris,
Bonjour Chris,
Voilà une suite que je n'espérais plus !!!
Pourquoi avoir six mois pour ce texte?
Pourquoi vous disperser de la sorte en écrivant d'autres textes sans jamais en finir un?
S’il n’y avait pas eu de textes intermédiaires j’aurais probablement mieux accepté le délai entre chapitre, mais là …
Ceci étant dit j’ai pris plaisir à lire cette suite de Femme BCBG mais … et je ne suis pas du tout certaine d’être capable de vous accorder ma fidélité si je dois attendre encore six mis pour connaitre la suite.
Un peu plus de constance et de sérieux vous ferez le plus grand bien.
Libellule
Bonjour Chris,
Voilà une suite que je n'espérais plus !!!
Pourquoi avoir six mois pour ce texte?
Pourquoi vous disperser de la sorte en écrivant d'autres textes sans jamais en finir un?
S’il n’y avait pas eu de textes intermédiaires j’aurais probablement mieux accepté le délai entre chapitre, mais là …
Ceci étant dit j’ai pris plaisir à lire cette suite de Femme BCBG mais … et je ne suis pas du tout certaine d’être capable de vous accorder ma fidélité si je dois attendre encore six mis pour connaitre la suite.
Un peu plus de constance et de sérieux vous ferez le plus grand bien.
Libellule