Femme BCBG, escorte, non, pute… (95) - histoire érotique

Par une belle nuit d’août je suis mollement assise sur l’une des chaises du salon de jardin de la maison de Jacky à écouter Lison la maman de Katia m’expliquer comment elle avait le fantasme de faire l’amour avec un homme de couleur noir depuis que dans sa jeunesse elle avait flaché sur un beau Camerounais avant de se retrouver enceinte par Guy qui l’a épousée.
C’est sa maman sage-femme qui l’a accouché.

• Nous avons vécu chez elle plusieurs années.
Guy et moi avons eu la douleur de perdre lui son père fumeur invétéré et moi maman d’une crise cardiaque foudroyante.
Nous avons hérité de leurs biens étant fils et fille unique.
Au moment où nous allions choisir qui vendrait, une restriction de personnel dans le magasin de Guy l’a obligé à se faire muter dans le magasin de Royan.
C’est la vente de nos deux biens que nous avons prise et d’acheter autour de Royan.
J’ai toujours aimé Saint Palais, l’été c’était toujours la plage où nous emmenions Katia.
Nous avons trouvé la maison que nous habitons et qui était en vente à prix cassé suite à un divorce qui tournait mal.
Il y a deux ans que nous avions emménagés lorsque dans le journal, j’ai vu ton annonce et tu m’as engagé pour entretenir chez toi.
C’était du pain bénit pour moi j’aidais Guy à gagner de l’argent en restant la plupart du temps chez moi surtout qu’il faut que ta maison soit prête un mois par an sauf exception à Noël.
Un jour où je remontais la plage pour rentrer chez nous, un homme africain est passé à mon côté avec tous ses objets à bas prix qu’il essayait de vendre.
J’avoue que je l’ai suivi jusqu'à une camionnette garée dans une rue parallèle.
J’étais prête à l’aborder quand un deuxième homme est arrivé, lui-même suivi d’un troisième.
Mon envie d’un homme de couleur qui s’était réveillé en moi aurait certainement pris le dessus sur la morale s’ils avaient été deux, mais trois, je voyais mal me faire prendre dans une camionnette par trois bites fusse telle dans les tons qui me fascinent.
Quand j’ai vu que parmi tes invités un homme aussi fort que le Camerounais de ma jeunesse était mon voisin, j’ai tout fait pour m’isoler avec lui.
La petite Anne vient souvent voir Katia et surtout sa fille, un jour où je gardais la petite, Anne est arrivée, je lui ai parlé de son ami.
Fine mouche, elle a rapidement compris que j’étais obsédé par les sexes de couleurs, je dis bien les sexes car lorsque je me remémore notre conversation tout ce que je lui disais faisais apparaître mes envies.
Je dois t’avouer que d’en parler m’avais sérieusement excité car comme pour mon dépucelage par Guy je suis incapable de dire comment je suis arrivé à lui sucer la chatte pendant qu’elle en faisait de même avec la mienne.
Après les hésitations avec ma copine avant mon mariage, l’approche d’un sexe féminin de si prêt a été une révélation, j’étais capable de prendre autant de plaisir, avec une bite dans mon con qu’avec la langue de cette petite vicieuse d’Anne.
Comment j’en suis arrivé à aller sortir de sa cachette Isidore le phallus couleur ébène que j’ai achetée à l’intérieur d’un sexe shop de Royan il y a des années je suis incapable de le dire, mais vous voir tous libres sexuellement y peut-être pour beaucoup ?
Viens, je vais te le montrer Guy est resté couché chez un camarade de boulot, il refond la chambre car il est jeune marié !

Pour la première fois elle m’emmène chez elle et je me retrouve dans sa chambre.
Sous le lit, elle enlève une latte de parquet et sort une serviette de toilette.
Elle prend dans sa main Isidore son olisbos ébène fidèle réplique d’un phallus avec une paire de couilles imposantes.
Celui que Madeleine a amené de Paris est légèrement plus gros que celui que Lison enfonce en moi.

• Veux-tu que je te le mette dans ta foune ?

J’aime lui faire plaisir autant que j’aimerais le faire à Katia.
Instinctivement je m’allonge et lui ouvre mon intimité.

• Tu as oublié ta culotte.
• Il y a des mois que je l’ai enlevé sauf certains jours du mois.
• Alors à partir d’aujourd’hui j’en fais autant, il y a des années que Guy me le demande et je lui ai toujours refusé ce petit plaisir.

Elle porte Isidore à sa bouche et l’humidifie avec sa langue.

• Tu vas voir il glissera mieux.

Cette femme qui nous attendait avec sa fille lorsque nous sommes arrivés n’avait en rien attiré mon attention mais se révélait être comme neuf femmes sur dix une salope qui jusqu'à maintenant refrénait ses envies.
Pour que le sex-toy entre plus facilement en moi, elle écarte mes grandes lèvres avec ses doigts et enfourne le gode au fond de mon sexe.

Maintenant que je te l’ai bien enfoncé, je peux continuer mon aventure avec Anne.
Comme avec toi je lui ai mis Isidore dans la chatte.
J’ai osé me lancer et lui parler d’Adonis son ami.

• Tu as de la chance, le tien est bien en chair et avec un bel os alors que je dois me contenter d’un morceau de bois.
Un jour je t’ai vu de ma chambre te faire baiser sur la table du jardin, il m’a paru démesuré.
• Tu nous as vues, pourtant je faisais attention !
• Oui plutôt deux fois qu’une, j’ai regretté l’absence d’une caméra pour vous filmer.
• Tu veux que je te le prête.
• Tu ferais ça pour moi !
• Quand tu veux où tu veux !
• Demain Guy va aider un copain à Pontaillac, je peux venir dans votre maison.
• À dix heures, c’est l’heure du marché je m’arrangerais afin qu’Adonis soit là et seul.

