Femme de médecin insatisfaite, je suis devenue l’esclave sexuelle d’un voyou 

- Par l'auteur HDS Trekkie -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Femme de médecin insatisfaite, je suis devenue l’esclave sexuelle d’un voyou  Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Femme de médecin insatisfaite, je suis devenue l’esclave sexuelle d’un voyou 
Nouvelle histoire sortant de l'imagination et n'ayant aucune base réelle.

À trente ans, je me trouvais encore bien séduisant... Un mari docteur, deux enfants mignons, une belle maison... Et pourtant, je n'étais pas heureuse ! Pierre, mon mari, ne me comblait plus depuis bien longtemps... Il se contentait de quelques brèves étreintes lorsqu'il n'était pas épuisé par son travail... Et c'était de plus en plus rare...
Le soir quand il me rejoignait au lit.
Chérie, tu me rends fou... Sens comme je bande !
Attention ! Tu déchire mon slip... Tu maques toujours de délicatesse mon chéri !
J'ai tellement envie de ta chatte. Ça y est... je suis entré !
J'aimais être possédée par le sexe de mon mari, mais il jouissait si vite que je n'avais jamais le temps de prendre du plaisir.
Bon sang ! Ça fait du bien !... pas vrai chérie ?
Mais oui, mon chéri,... bonne nuit...
Une fois encore, je m'endormais souillées de sperme, la chatte en feu... Souvent je me donnais du plaisir en me caressant alors que Pierre, satisfait, dormait déjà...
C'est un jour, alors que je flânais le long du canal, que j'ai rentré Denis... Il n'avait pas la beauté fragile de Pierre, mais son côté jeune voyou m'avait tout de suite attirée.
Non Denis... nous venons à peine de faire connaissance !
Et alors, faut-il des années pour désirer quelqu'un ?
Il ne faut pas... on peut nous voir...
As-tu fini de parler en bourgeoise coincée !?
Il venais de me plaqué contre un mur et même si je résistais pour la forme... mon corps, lui, attendais avec impatience d'être mis en pièce par cet inconnu ! Il glissait maintenant sa main dans ma culotte à le recherche de mon petit bouton.
Tu profites de ma faiblesse !... Comme tu caresse bien... Ooooh... Que c'est bon !
Te voilà prête à recevoir ma belle bite... Tu va voir, c'est autre chose que celle de ton toubib !
Et il sortit son sexe bandant pour me le mettre dans la main.
Oh ! Tu veux me faire l'amour ici ? C'est fou, mais j'en ai tellement envie... Laisse-moi au moins la branler.
Caresser ce monstre me faisait mouiller comme une dingue... La gentille femme du docteur n'était plus qu'une salope impatiente de se faire troncher par son amant ! Il est ensuite entré d'un seul coup au fond de ma chatte déjà pleine de mouille... Je m'agrippais à lui afin de le sentir au plus profond de mon intimité ! Il glissait, entrant et sortant en rythme et je sentais le plaisir pour une fois monter en moi. J'ai pris mon pied à deux reprises avant de sentir son plaisir me remplir. Il y avait bien longtemps que je n'avais pas ressenti une jouissance aussi intense.
En me quittant il m'a donné l'ordre de le retrouver chez lui deux jours plus tard... Le plaisir passé, j'avais honte de ma conduite, bien décidée à en rester là ! Peu après j'avais rendez-vous avec Nicole, une amis de collège... comme moi, elle s'ennuyait ferme avec son mari pharmacien. Nous étions assez intimes pour ne rien nous cacher.
Et tu t'es laissée prendre par cet inconnu ?... Je ne te crois pas !
Pourquoi te mentirais-je ? Sens, ma chatte est encore toute pleine de son foutre !
Bon sang, c'est vrai !... Et il t'en a mis un sacré paquet !
Elle venait de glisser sa main dans ma culotte et j'étais fière de prouver à mon amis que j'avais comme elle, un amant... De son côté, elle ne devait pas être déçue de m'avoir enfin attirée dans le camp des femmes adultères.
Nous devrions renouer avec nos habitudes de collégiennes... J'aimais bien caresser ta chatte.
Arrête petite cochonne, tu vas me faire crier... Arrête te dis-je... comme tu sais bien agacer mon clito... Je... je viens... hummm... quelle journée !
Je venais à nouveau de jouir, plus discrètement , mais tout aussi fort qu'avec Denis. Cette nuit-là, je n'ai pas beaucoup dormi... Le membre dressé de Denis surgissait dès que je fermais les yeux. Oublier, je voulais l'oublier, mais je n'y parvenais pas !
Au petit matin, mes résolutions avaient fondues comme neige au soleil !... Déjà je comptais les heures qui me séparaient de mon rendez-vous avec la jouissance ! En attendant, je me caressait sous la douche.
À la date prévue, le cœur battant comme une collégienne, j'entrais dans la sordide qu'habitait mon amant.
Mon chéri, si tu savais comme je suis impatiente de sentir ta belle queue en moi... J'en suis déjà toute humide de désir !
Je me collais à lui la main posé sur l'objet de mes désirs.
A genoux ! Tu vas commencer par la mettre dans ta jolie bouche... J'aime me faire sucer par les petites bourgeoises en chaleur.
Je n'aimais pas cette gâterie que je refusais d'ailleurs à mon mari... Je me suis pourtant prosternée devant Denis afin d'engloutir dans ma bouche ce sexe énorme qui sentait l'urine.
Elle ne va pas te mordre... Tu peux la prendre bien au fond et surtout fais bien travailler ta langue. C'est bien, tu apprends vite... As-tu déjà avalé le foutre de ton mari ?
Oh non ! C'est dégouttant... Tu ne vas pas me demander de la faire ? Je ne veux pas !
Pour la première fois il s'énerva et m'envoya au sol avec une gifle.
Tu feras ce que je veux... Ne suis-je pas ton maître ?... Suce et avale la fumée, chérie !
Humiliée, malgré mon désir de fuis, j'ai repris le membre en bouche, afin de lui obéir... J'avais tellement envie qu'il me possède ! Je l'ai sucé jusqu'à ce qu'il soit sur le point de jouir.
Oui... serre-moi bien, je sens que ça vient... Ooooh, tu vas tout prendre... tout avaler !
Un liquide poisseux et salé a giclé dans ma bouche... La quantité était telle que je n'ai pu en avaler qu'une partie...
Avale bien tout chérie... Et puis tu vas me nettoyer... J'aime être propre...
C'est fou, tu bandes encore !
Et comment ! À présent je vais m'occuper de ta chatte... Il est temps de quitter tes fringues !
Oh ! Chéri, si tu savais comme j'en ai envie...
il se coucha sur le lit et m'invita à le rejoindre.
Viens te planter sur mon gros pieu...
Je viens chéri... Tu vas sentir comme je mouille pour lui...
Je tremblais comme si je m'offrais pour la première fois à la virilité triomphante de l'homme... Avec lenteur afin d'en mieux savourer l'intensité, j'engloutissais l'énorme membre qui épousait parfaitement ma chatte... Lui, d'un coup sûr et sec était venu buter contre mon pubis poilu... Je ne me contrôlais plus, chevauchant de plus en plus vite cette bite monstrueuse qui me fouillait au plus profond de mon intimité... Je ne comptais plus les ondes de plaisir qui sans cesse me secouaient...
Arrête salope ! Tu vas me faire juter trop vite ! Tu vas te retourner... Je veux voir ton petit cul !
J'ai obéi sans hésiter, trop pressée de le sentir de nouveau au plus profond de mon sexe...
Chéri, est-ce que tu aimes voir mes fesses ?
Plutôt, et comme ça je peux m'occuper de ta rondelle...
Sa belle queue en moi, son doigt s'introduisant dans mon anus, j'étais comblée par le savoir-faire de Denis qui sans cesse me conduisait à la jouissance totale... Quand à lui, il me laboura avec une vigueur que je ne connaissais pas.
C'est trop ! Je vais cracher mon jus...
Ooooh oui... c'est bon, c'est chaud... je t'aime...
Épuisés par nos ébats, nous sommes restés enlacé sur le lit crasseux... Déjà j'attendais le prochain rendez-vous avec Denis. Désormais, je rendais visite à Denis tous les jours... Il me prenait comme une bête prête à tout pour plaire à son mâle. Il a même fini par me faire accepter la sodomie, moi qui avait toujours trouvé cela répugnant... J'étais sa chose, son esclave... Et ses demandes sont devenue de plus en plus osées.