J’ai toujours Isidore dans le sexe, sans avoir l’air, elle commence à me masturber avec son copain.

• Tu le sens bien.
• Oui, il commence à me faire jouir.
• As-tu déjà baisé avec Adonis ?

J’ai de plus en plus de mal à parler la jouissance me rattrapant.

• Oui,
• Et avec Anne ?

Anne, mon petit amour, si elle savait le nombre de fois depuis que je la connais que sa petite chatte s’est retrouvée collée à ma bouche.

• Oui.
• Tu es comme moi une salope alors.

Comment émettre un son tellement le sexe de bois qu’elle fait coulisser dans mes chaires me procure du plaisir, elle laisse Isidore me remplir seul et vient à hauteur de ma figure afin que nos lèvres se trouvent ?

Au moment de reprendre notre souffle elle continue son histoire.

• Quand je suis arrivé discrètement dans la maison tout à l’heure il m’attendait les fesses appuyé sur la table de la cuisine.
Il a sorti sa queue et la tenait dans sa main en la faisant bouger de haut en bas.
• C’est-elle que tu veux, ma copine m’a demandé de te recevoir et de te satisfaire avec mon épée noire ?

Devant la barre noire tant convoitée depuis tant d’années, j’ai eu un moment de panique.
J’ai gougnotté la petite Anne mais sans jamais penser avec elle avoir trompé celui qui m’a donné mon amour de fille.
La couleur que je rêve d’avoir au fond de moi m’a fait avancer jusqu'à elle.

• Veux-tu goutter, aujourd’hui la sucette a un parfum un peu poivré ?
• Oui.
• Alors prend là en bouche et suce à fond, je te la donne.

Je me suis agenouillé et j’ai reçu mon fantasme au fond de ma gorge.
La position, tête légèrement en arrière lui a permis de passer ma glotte et j’ai senti Adonis descendre dans ma trachée.
J’étais tellement excité que je n’ai eu aucun mouvement de répulsion à ce qu’elle pénètre aussi bas dans ma gorge.
Afin que je respire, il sortait sa verge régulièrement pour se replonger et gagner quelques millimètres supplémentaires.

• Peux-tu te relever ?

Comme dans un rêve éveillé j’ai exécuté son ordre, attendant qu’il me prenne par-devant par-derrière me faisant jouir, jouir encore.
Mais je crois que tout cela tu le sais déjà car tu étais certainement arrivée.

Sa confession terminée, elle me retire son gode de ma chatte, le plonge dans la sienne et avec quelques coups de poignet démontrant son habitude elle se fait éclater.
Revenue sur terre, elle sort Isidore de sa vulve le nettoie méticuleusement avec sa bouche et l’enferme dans sa serviette.

• Tien je te le donne, j’ai dépassé mon fantasme et blanche ou noir, une bite reste une bite et je suis prête à toutes les recevoir.
• Ma chérie, baiser c’est bien bon, mais ils vont être revenus et autant éviter les questions.
• Es-tu seule avec Katia à midi ?
• Oui Guy va rentrer assez tard ce soir.
• Viens manger avec nous.

Quand nous descendons Adonis dans la cour a apporté la table de la cuisine comme je lui ai dit, il a une cognée en main trouvée dans la remise, il l’a brandi au-dessus de sa tête, prête à la faire tomber sur la table afin de l’éclater.

• Non pas ça.

Il arrête son geste et repose la hache.

• Christine ?
• La veux-tu ?
• Oui Adonis emmène la chez moi, chaque fois que je la verrai je penserais à toi beau mâle.

Notre ami empoigne la table et lui fait passer le portillon, avec un peu de chance, le transfert de l’objet lui enlèvera ses pouvoirs d’agir en bien ou en mal sur les humains dans la maison de Jacky depuis des années.
Cette livraison effectuée, nous traversons tous les trois et nous arrivons sur la terrasse où tous sont là.
Je présente Lison à tous ceux ne l’a connaissant pas.
Katia est contente de manger avec nous.
La tension au sein du groupe est palpable, le départ pour Bordeaux est prévu à quinze heures car nous faisons un arrêt à Saujon.
Je monte prendre une douche. Katia veut me suivre.
Pourquoi pas, inutile de prendre de risque en lui enlevant son petit capital ?
Je me douche en acceptant seulement qu’elle me savonne le dos.
Rincé, je passe dans ma chambre et lui offre un cadeau que j’ai spécialement acheté pour elle discrètement à Royan.

• Tu l’ouvriras ce soir dans ta chambre quand nous serons parties, faits en bon usage.
• Où allez-vous ?
• Impossible de te le dire aujourd’hui, je te promets de tout te révéler le jour de tes dix-huit ans.

Nous redescendons, je l’aide à s’éclipser discrètement pour aller porter son paquet chez elle.
Sur la terrasse, la table est mise, Alain et Odile préparent les céteaux grillés au barbecue ont l’air de bien s’entendre avec Lison.
Nous profitons des transats quelques minutes avant de monter nous préparer.
À quinze heures comme prévu nous embrassons ceux qui restent nous embarquons dans les voitures.
À Saujon Georges et Océane prennent quelles affaires et nous remettons en route pour Bordeaux…