Dès demain, tu viendras sans slip, ni soutien-gorge... Tu ne porteras que ta robe.
Tu sais bien que je ferai tout ce que tu me demanderas.
Se promener pour la première fois sans sous-vêtements fut pour moi une épreuve, mais puisque telle était la volonté de mon amant. Je croyais avoir tout accepté et ce n'était pourtant que le d&but de mon esclavage. Quand je suis arrivée chez lui, il y avait déjà un autre homme.
Émile est un copain, comme moi sans boulot.
Bonjour Monsieur !
Émile avait déjà un certain âge et était chauve. Ses yeux par contre pétillaient.
Monsieur ?... Tu vas l'appeler Émile comme tout le monde... Comment tu la trouve ma copine?
Plutôt pas mal... il y en a qui ont du bol !
Tu vas me montrer si tu es une petite femme obéissante !... Retire ta robe ! Si tu veux que je te baise, tu dois obéir... ou alors tu prends la porte... Et puis Émile est un copain, je partage tout avec lui !
Ne plus avoir droit à sa queue ? Plutôt mourir de honte ! Dissimulant mal mes larmes, j'ai commencé a défaire les boutons de l'unique rempart à ma nudité...
Bien, tu vois Émile, elle ne porte rien comme je lui ai ordonné... Viens, approche, qu’Émile puisse toucher tes trésors.
Sacrée souris... Une chatte bien poilue comme je les aime !... Tu dois pas t'ennuyer mon gars...
La main du vieux se faisait plus insistante sur mon sexe qui malgré moi s'humidifiait. Denis observait en riant tout en l'encourageant à me fouiller la chatte avec ses doigts !
Denis... je t »en prie, demande lui d'arrêter... c'est toi que je veux, mon chéri !
Avant que je t'enfile, tu vas aller chercher la bite d’Émile et la sucer avec ta jolie petite bouche... A moins que l'on se dise adieu ?
Non !!! Je ferais tout ce que tu veux mon chéri...
Je ne voulais en aucun cas le perdre, je me suis donc agenouillée devant Émile, j'ai ouvert son pantalon, sorti sa bite en engouffrée dans ma bouche. Elle avait un goût âcre, il puait l'urine, mais aussi la sueur. Le plus difficile à supporter, c'était le regard vicieux de Denis qui observait la scène.
Tu fais ça comme une pro, poulette !... Assez, je veux juter dans ton berlingot... Tu as rien contre, Denis ?
Fais comme chez toi... Tu vas voir, elle aime ça la garce !
Étendue, jambes écartées, j'attendais qu'il me prenne, qu'il jouisse très vite, qu'il nous laisse enfin seuls !
Je te l'avais dit, ça rentre comme dans du beurre...
Ces bourgeoises sont bien plus putes que nos femmes... Tu vas voir ce que je vais lui mettre !... Tu la sens bien ?
Oui, je vous en prie, faites-moi l'amour...
Je prononçais ces mots pour qu'il en finisse, mais aussi pour le sentir remuer en moi... Mon corps désirait cet horrible bonhomme... étais-je vraiment devenue la salope dont parlait Denis ? Je ne voulais pas jouir, je ne voulais pas lui donner ce plaisir !
Han... Han... Je vais venir... Prends tout, putain...
Il était temps... encore quelques secondes et je criais mon plaisir... Vite ! Je voulais que Denis profite de mon excitation...
C'est pas tout ça... à présent, il faut qu'on se sauve. Eh oui, chérie ! On doit gagner notre croûte, nous les prolétaires...
Mais Denis, tu m'avais promis que...
Reviens demain... Si ça te travaille trop, en attendant tu peux demander à ton cocu de te troncher pour te calmer.
Le salaud ! Il m’abandonnait le corps brûlant de désir après m'avoir offerte à un autre ! Je me suis réfugiée chez Nicole... Je ne pouvais pas rentrer à la maison dans cet état... Elle n'était pas seule, mais l'homme a rapidement quitté l'appartement discrètement.
Toi tu as encore eu des mots avec ton étalon !
Si tu savais... Il m'a offerte à un vieux, puis il est parti sans même me donner ma récompense. Mais je te dérange... tu étais avec ton amant ?
Une passade qui n'arrive même pas à me faire jouir ! Viens, retrouvons nos habitudes de collégiennes vicieuses...
Oh !...
Elle m'emmena dans sa chambre et m'enleva mes vêtements.
C'est lui qui te demande d'être à poil sous ta robe !?
Oui. Tu parle d'un vicieux !
Ooooh !... Ta main...
Elle n'avait pas tardé à me caresser et ses mains s'égaraient déjà sur mon sexe.
Oh chérie, comme tu es douce, je veux te sentir nue contre moi !
Je te plais autant qu'autrefois ?
Elle ne se fit pas plier et en leva son peignoir en satin. Elle me coucha sur son lit et dans ses bras, j'oubliais Denis, son sexe, sa brutalité, sa force !... Nicole me faisait l'amour avec une tendresse que j'avais depuis trop longtemps oubliée... Renouer avec nos amours d'adolescentes m'avait fait du bien...
Rentrée chez moi, ce soir-là, c'est moi qui ai provoqué Pierre...
Hum... on dirait que ça te fait de l'effet...
J'avais pris sa bite en main et la caressant, il commençait à avoir un érection.
Tu sais, je suis crevé !
Je voulais que Pierre me fasse l'amour !... Qu'il me donne la force de ne pas retrouver Denis.
Qu'est-ce qui te prend ?... Je croyais que tu n'aimais pas ça !
Hum, laisse-moi faire, ce soir, j'ai envie...
J'avais décidé de prendre le sexe de Pierre en bouche, mais malgré cela, je ne cessais de penser à la perversité de Denis et je mouillais pour lui !...
Assez ! Laisse-moi te prendre en levrette...
Oui... plante-toi bien au fond de ma chatte...
Je ne te reconnais plus... Tu parles comme une fille !
Ne dis plus rien !... Viens !... Prends-moi...
Je ne t'ai jamais sentie aussi humide !
Aaaaaah... Ouiiiiii... C'est bon...
Han...Han... Oui... C'est bon !
Chéri... Je viens... Encore... Je veux encore ta queue en moi... Oooooh... oui, Denis !
Prends tout !...
C'est bon mon chéri... Viens en moi !
Il m'avait donné du plaisir, mais je savais qu'en réalité c'est avec Denis que je venais de faire l'amour.
J'ai continué à revoir Denis tout en trouvant du plaisir dans les bras de mon mari. Et c'est un jeudi que j'ai connu la plus grosse émotion de ma liaison avec ce jeune voyou. Je me suis rendue chez lui et ce n'est pas lui qui m'a ouvert la porte.
Bonjour chérie...
Toi ???
Je trouvais ton comportement curieux depuis quelques temps... et tu n'étais plus jamais à la maison. Très vite, j'ai appris que tu t'envoyais en l'air avec un autre type. J'ai voulu lui casser la gueule, mais nous avons beaucoup parlé et me voici chez lui, en train de me mettre à poil devant toi.
Denis fit son apparition dans la pièce, lui aussi déjà nu.
Hé oui chérie, ton petit mari a compris qu'il pouvait prendre son pied en notre compagnie ! Nous avons parlé de toi... à présent, nous sommes copains. Mieux, nous décidé de punir la femme adultère !
Tout en me parlant, Denis m’avait enlevé mes vêtements, nous étions maintenant tous les trois nus.
Regarde cette pute est à poil sous sa robe !
Hé oui, chérie... Tes petites séances m'ont donné envie d'aller plus loin !
Je n'ai pas eu le temps de réagir quand Denis m'a attrapé et attaché les poignets à des menottes qui pendaient au plafond.
Viens... Ces bracelets vont faire joli autour de tes petits poignets.
Et moi mon amour je pense que tes chevilles sont juste pour ce bracelets.
Ces deux salauds m'avaient piégée... J'étais attachée pieds et poings liés... J'étais à leur merci et je savais l'imagination de Denis diabolique !
Vas-y !... Punis cette garce qui se vautre dans le sexe...
Noooon...
... Elle prends son pied avec toutes les queues qui l'enfilent.
Pierre s'avança vers moi et commença à me donner de grosses claques sur les fesses avec une cravache que lui avait donné Denis.
Je suis certain que ça la fait mouiller !
Il avait raison, ma chatte dégoulinait de jus, j'avais très mal et pourtant le plaisir prenait le dessus. Et Pierre aussi était excité, cela se voyait à l'érection qu'il avait.
Toi aussi tu bandes !... On pourrait la prendre en sandwich... Tu vas voir comme elle aime ma queue !
Denis se mit face à moi et me tenant par las hanche planta sa bite dans ma chatte.
Purée, ça rentre comme dans du beurre.
Oh oui !... Bien à fond...
Toi, tu n'as pas besoin de beurre pour l'enculer... Depuis le temps que je lui perce la rondelle, elle est habituée.
Vas-y, prends mon petit cul... Aaaaahh...
J'étais prise pas deux belles queues, celle de mon amant et celle de mon mari... et j'aimais ça !
Tu vois ! Je te l'avais dit. Plus elle en a, plus elle prend son pied. Sens comme ses nichons sont durs... Ils bandent eux aussi, toubib !
Ils ont explosé en moi en même temps... Ce double jet de foutre m'a fait jouir comme une dingue !
Denis disait vrai... il t'a offert à d'autres hommes... c'est vrai ?
Oui chéri... et j'ai aimé . Punis-moi...
Tu as vu, le foutre dégouline entre ses cuisses.
Ils avaient fini avec moi et s'étaient rhabillé. Mais, ils ne m'avait pas encore détachée.
On va manger un morceau. Toi, tu reste comme ça !
Pierre était devenu aussi pervers que Denis.Ils étaient partis depuis longtemps... L'obscurité envahissait peu à peu la pièce. Quand ils sont revenus, il faisait déjà nuit et ils avaient rapporté quelques affaires.
Nous avons fait quelques courses. Regarde, c'est assez gros pour toi ?
Denis venait de sortir d'un sac un énorme godemiché et il proposa à mon mari de l'essayer sur moi.
Enfonce-le ! Après tout, c'est toi le mari...
Il... Il est énorme... Il va me blesser...
Tu n'en n'a jamais eu d'aussi grosse...
Non ! J'ai mal ! Doucement...
Ce que je ne comprenais pas, c'est pourquoi il était équipé d'une lanière. Ils ne pensaient quand même pas se le mettre en ceinture et me prendre avec deux bites.
Ainsi attaché et avec ce cadenas, tu ne pourras pas le retirer. C'est Pierre qui décidera de te libérer.
Vous voulez que je garde ça en moi ?...
Pierre détache-là... On va l'admirer avec notre jouet...
L'énorme engin me faisait un drôle d'effet... Les yeux vicieux de mes deux amants me faisaient honte...
Tu vas devoir apprendre à marcher... dans la rue, tu vas faire sourire.
Tu vas nous faire une double pipe... Ensuite tu nous laisseras entre hommes.
À genoux, je le sentais encore mieux... Peu à peu, une curieuse sensation remplaçait la douleur.
Une sacrée pipeuse ta femme...
Une bite en bouche et l'autre en main, j'alternais et ils jouirent l'un et l'autre dans ma bouche.
Ils m'ont fait sortir avec la bouche pleine de leur semence, heureusement la nuit dissimulait un peu ma démarche difficile... J'allais me confier à Nicole.
Chérie !... A cette heure ? C'est que je ne suis pas seule... entre. Je te présente Xavier... un ami...
Si tu savais... Pierre était avec lui... Ils m'ont obligée à faire l'amour et puis...
Et puis quoi ?
Ils m'ont mis un gode que je dois conserver !
Ma pauvre chérie... Je peux voir ?
Pas devant lui..
C'est un vicieux lui aussi, si tu savais ce qu'il me fait !...
Une nouvelle fois malgré la honte, j'ai laissé tombé ma robe à terre devant un inconnu afin qu'ils puissent voir mon sexe embaluchonné par ce gode.
Sacré morceau ! Tu dois avoir du mal à marcher !
Nicole était excitée, mais la vue de ce gode la rendait complètement folle. Elle se tourna vers son amant et prit sa bite pour lui faire une fellation. Avant de l'inviter à la prendre en levrette.
Xavier n'est pas aussi bien monté, mais moi aussi j'ai envie d'être remplie...
Tes désirs sont des ordres ma chérie...
Devant ce spectacle je ne pus résister et pour la seconde fois de la journée, je m'offrais au vice. J'offris mon sexe à Nicole alors qu'elle se faisait labourer et elle me lécha le clito, seul endroit accessible.
Petite coquine... Tu mouilles comme une fontaine... Tu vas prendre ton pied.
Ooooh oui... encore ta langue... tu sens bien la queue de ton mec dans ta moule ?
Le salaud ! Il me pistonne comme un dingue... Je vais jouir ma chérie...
Prends bien tout... sens comme ma bite te bourre la moule !
Assez... C'est trop... comme je voudrais sentir cette bite me défoncer aussiNicole m'a mordue férocement lorsqu'elle a pris son pied alors que Xavier crachait sa semence en elle. Ils ont joué avec mon corps tout au long de la nuit.
Plante-lui ton pieu dans le cul... Elle aime être remplie par les deux orifices.
Il n'y arrivera pas ! Ma chatte est trop pleine !
Dur comme il est, il te défoncera chérie...
J'ai mal... Mais continue, je suis une vraie salope ! J'ai trop envie de sentir une vraie queue en moi.
Lorsqu'il s'est enfoncé en moi, j'ai cru mourir... et puis le douleur s'en est allée pour faire place à un plaisir trouble... sale, comme j'aime à présent.
- Baise-moi... Baise-loin plus fort...
La nuit fut très longue et je suis rentrée au petit matin... Pierre dormait comme si rien ne s'était passé chez mon amant. Il s'est contenté de grogner dons son sommeil en sentant mon corps nu se presser contre lui. Ma main s'est posée sur l'engin qui me remplissait... Je n'avais plus mal, mais au contraire une furieuse envie de jouir encore et encore m'accompagnait tout le temps...
Dès le lendemain, Pierre me retira le gode et Denis me demandait de venir le rejoindre habillée comme une pute, petite jupe et décolleter plongeant. Qu'allait-il encore me faire subir ?
Mais c'est ma petite pute qui arrive !
Il y avait à nouveau un autre homme avec lui.
Montre à monsieur si ton petit derrière est bien nu !
Quelle honte ! J'offrais à ces deux hommes la vue de mon sexe déjà humide de désir...
Montre-lui comment les noirs sont montés... Je suis certain qu'elle rêve de se faire baiser par toi...
A genoux devant cette nouvelle bite, la masse énorme de cette queue essayait déjà de forcer mes lèvres.
Oh oui, je veux la faire grossir pour qu'il me remplisse...
Ce fût bientôt un monstre qui remplis ma bouche et j'avais envie de la sentir en moi.
Oui, fourre-moi !... J'en ai tant envie...
En levrette, un machin comme celui-là, ça vous transperce. Mais quel bonheur de la sentir aller et venir.
Puisque ta bouche est libre, occupe-toi de ma queue !...
Une nouvelle fois deux belles bites me faisaient jouir comme une dingue... Mais une surprise m'attendait...
Et moi, tu n'as plus de place pour moi ?...
Toi ?
C'est une surprise... Sympa d'avoir invité ton mari à notre petite fête ?
Chéri, tu y prends goût !!!
... Je suis heureux de te voir t'envoyer en l'air et de prendre ton pied.
Ainsi Denis avait préparé ce piège et semblait apprécier la situation... Cocu et content !
Assez parlé ! Viens t'empaler sur ma grosse queue noire...
Vas-y, puisqu'il te le demande gentiment, ma chérie...
Les yeux dans ceux de mon époux, je descendais lentement le long du membre du noir...
A ton tour... Remplis lui le cul...
Salope ! Ton petit trou est déjà défoncé !
Ooooh chéri ! Rentre bien au fond...
Et Denis prit le trou qui restait me remplissant la bouche de son sexe.
Tu as vu comme ta femme aime se faire sauter ?
Trois hommes me remplissaient de leurs queues, la sensation était merveilleuse.
Ooooh ! Vos trois bites ! Elles sont bonnes...
Laisse-moi prendre tes nichons pendant que tu continue à me sucer.
C'est trop bon... Je jouiiiis...
Ce soir là, j'ai joui sans relâche avant de recevoir le foutre de mes trois amants.

Ce fut la dernière fois que je revis Denis... Mais Pierre se chargeait de me faire vivre des expériences de plus en plus folles... J'étais devenue sa chose et j'aimais ça !
Un soir, il m'a fait entrer dans l'hôpital où il était de garde.
Tu vois ces garçons, ils t'attendent... Les pauvres, les femmes leur manquent...
Un dizaine de malades attendaient docilement près d'un lit vide...
A poil ! Montre-leur ta chatte, chérie...
Obéissante, je m'offrais nue aux regards vicieux des ces inconnus...
C'est la seule pute que j'ai trouvé.
Joli morceau, docteur !
Je voulais fuir, mais l'envie d'un plaisir malsain me retenais sur ce lit...
Pour toi... Je vais te la mettre bien au fond...
Non ! Moi...
Du calme, il y en aura pour tout le monde... Cette pute aime trop les queues pour vous abandonner.
Il avait raison ! La vue de tous ces sexes me rendait folle ! Un à un, ils me tendaient un billet puis ils me prenaient comme une pute...et bientôt ma chatte fut pleine de foutre. C'est lorsqu'ils allaient commencer un second tour qu'un homme est entré dans la pièce qui sentait le sperme.
Qu'est-ce que c’est que ce merdier ?
C'était le chef du service de Pierre. L'affaire fit grand bruit... Nous fûmes chassés de la ville... Pierre fut condamné par le conseil de l'ordre... Nous partîmes pour l'Afrique où les gens sont moins regardant sur les diplômes.
Pierre me rendait responsable de ses malheurs et il me battait à grand coups de cravache pour oublier.
Aïeeee... Prends-moi...
Garce ! Tu aimes ça, recevoir de la cravache...
Ouiii chéri ! Sens comme ça me donne envie de toi !
Après m'avoir excité avec des coups, il me prenait me faisant jouir à plusieurs reprise.
Un matin, j'ai surpris Bongo, notre serviteur, en train de se masturber en regardant une revue érotique. Je me suis caressée en regardant sa main aller et venir sur son gros sexe. J'ai joui lorsque le jet de liqueur s'est écrasé sur le tapis.
Cochon, tu vas me nettoyer ça !
Oui madame, je vais chercher une éponge...
Pas question de salir une éponge ! Tu vas le faire avec ta langue...
Je prenais un plaisir fou à le voir bouffer son propre sperme.
Bien ! Il y en a encore un peu ici...
J'ai soulever ma robe dévoilant ma chatte toute humide de l'orgasme qui venait de ma transpercer.
Puisque tu es doué, tu vas me lécher la chatte...
Oh madame ! Ce n'est pas bien...
Vas-y, te dis-je ! Ooooh, j'aime ta langue rappeuse... encore plus profond...
J'étais ruisselante sous les caresses de cette langue habile et douce... Je devais remercier Bongo pour le plaisir qu'il me donnait.
Mets-la ! Mets-la moi dedans !
J'étais comme une bête en rut...Prête à tout pour me faire défoncer.
Vous êtes drôlement chaude patronne.
Tais-toi et baise-moi !
C'est alors que j'ai vu Pierre qui nous observait, sa présence me déchaînait...
Ça vient !... Je vais jouir !
Donne, donne... Aaaaah !
Mon mari m'a prise dès que le sexe du serviteur m'a quitté, il était super excité de 'avoir vu être prise par cet énorme bite noire.
Ça me rend dingue de voir les autres hommes te sauter...
Bongo est devenu notre complice et régulièrement je me faisait baiser par deux bites à la fois. Nous nous sommes aussi fait bon nombre d'amis, hommes et femmes. Et ils ont défilé chez nous. Chaque jour, je me suis fais mettre par plusieurs hommes qui apprécient mon tempérament. Et les femmes se joignaient à nous pour se faire baiser, mais aussi pour me lécher et se faire lécher.
J'aime cette vie loin de toute pudeur Européenne et j'espère qu'elle se poursuivra encore longtemps. Je termine d'écrire ces confidences avec le grosse queue de Bongo dans ma chatte brûlante.

FIN...

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